2019 DOSSIER DE PRESENTATION - Ultra Boucle de la Sarra

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2019 DOSSIER DE PRESENTATION - Ultra Boucle de la Sarra
2019
DOSSIER DE PRESENTATION

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2019 DOSSIER DE PRESENTATION - Ultra Boucle de la Sarra
ULTRA BOUCLE DE LA SARRA
Les vendredi 17 et samedi 18 mai 2019, l’association LYON ULTRA RUN organise la septième
édition de l’ULTRA BOUCLE DE LA SARRA.

Les épreuves : trois courses horaires - cinq formats d'épreuve
     Course de 6 h : trois formats d’épreuve : solo, en relais par équipe de 2 coureurs, en relais
        par équipe de 3 coureurs. Départ le samedi 18 mai à 17h00.
     Course de 12 h : solo uniquement (nouvelle épreuve). Départ le samedi 18 mai à 11h00.
     Course de 24 h : solo uniquement. Départ le vendredi 17 mai à 23h00.

Où : tracé sur les pentes de la colline de Fourvière, le circuit commun à toutes les épreuves utilise en
grande partie le potentiel offert par le Parc des Hauteurs (Piste de la Sarra, Chemin du viaduc,
montée Nicolas de Lange). Particularité : le circuit de 2 km comporte 90m de dénivelé positif et 563
marches d’escalier !

Pourquoi : la convivialité des courses horaires et la touche fun d’un urban trail à la lyonnaise. Un
parcours qui fait la part belle à la vue sur l’un des plus beaux sites touristiques de Lyon.

Pour qui : des courses exigeantes, idéales pour les coureurs chevronnés qui préparent les grandes
épreuves estivales. Une course qui séduira également les moins aguerris (pas de barrière horaire,
durée d’épreuve fixée par avance, courses en relais).

Site web : l’ULTRA BOUCLE DE LA SARRA est présente sur internet par le biais de son site :
www.ultraboucledelasarra.com créé début 2012 pour promouvoir la course et fournir des
informations sur l’épreuve (exemple : plans d'entrainements réalisés par Philippe Propage, membre
de l’encadrement de l’équipe de France de trail et de 24h). Ce support est également utilisé pour
réaliser des actions de promotion pour nos partenaires.

Réseaux sociaux : L’ULTRA BOUCLE DE LA SARRA est également présente sur les réseaux sociaux.
Facebook : http://www.facebook.com/ultraboucledelasarra
Twitter : http://www.twitter/ultraboucle

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UN SITE D’EXCEPTION
LA SARRA, UNE PISTE DE SKI EN PLEIN CŒUR DE LYON
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                                       lyonnais un mini domaine au cœur de la ville. Une piste de
                                       300 m de long, 30 m de large avec une pente moyenne de
                                       20% (25% sur sa partie haute). La remontée mécanique
                                       installée à l’époque comptabilisera plus de deux millions de
                                       passagers avant la fermeture du site en 1975.
                                       La piste de la Sarra accueille désormais une descente
                                       permanente de VTT où les meilleurs bikers s’affrontent
chaque année à l’occasion de l’Avalanche Cup, ainsi qu’un parc aventure.

LE CHEMIN DU VIADUC
Il débute par une petite place. A la belle saison, les
promeneurs peuvent s’asseoir sur des bancs couverts d’une
agréable pergola qui les protège de l’ardeur du soleil. Il se
poursuit ensuite par un chemin plus étroit et boisé.
Puis l’on arrive sur l’imposante passerelle des 4 vents qui
offre un impressionnant panorama de Lyon. Ce viaduc
permettait autrefois aux tramways de transporter les
voyageurs et les cercueils entre l’ancien terminus de la
ficelle de Saint-Paul (aujourd’hui désaffectée) et le cimetière de Loyasse.

LES 563 MARCHES DE LANGE
                                        L’escalier interminable de la montée Nicolas de Lange, bordé
                                        par deux vieux murs de pierre, vous conduit au pied de la
                                        tour métallique qui domine la colline de Fourvière, une
                                        réplique du dernier étage de la Tour Eiffel, de 85 m de haut.
                                        Les marches ne sont pas très hautes mais elles sont
                                        nombreuses, jugez plutôt : 563 marches à gravir par tour. 18
                                        tours et vous passez les 10 000 marches !

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LYON ULTRA RUN ORGANISE l’ULTRA BOUCLE DE LA SARRA

                            LYON ULTRA RUN est une association de type loi 1901 à but non lucratif
                            créée par un groupe de passionnés.

                            L’association a pour objet la promotion de la course à pied et
                            notamment la course à pied de grand fond (ultrafond) c’est-à-dire pour
                            toutes les distances au-delà du marathon.

                              Le conseil d’administration est composé de 8 membres et de Léon le
lion, la mascotte du LYON ULTRA RUN, symbole de vigueur, de force et de volonté, autant de qualités
indispensables pour l’ultra. Léon c’est avant tout une bonne patte, toujours prêt à rendre service et
dévoué corps et âme à la cause de LYON ULTRA RUN : vous faire manger du kilomètre.

Au LYON ULTRA RUN nous adorons courir, longtemps si possible et quand nous ne courrons pas nous
adorons faire courir les autres !

LYON ULTRA RUN, c’est également l’organisation
    Du LYON URBAN TRAIL - http://www.lyonurbantrail.com
    Du LUT BY NIGHT - http://www.lutbynight.com
    De LA 180 (anciennement LyonSaintéLyon) - http://www.la180.com.
    Du LURDUNUM, de l’INTEGRALE BY NIGHT …
      http://www.lyonultrarun.com/nos-evenements/

                             L’agence de communication Extra-Sports nous soutient et nous fait
                             bénéficier de son expertise dans le domaine de l’organisation. Extra-
                             Sports organise chaque année plusieurs épreuves d’envergure telles que
la SaintéLyon, la Lyon Free VTT, le Grand Trail du St-Jacques, l'Ardéchois Trail …

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La ola des bénévoles dans la montée Nicolas de Lange [crédit photo : Nicolas Blache].

RETOUR SUR L’EDITION 2018
Mise en orbite !

Epoustouflantes ? Mirobolantes ? Difficile de trouver les mots pour décrire les performances de
nos deux héros du jour tant elles sont exceptionnelles ! Avec ses 87 boucles réalisées, Claire
Bannwarth atomise littéralement la marque réalisée par Paul Romestin en 2017 pour la première
édition du Golden Talc (82 tours). Elle améliore de 24 boucles l'ancien record féminin ! 24 boucles,
vous imaginez ? C'est un chrono déjà plus qu'honorable sur le 6 heures ! On peut dire que
Christophe Anselmo aura eu chaud aux fesses une bonne partie de la course. Il ne menait la danse
que de quelques précieuses minutes. Il a réussi à creuser l'écart en fin de course, sans doute en
partie grâce à la défaillance de sa concurrente directe. 89 boucles, c'est le nouveau record à battre
(181 km, 8000 m de D+ et 50 107 marches d'escalier). La boucle a mis en orbite deux nouvelles
étoiles.

Ces deux prouesses ne doivent pas nous faire oublier pour autant les autres résultats. On pense
notamment aux relais 2 féminins sur l'épreuve des 6 heures avec l'équipe "Les ponettes" (Clémence
Dupraz/Chrystelle Lambert, 32 tours) et l'équipe "Telle mère, telle fille" (Florence Robin/Cézanne
Robin, 28 tours) et au relais 3 Mixte toujours sur l'épreuve des 6 heures avec l'équipe "Team Spode"
(Laurent Leroi/Anthony Gomes/Sophie Martin, 37 tours) qui améliorent également les records de
l'épreuve. Chapeau bas !

Et pourtant la météo n'aura pas facilité les choses. Les températures, encore acceptables le samedi
matin, ont grimpé en flèche en fin d'après-midi dès lors que le ciel s'est dégagé. Le cagnard plombait
de ses rayons chauffés à blanc le site de la Sarra et nombreux sont les participants à avoir marqué le
pas, ralentissant inexorablement la cadence. Epongeage, trempage de casquette (voir même de la
tête) et recherche de l'ombre, tout était alors bon pour les coureurs avides de fraicheur. La boucle
est belle mais elle est exigeante.

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Christophe Anselmo, vainqueur du Golden Talc, chemin de Montauban [crédit photo : Johan Judith].

Panoramas somptueux sur la Ville, départ explosif en côte ou aux flambeaux, tapis rouge digne du
festival cannois, magie de la montée Nicolas de Lange illuminée par plus de 500 lumignons, traversée
de l’esplanade noyée sous la lumière des projos, des lasers et du gros son, autant d’éléments
désormais classiques qui font la force de l’épreuve et participent à son ambiance festive.

Un énorme merci à tous les participants, bénévoles et partenaires de la Boucle. Nous vous donnons
rendez-vous en mai 2019 pour la septième édition.

Merci.

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Evolution de la participation

24 heures : un engouement qui se confirme !
Lancée en 2017, l'épreuve 24 heures Golden Talc connait la plus forte progression en 2018 (+20%)
confirmant l'engouement constaté lors de sa création. A noter également la très forte progression de
la participation féminine (+180%). 79 coureurs ont participé à cette seconde édition. 45 coureurs
auront effectué les 50 boucles requises pour être "finisher" du Golden Talc.

Pour rappel, le GOLDEN TALC consiste à parcourir un minimum de 55 boucles durant l’épreuve des 24 heures
solo. Les finishers du GOLDEN TALC sont crédités de 3 points ITRA. L’ULTRA BOUCLE de la SARRA – GOLDEN
TALC est une course qualificative pour l’UTMB, le Trail Verbier Saint-Bernard X-Alpine ou The North Face
Lavaredo Ultra Trail.

Une participation globale en légère hausse (4 %).
La participation globale est en légère hausse de +4 % malgré la densité des événements se déroulant
à la même période (Maxi Race, Trail des Coursières des Hauts du Lyonnais, Courir pour elles, ...). La
participation sur l'épreuve 6 heures solo repart à la hausse après une stagnation en 2017 (+16 %). La
fréquentation est stable sur le 6 heures relais 3 depuis 2015. Elle est en baisse sur le 6 heures relais 2
mais reste malgré tout à un niveau supérieur à 2016. A noter la baisse de la participation féminine
globale probablement dû à Courir pour Elles le même weekend.

Evolution de la participation :
                          2015            2016             2017             2018          Evolution %
                                                                                           2017/2018
Coureurs 24h solos                                          66               79               +20%

Coureurs 6h solos          100            110              111              129               +16%

Coureurs relais à 3        159            195              168              162                -4%

Coureurs relais à 2         34             62               78               68               -15%
Nombre de
participants
                           293            367              423              438               +4%
Nombre de
bénévoles
                            35             44               64               80               +25%

Evolution de la participation homme/femme :
                          2017           2018             2017             2018           Evolution %
                         Homme          Homme            Femme            Femme            2017/2018
Coureurs 24h solos          61             65               5                14           +7% / +180%

Coureurs 6h solos           90            111               21               18           +23% / -14%

Coureurs relais à 3        111            113               57               49            +2% / -14%

Coureurs relais à 2         49             44               29               24           -10% / -17%
Nombre de
participants
                           311            333              112              105            +7% / -6%

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Bilan qualitatif de l'édition 2018

Enquête de satisfaction : 94% des sondés sont satisfaits.
Les résultats de notre enquête de satisfaction démontrent que le concept et l'organisation de l'Ultra
Boucle de la Sarra sont particulièrement appréciés des participants. L'Ultra Boucle de la Sarra tire
son épingle du jeu dans un secteur ultra concurrentiel (une ou plusieurs courses chaque weekend sur
le seul département du Rhône et notamment le Trail des Coursières des Hauts du Lyonnais et Courir
pour Elles). Sur une note de 1 (mauvais) à 10 (bon), 31% nous attribuent une note maximale de 10,
39% une note de 9 et 23% une note de 8.

46% des sondés souhaitent participer dès à présent à l'édition 2019, moins de 4% ne souhaitent pas
renouveler l'expérience.

Les résultats complets de l'enquête de satisfaction consultables en ligne : https://goo.gl/wb6F2Y

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2019 DOSSIER DE PRESENTATION - Ultra Boucle de la Sarra
Indice qualité des coureurs : 4.57 / 5
L'indice qualité des coureurs est un outil de l'ITRA (International Trail Running Association)
développé pour les coureurs et les organisateurs.

Sous forme de questionnaire, il permet aux participants de la course de noter la qualité globale
d'organisation de la course. Les organisateurs peuvent bénéficier des appréciations des participants
afin d’en extraire des axes d’amélioration dans l’organisation de leur évènement. Les réponses au
questionnaire sont anonymes. Chaque organisation membre de l'ITRA est libre de mettre en place
ce questionnaire.

Cet indice concerne uniquement l'épreuve des 24 heures - Golden TALC déclarée à l'ITRA.

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Sophie Millot, seconde féminine de l’épreuve 6 heures solo, dans la Piste de la Sarra au départ de l'épreuve [crédit photo
: Nicolas Blache].

Quelques points forts de l'épreuve :
1) Cadeau coureurs : T-shirt technique combiné avec deux tissus en polyester, manches courtes
   raglan. Tissu principal nids d´abeilles, panneaux latéraux et intérieur des manches en tissu micro
   perforé. Col rond avec bande de propreté renforcée à l´intérieur. T-shirt confortable et moulant.
   Respect des athlètes féminines avec des t-shirts coupe femme respectant leur morphologie.

2) Cadeau coureurs : bière Single Track offerte à tous les participants, bénévoles et partenaires.

3) Souvenirs : vidéo souvenirs de l’évènement et plus de 1500 photos gratuites à la disposition des
   coureurs.

4) Dotations : récompense de 64 athlètes (podium de niveau 3, hommes, femmes, mixtes,
   challenges du meilleur tour), dotations nombreuses et variées (dotations Suprabeam, dotations
   Sigvaris, dotations CimAlp, dotations CryoReflex, dotations Single Track, corbeilles de fruits, bons
   d’achats Terre de Running).

5) Chronométrage : dossards nominatifs (nom, prénom pour les coureurs solos et nom de l'équipe
   pour les relais). Le texte à faire apparaitre sur les dossards est saisi lors du processus d'inscription
   pour les coureurs solos. Dossards différenciés pour chaque coéquipier. Exemple : 305.1, 305.2,
   305.3 pour chacun des 3 coéquipiers de l'équipe 305. Couleurs des dossards différentes pour
   chaque épreuve. Couleurs des bâtons de relais différentes pour chaque épreuve.

6) Alimentation : ravitaillement express pour les coureurs solos.

7) Alimentation : variété et quantité des denrées aux ravitaillements et au buffet d’arrivée.

8) Sécurité : délimitation d’un couloir coureur avec de la moquette rouge, réservé aux seuls coureurs
   en mouvement pour diminuer le risque de collisions.

     10
9) Sécurité : mise en place d’un couloir piétons et d’un couloir coureurs séparés par des barrières
   Vauban entre le chalet et l’esplanade. Pour supprimer les flux inutiles des coureurs, répartition
   des sanitaires en deux points (au niveau du chalet de la Sarra et sur l’esplanade à proximité de la
   tente destinée à l’abri des relayeurs en attente sur l’esplanade.

10) Ambiance : départ aux flambeaux pour les coureurs du 24 heures.

11) Ambiance : mise en lumière de l’esplanade et de la Piste de la Sarra (projecteurs sur structure
    métallique), machines fumigènes, laser pour renforcer l’image festive à la tombée de la nuit.
    L’animation lumineuse a été maintenue toute la durée de la course. La zone d’ombre au nord de
    l’esplanade a été supprimée avec une mise en valeur de l’arche Ville de Lyon par un éclairage à
    Led blanc.

12) Ambiance : plus de 500 lumignons répartis sur la montée Nicolas de Lange.

13) Ambiance : ola des bénévoles dans la montée Nicolas de Lange et à l’arrivée.

14) Inscriptions : processus d'inscription dédié pour les clubs et les entreprises. Réservation de
    dossards, constitution différée des équipes et paiement avec délivrance d'une facture après la
    course.

15) Repas en commun des bénévoles (très convivial et apprécié) dans l’espace snack le samedi midi.
    « Enfin une course où l’on ne mange pas que des sandwichs » dixit un bénévole.

Photo Laurent Brière| Le chemin du viaduc, Parc des Hauteurs.

     11
Quelques éléments financiers
Le budget de l'épreuve est de 18 179 euros HT. L’évènement est déficitaire pour un montant de
1247,00 euros.

    12
Résultats épreuves solo
24 heures Solo Masculin :
Christophe ANSELMO : 89 boucles // 24:00:07
Romain DIQUATTRO : 78 boucles // 23:15:11
Benoit DUPRAZ : 77 boucles // 23:15:11
                                                        Accès aux
24 heures Solo Féminin :                                résultats
Claire BANNWARTH : 87 boucles // 24:23:36               complets en
Martine VOLAY : 63 boucles // 23:44:45                  ligne.
Françoise DESPRINGRE : 59 boucles // 23:44:47

6 heures Solo Masculin :
Julien FEREL : 28 boucles // 06:00:07
David MOREL : 28 boucles // 06:05:37
Dimitri MUTSCHLER : 28 boucles // 06:12:00

6 heures Solo Féminin :
Anne VALERO : 24 boucles // 06:03:53
Sophie MILLOT : 23 boucles // 06:10:31
Peggy MUGNIER : 20 boucles // 06:06:24

Photo Etienne Mordier| Podium 24 heures solo féminin.

     13
Résultats épreuve relais 2

6H Relais 2 Equipe Masculine :
FRED & CHRISD (Jean-Christophe CHOUILLET, Frederik BAK) : 33 boucles // 06:11:08
LES FRANGINS (Benoit DEROUX, Corentin DEROUX) : 32 boucles // 06:02:49
CARLES ON T'AIME (Benjamin BUISSON, Florian NIVET) : 32 boucles // 06:05:04

6H Relais 2 Equipe Féminine :
LES PONETTES (Clémence DUPRAZ, Chrystelle LAMBERT) : 32 boucles // 06:03:58
TELLE MERE, TELLE FILLE (Cézanne ROBIN, Florence ROBIN) : 28 boucles // 06:00:48
LA TEAM KANEMA (Marion WON FAH HIN, Karell PIERRE) : 25 boucles // 06:10:11

6H Relais 2 Equipe Mixte :
LES LOUIS (Céline LOUIS, Loïc LOUIS) : 33 boucles // 06:09:17
YAUTES (Guillaume DUBREUIL, Emeline BORNECQUE) : 30 boucles // 06:01:59
TERRE DE RUNING LYON (Justine ETIENNE, Jean-Baptiste DELAIRE) : 30 boucles // 06:14:58

Photo Etienne Mordier| Podium 6 heures relais 2 mixte.

     14
Résultats épreuve relais 3
6H Relais 3 Equipe Masculine :
LES INCONNUS (Jérôme FINOT, Sébastien MASBOUS, Eric MERCIER) : 38 boucles // 06:12:43
RUNEAT (Patrice PICOLLET, Matthieu PROUSTEAU, Aristide MERCIER) : 35 boucles // 06:09:36
HEAVY METAAAL (Romain ANDRE, Vincent CHARROIN, Marc-Edouard PIARD) : 35 boucles //
06:10:29

6H Relais 3 Equipe Féminine :
LE GANG TDR (Alexandra BERTHIER, Pauline ROUSSEL, Astrid STACHOWICZ) : 29 boucles //
06:00:10
GO MAMAN GO (Tiffany FANJAT, Andréa RUFRANCOS, Camille GAUTHIER) : 27 boucles //
06:02:31
LES AAALOUETTES (Anne PAILLET, Stéphanie HAVET LAURENT, Stéphanie CLOGENSON) : 27
boucles // 06:10:25

6H Relais 3 Equipe Mixte :
TEAM SPODE (Anthony GOMES, Sophie MARTIN, Laurent LEROI) : 37 boucles // 06:12:21
BARJ 69 (Laetitia LALAU, Sébastien REY, Franck LAPORTE) : 32 boucles // 06:15:25
PLVPB (Margot BOUTEILLE, Christophe BERTHUIT, Michel VINCENT) : 31 boucles // 06:07:54

Photo Etienne Mordier| Podium 6 heures relais 3 mixte.

     15
Visibilité mailing
Notre base mailing est composée à 100% de coureurs ayant participé à une de nos épreuves
chronométrées (Ultra Boucle de la Sarra, Lyon Urban Trail, LUT by Night) ou à une de nos sorties
encadrées (La180, Lurdunum, Intégrale by Night).

Le tableau ci-dessous récapitule les envois mailings faisant mention de l’édition 2018 de l’Ultra
Boucle de la Sarra dans leur contenu ou/et affichant les logos de nos partenaires.

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2018

UBS2018 – La
vidéo !
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    16
Visibilité print
10 000 flyers distribués. 100 affiches 40x60, 50 20x30 affichées par nos partenaires.

    17
Visibilité internet
                                                                                                     Evolutions %
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                                                                                                      2016 / 2017
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de pages vues
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  nombre de vues au 24 juin 2018
2                                           er
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  Suivi live : nombre de pages vues au mois de mai
3
  Facebook : mention « j’aime » au 31 décembre pour les années antérieures et au 24 juin pour 2018

Facebook : évolution des mentions « j’aime »

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Facebook : portées de publications

Ultraboucledelasarra.com : évolution du nombre de pages vues par semaine

    19
Ultraboucledelasarra.com : évolution du nombre de pages vues par jour

Ultraboucledelasarra.com : origine géographique des sessions

Auvergne-Rhône-Alpes : 64,59 %
Ile de France : 25,61 %
Autres : 9,8 %
Lyon : 35,79%
Paris : 22,63%
Autres : 41.58%

    20
Visibilité Presse

TRAIL - ULTRA BOUCLE DE LA SARRA
Publié le 25/05/2018

400 forçats à l'Ultra Boucle de la
Sarra
À l’occasion de la 6e édition de l’Ultra boucle de la Sarra, les organisateurs ont apporté une
nouveauté : ils vont installer des… transats autour de la ligne d’arrivée. « Ça donnera une ambiance
estivale », sourit Arthur Baldur, le créateur de cette épreuve à nulle autre pareille… L’UBS, c’est
pourtant tout sauf des vacances, que ce soit sur 24 heures ou 6 heures, sur un parcours de 2 100
mètres et 90 mètres de dénivelé positif, tracé à Lyon à flancs de colline de Fourvière avec descente
de La Sarra (30 % au plus fort de la pente) et remontée par les escaliers de la montée Nicolas de
Lange (563 marches) à chaque tour. Plus de 400 coureurs sont candidats pour participer à ce tour de
force tant physique que mental, dont 70 sur le tour de cadran. Ils tenteront de faire mieux que Paul
Romestin, vainqueur en 2017 avec 82 boucles. Le Lyonnais Christophe Anselmo fait partie des
engagés alors que Martine Volay, lauréate en 2017 (63 boucles), est de retour. Sur 6h, le record de
Christophe Dietrich (31 boucles) tient depuis 2015.

    21
ATHLETISME - ULTRA BOUCLE DE LA SARRA
Publié le 28/05/2018

Les records sont tombés
Christophe Anselmo et Claire Bannwarth ont pulvérisé les records des 24h de
l’ultra boucle de la Sara au terme d’incroyables performances.

Torse nu, Christophe Anselmo signe un bel exploit en portant le record à 89 tours. Photo Fabrice Petit.

Après l’étonnement voir l’incompréhension des premières éditions, l’Ultra Boucle de la Sara est
maintenant bien ancrée dans le calendrier des coureurs Lyonnais et alentours, enfin surtout dans
celui des athlètes un peu barges et désireux de s’aligner sur une épreuve pas tout à fait comme les
autres.

Avec son parcours de 2km, 90m de dénivelé et les 563 marches de la montée Nicolas de Lange à
boucler un maximum de fois en 24 heures pour les plus téméraires ou en 6 heures pour les plus
raisonnables, l’épreuve devient rapidement un supplice pour les cuisses, les mollets et les fessiers.

     22
Claire Bannwarth réalise l’exploit

Vainqueur de la montée de la tour Oxygène en 2016 et présent dans le top10 du LUT à plusieurs
reprises, le Lyonnais Christophe Anselmo faisait figure de favori vendredi soir à 23h au moment du
départ des 24 heures de l’Ultra Boucle de la Sara.

Non seulement Christophe Anselmo a parfaitement assumé son statut en remportant cette 6e
édition de L’ultra de la Sara mais il s’est également emparé du record établit en 2017 par Paul
Romestin (82 boucles) en effectuant 7 boucles supplémentaires (89 boucles).

Chez les féminines, Claire Bannwarth a réussi un exploit surréaliste en se classant 2e du général au
scratch avec 87 boucles soit 3 de plus que l’ancien record masculin.

La récente 3ème de l’Ecotrail trail de Paris est restée pendant longtemps au contact de Christophe
Anselmo et a établi un record qu’il sera très difficile de battre lors des prochaines éditions.

    23
ULTRA BOUCLE DE LA SARRA
Publié le 31/05/2018

« UNE LUTTE CONTRE SOI-MÊME
POUR CONTINUER »
Naïvement, Christophe Anselmo s’est rendu
au départ de l’Ultra Boucle de la Sarra à vélo
vendredi dernier. Évidemment, il l’a regretté
24 heures plus tard, après avoir pulvérisé de 7
boucles le record de la course à pied la plus
déjantée du calendrier lyonnais avec 89 tours
de circuit de 2 100 mètres (descente par la
piste de La Sarra et remontée par les 563
marches de Nicolas de Lange), soit 181,56
kilomètres et 8 000 mètres de dénivelé positif.
Et le traileur de la Croix Rousse a été tout       soi-même pour continuer de courir le plus
content qu’un ami se dévoue pour le ramener        longtemps possible. Heureusement que le
à la maison : « Je ne tenais plus debout. »        départ se fait de nuit. Cela permet de passer
                                                   les premières heures dans une ambiance hors
Cet informaticien, aussi à l’aise dans les         du temps avec les torches enflammées et les
escaliers de Lyon que dans les paysages alpins,    lumignons dans les escaliers. On croise
raconte son tour de force réalisé deux             quelques gars bourrés qui vous encouragent.
semaines après sa 23e place à la Transvulcania     C’est sympa. Ensuite, il a fait très chaud.
(74 km ; 4 350 m D +) sur l’île de La Palma aux    C’était un jeu contre le soleil. Il fallait
Canaries. « Je voulais un peu prendre ma           zigzaguer vers les zones d’ombre. J’ai
revanche après avoir eu de mauvaises               d’ailleurs dû faire la quasi-totalité de la course
sensations en 2016 sur le format de 6 heures       torse nu ».
et mon abandon en 2017 alors que je n’aurais
pas dû prendre le départ avec une cheville          « J’ai longtemps été discipliné : je courais
blessée ».                                         partout sur le parcours sauf dans la montée
                                                   Nicolas de Lange. Les seuls arrêts que je
« Cette fois, mon seul but était d’aller au bout   m’autorisais, c’était pour changer de gourde
en courant. C’est difficile de partager cette      et manger un peu. Claire (Bannwarth ; 2e au
expérience. Disons que c’est une lutte contre      scratch à l’arrivée) m’a poussé puisqu’elle

    24
n’était que 2 minutes 40 derrière après 12
heures ».                                          « Une fois arrivé, tout retombe. Je n’avais
                                                   qu’une idée : dodo ! Pendant les podiums, il a
« Je me fixais des petits objectifs. Au bout de    fallu que je m’assoie plusieurs fois. Mais par
trois heures, on se dit : “c’est bien, t’as fait   rapport au TOR des Géants (330 km dans le
huitième de la course”, et ainsi de suite. Puis,   Val d’Aoste ; 9e en 2017), il n’y a pas vraiment
j’attendais le départ de la course de 6 heures     de privation de sommeil. J’avoue que
en me disant que ça allait me rebooster. À         dimanche, j’ai quand même fait quelques
deux ou trois heures de la fin, je me suis         siestes. Mais lundi, je suis allé au boulot à
autorisé un tour en marchant en me                 vélo. Le corps va bien. Je pensais que j’allais
promettant que je recourrai après. Mais mon        dérouiller davantage au niveau des
cerveau a débranché, mes articulations se          articulations. Mais dans la tête, c’est
sont     refroidies et c’était terminé…            compliqué de revenir au quotidien.
Heureusement, j’avais plein de potes pour          Maintenant que je l’ai finie, pas sûr que je
m’encourager. Et à force, tous les spectateurs     retourne un jour sur l’UBS. Sauf peut-être en
connaissaient mon prénom : j’ai dû entendre        tant que bénévole… »
des milliers de fois “allez Christophe” ».
                                                                    Recueilli par Benjamin Steen

    25
Le Teaser 2018
Réalisation Laurent BRIERE - BetrainedProd -
7781 vues Youtube - 2737 vues Facebook au 26 juin 2018
https://youtu.be/6ATk11NSuRQ

La vidéo officielle 2018
Réalisation Laurent BRIERE – BetrainedProd
1177 vues Youtube - 2163 vues Facebook au 26 juin 2018
https://youtu.be/2ArAMZemKbk
Quelques photos
Album Nicolas BLACHE
https://photos.app.goo.gl/v341MLUPGxX7whHt5

Album Nicolas BLACHE – 24 heures
https://photos.app.goo.gl/D8YNeIClfOVuFgYC3
Album Johan JUDITH
https://photos.app.goo.gl/aqanNwxWxUUwMfZB7

Album Johan JUDITH – 24 heures
https://photos.app.goo.gl/dEvmzc8LvRrWwuXX9
Album Etienne MORDIER
https://photos.app.goo.gl/vjJN3vnxmFTUNZmSA
Commentaires coureurs
Quelques réactions à chaud glanées sur le forum de course à pied kikourou.net :

                                L’écureuil, 27 mai
                                « Un petit message de Grandes félicitations aux organisateurs et
                                bénévoles. Je suis passé ce matin faire quelques tours et pas un
                                détritus sur tout le parcours. Alors grand bravo. Finalement les
                                lyonnais sont peut-être mieux élevés que les parisiens. »

                                Minie Flo, 27 mai
                               « Jamais vu une orga comme celle-là!!! Juste incroyable le nombre et
                               la gentillesse des bénévoles, une ambiance survoltée, une boite de
                               nuit à ciel ouvert à la tombée de la nuit, un ravito hyper varié et
toujours rempli pendant les 6 heures, des encouragements tout au long du parcours .... Vraiment une
super expérience pour moi ! »
Kelek, 27 mai
« Salut à tous. J'y vais de mon petit retour. Chapeau bas pour l'organisation en béton de l'évènement.
Tous les bénévoles au petits soin pour nous, à nous encourager sans cesse. Enorme! Bravo le LUR. Les
ravitos étaient très copieux. Première fois que je vois du kiwi et de la mangue ! Le gâteau
chocolat/banane est délicieux aussi, je veux bien connaitre la marque !

Le parcours était vraiment magnifique. Ke ne m'en suis pas lassé durant mes 76 tours ! En fait on n'a
pas l'impression d'être en ville. Peu de bruit de voitures, beaucoup de verdure. Par contre un parcours
vraiment exigeant: ces maudites demi marches en ont fait pesté plus d'un, moi le premier, et cette
descente de la Sarra c'est juste un truc de fou. Impressionnant de voir les relais dévaler à fond la
caisse dedans. »
RayaRun, 27 mai
« A mon tour de faire un retour sur l'UBS !

Super course, super équipe, super bénévoles super ravitos, et une boucle que j'ai adorée !

Récupéré par le Mulot (que je remercie encore) nous sommes arrivés sur zone après avoir monté,
chargés de nos sacs, l'escalier sous le parc à côté de la Sarra, petit amuse-bouche de cette terrible
épreuve !

Le parcours: l'alternance de la descente trail dans la Sarra, des montées-descentes, des faux plats,
d'une passerelle ondulante, la présence des pavés, et surtout des 563 demi-marches font de cette
boucle de 2km et 90m de D+ font de cette boucle, un entraiment complet pour le trail montagne ! j'ai
adoré courir cette boucle (si on pouvait avoir la même à Paris ).

L'organisation : au top du top, des passionnées, au service des coureurs, on sent que tout est organisé
autour du plaisir et du confort des coureurs (transat, ravitos extraordinairement fournis, des kiwis,
des ananas,...) , Une équipe qui sait de quoi elle parle et fait en sorte que tout soit parfait dans une
ambiance chaleureuse.

Les bénévoles : super prévenants, à préparer les verres de chacun, à être vraiment à notre disposition
et surtout à toujours à nous encourager, et dans la dernière heure la plupart dans les escaliers, à
chanter et applaudir !
L'ambiance : très chaleureuse dans tous les sens du terme, deux nuits chaudes et une journée difficile
à supporter l'après-midi (j'ai piqué un petit somme au moment le plus chaud), chaleureuse avec la
musique, les bénévoles partout (une concentration de bénévoles impressionnante !), et à partir du
départ des 6h, une autre ambiance et une autre course ! Plein de kikous coureurs, bénévoles,
organisateurs !

En tout cas merci à cette joyeuse bande d'organisateur, votre course est superbe, ne changez rien, ce
n'est que du bonheur ! »

Quelques réactions à chaud glanées sur la page Facebook de l’évènement

                                Vincent Charroin, 28 mai
                                « Merci pour cette belle organisation et épreuve ! SG chrono nous doit
                                une bière à Romain, Mars Edou et moi ! »

                                Benjamin Buisson, 28 mai
                                « Superbe organisation ! Dommage pour ce petit pépin qui fausse un
                                peu la fin de course pour les relais car ça ne se joue à pas grand pour
                                les premières places mais bon... Plaisir immense avant tout ! C'est ce
                                qu'on retiendra ! »

                                Flo Nivet, 28 mai
« Ultra Boucle de la Sarra on avait dit pas de génépi pour l’équipe chrono !!!      Merci et belle orga.
Félicitations. Et à l’année prochaine. »

Christophe Berthuit, 28 mai
« Merci pour tout, avec mon relais nous avons un moment formidable. A refaire sans hésiter. »

Rémi Ultra-Trail, 29 mai
« Très bien ! Votre boucle était aliénante ! L'an prochain va pour le 24 h ! Quand je vois que le premier
a tapé 188 km !!!!!! C'est inhumain et ses poursuivants également !!! Chapeau ! En tout cas merci
pour votre accueil et votre bonne humeur les Gones ! »

Kyja Rrête Pas, 29 mai
« Les jambes et la tête vont bien merci. Et vous pas trop fatigué après toute cette organisation ? En
tout cas encore merci pour tout, c’était génial et vivement l’année prochaine !
Vous êtes les meilleurs            »

Olivier Favre, 29 mai
« Merci pour cette aventure. L'ambiance, les bénévoles, et l’organisation, géniale. »

Ni Roy, 29 mai
« Toujours un peu de fatigue mais aucune blessure. La tête, elle, est toujours dans les étoiles ! C’était
un superbe moment de partage avec les bénévoles et autres coureurs. Voilà ce que je retiendrais
surtout ! »
Victor Taing, 29 mai
« Magnifique événement, convivial, fort en émotion, fière d'avoir été de la partie, rdv l'année
prochaine. »

La page Facebook de l'Ultra Boucle de la Sarra : https://www.facebook.com/ultraboucledelasarra/
Notre coup de cœur récit 2018
Le récit de Sophie Valantoine – 1er juin 2018

Ultravagante Sarabande 6 heures solo sur la Sarra
Je les entends. Ils hurlent tous dans l’escalier et j’accélère un peu pour participer au plus vite à la
fête. Sur la boucle précédente déjà, les bénévoles donnaient de la voix. Il est 22h 30, grand final en
approche. Je pousse sur les pavés, cette portion-là, juste avant la montée, est très légèrement
descendante. J’arrive à l’angle. Une rafale de hurlantes m’encourage et je m’engouffre. Les vivats
éclatent, ils sont alignés. Tous, ceux qui ont veillé, qui à chaque virage, à chaque difficulté, radieux de
sourire, éclatant de prévenance ont porté nos foulées, chacun à leur tour animant nos efforts, tous,
en ligne, comme à la parade bariolée de tapage à grand renforts de bravos et de raffut potache, nous
portent vers le haut et un ultime ahan.

                                                       J’avais répété un peu mes gammes. Le corps va
                                                       bien, la tête avance. Confiante dans mes projets,
                                                       je prends parfois des claques, j’avance de deux
                                                       pas et recule d’une foulée, mais j’avance enfin,
                                                       et comme en amour, j’ai le corps branché à la
                                                       tête et l’ensemble est gourmand. Je rêve de
                                                       hauteur, de vraie, de monts de hargne de
                                                       montagne de gagne, je rêve de verdure de roche
                                                       de verticalité. J’irai peut-être en août, mais
                                                       aujourd’hui je suis vissée, et ici, tu sais, dans ce
                                                       Lyon merveilleux, quand on ouvre bien les yeux,
                                                       on en trouve des sommets.

                                                       La Sarra. Il faut être Lyonnais. Objet d’histoires
                                                       en vrac, mystifiée ou banalisée, elle rebute
                                                       autant qu’elle attire, elle fait rire les grimpeurs,
                                                       les vrais, les grands traileurs, et puis quand on
                                                       arrive au pied de la grande côte et qu’on te lance
                                                       goguenard allez, mon gars, hisse, on fait
                                                       beaucoup moins le coq, et au coup de cul du
                                                       centre, là où le chemin qui trace et qui en plein
                                                       milieu fait une fourbe fissure, on se retrouve
                                                       pantelant et puis nettement moins sûr ! Et puis à
                                                       la descente on se dit l’inverse, roule, tête en
                                                       avant, ruée dans le penchant ! Ça passe, une
                                                       fois, deux fois, allez, je te l’accorde, ça va passer
trois fois, et puis sans le voir venir on y dépose un muscle, deux genoux et la hanche, et avec un peu
de chance, on n’y dépose rien, qu’un ongle de l’orteil droit.

Pour une première je suis très raisonnable. J’ai choisi le 6 heures. Et puis j’ai envie de courir. Cela me
semble jouable. Je ne suis pas athlète mais j’ai reçu des claques, et quelques belles leçons, et puis
parfois aussi, de jolies récompenses, alors je me connais, et j’annonce 22 boucles, je sais que je les
aurai, quitte à chauffer un peu, mais je sais aussi, et c’est une exigence, que je me laisserai porter,
sans contrainte et sans crainte. Je ne surveillerai ni le temps, ni ma place, je courrai et c’est tout,
profitant de l’ambiance qu’on dit survoltée exaltant les coureurs, solo ou en relais.
En empruntant pour la première fois de la journée la montée Nicolas de Lange, vers le parc des
hauteurs, je croise des coureurs du 24 heures. Il fait une chaleur écrasante mais les hauts murs font
de l’ombre. Je les encourage ces laborieux, et je leur dis combien ils méritent tout mon respect. Ils
ont traversé la nuit, le petit matin embrumé de fatigue et le soleil plombant du midi. Ils tournent,
tournent lourdement, et pourtant je les envie d’avoir tant de volonté et autant de force pour tenir si
longtemps. Il ne s’agit pas de puissance, ni même de vitesse, il faut s’enfermer, tenir, ne plus penser
et passer dans cette zone intrigante dans laquelle la tête anesthésiant le corps, récupère tout
contrôle. Je double une petite brune, cloitrée dans sa mécanique. Casque sur les oreilles, elle ne
présente aucun signe de fatigue. On dirait qu’elle tourne au ralenti et son visage impassible traduit
une facilité dans l’effort qui s’oppose crûment aux corps torturés d’autres compagnons de ce drôle
de manège. J’apprendrai rapidement que cette femme de mine-de-rien du haut de sa désarmante
simplicité, en une monstrueuse déflagration silencieuse, démonte tous les possibles et fait tomber
d’une magistrale danse, tous les records établis sur la boucle, hommes et femmes confondus.
La base vie de la course installée sur le haut de la piste, fourmille de coureurs et tous les bénévoles et
les organisateurs, reconnaissables à leur t-shirt jaune siglé s’affairent à leur poste ou hurlent de bon
cœur pour haranguer la foule et faire monter l’ambiance avant notre départ.

                                                       L’envol des 6 heures se fait depuis le bas. Nous
                                                       sommes nombreux sur la ligne, coureur solo ou
                                                       en relais, et le départ en descente serait trop
                                                       dangereux. Il faut de plus, et très rapidement
                                                       étirer le troupeau pour éviter les chutes dans les
                                                       épingles à cheveux.

                                                       J’appréhende un petit peu cette première
                                                       grimpée, mais je piaffe déjà au côté d’un ami et
                                                       nous plaisantons de bon cœur sur de loufoques
                                                       prévisions, à savoir qui de l’un ou de l’autre
                                                       montera le premier. Les familles sont là,
                                                       installées dans la pente, et tous les relayeurs qui
                                                       passeront après. La sonorisation fait grimper les
                                                       clairons et c’est à 17 heures que les chevaux sont
                                                       lâchés.

                                                       Je cours bien entendu, moi qui m’étais promise
                                                       de rester sage le temps de prendre mon rythme,
                                                       mais c’est qu’on est porté, et atteindre la
                                                       flamme, au milieu de la pente pour ensuite
                                                       basculer du côté du dévers, est un jeu qui me
                                                       plait.

                                                       6 heures. Le compte à rebours est lancé. Je
                                                       m’applique à caler un rythme de croisière. Je ne
veux pas marcher et dans les escaliers, comme à l’entrainement, respecter une cadence que je me
suis fixée. C’est que je ne change pas, je me satisfais de régularité, bien sûr, quand l’heure avance, la
hargne s’atrophie, mais à chaque passage, chaque difficulté, je calque une fréquence que je
m’applique à tenir, c’est ma ligne de vie, un fil d’Ariane, une sorte de tempo qui remplace une
musique et qui guide mes pas autant que mes pensées. Au fur et à mesure, l’exercice devient fluide
et les jambes et la tête avançant de concert, je n’ai plus qu’à profiter des sons, des images, et du
cœur de la fête. Ici sur cette boucle, ça foisonne de gens, ils sont tous dans un rôle, il y a les coureurs
ça oui, ceux qui enchainent depuis une nuit et bientôt la journée, ils prennent le temps, courent très
lentement, ou bien ils marchent et parfois ils trottinent et en les croisant toujours j’essaie de dire un
mot, un encouragement une blague, enfin une petite phrase pour qu’ils sachent que je passe, mais
que dans mon esprit, ce sont eux les vainqueurs.

Et il y a les relais, ils passent en trombe ceux-là, enfin, en tout cas les avions, ceux qui chassent le
trône ! Plus tard dans la soirée, j’en dépasserai certains et ma foi c’est un peu crâneur j’avoue, mais
j’en serai bien aise.

En fin d’après-midi je croise aussi Monsieur. Oui je l’appelle Monsieur, vous savez, le de Lange, celui
qui chaque jour appuyé sur ses cannes avec une volonté farouche parcourt la passerelle et puis de
l’escalier descend une volée de marches puis remonte et parfois recommence. Et aujourd’hui c’est
fête il a mis la chemise, elle est ciel comme mon jour et alors qu’il est ramassé sur ses pattes, je lui
lance tout sourire « de toute la journée, monsieur soyez-en sûr, c’est vous notre champion ! » et je
lui crie encore alors que je passe et il sourit et lance un petit signe d’entente.

Il y a les familles. Elles ont pris le siège étalé les nappages et tout le bardas de pique-nique. Les
minots sont costumés, et les adultes aussi parfois. Certains gamins dévalent la pente avec papa ou
dans les escaliers, en saut de jeune cabri ils sont là dans nos jambes à rire et à taper des mains give
me five et encourage, il est tard et c’est fête, et puis c’est tout illuminé, comme un Noël en pleine
chaleur.

Et puis il a vous merveilleux bénévoles. Je suis émue souvent de tout ce qu’ils donnent. Chaque
course en a son lot mais ici, est-ce la boucle, à les revoir toujours, comme un disque rayé, où toutes
les quinze minutes la piste recommence. Je ne sais pas quel artiste, quel génial symphoniste j’ai pu
mettre sur écoute, mais mon électrophone tourne en boucle un Gloria et jamais je me lasse. Chaque
virage, chaque bosse et chaque étape est un émerveillement. Ils sont là on plaisante, et je n’ai jamais
été si pleine d’effort et d’enchantement en même temps.

A chaque tour je m’arrête. Il y a une table, pour nous spécialement. Les 6 heures, ceux qui n’ont pas
le temps. Il y a un banc et jamais je ne l’envisage. J’arrive méthodiquement. La dame du comptoir me
dit « dossard 49, mon année de naissance » et je lui réponds « oh chic, cela va me porter chance ! ».
J’enfile un verre. D’eau de Coca ou de n’importe quoi. Et direction bassine, où je ne mollis pas. Je
m’arrose amplement, qu’importe la transparence, de mon maillot tout blanc, je suis comme un
blennie, je respire par la peau.

L’entrée sous les ola du village départ est un coup d’aiguillon chaque fois renouvelé. On foule le tapis
rouge il mène jusqu’à la pente et tous, bénévoles, famille et puis les relayeurs, ils sont là à hurler,
glorifiant de concert avec les haut-parleurs, en un souffle ou bien deux, avant de replonger on se sent
ravivé, cible de toute gloire. Je le sais bien ça hurle, sur l’avant sur l’après, mais en passant, chaque
fois, c’est comme si jamais je n’avais commencé et que c’était tout neuf, je suis une torpille et ça
dure quoi, un rien, une fraction de seconde mais j’oublie ce que j’ai fait et je recommence la boucle
d'après, vierge de tout effort.

Il faut plonger d’abord. Si les premières fois la ruée est ludique, elle devient mordante et parfois
même sadique. J’ai vu des 24 heures la descendre à l’envers, comme des Benjamin accrochés aux
aiguilles et qui tentent vaillamment de grappiller du temps sur la déconfiture du corps et de l’esprit.
Je tente des sauts de cabri et si les jambes vont bien, mes orteils crient traitrise à chaque bond que
j’hasarde et aujourd’hui encore, sous une couche de verni je camoufle un ongle un peu traumatisé.
En arrivant au bas c’est une délivrance, on sait qu’il y a, quoi, 600 mètres de relance. Enfin, c’est ce
que l’on pense. Première épingle à cheveux. Il y a toujours du monde, et puis c’est un bout de route
avec cette petite bosse. Elle est toute petite, mais elle est assez raide, je l’attaque toujours sur la
pointe des pieds et calée dans mon rythme jamais je ne la marche, appliquant la consigne, taguée sur
le muret « un bras levé en vaut dix croisés ». Mon bras levé à moi c’est de ne pas marcher. Ensuite
c’est le pavé, deux ou trois fois je cogne et je manque tomber, mais toujours je rattrape ce n’est pas
le moment, et j’ai déjà donné sur une ancienne course, de finir écorchée !

Ça gueule un peu plus loin, c’est l’entrée de de Lange, le fameux escalier aux 560 marches. Clin-d’ œil
bleu à l’entrée à gauche sur la façade et à chaque passage, les pisteurs m’encouragent. Sur la
dernière boucle ils me lancent goguenards « on veut te voir encore » et je réponds « j’espère ! » Je
pensais avoir le temps de deux boucles encore mais la barrière horaire rattrape mes ardeurs.

Pendant dix boucles je suis encore verte, et je monte l’échelle sur la pointe des pieds martelant la
cadence et sans trop m’essouffler. J’opterai par la suite pour une marche rapide, deux mains sur les
côtés balançant les épaules, droite gauche droite gauche, comme un balancier, et cette nouvelle
méthode me permet de grimper, sans perdre le tempo tout en reposant les jambes et aussi le cardio.
Sur tout le temps de la course je n’arriverai jamais à savoir où j’en suis, combien de fois je monte. Le
secret de la boucle c’est de savoir fermer celle qu’on vient de passer pour aborder la nouvelle. Je
retiens chaque passage, comme un acte isolé et je n’ai pas souvenir d’avoir une fois flanché. La
première ascension différant des suivantes passant comme une fleur et puis les toutes dernières,
lorsque la nuit tombée, les loupiotes éclairent en ligne, sur les côtés, cette grimpe de misère, cette
file de miséreux, condamnés à la gloire, aux flammes et aux lauriers dont on nous pare la tête à coup
de grands éclats, de vivat de fou-rire de blagues et de lumière.

Là-haut sur l’esplanade ça fait déjà la fête. De nombreux relayeurs ont terminé leur danse et
aiguillonnent de hurlantes les copains de fortune. Les trois derniers passages se font sous
stroboscopes et sur la piste ça dessine des rayons, des blancs des rouges des verts tandis que les
enceintes crachent « we are the champions ».
Lorsque j’arrive enfin je n’ai aucune idée, de comment, de combien. Je suis juste heureuse et en me
rajoutant au côté je triomphe et acclame ceux qui arrivent encore et je n’en vois pas un qui se
montre renfrogné, ils sont tous hilares, transpirant de bonheur, quel que soit leur fait d’arme et quel
que soit leur place.

Alors je prends une bière, je salue les copains, et puis merci merci, Emilie, et puis Arthur, et Bernard
aussi, Nicolas, Stéphane, et j’en oublie, c’est sûr !

J’acclame le podium, celui du 24 heures. Et cette Claire, cataclysmique championne, si humble sur
cette marche aux innombrables cycles.

J’ai la surprise alors, d’être appelée à mon tour, pour une seconde place sur l’épreuve des 6 heures.
Forcement je jubile. J’ai fait mes 23 tours et ce qui me satisfait, avant même la distance, c’est de les
avoir couru, sans jamais me lasser, de rester heure par heure, avant tout à la fête, de ne jamais
douter, de ne jamais trainer. J’ai toujours profité, minute après seconde, riant de chaque blague,
chaque sourire échangé, abordant comme une farce la chaleur, les pavés, le tangage indigeste de la
grande passerelle et puis les marches chacune, comme si chaque obstacle enfilé comme des perles
me faisait en ce jour un collier merveilleux moi qui suis parfois nouille pour la fête des mères.

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EDITION 2019 : NOUVELLE EPREUVE !
Lyon Ultra Run organisera la septième édition de l'Ultra Boucle de la Sarra du vendredi 17 mai 2019
au samedi 18 mai 2019, au départ de la piste de la Sarra. Epreuve novatrice et atypique au caractère
festif, le concept « Ultra Boucle » a trouvé sa place dans le cœur des sportifs. Ambiance de folie,
convivialité, valorisation de l’esprit d’équipe et du sport en général, autant d’éléments que nous nous
efforçons de développer d’année en année et qui font le succès de l’épreuve.

La grande nouveauté de l’édition 2019, sera la création d’une épreuve 12 heures solo. Ce format,
réclamé par les coureurs, permettra de faire la liaison entre une épreuve 6 heures accessibles au plus
grand nombre et une épreuve 24 heures plus élitiste.

Les épreuves 6 heures (solo, relais 2 et relais 3) et l’épreuve 24 heures solo sont bien entendu
reconduites. Baptisée « Golden Talc », l’épreuve 24 heures est inscrite au calendrier de l’I-Tra
(International Trail Running Association) et a été validée comme course qualificative pour l’UTMB
2019 (Ultra-Trail du Mont Blanc). Une épreuve hors norme qui après le VTT et le trail urbain conforte
toujours plus Lyon dans son rôle de ville sportive précurseur.

Les coureurs les plus performants réaliseront plus de 70 boucles sur le format 24 heures (record de
l’épreuve à 89 tours), soit une distance de 144 km, 6300 m de dénivelé positif et 39410 marches
d’escalier. Des chiffres impressionnants qui rappellent les caractéristiques des grandes épreuves
estivales en montagne. Cette épreuve urbaine reste néanmoins accessible et offre aux coureurs une
porte d’entrée dans le monde de l’ultra endurance.

L’Ultra Boucle de la Sarra n’est pas vouée à devenir une épreuve de masse mais son caractère
atypique est un atout pour accroitre sa notoriété et par la même sa visibilité au-delà des régions
Auvergne-Rhône-Alpes et Ile-de-France. Le format 24 heures (Golden Talc), format emblématique de
la course nous permet de développer notre présence au niveau national.
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