Lumière sur Les prénoms d'autrefois - Lège Cap Ferret

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Lumière sur Les prénoms d'autrefois - Lège Cap Ferret
L’archive du mois d’octobre 2018 !

                                Lumière sur…
                       Les prénoms d’autrefois

Les Archives communales de Lège-
Cap Ferret ont pour vocation de
conserver les archives publiques,
mais aussi des documents privés,
uniques et parfois personnels. Tous
les mois, découvrez un document
inédit sur votre commune ! Par son
intérêt historique, son aspect
esthétique, ou son originalité, ce
document témoigne de la mémoire
locale.
                                              Extrait de l’acte de décès de Barthélémy Daney dit Bélisaire,
                                                     1913 (Archives municipales de Lège-Cap Ferret)

 L     ’Officiel des prénoms 2019 sortira le 18 octobre prochain. La Bible des parents en quête
       d’originalité pour leur futur enfant dévoilera le palmarès des prénoms les plus attribués
 en France. L’année dernière, les prénoms Louise, Emma, Jade, Chloé arrivaient en tête pour
 les filles, et Gabriel, Raphaël, Jules et Léo étaient tendances pour les garçons. Répertoriant
 des milliers de prénoms, le guide revient sur leurs origines et significations.

 C’est l’occasion pour nous de vous conter la petite histoire des prénoms. Vous
 (re)découvrirez des prénoms anciens ou rares, des surnoms singuliers et les bizarreries de
 l’Etat-Civil. Savez-vous par exemple d’où viennent les noms du quartier Bélisaire ou de la
 conche du Mimbeau ? Connaissez-vous le prénom officiel de Léon Lesca ?

 Chers lecteurs, chères lectrices, votre prénom raconte lui aussi une histoire. Tradition de
 famille, hommage à un oncle ou une tante, référence culturelle… Vous avez tous une histoire
 à partager.
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Prénoms anciens

Au siècle dernier, il était plus courant de donner comme prénoms Jean ou Pierre pour les
garçons, Marie pour les filles. En parcourant notre Etat-Civil, nous trouvons toutefois
quelques pépites insolites, des prénoms anciens, tombés en désuétude de nos jours.

Les dames d’abord. Trois prénoms présents dans les années 1870-1880 ont retenu notre
attention : Pétronille, Bernadine, Andrive. Ce sont, semblent-ils, des versions féminines des
prénoms Pierre, Bernard et André. Les Pétronille sont plutôt courantes dans notre
commune. Fêtée le 31 mai, cette jeune chrétienne romaine martyrisée au 1er siècle, est la
fille spirituelle de Saint Pierre et la patronne des rois de France. Le second prénom de
Pierrette Izoline Dubernet, née en 1909 au Cap Ferret, est encore plus rare. Izoline est le
diminutif affectueux d’Elisabeth.

Les hommes ne sont pas en reste de prénoms atypiques. Emile Pardoux Chouviat, né en
1906 au Cap Ferret, tient son second prénom de son père. Du latin "per" et "dulcis",
signifiant "par la douceur", le prénom Pardoux fait référence à un saint. Le prénom d’Alcide
Dupuch, né en 1908 au Cap Ferret, est un diminutif d’Alcibiade, un général grec au Vème
siècle Av J.C. C’est aussi le nom d'un navire-corsaire du XVIIIème siècle et le véritable nom du
héros Héraclès dans la mythologie grecque. Aristide Boy, né en 1934 à Lège, tient son nom
d’un philosophe de la Grèce Antique.

Les prénoms Osmin, Maurin et Gassian sont d’origine gasconne. Le maire de Lège dans les
années 1920, François Gayet, s’appelait également Osmin.

Prénoms et singularités

Incroyable mais vrai, il arrive de trouver des personnes dont les prénoms et noms de familles
sont identiques. Ainsi, trois Raymond Raymond de la même famille ont vécu à Lège. Tout
commence avec Pierre Raymond, né en 1814 au Porge. Il nomme son fils Raymond en 1844,
ce qui donne Raymond Raymond. Nous assistons alors à une sorte de saute-moutons des
prénoms entre Pierre et Raymond, chacun donnant à son fils le prénom du grand-père. Le
Raymond de 1844 appelle son fils Pierre en 1875, comme son père. Le Pierre de 1875
nomme à son tour son fils Raymond en 1901, comme son père. Ce qui est exceptionnel, c’est
qu’il donne également le prénom de Raymond à son second fils né en 1908. Il a donc deux
fils Raymond Raymond.

                                    Pierre Raymond (1814-)
                                               |
                                Raymond Raymond (1844-1903)
                                               |
                                 Pierre Raymond (1875-1967)

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                                       Raymond Raymond (1901-1970)
                                       Raymond Raymond (1908-1989)

Autre singularité, celle de la famille Jean. Le père, muletier, est né en 1867 à Salles sous
l’unique prénom Jean. Sa mère s’appelle Marie Laville, son père est inconnu. Voilà qui est
bien étrange puisque les enfants de père inconnu portent en général le nom de famille de
leur mère. Ce Jean devrait donc en toute logique s’appelait Jean Laville. Lorsqu’il se marie en
1900 à Lège, il est désigné tout simplement comme étant « le sieur Jean ». Ses enfants
prendront pour nom de famille son prénom donnant ainsi : Marguerite Jean (1900), Arnaud
Jean (1901) et Pierre Jean (1906).

Prénoms officiels et usuels

Pierre Labat, président de la SHAA de 1984 à 1987, a consacré une étude sur les prénoms et
surnoms d’autrefois en Pays de Buch.1 Il distingue deux types de prénoms, le prénom officiel
et le prénom usuel.

Le prénom officiel est le prénom donné à l’enfant sur l’acte de naissance et au baptême.
Selon la tradition, l’attribution du prénom dit officiel revient aux parrains et marraines, le
plus souvent les grands-parents. L’ordre d’attribution est très précis. Selon Pierre Labat,

         « la première règle imposait que le premier enfant de la famille eût pour parrain l’un de
         ses grands pères et pour marraine, sa grand-mère prise dans l’autre branche. Pour le
         second enfant, les deux autres grands-parents étaient choisis. Pour le troisième,
         venaient dans le rang très précis de leurs âges, les oncles et tantes toujours pris de part
         et d’autre, puis les frères et sœurs et à la rigueur les cousins. »2

Cependant, l’enfant ne porte presque jamais ce prénom officiel. Le prénom usuel lui est
préféré : les parents donnent un autre prénom que celui de l’Etat-Civil pour leurs enfants.
Une dame des Landes nous a rapporté cette croyance au sujet du « prénom du diable » :
« On ne se sert jamais du prénom du baptême pour ne pas que le diable s’en serve pour
retrouver l’enfant. »

Le prénom usuel peut être un dérivé du prénom officiel à l’instar de Jeanty pour Jean. Les
anciens de Piraillan se souviendront de Jeanty Darmagnac, résinier et garde-chasse chez
Jeanne Lesca. Né en 1875 et décédé en 1967, ce Landais s’appelle bien officiellement Jean,
prénom qui lui a probablement été donné en l’honneur de son grand-père. Les dérivés des
noms de famille sont aussi d’autres exemples de prénoms usuels, comme Berrontin Berron,
Norice Nora et Boissin Boy, conseillers municipaux dans les années 20, dont les noms sont

1
    Voir bulletin n°29 de la Société Historique et Archéologique d’Arcachon et du Pays de Buch, p. 13 à 25.
2
    Idem, p.15.

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apposés sur la plaque d’inauguration de la nouvelle église Saint-Pierre de Lège. Jean dit
Boissin Boy, tenait l’hôtel Boissin à Lège sur la route menant vers Arès.3 Une rue de Lège
porte également le nom de Berrontin Berron.

Il peut également être radicalement différent du prénom officiel. Nous citerons ainsi deux
exemples parmi les Morts pour la France 14-18 de la commune. Le soldat Dupuch est né
François. Ce prénom est inscrit sur tous les documents officiels que nous avons pu consulter,
comme son acte de naissance, ceux de ses enfants, son certificat de bonne conduite chez les
zouaves, son diplôme de médaille militaire, etc. Il est cependant appelé Paul en famille. Il
signe d’ailleurs sous le nom « Paul Dupuch » sur une carte postale de janvier 1915 adressée
à son épouse. Sa femme d’ailleurs est appelée Alma, bien que son prénom officiel soit
Elizabeth.

              Elizabeth dite Alma Castandet et François dit Paul Dupuch, photographie Badia
                    (fonds Françoise Boulan, Archives municipales de Lège-Cap Ferret)

De même, le soldat Belliard est né également sous le prénom François. Nous trouvons ce
prénom officiel sur son acte de décès et son matricule militaire. Il signe en revanche en tant
qu’Arthur dans une correspondance avec son jeune frère François Georges, et sa nièce,
Monique Bareyt, se souvient que tout le monde l’appelait Arthur et non François.

Les exemples sur la commune ne manquent pas :

      -    François dit Armand Cazeau, résinier, né en 1877 à Lège
      -    Jean dit Armand Boy, né en 1877 à Lanton
      -    Jean dit Maxime Prévôt, gardien de camping en 1975
      -    Jean dit Camille Ducamin, né en 1867 à Lège
      -    Jean dit Lucien Dupuch, résinier de 70 ans en 1906 au Cap Ferret
      -    Antoine dit Léonce Boy, résinier, né en 1882 à Lège

3
    L’emplacement correspond de nos jours à la résidence en face de la pharmacie.

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Le cas Léon Lesca est un exemple frappant, celui où le prénom usuel finit par supplanter le
prénom officiel sur les documents de l’administration. Cet entrepreneur de travaux publics
est plus connu et reconnu sous le nom de Léon Lesca. Il naît pourtant sous le prénom
Bernard le 24 novembre 1825. Pourquoi Bernard ? Serait-ce par rapport à son oncle paternel
Bernard Lesca (an V-1835) ? Trente-cinq ans plus tard, il est précisé dans son acte de
mariage que Bernard Lesca est « appelé en famille Léon », de même que sa femme Marie
Godbarge est « appelée en famille Coraly ». Les deux époux signent d’ailleurs de leurs
prénoms usuels Léon et Coraly. Anecdote des plus savoureuses : il lui a fallu un certificat de
la mairie de la Teste de Buch assurant « que Bernard Lesca est et a toujours été appelé en
famille Léon » pour confirmer son identité et ainsi recevoir sa Légion d’Honneur en 1891. Il
signe toujours Léon Lesca. Il décède le 30 juillet 1913 à l’âge de 87 ans dans sa Villa
Algérienne. Il est écrit sur son acte de décès : Léon Bernard Lesca. Son prénom usuel est
passé devant son prénom officiel.

Surnoms

Autrefois, les gens du pays étaient souvent plus connus par leur « chaffre » (surnom en
gascon) que par leur prénom officiel. Pierre Labat distingue huit principaux types de
surnoms :

   1.   Surnoms ayant pour origine un prénom ou un nom de famille
   2.   Surnoms rappelant la filiation maternelle ou paternelle
   3.   Surnoms rappelant une caractéristiques physiques ou morale
   4.   Surnoms ayant pour origine un métier
   5.   Surnom empruntés au règne animal
   6.   Surnoms ayant pour origine un nom de famille
   7.   Surnoms ayant pour origine un nom de lieu
   8.   Surnoms d’origine diverses

Entrent dans la 2ème catégorie les terminaisons « hilh », « hilhot » et « hilhotte », signifiant
fils et fille, combinées au nom de famille. Les surnoms de « cadichon » et « cadichonne »
désignent respectivement le cadet et la cadette de la famille.

Dans la 3ème catégorie, nous citerons les exemples de François Ducamin, surnommé
« Mitane », probablement parce que lui ou un de ses ascendants portait des mitaines, et de
François Lacaze dit « lou tilh », abréviation de « gentilh » (gentil).

Le cas d’Auguste Guittard est représentatif de la 4ème catégorie de surnom. Fils de meunier,
travaillant au moulin avec son père, il est surnommé à juste titre « lou mouliney » (le
meunier). Il conservera ce surnom (de même que ses descendants) après son mariage avec
une Elies et sa reconversion en résinier.

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Les surnoms chez les Ducamin, Lacaze et Guittard sont transmis de génération en
génération, et ce jusque dans la famille du gendre.4

     Cession d'un terrain du sieur Ducamin Mitane pour la construction du chemin des Rouptes,
                            extrait d’une délibération du 13 février 1866
                         (1D1/284, Archives municipales de Lège-Cap Ferret)

L’exemple de Jean Blanc dit Marmande, un charbonnier de 79 ans, tombe dans la 7ème
catégorie de surnom. Non seulement son acte de décès, daté du 30 août 1872, établit
officiellement son surnom, mais il nous éclaire également sur son origine. Jean Blanc, fils de
parents inconnus, né dans un lieu inconnu, fut sorti de l’hospice des enfants trouvés de
Marmande, dans le Lot-et-Garonne, d’où le surnom.

Autre cas plus célèbre et difficile à cerner : celui de Barthélémy Daney dit Bélisaire. Nous
avons consulté son acte de naissance, son acte de mariage ainsi que les actes de naissance
de ses fils ; aucun d’entre eux n’indique son surnom. Il faut attendre son acte de décès du 1er
août 1913 pour voir apparaître pour la première fois la mention « Daney Barthélémy dit
Bélisaire » sur un acte officiel. En revanche, Barthélémy Daney est plus souvent désigné sous
le nom de « M. Bélisaire » dans la presse locale, comme dans l’édition du 8 novembre 1891
de L’Avenir d’Arcachon. Pierre Delacourt, dont le grand-père s’appelait également Bélisaire,
ne peut faire que des suppositions sur l’origine de ce surnom :

       « Je demeure sur ma faim quant à l’origine du nom Bélisaire. C’était le prénom de mon
       grand-père dont les frères et sœurs portaient des prénoms classiques. Où donc mes
       arrière grands-parents sont-ils allés chercher ce prénom ? Le dictionnaire dit « général
       Byzantin sous Justinien Ier ». Il fut vainqueur des Perses, des Vandales et des
       Ostrogoths et serait mort en disgrâce aveugle et réduit à la mendicité ». Bélisaire fut
       l’objet de deux tragédies, d’un opéra, et de diverses peintures ou gravures, entre autres
       de Van Dick et David. Bélisaire est aussi l’un des personnages d’un drame de Victorien

4
 Les surnoms chez les Ducamin, Lacaze et Guittard sont tirés d’un article d’Isabelle Verdier, paru dans le
bulletin n°15 de la Société Historique et Archéologique d’Arcachon et du Pays de Buch.

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Sardou. C’est aussi le titre d’une romance à la mode à l’époque du Directoire vantant
         les mérites d’un Bélisaire devenu aveugle. »5

Le surnom est transmis à ses descendants. Dans l’édition du 15 décembre 1912, le journal
L’Avenir d’Arcachon donne la composition du bureau du Syndicat des habitants et
concessionnaires du Cap Ferret. Y figurent « Albert Bélisaire-Daney, secrétaire-adjoint » et
« Edouard Bélisaire-Daney, trésorier-adjoint », respectivement fils et petit-fils de
Barthélémy. Quant au quartier Bélisaire, nous trouvons une première appellation dans
L’Avenir d’Arcachon du 22 août 1897. Le surnom sera donné également au restaurant, au
débarcadère et à une ligne de tramway.

                                                                                  Le restaurant Bélisaire au
                                                                                  Cap Ferret, août 1916
                                                                                  (fonds François Bisch,
                                                                                  Archives municipales de
                                                                                  Lège-Cap Ferret)

A l’instar du quartier Bélisaire, le Mimbeau tient son nom d’un habitant du coin : Jean
Dubos, dit Mimbo. Ce pêcheur testerin meurt tragiquement le 28 janvier 1831 lors du
naufrage des chaloupes L’Eugénie et L’Hortense. Un jugement du 5 août 1840 porte son
décès, ainsi que celui de 25 autres infortunés, au 28 janvier 1831. L’acte de décès, dressé le
15 février 1843 à La Teste, porte la mention suivante : « Jean Dubos, dit mimbo ».

                      Acte de décès de Jean Dubos, extrait du jugement du 5 août 1840
                                 (Archives municipales de La Teste de Buch)

5
    Pierre Delacourt, 1er février 1994, dans Max Baumann, Le Cap Ferret, p.16.

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En poussant plus loin nos recherches, nous sommes tombées sur son acte de mariage du 28
mai 1817. Et là surprise ! Jean Dubos y est surnommé « Bimbouret » ! Que s’est-il passé
entre 1817 et 1840 ? Comment « Bimbouret » s’est-il transformé en « Mimbo » ? Serait-ce
une déformation, un diminutif du surnom ?

             Extrait de l’acte de mariage de Jean Dubos et Marie Moyzés, 28 mai 1817
                              (Archives municipales de La Teste de Buch)

Mais le banc n’est pas formé à l’époque, rappelle Jacques Ragot. Il aurait donc été nommé
d’après l’un des descendants de Jean Dubos, le surnom demeurant dans la famille pendant
plusieurs générations.

La liste des surnoms n’est pas exhaustive. Citons encore :

   -   Jean dit Lalanne, né en 1867 à Salles
   -   Jean Bouscarrut dit Bousquet (1878-1957)
   -   Jean dit Pistole Bret (1834-1906)
   -   Jean dit Menou Clavié, décédé en 1906 à Lège
   -   Roger Maleyran, surnommé Patate (restaurant Chez Patate)

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Votre histoire, notre mémoire
“Les souvenirs d’un homme constituent sa propre bibliothèque.”
Aldous Huxley, écrivain anglais (1894-1963)

Contribuez à enrichir cet article ! Si vous avez une histoire de prénom ou de surnom à faire
partager, n’hésitez pas à nous contacter ! Vos souvenirs nous permettront de mieux faire
connaître l’histoire de notre commune.

Service des archives
79 avenue de la Mairie, Lège bourg
archives.ad@legecapferret.fr
05.57.17.07.80

Sources et références
 Les Archives municipales de Lège-Cap Ferret :
   - Etat-civil de Lège-Cap Ferret
   - Fonds Françoise Boulan
   - Fonds François Bisch
   - Le Cap Ferret de Max Baumann, édition Equinoxes, 2001
   - Le Cap Ferret : de Lège à la Pointe de Jacques Ragot, tomes 1 et 2, 1980
   - « Prénoms et surnoms d’autrefois en Pays de Buch » de Pierre Labat, paru dans le
      bulletin n°29 de la Société Historique et Archéologique d’Arcachon et du Pays de
      Buch, 3ème trimestre 1981
   - « Les chaffres héréditaires » d’Isabelle Verdier, paru dans le bulletin n°15 de la
      Société Historique et Archéologique d’Arcachon et du Pays de Buch, 1er trimestre
      1978

 Les Archives municipales de La Teste-de-Buch :
   - Acte de mariage de Jean Dubos du 28 mai 1817
   - Acte de décès de Jean Dubos du 5 août 1840

 Les Archives municipales de Bordeaux :
   - Acte de mariage de Bernard dit Léon Lesca du 30 janvier 1860

 Gallica, la bibliothèque numérique de la BNF :
   - L’Avenir d’Arcachon du 8 novembre 1891
   - L’Avenir d’Arcachon du 22 août 1897
   - L’Avenir d’Arcachon du 15 décembre 1912

 Base Léonore :
   - Dossier de la Légion d’Honneur de Bernard dit Léon Lesca, cote LH/1612/20

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