BASKET BALL : NBA Paris Game frères
←
→
Transcription du contenu de la page
Si votre navigateur ne rend pas la page correctement, lisez s'il vous plaît le contenu de la page ci-dessous
BASKET BALL : NBA Paris Game 2020 – Les frères Antetokounmpo ont hâte La NBA (National Basketball Association), et beIN SPORTS, diffuseur officiel de la NBA en France, ont officialisé l’organisation de préventes pour le NBA Paris Game, vendredi 24 janvier 2020 à l’AccorHotels Arena (Paris) et lors duquel s’affronteront les Charlotte Hornets et les Milwaukee Bucks pour le premier match NBA de saison régulière jamais disputé en France. LE NBA PARIS GAME 2020 PRÉSENTÉ PAR beIN SPORTS. Les deux joueurs grecs des Milwaukee Bucks, Giannis et Thanasis Antetokounmpo, ont bien voulu répondre à nos questions concernant le match à Paris, mais aussi la saison
qui arrive pour leur équipe. Q : En ce qui concerne le calendrier, vous avez évidemment une date assez intéressante avec le match NBA à Paris. Que pensez- vous de ce match, et est-ce que vous pensez que c’est important de faire grandir la NBA à l’international ? Thanasis Antetokounmpo: «C’est incroyable pour le sport. Nous sommes européens, alors nous comprenons à quel point c’est énorme d’avoir un match dans un endroit comme Paris. Ce sera très excitant pour les fans du monde entier de venir y assister. Je sais que des gens viennent de toute l’Europe, de l’Afrique, pour venir voir le match à Paris, c’est donc une chose excitante. C’est incroyable». Giannis Antetokounmpo: «Ça va être amusant. Nous avons eu la chance d’aller à Londres il y a quelques années. C’était vraiment très amusant de jouer ce match. Comme Thanasis l’a dit, les fans du monde entier vont venir voir le match, en particulier ceux d’Europe. Nous espérons donc pouvoir représenter la NBA du mieux possible et leur donner un spectacle à regarder». Q : Quand je vous vois tous les deux ensembles, je pense toujours aux chaussures parce qu’à ses débuts, Thanasis, Giannis vous empruntait une de vos paires de chaussures pour aller jouer au basketball. Et aujourd’hui, vous êtes assis ici ensemble et Giannis enregistre la meilleure vente effectuée pour une première paire de chaussure, dans l’histoire de Nike. Giannis, à quelle fréquence pensez-vous au parcours que vous avez effectué ensemble et qui vous réunit ici aujourd’hui ? Giannis Antetokounmpo: «Fort probablement tous les jours. Je pense que nous réalisons tous les deux à quel point nous sommes bénis. Et nous ne pouvons pas oublier ce qui nous a permis d’arriver à cette position, c’est-à-dire le travail acharné, et c’est ce que nous continuerons de faire, à nous dépasser au quotidien, croire en nous-même et continuer de
croire qu’une chose pareille peut arriver. C’est extraordinaire le chemin parcouru depuis nos débuts jusqu’à maintenant. Cela a été un rêve fantastique, un voyage incroyable, et nous continuerons à travailler dur et à aller plus loin encore». Q : Thanasis, quel est votre opinion sur votre association avec votre frère ? Thanasis Antetokounmpo: «C’est quelque chose qui me rend vraiment enthousiaste. En général. Ce n’est pas seulement le fait d’être avec mon frère, mais avec ma famille à Milwaukee à plein temps. Juste pour rendre ma famille et moi-même fièrs, je continue de travailler dur». Q : Giannis, je veux que vous nous disiez ce que vous pensez à l’idée d’être avec votre frère dans l’équipe. Vous aves été avec votre frère dans d’autres équipes, mais maintenant, la NBA ce doit être légèrement différent. Giannis Antetokounmpo: «Thanasis est un joueur qui va être prêt. J’ai beaucoup parlé de Thanasis avec le coach – ce mec qui est assis à ma gauche, je lui fais confiance. Si vous lui dites de passer à travers un mur, il passera à travers un mur, et il se relèvera et dira : «Quel autre mur souhaitez-vous que je traverse» ? Je sais qu’il sera prêt, je sais qu’il va apporter défensivement. Evidemment offensivement, il doit s’améliorer et connaître notre plan de jeu et le déroulement de nos attaques. Il sera capable de mettre des tirs, et il va s’améliorer. Il va suivre le même régime vitaminé que nous faisons tous et il sera sous les ordres d’un grand entraineur, Mike Budenholzer, qui va apprendre à l’utiliser et il l’utilisera de la bonne manière avec cette équipe, défensivement et offensivement». Q : L’année dernière a vraiment était une année phénoménale pour vous, mais du coup cette année vous vous positionnez dans un nouveau rôle: de celui qui créé la surprise, à celui qui
est aujourd’hui le chassé. Quelles sont vos attentes vis à vis de l’année qui arrive et de ce nouveau role ? Giannis Antetokounmpo: «Au final, je fais ce que je dois faire. On ne peut pas commencer à penser à ce que les autres équipes vont mettre en place pour nous surpasser, et au fait que d’autres équipes vont tenter de venir nous mettre en difficulté dans notre jeu ici même à Milwaukee. Ça va surement arriver. Mais nous devons rester concentré sur nous, notre jeu qui s’améliore de jour en jour, et se mettre en condition de compétition à l’entrainement pour que cela serve pendant les matchs. Il faut construire cette culture de la gagne et mettre en place les bonnes habitudes que nous avions déjà mis en place l’année dernière, et si nous faisons cela, nous ferons partie des dernières équipes à rester debout. C’est notre objectif – devenir meilleur chaque jour et progresser». Q : Coach Budenholzer nous expliquait que vous aviez essayé d’améliorer vos compétences en termes de leadership cet été. En quoi cela consiste en termes de méthodologie, et comment ça se passe finalement pour vous ? Giannis Antetokounmpo: «Il faut être plus vocal. Montrer l’exemple. Accepter les critiques faites par votre coach, par vos coéquipiers, et être ok avec ce processus. C’est ce que fait un vrai leader. Mon équipe me connait, ils me font confiance. Je donnerais tout ce que j’ai, mon corps et le reste, pour cette équipe. Et en faisant cela, tout se passera comme prévu. En vieillissant, tu deviens plus vocal – c’est plus facile de parler à ses coéquipiers, de parler à son coach, et de leur dire ce que tu penses, ta vision du jeu, ce que tu penses qui doit être fait. Je pense avoir été capable d’évoluer à ce sujet chaque année de ma carrière. Et je pense que je continuerais à évoluer, tout d’abord par ce que je pense qu’en allant en Finals de Conférence Est, en gagnant 60 matchs, en jouant pour un grand coach, Mike Budenholzer, tu gagnes énormément en expérience, et j’espère pouvoir utiliser cette expérience et en faire profiter mon équipe».
Q : Que pensez-vous de l’équipe qui vous entoure? De toute évidence, ils ont gardé le plus grand nombre de gars possible, avec quelques ajouts, des options et ce qu’il faut pour que vous soyez les derniers debout selon vous ? Giannis Antetokounmpo: «C’est génial que toute l’équipe soit restée la même. Nous avons d’excellents éléments dans cette équipe qui la rendent bien meilleure que l’année dernière. Mon unique préoccupation est le début du training camp demain et ce n’est que le premier jour. Nous devons être meilleur, nous devons être compétitif. Vous allez m’entendre dire cela toute l’année et vous me l’avez entendu dire pendant les six dernières années : l’important c’est de faire mieux chaque jour et de le faire jour après jour. Evidemment, nous avons le talent pour jouer au mois de juin, mais si nous ne nous concentrons pas sur ce que nous faisons maintenant, nous allons nous perdre, et nous n’y arriverons pas. Je suis content de la composition de notre équipe. Je suis content de jouer à côté de gars qui le font à fond, sont compétitifs, s’amusent, et s’apprécient ; et je sais que nous avons une opportunité ici. Donc nous allons essayer de devenir meilleur chaque jour, et avec un peu de chance nous serons l’équipe qui joue en juin».
OMNISPORTS : SPARTAN RACE, 5000 athlètes, plus de 24h de sport Ce samedi 5 octobre, la Spartan Race a mis à l’épreuve plus de 5 000 athlètes à l’occasion de sa 7ème édition sur le Circuit Paul Ricard au Castellet. Les plus téméraires des Spartans ont pu se mesurer à la Hurricane Heat de 12h durant la nuit du vendredi au samedi, mais aussi aux différents formats de courses, BEAST (21km, 30 obstacles) et SUPER (13km, 25 obstacles) dans la journée et terminer sur la SPRINT (6km, 20 obstacles) ce soir. En « guest-star » sur place, l’ancien international de l’équipe de France de rugby, Remy Martin a revêtu sa tenue de sport pour s’élancer sur la BEAST !
Retrouvez ci-dessous, les images et résultats des vainqueurs qui ont tout tenté afin de se qualifier pour les championnats du monde TRIFECTA qui se tiendront à Sparte du 1 au 3 novembre. Parmi les vainqueurs, on retrouve les habitués des podiums comme Thibault JEAN, Jérémie GACHET ou Jezabel KEMER mais aussi de nouvelles têtes comme Manu SASSI, Sandy ROBATEL et Hortense REBERAT. Ces challengers sauront, à coup sûr, jouer des coudes pour les France Nationale Series en 2020 ! SPARTAN RACE BEAST – ELITE MEN 1er : Thibault JEAN 2ème : Jérémie GACHET 3ème : Manu SASSI SPARTAN RACE BEAST – ELITE WOMEN er 1 : Jezabel KREMER ème 2 : Sandy ROBATEL ème 3 : Hortense REBERAT RALLYE : Afriquia SMDC, Maroc Telecom et OCP apportent leur soutien au Rallye du Maroc Cap sur le sud de l’Atlas dans le désert et les dunes de la région d’Errachidia où se déroule du 3 au 9 octobre prochain,
le Rallye du Maroc, ultime étape de la Coupe du Monde de Rallye Cross-Country Auto et du Championnat du Monde de Rallye Cross-Country Moto. En plus d’accueillir un grand nombre de professionnels, le Rallye du Maroc inclut également une catégorie Amateur où les adeptes de ce sport de haut niveau, venus de tous les horizons, peuvent découvrir le pays en se mettant au défi de la nature. Cet évènement bénéficie du Haut patronage de Sa Majesté le Roi Mohammed VI et s’appuie désormais sur le parrainage conjoint d’Afriquia SMDC, filiale d’AKWA Group, du Groupe Maroc Telecom et du Groupe OCP. Outre la volonté de faire émerger des talents marocains et africains dans la discipline du rallye raid et de leur permettre à terme, d’accéder aux compétitions mondiales, le partenariat noué avec les 3 entreprises marocaines ambitionne de faire rayonner le Maroc à l’échelle internationale pour avoir un réel impact économique et social, notamment sur les régions traversées. Avec le soutien de ces 3 grandes entreprises, le Rallye du Maroc promet de faire découvrir au monde ce pays fabuleux et de contribuer à son dynamisme économique et social en s’engageant à consommer la majorité de son budget au Maroc et à soutenir les populations des régions qui accueillent l’évènement par des actions sociales ciblées : constructions de puits, maisons sociales pour les femmes, matériel contre le feu, animations dans les villes étapes,… Le Rallye du Maroc s’est aussi la promesse d’un rallye propre qui œuvre dans le respect et la protection de l’environnement : en réduisant au minimum l’empreinte carbone de la compétition mécanique avec pour objectif d’obtenir la certification ISO 14001. Pour l’édition 2019, il a déjà été acté la replantation de 2000 palmiers suite aux incendies qui ont détruit une partie de la palmeraie de oufous.
À propos de : ODC : ODC, la société organisatrice, est gérée par David Castera qui organise pour la seconde année le Rallye. David Castera est un ancien pilote de moto et co-pilote voiture. Il a une forte expérience de l’organisation grâce à ses 10 années passées chez ASO comme directeur sportif du Dakar. Afriquia SMDC : Depuis 60 ans, Afriquia SMDC occupe une place de marque sur le marché des hydrocarbures marocains et contribue, depuis sa création, à élever les critères de qualité de ses produits et de sécurité de ses infrastructures. Avec plus de 530 stations- service dans toutes les régions du Royaume et plus de 39% de parts de marché dans le secteur (source : Groupement des Pétroliers du Maroc, année 2013), Afriquia SMDC est le premier distributeur national de carburant. Avec une capacité de stockage de 980 000 m3, elle possède le plus grand stock de sécurité du Royaume du Maroc et se distingue par une flexibilité et une réactivité à toute épreuve. Maroc Telecom : Opérateur télécom de référence et leader dans plusieurs pays, le Groupe Maroc Telecom accompagne près de 63 millions de clients Mobile, Fixe et Internet à travers les 11 pays de présence du Groupe sur le continent africain. Outre ses actions pour assurer une large couverture des nouvelles technologies de l’information qui sont bénéfiques aux populations et indispensables à leur épanouissement, le Groupe s’engage dans de très nombreuses initiatives et partenariats socio-culturels et sportifs qui s’inscrivent pleinement dans sa démarche de développement durable, tout en s’attachant à la valorisation du patrimoine historique et culturel des pays où il opère. Privatisé en 2001, Maroc Telecom est côté simultanément en Casablanca et à Paris depuis Décembre 2004.
Ses actionnaires de références sont le Groupe Etisalat et le Royaume du Maroc. Groupe OCP : OCP joue un rôle majeur dans l’alimentation d’une population mondiale croissante, en proposant des éléments essentiels pour la fertilité des sols et la croissance des plantes. Avec quasiment un siècle d’expérience à son actif et un chiffre d’affaires atteignant les 5.95 milliards de dollars en 2018, le Groupe OCP est un leader mondial sur le marché des engrais phosphatés. OCP soutient les initiatives sportives qui contribuent à l’épanouissement de la jeunesse et qui véhiculent les valeurs prônées par le Groupe : dépassement de soi, travail en équipe, courage, performance et discipline. Pour plus d’information, veuillez-vous rendre sur le site officiel du groupe OCP : www.ocpgroup.ma
CYCLISME : Paris Tour 2019, option costauds La 113ème édition de Paris-Tours, dont le départ sera donné de Chartres dimanche 13 octobre prochain, attire les chasseurs de classiques et les plus résistants des spécialistes du sprint, qui auront tous une chance au bout des 217 kilomètres du parcours 2019. En plus du tenant du titre Søren Kragh Andersen, des prétendants comme Niki Terpstra, Oliver Naesen ou Nils Politt pourraient jouer sur le même registre, tandis que les sprinteurs Mark Cavendish, Arnaud Démare, Christophe Laporte ou Bryan Coquard tenteront de faire parler leur pointe de vitesse s’ils sont encore présents dans les débats sur la ligne droite finale. Les options sont multiples sur Paris-Tours. Et les chemins de vigne qui ont été introduits sur la parcours, dans une proportion légèrement moindre cette année (10,7 km vs 12,5 km en 2018) donnent un caractère un peu plus « tanique », dirait un œnologue, à la sélection que l’on peut envisager sur la course. Les chances de voir un sprint massif sur l’avenue de Grammont se réduisent, mais l’hypothèse d’une explication groupée entre quelques super-costauds cohabite parfaitement avec la possibilité d’un coup gagnant en solitaire comme l’avait porté Søren Kragh Andersen pour inaugurer cette nouvelle formule. Le jeune Danois se présentera donc avec le dossard 1 pour défendre son titre, mais la formation Sunweb table également sur son sprinteur allemand Max Walscheid. De même, son dauphin de l’année dernière, Niki Terpstra, est aligné par l’équipe Total-Direct Energie en compagnie d’Anthony Turgis, récent vainqueur de Paris-Chauny. Un calcul du même tonneau a été effectué du côté de Groupama-FDJ, qui
compte à la fois sur Arnaud Démare (2e en 2016) et sur son médaillé de bronze des Mondiaux du Yorkshire, Stefan Küng ; tout comme Lotto-Soudal, représentée à la fois par le vainqueur 2014 Jelle Wallays et par Adam Blythe ; ou Cofidis avec un duo similaire composé de Christophe Laporte et de Julien Simon. Plusieurs autres prétendants pourraient tirer parti de cette configuration, comme Bryan Coquard qui fera son retour sur l’épreuve après sa 5e place en 2016, l’ancien vainqueur Marco Marcato (2012), le deuxième de Paris-Roubaix Nils Politt ou le Belge Oliver Naesen, en jambes comme son coéquipier Tony Gallopin sur les championnats du monde. Les principaux engagés (au 03/10) : Afrique du Sud Team Dimension Data : Cavendish (Gbr), Bak (Dan), Janse Van Rensburg (Afs) Allemagne Team Sunweb : Kragh Andersen (Dan), Walscheid (All) Belgique Lotto-Soudal : Wallays, Keukeleire (Bel), Blythe (Gbr) Wanty-Gobert Cycling Team : Vanspeybrouck (Bel), Dupont (Fra) Sport Vlaanderen-Baloise : Warlop, Capiot (Bel) Wallonie Bruxelles : Planckaert, Ista (Bel) Danemark Riwal Readynez Cycling Team : Eriksson (Sue), Quaade (Dan) Emirats Arabes Unis UAE Team Emirates : Marcato (Ita), Bystrom (Nor)
Espagne Euskadi Basque Country-Murias : Iturria, Barcelo (Esp) Etats-Unis Rally UHC Cycling : Carpenter, Joyce (Usa) France AG2R La Mondiale : Gallopin (Fra), Naesen (Bel), Dillier (Sui) Groupama-FDJ : Küng (Sui), Démare, Sarreau (Fra), Guarnieri (Ita) Cofidis, Solutions Crédits : Laporte, Simon (Fra) Total-Direct Energie : Terpstra (Hol), Gaudin, Turgis (Fra) Team Arkea-Samsic : B.Feillu (Fra) Vital Concept Cycling Club : Coquard (Fra), Boeckmans (Bel) Delko Marseille Provence : Navardauskas, Siskevicius (Lit) St Michel-Auber 93 : R.Feillu (Fra), Jakin (Ezst) Natura4ever-Roubaix Lille Métropole : Antomarchi, Vermeulen (Fra) Israël Israel Cycling Academy : Van Asbroeck (Bel), Dunne (Irl) Pays-Bas Roompot-Charles : Van Poppel, Asselman, Lammertink (Hol) Russie Gazprom-RusVelo : Porsev (Rus) Suisse
Team Katusha Alpecin: Politt (All), Dowsett (Gbr)
Vous pouvez aussi lire