Rapport sur la première session extraordinaire
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Vingt-neuvième Comité permanent EUR/SC29(SS1)/REP du Comité régional de l’Europe Première session extraordinaire, ouverte à tous les États 1er décembre 2021 membres de la Région européenne de l’OMS 211176 Session virtuelle, mardi 23 novembre 2021 ORIGINAL : ANGLAIS Rapport sur la première session extraordinaire ORGANISATION MONDIALE DE LA SANTÉ • BUREAU RÉGIONAL DE L’EUROPE UN City, Marmorvej 51, DK-2100 Copenhague Ø, Danemark Téléphone : +45 45 33 70 00 Fax : +45 45 33 70 01 Courriel : eugovernance@who.int Site Web : http://www.euro.who.int/fr/who-we-are/governance
EUR/SC29(SS1)/REP page 2 Ouverture de la session 1. La première session extraordinaire du Vingt-neuvième Comité permanent du Comité régional de l’Europe (CPCR) a été organisée par le Bureau régional de l’OMS pour l’Europe (OMS/Europe) le 23 novembre 2021 dans un format virtuel. Cette session extraordinaire, convoquée par le CPCR conformément aux articles 3 et 5.1 de son règlement intérieur, était ouverte à tous les États membres européens. 2. Ouvrant la session, la présidente du Vingt-neuvième CPCR accueille les intervenants invités : Son Excellence M. François Rivasseau (France), vice-président du Groupe de travail sur le renforcement de la préparation et de la riposte de l’OMS aux urgences sanitaires ; le docteur Clemens Auer (Autriche), vice-président du Conseil exécutif de l’OMS et agent de liaison entre le Conseil exécutif et le CPCR ; le docteur Nikica Daraboš (Croatie), coordonnateur pour les États membres de la Région européenne de l’OMS ; le docteur Jaouad Mahjour, sous-directeur général de l’OMS chargé de la préparation aux situations d’urgence ; et le docteur Tim Armstrong, directeur, département Organes directeurs, Siège de l’OMS. Elle souhaite également la bienvenue aux participants invités, le docteur Marc Danzon, directeur émérite de l’OMS/Europe, et le docteur Anne Marie Worning, conseillère spéciale du directeur régional de l’OMS pour l’Europe. Remarques liminaires du directeur régional de l’OMS pour l’Europe, avec présentation actualisée des mesures prises pour renforcer la prévention de l’exploitation et des abus sexuels dans la Région européenne de l’OMS 3. Le directeur régional s’exprime depuis le Bélarus, où il s’est joint à la mission humanitaire de l’OMS envoyée pour évaluer la situation sur le terrain et apporter une aide sanitaire immédiate aux réfugiés de la région de Grodno. Un accord a été trouvé sur un plan d’action concret visant à améliorer les conditions sanitaires et d’hygiène dans les camps de réfugiés, puis à organiser les soins de santé primaires sur place, en collaboration avec la Croix-Rouge biélorusse. Le directeur régional est également en contact avec l’équipe de pays des Nations Unies et Médecins sans frontières. Auparavant, il a effectué une visite productive au Turkménistan, encadrée par le ministre de la Santé et le nouveau membre désigné du CPCR pour le Turkménistan, le docteur Sachly Nuryyeva. 4. Dans la déclaration qu’il a publiée le 4 novembre 2021, le directeur régional a indiqué que l’Europe était de nouveau à l’épicentre de la pandémie de COVID-19, et que 500 000 décès supplémentaires pourraient encore être déplorés au 1er mars 2022. Un bilan actualisé écrit de la situation et de la réaction à la pandémie dans la Région européenne au 15 novembre 2021 a été envoyé aux membres du CPCR avant la réunion. Le directeur régional distingue cinq facteurs susceptibles de stabiliser la situation concernant la COVID-19 : l’encouragement du port du masque ; l’élargissement de la couverture vaccinale ; l’administration de vaccins de rappel aux adultes ; l’émission de recommandations stratégiques concernant la ventilation et la fourniture d’appareils de mesure du CO2, en particulier dans les écoles ; et l’application de nouveaux traitements, ainsi que l’élaboration de protocoles de traitement normalisés pour les médicaments disponibles. 5. Le directeur régional rappelle que la Commission indépendante sur les allégations d’exploitation et d’abus sexuels pendant la riposte à la 10e épidémie de maladie à virus Ebola
EUR/SC29(SS1)/REP page 3 en République démocratique du Congo (RDC) a publié son rapport le 28 septembre 2021. Il souhaite vivement mettre en place dans la Région européenne toutes les mesures nécessaires pour détecter et prévenir l’exploitation et les abus sexuels et lutter contre ces derniers tant au sein des communautés servies par l’OMS/Europe que sur les lieux de travail. Des initiatives de courte durée sont prises, en cohérence avec le plan de riposte de la direction générale de l’Organisation et avec le soutien financier du fonds de développement du directeur régional, pour faire en sorte que l’engagement collectif de l’OMS/Europe en faveur de la tolérance zéro dans le domaine de l’exploitation et des abus sexuels soit évident pour tous. Afin de garantir que les problèmes puissent être signalés dans un environnement de travail psychologiquement sûr, un point focal de sexe féminin a été nommé contre l’exploitation et les abus sexuels ; des mesures particulières ont été prises pour les sites à plus haut risque, une formation obligatoire sur l’exploitation et les abus sexuels a été dispensée à l’ensemble du personnel de l’OMS et un groupe de travail régional sur l’exploitation et les abus sexuels a été constitué. Une campagne régionale intitulée « Pas d’excuse – Tolérance zéro » sera lancée en janvier 2022. Le directeur régional a invité le docteur Gaya Manori Gamhewage, directrice de la division Prévention & lutte contre l’exploitation, les abus et le harcèlement sexuels, à la prochaine réunion générale du personnel. Il s’engage à faire régulièrement rapport au CPCR sur les activités régionales. 6. La présidente remercie le directeur régional pour toutes les mesures entreprises et propose que le thème de l’exploitation et des abus sexuels soit débattu lors de la prochaine réunion officielle du CPCR, le 8 décembre 2021, pour voir comment les États membres pourraient soutenir ces importants efforts. Ordre du jour provisoire et déroulement de la deuxième session extraordinaire de l’Assemblée mondiale de la santé 7. Le directeur, département Organes directeurs, Siège de l’OMS, fait brièvement le point sur les dispositions prévues pour la prochaine session extraordinaire, la deuxième, de l’Assemblée mondiale de la santé, qui se tiendra à Genève (Suisse) du 29 novembre au 1er décembre 2021. Cette session extraordinaire sera présidée par deux vice-présidents de la Soixante-quatorzième Assemblée mondiale de la santé, le professeur Benjamin Hounkpatin (Bénin) et le docteur Hanan M. Al-Kuwari (Qatar). Afin de limiter le risque de transmission de la COVID-19, seuls deux délégués par État membre au maximum seront admis sur le site de l’OMS à tout moment, sauf lorsqu’un État membre est représenté par un ministre. Les délégués devront avoir subi un test de réaction en chaîne par polymérase (PCR) négatif dans les 72 heures précédant le premier jour où ils seront présents ; des tests de diagnostic rapide seront également fournis, que les délégués devront s’auto-administrer chaque matin. Les délégués désireux d’assister à la session en personne devront s’inscrire sur la plateforme Indigo. 8. Après de brefs commentaires introductifs qui seront prononcés par une série d’intervenants de haut niveau, deux jours au moins devraient être consacrés aux interventions des États membres avant l’examen du projet de décision. Ensuite, il y aura très probablement une autre série d’interventions des États membres concernant l’un ou l’autre point du projet de décision. Les acteurs non étatiques et les autres organisations intergouvernementales pourraient être invités à prononcer des déclarations à la fin de chaque journée. 9. Un membre du CPCR déclare qu’il serait utile de savoir quels ministres prévoient d’assister à la session extraordinaire ; un autre demande quelles dispositions sont prises pour faire face à la situation si les pays n’étaient pas en mesure de parvenir à un accord sur un projet
EUR/SC29(SS1)/REP page 4 de décision avant le début de la session extraordinaire. Le représentant d’un État membre demande qui seront les orateurs de haut rang à l’ouverture de la session extraordinaire. Une autre représentante se dit préoccupée par l’attribution des sièges et est surprise par la demande de tests PCR. Elle fait observer que ceux-ci ne sont exigés ni par les autorités suisses ni par l’Office des Nations Unies à Genève pour entrer dans le Palais des Nations. 10. En réponse, le directeur, département Organes directeurs, précise qu’il prévoit la participation d’une vingtaine de ministres ; les détails seront disponibles après la clôture des inscriptions, le 26 novembre 2021. Il ne sera pas possible de tenir des réunions d’un groupe de rédaction pendant la session extraordinaire ; si nécessaire, le président pourra superviser la finalisation d’un projet de décision en plénière. Lors de la séance d’ouverture, il y aura un orateur de haut rang (chef d’État ou de gouvernement) pour chaque Région de l’OMS. Les participants siégeront selon l’ordre alphabétique des noms de pays. Le sous-directeur général chargé de la préparation aux situations d’urgence confirme que des tests PCR sont exigés pour limiter au maximum le risque de propagation de la COVID-19. Conclusions des délibérations du Groupe de travail sur le renforcement de la préparation et de la riposte de l’OMS aux urgences sanitaires 11. Le vice-président du Groupe de travail sur le renforcement de la préparation et de la riposte de l’OMS aux urgences sanitaires annonce au CPCR que le bureau du groupe de travail, au sein duquel siègent six membres élus pour représenter les six Régions de l’OMS, a tenté de refléter la diversité des points de vue de chaque Région et de travailler par consensus. Dans son rapport (document SSA2/31), ce groupe de travail a décelé deux points épineux : premièrement, quel sera le statut juridique d’un nouvel instrument international dont le groupe de travail a évalué les avantages et les inconvénients, et deuxièmement, quel sera l’organe responsable de la rédaction de l’avant-projet de cet instrument ? Il propose qu’un organe de négociation intergouvernemental, s’il est établi, maintienne des liens étroits avec son groupe de travail, puisque ce dernier est mandaté pour formuler des recommandations non seulement sur un instrument possible, mais aussi sur le renforcement du Règlement sanitaire international (RSI) (2005) ; la cohérence entre ces deux objectifs pourra naturellement être garantie par son groupe de travail. En ce qui concerne la nature juridique de cet instrument, le bureau estime qu’une seule solution permet d’espérer un consensus, à savoir un instrument juridiquement contraignant aux termes de l’article 19 de la Constitution de l’OMS. Cependant, ce point de vue n’a pas encore été adopté par son groupe de travail. 12. Ce dernier prépare actuellement un questionnaire qui sera envoyé aux États membres dans la semaine. Le sondage visera à recueillir l’avis des États membres quant aux suggestions et recommandations (au nombre de plus de 100) contenues dans le tableau de bord 2 compilé par le secrétariat de l’OMS. Le groupe de travail concentrera son attention sur les aspects les plus importants, les plus urgents et les plus porteurs relevés dans le sondage, afin de les inclure dans un rapport qui sera soumis au Conseil exécutif lors de la 150e session de ce dernier, prévue du 1 Rapport du Groupe de travail des États membres sur le renforcement de la préparation et de la riposte de l’OMS aux urgences sanitaires à la session extraordinaire de l’Assemblée mondiale de la santé. Voir https://apps.who.int/gb/ebwha/pdf_files/WHASSA2/SSA2_3_F.pdf. 2 Tableau de bord de l’OMS sur les recommandations face à la COVID-19 (en anglais seulement). Voir https://app.powerbi.com/view?r=eyJrIjoiODgyYjRmZjQtN2UyNi00NGE4LTg1YzMtYzE2OGFhZjBiYzFjIiwi dCI6ImY2%20MTBjMGI3LWJkMjQtNGIzOS04MTBiLTNkYzI4MGFmYjU5MCIsImMiOjh9&pageName=R eportSection729b5bf5a0b57%209e86134.
EUR/SC29(SS1)/REP page 5 24 au 29 janvier 2022. Le groupe de travail affinera ensuite sa réflexion sur ce dossier dans la période précédant la Soixante-quinzième Assemblée mondiale de la santé. Réflexion sur les avantages présentés par l’élaboration d’une convention, d’un accord ou autre instrument international de l’OMS sur la préparation et la riposte aux pandémies, en vue de la mise en place d’un processus intergouvernemental pour rédiger et négocier cette convention, cet accord ou autre instrument international, en tenant compte du rapport du Groupe de travail sur le renforcement de la préparation et de la riposte de l’OMS aux urgences sanitaires 13. Faisant observer la nécessité d’un mécanisme efficace, politiquement contraignant à l’échelle mondiale, le vice-président européen du Conseil exécutif appelle les délégations à la deuxième session extraordinaire de l’Assemblée mondiale de la santé à prononcer des déclarations politiques fermes si elles sont en faveur d’un instrument juridiquement contraignant. Il est probable que de nombreux arguments légalistes seront avancés contre l’adoption d’un tel instrument, mais après la pandémie de COVID-19, le monde ne peut pas revenir à la normalité antérieure. Il annonce également aux participants qu’une proposition initiale concernant un nouveau comité permanent pour la préparation et l’intervention sera diffusée pour examen à la 150e session du Conseil exécutif. 14. Le coordonnateur pour les États membres de la Région européenne de l’OMS fait remarquer qu’il collabore avec ses homologues des autres Régions de l’OMS à Genève. Lors d’une récente réunion régionale européenne des attachés aux affaires sanitaires, à laquelle assistait le docteur Haik Nikogosian, ancien chef du secrétariat de la Convention-cadre de l’OMS pour la lutte antitabac, l’ensemble des États membres ont convenu qu’un nouvel accord sur les pandémies pourrait élever le niveau d’engagement et de responsabilité politiques. Cela permettrait aussi d’aborder des thématiques ne relevant pas du contenu du RSI (2005), qui n’entrent pas dans le champ d’application de l’article 21 de la Constitution de l’OMS et sont couvertes par d’autres traités internationaux nécessitant un remaniement. De plus, cet accord permettrait peut-être de traiter de problématiques actuelles précises en rapport avec la lutte contre les risques de zoonoses, dans l’esprit d’« Une seule santé » ; d’améliorer la chaîne d’approvisionnement et de donner un accès équitable aux vaccins et autres produits essentiels ; et de renforcer les mécanismes de conformité. Cet accord permettrait peut-être aussi d’améliorer l’état de préparation des services de santé, les contre-mesures sociales et économiques dans leur contexte sanitaire, le soutien juridique pour les mécanismes de financement mondiaux et la proclamation d’une urgence de santé publique. Néanmoins, il est important de souligner que cet accord doit mettre l’accent sur les questions spécifiques à la pandémie, et non sur la propagation internationale des maladies en général, et qu’il ne doit pas faire double emploi avec le RSI (2005), qui doit rester un instrument central dans la lutte contre la propagation internationale des maladies. 15. Les points sur lesquels les participants se sont mis d’accord dès le début des concertations sont les suivants : une large participation et un processus inclusif, englobant les acteurs non étatiques ; la création d’un organe intergouvernemental de négociation dans le but de négocier un nouvel accord mondial ; et le souhait que la session extraordinaire de l’Assemblée mondiale de la santé soit un succès. Cependant, certains aspects nécessitent encore des travaux intensifs, par exemple, comment la nature juridiquement contraignante de l’accord sera-t-elle reflétée dans le texte, qui produira l’avant-projet et quand celui-ci sera-t-il prêt, qui seront les
EUR/SC29(SS1)/REP page 6 coprésidents de l’organe intergouvernemental de négociation et à quel niveau les experts seront impliqués dans la concertation. Le problème le plus important pour l’obtention d’un consensus concerne les conséquences de la transposition d’un tel traité en droit national après sa ratification, et la question de savoir si les lois nationales ultérieures constitueront un cadre contraignant pour tous les secteurs concernés. 16. Le coordonnateur exhorte l’ensemble des États membres européens à tout faire pour parvenir à un consensus et à œuvrer au succès de la session extraordinaire de l’Assemblée mondiale de la santé. 17. Dans la discussion qui suit, un membre du CPCR considère que la création d’un nouveau traité international requiert une approche prudente visant à apporter une valeur ajoutée aux mécanismes existants et à éviter la répétition des activités. Cette approche doit contribuer à la durabilité financière de l’OMS. Il conviendrait de procéder à une première étude des incidences avant de prendre l’engagement d’assumer des tâches supplémentaires. Il faut dûment tenir compte de la capacité des secteurs nationaux de la santé à supporter la charge supplémentaire que représente la mise en œuvre d’un nouvel accord international. D’éventuels mécanismes de notification devraient être soigneusement étudiés afin d’éviter les doublons. 18. De nombreux membres du CPCR (dont les pays font partie du Groupe des Amis du Traité) saluent le rapport du Groupe de travail sur le renforcement de la préparation et de la riposte et expriment leur soutien à l’élaboration d’un instrument juridiquement contraignant. Le groupe de travail doit poursuivre ses travaux, en lien avec les activités visant à renforcer le RSI (2005). Un groupe de négociation intergouvernemental devrait commencer à travailler le plus tôt possible, dans le but de présenter un projet d’instrument à la Soixante-quinzième Assemblée mondiale de la santé. Un tel instrument permettrait d’accorder une attention soutenue, sur le plan politique et normatif, à la question cruciale de la préparation aux pandémies. Bien qu’il y ait un accord général sur l’importance de la participation des acteurs non étatiques et de la mobilisation des experts, un membre note que la participation de l’ensemble des États membres à toutes les séances de rédaction n’est peut-être pas la manière la plus efficace de procéder. 19. Un membre du CPCR se félicite de l’organisation de la session ouverte et préconise la tenue d’autres réunions ouvertes du Comité permanent à l’avenir afin d’avoir des échanges régionaux sur des dossiers mondiaux. Clôture de la session 20. Le directeur exécutif, bureau du directeur régional, déclare qu’en collaboration avec le coordonnateur, le secrétariat organisera chaque matin, durant la session extraordinaire de l’Assemblée mondiale de la santé, une séance d’information pour les États membres européens.
EUR/SC29(SS1)/REP page 7 Annexe. Liste des participants Représentants d’États membres du CPCR présents à la session Arménie, Dr Lena Nanushyan Belgique, Mme Anne Swaluë Bulgarie, Pr Plamen Dimitrov Bulgarie, Mme Olga Sotirova Espagne, Mme Nerea Uribarri Espagne, Mme Paula Marquez France, Pr Jérôme Salomon France, Mme Christine Berling France, Mme Amélie Schmitt Kazakhstan, Dr Marat Shoranov Kazakhstan, Dr Gulnara Mukhanova Monténégro, Mme Mirjana Đjuranović Monténégro, S. E. Mme Slavica Milacic Monténégro, Mme Maja Schmidt Norvège, Mme Tone Wroldsen Norvège, M. Eivind Berg Weibust Norvège, Mme Benedikte Louise Alveberg Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d’Irlande du Nord, M. Matthew Harpur Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d’Irlande du Nord, Mme Nicky Shipton-Yates Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d’Irlande du Nord, M. Charles Dabbs Suisse, Mme Nora Kronig Romero Suisse, Mme Noemi Fivat Suisse, Mme Rhena Forrer Suisse, Mme Tabea Kappeler Tchéquie, Mme Dana Lupačová Turkménistan, Dr Sachly Nuryyeva Turkménistan, Dr Maral Gujikova
EUR/SC29(SS1)/REP page 8 Observateurs et invités S. E. M. François Rivasseau, ambassadeur, Mission permanente de la France auprès de l’Office des Nations Unies et des autres organisations internationales à Genève 3 Dr Clemens-Martin Auer, envoyé spécial pour la santé, ministère fédéral des Affaires sociales, de la Santé, des Soins et de la Protection des consommateurs, Autriche 4 Dr Nikica Daraboš, ministre plénipotentiaire, Mission permanente de la Croatie auprès de l’Office des Nations Unies et des autres organisations internationales à Genève 5 Délégation permanente de l’Union européenne auprès des Nations Unies à Genève Dr Marc Danzon, directeur régional émérite de l’OMS pour l’Europe Dr Hans Troedsson, conseiller spécial du directeur régional Dr Anne Marie Worning, conseillère spéciale du directeur régional = = = 3 En sa qualité de vice-président du Groupe de travail sur le renforcement de la préparation et de la riposte de l’OMS aux urgences sanitaires, France. 4 En sa qualité de vice-président du Conseil exécutif et de liaison entre le Conseil exécutif et le Comité permanent du Comité régional de l’Europe. 5 En sa qualité de coordinateur de la Région européenne, Genève.
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