DOSSIER DE PRÉSENTATION DES SPECTACLES SCOLAIRES DE LA SAISON 2018/2019 - Pôle Danse ...
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DOSSIER DE PRÉSENTATION DES SPECTACLES
SCOLAIRES DE LA SAISON 2018/2019
1
SOMMAIRE
1 - Édito : 4
2 - Les spectacles : 5
3 - Les Compagnies :
Koracorps - 5
Kalijo - 6
Accords des nous - 7
Faustin Linyékula - 8
Espèce de collectif - 09
To mix or not - 10
3 - Les partenaires - 12
4 - Informations pratiques - 12
2
Présentation de l’association :
L’Association Pôle Danse des Ardennes, créée en février 2016 sous le conseil artistique d’Agnès
Rossinfeld, a pour mission d’accompagner et de faciliter la diffusion de la danse et la formation des
publics sur l’ensemble du territoire des Ardennes. Le Pôle Danse s’inscrit dans la volonté de soutenir un
meilleur équilibre territorial de la diffusion et de la médiation des arts du mouvement à Sedan, dans
l’aire de la Communauté d’Agglomération Ardenne Métropole réunissant cette ville et Charleville-
Mézières, ainsi que dans le département des Ardennes, caractéristique par son réseau de petites villes et
de bourgs marqués par la conversion industrielle. Ces villes irriguent également des espaces ruraux. Ce
territoire n’est pas desservi par des structures labellisées du spectacle vivant. Le Pôle Danse est ouvert à
toutes les formes et techniques chorégraphiques et réalise ses missions selon trois grands axes :
1 - Accueil en résidence d’artistes et de compagnies chorégraphiques, en particulier du Grand-Est et
prioritairement les Compagnies en voies d’émergence dans le cadre du Lieu de Fabrique.
2 - Elaboration d’un programme diffusion rayonnant progressivement sur l’ensemble du territoire
Ardennais
3 - Élaboration d’un projet de médiations adaptées à la diversité des publics, en portant une attention
au jeune public et aux publics les plus éloignés des pratiques culturelles et des lieux de spectacles
1 - Édito :
Pour cette saison 2018-2019, nous vous offrons un choix éclectique de Compagnies et de spectacles : de
la danse dans tous ses états et de la danse pour tous.
Le Pôle Danse souhaite partager ses coups de coeur, et bien plus encore, dans la transmission des arts
chorégraphiques.
Le Pôle Danse des Ardennes a pour mission d’intervenir sur l’ensemble du territoire ardennais et
développe des liens avec différents partenaires. C’est de notre implantation au sein de la ville de Sedan et
de l’Agglomération Ardenne métropole que nous faisons rayonner les artistes que nous accueillons en
résidence ou que nous programmons. Pour cette saison, nous avons engagé des partenariats avec le
SIVOM de Vrigne au bois (La Forge Gendarme), Le Théâtre de Charleville-Mézières, Le musée de la
Guerre et de la Paix de Novion Porcien. Nous établissons des liens avec le CDR, Le Manège de Reims
ainsi que le Manège de Givet.
DÉCOUVRIR des compagnies régionales : CIE MANOK (Nancy) ; le collectif ESPÈCE DE
COLLECTIF (Strasbourg) ; CIE KORACORPS (Reims) ; CIE TRIO (Strasbourg) et une
internationale la CIE Faustin Linyékula (République Démocratique du Congo).
REVOIR : CIE MANJUSHREE (Lille) ; CIE DIDIER THÉRON (MONTPELLIER) ; CIE
ACCORDS DES NOUS (Troyes) ; CIE EN LACETS (Reims) ; LE COLLECTIF LA RIVIÈRE QUI
MARCHE (Reims).
TRANSMETTRE : avec les projets de médiation qu’encadrent les CIES KALIJO (Troyes) et TO MIX
OR NOT (Kremlin Bicêtre)
3
Les spectacles dédiés aux publics scolaires :
12 octobre 2018 : Représentation scolaire du spectacle : Elle était libre, D’aller et venir, Jusqu’à hier de
la Cie Koracorps à la MJC Calonne de Sedan.
Du 22 au 26 octobre 2018 : Projet de médiation en partenariat avec le MJC Colonne. Ce projet est
composé d’atelier de pratique artistique avec, une adhésion à l’association de 10 euros est demandé. En
fin d’atelier, une restitution est organisé en première partie du spectacle qui sera joué le vendredi 26
octobre à 17H30 à la MJC Calonne.
Le 8 février 2019 : Représentation du spectacle (In)Pulse de la Compagnie Accords des nous à la MJC
Colonne dans le cadre de la Saison de la Danse.
Une représentation dédiée au scolaire sera également organisée en après-midi.
Le 23 avril 2019 : Faustin Linkeyula : Représentation à la Forge Gendarme en partenariat avec le
Manège de Reims.
Une représentation dédiée au scolaire sera également organisée
15 mai 2019 : Espèce de Collectif à la MJC Calonne de Sedan.
Une représentation dédiée au scolaire sera également organisée
Date à déterminer : Projet de médiation avec la Cie To mix or not en partenariat avec le MJC Calonne.
Ce projet est composé d’atelier de pratique artistique avec, une adhésion à l’association de 10 euros est
demandé. En fin d’atelier, une restitution est organisé en première partie du spectacle
4
Compagnie KORACORPS
Elle était libre, D’aller et venir, Jusqu’à
hier :
Au plus loin des souvenirs de l’artiste, elle a
toujours aimé voir les femmes danser durant
les mariages au Maroc. Elle avait l’impression
de voir l’indicible...l’extase inavoué. Les éclats
de rires des femmes et l’acte de danse dans le
jeu sophistiqué des cérémonies marocaines,
étaient pour elle les seuls indices de
transmission des différents pouvoirs féminins.
Comprendre ce qui est retenu, j’ai passé le
plus clair de mon temps à essayer de
décoder...La danse, qu’elle soit improvisée,
codifiée ou présente sous forme minimaliste
dans la gestuelle s’exprime avec force.
Création :
Soukaina Alami, chorégraphe et interprète / Jérémy Monot, photographe et artiste visuel /
Sébastien Bressant, créateur de costume / Production déléguée : Le laboratoire choregraphique de
Reims, Cie KoraCorps / Crédit photographies : Alain Julien. Durée : Durée : 30 minutes environ
Soukaïna Alami organise des ateliers de pratique artistique au Centre social Ouest
Avenue dans le quartier de Torcy. Ils sont organisés par le Pôle Danse et le Centre
social dans le cadre d’un contrat de ville en partenariat avec Ardennes Métropole et le
CGET.
5
COMPAGNIE KALIJO - Projet de médiation
Le Pôle Danse des Ardennes s’associe avec la MJC Calonne pour vous proposer un atelier
avec la Compagnie Kalijo (Troyes).
Le stage aura lieu au studio du Pôle Danse du 22 au 26 octobre 2018. Pour clore cet
atelier, une restitution avec les participants aura lieu en première partie du spectacle
Memb’oo que la compagnie Kalijo jouera à la MJC Calonne le vendredi 26 octobre 2018.
La Compagnie est implantée à
MEMB’OO : c’est une chorégraphie,
théâtrale, acrobatique qui met en jeu le
corps et les représentations que nous en
avons, concerant «ces êtres à part»,
«étranges étrangers», que sont les
personnes âgées, «nos vieux» et les
personnes handicapées physiques.
Memb’oo !! joue sur des figures, des
corps emblématiques pour nous inviter à
aller au de l’emblème et du masque. La
pièce net en scène et interroge leurs
attributs particuliers : fauteuil,
déambulateurs ; ce sont leurs outils-partenaires de vie, ces véhicules qui «dérangent»
généralement le regard des autres car ils mettent mal à l’aise leur sont indispensables et
vitaux, ils ne résistent pas longtemps sans eux.
Chorégraphie et interprétation : Aurore Castan-Aïn, Rémy Benard
Collaboration mise en scène et montage son: Nathalie Azam
Costumes : Gingolph Gateau
Lumières : Frédéric Gibier
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COMPAGNIE ACCORDS DES NOUS
La Cie Accord des Nous (Troyes) est en résidence croisée depuis 2017. Nous avons accueilli la pièce
« Dialogue du corps » en 2017 dans le cadre d’une résidence croisée. En 2018, la compagnie revient
avec un solo « (In) Pulse » pour la JID et en résidence de recherche pour un trio, « Pulse », du 30 avril
au 6 mai. Cette pièce sera diffusée en janvier 2019. Auparavant, des extraits seront présentés lors de
Mouvements de Rue. La Cie encadrera le projet Regards dansant 2018/2019.
PULSions, PULSations, imPULSions
Essence de nos mouvements, prémices du
geste... Restituer la visibilité à ce qui demeure
hors de tout regard... Faire ressentir ce qu'il y
a à l'origine.
PULSE donne à voir ce qui nous motive, ce
qui nous définit. Un voyage dans le centre
névralgique de nos mouvements. Comment
communiquer quand il s'agit d'intimité ? Le
concept "d'extimité", intrinsèquement lié, est
le désir de rendre visible certains aspects de
soi. Que sommes-nous prêts à montrer aux
autres ? Un voyage vers "l'autre" en nous... A
la découverte de son corps... Un voyage dans
le dedans...
Production Accord des nous
Coproduction Théâtre de la Madeleine - scène conventionnée de Troyes. La compagnie bénéficie du dispositif de
subventionnement par le Ministère de la culture / DRAC Grand Est soutien à l'émergence du spectacle vivant de
la Région Grand Est subventionnement de la ville de Troyes parrainage du Théâtre de la Madeleine - scène
conventionnée de Troyes compagnonnage avec le Laboratoire Chorégraphique de Reims. La création est
également soutenue par Skenét'eau (Monéteau), La Filature (Bazancourt) et le Pôle Danse des Ardennes
(Sedan). Avec la complicité de Christine Bastin et Agnès Rossinfeld / Direction artistique Cédric Préhaut et
Vivien Visentin / Interprétation Agathe Dumas, Cédric Préhaut et Vivien Visentin / Scénographie lumineuse et
vidéo Frédéric Gibier / Son Stéphane Poutchkine / Musique Cédric Préhaut / Photos Eric Lamy
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COMPAGNIE FAUSTIN LINKELUYA
L’oeuvre Statue of Loss de Faustin Linyékula a un écho historique riche au regard des événements
historiques liés à la guerre dans les Ardennes et notamment en forêt d’Argonne. Elle permet d’ailleurs de
développer une approche réflexive sur les différentes trajectoires sociales et historiques des soldats
pendant la première guerre mondiale. Elle facilite aussi l’appréhension de la figure des soldats et
notamment celles des soldats africains enrôlés durant la guerre. En effet, cette pièce est le résultat de
recherche établi par Faustin Linyekula qui retrace le parcours de Paul Panda Farnana après guerre. En
effet, Le 13 octobre 1923, Firmin Lerclercq, président des Volontaires Congolais, écrivait à Paul Panda
Farnana, ancien combattant, premier congolais à accéder à un double diplôme universitaire en Belgique
et en France et fondateur de l’Union congolaise, qu’il prenait bonne note du souhait de ce dernier de
voir érigé à l’embouchure du fleuve Congo un monument aux combattants congolais de la première
guerre mondiale. Décédé dans des conditions mystérieuses sept ans plus tard, Paul Panda Farnana n’aura
pu mener à bien ce projet. Faustin et Flamme continuent un compagnonnage commencé il y a plusieurs
années pour rendre hommage aux soldats africains qui ont combattu au siècle dernier dans les deux
guerres mondiales… À travers des mots, des courriers, des rapports officiels ou un fragile enregistrement
miraculeusement réchappé d’un camp de prisonnier en Allemagne, ils tentent de redonner une histoire,
un visage, un nom à quelques-uns d’entre eux, à cette trentaine soldats congolais qui furent enrôlés pour
combattre sur les champs de bataille belge pour une nation qui les avait asservis… Cent ans plus tard,
que demeure-t-il du souvenir de ces hommes sacrifiés dans l’effort de guerre belge à des milliers de
kilomètres de chez eux, en Europe, mais aussi sur le continent africain ?
Quelles places ont-ils dans les événements et célébrations qui
marqueront les 100 ans de la sale guerre ? Quelle reconnaissance
reste-t-il de leur sacrifice et de ceux de leurs frères quelques vingt
ans plus tard, sinon le fantôme d’un monument qui ne vit jamais
le jour, une stèle, une statue des perdus, une rumeur… C’est en
quoi ce projet artistique et de création d’intègre dans le processus
de commémoration déployer sur les années 2018-2019.
Direction artistique : Faustin Linyekula (République Démocratique du Congo)
Avec Flamme Kapaya (musicien), Faustin Linyekula
Vidéo : Pathy Tshindele, assisté d’Eric Okele Baya
Production : Studios Kabako – Virginie Dupray
Coproduction : Theaterformen Braunschweig-Hanovre, LIFT – Londres, 14-18 NOW, WW1 Centenary Art
Commissions.
Durée : 40 minutes
- « En partenariat avec le Manège, scène nationale-Reims »
- « Avec le soutien de la commune de Vrigne aux Bois et du SIVOM Vrigne-Vivier et le Conseil départemental
des Ardennes »
- « Statue of Loss est inscrit au programme officiel Centenaire 14-18 de commémoration de la fin de la Grande
Guerre.
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ESPÈCE DE COLLECTIF
Espèce de collectif est une structure cofondée par Damien
Briançon, Étienne Fanteguzzi et Alice Godfroy, considérant
que l’échange, la relation, la confrontation entre des
personnes sont à l’origine de la recherche, de la création et
de la diffusion de projets artistiques. Pensée comme un
espace de réflexion, de jeu, de circulation et de stimulation,
cette structure tend à permettre l’émergence d’une pratique
de la danse et de projets chorégraphiques, associé à d’autres
langages tels que la musique, l’installation, le cinéma, le
documentaire ou l’écriture. Le Collectif est implanté à
Strasbourg.
À l’origine de cette pièce, il y a la curiosité de l’un pour l’autre, le désir d’une collaboration, de
rencontrer l’autre dans le travail de création, de se mettre chacun à l’épreuve du décalage que pourrait
susciter cette collaboration.
Pour commencer, notre recherche s’est structurée autour de deux axes : d’un côté la pratique du corps,
l’improvisation, la présence de nos deux individualités dans un espace de travail, de l’autre la pratique de
la parole, des discussions récurrentes sur le sens de notre pratique, de notre métier, de notre
engagement. La teneur de la pièce, son sujet, s’est dessiné ainsi : laisser venir ce qui devait émerger de la
rencontre. Cela nous a permis de placer cette collaboration au cœur du propos de la pièce.
La divergence de nos parcours, de nos mobilités, de nos
points de vue, ont contribué à orienter notre recherche vers
une interrogation sur la fabrication et l’interprétation de
l’œuvre, devenant ainsi la question majeure de la pièce,
celle qui a jalonné tout le temps de la création de Pour en
découdre. De fait, Pour en découdre raconte l’histoire de sa
propre fabrication. Nos doutes, nos certitudes, nos
questionnements quant à la manière de construire cette
pièce, de la concevoir, de l’écrire, de choisir ce qui la
nourrit, mais aussi quant à la manière de l’interpréter, de la
traverser et de passer de notre place de chorégraphe à celle
de danseur. La meilleure façon de questionner la construction nous a semblé d’user de la
déconstruction. Nous avons défait, décalé, démonté les codes et attentes de la représentation, pour les
reconstruire à notre manière. Nous avons manié l’autodérision, qui est aussi une forme de
déconstruction, nous permettant d’avoir un peu d’humour et de recul pour manipuler des matières qui
pourraient paraître pompeuses : ce que nous sommes. La poétique de Pour en découdre est un va-et-
vient permanent entre la réalité de la scène et l’imaginaire du spectacle. Chacune des scènes porte en
elle-même sa mise en place, c’est-à-dire l’installation de l’espace qui lui est dû, du matériel nécessaire à
son déroulement et sa réalisation. Parfois de manière simultanée, parfois de manière successive. C’est
cette tension que nous voulions être source de poésie. La tension est aussi celle de la relation, qui est au
centre de la pièce.
Conception et interprétation : Étienne Fanteguzzi & Damien Briançon
Régie et interprétation : Raphaël Siefert
Accompagnement et regard : Alice Godfroy / Photographies : Naohiro Ninomiya
9
COMPAGNIE TO MIX OR NOT - Projet de médiation
La compagnie To Mix Or Not a été créée en 2009 par Marie Phliponeau et est implantée à Kremlin
Bicêtre.
Formée par les premières générations de danseurs hip hop, qui ont posé les bases de la culture hip hop
en France, Marie Phliponeau cherche à saisir le rapport de la danse à son environnement et à son temps,
elle essaye d’expliciter le lien qui existe entre le corps interne et le corps externe du danseur, entre son
vécu corporel et la transformation de celui-ci en geste, en énergie, en intention.
W…is..HH
Sébastien Petit et Marie Phliponeau développent deux arts qui entretiennent des liens de gémellité. La
création chorégraphique W…is…HH explore les voies parfois parallèles, parfois opposées qui réunissent
ces deux artistes.
Les Arts Martiaux internes de Wudang s’inscrivent dans le berceau des Arts énergétiques thérapeutiques
et alchimiste Taoïste. Ils se développent comme des compositions de notes qui se combinent pour
réunifier le corps et l’esprit. Ils intègrent la médecine traditionnelle chinoise : le corps est pensé comme
un corps à soigner, à équilibrer, à protéger des maladies. Cet Art développe des techniques de
respiration, de visualisation ainsi qu’un entraînement pour le renforcement corporel et
l’assouplissement. Ecouter et ressentir, pour interagir avec ce qui nous entoure est essentiel. C’est
prendre conscience de son être, de la cellule jusqu'à l’enveloppe corporelle. La mise en pratique de ces
principes des Arts Martiaux se traduit par un système codifié de gestes, de mouvements, de
déplacements.
La danse Hip Hop s’est développée comme une contre-culture dans des espaces périphériques où les
individus se sentaient relégués et isolés. Les danses urbaines ont un rapport à l’urbanité et au
contemporain très fort. Les danses urbaines se nourrissent des formes artistiques qui les environnent et
intègrent les éléments qui circulent aujourd’hui dans les grands centres urbains du monde entier. Elles
ajoutent, retranchent, développent, effacent, recréent,…recomposant indéfiniment leur architecture. Le
corps du danseur est toujours le lieu d’une tension entre subjectivité et appartenance au groupe, ente
liberté et respect des codes.
La création chorégraphique W…is…HH met face à face deux pratiques corporelles qui évoluent dans
des mondes distincts. Comment alors les faire communiquer sur scène ? Comment les « mettre en scène
», leur faire partager le même espace ?
Le développement et la transmission de l’Art du Wudang se fait dans un cadre ritualisé et codifié (salles
d’arts martiaux, écoles, temples taoïstes,…). On apprend pour améliorer son état corporel et on
transmet pour apporter un mieux-être.
Création chorégraphique, 60 min / 2 danseurs
Première représentation Visages du Monde - Cergy / 8 février 2019
Distribution
chorégraphie et interprétation Sébastien Petit et Marie Phliponeau
regard extérieur Yasmine Hugonnet
création lumière Josselin Beliah
création costume Cécile Recoquillon
Partenaires
coproduction Ville de Cergy - Visages du Monde
production déléguée La Tambouille
partenaires avec le soutien du Laboratoire Chorégraphique de Reims / la compagnie To Mix or Not a bénéficié
de la mise à disposition de studio au CND Centre national de la danse / Programme POLENOVO A.I.R.
remerciements Curry Vavart / Ville du Kremlin-Bicêtre
10Les Partenaires :
Quelques informations pratiques :
Adresse : Pôle Culturel / Place Calonne - 08200 Sedan
Conseillère artistique : Agnès Rossinfeld - agnes.rossinfled@wanadoo.fr
Administration : Julien Drouineau - administration@poledansedesardennes.com
Communication : Maxime Guth - communication@poledansedesardennes.com
Site internet : poledansedesardennes.com
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