Des informations affluent et sont défavorables au vaccin - par Liliane Held-Khawam.

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Des informations affluent et sont défavorables au vaccin - par Liliane Held-Khawam.
Des informations affluent et
sont défavorables au vaccin
par Liliane Held-Khawam.

Un drame parmi tant d’autres. La cause est politique et non
pas sanitaire.
Des informations affluent et sont défavorables au vaccin - par Liliane Held-Khawam.
Les informations sur les vaccins anti-Covid s’accumulent. Et
non seulement elles ne font pas pencher la balance bénéfice-
risque du côté positif, mais elles tendent à converger vers le
côté problématique.

   Des personnes vaccinées portent dans leurs narines une
   charge 251 fois plus importante de virus COVID-19 que les
   personnes non vaccinées.

The Lancet

Commençons par cette info parue dans The Lancet et rédigée par
des scientifiques du prestigieux groupe de recherche clinique
de l’université d’Oxford,. On nous dit en gros que le
personnel de la santé vacciné transmet le variant delta du
SRAS-CoV-2 aux collègues et à aux patients. Et c’est le
précieux Dr Peter McCullough qui l’analyse dans Global
Research.

Juste une remarque avant de lire ce qui suit. Je vous invite à
vous souvenir que les personnes vaccinées ne sont pas testées
quand elles arrivent à l’hôpital.

     https://lilianeheldkhawam.com/2021/08/24/on-a-parle-de-p
     cr-avec-le-professeur-greub-du-chuv-constat-dun-nouveau-
     biais-statistique-lhk/

De plus en plus d’hôpitaux appliquent la logique sous-jacente
au pass sanitaire, qui au-delà de la création de citoyens de
seconde zone, autorise les vaccinés à diffuser et contaminer
tranquillement leur entourage, vaccinés ou pas. Rappelons
inlassablement que ce comportement introduit des biais
statistiques, utilisés par la suite pour semer la pagaille par
l’anxiété et la terreur psychologique…
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Méthodes : Nous avons étudié les infections chez les
travailleurs de la santé d’un grand hôpital spécialisé
dans les maladies infectieuses au Vietnam.
Nous avons collecté des données démographiques, les
antécédents de vaccination et les résultats du
diagnostic par PCR ainsi que des données cliniques.
Nous avons mesuré les anticorps (neutralisants) du
SARS-CoV-2 au moment du diagnostic et aux semaines 1, 2
et 3 après le diagnostic.
Nous avons séquencé les virus en utilisant le protocole
ARTIC.

Résultats : Entre le 11 et le 25 juin 2021 (semaine 7 à 8
après la dose 2), 69 agents de santé ont été testés
positifs pour le SRAS-CoV-2. 62 ont participé à l’étude
clinique. 49 étaient (pré)symptomatiques dont un
nécessitant une supplémentation en oxygène. Tous se sont
rétablis sans incident. 23 séquences complètes du génome
ont été obtenues. Ils appartenaient tous à la variante
Delta et étaient phylogénétiquement distincts des séquences
de variantes Delta contemporaines obtenues à partir de cas
de transmission communautaire, suggérant une transmission
continue entre les travailleurs. Les charges virales des
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cas d’infection par le variant Delta révolutionnaire
   étaient 251 fois plus élevées que celles des cas infectés
   par d’anciennes souches détectées entre mars et avril 2020.
   Le délai entre le diagnostic et la PCR négative était de 8
   à 33 jours (médiane : 21).Les taux d’anticorps
   neutralisants après la vaccination et au moment du
   diagnostic des cas étaient inférieurs à ceux des témoins
   non infectés appariés. Il n’y avait aucune corrélation
   entre les niveaux d’anticorps neutralisants induits par le
   vaccin et les charges virales ou le développement de
   symptômes.

   https://papers.ssrn.com/sol3/papers.cfm?abstract_id=3897733

                              *
Commentaire du Dr Peter Mc Cullough
Cet article inédit présente des résultats alarmants qui ont un
effet dévastateur sur le déploiement du vaccin COVID.

   L’étude révèle que les personnes vaccinées portent dans
   leurs narines une charge 251 fois plus importante de virus
   COVID-19 que les personnes non vaccinées. 57 scientifiques
   et médecins de renom demandent l’arrêt immédiat de toutes
   les vaccinations.

Tout en atténuant les symptômes de l’infection, le vaccin
permet aux personnes vaccinées de transporter des charges
virales exceptionnellement élevées sans être malades au
départ, ce qui peut les transformer en super-diffuseurs pré-
symptomatiques.

Ce phénomène pourrait être à l’origine des flambées post-
vaccinales choquantes dans les populations fortement vaccinées
du monde entier.

Les auteurs de l’article, Chau et al, ont démontré l’échec
généralisé de la vaccination et la transmission dans des
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circonstances étroitement contrôlées dans un hôpital fermé à
Ho Chi Minh Ville, au Vietnam.

Les scientifiques ont étudié des travailleurs de la santé qui
n’ont pas pu quitter l’hôpital pendant deux semaines. Les
données ont montré que des travailleurs entièrement vaccinés –
environ    deux   mois    après   l’injection     du   vaccin
Oxford/AstraZeneca COVID-19 (AZD1222) – ont acquis, porté et
vraisemblablement transmis le variant Delta à leurs collègues
vaccinés.

   Il est presque certain qu’ils ont également transmis
   l’infection Delta à des personnes sensibles non vaccinées,
   y compris leurs patients. Le séquençage des souches a
   confirmé que les travailleurs se sont transmis le SRAS-
   CoV-2 entre eux.

Ces résultats concordent avec les observations faites aux
États-Unis par Farinholt et ses collègues, et avec les
commentaires du directeur des Centers for Disease Control and
Prevention, qui a reconnu que les vaccins COVID-19 n’ont pas
réussi à stopper la transmission du SRAS-CoV-2.

Le 11 février, l’Organisation mondiale de la santé a indiqué
que l’efficacité du vaccin AZD1222 était de 63,09 % contre le
développement d’une infection symptomatique par le SRAS-CoV-2.
Les conclusions de l’article de Chau corroborent les
avertissements des principaux experts médicaux selon lesquels
l’immunité partielle et non stérilisante des trois vaccins
COVID-19 notoirement « fuyants » permet le transport d’une
charge virale de SRAS-CoV-2 251 fois supérieure à celle des
échantillons pré-vaccination en 2020.

Nous disposons donc d’une pièce maîtresse du puzzle expliquant
pourquoi l’épidémie de Delta est si redoutable : des personnes
entièrement vaccinées participent à l’épidémie en tant que
patients COVID-19 et agissent comme de puissants propagateurs
de l’infection, à la manière de Typhoid Mary.
Les personnes vaccinées propagent des explosions virales
   concentrées dans leurs communautés et alimentent de
   nouvelles poussées de COVID. Les professionnels de la santé
   vaccinés infectent presque certainement leurs collègues et
   leurs patients, causant d’horribles dommages collatéraux.

La poursuite de la vaccination ne fera qu’aggraver ce
problème, en particulier chez les médecins et les infirmières
de première ligne qui s’occupent des patients vulnérables.

     https://lilianeheldkhawam.com/2021/05/03/les-personnes-v
     ulnerables-semblent-penalisees-par-le-vaccin-pourquoi-
     persister-sont-ils-devenus-des-indesirables/

Les systèmes de santé devraient abandonner immédiatement les
obligations vaccinales, faire le point sur les travailleurs
rétablis du COVID-19 qui sont solidement immunisés contre le
Delta et considérer les relations des soignants actuellement
vaccinés comme des menaces potentielles pour les patients à
haut risque et leurs collègues.

   Les porteurs de charges virales explosives ne sont pas
   testés

Les auteurs ajoutent en fin de publication que: Les infections
à variantes Delta Breakthrough sont associées à des charges
virales élevées, à une positivité PCR prolongée et à de
faibles niveaux d’anticorps neutralisants induits par le
vaccin, expliquant la transmission entre les personnes
vaccinées. Les mesures de distanciation physique restent
essentielles pour réduire la transmission de la variante SARS-
CoV-2 Delta.

Cela nous renvoie dans le cadre hospitalier à des aberrations
inadmissibles où des bombes virales se baladent
tranquillement. Les autorités sanitaires ne veulent pas les
prendre en compte pour ne pas faire pencher la balance des
bénéfices-risques en défaveur du vaccin. Pendant ce temps, on
fait monter les amplifications du test PCR et on fait passer
le test à des patients asymptomatiques qui n’ont rien à faire
avec le Covid.

   Combien de non-vaccinés hospitalisés sont comptabilisés en
   tant que Covid+ grâce à un test PCR à 45 et combien de
   vaccinés (personnel de santé, visiteurs, livreurs,…)
   chargés à fond en SARS CoV2 ne sont ni inquiétés, ni
   comptabilisés?

Les mensonges s’accumulent et ne peuvent plus être cachés. La
vaccination commence à faire penser à un génocide qui ne dit
pas son nom.

   1,6 million de doses de Moderna retirées au Japon pour
   cause d’interaction avec les aimants. AsiaNikkei

Le Japon est le seul pays à avoir eu le courage de prendre au
sérieux les multiples photos et vidéos de malheureuses
victimes de Big Pharma.

    Dans une vidéo publiée par la BBC, le journaliste
Jack Goodman souligne que “tous les vaccins
    contiennent des traces non toxiques d’aluminium, mais
    l’aluminium n’est même pas magnétique.” Dans une
    interview, il a soulevé le problème avec le physicien
    Eric Palm, qui certifie :
    Les aiguilles servant à vacciner sont extrêmement
    fines, elles font bien moins d’un millimètre de
    diamètre. C’est pourquoi même si une particule
    extrêmement magnétique était injectée, elle serait si
    petite qu’elle ne permettrait pas à un aimant de
    coller à la peau.”
    https://www.bbc.com/news/av/57207134

   Le Japon a osé faire ce qu’aucun autre Etat n’a fait:
   contrôler et admettre la présence de corps étrangers qui
   réagissent aux aimants! On nous dit:

   Plusieurs centres de vaccination ont signalé que les
   flacons de vaccins contenaient des corps étrangers, selon
   une annonce du ministère, qui a ajouté qu’il cherchera à
   minimiser l’impact du     retrait      sur   le   programme   de
   vaccination du pays.

   Le ministère a déclaré plus tard dans la journée que la
   substance qui avait été mélangée pouvait être du métal.
   « C’est une substance qui réagit aux aimants », a déclaré
   un responsable du ministère. « Ce pourrait être du métal. »

   https://asia.nikkei.com/Spotlight/Coronavirus/COVID-vaccine
   s/1.6m-Moderna-doses-withdrawn-in-Japan-over-contamination

Les médias européens évacuent le plus important de
l’information
La même information que celle du Nikkei est diffusée par les
médias européens qui refusent aux lecteurs le droit de savoir
que les lots de Moderna contenaient des produits réagissant
aux aimants.
Les médias francophones que j’ai consultés ont réussi à mentir
de manière affligeante en gardant l’essentiel de l’information
MAIS en évacuant la sensibilité du vaccin aux aimants!
Formidable manipulation, toujours dans le but d’envoyer un
maximum de gens aux vaccinodromes!

   La rétention même partielle de l’information transmise par
   Nikkei est de la désinformation. Les populations
   européennes doivent savoir pourquoi ces lots ont été
   retirés du circuit de la vaccination.

Voici   quelques-uns   attrapés      en   plein    délit   de
manipulation/désinformation…

     https://www.challenges.fr/monde/japon-moderna-retient-1-
     63-million-de-doses-de-vaccin-apres-une-
     contamination_778090
     https://www.lapresse.ca/international/asie-et-oceanie/20
     21-08-26/covid-19/moderna-retire-1-63-million-de-doses-
     au-japon-a-cause-d-une-anomalie.php
     https://www.lepoint.fr/monde/covid-19-le-japon-suspend-1
     -6-million-de-doses-de-moderna-pour-
     anomalie-26-08-2021-2440254_24.php

Deux vaccinés décèdent au Japon suite à la 2ème injection de
Moderna

Leurs décès sont survenus quelques jours après avoir reçu une
deuxième dose du vaccin.

   Les hommes dans la trentaine sont décédés ce mois-ci
   quelques jours après avoir reçu leur deuxième dose de
   Moderna, a indiqué le ministère dans un communiqué. Chacun
   a eu une injection de l’un des trois lots suspendus
   jeudi. Les causes du décès sont en cours d’investigation.

   Le Japon a interrompu l’utilisation de 1,63 million de
   doses de Moderna expédiées à 863 centres de vaccination à
   l’échelle nationale, plus d’une semaine après que le
distributeur national, Takeda Pharmaceutical Co, a reçu des
   rapports de contaminants dans certains flacons.

   « Pour le moment, nous n’avons aucune preuve que ces décès
   sont causés par le vaccin Moderna COVID-19 », ont déclaré
   Moderna et Takeda dans un communiqué samedi. « Il est
   important de mener une enquête formelle pour déterminer
   s’il y a un lien. »

   Zerohedge                                                et
   https://brunobertez.com/2021/08/28/deux-morts-du-moderna-au
   -japon-bien-entendu-ilsnient/

Le composant de nanoparticules lipidiques de la
plateforme ARNm-LNP utilisé dans les études
précliniques sur les vaccins est hautement
inflammatoire

     https://www.biorxiv.org/content/10.1101/2021.03.04.43012
     8v1.full

Le coeur de l’injection anti-Covid est l’ARNm, mais surtout et
avant tout ce qui lui sert d’adjuvant, à savoir la nanocapsule
lipidique. Souvenez-vous de ce billet de mars 2021 où on se
demandait ce qu’il y avait dans le vaccin…

     https://lilianeheldkhawam.com/2021/03/17/quy-a-t-il-daut
     re-que-de-larn-messager-dans-le-vaccin/
     https://lilianeheldkhawam.com/2021/07/05/le-graphene-out
     il-de-surveillance-de-la-sante-se-trouve-dans-les-
     masques-ecouvillons-et-les-vaccins-consequences-sur-la-
     sante-humaine-potentiellement-desastreuses/
     https://lilianeheldkhawam.com/2021/05/25/sante-des-nanop
     articules-magnetiques-dans-les-cellules-que-lon-peut-
     commander-a-distance/

Et maintenant, je vous prie de découvrir les effets
inflammatoires désastreux qui me rappellent les victimes des
injections (des groupes se multiplient sur les réseaux sociaux
afin de recenser les effets indésirables. Après l’évacuation
de la planète des personnes âgées qui ont eu le chic de ne
plus avoir besoin de l’argent de leur retraite, on met en ce
moment de jeunes parents dans des difficultés insurmontables à
cause des effets secondaires de ces produits. Je vous invite à
aller faire un tour pour voir les drames humains qui sont en
train de s’y jouer. Désarmant.

                              *
Alors revenons à cette étude sur les souris qui aurait sans
doute été plus    utile   avant   de   forcer   les   gens   à   la
vaccination.

Résumé
Les vaccins basés sur des nanoparticules lipidiques (LNP)
contenant de l’ARNm sont une nouvelle plate-forme prometteuse
utilisée par deux vaccins de premier plan contre la maladie à
coronavirus en 2019 (COVID-19). Les essais cliniques et les
vaccinations en cours présentent des niveaux de protection
très élevés et divers degrés d’effets secondaires. Cependant,
la nature des effets secondaires rapportés reste mal définie.
Nous présentons ici des preuves que les LNP (Protéine
nanolipidique) utilisés dans de nombreuses études précliniques
sont hautement inflammatoires chez la souris. L’injection
intradermique de ces LNP a conduit à des réponses
inflammatoires rapides et robustes, caractérisées par une
infiltration massive de neutrophiles, l’activation de diverses
voies inflammatoires et la production de diverses cytokines et
chimiokines inflammatoires.

   La même dose de LNP administrée par voie intranasale a
   conduit à des réponses inflammatoires similaires dans les
   poumons et a entraîné un taux de mortalité élevé.

En résumé, nous montrons ici que les LNP utilisées pour de
nombreuses études précliniques sont hautement inflammatoires.
Ainsi, leur puissante activité adjuvante et leur supériorité
rapportée par rapport à d’autres adjuvants pour soutenir
l’induction de réponses immunitaires adaptatives pourraient
provenir de leur nature inflammatoire. De plus, les LNP
précliniques sont similaires à ceux utilisés pour les vaccins
humains, ce qui pourrait également expliquer les effets
secondaires observés chez l’homme utilisant cette plateforme.

INTRODUCTION
La plate-forme de vaccin ARNm-LNP à modification nucléosidique
utilisée par Pfizer/BioNTech et Moderna dans leurs vaccins
contre le SRAS-CoV-2 a été largement testée dans des études
précliniques, et son efficacité à soutenir les cellules Tfh et
les réponses immunitaires humorales protectrices égale ou
surpasse d’autres vaccins ( Alameh et al., 2020 ). Le
composant d’ARNm de ces vaccins est modifié par les
nucléosides pour diminuer la reconnaissance immunitaire innée
potentielle ( Karikó et al., 2005 , 2008). Le LNP a été choisi
comme véhicule porteur pour protéger l’ARNm de la dégradation
et faciliter l’administration intracellulaire et l’échappement
endosomal. Les LNP sont constitués d’un mélange de
phospholipides, de cholestérol, de lipides pégylés et de
lipides cationiques ou ionisables. Les phospholipides et le
cholestérol ont des rôles structurels et stabilisants, tandis
que les lipides pégylés favorisent une circulation prolongée.
Les lipides cationiques/ionisables sont inclus pour permettre
la complexation des molécules d’ARNm chargées négativement et
permettre la sortie de l’ARNm de l’endosome vers le cytosol
pour la traduction ( Samaridou et al., 2020 ).

   Les données confirment que certains LNP contenant des
   lipides    ionisables/cationiques     sont   hautement
   inflammatoires et peut-être cytotoxiques ( Samaridou et
   al., 2020). Une étude préclinique a montré que l’ARNm
   complexé avec les LNP a une activité adjuvante ( Pardi et
   al., 2018a ). Cependant, la nature inflammatoire
   potentielle de ces LNP n’a pas été évaluée ( Alameh et al.,
   2020 ; Pardi et al., 2018b , 2018a ).
A. L’inoculation intradermique avec des LNP induit une
inflammation robuste.
L’inoculation intradermique de LNP a induit des niveaux
visibles d’inflammation.
Les photos ont été prises 24 heures après l’injection de PBS
ou de LNP.

B. Des échantillons de peau des souris injectées avec du PBS
ou du LNP ont été récoltés aux moments indiqués, analysés par
cytométrie de flux et affichés en pourcentages cellulaires.

C. Pourcentage de cellules mortes dans des échantillons de
peau naïfs (PBS) ou injectés de LNP récoltés aux moments
indiqués. Pour tous les graphiques, les données ont été
regroupées à partir de deux expériences distinctes et
affichées en pourcentage ± SD. Chaque point représente un
animal distinct. Le test t bilatéral de Student a été utilisé
pour déterminer la signification entre les échantillons naïfs
et expérimentaux. ****p
la somnolence. ( Jackson et al., 2020 ; Sahin et al., 2020 ;
Walsh et al., 2020 ). En supposant que cette plate-forme
vaccinale est non inflammatoire, les effets secondaires
signalés ont été interprétés dans le sens d’un vaccin puissant
et générant une réponse immunitaire.

   Cependant, aucune étude n’a été entreprise pour identifier
   les causes potentielles des effets secondaires locaux et
   systémiques.

Dans cette étude, nous avons adopté une approche systématique,
en concentrant notre attention sur le site d’injection et en
analysant les propriétés inflammatoires des LNP utilisées pour
les études précliniques de vaccins ( Awasthi et al., 2019
;Laczkó et al., 2020 ; Lederer et al., 2020 ; Pardi et al.,
2017A , 2017b , 2018c , 2018a ). En utilisant des techniques
complémentaires, nous montrons que l’administration
intradermique ou intranasale chez la souris de LNP utilisées
dans les études précliniques déclenche une inflammation
caractérisée par une infiltration leucocytaire, l’activation
de différentes voies inflammatoires et la sécrétion d’un pool
diversifié de cytokines et de chimiokines inflammatoires.
Ainsi, le milieu inflammatoire induit par les LNP pourrait
être partiellement responsable des effets secondaires signalés
des vaccins contre le SRAS-CoV-2 à base d’ARNm-LNP chez
l’homme, et contribue peut-être à leur puissance élevée
signalée pour déclencher une immunité protectrice.

     https://www.biorxiv.org/content/10.1101/2021.03.04.43012
     8v1.full

Vaccin intranasal prévu
Au vu de l’étude, je vous invite à vous informer au sujet d’un
éventuel vaccin intranasal dont les effets sont vantés dans
certaines publications scientifiques. Ci-dessous une étude sur
le vaccin intranasal antigrippal. Oxyde de graphène en prime!
Un vaccin antigrippal intranasal non invasif (in) peut induire
des réponses immunitaires muqueuses dans les voies
respiratoires, empêchant ainsi l’infection à la porte d’entrée
du virus.
Cependant, l’absence d’adjuvants muqueux appropriés à l’heure
actuelle entrave le développement d’un tel vaccin.
Ici, nous avons développé des nanoparticules d’oxyde de
graphène (GP) bidimensionnelles fonctionnalisées par
polyéthylèneimine qui ont montré des capacités de charge
d’antigène élevées et des propriétés immunoenhancing
supérieures.
Des réponses immunitaires robustes et largement réactives ont
été induites avec une immunisation avec des nanoparticules de
GP-HA, conférant une protection contre les virus homologues et
hétérologues.
Avec la polyvalence et la flexibilité, les nanoparticules GP
peuvent être facilement adaptées pour construire des vaccins
muqueux de différents agents pathogènes respiratoires.

     https://www.pnas.org/content/118/19/e2024998118
Ici, c’est l’Express qui vante le vaccin intranasal contre le
Covid. Manifestement, ils ne se sont pas suffisamment
documentés sur le sujet…

Néanmoins, la création de tels vaccins pourrait devenir une
priorité dans les mois qui viennent, principalement parce que
le variant Delta du Sars-Cov-2, plus contagieux, semble
capable de mieux infecter les personnes vaccinées. Selon des
études préliminaires – menées à Singapour, par les Centres
pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC) des
États-Unis, ou encore par des chercheurs du réseau hospitalo-
universitaire américain Mayo Clinic, les vaccins par ARN
messagers (Pfizer et Moderna), même s’ils protègent à 88% des
formes graves, ne confèrent plus que 40 à 60% d’immunité face
à une infection. « Nous devrions nous concentrer sur la
création de vaccins intranasaux pour lutter contre le
Covid-19, insiste le Dr. Ichinohe. Ils ne sont pas si
compliqués à créer, mais il est évident qu’il faudra
développer des protocoles très prudents quant à l’évaluation
de leur sûreté, ce qui pourrait prendre du temps ».

Le journaliste relaie l’enthousiasme de certains qui
voudraient passer à la phase du test chez l’humain, et ce
malgré le fait que l’étude précédente annonce un taux de
mortalité élevé chez les souris soumises au test intranasal.
Le journal admet tout de même que « les vaccins par spray
nasal sont traditionnellement moins admis dans la pharmacopée
parce que lors des premiers essais, il y a des années de cela,
les adjuvants utilisés étaient des toxines qui ont perturbé
les neurones périphériques et entraîné des problèmes de
paralysie faciale chez certains patients… Depuis, même si les
chercheurs ont identifié le problème, un fond d’inquiétude
persiste », regrette Morgane Bomsel. Il est donc plus
difficile et plus long d’obtenir des autorisations par les
autorités sanitaires pour mener des recherches sur les êtres
humains ». »

     https://www.lexpress.fr/actualite/sciences/vaccin-nasal-
     contre-le-covid-19-une-nouvelle-etude-aux-resultats-
     prometteurs_2156719.html

Bref, je vous laisse le soin de conclure ce texte afin
d’éviter d’être négative.

De mon côté, j’ajouterai une note d’espoir avec cette
prophétie pas encore réalisée de Daniel. Il s’agit de la
vision de la statue du Colosse aux pieds d’argile.

« Ô roi, tu regardais, et tu voyais une grande statue ; cette
statue était immense, et d’une splendeur extraordinaire ; elle
était debout devant toi, et son aspect était terrible. La tête
de cette statue était d’or pur ; sa poitrine et ses bras
étaient d’argent ; son ventre et ses cuisses étaient
d’airain ; ses jambes, de fer ; ses pieds, en partie de fer et
en partie d’argile. Tu regardais, lorsqu’une pierre se détacha
sans le secours d’aucune main, frappa les pieds de fer et
d’argile de la statue, et les mit en pièces. Alors le fer,
l’argile, l’airain, l’argent et l’or, furent brisés ensemble,
et devinrent comme la balle qui s’échappe d’une aire en été ;
le vent les emporta, et nulle trace n’en fut retrouvée. Mais
la pierre qui avait frappé la statue devint une grande
montagne, et remplit toute la terre. »Daniel 2,31-35,

Liliane Held-Khawam

source : https://lilianeheldkhawam.com
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