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Ukraine                :         Vérités                 ou
Mensonges
par Seph.

En temps de guerre la première victime est la vérité, car la
propagande sort sa boîte à mensonges.

Il y a certes des crimes de guerres des deux côtés comme dans
toute guerre. Les médias occidentaux ne parlent que des crimes
de guerre russes. Et ceux commis par le camps d’en-face ?

Parmi les crimes de guerre attribués aux Russes ils y a
particulièrement les deux accusations de l’Ukraine contre la
Russie concernant Boutcha et     Kramatorsk   qui ont tourné
spécialement en boucle sur les médias occidentaux pour cacher
quoi ?

En revanche, les médias ne parlent jamais du sort des
prisonniers russes. Sommes-nous en pleine propagande où la
vérité est bâillonnée ?

Commençons par une vidéo sur l’intervention russe pour décrire
le contexte de cette guerre afin de mieux analyser les faits
ci-dessus.

I- Préambule : rappel du contexte de l’intervention
russe en Ukraine
Rappelons qu’en décembre 2021, le président russe Vladimir
Poutine a appelé la partie américaine à engager un dialogue de
fond sur la construction d’un système de sécurité global fondé
sur des principes égaux et indivisibles. Dans le même temps,
la question de l’inadmissibilité d’un nouvel élargissement de
l’OTAN a été soulevée. La partie américaine a laissé toutes
les préoccupations de Moscou sans réponse.

Jacques Baud : « Les Américains ont instrumentalisé l’Ukraine
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de façon perverse ».

Jacques Baud est un ancien colonel de l’armée suisse, analyste
stratégique, spécialiste du renseignement et du terrorisme.

L’éminent professeur américain d’études russes Stephen F.
Cohen a tout résumé :
« Zelensky s’est présenté comme le candidat de la paix », a
expliqué Cohen. « Il a remporté un énorme mandat pour faire la
paix. Donc, cela signifie qu’il doit négocier avec Vladimir
Poutine ». Mais il y avait un obstacle majeur. Les fascistes
ukrainiens, a averti Cohen, « ont déclaré qu’ils élimineront
et tueront Zelensky s’il continue à négocier avec Poutine… Sa
vie est littéralement menacée par un mouvement quasi-fasciste
en Ukraine. »

En complément pour comprendre les causes de cette guerre
voir : le témoignage édifiant de Anne-Laure Bonnel :

La             situation               actuelle              :
https://reseauinternational.net/quand-un-chaudron-peut-en-cach
er-un-autre

II- Le massacre de Boutcha
Ce massacre a été un tournant dans la guerre d’Ukraine. Les
gouvernements occidentaux se sont empressés de condamner la
Russie et de voter un nouveau train de sanctions. Pourtant, de
nombreuses questions sont restées sans réponses.

Ce massacre de Boutcha est pour les Occidentaux la référence
des crimes commis par l’armée Russe. Posons-nous la question
de savoir qui sont véritablement les criminels sanguinaires ?

Vidéo très pertinente qui répond a cette question   de Michel
Collon :

•
https://www.investigaction.net/le-mediamensonge-du-jour-boutch
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a-10-questions-sans-reponses

Ce qui est encore plus surprenant, c’est que quelques minutes
après les « dernières nouvelles », les dirigeants occidentaux
– chefs d’État, ministres des Affaires étrangères, anciens
politiciens – sont apparus avec des déclarations dûment
préparées et uniquement basées sur des vidéos de quelques
secondes et une série de photos. , prêt à déverser des
accusations.

En revanche, aucun avis d’expert n’a été demandé, aucun
travail médico-légal n’a été effectué, aucune possibilité n’a
été donnée àux accusés d’être entendu.

     II.1- Chronologie des événements

Le   30 mars –

Les troupes Russes quittent Boutcha le 31 mars.

Le 31 mars –

Le maire de Boutcha annonce que la ville est « libérée », sans
faire mention d’atrocités . Il a déclaré :

« la ville avait été libérée des troupes russes. … le 31 mars
restera dans l’histoire de notre communauté de Boutcha comme
le jour de la libération ».

Les 1/2 avril –

Les bataillons d’Azov entrent à Boutcha. Ils demandent aux
habitants de rester chez eux. Pourquoi ?

Le 3 avril –

Le ministère ukrainien de la Défense publie une vidéo des
atrocités « russes »

Les images publiées et des photographies d’agences de presse
montraient des corps d’hommes en civil dans les rues de
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Boutcha, une ville au nord-ouest de Kiev. Des images
montraient notamment des cadavres allongés les mains liées
derrière le dos.

Cette chronologie est très importante pour savoir qui a tué
qui, quand et comment.

   II.2- Le mode opératoire des milices de sécurité kiéviennes
   (SBU)

Voir les récits d’un Britannique qui combattait auprès des
Ukrainiens et qui s’est rendu (à Marioupol) permettent de
commencer à identifier un mode opératoire des milices de
sécurité kiéviennes (SBU) , consistant à lier les membres
d’individus jugés complices des Russes avant de les
assassiner. Le même mode opératoire que les cadavres de
Boutcha.

   II.3- BOUTCHA : Le crime profite à qui ?

C’est la question qu’il faut toujours se poser, car très
généralement elle conduit aux auteurs du crime.

Les crimes de Boutcha profite exclusivement aux gouvernements
ukrainien et occidentaux : la Russie est mise au banc des
nations, les sanctions de plus en plus lourdes deviennent
légitimes, les peuples occidentaux haïssent de plus en plus
les russes, encore un effort et les peuples occidentaux seront
prêts à mourir pour l’Ukraine.

     La spirale du lavage des cerveaux par des mensonges
     répétés fonctionne parfaitement.
     La propagande de guerre bat son plein, les médias
     occidentaux sont prêts à tous les mensonges pour
     dépeindre les soldats russes comme des bêtes assoiffées
     de sang et des criminels de guerre.

C’est tellement pathétique, mais mentionnons-le simplement –
pour mémoire. La Russie a demandé au Conseil de sécurité de
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l’ONU d’examiner sérieusement le cas de Boutcha comme un fait
ou un scénario hollywoodien. Les Britanniques ont bloqué la
demande russe !!!!! Pourquoi ?

Il faudrait donc qu’une enquête indépendante avec tous les
observateurs y compris russes soit diligentée.

   II.4- Quels sont les éléments qui peuvent faire douter de
   la version ukrainienne ?

Les éléments fournis par l’Occident présentent de nombreuses
incohérences et de contradictions :

     Le maire de Boutcha fait une annonce le 31 mars que la
     ville est « libérée », sans faire mention d’atrocités,
     ni de cadavre dans les rues. Les bataillons d’Azov
     entrent à Boutcha et demandent aux habitants de rester
     chez eux. Ainsi il n’y aura pas de témoins.
     Les photos satellites de la société           américaine
     d’imagerie spatiale Maxar Technologies, datée du 19
     mars, montrent une route de la ville ukrainienne de
     Boutcha parsemée de cadavres. Or la date réelle est le
     1er avril, soit deux jours après que les russes ont
     quitté la ville. La société Maxar Technologies travaille
     pour le Pentagone !!!!!!
     Des posts venant d’une chaîne Telegram dédiée à la vie à
     Boutcha, montrent des photos du 31 mars 2022, où il n’y
     a pas de corps dans les rues.
     Si ces gens avaient été tués le 19 mars 2022, cela
     voudrait dire que les corps sont restés dehors pendant
     deux semaines avant d’être découverts. Or dès le 20
     mars les températures montent jusqu’à atteindre 16 °C
     les 22 et 23 mars. Ce qui veut dire qu’en deux semaines
     la putréfaction de ces corps devrait être bien avancée.
     Une vidéo existe de la mise en scène de Boutcha par des
     soldats ukrainiens qui mettent en place des cadavres
     pour faire accuser les Russes. Cette vidéo très courte
     montre que l’armée ukrainienne étalant des cadavres à
Boutcha a été diffusée par inadvertance aux médias.
     (video : https://t.me/annederussie/944)

     Comment les soldats ukrainiens auraient-ils pu alors
     tirer par une corde des cadavres en décomposition ?

En conséquence, il y a beaucoup trop de contradictions pour
que ce crime attribué aux Russes soit crédible.

Voir en Annexe A1 le détail

III- Le 8 avril à KRAMATORSK, les Russes commettent
encore des atrocités ?!
Pour les médias occidentaux les méchants Russes ont tiré un
missile Tochka-U avec une ogive à fragmentation sur la ville
de Kramatorsk, tuant des dizaines de civils innocents.

Le « monde civilisé tout entier » est dégoûté et a
immédiatement annoncé encore PLUS de sanctions, PLUS de
condamnations.

Petit problème : La Russie n’a pas de missiles Tochka-U, qui
sont des missiles soviétiques vieux de 30 ans        largement
surpassés aujourd’hui par les missiles russes modernes.

Donc le Tochka-U utilisé est ukrainien Cf les deux photos ci-
dessous
missiles Tochka-U ukrainien.

Notons qu’un    missile similaire à celui ayant frappé le
centre-ville de Donetsk a été tiré par l’armée ukrainienne
tuant 17 personnes sur place et blessant 36 autres civils. Pas
un mot dans les médias occidentaux.

   III.1- La Russie a t-elle intérêt à ce massacre ?

Le gros problème pour l’armée russe c’est l’utilisation des
civils comme boucliers humains par l’armée ukrainienne qui se
replie aux pieds des immeubles dans les villes empêchant ainsi
tous bombardements.

L’intérêt de la Russie et de la RPD ( Républiques autonomes du
Donbass) c’est que les civils évacuent ! D’ailleurs la RPD a
appelé les civils de Slaviansk et Kramatorsk à évacuer avant
que l’encerclement ne soit complet afin d’éviter de servir de
boucliers humains aux soldats ukrainiens.

La seule partie du conflit qui bénéficie de ce massacre c’est
l’Ukraine, qui, en effrayant les habitants de Kramatorsk,
essaye d’empêcher leur évacuation. Car moins il y a aura de
boucliers humains à Kramatorsk et plus vite les Russes
prendront la ville.

•
https://reseauinternational.net/les-forces-armees-ukrainiennes
-tirent-sur-la-gare-de-kramatorsk-avec-un-missile-tochka-u

   III.2- Preuves techniques

Elles montrent la fausseté de la narration officielle du
massacre de Kramatorsk, attribué aux troupes russes. Le numéro
de série du missile Tochka-U qui a frappé la gare ferroviaire
est le Ш91579 (en russe). Ce numéro de série marque le stock
de missiles Tochka-U possédé par l’armée ukrainienne.

   III.3- La version ukrainienne

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a de son côté
dénoncé une attaque qui aurait été déclenchée par la Russie.

« Sans la force et le courage de nous affronter sur le champ
de bataille, ils détruisent cyniquement la population civile.
C’est un mal qui n’a pas de limite. Et s’il n’est pas puni, il
ne s’arrêtera jamais », a-t-il affirmé sur Instagram, en
dénonçant les méthodes « inhumaines » des forces russes.

De plus, sur Instagram, il a affirmé qu’il s’agissait d’un
Totchka-U.

   III.4- La version russe

L’armée russe a plus tard également démenti avoir effectué une
quelconque mission de tir dans la ville de Kramatorsk le 8
avril, dénonçant une « provocation » des forces de Kiev.

« Toutes les déclarations des représentants du régime
nationaliste de Kiev sur le fait que la Russie a mené une
attaque de missile contre la gare ferroviaire de Kramatorsk
sont une provocation et ne correspondent pas à la vérité », a
en effet réagi le ministère russe de la Défense.
Aujourd’hui les médias ne parlent plus guère de ce crime et
pour cause !

IV- « Nous ne ferons jamais de prisonniers russes » :
l’armée ukrainienne affiche ses crimes de guerre
Alors que les médias occidentaux se sont concentrés sur les
violations présumées des droits de l’homme par la Russie
depuis le début de la guerre, les soldats ukrainiens et les
comptes de médias sociaux pro-ukrainiens ne se privent pas
d’exposer leurs crimes de guerre sadiques, des exécutions sur
le terrain à la torture de soldats captifs, comme autant de
trophées à leur gloire !!!

De plus, notons les exactions du Service de sécurité d’Ukraine
( SBU) : il arrête, tabasse et ligote des civils ukrainiens
soupçonnés de sympathie pour la Russie dans les zones évacuées
par l’armée russe avant de les exécuter. voir vidéo ci-
dessous.

Ces exécutions sommaires d’une violence extrême sont ensuite
imputées à l’armée russe pour les besoins de la propagande de
guerre et sont relayées par les services de guerre
psychologique des services spéciaux britanniques.

Vidéo des exactions faites par le SBU :

   IV.1- De retour d’Ukraine, Adrien Bocquet raconte : « J’ai
   vu des crimes abominables commis par Azov »

Sud Radio reçoit Adrien Bocquet, ancien fusilier de l’armée
française, il revient de 3 semaines en Ukraine.

Adrien Bocquet, ancien fusilier de l’armée française, a livré
le récit sur Sud Radio, le 10 mai, de trois semaines passées
en Ukraine dans le cadre d’une action humanitaire médicale,
durant lesquelles il a pu observer des exactions.

« Les seuls crimes de guerre que j’ai vus […] ont été
perpétrés par des militaires ukrainiens », a-t-il raconté,
précisant qu’il n’écartait en aucun cas des comportements
similaires de la part des forces russes.

« Il y en aussi côté ukrainien et on n’en parle pas », a-t-il
souligné, s’insurgeant contre les propos tenus dans les médias
par toutes les personnes qui ne se sont pas rendues elles-
mêmes sur le terrain.

« J’ai vu des choses abominables », a-t-il insisté, concluant
: « Si vous regardez les médias et si vous allez en Ukraine,
ce n’est pas une gifle que vous prenez, mais trois coups de
poing ».

« Ce qui me choque énormément, c’est que l’Europe donne de
l’armement à des militaires néonazis, on n’en parle pas, il
suffit de regarder, c’est un ancien sigle SS qui est brandi
partout en Ukraine et ça ne pose aucun problème »

  Adrien Bocquet : « Pourquoi nos armes vont-elles dans les
                    mains de néo-nazis ? »

   IV.2- Les exactions sur les prisonniers russes sont passés
   sous silence

L’utilisation par les soldats ukrainiens des téléphones
portables des soldats russes morts pour se moquer et harceler
leurs proches semble être une pratique courante. Mais cela va
beaucoup plus loin jusqu’à la torture.

En effet, avril dernier, une chaîne pro-ukrainienne Telegram
appelée fckrussia2022 a publié une vidéo montrant un soldat
russe avec l’un de ses yeux bandés, suggérant qu’il avait été
arraché pendant la torture, et se moquait de lui comme d’un
cochon « borgne ».

L’horreur peut aller jusqu’au meurtre. Par exemple, l’image la
plus horrible qui soit apparue sur les réseaux sociaux ces
dernières semaines est peut-être la photo d’un soldat russe
torturé qui s’est fait arracher l’un des yeux avant d’être
tué. Le message qui l’accompagnait était sous-titré « à la
recherche de nazis ». (voir photos ci-dessous)

  Photos diffusées par les chaînes pro-Ukraine Telegram
  montrant des soldats russes capturés, torturés et
  exécutés.

•
https://thegrayzone.com/2022/04/17/traitor-zelensky-assassinat
ion-kidnapping-arrest-political-opposition. (en français)

   IV.3- L’ONU fait état d’informations « crédibles » sur des
   actes de torture pratiqués sur des soldats russes

À l’occasion d’une conférence de presse consacrée à la
situation critique des civils dans le conflit ukrainien le 10
mai, Matilda Bogner, qui dirige la mission de surveillance des
droits de l’homme des Nations unies sur le terrain, a confirmé
que des mauvais traitements ont été infligés aux prisonniers
russes par les troupes ukrainiennes, rapporte le journal
américain The Hill.

« Nous avons reçu des informations crédibles faisant état de
torture, de mauvais traitements et de détention au secret, par
les forces armées ukrainiennes, de prisonniers de guerre
appartenant aux forces armées russes et aux groupes armés
affiliés », a-t-elle déclaré.

Parmi les traitements inhumains mis en cause, les soldats
capturés ont pu être « contraints de faire […] des excuses et
des aveux, et [soumis à] d’autres formes d’humiliation », a-t-
elle précisé.

En revanche, Marioupol les prisonniers ukrainiens ont été
traités avec dignité dans le respect de la convention de
Genève :

•
https://reseauinternational.net/christelle-neant-parle-de-la-r
eddition-dazovstal-et-de-ses-suites

   IV.4- Prisonniers russes torturés : des vidéos vérifiées
   par le journal « Le Monde » mettent en cause un bataillon
   de volontaires ukrainiens

Voici le récit de quatre journalistes : Arthur Carpentier,
Marceau Bretonnier, Elisa Bellanger et Adrien Sahli

« Trois prisonniers désarmés, trois coups de feu. Les trois
hommes s’écroulent. Une vidéo, diffusée le 27 mars 2022 et que
Le Monde a pu authentifier et recouper avec d’autres images,
documente une probable exaction commise par des volontaires
ukrainiens contre des prisonniers de guerre russes.

De tels agissements sont strictement prohibés par la
convention de Genève, qui fixe les règles à respecter envers
des soldats ennemis faits prisonniers : les protéger comme ses
propres soldats, ne pas les violenter, les soigner si
nécessaire.

Les images repérées par l’analyste indépendant Erich Auerbach,
et croisées par Le Monde à d’autres documents disponibles en
ligne, prouvent que des volontaires du bataillon ukrainien
Slobozhanshchyna se trouvaient sur les lieux quand les
prisonniers russes ont été torturés. S’il n’est pas possible
d’affirmer avec certitude que l’individu auteur du tir est
directement issu de leurs rangs, le leader du groupe, Andri
Ianholenko, apparaît clairement aux côtés des trois victimes,
avant les coups de feu. Sollicité par Le Monde, Andri
Ianholenko n’a pas répondu. »

•
https://www.lemonde.fr/2022/05/13/prisonniers-russes-tortures-
des-videos-verifiees-par-le-monde-mettent-en-cause-un-
bataillon-de-volontaires-ukrainiens

   IV.5- Le mensonge comme arme de guerre

Comment les médias otaniens mentent à leur population

par Dominique Delawarde (Ancien chef « Situation-
Renseignement-Guerre électronique » à l’état-major interarmées
de planification opérationnelle)

« Voici un exemple de manipulation des médias mainstream
occidentaux. On tait les choses dérangeantes ou l’on en
retient des interviews que la partie qui arrange notre camp.
On travestit la vérité :

Une vidéo remarquable (14 minutes) qui montre, de manière
claire et pédagogique, à partir d’un exemple concret, comment
les médias otaniens, agissant en véritable orchestre, mentent
éhontément à leur population pour emporter leur adhésion et
les conduire à la guerre.

Je reste encore très attristé d’entendre des galonnés de très
haut rang de mon propre pays accuser le camp adverse de mentir
sans vouloir regarder objectivement les mensonges de leur
propre camp.

Connaissant depuis plus de dix ans l’auteur de cette vidéo,
journaliste belge d’investigation, pour ses réalisations
antérieures, je lui donne aujourd’hui toute ma confiance. »

•
https://reseauinternational.net/comment-les-medias-otaniens-me
ntent-a-leur-population

Voir la vidéo sur les tortures en Ukraine : l’interview de
Laurent Brayard par Xavier Moreau

Des atrocités et des crimes mis en évidence dans cette vidéo,
il en ressort que l’Ukraine est un pays fasciste,. En effet
les les nazis arrêtent arbitrairement les gens, les torturent,
les tuent et font disparaître les corps dans des casses auto,
les brûlent,… . Ces horreurs sont surtout généralisé dans
l’Est de l’Ukraine.

Les gouvernements successifs de L’Ukraine ne pouvaient ne pas
savoir ce que faisait les SBU et les milices nazis. En fait,
ils les ont utilisés pour étouffer la contestation sociale.
Ils ont plongé les ukrainiens dans la pauvreté         tout en
planquant leur intérêts d’oligarque dans les paradis fiscaux.

Conclusion
La propagande n’a pas de limites. Un mensonge répété mille
fois devient par la force des choses une vérité.

De même, il est très facile de fabriquer des témoignages afin
de transformer un mensonge en vérité.

Seule une enquête indépendante et immédiate peut éclaircir les
faits.

Cependant, lorsqu’il y a trop de contradictions dans la
version des faits, celle-ci n’est plus crédible.

Boutcha et Kramatorsk font partie de ces cas. Le but évident
étant de faire passer les Russes pour des monstres
sanguinaires.

Londres et Washington cherchent à convaincre les Occidentaux
de leur narration. Ils ne s’adressent pas aux Ukrainiens et
encore moins aux Russes. Ils imposent leur point de vue par la
répétition, puis passent à autre chose. Ils se concentrent sur
la minoration des néo-nazis ukrainiens, sur la mise en scène
de belles images et sur la dénonciation de crimes attribués
aux Russes.

La propagande ukrainienne porte sur deux sujets : l’invention
de victoires militaires portées aux nues par la presse
occidentale, mais rapidement démenties, et l’attribution de
crimes abominables à l’armée russe, tout aussi rapidement
démenties.

Or, les USA et l’OTAN alimentent la guerre en Ukraine pour la
rendre permanente. Ainsi l’OTAN pousse la Russie vers la
guerre totale. Il faut embarquer les peuples européens dans
cette guerre par des manipulations habiles afin qu’ils
haïssent les Russes, comme ils ont haï Bachar et Kadhafi sur
des mensonges.

Alors que les armes affluent en Ukraine depuis les États de
l’OTAN et que la guerre s’intensifie, les atrocités vont
presque certainement s’accumuler et ceci avec la bénédiction
des dirigeants de Kiev.

Ainsi tous les moyens sont bons pour y parvenir. Zelensky l’a
proclamé lors d’une visite dans la ville de Bucha en avril
dernier : « si nous ne trouvons pas une issue civilisée, vous
connaissez notre peuple – ils trouveront une issue non
civilisée« . Étonnant non !!

                             ***
Références

• « Le Bataillon néonazi Aïdar n’a pas encore payé pour ses
crimes                                                      »,
https://www.legrandsoir.info/le-bataillon-neonazi-aidar-n-a-pa
s-encore-paye-pour-ses-html parLaurent BRAYARD pour le Donbass
Insider
• « Les législateurs américains ont accueilli le chef de
guerre géorgien notoire qui se vante désormais de crimes de
guerre               en               Ukraine               »,
https://thegrayzone-com.translate.goog/2022/04/08/lawmakers-ge
orgian-warlord-war-crimes-ukraine
• « Ukraine : Si nous refusons la guerre nucléaire, pourquoi
tout      faire      pour      la     provoquer       ?     »,
https://www.les-crises.fr/ukraine-si-nous-refusons-la-guerre-n
ucleaire-pourquoi-tout-faire-pour-la-provoquer
• « Le bataillon néonazi Tornado, un plongeon dans l’horreur
brute                                                       »,
https://www.legrandsoir.info/bataillon-neonazi-tornado-plongeo
n-dans-l-horreur-brute.html par Laurent BRAYARD pour le
Donbass Insider
• Aujourd’hui, les médias lavent plus blanc les Nazis qu’ils
condamnaient auparavant
• Collusion des États-Unis avec les néonazis – Les
néofascistes jouent un rôle important en Ukraine, qu’il soit
officiel                     ou                   seulement,
https://lesakerfrancophone.fr/collusion-des-etats-unis-avec-le
s-neonazis
• vidéo sur le Donbass : https://youtu.be/j04-wtsA8Hg
• vidéo sur l’Ukraine actuelle : https://youtu.be/VLXtWfTcLC4
• Azovstal, Mariupol. Natalia Usmanova, évacuée de l’aciérie
témoigne : https://youtu.be/kdYUbVaFNRw
• « Pourquoi les États-Unis utilisent des armes biologiques
sans     avoir     de     comptes      à    rendre     ?    »,
https://lesakerfrancophone.fr/pourquoi-les-etats-unis-utilisen
t-des-armes-biologiques-sans-avoir-de-comptes-a-rendre
• La nouvelle guerre de l’information ou « La vérité si je
mens »

                             ***

Annexes
A1 : Boutcha
1 – Examen des photos du crime

  Photos satellites de la société américaine d’imagerie
  spatiale Maxar Technologies.

Le New York Times a publié le 4 avril une photo satellite,
datée du 19 mars, qui montre une route de la ville ukrainienne
de Boutcha parsemée de cadavres.

La photo, diffusée aux médias dominants à échelle mondiale, a
été présentée comme preuve d’un « crime de guerre commis par
les troupes russes en Ukraine ».

Un examen technique démontre que la photo satellite n’a pas pu
être prise le 19 mars, quand les troupes russes se trouvaient
encore à Boutcha, mais le 1er avril, deux jours après qu’elles
avaient quitté la ville.

En effet, la date et l’heure exacte de l’image ont été
calculées par le programme SunCalc sur la base de
l’inclinaison du soleil au-dessus de l’horizon et donc de la
direction des ombres. Dans l’image satellite publiée par le
NYT, l’angle du Soleil est de 42 degrés. Cela signifie que la
photo satellite a été faite à 11h57 GMT le 1er avril.
À ceci s’ajoutent des doutes fondés à propos de la narration
officielle du « massacre de Boutcha ». Ils émergent de la
chronologie même des événements :

le 30 mars les soldats russes quittent Boutcha, le 31 mars le
maire de Boutcha le confirme et ne parle pas de morts, le 31
mars les néo-nazis du Bataillon Azov entrent dans Boutcha, le
4 avril est publiée la photo satellite avec les cadavres dans
les rues.

Ce qui est troublant c’est qu’au lieu de conserver les corps
pour pouvoir les examiner et établir les causes de la mort,
ils vont être enterrés précipitamment dans une fosse commune
où ils resteront plusieurs jours.

Ils seront ensuite exhumés pour ouvrir une « enquête » et
faire accuser la Russie de « crime de guerre ».

   2 – Les informations recueillies par Christelle Néant
   (reporter dans le Donbass) (*)

Christelle Néant   apporte des éléments complémentaires très
utiles dans la recherche de la vérité . Dans son article on
peut relever notamment :

• Des posts venant d’une chaîne Telegram dédiée à la vie à
Boutcha, montrent des photos du 31 mars 2022, où il n’y a pas
de corps dans les rues. Et aucune mention de ces derniers non
plus.

• Autre information obtenue grâce à cette chaîne Telegram, il
s’avère que l’armée ukrainienne a débarqué à Boutcha dès le
1eravril 2022. Ce qui permet de dire que les troupes
ukrainiennes pourraient bien être responsables des morts
visibles dans la vidéo du 1er avril (voir l’article :
https://www.donbass-insider.com/2022/04/04/ukraine-le-massacre
-de-boutcha-un-timisoara-a-lukrainienne).

• Mais là où ça coince le plus, c’est que si ces gens avaient
été tués le 19 mars 2022, cela voudrait dire que les corps
sont restés dehors pendant deux semaines avant d’être
découverts ! Or sauf confinement en chambre froide
(température entre 2 et 4 °C qui permet de ralentir le
processus mais pas de le stopper), le corps va commencer à se
putréfier deux à trois jours après la mort.

Or dès le 20 mars les températures montent jusqu’à atteindre
16 °C les 22 et 23 mars. Le temps est de plus ensoleillé, ce
qui veut dire qu’il fait encore plus chaud sur l’asphalte
sombre où reposent les corps. Ce qui veut dire qu’en deux
semaines la putréfaction de ces corps devrait être bien
avancée.

• source : « Quand images satellite et vidéos sont manipulées
pour      raconter       une     fausse       histoire     »,
https://www.agoravox.fr/massacre-de-boutcha-quand-images

(*) Christelle Néant : Fondatrice de Donbass Insider, un média
indépendant basé à Donetsk, je couvre le conflit du Donbass et
la vie des Républiques populaires de Donetsk et Lougansk sur
le terrain.

A2- Les Forces de Sécurité ukrainiennes (SBU) à l’œuvre
Milice nazi AZOV

Voir la vidéo très instructive :

 Ukrainian SBU is arresting civilians in Dnipropetrovsk.

 pic.twitter.com/bbHFeADnqg

 — Vera Van Horne (@VeraVanHorne) April 5, 2022

Le SBU ukrainien étudie la torture et les assassinats de la
CIA :

« Vassily Prozorov, un ancien officier du SBU qui a fait
défection en Russie après le coup d’État du Maïdan en 2014, a
détaillé la dépendance systémique des services de sécurité
post-Maïdan à la torture pour écraser l’opposition politique
et intimider les citoyens accusés de sympathies russes.

Selon Prozorov, l’ancien officier du SBU, les services de
sécurité ukrainiens sont directement conseillés par la CIA
depuis 2014. « Des employés de la CIA sont présents à Kiev
depuis 2014. Ils résident dans des appartements clandestins et
des maisons de banlieue », a-t-il déclaré. « Cependant, ils
viennent fréquemment au bureau central du SBU pour tenir, par
exemple, des réunions spécifiques ou planifier des opérations
secrètes. »

•
https://thegrayzone-com.translate.goog/2022/04/17/traitor-zele
nsky-assassination-kidnapping-arrest-political-opposition

Faut-il dénazifier l’Ukraine ?

 Êtes vous sur que ces « gentils »          ukrainiens et
 ukrainienne vous veulent du bien ?.

Êtes vous prêt à mourir pour eux ???
• Ce   qui se passe en réalité en Ukraine (Donbass et ailleurs)
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• Ce   qui se passe en réalité en Ukraine (Donbass et ailleurs)
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