PAR LES BORDS - REVUE DE PRESSE - Squarespace

REVUE
DE PRESSE

                        PAR LES BORDS
                               RENAUD HERBIN

Photo : Benoît Schupp

SOMMAIRE
                             REVUE DE PRESSE TJP
                   PAR LES BORDS-RENAUD HERBIN

PAR LES BORDS                                 5

PRESSE NATIONALE
LE MONDE                                   6-8

THÉÂTRE(S)                                9-10

L’HUMANITÉ                              11-12

SCENE WEB                               13-15

PRESSE RÉGIONALE
L’ALSACE                                16-18

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PAR LES BORDS
TJP CENTRE DRAMATIQUE NATIONAL
STRASBOURG - GRAND-EST
 CRÉATION   PREMIÈRES

 DÈS 10 ANS      50 ’

PRODUCTION TJP CDN
COPRODUCTION THÉÂTRE NOUVELLE GÉNÉRATION - CENTRE DRAMATIQUE
NATIONAL DE LYON

   Par les bords est une interrogation existentielle, entre ciel et terre, à l’échelle de l’intime et
des émotions qui débordent. Dans l’épure du plateau, un rectangle suffit à définir l’horizon. Un
être se tient à ce qu’il peut, fragile, chancelant, en relation avec des forces invisibles. Figure
de celui ou celle qui doit partir et finira bien par arriver quelque part, en périphérie de lui-
même, l’interprète arpente un territoire nouveau où reconstruire son propre équilibre après
un déracinement. Sa solitude est pourtant peuplée de puissances qu’il s’agit de sonder. La
rencontre de la voix enchantée de Sir Alice et du oud de Grégory Dargent l’accompagne
dans son interpellation de l’immensité par le mouvement. S’il s’adapte au monde, c’est pour
essayer d’y trouver une place. Dans cette pièce chorégraphique, Renaud Herbin travaille le
langage – et ses différents états – comme une nouvelle matière au plateau. Avec la musique,
le mouvement incarne le long poème qu’il a composé. Il y est question d’une figure d’exil : celui
ou celle qui abandonne le lieu de son existence où il est devenu impossible de se tenir. Qui
en franchit les limites au péril de sa vie. Sur scène, un corps circassien au bord de sa propre
existence mène un combat perpétuel pour l’équilibre des forces, contraint de développer des
qualités singulières pour avancer, retomber sur ses pieds et se réinventer.

   Formé à l’École nationale supérieure des Arts de la Marionnette de Charleville-Mézières,
Renaud Herbin a longtemps codirigé la compagnie LàOù. Depuis 2012, il est à la tête du
TJP Centre Dramatique National de Strasbourg - Grand Est, où il développe la relation
Corps-Objet-Image, décloisonnant les pratiques de la matière et de la marionnette par un lien
avec le champ chorégraphique et les arts visuels. Il a créé Actéon, Profils, Milieu, La Vie des
formes, Wax, Open the Owl, Iceberg, At the still point of the turning world, Milieu & Alentour,
L’Écho des creux et Quelque chose s’attendrit.

CONCEPTION RENAUD HERBIN / JEU JEAN-BAPTISTE ANDRÉ OU CÔME FRADET (EN ALTERNANCE) / MUSIQUE SIR
ALICE & GRÉGORY DARGENT / ESPACE MATHIAS BAUDRY / LUMIÈRE RENAUD HERBIN & ANTHONY ABRIEUX /
CONSTRUCTIONS ANTHONY LATUNER & PIERRE CHAUMONT / RÉGIE GÉNÉRALE THOMAS FEHR & OLIVIER FAUVEL

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LE MONDE
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LE MONDE
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LE MONDE
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    https://www.lemonde.fr/culture/article/2022/03/09/renaud-herbin-les-giboulees-les-artistes-nous-in-
    citent-a-sortir-de-la-nuit-dans-laquelle-notre-monde-a-bascule_6116790_3246.html

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THÉÂTRE(S)
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THÉÂTRES
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L’HUMANITÉ
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MARS 2022

    Entretien

    THÉÂTRE Giboulées : « Des artistes au sortir d’une
    étrange nuit »
    Rencontre avec le directeur de cette biennale née il a 45 ans à Strasbourg et mariant marionnettes,
    comédiens, musique, images animées ; du 4 au 19 mars.

    Publié le
    Lundi 7 Mars 2022
    Gérald Rossi

    © Benoit Schupp

    Renaud Herbin.

    Marionnettiste, directeur du TJP et des Giboulées

    Après une édition 2020 sabordée par la pandémie, la biennale renaît. Un
    soulagement pour le marionnettiste et directeur du festival que vous êtes ?

    Renaud Herbin. Oui, ce sera une édition de retrouvailles. Et pour cela nous avons étendu sa durée
    afin de pouvoir accueillir le maximum de créations. Ces Giboulées seront plus que jamais marquées
    par les humeurs qui circulent d’un créateur à l’autre, dans un environnement qui raconte quelque
    chose du monde, avec des artistes au sortir d’une étrange nuit, d’un état second.

    Comment résumer cette édition ?

    Renaud Herbin. C’est toujours un rendez-vous centré sur le rapport corps-objet-image. Autrement dit
    nous voulons donner à voir les fils visibles ou invisibles qui relient les éléments entre eux et les êtres
    au monde. Certaines éditions ont été plus internationales, là encore nous subissons les effets du
    covid. Mais ce sera l’occasion de formidables créations, dont celle de Tibo Gebert, « Hero », son
    nouveau spectacle à découvrir lors du week-end d’ouverture. Figure importante de la marionnette
    contemporaine, il pose cette question : qui sommes-nous, de quelle identité ?

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L’HUMANITÉ
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MARS 2022

  Cette édition sera aussi l’occasion de rendre un hommage au fondateur André
  Pomarat…

  Renaud Herbin. Effectivement. Il nous a quittés, à quatre vingt dix ans, en toute discrétion, le 30 avril
  2020. Il est à l’origine des Giboulées, qui ont vu le jour voilà quarante-cinq ans. Il faut dire tout ce qu’il
  a apporté à la scène strasbourgeoise, et pour moi la question de l’héritage culturel est essentielle.
  Nous sommes traversés par des histoires, des générations et il est utile de le savoir.

  Vous allez présenter trois créations de formes différentes. Pourquoi ce choix ?

  Renaud Herbin. Ce sont trois formats différents, et chacun me passionne. Avec « Les Flottants », il
  s’agit, dehors, d’inviter les passants à prendre contact avec une grande bulle d’air, histoire de
  retrouver autour de formes non identifiées. Il y aura ensuite « Par les bords », construit avec le
  circassien, acrobate et équilibriste Jean-Baptiste André. Il déjoue la gravité, et moi, dans mon travail
  de marionnettiste à fil, je poursuis un travail analogue de suspension des corps. À ce spectacle
  participent aussi Grégory Dargent, joueur de Oud et la chanteuse compositrice Sir Alice qui tracent
  ensemble le lien entre les humains que nous sommes et d’autres échelles de l’espace. Enfin, avec
  « Quelque chose s’attendrit », j’ai voulu travailler sur les échelles de grandeur avec une marionnette
  pas plus grande qu’une main…

  Ce sera votre dernière édition en tant que directeur du TJP, centre dramatique
  du Grand Est. Quels sont vos projets ?

  Renaud Herbin. Après trois mandats, je suis heureux de passer la main à un ou une successeur(e)
  (qui n’a pas encore été désigné(e) et pour moi une nouvelle aventure se dessine. J’ai décidé de rester
  à Strasbourg et en janvier prochain j’y implanterai la compagnie que je suis en train de mettre sur
  pied. J’ai décidé de ne pas briguer un autre poste de direction d’une institution mais de poursuivre
  mes travaux de marionnettiste sur ce territoire artistiquement excitant.

https://www.humanite.fr/culture-et-savoirs/theatre/beau-temps-pour-des-giboulees-740690

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SCENE WEB
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SCENE WEB
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     14 février 2021

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SCENE WEB
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       https://sceneweb.fr/actu-aux-giboulees-corps-objets-et-images-sondent-linvisible/

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L’ALSACE
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L’ALSACE
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L’ALSACE
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MARS 2022

      https://www.lalsace.fr/culture-loisirs/2022/03/02/en-ouverture-des-giboulees-le-directeur-du-tjp-
      cree-par-les-bords-opeme-choregraphique

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CONTACT PRESSE NATIONALE:
   OPUS 64 - Arnaud Pain
     a.pain@opus64.com