EliseCare 9 rue Ernest Cresson - 75014 PARIS
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SOMMAIRE I. CONTEXTE 3 5 ANS DE GUERRE 3 EXODE MASSIF VERS LE KURDISTAN IRAKIEN 3 II. ASSOCIATION ELISECARE 4 III. GÉNÈSE DE NOTRE ENGAGEMENT HUMANITAIRE 5 IV. BILAN DE NOS ACTIONS AU KURDISTAN IRAKIEN 6 LE CAMION DISPENSAIRE (ERBIL) 7 LE BUS DES FEMMES ET DES ENFANTS (DUHOK) 8 L’ACTIVITÉ MÉDICALE 9 LES FORMATIONS MÉDICALES 10 LES CHIFFRES CLÉS 10 V. NOS INDICATEURS DE RÉUSSITE 11 VI. LES CONDITIONS DE SÉCURITÉ 12 VII. NOS PARTENAIRES & SOUTIENS 13 AU KURDISTAN IRAKIEN 13 EN FRANCE 13 VIII. REVUE DE PRESSE 14 ! sur ! 15 2
I. CONTEXTE “Nous sommes ici pour répondre à la plus grande crise de réfugiés et de déplacés de notre temps” Ban Ki-moon, secrétaire général de l’ONU, Genève, 30 mars 2016 5 ans de guerre Près de cinq ans ans après le mouvement de contestation de 2011 auquel le régime syrien de Bachar el-Assad a répondu par la voie des armes, la guerre a dévasté la Syrie et fait près d'un demi million de morts. Elle a jeté la moitié de la population hors de son foyer et ouvert la voie à l'avancée de l'organisation Etat islamique. 4,8 millions de Syriens ont été contraints de fuir au-delà des frontières de leur pays en cinq années de guerre. Par ailleurs, 6,6 millions de personnes sont déplacées à l'intérieur de la Syrie. Alors que des discussions sont en cours pour trouver une paix durable, le chef des Nations Unies a déclaré que davantage de pays avaient besoin d'intensifier et de fournir des solutions durables aux réfugiés syriens. « La meilleure façon de rendre l'espoir aux Syriens est de mettre fin au conflit », a déclaré le Secrétaire général. « Toutefois, avant que ces discussions ne portent leurs fruits, le peuple syrien et la région demeurent confrontés à une situation désespérée. Exode massif vers le Kurdistan Irakien Située au coeur d’Erbil, capitale du Kurdistan irakien, la cité chrétienne d’Ainkawa accueille des dizaines de milliers de réfugiés entassés depuis l'été 2014 dans des tentes, des hangars, un hôtel en construction et même un centre commercial abandonné. Du jour au lendemain, tous ont dû fuir Mossoul, Qaraqosh, la plaine de Ninive, à 70 kilomètres de là, chassés par les tueurs de Daesh. Là- bas, il n'y a plus un seul chrétien. Aujourd’hui, la situation à Mossoul n’a pas évolué. Sinjar est en ruine. Impossible donc pour les déplacés d’envisager un quelconque retour sur leur terre. Ainkawa II, plus grand centre chrétien d’Irak construit grâce au soutien des ONGs internationales, comptait à son ouverture en avril 2015, 1 200 bungalows accueillant dans la plus grande précarité plus de 5 000 personnes. En quelques mois, le nombre de réfugiés dans le camp a triplé, augmentant ainsi considérablement les besoins en terme d’assistance médicale. En mars 2016, plus de 45 000 chrétiens sont réfugiés dans cette banlieue d’Erbil. ! sur ! 15 3
II. ASSOCIATION ELISECARE Créée en 2002, EliseCare est une organisation non gouvernementale (ONG) qui apporte une aide médicale aux populations civiles vivant en zones de conflit et promeut les bénéfices de la médecine traditionnelle chinoise. La vocation humanitaire de l’association est à l’origine incarnée par Elise BOGHOSSIAN, acupunctrice de métier et fondatrice de l’association, qui s’est engagée dans un premier temps seule auprès des victimes de guerre en Arménie puis en Jordanie. En partenariat avec les hôpitaux présents sur place dans ces deux pays, elle s’est attelée à encourager la pratique de l’acupuncture pour soulager les douleurs des patients. Le faible coût de cette méthode et le matériel peu encombrant favorisent son exercice dans les camps de réfugiés. Elle a également une efficacité rapide sur les douleurs, sans effet secondaire. Les conflits s’aggravant au Moyen-Orient, EliseCare crée deux dispensaires médicaux en Irak afin de porter assistance aux populations déplacées et réfugiées éloignées des villes et des centres médicaux. Parallèlement à son activité humanitaire, l’association mène également de nombreuses recherches cliniques en France. ! sur ! 15 4
III. GÉNÈSE DE NOTRE ENGAGEMENT HUMANITAIRE Depuis sa création, l’association EliseCare a une vocation humanitaire. Elise BOGHOSSIAN, sa fondatrice, s’est d’abord engagée dès 2002 dans des missions médicales en Arménie. Sensibilisée aux problèmes des populations civiles qui subissent la guerre au Haut- Karabagh, elle s’est rendue sur place pour apporter son aide. L’acupuncture apporte une aide réelle aux blessés de guerre, notamment pour les soulager de douleurs neuropathiques. C’est pourquoi EliseCare a décidé de s’engager ensuite sur d’autres terrains de crise. En 2011, un conflit armé naît en Syrie, issu d’un mouvement de contestation. Celui-ci se transforme très vite en guerre civile. Les populations civiles, dramatiquement victimes de tous ces affrontements, traversent chaque jour la frontière syrienne pour rejoindre la Jordanie. Sur les zones de guerre difficilement accessibles et dans les camps de réfugiés, la prise en charge des blessés est particulièrement préoccupante. A l’orée du désert jordanien, à quelques kilomètres de la frontière, le camp de réfugiés de Zaatari, notamment, accueille des milliers de personnes. EliseCare s’associe dès 2013 aux équipes médicales et intervient dans cinq zones différentes. Au mois de juin 2014, Daech proclame l’instauration d’un « califat » sur les territoires irakiens et syriens, après la prise-éclair de Mossoul et Sinjar. La multiplication des combats en Syrie et le djihadisme en Irak poussent alors dans la zone pacifiée du Kurdistan irakien plus de 2 millions de réfugiés. Parmi eux, des chrétiens, des yézidis et autres minorités religieuses vivant depuis des siècles sur ces terres de Mésopotamie. Selon le HCR, Haut Commissariat des Nations Unies aux Droits de l’Homme, l’Etat Islamique pourrait avoir commis, contre de nombreux groupes ethniques et religieux, les trois crimes internationaux les plus graves : crimes de guerre, crime contre l’humanité et génocide. Ayant fui leurs foyers dans l’urgence, les populations déplacées et réfugiées se retrouvent dans le dénouement le plus total. Epuisés, en état de choc et dans des conditions médicales alarmantes, ils ont grandement besoin d’assistance. Face à cette terrible réalité, l’association EliseCare met en place dès septembre 2014 une mission de soutien en faveur de ces populations. ! sur ! 15 5
IV. BILAN DE NOS ACTIONS AU KURDISTAN IRAKIEN Pour répondre à l’éloignement des populations réfugiées des centres médicaux et à leur impossible accès aux soins, l’association créée deux dispensaires médicaux mobiles au Kurdistan irakien. La mission de ces dispensaires est triple : - Assurer des consultations et des soins auprès des familles en péril. - Permettre un suivi psychologique des patients traumatisés. - Offrir un accès à des formations médicales. En 2015, nos 2 dispensaires et nos 14 médecins ont prodigué plus de 37 000 soins, dans près de 30 sites, dans 2 provinces du Kurdistan irakien pour une population d’environ 50 000 réfugiés. ! sur ! 15 6
LE CAMION DISPENSAIRE (ERBIL) En septembre 2014, Elise BOGHOSSIAN se rend au Kurdistan irakien. Elle constate alors que les conditions de vie des populations déplacées et réfugiées sont dramatiques depuis leur arrivée. Persécutés et menacés de mort pour ce qu’ils sont ou ce en qui ils croient, les minorités ethniques et religieuses sont contraintes de quitter leurs foyers. Sur les routes de l’exil, dans les déserts de Syrie et de Mésopotamie, femmes, enfants et personnes âgées ont pour certains marché entre 20 et 30 heures pour rejoindre la zone pacifiée du Kurdistan irakien. A leur arrivée, seulement 9% d’entre eux seulement parviennent à s’installer dans des camps de réfugiés déjà saturés, les autres trouvent refuge dans des lieux non adaptés à leur accueil, dispersés dans tout le Kurdistan : églises, caves, bords de routes, chantiers désaffectés, déchetteries… Ils n’ont pas accès aux structures d’aide mises en place par la communauté internationale : ni les abris en dur, ni les tickets de rationnement, ni les soins médicaux … Certains d’entre eux portent les mêmes vêtements qu’à leur arrivée. Ils subissent ainsi tour à tour les températures négatives de l’hiver et la chaleur insupportable de l’été. C’est pour répondre à leurs besoins médicaux que EliseCare crée son premier dispensaire en janvier 2015. Depuis cette date, il parcourt les provinces d’Erbil, Duhok, Lalesh et visite chaque semaine près de 30 sites identifiés pour leurs difficultés d’accès. L’association recrute alors 7 médecins et professionnels de santé parmi les réfugiés qui travaillent 6 jours par semaine pour offrir consultations et soins aux familles. En mai 2015 - seulement 5 mois après le début de son activité - près de 10 000 soins ont été prodigués. Néanmoins, les besoins médicaux restent encore immenses et EliseCare est l’une des rares ONG médicale a être présente sur les sites hors camp. Elle décide donc d’accroître son activité et de créer un second dispensaire. ! sur ! 15 7
LE BUS DES FEMMES ET DES ENFANTS (DUHOK) Face à l’afflux constant de réfugiés dans la région, en moyenne 40 familles par jour, et à la grande vulnérabilité des femmes et des enfants, il est apparu indispensable, en juin 2015, de leur dédier un second dispensaire. Les violences sexuelles sur les femmes et l’utilisation des enfants comme arme de guerre sont commis par Daech de façon généralisée et systématique. Les femmes et les jeunes filles sont enlevées puis vendues comme des esclaves dans les bazars : elles sont classées et expédiées nues pour être ensuite distribuées à des dirigeants et combattants. Victimes de tortures et de sévices sexuels, celles qui en échappent restent murées dans le silence et ont besoin d’un espace qui leur soit entièrement consacré. C’est pourquoi en mai 2015, EliseCare acquiert un ancien bus de collecte de sang qu’elle transforme en dispensaire médical. Ce « Bus des femmes et des enfants » constitue désormais un lieu intime permettant une meilleure prise en charge médicale et psychologique. L’équipe de ce bus, composée de 7 médecins, dispense consultations et soins spécifiques aux pathologies des femmes et de leurs enfants : gynécologie, suivi de grossesse, soins post-partum, néo-natalité, pédiatrie, traitement de la douleur … Afin d’assurer un soutien psychologique durable aux femmes traumatisées, EliseCare a recruté des psychologues et collabore étroitement avec des organisations locales et des spécialistes des grands traumas. Ils sont précieux pour aider à la réinsertion de ces femmes qui vivent souvent en marge de la société. Les enfants font eux aussi l’objet d’un suivi dans le cadre d’ateliers créatifs favorisant l’expression de leurs traumatismes par des formes non verbales. ! sur ! 15 8
L’ACTIVITÉ MÉDICALE La pratique quotidienne dans nos dispensaires et la prise en charge des patients est assurée par des équipes médicales pluridisciplinaires recrutées parmi les réfugiés. Ainsi, les médecins connaissent la langue, le terrain, la culture locale et la situation psychologique de leurs patients. Nos médecins prodiguent des soins toutes spécialités confondues : médecine générale, gynécologie, pédiatrie, chirurgie… avec une spécialisation dans la prise en charge des femmes et des enfants au sein du « Bus des femmes ». Leur activité médicale est singulière par son recours à l’acupuncture, qui constitue un moyen complémentaire, rapide et économique de soulager la douleur. Les médecins ont ainsi pu guérir une diversité importante de maladies, qu’elles soient saisonnières ou chroniques. Il peut s’agir des maux d’estomac, d’inflammations intestinales et urinaires, de grippes et d’allergies. Les douleurs de dos, de genoux, les maux de tête et certaines paralysies ont pu être soignées grâce à l’acupuncture et la médecine chinoise. Le fait que les dispensaires et leurs équipes médicales se rendent chaque semaine sur les mêmes sites permet une prise en charge continue et durable des réfugiés depuis près d’un an. Ainsi, chaque site est visité tous les 8 jours et le planning de chaque dispensaire est établi en fonction de l’importance des besoins par site. La mise en place méticuleuse par les médecins de fiches médicales pour chaque patient a considérablement aidé à l’organisation du travail sur le terrain. C’est désormais un outil indispensable pour assurer un suivi régulier des patients et de leurs pathologies. Le dispensaire dispose également à bord d’une pharmacie et d’un praticien pour distribuer les médicaments nécessaires à l’issue de la consultation et des soins. Les médecins travaillent également en étroite collaboration avec des laboratoires d’analyses médicales et le Ministère de la santé irakien qui fournit en cas de besoin des ambulances. Toute cette activité est coordonnée par un chef de mission irakien, assisté d’un expatrié français. Chaque jour, ils établissent un compte rendu des consultations, répertorient les pathologies soignées et anticipent les besoins en médicaments et matériel médical. ! sur ! 15 9
LES FORMATIONS MÉDICALES EliseCare s’est efforcée d’encourager la réinsertion des populations déplacées et réfugiées, par la mise en place de programmes de formation professionnelle et la promotion d’opportunités de travail pour les réfugiés et déplacés au sein de leur communauté d’accueil. A cet égard, il était fondamental que nos médecins soient recrutés au sein des populations réfugiées, sans distinction d’origine ou de religion. Nous avons également organisé pour eux des formations de secourisme, de psychologie des grands traumas, de techniques anti-douleur par l’acupuncture ou de gynécologie afin de renforcer leur intervention. En leur procurant formation, travail et salaire, EliseCare leur a ainsi redonné une forme de dignité et des perspectives d’avenir. LES CHIFFRES CLÉS En 2015, nos 2 dispensaires et nos 14 médecins ont prodigué plus de 37 000 soins, dans près de 30 sites, dans 2 provinces du Kurdistan irakien. pour une population d’environ 50 000 réfugiés. ! sur ! 15 10
V. NOS INDICATEURS DE RÉUSSITE Sur la base des fiches médicales nominatives établies par nos médecins, nous avons pu estimer qu’en 6 mois nos dispensaires mobiles peuvent prodiguer plus de 10 000 soins. Statistiques consultations En retournant sur les mêmes sites, nos médecins Année 2015 ont pu constater que depuis le début de leur activité, l’état des populations s’était amélioré. Ils parviennent désormais à endiguer plus rapidement les épidémies de maladies chroniques 5% dans les camps. 28 % 23 % Leur présence régulière leur a également permis d’établir un lien de confiance entre eux et les populations réfugiées, augmentant ainsi le nombre de consultations et permettant d’assurer un suivi 44 % psychologique des personnes traumatisées. Le chef de mission de l’association présent sur place rédige tous les mois un rapport détaillé de nos activités reprenant toutes ces données et Hommes Femmes recueillant les témoignages. Enfants Acupuncture Par ailleurs, les formations médicales proposées à nos médecins ainsi qu’aux populations civiles permettent aux réfugiés d’être dans un futur proche autonomes, ce qui permettra une prise en charge médicale en l’absence de notre ONG. Détails des consultations (Année 2015) Hommes Femmes Enfants Acupuncture Total Camion (12 8601 10093 7224 1721 27639 mois) Bus femmes et 2200 3669 2885 1345 10099 enfants (6 mois) TOTAL 10801 13762 10109 3066 37738 ! sur ! 15 11
VI. LES CONDITIONS DE SÉCURITÉ La normalisation de la situation sécuritaire au Kurdistan irakien depuis septembre 2013, date du dernier attentat à Erbil, représente un avantage certain, à l’inverse du reste de l’Irak. Les déplacements dans les trois provinces kurdes - Erbil, Duhok, Souleymanieh - ne sont pas soumis à des mesures de sécurité particulières. Les aéroports d’Erbil et de Souleymanieh accueillent des vols réguliers en provenance des principaux centres d’affaires de la région. Les récents conflits armés entre les combattants de l’EI et l’armée irakienne, ont quelque peu perturbé les dispositifs de sécurité qui ont été fortement renforcés aux frontières qui séparent le Kurdistan des pays voisins de l’Irak.1 Selon le Ministère des Affaires Etrangères français, le soutien résolu de la France aux nouvelles autorités irakiennes n’est pas seulement politique, diplomatique et humanitaire, il est aussi militaire. La France appuie les forces de sécurité irakiennes et les peshmergas par des livraisons d’armes depuis le mois d’août 2014 et par des frappes aériennes, opérées depuis le 19 septembre à la demande expresse de Bagdad et dans le cadre de la coalition internationale contre Daech.2 Quant à nos dispensaires, ils ne se déplacent que sur des lieux sécurisés du Kurdistan irakien. Par ailleurs, notre association est en relation régulière avec les peshmerguas et le gouvernent irakien (partenariat officiel avec le ministère de la santé irakien), ainsi qu’avec le consulat français à Erbil. 1 Source : site de l’Ambassade de France en Irak - http://www.ambafrance-iq.org/Kurdistan-d-Irak-Un-climat-des 2 Source : site du Ministère des Affaires Etrangères français - http://www.diplomatie.gouv.fr/fr/dossiers-pays/irak/ ! sur ! 15 12
VII. NOS PARTENAIRES & SOUTIENS AU KURDISTAN IRAKIEN Sur la place, nous travaillons en étroite collaboration avec les ministères de la santé des provinces de Duhok et d’Erbil. Ces derniers nous fournissent du matériel médical et nous mettent à disposition une ambulance pour accéder aux zones les plus accidentées et reculées. EliseCare coopère également avec les responsables des camps, les représentants des communautés et les chefs religieux. Par ailleurs, l’association - par l’intermédiaire de sa présidente, Elise BOGHOSSIAN - est en lien très étroit avec la Princesse kurde Sinemkhan Bedirkhan. EN FRANCE Pour nos missions au Kurdistan irakien, nous avons formalisé de nombreux partenariats et avons fait l’objet de nombreux soutiens. Le député des Hauts de Seine Jean-Marc Germain nous a fait l’amitié de soutenir la première acquisition de notre dispensaire en nous versant une grande partie de sa réserve parlementaire au début de l’année 2015. C’est également le cas du Président du Conseil régional des Hauts de Seine, Patrick Devedjian, de la Présidente de la Région Ile-de-France Valérie Pécresse et de la députée Nathalie Kosciusko-Morizet. La Mairie de Paris est un précieux partenaire depuis 2010, notamment parce qu’elle a régulièrement mis à notre disposition les salons de l’Hôtel de Ville pour l’organisation de dîners de charité. En 2015, la Mairie a voté un budget de 50 000 euros pour venir en aide aux minorités en Irak. Le Conseil régional d’Ile de France nous a attribué une aide importante en octobre 2015 dans le cadre de son « Plan d’aide aux réfugiés et migrants » pour la mise en place d’un dispensaire médical à Paris et en Île- de-France que nous projetons d’acquérir. Le Ministère des Affaires étrangères nous a soutenu à l’été 2015 par le biais d’une aide de 50 000 euros. La Fondation de France, la Fondation Bettencourt , la Fondation Raja Danièle Moscovici, ainsi que l’Alliance française des femmes pour la démocratie sont également des soutiens réguliers à nos actions, tout comme les Nations Unies. ! sur ! 15 13
VIII.REVUE DE PRESSE Nos actions sont régulièrement relayées en France, notamment par le biais des médias. • TF1 : « Sept à Huit » novembre 2015 • France 5 : « Les Maternelles » novembre 2015 • Le« Elle » décembre 2015 • LCI : « La Matinale » • France 2 : « Journal de 20 heures » décembre 2015 octobre 2014 • Canal + : « La nouvelle édition » • Europe 1 : « La matinale » et « Les décembre 2015 experts » mars et juin 2014 • RCF janvier 2016 • TV5 Monde : « 64’ Le fait du jour » janvier 2015 • France 2 : « Thé ou Café » janvier 2016 • France Culture : « Le choix de la rédaction » • Arte : « Arte Reportage » janvier 2015 janvier 2016 • France Inter : « Partir avec… » et « Un • LCI : « Invitée de la matinale » jour dans le monde » février 2016 février et mai 2015 • France 2 : « Le Jour du • La Croix : « Elise Boghossian, Seigneur » acupunctrice en zone de guerre » février 2016 mars 2015 • France 2 : « Le 13h15 de • France 5 : « Magazine de la santé » et Laurent Delahousse » « Se soigner autrement » février 2016 mai et avril 2015 • France 2 : «C’est au • France 3 : « Grand soir 3 » Programme » avril 2015 février & mars 2016 • Canal + : « L’Effet Papillon » • TF1 : « Au fil de la nuit » octobre 2015 Avril 2016 • Le « M Mag », magazine du journal « Le Monde » novembre 2015 ! sur ! 15 14
EliseCare 9 rue Ernest Cresson 75014 PARIS www.elisecare.org !
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