"Le jardin des sorcières " - Compagnie hop !hop !hop ! Christine Le Berre
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«Le jardin des sorcières » Théâtre visuel Compagnie hop !hop !hop ! Christine Le Berre Création Festival Marmaille Rennes Octobre 2013
Ebauche de création Autant « Le sacre », est un règlement de compte avec les princesses éternellement jeunes et belles, autant « Le jardin des sorcières » dépeindra le côté magique des fées, l’inconnu , ou la part d’ombre en nous mêmes. La sorcière représente un peu toutes nos questions sans réponse, tout ce qui nous échappe, le mystère, la magie, le surnaturel… « Le jardin des sorcières » formera un diptyque avec « Le sacre » mais sera totalement indépendant. Une femme découvre ces êtres magiques dans son jardin (« intérieur » ?...) et finit par se découvrir elle-même une sorcière… Allusion aussi à l’artiste qui guette ses images intérieures sans appréhension et les retransmet sur scène où tout se joue… Il s’adressera au tout public à partir de 9-10 ans et durera environ 50 ‘ « Oui, il y aura sûrement des chauves souris, des corbeaux et autres crapauds….Mais point de chaudron, de balai ou de chapeau pointu… Il y aura des chiffres et des formules, de multiples ingrédients et collections étranges…Mais je veux surtout travailler sur l’image de la sorcière, ce à quoi elle renvoie, ce mystère d’une femme proche de la nature porteuse d’un savoir interdit plus ou moins occulte (lié à la vie et la mort). J’ai envie de fouiller autour de cette image clé de l’inconscient, la sorcière, qu’on retrouve dans les premiers mythes (Circé, Médée…) et les célèbres contes (Blanche Neige, Hansel et Gretel...) ; je m’appuierai aussi sur l’iconographie et en particulier Goya et Bosch pour la scénographie en clair-obscur. La sorcière incarne à elle seule toutes nos peurs enfouies comme la crainte du noir où on ne contrôle rien, la crainte d’être possédé, dévoré, transformé, ensorcelé, la crainte de la mort tout simplement. Mais elle attire aussi par son mystère, son savoir occulte, sa connaissance des plantes, son « pouvoir » lié aux forces de la nature : forêts, eau, astres, animaux… J’explorerai le jardin des sorcières comme on explorerait un jardin intérieur, mystérieux et fait de symboles et d’images fulgurantes…». Pour l’instant, je n’ai qu’une vague idée de la scénographie ; Elle devrait être composée de plusieurs espaces distincts et mobiles, à l’intérieur même du « jardin ». Les objets évolueront dans ces différents paysages et l’idée de transformation sera présente tout au long de la pièce. Les sorcières seront à priori réalisées en textile noir et transparent et devraient se déplacer dans les airs, un peu comme des marionnettes fantomatiques. Il y en a même une qui devrait sortir d’une grosse bouteille de verre à la manière d’un génie… J’ai commencé à récolter des objets qui « me parlent »… Des pots à lait, des fioles, des cloches, des tissus… Je les étalerai au sol dès le premier jour de création. Certains seront toujours là à la fin, d’autres auront disparu dès le début. De plus, je vais travailler avec un verrier pour certains vases et autres récipients transparents avec l’idée de « voir au travers de »…
Il s’agit de Fabien Barbeau, verrier à Belle-Ile en mer que j’ai rencontré il y a quelques années déjà. J’aime bien travailler avec des artisans, comme je l’ai fait sur Le Sacre avec un horloger. La rencontre d’un univers technique et précis, d’un vrai savoir-faire, avec un univers poétique et imaginaire où tout est à inventer… Durant chaque scène, la magie opèrera grâce à des systèmes de guindes et d’électro-aimants mais aussi grâce à la présence cachée et en noir d’un régisseur plateau, sorte de« fantomette ». Les pouvoirs de la sorcière seront aussi sublimés par la création en lumières leds graduables. Pour cela Didier Martin travaillera à nouveau avec l’entreprise Chromlech de Rennes pour l’éclairage sur mesure. Pour cette nouvelle création, j’ai envie de donner vie et mouvement aux objets … Il y aura du vent, du brouillard, du gros son, des bruits, des chuchotements, peut-être une voix-off… Des mots que l’on croit entendre, d’autres qu’on ne comprend pas … Je veux créer du trouble dans la vision et dans l’audition … Un espace libre où les limites du réel s’évanouissent , où le doute est roi . Les sorcières et le noir J’ai envie de créer un paysage de couleur noire ( pas une nature morte) , un jardin noir, un tableau vivant où les objets se déplacent ou s’animent comme par magie. Un peu comme si dans le noir des formes et contours prenaient vie … On hésite, on ne sait pas si on voit quelque chose … On écarquille les yeux …On se surprend à voir dans le noir, on s’habitue à l’obscurité . Les sons développent notre imaginaire et les images surgissent au travers du noir… J’associe la sorcière à cette « couleur », étant aussi associée à la nuit, au mystère, à la peur ; mais ce n’est pas la peur du loup, c’est la peur de ce qu’on ne connaît pas, qu’on ne comprend pas, qu’on ne maîtrise pas … La peur de l’autre, le différent, « l’anormal », le « hors norme » ou « hors gabarit » … On se surprend peu à peu à se complaire dans ce jeu de transparence où des objets et des formes s’évanouissent ou apparaissent … La peur s ‘éloigne, la curiosité s’aiguise et on a l’impression d’avoir des yeux de chat (noir pour les sorcières). Je pense depuis peu à Pierre Soulages et à son « outrenoir »… J’ai envie de travailler sur les différentes textures noires dans l’espace et au sol ; que ce soit des plumes, des textiles, du bois, des cailloux, des liquides (encre), des corbeaux… Laisser passer la lumière par transparence, ou à travers les fentes et les déchirures… Les sorcières se révèleront en longues robes de mousseline noire ou en chevelure lisse et interminable, sortant de terre ou de boulets de charbon ou encore de vases à la manière des génies… Parfois, elles prendront l’apparence d’un corbeau criard ou d’une chauve-souris espiègle.
On peut facilement faire le parallèle entre l’artiste et ses images obsessionnelles et la sorcière intermédiaire entre 2 mondes ; tous deux perçus comme des êtres à la marge exerçant une sorte de fascination intrigante ; Tous deux semblant chercher en eux-mêmes un chemin vers la lumière. Origine Cette idée des sorcières m’est apparue un matin en revivant le trajet que je faisais, petite, pour aller chercher le lait à la ferme. Nous étions 4 enfants et j’y allais donc seule 1 fois par semaine. Je devais longer un petit bois avant de pénétrer dans la cour de la ferme. A chaque fois les chauve-souris virevoltaient au- dessus de ma tête comme si elles voulaient me prévenir de quelque chose . J’étais effrayée à l’idée que l’une d’entre elles vienne se nicher dans mes cheveux… On disait alors qu’il faudrait raser le crâne pour s’en débarrasser…Au fond du bois, il y avait une maisonnette qui était en fait une réserve de bois ; je voyais toujours des ombres danser sur la petite fenêtre, comme s’il y avait quelqu’un à l’intérieur… Pour ma part, j’avais décidé qu’elle était occupée par uns sorcière qui ne se montrait jamais. En longeant le petit bois, j’entendais des bruits effrayants, des chiens qui hurlaient à mort comme des loups, des craquements de branches et des ombres semblaient se faufiler entre les arbres. J’avais toujours l’impression d’être épiée et suivie… Bien souvent, je prenais mes jambes à mon cou et je courrais, je courrais, pour échapper à ma propre imagination… La jauge de spectateurs sera réduite à 150 personnes environ pour une meilleure visibilité et une proximité avec le public. 2013 sera la période de rencontre avec les partenaires potentiels de « Le jardin des sorcières » . La résidence de création aura lieu pour la plus longue période au Théâtre Lillico à Rennes en Juin et au Garage (CDRM) en Septembre 2013. Au delà des demandes aux institutions DRAC Bretagne, Ville de Rennes, Région Bretagne et Département d’Ille et Vilaine, Christine Le Berre a sollicité des théâtres avec lesquels elle entretient des contacts réguliers de confiance : le Festival Marmaille de Rennes, la Scène Nationale La rose des vents de Villeneuve d’Ascq, Pôle Sud de Chartres de Bretagne , Pessac en scène, la Mjc Palente de Besançon, le Grand Logis à Bruz, la Ville Robert à Pordic, le Festival Momix, la SN la Passerelle de St Brieuc, le Garage de Roubaix, l’Agora de Billère, … Premiers éléments techniques : Le plateau fera 8m d’ouverture (mur à mur) min sur 7m min de profondeur X hauteur min de 4,50m. 4 ou 5 pendrillons + frises. Il sera équipée de perches et de projecteurs (pc, pars, découpes…) et d’un système son.
Le jardin des sorcières – Création 2013 Conception, jeu, accessoires : Christine Le Berre Assistant et création lumières : Didier Martin Décors : Alexandre Musset et Didier Martin Musique : Dofo, Nezumi and fox Régisseur plateau (fantomette) : Franck Costanzo Costume : Véronique Lejas Verrier : Fabien Barbeau Chargée de production : Elsa André 3 ou 4 personnes en tournée. 0,75€/ km au départ de Rennes Si vous êtes intéressés pour soutenir ce projet (co-production, pré-achat, résidence...) merci de me contacter à: diffusionhophophop@gmail.com ou christineleberre@numericable.fr SITE : www.ciehophophop.com
Calendrier de résidences (Prévisionnel) 28 Janvier au 3 Février 2013 = Théâtre Lillico, Rennes 1 au 7 Avril = Le Garage (Gd studio CDRM)), Rennes 27 Mai au 9 Juin = Théâtre Lillico, Rennes 10 au 23 Juin = Le Garage (Gd studio CDRM), Rennes 24 Juin au 7 Juillet = L’Archipel, Fouesnant 26 Aout au 22 Septembre = Le Garage ( Gd studio + atelier CDRM), Rennes 23 Septembre au 2 Octobre = Le Grand Logis, Bruz 14 au 20 Octobre = Guy Ropartz, Rennes Co – productions et pré-achats Théâtre Lillico, Rennes Pôle Sud, Chartres de Bretagne L’Archipel, Fouesnant Le Grand Logis, Bruz Pré-achats (Prévisionnel) Scène Nationale La Rose des vents, Villeneuve d’Ascq Scène Nationale La Passerelle , St Brieuc Festival Momix, Kingersheim Festival Sur un petit nuage, Pessac La Ville Robert, Pordic
Christine Le Berre et le théâtre de corps et d’objets Après un passage en tant qu’interprète dans la Cie Longitude (O.Germser) elle créé l’association ZIC Z’ART en 1989. Après une quinzaine de créations chorégraphiques contemporaines1 (cf. www.christineleberre.com) et un soutien affirmé du Triangle de Rennes (Plateau pour la danse) elle s’interroge sur le mode de représentation chorégraphique et conçoit une installation-parcours en 2002 “Pour la peau ”co-produit par Le Grand Logis de Bruz (35). En 2004, elle présente une pièce pour le jeune public « Dame Couverture et Monsieur Seau » en résidence au Théâtre Lillico (Rennes). Une nouvelle direction s’affirme désormais. L’année suivante (2005) elle créé la Cie hop !hop !hop ! avec « La petite fille qui se prenait pour un oiseau » puis « Patati et patata ». En 2008, elle créé la première pièce de théâtre de corps et d’objets (co-production Festival Marmaille) avec une direction plus humoristique : « La ligne d’or ». En 2009, elle décide d’écrire à nouveau pour les petits (dès 2 ans) et met en scène un personnage recouvert de couvertures : « Mille poches », toujours en tournée. En 2010 elle créé « Peau d’arbre » en co-production avec le bob théâtre, toujours en tournée. 2011 est l’année de « Le sacre » en tournée actuellement. Les spectacles de Christine Le Berre font partie des inclassables ; ils touchent à la danse, au théâtre visuel, aux arts plastiques, à la performance, au clown, à la marionnette… Le terme le plus approprié pour son travail est désormais théâtre de corps et d’objets. Le monde des contes est abordé de manière visuelle et la scénographie prend toute sa force. Depuis « Patati et patata » elle est plongée dans l’univers inquiétant des contes de fées et sorcières.« La ligne d’or » mettait en scène un personnage singulier aux allures de sorcière entourée d’animaux (empaillés) dans le fond d’une forêt. « Peau d’arbre » se déroule également dans une clairière et l’ogresse finit par dévorer l’ogre ; « Le sacre », est un règlement de compte avec les princesses éternellement jeunes et belles. « Le jardin des sorcières » (création prévue pour Octobre 2013) formera un dyptique avec « Le sacre », et dépeindra l’autre côté des fées aux prises avec la magie et le surnaturel. Depuis 2005, Christine Le Berre est seule en scène (excepté dans Peau d’arbre) pour nous parler de l’enfant au fond de soi, de la solitude de l’être humain, de son plaisir à recréer les images et les rêves de petite fille, et aussi à titiller la fabuleuse histoire de la vie dans tous ses états au travers de notre mémoire collective … L’univers de Christine Le Berre est clairement influencé par les travaux de Boltanski, JP Witkin, Annette Messager, Berlinde de Bruyckere, Louise Bourgeois et autre Goya ou Bosch. Mais également par les artistes qui créent avec des matières naturelles et textiles comme les artistes de l’arte povera ( Abakanowicz, Penone, Morris, Long…) Christine Le Berre cherche à déclencher une « émotion esthétique ». Sans mots, ses pièces s’adressent plutôt aux sens et la scénographie plastique invite à ce lâcher-prise de la raison, de la recherche de sens. 1 Parmi les plus marquantes : Janus 1997, Celui qui tombe 1998 (co-production Cie JP Jacquet et Le Triangle), L’antre 1999 (création musicale de 8 guitares d’Olivier Mellano), Les pénétrables 2000 (Avignon, L’été des Hivernales), La chair des anges 2001…
Elle dessine toujours l’espace en premier. Puis les objets entrent en « jeu », puis l’homme. La scénographie, créée de manière très intuitive par images et fulgurances, est en fait le premier élément de tous les spectacles de Christine le Berre. Chaque spectacle part d’une première image qui lui apparaît un jour comme par magie…. Et elle aime jouer avec cette forme de magie sur scène. Et de plus en plus une petite machinerie se construit pour permettre des « effets spéciaux » : rouages, électro-aimants, petits moteurs, trappes, poulies… Ses thèmes de prédilection : la solitude , l’absurde, les contes de fées (surtout de Grimm), la magie, les ogres et les monstres, les symboles et archétypes, l’enfance et la cruauté, la fragilité et la violence, l’étrangeté, la métamorphose, les collections, l’excès, l’animalité de l’humain, la transformation, la nuit et les rêves, la disparition, le paradoxe, l’inconscient, le mystère, la forêt, les pouvoirs surnaturels …. Didier Martin, le Grand Manitou. Il est la deuxième jambe de la cie hop !hop !hop ! Il est l’homme à tout faire, mais vraiment à tout faire….Il est chargé de réaliser les « caprices impossibles » de Christine. Il fabrique donc les décors, les accessoires, la lumière mais aussi la bande son (sous le nom de Dofo) et surtout il est le regard extérieur sans concession de Christine. Il se forme en permanence : logiciel de musique, soudure, lumières leds, électro-aimants…. Didier Martin, (ou Dean Martin pour les intimes) avec un nom pareil il ne pouvait naître qu’à une date exceptionnelle. Ce fut le cas le 22 mars 1965, le jour ou France Gall remportait l’Eurovision avec « Poupée de cire, poupée de sons ». Après de magnifiques années de lycée qui le destinaient à une carrière de comptable, le destin l’emmena sur les rives plus chaotiques de la musique et du spectacle. Il fut batteur dans de formidables groupes très eighties avec mèches, chaussures pointues et tout ça dans les brumes des Côtes d’Armor. Mais la mèche ne nourrissant pas son homme, il se forma pour devenir stratifieur. Cela l’amena à la construction de bateaux, mais comme la marine (on le sait bien) mène au Théâtre, il se redirigea vers ces lumières, les velours rouges, les galas ... Après quelques années comme régisseur avec le Théâtre de Folle Pensée à St Brieuc puis avec Fiat Lux, il s’installa à Rennes pour faire de la musique mais aussi pour travailler à l’Ubu et aux Transmusicales comme éclairagiste. Cela dura 10 ans. Durant ces années là, il croisa une certaine Christine Le Berre qui le tira vers la danse contemporaine puis vers le spectacle jeune public avec la cie hop!hop!hop! Et leur collaboration continue. Une autre rencontre va lui faire découvrir la chanson française. C’est Dominique A. Ils sont ensemble sur les routes depuis douze ans maintenant. Tout ça sera entrecoupé de projets multiples et variés avec des gens comme Mathieu Boogaerts, Yann tiersen, Da silva, Olivier Mellano, Tété, …. Si l’on devait lui demander ses passions, il répondrait : musique, spectacle, lumières et particulièrement celles de Grèce.
Compagnie hop!hop!hop! Christine LE BERRE - ZIC Z’ART 4 allée Verlaine 35000 Rennes christineleberre@numericable.fr diffusionhophophop@gmail.com http://www.ciehophophop.com Tél : 02 99 79 15 41 - 06 12 04 33 05 Régisseur : Didier Martin - 06 20 89 12 81 didiernin@gmail.com
Calendrier cie hop !hop !hop ! 2012 – 2013 OCTOBRE 2012 Le sacre , le 12 Festival Conte et cie, Belfort (90) http://www.cg90.fr Mille poches, du 14 au 15 Castanet-Tolosan (31) http://www.castanet-tolosan.fr/ Mille poches, du 24 au 27 Maison du Théâtre, Amiens (80) amiens.fr NOVEMBRE 2012 Le sacre, du 13 au 16 Scène Nationale Le Volcan, Le Havre (76) http://www.levolcan.com/v2/ Peau d’arbre, du 23 au 24 Festival Turbulences Namur, Belgique DECEMBRE 2012 Le sacre , du 7 au 8 Centre Culturel Floirac (33) http://www.ville-floirac33.fr/ Le sacre , du 13 au 15 Théâtre de poche, Hédé (35) theatre-de-poche.com JANVIER 2013 Le sacre , du 7 au 9 Scène Nationale La Passerelle (22) http://www.lapasserelle.info/jeune_public12.html Le sacre , du 24 au 25 Janvier Pôle Sud, Chartres de Bretagne (35) http://www.ville-chartresdebretagne.fr/pole_sud.asp FEVRIER 2013 Le sacre , du 11 au 13 Le Champ de foire, St André de Cubzac (33) http://www.billetreduc.com/B3883/evt.htm Le sacre, le 15 Centre Culturel , Ramonville (31) http://www.mairie-ramonville.fr/Le-Sacre Le sacre , du 18 au 21 Le Carré-Les Colonnes, St Médard en Jalles (33) http://www.lecarre-lescolonnes.fr/ MARS 2013 Le sacre, du 11 au 13 Mars Théâtre d’Arras (62) theatredarras.fr/le-sacre Le sacre, du 25 au 29 Mars Scène Nationale de Dieppe (76) http://www.dsn.asso.fr/spectacles/le_sacre.php AVRIL 2013 Le sacre, du 16 au 17 Avril Festival Marionett’ic , Binic (22) www.pordic.fr/centre_culturel_de_la_ville_robert.asp Le sacre , du 10 au 12 Avril Biarritz (64) http://www.biarritz-culture.com/ MAI 2013 Mille poches, du 19 au 20 Mai La Montagne Magique, Bruxelles, Belgique www.theatremontagnemagique.be/?cat=35
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