MANOIR DE KERNAULT A MELLAC DEMANDE DE DEROGATION AU TITRE DE L'ARTICLE L411-2 DU CODE DE L'ENVIRONNEMENT MEMOIRE EN REPONSE A L'AVIS DU CRSPN ...
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MANOIR DE KERNAULT A MELLAC DEMANDE DE DEROGATION AU TITRE DE L’ARTICLE L411-2 DU CODE DE L’ENVIRONNEMENT MEMOIRE EN REPONSE A L’AVIS DU CRSPN 1. Le diagnostic réalisé dans le dossier : Préciser et compléter l’état des lieux complet de la présence des espèces d’oiseaux nicheurs et de chiroptères (localisation, effectifs, calendrier de présence...) : Réponses MO : Le bureau d’études spécialisé en écologie Biotope qui a en charge cette mission d’accompagnement a d’ores et déjà effectué une visite sur site permettant de compléter l’état des lieux initial des espèces concernées. Une 2ème visite complémentaire est programmée courant juin 2020 après occupation des nids par les hirondelles et martinets (nicheurs tardifs). Le diagnostic définitif et exhaustif, vous sera transmis suite à cette 2ème visite. 2. Prescriptions relatives aux mesures ERC et A : Mesures d’évitement / de réduction : Adaptation de la période des travaux : concentrer l’ensemble des travaux à la partie automne/hiver afin de minimiser l’ensemble des impacts. (…). Il est donc important de commencer les travaux en milieu d’été ou idéalement au 1er septembre et la mise en place des mesures d’évitement (toiles, lumières…) doit nécessairement permettre d’interdire l’accès aux chiroptères (et oiseaux) durant la phase de travaux. La phase de travaux devra être terminée ou suspendue dès le début de printemps (15 mars idéalement). Réponses MO : Les travaux sont phasés comme suit : 1. Septembre 2020-novembre 2021 : travaux sur le Grenier 2. Décembre 2021 – janvier 2023 : travaux sur le Logis Seigneurial Sur le plan opérationnel, une interruption des travaux du 15 mars au 31 août sur chaque année est infaisable et ce, sur chacune des 2 phases, à plusieurs titres : Sur le plan opérationnel, il n’est pas possible de compresser les travaux de clos-couvert sur un délai de 5,5 mois. Cette interruption impliquerait d’interrompre les travaux menaçant la sécurité des ouvrages, leur responsabilité alors rétrocédée au Cd29, la dégradation d’ouvrages sur monument historique. Par ailleurs, la reprise du chantier en saison hivernale augmenterait le risque d’intempéries pour une intervention sur la charpente et la couverture. Les intervenants du chantier interrogés sur le sujet ont apporté une réponse claire et collégiale qu’il n’était pas possible d’envisager les interventions reposant sur un phasage bouleversé portant la réception finale des travaux à l’année 2024 (voire 2025) sur la base de 4 phases de travaux « hivernaux ». Sur le plan financier, les préjudices découlant du bouleversement du phasage et de la durée du chantier seraient conséquents : frais d’immobilisation des
échafaudages pendant les arrêts de chantier, frais de repli et d’amenée de matériels et bungalows de chantier, coûts de nettoyage et de mise en sécurité au démarrage de chaque printemps, révisions de prix sur l’ensemble des marchés (travaux, ingénierie, coordination sécurité, pilotage) prévus sur une durée globale de 27 mois… Sur le plan fonctionnel, à la fois pour l’accueil du public et pour la pérennité du site intégré à la vie du territoire : la vocation du domaine de Kernault est d’accueillir les publics. Selon les années, ce sont 100 à 110 000 personnes qui en font leur lieu de balade et de découverte de la biodiversité et de la diversité culturelle. Les travaux sont devenus indispensables pour que Kernault continue d’assumer sa mission mais pendant leur déroulement, ils créent de nombreuses nuisances qui nous forcent à « mettre en sommeil » certaines activités. Interrompre les travaux entre le 15/03 et le premier septembre chaque année allongera cette période de nuisance. Cela veut dire un retard important dans la mise aux normes pour l’accessibilité, dans la mise en application du nouveau schéma directeur du parc et tout particulièrement dans le clos patrimonial, moins d’activités de médiation à défaut d’espace pour accueillir les groupes. Cela signifie également une perte en ressources propres notamment en billetterie, café, boutique ce qui est préjudiciable à la vie du site. L’étalement des travaux et la non-superposition des calendriers entre les 2 édifices doit permettre de réduire les impacts sur les populations concernées et d’offrir une solution de repli. Réponses MO : Le planning de chantier prévoit bien une 1ère phase portant sur le grenier à pans de bois. Une fois cette phase achevée, l’équipe du site pourra organiser son déménagement depuis le 1er étage du logis vers les combles du grenier. La 2é phase pourra alors démarrer. La mise en place des chiroptières et des autres aménagements Réponses MO : ces mesures seront en place à l’été 2020 (chiroptière grenier en place et tours à hirondelles pour l’été 2020), seule la chiroptière portant sur le logis sera réalisée dès que cette 2è phase pourra démarrer car la couverture est refaite. Dans le cas contraire, cela reviendrait à engager 2 fois la dépense. Pour mémoire, le coût de réalisation de ces mesures sera de près de 50 000 €. Mesures de compensation : ➢La reconstruction de nouveaux lieux de nidification est prévu pour les Hirondelles rustiques (tours à hirondelles) Réponses MO : les tours seront opérationnelles pour l’été 2020, la chiroptère sur le grenier est en place depuis l’hiver de cette même année. La programmation du site prévoit de les utiliser pour sensibiliser les publics, familles et groupes, et une animation particulière sera faite dans le cadre de « Rendez-vous d’automne » une manifestation de sensibilisation qui réunit chaque année de nombreux professionnels de protection de la nature. ➢la construction des chiroptières est également incluse à ces mesures (l’une est déjà construite). Réponses MO : la mise en place des chiroptères sera liée à l’engagement des phases :
Phase 1 – grenier : chiroptères en place. D’après P. FLAMMER, une première observation de grand Rhinolophe (1 individu) a été réalisé sur cet aménagement début 2020. Jusqu’à 5 individus ont sinon été observés au niveau du grenier sur l’hiver 2020. Phase 2 – logis : couverture en bout de course, construction chiroptère liée à l’engagement de cette phase. L’aménagement de cette seconde chiroptière permet de maintenir une bonne fonctionnalité sur les deux bâtiments, voire de l’améliorer pour certaines espèces, notamment les espèces de plein vol (Grand Rhinolophe, Murin de Daubenton). ➢Il semblerait intéressant de prévoir d’autres mesures complémentaires pour les espèces à moindre enjeu ou impact (nichoirs à moineaux, nichoirs à martinets, 1 nichoir à Effraie des clochers), et ainsi de profiter de cette phase perturbante des travaux pour améliorer les conditions d’accueil. Celles-ci sont à relier au plan de gestion plus global du site. Chouette effraie La Chouette effraie ne niche pas sur le Manoir de Kernault. En revanche un couple est présent à environ 500 mètres, dans une vieille grange, au lieu-dit Pen Allée, où sont localisés les locaux techniques du service parcs et jardins. Un nichoir y est déjà présent et utilisé annuellement par ce couple. Le couple a été observé début 2020, à proximité du nichoir. L’installation d’un second nichoir pour la chouette effraie n’est donc pas nécessaire. Moineau domestique et Martinet noir Il s’agit d’espèces qui nichent dans des petites cavités ou anfractuosités sur les bâtiments anciens, en pierre. L’installation de quelques nichoirs à martinet peut être envisagée sur le manoir de Kernault (1 à 2 sur chaque bâtiment logis et grenier), sous réserve de l’impact visuel qu’ils génèrent s’agissant d’un monument classé et de l’accord de la direction régionale des affaires culturelles de Bretagne. Les solutions de nichoirs posés sous les avancées de toits ou encastrés sous la toiture seront étudiées. La création d’anfractuosités en hauteur, entre les pierres sur les façades, des deux bâtiments peut être étudiée également. Cette solution a été déjà été mise en œuvre lors de la rénovation de la longère (en abords de monument historique) sur proposition du site. Un ou plusieurs nichoirs à moineau peuvent également être posés au niveau du mur d’enceinte. Ces installations devront être faites suffisamment en hauteur, sur une façade exposée. Plus globalement, le domaine de Kernault propose déjà de nombreux refuges pour la faune pour préserver la biodiversité en créant des lieux favorables pour la nidification, la reproduction, l’hibernation, le repos ou pour permettre à certaines espèces de se protéger des prédateurs. Les meules de bois : C’est un habitat privilégié pour de nombreuses espèces qui viennent y chercher un refuge contre les prédateurs, un abri pour faire leur nid, ou encore un lieu pour se protéger des intempéries et passer l’hiver. De nombreux amphibiens (grenouilles, crapauds, tritons, salamandres), y trouvent en journée un abri dans les parties du bois les plus humides. La nuit, ils se nourriront des limaces, des cloportes et des larves d’insectes.
Le tas de bois favorise aussi de nombreux insectes xylophages qui, en décomposant le bois mort, participent à l’enrichissement du sol en matière organique. Les meules de bois sont très favorables aussi au développement des lichens, des champignons et des mousses. Les arbres gîtes : Tous les arbres présentant des cavités, des trous favorables à la faune sont préservés à l’unique condition qu’ils ne représentent pas un danger pour le public. Ils sont répertoriés comme « arbres gîtes » et marqués avec une plaque et des pictogrammes pour les identifier. Qu’il soit tout simplement mort ou traité en chandelle, l’arbre gîte contribue activement à la préservation de la biodiversité. Un arbre mort offre refuge et nourriture à de nombreuses espèces. Certaines chauves-souris viendront nicher dans les cavités naturelles de l’arbre. Le pic épeiche viendra se nourrir d’insectes xylophages dans le vieux bois et les mésanges, la sittelle torchepot et pourquoi pas la chouette chevêche pourront élever leur progéniture dans les cavités existantes. À ce stade, ils sont aussi support de nombreuses plantes épiphytes, de lichens et de mousses souvent oubliés quand on parle de biodiversité. Les nichoirs : En plus de la gestion écologique des haies bocagères, du maintien des arbres gîtes et de la préservation de refuges pour la faune, plusieurs sortes de nichoirs ont été installés dans le parc et des aménagements ont été prévus pour accueillir la faune sauvage. o Des gîtes à chauves-souris arboricoles répartis en cinq essaims dans le parc o Des nichoirs à passereaux dans les vergers pour accueillir les mésanges o Deux nichoirs à chouette hulotte dans les bois o Un nichoir à chouette effraie dans un bâtiment o Un nichoir à chouette chevêche dans le verger patrimonial o Un gîte à chiroptères a été aménagé dans le grenier à pans de bois comme mesure de substitution. Il a déjà été utilisé par un grand rhinolophe à la sortie de son gîte d’hibernation. o 40 cavités de chaque côté du mur d’enceinte ont été aménagées lors de sa réfection ainsi que sur la façade de la longère pour accueillir chiroptères et oiseaux cavernicoles Mesures d’accompagnement : ➢Un suivi écologique est prévu pour valider ces aménagements et suivre le bon déroulé de ces mesures. Une attention particulière sera menée sur la colonisation des aménagements nouveaux et sur le maintien de populations en dehors de ces aménagements. Une comparaison avant/après travaux devra être présentée pour évaluer les incidences réelles sur les populations d’oiseaux et de Chiroptères. Réponses MO : Biotope réalisera un passage à l’issue de l’installation des tours à Hirondelle, pour valider les installations. Un compte rendu sera rédigé et transmis aux services de l’état.
➢Il semblerait intéressant de profiter du statut du site pour mener des actions de sensibilisation des visiteurs à ces travaux et présenter les mesures ERC développées localement. (…). Le parc de Kernault s’est orienté vers une gestion différenciée dès 2000, impulsée alors par l’Agenda 21 du Conseil Général du Finistère. La gestion différenciée, s’inscrivant dans une démarche de développement durable, présente des objectifs, écologiques, paysagers, pédagogiques et économiques. La traduction concrète de l’entretien différencié s’effectue selon le principe de niveaux de Codes Qualité visant à une présentation hiérarchisée des espaces du parc tout en assurant une cohérence satisfaisant les usagers. Au Manoir de Kernault, ces codes utilisés confèrent aux espaces un degré d’entretien en fonction des objectifs visés. Ils sont au nombre de trois : prestige, soigné et réduite ; le fil conducteur de toute intention et intervention étant le maintien et l’enrichissement de la biodiversité. La sensibilisation à la biodiversité est un axe de développement majeur du site et a pris une dimension toute particulière en 2011 avec la plantation d’un nouveau verger. Il accueille plus de 100 variétés de pommes et chaque visiteur qui le découvre peut comprendre en quoi un verger est un écosystème à protéger en utilisant des modules d’interprétation qui font la part belle à la participation. Un hôtel à insectes et des plantes compagnes sont bien évidemment présentes et c’est un lieu où cohabitent de manière harmonieuse, la faune, la flore et les Hommes. Il est aussi investi à certaines saisons par des groupes qui profitent d’une animation avec une médiatrice. La présence d’animaux sur le site en éco-pâturage est aussi l’occasion de sensibiliser les publics. Pour cela de nombreuses actions de médiation sont menées notamment par Alice Piquet, chargée de médiation formée à ces sujets. En 2019 et 2020 le site propose une exposition temporaire sur la nuit, un moment important pour la faune et notamment les chauves-souris et rapaces nocturnes au cœur du projet de travaux sur le site dans les bâtiments classés. Cette exposition sert de support à toute une programmation de sorties nocturnes menées par Patrice Flammer, coordonnateur du par cet des associations avec lesquelles nous travaillons depuis de nombreuses années : le GMB, Bretagne vivante, etc. Une nuit de la chauve-souris, une découverte des papillons de nuit, une autre sur les chouettes ne sont que quelques exemples des activités de sensibilisation proposées. Elles rencontrent toujours un public enthousiaste et curieux qui repart avec un regard plus aiguisé sur la nécessité de vivre en respect avec la nature. Les travaux nous permettent d’attirer l’attention sur la complexité des écosystèmes et la protection de celles qui sont le plus impactées. En préfiguration des travaux, des actions de médiation ont été menées au cours des Journées de Patrimoine et des Rendez-vous aux jardins, deux manifestations nationales qui réunissent sur le site près de 800 personnes. Patrice Flammer, coordonnateur du site a présenté l’aménagement de la chiroptère, ce qui a motivé sa création et le cycle des chauves-souris. Des visites ont été également proposées sur les oiseaux, leurs divers habitats et l’importance de les conserver. Plus globalement, il existe plusieurs visites sur la biodiversité et la gestion du parc dédiées aux différents publics dès le plus jeune âge. Dans la présentation de la gestion de Kernault, nous commençons par le clos, la présentation des bâtiments et des aménagements réalisés pour certaines espèces (trous dans mur d’enceinte pour les passereaux, combles de grenier pour les chauves-souris…) Nous n’avons pas attendu le début des travaux pour s’engager mais ce chantier nous offre une occasion formidable de parler des aménagements et de l’importance que chacun se sente concerné.
Modalités de suivi : Dans tous les cas un suivi de l’efficacité des mesures et donc de la recolonisation est à réaliser par le demandeur (avec compétence écologue : associations, bureaux d'études...). Réponses MO : À Kernault, deux jardiniers entretiennent toute l’année le parc. Un coordinateur, technicien de la gestion et la protection de la nature et la gestion des espaces naturels est chargé de mettre en application les modalités de gestion et tous les protocoles d’entretien déterminés pour chaque unité de gestion. Il a développé de nombreuses relations de confiance avec l’ensemble des associations de protection de la nature. C’est de cette manière d’ailleurs que le domaine de Kernault est devenu un site majeur de préservation du campagnol amphibie en partenariat avec le GMB. Il est secondé par un jardinier tout particulièrement formé pour s’occuper des animaux en éco-pâturage. Ils sont encadrés par une responsable des parcs et jardins au sein de l’EPCC Chemins du patrimoine en Finistère qui a élaboré en 2019 le nouveau schéma directeur du site. Patrice Flammer, le coordonnateur sera chargé du suivi de l’efficacité des mesures au quotidien sur le site en lien avec le travail prévu par l’écologue de Biotope. Bilan des observations Biotope 2020 2 passages complémentaires sont prévus en 2020, pour compléter le diagnostic sur les oiseaux nicheurs. Un premier passage a été réalisé le 4 mai. Un second passage sera réalisé début juin 2020. A son issue une synthèse des observations sera transmise aux services de l’état. Un premier bilan des observations réalisées le 4 mai est présenté ci-dessous. Espèces nicheuses au Manoir de Kernault : Hirondelle rustique : 5 adultes ont été observés simultanément, aucun nid n’est occupé au 4 mai. Effectif nicheur sur bâtiments à préciser lors du prochain passage. Martinet noir : 5 adultes ont été observés simultanément, aucun nid n’est occupé au 4 mai. Effectif nicheur sur bâtiments à préciser lors du prochain passage. Mésange charbonnière : 1 nid est occupé au niveau de la façade de la longère, entre accueil et le logis. Le nid est situé au niveau des anfractuosités crées sur la façade Moineau domestique : 1 mâle est cantonné au niveau du logis et la longère. Il est possible qu’un couple niche au niveau des anfractuosité de la longère entre l’accueil et le logis. Espèces nicheuses à Pen Allée : Hirondelle rustique : Aucun individu observé. 2 nids non occupés dans les bâtiments. Chouette effraie : 1 couple observé dans une maison pierre, hors du nichoir. Martinet noir : 21 individus observés simultanément. Effectif nicheur sur bâtiments à préciser lors du prochain passage. Moineau domestique : Au moins 4 individus observés. Effectif nicheur sur bâtiments à préciser lors du prochain passage.
Etourneau sansonnet : Au moins 2 couples nicheurs sur les bâtiments Espèces nicheuses au niveau des espaces proches du Manoir (parcs, jardins, bois) Faucon crécerelle : 1 couple dans une haie à Pen Allée. Accenteur moucheur : 1 chanteur à proximité de Pen Allée. Pie bavarde : 1 couple nicheur dans une haie à Pen allée. Bergeronnette grise : 1 adulte vu à plusieurs reprises près du Manoir. Nicheur possible. Fauvette a tête noire : au moins 2 mâles chanteurs. Nicheur possible. Chardonneret élégant : au moins 3 mâles chanteurs. Nicheur possible. Nombreux individus autour du manoir, dans les jardins. Pinson des arbres : au moins 2 mâles chanteurs. Nicheur possible Grimpereau des jardins : 1 adulte est vu sur logis a plusieurs reprises, au niveau du pignon ouest. Nicheur possible à proximité du Manoir. Troglodyte mignon : au moins trois mâles chanteurs. Nicheur possible. Rouge gorge : au moins 1 mâle chanteur. Nicheur possible. Pic vert : 1 adulte entendu à proximité. Nicheur possible dans les bois proches du Manoir. Choucas des tours : plusieurs individus vus en vol. Merle noir : au moins deux mâles chanteurs. Nicheur possible à proximité du Manoir. Corneille noire : 2 adultes vus Pigeon ramier : 2 chanteurs. Nicheur possible.
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