L'image piège : paradoxes et jeux visuels de Bosch à Bruegel
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saison 2014 2015
Auditorium du Louvre
L’image piège :
paradoxes et jeux visuels
de Bosch à Bruegel
Cycle de conférences
Du 19 janvier au 16 février
à 18 h 30
Sous la direction scientifique de
Michel Weemans, Bourges, École
Nationale Supérieure d’Art
et Monica Preti, musée du Louvre,
assistés d’Isabelle Haquet,
musée du LouvreIntroduction Programme 2
Paradoxes et ambiguïtés visuelles Lundi 19 janvier / 18 h 30
abondent dans l’art néerlandais Parmi les idoles : La Tentation
de Jérôme Bosch à Pieter Bruegel. de saint Antoine de Bosch
Loin de se réduire à des par Joseph Leo Koerner, Cambridge
amusements sans prétention (MA), Harvard University
ou de simples jeux optiques,
ces procédés picturaux relèvent Lundi 26 janvier / 18 h 30
d’une culture de la sophistication L’art du camouflage : de Bosch
et impliquent des enjeux à Bruegel
artistiques et spirituels profonds. par Reindert L. Falkenburg, New York
Prenant la forme d’allusions University-Abu Dhabi
cryptées ou de détails mineurs
et cachés, les pièges visuels Lundi 2 février / 18 h 30
tendus au spectateur jouent Pieter Bruegel et les mendiants
un rôle majeur en provoquant de Crotone
des effets de subversion du sens par Matthijs Ilsink, Hertogenbosch,
et en invitant à réinterpréter Noordbrabants Museum
l’image dans son ensemble.
Lundi 9 février / 18 h 30
Ce cycle nous invite à reconsidérer L’anatomie parodique de Jan van
les relations complexes qui Hemessen
se nouent entre culture élevée et par Bret Rothstein, Bloomington,
culture populaire, profane et sacré, Indiana University
comique et tragique, et à voir
sous un œil nouveau certains Lundi 16 février / 18 h 30
tableaux hollandais des collections Insidiosus Imago. Double image
du Louvre. et double vision dans Le retour
des chasseurs et L’oiseleur perfide
de Pieter Bruegel
par Michel Weemans, Bourges,
École Nationale Supérieure d’Art3
Lundi 19 janvier / 18 h 30
Parmi les idoles :
La Tentation de saint
Antoine de Bosch
par Joseph Leo Koerner
La tentation de saint Antoine a fourni
à Jérôme Bosch un thème idéal pour
déployer tous ses talents si particuliers
de peintre. Lorsqu’Antoine, dit la
légende, se retira du monde du péché
dans le désert d’Égypte, il fut assailli
par une armée de démons venus lui
faire subir tortures et tentations. Pour
représenter ce fléau diabolique, Bosch
délaissa l’iconographie traditionnelle
des primitifs hollandais auprès
desquels il s’était formé pour inventer
une nouvelle forme de peinture tout
en mouvement et en ambiguïté et aux
dangereuses similitudes – comme
le reconnut lui-même l’artiste – avec
les idoles des païens. Les images
de Bosch apparaissent ainsi comme
des pièges tendus, par un ennemi, au
spectateur pour l’entraîner à sa perte.
À travers une observation rapprochée
du triptyque de Saint Antoine de
Bosch, conservé à Lisbonne, Joseph
Leo Koerner aborde la question de
l’analogie – proposée par ce triptyque
et revisitée par des artistes ultérieurs –
entre une peinture et un piège.
Joseph Leo Koerner est professeur
(Victor S. Thomas Professor of the
History of Art and Architecture) à la
Harvard University et Senior Fellow
de la Society of Fellows en cette même
université. Parmi ses ouvrages figurent
The Moment of Self-Portraiture in
German Renaissance Art (1993),
The Reformation of the Image (2004) et
Bosch and Bruegel : Painters of Everyday
Life (à paraître en 2015). Il a écrit
et présenté des documentaires pour
la BBC et réalise actuellement un film
sur l’architecture et l’intériorité à
Vienne.
Jérôme Bosch,
La Tentation de saint
Antoine, triptyque
(détail), Lisbonne,
Musée national d’art
antique © D.R.4
Lundi 26 janvier / 18 h 30 Professeur d’histoire de l’art et de la
L’art du camouflage : culture de la première modernité,
de Bosch à Bruegel Reindert Falkenburg remplit la
par Reindert L. Falkenburg mission de Vice Provost of Intellectual
and Cultural Outreach, à la New York
Habituellement, on ne parle pas University à Abu Dhabi. Auparavant,
de camouflage à propos de la peinture il a été titulaire de la chaire d’histoire
des primitifs hollandais, car ce phéno- de l’art de l’université de Leyde aux
mène n’a été découvert, sur le plan Pays-Bas ; professeur d’histoire
scientifique et artistique, qu’à la fin de la religion et de l’art occidental
du XIXe siècle (avec Abbott Thayer). à la Graduate Theological Union à
Des phénomènes de camouflage Berkeley (Californie) ; directeur adjoint
émergent cependant avant la lettre du RKD (Rijksbureau voor
dans ce nouveau genre de peinture Kunsthistorische Documentatie,
de paysage « diabolique » que l’institut néerlandais d’histoire de l’art)
contribuèrent à élaborer les œuvres et chercheur universitaire à la KNAW
de Jérôme Bosch, Pieter Bruegel (Koninklijke Nederlandse Akademie
et d’autres artistes moins connus van Wetenschappen, l’Académie royale
de la première moitié du XVIe siècle. néerlandaise des arts et des sciences).
Les techniques de camouflage utilisées En tant que chercheur, il s’intéresse
dans le monde animal – pour éviter tout particulièrement aux primitifs
d’être reconnu en tant que prédateur hollandais et aux retables sculptés de
ou en tant que proie – sont très la fin du Moyen Âge. Il a notamment
semblables aux techniques utilisées publié Joachim Patinir : Landscape
par ces artistes pour cacher la véritable as an Image of the Pilgrimage of Life
nature de ce qui – sous l’aspect (Amsterdam/Philadelphie, 1988),
de rochers, de cavernes, d’arbres The Fruit of Devotion : Mysticism and
ou de simples pans de neige – paraît the Imagery of Love in Flemish
« innocent ». Cette conférence envisage Paintings of the Virgin and Child,
certains des exemples les plus 1450-1550 (Amsterdam/Philadelphie,
frappants, en discutant de leur 1994) et The Land of Unlikeness.
implication sur la relation image / Hieronymus Bosch, The Garden of
spectateur dans l’art de la Renaissance Earthly Delights (Zwolle, 2011, à
nordique. paraître en français, Hazan, 2015).
1 / Pieter Bruegel
l’Ancien, L’adoration
des Mages sous la neige,
1567, Oskar Reinhart
Collection, Winterthur
© D.R.
2 / Anonyme (suiveur de
Jérôme Bosch), L’Enfer,
milieu du XVIe siècle,
Madrid, musée du Prado
© D.R.5
1
26
7
Lundi 2 février / 18 h 30 Matthijs Ilsink est diplômé d’histoire
Pieter Bruegel et les de l’art de l’université Radboud de
mendiants de Crotone Nimègue (Pays-Bas) ; son mémoire
par Matthijs Ilsink portait sur les dessins romains
baroques (1999). Il a également obtenu
De Pieter Bruegel l’Ancien, son doctorat (2009, cum laude) à
on pourrait dire que son art repose l’université de Nimègue avec une thèse
entièrement sur l’imitation. sur l’auto-réflexivité dans les œuvres
L’imitation de la Nature et l’imitation de Jérôme Bosch et de Pieter Bruegel :
de l’Art. De son vivant déjà, Bruegel Bosch et Bruegel en Bosch. L’art sur l’art
était appelé le deuxième Jérôme Bosch. dans l’œuvre de Pieter Bruegel l’Ancien
L’une de ses estampes mentionne (c. 1528-1569) et de Jérôme Bosch
même Bosch comme inventor au lieu (c. 1450-1516). Il a été commissaire
de Bruegel. Cette conférence traite adjoint sur deux expositions
d’un petit tableau de Bruegel internationales d’œuvres prêtées au
représentant un groupe d’estropiés, Museum Boijmans Van Beuningen,
conservé au musée du Louvre. On à Rotterdam : « Jheronimus Bosch »
peut le considérer comme faisant et « Pieter Bruegel the Elder : Master
partie d’une petite série de bagatelles, Draftsman » (toutes deux en 2001).
des peintures plus ou moins amusantes Actuellement, Matthijs Ilsink
et apparemment sans prétention. est responsable de la coordination
Dans ce tableau intitulé Les mendiants, du Jheronimus Bosch Research &
Bruegel n’agit pas tant comme un Conservation Project, un projet de
deuxième Bosch, qu’il imite le grand recherche scientifique international
peintre grec Zeuxis. Malgré son petit qui débouchera en 2016 sur
format, ce tableau marque un moment la commémoration du cinquième
important dans le discours artistique centenaire de la mort de Bosch.
du XVIe siècle aux Pays-Bas parce Il est co-commissaire de l’exposition
qu’il remet en question la relation sur Jérôme Bosch qui aura lieu
entre l’Art et au Noordbrabants Museum à
la Nature et qu’il le fait d’une manière Hertogenbosch du 11 février au 8 mai
qui est loin d’être sans prétention. 2016. Matthijs Ilsink enseigne à
l’université Radboud de Nimègue.
Pieter Bruegel l’Ancien,
Les mendiants, 1567,
Paris, musée du Louvre
© RMN (Musée du
Louvre) / Gérard Blot8
Lundi 9 février / 18 h 30 métaphoriques offrent ainsi au
L’anatomie parodique spectateur l’occasion de tester ses
de Jan van Hemessen talents interprétatifs. De ce point
par Bret Rothstein de vue, le genre d’objet dont il
est question dans la conférence
Cette conférence porte sur un certain représente une forme d’instruction
nombre d’euphémismes sexuels et particulièrement rusée et même
anatomiques dans les peintures et les parabolique. C’est-à-dire qu’ils
estampes produites à Anvers au début présentent des paraboles picturales
du XVIe siècle. Plus précisément, spécifiquement conçues pour
elle traite de l’anthropomorphisation exemplifier le processus qui mène
des objets en tant que problème de la de la cécité spirituelle à la vision
figuration religieuse – en l’occurrence métaphorique.
de la refiguration du corps humain à
travers la métaphore visuelle ou fondée Bret Rothstein enseigne au
sur le visuel. S’appuyant sur l’idée, département d’histoire de l’art de
développée par Paul Ricœur, de la l’Indiana University, Bloomington.
métaphore comme « redescription », Spécialiste de la culture visuelle,
cette conférence s’intéresse à la relation il est l’auteur de Sight and Spirituality
réciproque entre l’objet in Early Netherlandish Painting
anthropomorphisé et sa contrepartie (Cambridge, 2005) et a publié des
biologique, dans la mesure où une telle essais dans Art History, Dutch Crossing,
relation brouille nécessairement les The Journal for Early Modern Cultural
frontières entre signe et référent. Studies, RES : Anthropology and
Si, par exemple, on décrit le membre Aesthetics, Word & Image et Zeitschrift
viril comme un stylo ou un robinet, für Kunstgeschichte. Il a récemment
cette description met simultanément dirigé (avec Walter S. Melion et Michel
en œuvre au moins deux fonctions Weemans) The Anthropomorpic Lens :
représentationnelles. La première Anthropomorphism, Microcosmism,
est celle de la référence métaphorique and Analogy in Early Modern Thought
familière, par laquelle on redécrit and Visual Arts (Brill, 2014). Il travaille
le pénis comme chose avec laquelle actuellement sur The Shape of
on écrit ou on régule le flux de liquide. Difficulty, une étude de l’échec
Deuxièmement, et non moins interprétatif dans l’art occidental au
important, la métaphore aussi cours des six derniers siècles.
sexualise le stylo ou le robinet,
puisqu’elle identifie l’objet avec une
partie de l’anatomie masculine.
Il en résulte une sorte de désordre
interprétatif qui s’étend au-delà des
idées de comportement biologique
ou moral pour inclure la signification
elle-même. En redécrivant des aspects
du monde, la métaphore exploite
la volatilité herméneutique, en
permettant à des signifiants
apparemment stables d’osciller entre 1 / Jan Sanders van
deux, voire plusieurs, points de Hemessen et le Maître
de Paul et Barnabé,
référence. Aussi doit-elle entièrement Le Fils prodigue, 1536,
son succès, quand c’est le cas, Bruxelles : Musées
Royaux des Beaux-Arts
au contrôle qu’on exerce sur elle de Belgique © D.R.
(l’alternative serait au mieux le vague
2 / Lucas de Leyde,
et au pire le chaos sémiotique). Pyramus et Thisbe,
Ni chair ni poisson, les signifiants 1514, gravure, Londres,
British Museum © D.R.9 1 2
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Lundi 16 février / 18 h 30 Michel Weemans est historien
Insidiosus Imago : double de l’art et commissaire d’exposition.
image et double vision Ses travaux portent sur l’art
néerlandais et sur l’herméneutique
dans Le retour des chasseurs
de l’image à la Renaissance. Il a été
et L’oiseleur perfide de co-commissaire de l’exposition
Pieter Bruegel « Une image peut en cacher une
par Michel Weemans autre » (Paris, Grand Palais, 2009)
et « Fables du paysage flamand.
« La neige est comme le masque Bosch, Bles, Brueghel, Bril »
de la nature » écrivait Hans Sedlmayr (Lille, Palais des Beaux-Arts, 2012).
à propos du Retour des chasseurs de Il a publié notamment : Herri met
Pieter Bruegel. Nous interrogeons de Bles. Les ruses du paysage au temps
ici l’idée de feinte suggérée par cette de Bruegel et d’Érasme (Hazan, 2013,
remarque et, en particulier, l’une Prix 2014 du Cercle Montherlant-
de ses conséquences négligée par Académie des Beaux-Arts) ; Le paysage
Sedlmayr et par les spécialistes de extravagant (Ars, Éditions 1 :1, 2012) ;
Bruegel. En effet, à la suite de Jérôme Imago Exegetica. Visual Images as
Bosch et de Herri met de Bles, Pieter Exegetical Instruments (avec W. Melion
Bruegel a développé une pratique et J. Clifton ; Brill, 2014), The
élaborée de l’image double et cachée, Anthropomorpic Lens : Anthropomorphism,
dans le contexte d’œuvres religieuses Microcosmism, and Analogy in Early
ou de paysages en apparence profanes, Modern Thought and Visual Arts
qui se trouvent dès lors investis d’un (avec W. Melion et B. Rothstein ; Brill,
sens religieux. Ainsi dans Le Retour 2014) ; Images doubles. Pièges et
des chasseurs (1565) et L’oiseleur perfide révélations du visible (avec J.-H. Martin
(Insidiosus Auceps, 1555) qui mettent et D. Gamboni ; à paraître, Hazan,
en scène, non sans ironie, le 2015). Il prépare actuellement un livre
personnage emblématique du piégeur sur Pieter Bruegel.
d’oiseaux : figure fréquente dans la
littérature contemporaine du diable
à l’affût des âmes ou du Jugement
dernier qui « s’abattra à l’improviste
sur tous les hommes de la terre »,
ou bien métaphore de notre rapport
à l’image ?
Pieter Bruegel,
Le retour des chasseurs
(détail), 1565, Vienne,
Kunsthistorisches
Museum © D.R.En lien avec « Poussin et Dieu » et « La fabrique des saintes images »
Prochainement
Conférences Mercredi 6 mai / 12 h 30 Le sentiment
Présentation d’exposition
La fabrique des saintes
religieux au cinéma
Jeudi 12 mars / 19 h Cycle de films
images
Poussin est un monde
par Philippe Malgouyres et
Cours 1 - Initiation à l’histoire Louis Frank, musée du Louvre Samedi 11 avril / 14 h 30
des arts Ordet
Les visages de Poussin Jeudi 28 mai / 18 h 30 - 20 h 30 de Carl. T. Dreyer
par Alain Mérot, université Conférence - rencontre
Paris-Sorbonne Poussin – Velasquez Samedi 11 avril / 17 h 30
Pierre Rosenberg, Journal d’un curé de
Jeudi 19 mars / 19 h de l’Académie français – campagne
Poussin est un monde Jonathan Brown, New York de Robert Bresson
Cours 2 - Initiation à l’histoire Faculty (sous réserve)
Dimanche 12 avril / 15 h
des arts
Thérèse
Les lieux de Poussin
d’Alain Cavalier
par Alain Mérot, université
Paris-Sorbonne Spectacles
Dimanche 12 avril / 17 h
et musique Lumière silencieuse
Jeudi 26 mars / 19 h
de Carlos Reygadas
Poussin est un monde Lundi 13 avril / 20 h 30
Cours 3 - Initiation à l’histoire Opéra filmé Dimanche 12 avril / 20 h
des arts Stefano Landi Bad Lieutenant
Couverture : Jérôme Bosch, La Tentation de saint Antoine, triptyque, panneau central (détail), Lisbonne, musée national d’art antique © RMN-Grand Palais / Agence Bulloz.
Poussin au travail « Il Sant’Alessio » D’Abel Ferrara
par Alain Mérot, université William Christie, direction
Paris-Sorbonne Benjamin Lazar, mise en scène Mercredi 15 avril / 20 h
L’Evangile selon Saint-
Jeudi 2 avril / 19 h Jeudi 16 avril / 20 h 30 Matthieu
Poussin est un monde Lecture de Pier Paolo Pasolini
Cours 4 - Initiation à l’histoire Nicolas Poussin, L’Amitié
des arts embrassant la Peinture Lundi 20 avril / 20 h
Savoir « lire » le tableau Lecture de Jacques Gamblin Je vous salue Marie
par Alain Mérot, université d’extraits du livre d’Alain Mérot de Jean-Luc Godard
Paris-Sorbonne
Dimanche 26 avril / 16 h
Jeudi 9 avril / 12 h 30 Spectacle chorégraphique
Présentation d’exposition Hommage d’un demi-
Poussin et Dieu dimanche à un Nicolas
par Nicolas Milovanovic, musée Poussin entier
du Louvre et Mickaël Szanto, d’Hèlène Iratchet.
université Paris-Sorbonne Avec Annabelle Pulcini,
Nele Suisalu, Christian Ubl
Mercredi 15 avril / 12 h 30 et Hélène Iratchet.
L’Œuvre en scène
Lire et méditer l’image : Mercredi 3 juin / 20 h
La Récolte de la Manne Concert
de Poussin Ensemble Correspondances
Sébastien Daucé / direction Programmation :
par Nicolas Milovanovic, musée
Rossi, Cambefort, Landi, Monica Preti
du Louvre et Mickaël Szanto,
Monteverdi, Lully, Strozzi assistée d’Isabelle Haquet
université Paris-Sorbonne
Informations :
Jeudi 16 avril / 19 h 01 40 20 55 55
Poussin est un monde
Réservation :
Cours 5 - Initiation à l’histoire 01 40 20 55 00
des arts
Le peintre poète Pour un accès privilégié,
par Alain Mérot, université adhérez aux Amis du Louvre
Paris-Sorbonne. www.amisdulouvre.fr
Conférence suivie d’une lecture © Auditorium du Louvre 2015
de Jacques Gamblin à 20 h 30
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