LES RESTES - La Compagnie Fil en Bulle
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LES RESTES ou l’extravagante histoire de la famille Morue écrit et mis en scène par Isabelle Sempéré Drame burlesque pour cinq comédiens sur fond de parricide Tout public à partir de 10 ans Compagnie Fil en Bulle 8 rue de Rennes, BP5 35746 Vezin-le-coquet cedex contact@filenbulle.org / www.filenbulle.org / Licence N°2-1081506
Texte remarqué par le comité de lecture du Théâtre du Rond-Point Texte retenu par le comité de lecture Éclats de Scènes échos du texte en page 8 DISTRIBUTION L’ÉQUIPE DE CRÉATION Eric Lichou Isabelle Sempéré / Mise en scène et écriture Hervé Mahieux Clémentine Pinault / Assistanat mise en Laurent Quéré scène Isabelle Sempéré Philippe Cottais / Scénographie Erika Vandelet Anna Sauvage / Création lumière Anaïs Blais / Administration et production GE Gesticulteurs L’HISTOIRE À travers une mise en scène décalée axée sur l’univers de l’enfance (dînette, cadavre en pâte à modeler multicolore, scène aux allures de manège), « Les Restes » est un drame burlesque à cinq personnages qui traite de sujets graves tels que le meurtre, les drames de l’enfance, le carcan familial ou encore le deuil d’un être cher, à travers des situations surréalistes mais ô combien vraisemblables dans le ressenti de ses personnages. Un parricide « accidentel » vient y questionner les rouages d’une famille de boucher complètement loufoque : Les Morues. La veille, la mère à découpé le père en dix-sept morceaux par inadvertance et la fratrie composée de deux frères et d’une sœur, vient à la rescousse car chez les Morues, on est solidaire coûte que coûte. Ensemble, ils décident de hacher le père et de le jeter dans la benne à restes au petit matin sans alerter le voisinage. C’était sans compter l’arrivée de René le dératiseur qui bouleversera tous leurs plans. Entre folie et désespoir, ces protagonistes nous emmènent dans la fable déchirante de ceux qui restent. « Aubépine … À présent, il faut faire avec les restes, et les restes, c'est nous ! »
LA MISE EN SCÈNE «... au commencement était le hachage.» « Comment aborder la gravité de ce qui se joue dans « Les Restes » sans se perdre dans un réalisme sordide ? J'ai fait le choix du décalage, tant d'un point de vue du jeu que de l’espace et de l’atmosphère sonore. Ainsi la mise en scène et la scénographie se dessinent-elles dans ce sens autour de plusieurs axes : Le cercle familial dans lequel tous se retrouvent enfermés malgré eux, leur enfance, le statut social de chacun qui ne leur sied pas et le choc renversant du deuil. Le cercle familial Il est représenté par le décor en tiers de cercle dans lequel les personnages évoluent tout au long de la pièce. Ils n'en sortent jamais et sont toujours à vue, symbole de ce carcan familial auquel tous sont soumis. René lui-même, le dératiseur, une fois entré y reste. Dans ce huis clos de l’arrière-boutique de la boucherie, seul le poste radiophonique se situe en dehors, comme un rappel de l’urgence et du monde extérieur. Les entrées et les sorties possibles nombreuses permettent d’accentuer le rythme de la pièce. Ce cercle est découpé de telle manière que par un jeu d'ombres, de lumières et de transparence, nous pouvons suivre à tout moment les déplacements de chacun, et créer des échos de ce qui se joue à l’avant-scène à l’arrière plan (voir maquette). L'enfance Le lieu de l’action étant l'endroit où a grandi la fratrie Morue, où gisent leurs souvenirs, il a l'allure d’une maison de poupée. Le cadavre est en pâte à modeler, le sang est en peinture multicolore, et les objets de la boucherie dont le grand hachoir manuel sont en dînette. De plus, la taille des meubles, des murs est disproportionnée. Une manière de questionner la frontière entre le réel et la perception des personnages. Le choc du deuil L'urgence de la situation engendre un rythme dense. L’action est ponctuée de chorégraphies, d'instants musicaux (percussions, univers sonore de la cuisine et de la boucherie, chants incompréhensibles) et d’interventions du poste radiophonique comme des respirations dans la narration.
Le statut social Aucun des personnages n'est à sa place. Marie-Belle aurait voulu être une aristocrate, Aubépine cherche à être à travers une communauté, peu importe le fond, Romain suit le mouvement, Victor aurait souhaité faire autre chose de sa vie mais a pris la relève dans la boucherie par allégeance, et René est un génie dans son domaine qui n'est pas reconnu à sa juste valeur. Cet état de fait est notamment mis en exergue par les costumes. Le jeu Les comédiens doivent trouver cette simplicité et cette véracité puissante du jeu de l'enfant qui dit : « Maintenant, on joue au voleur, et moi je suis le voleur ! » et qui n'a aucune limite dans son interprétation. Je souhaite une mise en scène alternant entre instants millimétrés tel un orchestre symphonique, pour les scènes 18, 19 et 20, par exemple et improvisations comme dans la scène du « pile ou face ». C'est pour cette raison que j'ai choisi des comédiens et des techniciens ayant l'habitude de la pluridisciplinarité et des spectacles nécessitant une grande endurance et une véritable capacité d'improvisation. » Isabelle Sempéré Maquette scénographie (Philippe Cottais) :
« Dans la famille... Je voudrais... » Jean Morue, ou le cadavre Dans la famille Morue, le père. Multiple comme ces dix-sept morceaux de lui fraîchement découpés, il est beau, fort, violent, tyrannique, inventif, généreux, romantique, ravagé, alcoolique, lâche, injuste, désarmant, sombre, fou, sublime et mort. Marie-Belle Morue, ou la dame du monde Dans la famille Morue, la mère. D'une grande beauté malgré son âge, très expansive, elle rêvait d'appartenir à la haute société et a vécu son mariage avec Jean, le boucher du village, comme un échec. Elle l'a rapidement délaissé pour d'autres princes charmants, erreur qu'il ne lui a jamais pardonnée. Elle apprécie ses enfants bien qu'elle se soit souvent demandé s'ils étaient bien les siens. Elle porte jour et nuit des tenues somptueuses. Elle est allergique à la vulgarité et aux asperges. Victor Morue, ou le boucher élégant Dans la famille Morue, l'aîné. Il a d'abord épaulé son père dans la boucherie puis a repris l'affaire parce qu'il fallait bien que quelqu'un le fasse. Il est celui qui prend les décisions et qui agit. Précis et expéditif, souvent sujet à des accès de violence, il est resté en dépit de ce qu'il a subi. Il a hérité des traits de son père et tient à son élégance sous sa blouse de boucher. Autodidacte, il est très cultivé mais ne le montre pas, respectant l'accord tacite familial qui l'a érigé au rang d'abruti. Sa vulgarité est un choix et il n'a rien contre les asperges.
Romain Morue, ou l'aviateur Dans la famille Morue, le cadet. Ses costumes trop petits lui confèrent une démarche sautillante et légère. Hermétique à ses propres émotions, il est fasciné par celles d'autrui. Il est toujours d'accord avec son interlocuteur au cas où. En cas de crise, il plane instinctivement. Son attention se fixe soudain sur une miette de pain, un rideau, une mouche, et son corps le pousse malgré lui hors de l'espace conflictuel. Il fut photographe de guerre quelques temps mais inquiété par son incapacité à ressentir quoique ce soit, il a préféré se reconvertir dans la photographie animalière. Son rapport aux asperges reste ambigu. Aubépine Morue, ou l'hippie-punk Dans la famille Morue, la benjamine. Aubépine est une punk repentie. Après deux années au Pérou où elle a suivi une initiation aux rites chamaniques, elle a enfin trouvé la paix et sa grossesse ne fait qu'améliorer le processus. Elle entre dans son neuvième mois. Son être entier se veut messager de l'Amour absolu. Elle a appris chaque rituel d'élévation par cœur, afin de transmettre à tous le lâcher-prise et le bien- être. Parce que le bien-être, c'est comme les asperges, c'est obligatoire! René Coing, ou le génie du rat mort Dans la famille Coing, le fils unique. Les Coing sont dératiseurs de père en fils depuis cinq générations. René est un génie méconnu du grand public, à tort. Véritable créateur, il est un des pionniers de la dératisation au gaz. Sa mission : l'éradication de ces parasites poilus. La tâche est ardue étant donné l'intelligence sournoise de l'ennemi. Elle nécessite stratégie, patience et produits de qualité : il a tout. Épris de Marie-Belle depuis sa plus tendre enfance, il sait manger une douzaine d'asperges sans dire un seul gros mot.
L’ÉQUIPE Isabelle Sempéré - Mise en scène - Aubépine Comédienne, auteure, metteure en scène, elle signe sa première mise en scène en 2006 sur le spectacle de rue Fil en Bulle dont elle est l’auteure. Depuis plusieurs années elle travaille en tant qu’interprète au théâtre ( Cinq filles couleur pêche de Marie-Laure Malric), au cinéma (Zones de Jean-Baptiste Bonnet, Rouge Sang de Xavier Durringer), en doublage et en musique (Bastoon et Babouschka). Elle aborde à nouveau la mise en scène et la dramaturgie en 2016 aux côtés d’Erika Vandelet et de Sonia Larue dans Les confidentes mêlant des interviews de femmes d’aujourd’hui au Journal d’une femme de chambre de Mirbeau. On la retrouve à l’adaptation mise en scène d’O rage de et par Céline Malestroit et de Gaëtan Deschamps, fable poético-théâtrale en 2018. Actuellement, elle est à la mise en scène d’ Hamlet Crazy Road de et par Sébastien Coppolino de la compagnie Les Barbus. Clémentine Pinault - Assistanat mise en scène Diplômée d’état, Clémentine est metteure en scène et art- thérapeute et travaille notamment auprès d’adolescents et d’adultes à Théâtre en Rance. Elle monte huit spectacles par an depuis 12 ans. Parallèlement, elle cofonde en 2010 l’association Ageng, spécialisée dans la musique indonésienne. Directrice de la compagnie Rosa Parks, elle enseigne notamment auprès de public en situation de handicap. Elle accompagne Ilé un jeune garçon autiste dans sa création artistique qui donnera naissance à un documentaire de Jean-François Castell : Ilé fait son cinéma. Forte de son regard tant musical, théâtral que scénographique, elle assurera l’assistanat mise en scène des Restes. Erika Vandelet – Marie-Belle Passionnée par le théâtre, Erika suit d’abord une formation au Conservatoire de Nice avec Muriel Chanet. Elle continue sa formation à Paris, avec les cours de Daniel Mesguich puis entre à l’école du Théâtre National de Chaillot avec Antoine Vitez et Madeleine Marion. Arrivée en Bretagne en 1988, elle devient comédienne permanente au Théâtre Quai Ouest. Elle dirigea avec Jean Le Scouarnec le Théâtre de l’Échange. Elle travaille avec des metteurs en scène tels que François Chevalier, Isabelle Starkier, Ludovic Le Lez, Bernard Lotti et Guy- Pierre Couleau. Elle tourne aussi dans plusieurs films, notamment pour la télévision avec Xavier Durringer dans Rouge Sang.. Récemment sur les planches dans Les confidentes, elle crée sa propre compagnie du même nom.
Hervé Mahieux – René Hervé s'est formé au Théâtre-École de Rennes, dans les Ateliers de Formation et de Recherche du Nouveau Théâtre d'Angers ainsi qu'à la Comédie de Caen. En plus de vingt ans de carrière, on a pu le voir, par exemple, dans Le commissaire est bon enfant de Courteline monté par Loic Baylacq, dans le Petit théâtre sans importance de G. Bourdet par Jean-Paul Dubois et dans 99 jours, les troubles par William Herremy et Jacques Le fataliste par Joël Lefrançois. Parallèlement à sa carrière théâtrale, il joue dans de nombreux films, téléfilms et séries : Rebelles d’Allan Mauduit en 2018, la série Doc Martin, Le mystère Henry Pick, Ce qui nous lie de Cédric Klapisch, Agathe Koltès,… Laurent Quéré – Romain Comédien pluridisciplinaire allant de la musique (Flex Macumba, Gordon Booze) à la cascade burlesque (formation Stéphane Filloque, carnages production), en passant par le clown et l’improvisation (la TURI), il joue depuis 2010 dans les différentes créations de la compagnie Fracasse de douze, spécialisée en théâtre de rue, notamment dans « HOP ! » mis en scène par Maud Jégard, qui connaît un succès international depuis sa sortie en 2012. Il se produit actuellement dans leur spectacle « Party » créé au printemps 2018. On le retrouve aussi en second rôle dans plusieurs long-métrages dont « Les chaises musicales » de Marie Belhomme. Eric Lichou – Victor Comédien de théâtre et de rue, il est aussi marionnettiste, échassier, auteur et metteur en scène. Fort de différentes formations (escrime, jeu de l’acteur à l’école Jacques Lecoq, chant, cascade), il est membre actif du théâtre de la Corniche, et jongle entre théâtre, marionnette, et spectacles de rue tout en prêtant sa voix dans le monde du doublage, notamment dans « Dimitri », film d’animation et dans différents documentaires pour France 3. Interprète pluridisciplinaire, il crée aussi plusieurs spectacles pour enfants dont il assure la mise en scène dans la compagnie « J’ai dix ans ». Avec la compagnie « Vent du large », on le retrouve aussi dans Corsaires, Pass-Pass, Presto ou encore Gus. Philippe Cottais – Scénographie Compagnon du Tour de France, maître artisan charpentier, Chef d 'atelier de construction de décor pendant plus de vingt ans (Atelier Proscénium), il travaille notamment à la construction et à la régie des nombreux spectacles de Dromesko. Anna Sauvage - Création lumière Formée en lumière et en régie plateau, Anna travaille sur des projets éclectiques notamment avec le théâtre des silences sur « Fugue pour une mime et un cube » et « Tea time », ainsi qu’avec la compagnie Fil en Bulle sur O rage.
ÉCHOS Texte retenu par le comité de lecture Éclats de Scènes 2018 en lice pour l’Éclat de cœur 2019 Texte remarqué par le comité de lecture du Théâtre du Rond-Point, Paris « Ce texte m’a plu pour son côté « chaud-froid » incessant et très réussi à mon sens. J’ai apprécié l’écriture exempte de vulgarité ou presque, comme quoi il est possible de traiter de choses vulgaires comme celle de passer son père au hachoir, sans pour autant user de mots choquants. J’ai aimé la représentation permanente que je me suis faite de cette pièce et pour moi, quand une mise en scène potentielle survient, c’est un gage de réussite de l’écriture. Le résumé pour moi serait « un joyeux bordel dans ma maison », comme dit la chanson. » Claire Gansoinat - Éclats de scène, Mondragon « Ce texte est une belle métaphore de la famille, (et de ce qui peut se passer entre les êtres, amour et haines réunis) poussée, dans sa forme, granguignolesque, caricaturale (mais juste ce qu’il faut...), sanglante, à son paroxysme, puisqu’on y voit une femme découper son mari en morceaux, entourée de ses 3 enfants qui vont tout faire pour que cela ne s’ébruite pas. C’est totalement immoral, si l’on reste au premier degré, car personne ne sera jamais inquiété mais c’est un régal (je pèse mes mots...) théâtral : l’auteur va jusqu’au bout de son propos et nous entraîne dans un tourbillon sanglant de vie, de mort, de rire, d’humour noir, de cynisme, sur fond de drame aussi mais... qu’il ne faut pas trop prendre au sérieux, quoique... ! Le tour de force qu’a réussi l’auteure, c’est d’avoir choisi un thème assez « banal », courant, et de l’avoir traité d’une manière tellement irréaliste et grotesque (quoique...) que le fond de la problématique de chacun des personnages et de la famille en tant qu’unité, nous apparaît encore plus fort ! » Michèle Sebastia - Éclats de scène, Mondragon « Les premières scènes de l’acte 1 permettent de présenter les personnages et ce pourquoi ils sont réunis. Le récit de la découverte du cadavre du père dépecé en 17 morceaux par le fils aîné Victor montre une écriture crue d’une simplicité percutante. Toutes les scènes sont courtes. Les dialogues sont vifs. L’auteur enchaîne les attaques et les ripostes. Les coups de théâtre relancent l’action à un rythme rapide avec quelques répliques savoureuses. Exemple : Romain Tu crois qu'elle se rend compte qu'elle l'a tué ? Aubépine Dix-sept morceaux, elle a bien dû s'en apercevoir au bout d'un moment. » Yves Sanguinette - Éclats de scène, Mondragon
MÉDIATION CULTURELLE Ateliers d’écriture avec restitution sous forme de lecture publique par les comédiens de la pièce sur le thème suivant : « La mort, ce sont les vivants qui en parlent le mieux ! » La mort est un thème universel, qui touche chacun de nous par son inéluctabilité. Comment l’aborder, comment la raconter, et de quelle mort parle-t-on? Celle de notre poisson rouge, celle d’un être cher, celle d’un inconnu ? Et si nous choisissons les mots pour exprimer, quel biais choisir? Le roman, le théâtre, la poésie, la chanson ? Chacun a sa propre vision de la mort, et donc sa propre expression de cette donnée inhérente à la vie qui nous échappe. On peut la conter de manière « ironique » comme dans Les Restes ou encore être dans une donnée froide et numérique comme dans certains médias. Il y a une infinité de possibles et une matière extrêmement riche à questionner, à modeler, à inventer sur ce sujet hélas trop souvent tabou dans notre société. Paradoxalement, oser raconter la mort, c’est être définitivement et pleinement vivant. En écho au spectacle qui traite de ce sujet non sans décalage, un atelier d’écriture sera mené par l’auteure en quatre temps. Une première séance de rencontre et d’échange autour de la mort avec des exercices pour aborder différentes formes d’écriture. Une seconde séance lors de laquelle les participants écriront un premier jet avec le fond et la forme de leur choix. Une troisième séance consacrée à la réécriture des textes créés. Une restitution sous forme de lecture publique par deux des comédiens de la pièce avec le cas échéant une exposition des textes dans l’espace de lecture. Les participants repartiront avec un livret des textes créés lors de l’atelier. Nombre de places : 15 participants maximum. Coût : 1250 euros TTC
CALENDRIER Répétitions 5 semaines à partir d'octobre 2019 Théâtre Dromesko à St Jacques de la Lande (35) – dates à préciser L’Armorica à Plouguerneau (29) – du 13 au 17 janvier 2020 L’Espace Culturel F. Mitterand à Bergerac (24) – du 24 au 29 mai 2020 Création Saison 2020/2021 Représentations L’Armorica à Plouguerneau (29) - date à préciser 14/1/2021 : Espace culturel François Mitterand – Bergerac (24) scolaire 15/1/2021 : Espace culturel François Mitterand – Bergerac (24) Autres lieux de création et/ou de diffusion envisagés entre autres (rencontres effectuées en gras) MJC La Paillette et Guy Ropartz à Rennes (35), centre culturel Jovence à Louvigné-du -désert (35), L’intervalle à Noyal-sur-Vilaine (35), Théâtre de Poche à Hédé (35), centre culturel de Liffré (35),Théâtre de Morlaix (29), centre culturel L’étincelle à Rosporden (29), Le Canal à Redon (56), La Passerelle à Saint-Brieuc (22), Ville de Vezin-le-coquet (35). TECHNIQUE Durée estimée du spectacle : 1h20 Montage : 4h (prévoir un technicien en renfort sur place) Démontage : 4h (prévoir un technicien en renfort sur place) Plateau : 8m d’ouverture par 7 de profondeur. (Possibilité de réduire l’espace) Hauteur sous plafond : minimum 3m50 Équipe de tournée: 6 personnes (5 comédiens + 1 technicienne)
LA COMPAGNIE FIL EN BULLE La compagnie Fil en Bulle est une compagnie artistique défendant des esthétiques et des formes plurielles : théâtre, chanson – musiques actuelles, performance poétique, ciné-concert. Ses spectacles se jouent en salle, en rue et même pour certains en caravane. Installée en Bretagne depuis 2010, à Vezin-le-coquet en bordure de Rennes, elle soutient aujourd’hui cinq projets : Les p'tits ciné-concerts (entre-sort en caravane), O rage (performance poétique et théâtrale) ainsi que la Baignoire à Coulisses (entre- sort chanté en baignoire), Les Restes (théâtre burlesque) et le nouveau spectacle de Bastoon et Babouschka, La vie rêvée de Josiane (chansons théâtralisées). Elle est aussi label indépendant membre de la SCPP et fait partie du groupement d'employeurs culturels Les Gesticulteurs basé à Redon. Née en 2006 à Paris autour du spectacle de rue du même nom, qui mêlait théâtre, cirque et musique, la volonté de défendre des projets pluridisciplinaires apparut comme une évidence. En 2008, Isabelle Sempéré (comédienne, auteure, metteur en scène et chanteuse) et Sébastien Gariniaux (multi-instrumentiste, compositeur et clown) prennent la direction artistique de la compagnie et montent le duo de chanson Bastoon et Babouschka qui se produit encore. Et c’est lors de son arrivée en Bretagne que la compagnie s’agrandit et s’enrichit des aventures artistiques citées précédemment. « Nous vivons tous dans une bulle, l’art en est le fil, liant toutes les bulles entre elles. » Compagnie Fil en Bulle / 8 rue de Rennes, BP5 35746 Vezin-le-coquet cedex contact@filenbulle.org - Licence N°2-1081506
BUDGET PRÉVISIONNEL Création « Les Restes » - 5 semaines de résidence Dépenses €58 949 Recettes €58 949 Salaires €28 974 Recettes propres €2 549 Salaire brut artistes 5 25 110 13750 charges patronales 13750 1 55% 7562,5 Coproduction €16 000 Salaire brut Ingénieur son et lumière 1 13 150 1950 Théâtre w 1 1 5000 5000 charges patronales 1950 1 63% 1228,5 Théâtre x 1 1 5000 5000 Salaire brut Assistante mise en Théâtre y 1 1 4000 4000 scène 1 25 110 2750 Théâtre z 1 1 2000 2000 charges patronales 2750 1 63% 1732,5 Subventions €22 000 Défraiements résidence €399 Région Bretagne 1 1 5000 5000 Ville de Rennes – Aide à la Transports - Erika Vandelet 310 3 0,3 279 résidence 1 1 4000 4000 Sncf - Gérard Boucaron 120 DRAC Bretagne 1 1 13000 13000 Scénographie, décors, costumes €16 435 Construction structure + habillage décor 11425 Sociétés civiles €13 000 Fabrication cadavre (Delphine Biralleli) 2760 ADAMI 1 1 10000 10000 Costumes 5 1 250 1250 SPEDIDAM 1 1 3000 3000 Billot + accessoires 1000 Enregistrement bande-son radio €1 117 Mécénat €5 400 Mécénat : Salaire brut Ingénieur son et lumière 1 2 200 400 bouchers 2 1 200 400 Proarti charges patronales 400 1 63% 252 (crowfunding) 1 1 5000 Salaire brut Comédiens voix 2 1 150 300 charges patronales 300 1 55% 165 Salaire Administratif €9 524 Chargée de production Gesticulteurs 6 10,5 31 1953 Chargé de diffusion 1 35 120 4200 Charges sociales 4200 1 63% 2646 Frais administratifs 725 Communication €2 500 Graphisme 600 Impressions 400 Teaser 1500
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