15 16 SPECTACLES VIVANTS - Nouvelle Scène Nationale
←
→
Transcription du contenu de la page
Si votre navigateur ne rend pas la page correctement, lisez s'il vous plaît le contenu de la page ci-dessous
L’ a P O S T R O P H E S C È N E N AT I O N A L E D E C E R GY- P O N T O I S E E T D U VA L D ’ O I S E UN SE RVICE PUBLIC D E U X T H É ÂT R E S D ’AG G L O M É R AT I O N L’-T H É ÂT R E D E S A R T S P L AC E D E S A R T S / C E R G Y- C E N T R E • mardi au vendredi / 13h30-18h30 • samedi / 15h-18h • vacances scolaires, mardi au vendredi / 15h-18h L’-T H É ÂT R E D E S L O U V R A I S P L AC E D E L A PA I X / P O N T O I S E • mardi au vendredi / 16h30-18h30 • samedi / 15h-18h • vacances scolaires / fermé L’ a P O S T R O P H E S C È N E N AT I O N A L E D E C E R G Y- P O N T O I S E E T D U VA L D ’ O I S E BP 60307 - 95027 Cergy-Pontoise Cedex Tél 01 34 20 14 25 - fax 01 34 20 14 20 I N F O R M AT I O N ET BILLETTERIE 01 34 20 14 14 reservation@lapostrophe.net BILLETTERIE ET ABONNEMENT EN LIGNE w w w.lapostrophe.net La direction se réserve le droit de modifier ce programme.
ÉDITO UN THÉÂTRE PUBLIC C’est quoi le théâtre public ?... un Étonnant équilibre qui exprime, par de multiples moyens, le projet de son directeur pour la rencontre des publics avec les œuvres et les artistes d’une saison en mouvement, forcément en mouvements. Projet singulier tourné vers la population du territoire, dans le cadre d’un Contrat d’objectifs et de moyens discuté et adopté par les partenaires publics co-financeurs et des représentants de spectateurs, L’apostrophe n’est pas une initiative individuelle subventionnée mais le fruit de la volonté des collectivités publiques. Lieu des émotions et des passions les plus extrêmes, carrefour des contradictions comme des expérimentations jugées conventionnelles ou audacieuses, trop ou pas assez… la scène de théâtre permet cette approche large, nourrie à l’échelle régionale, nationale et internationale capable de suggérer une vision, d’aider au jugement esthétique, à la discussion sur les œuvres émergentes comme sur le répertoire, sans cesse revisité. Elle nous incite cette année encore à de belles occurrences avec de grands créateurs : Joël Pommerat, Roméo Castellucci, Maguy Marin, François Verret, Jean François Sivadier, Peeping Tom, Brad Melhdau… Dans la tourmente planétaire de l’époque, qui devrait nous rendre plus forts, si elle ne nous tue pas, la paupérisation du secteur artistique pourrait paraître dérisoire. La sanctuarisation par l’Etat du budget du spectacle vivant et le pacte proposé aux collectivités locales laissent pourtant entrevoir un espoir puisqu’au plus haut niveau on estime* que le soutien à la culture est aussi une réponse à la crise. La mission de l’institution théâtrale est au cœur d’enjeux réels pour la défense des artistes, le soutien aux créations… tout autant que symboliques en reposant sur des valeurs d’ouverture aux autres, de curiosité, de tolérance, de laïcité. La Scène nationale met ainsi en œuvre son cahier des charges dans un engagement au service de la cité, et une action faite de diversité et d’exigence attentive aux territoires et aux partenariats, aux projets nouveaux, aux mixités qu’illustre l’intense travail d’action culturelle menée auprès des élèves des établissements scolaires et universitaires qui, chaque année dans les Melting’potes, témoignent par exemple de l’extraordinaire vitalité des jeunes générations. Dans ce monde de fêlures idéologiques, sociales, politiques, celles des créateurs sont, elles, poétiques. C’est l’espace des possibles par où passe la lumière, qui donne sens et épaisseur aux interrogations humaines les plus futiles et les plus profondes. L’interstice ou transitent les joies, les misères, les colères, les déceptions relève de cet informulable nécessaire à l’existence laissant à penser, comme le suggère Cesare Pavèse**, que L’art est la preuve que la vie ne suffit pas. Jean Joël Le Chapelain Directeur * Manuel Valls -Les matins sur France culture - 18/5/2015 ** Cesare Pavese : écrivain italien - 1908/1950
LÉGENDE théâtre arts plastiques TDA > L’-Théâtre des Arts / Cergy-centre La direction se réserve le droit de modifier musique actions artistiques TDL > L’-Théâtre des Louvrais / Pontoise ce programme. danse performance / acrobatie / humour Ext. > en extérieur SEPTEMBRE M1 L 19 V4 Ça ira (1) – Fin de Louis TDL M2 M 20 S5 J3 M 21 D6 V4 J 22 L7 S5 V 23 M8 D6 S 24 M9 L7 D 25 J 10 Paroles du dedans TDA p.33 M8 L 26 V 11 Umwelt TDL p.34 M9 M 27 S 12 Rencontre Paroles du dedans J 10 M 28 Paroles du dedans TDA V 11 J 29 D 13 S 12 V 30 L 14 D 13 S 31 M 15 L 14 M 16 M 15 J 17 Stéréoscopia TDA p.35 N OV E M B R E M 16 V 18 Stéréoscopia TDA J 17 D1 Celui qui tombe TDL p.36 V 18 L2 S 19 Stéréoscopia TDA S 19 Sacré Sucré Salé Ext. p.74 M3 Celui qui tombe TDL D 20 Journées du Patrimoine TDL M4 D 20 Sacré Sucré Salé Ext. p.74 J5 Dedans-dehors #2 TDA p.22 L 21 L 21 Conférence Marcel Bozonnet M 22 M 22 Rencontre La belle… TDA p.14 Ext. p.30 M 23 M 23 V6 Dedans-dehors #2 TDA J 24 J 24 Le silence de l’exode Ext. p.24 V 25 Métamorphoses géométriques S7 Dedans-dehors #2 TDA S 26 V 25 TDL p.12 D8 D 27 Le crocodile trompeur TDL p.13 L9 L 28 S 26 Le crocodile trompeur TDL M 10 M 29 D 27 M 11 M 30 L 28 J 12 Il ne faut jurer de rien TDL p.26 J 31 M 29 V 13 Il ne faut jurer de rien TDL M 30 S 14 D 15 JA N V I E R L 16 OCTOBRE V1 M 17 The last supper TDL p.27 S2 J1 La belle au bois dormant TDA p.14 M 18 D3 V2 La belle au bois dormant TDA J 19 L4 S3 La belle au bois dormant TDA V 20 M5 D4 S 21 La nuit du jazz 8 e TDL p.28 M6 L5 D 22 J7 Lettres de l’intérieur TDA p.37 M6 Onomatopée TDL p.15 L 23 V8 Lettres de l’intérieur TDA M7 Onomatopée TDL M 24 Mobiles de pierre TDL p.38 J8 Onomatopée TDL M 25 Orestie TDL p.39 V9 Une fresque VI TDA p.16 J 26 Nijinski à minuit TDL p.29 S9 Orestie TDL L’amphithéâtre sanglant TDA p.17 V 27 Soulèvement(s) TDA p.30 D 10 S 10 Prés. Jazz au Fil de l’Oise TDL p.18 S 28 Théâtre du présent TDA p.31 L 11 D 11 Soulèvement(s) TDA M 12 Rép. publique Dibouk TDA p.64 L 12 D 29 Théâtre du présent TDA M 13 M 13 Gala TDL p.19 L 30 J 14 Vader TDL p.41 M 14 V 15 Vader TDL J 15 DÉCEMBRE S 16 V 16 D 17 Le yark Ext. p.8 S 17 M1 L 18 Le yark Ext. D 18 Il trionfo del tempo… TDL p.20 M2 M 19 Les ballets de Monte-Carlo TDL p.42 J3 Ça ira (1) – Fin de Louis TDL p.32 Le yark Ext.
MARS M 20 Les ballets de Monte-Carlo TDL M1 M 19 Le yark Ext. M2 M 20 J 21 Les années TDA p.43 J3 J 21 V4 V 22 V 22 Rencontre Les années TDA p.43 S5 S 23 S 23 Les années TDA D6 D 24 D 24 L7 L 25 L 25 M8 Stefano Di Battista TDL p.54 M 26 M 26 M9 M 27 M 27 Les palmiers sauvages TDA p.44 J 10 J 28 J 28 Les palmiers sauvages TDA La fin du monde est pour V 29 V 11 dimanche TDL p.55 Les années Ext. p.43 S 30 La fin du monde est pour V 29 S 12 dimanche TDL S 30 Brigitte TDL p.45 D 13 MAI D 31 L 14 M 15 Melting’Potes TDL p.56 D1 M 16 Melting’Potes TDL L2 FÉVRIER J 17 Melting’Potes TDL M3 Tenir le temps TDL p.66 V 18 M4 L1 S 19 J5 M2 D 20 V6 M3 L 21 S7 Les danseurs ont apprécié… J4 M 22 D8 TDL p.46 V5 Les danseurs ont apprécié… TDL M 23 L9 S6 J 24 M 10 Rencontre Les époux Ext. p.72 - 73 D7 V 25 Cupidon est malade TDL p.57 M 11 L8 S 26 Cupidon est malade TDL J 12 Retour à Reims TDA p.68 M9 Yiddish Cowboys TDA p.48 D 27 V 13 Retour à Reims TDA M 10 L 28 S 14 J 11 Les années Ext. p.43 M 29 Badke Ext. p.58 D 15 La mélancolie des dragons M 30 Badke TDL L 16 V 12 TDL p.49 J 31 M 17 Les années Ext. M 18 Brad Mehldau Trio TDL p.69 Yom et Aurélien Naffrichoux J 19 Le procès de Socrate Ext. p.71 Ext. p.50 AV R I L V 20 Des villes refuges TDA p.71 S 13 Les mémoires d’un seigneur… Le procès de Socrate TDA & Ext. D 14 Piano campus TDL p.51 V1 Ext. p59 Sacré Sucré Salé Ext. p.74 L 15 S2 Les mémoires d’un seigneur… Ext. Rencontre Le Procès de Socrate M 16 S 21 Identité TDA p.60 TDA p.70 M 17 Les liaisons dangereuses TDL p.52 Le procès de Socrate TDA D3 J 18 Les liaisons dangereuses TDL D 22 L4 Staring girl TDA p.53 L 23 M5 Figures tutélaires TDL p.62 V 19 Les liaisons dangereuses TDL M 24 Richard III TDL p.72-73 Jamais assez TDL p.63 Staring girl TDA M 25 Les époux TDA p.72-73 M6 Tenir le temps Ext. p.66 J 26 Richard III TDL J7 Dibouk TDA p.64 S 20 Staring girl TDA Les époux TDA V8 Dibouk TDA D 21 V 27 Sacré Sucré Salé Ext. p.74 S9 L 22 S 28 Sacré Sucré Salé Ext. D 10 M 23 D 29 L 11 M 24 L 30 M 12 Dom Juan TDL p.65 J 25 M 31 Agamemnon TDL p.75 M 13 Dom Juan TDL V 26 J 14 Dom Juan TDL S 27 JUIN V 15 D 28 S 16 J2 Sacré Sucré Salé Ext p.74 L 29 D 17 V3 Roméo et Juliette TDL p.76 L 18 S4 Roméo et Juliette TDL V 17 Le silence de l’exode Ext. p.24
T H É ÂT R E / C I RQU E Le silence de l’exode • P 24 La belle au bois dormant • P 14 La Nuit du Jazz 8è • P 28 Onomatopée • P 15 Brigitte • P 45 Il ne faut jurer de rien • P 26 Yiddish Cowboys • P 48 The last supper • P 27 Yom et Aurélien Naffrichoux • P 50 Soulèvement(s) • P 30 Piano Campus • P 51 Théâtre du présent Rendez-vous d’auteurs • P 31 Stefano di Battista • P 54 Ça ira (1) – fin de Louis • P 32 Brad Mehldau Trio • P 69 Paroles du dedans (Le fleuve) • P 33 OPÉ R A / T H É ÂT R E M USIC A L Lettres de l’intérieur • P 37 Le crocodile trompeur • P 13 Orestie (une comédie L’amphithéâtre sanglant • P 17 organique ?) • P 39 Il Trionfo del Tempo e del Les années • P 43 Disinganno • P 20 Les liaisons dangereuses • P 52 Dibouk • P 64 Cupidon est malade • P 57 Agamemnon • P 75 Identité • P 60 Dom Juan • P 65 PE R FOR M A NC E / AC ROBAT I E / H U MOU R Retour à Reims • P 68 Celui qui tombe • P 36 Des villes refuges • P 71 La fin du monde est pour Le procès de Socrate • P 71 dimanche • P 55 Richard III • P 72 En classe • P 61 Les époux • P 73 PÉR IPHÉR IQ UE Sacré Sucré Salé • P 74 F ESTIVA L D E S ARTS MÊ LÉ S Vader • P 41 DA N S E Les palmiers sauvages • P 44 Gala • P 19 Les danseurs ont apprécié Dedans-Dehors #2 • P 22 la qualité du parquet • P 46 Nijinski à minuit • P 29 La mélancolie des dragons • P 49 Umwelt • P 34 Staring girl • P 53 Stéréoscopia • P 35 Les ballets de Monte-Carlo • P 42 V E R N IS SAGE S D ' E X P O SI T ION S Badke • P 58 Métamorphoses Les mémoires d’un seigneur géométriques • P 12 ou l’homme disparu • P 59 Frasques en fresque - Jamais assez • P 63 une fresque VI • P 16 Tenir le temps • P 66 Mobiles de pierre • P 38 Roméo et Juliette • P 76 Figures tutélaires • P 62 MUSIQUES INF OR M ATION S PRATIQ U ES • P 77 Jazz au Fil de l’Oise présentation 2015 • P 18 T H É ÂT R E & POLITIQUE
TROIS ARTISTES EN R ÉSIDENCE L’apostrophe a développé au fil des saisons une politique de résidence affirmée, soutenant ainsi la présence des artistes sur le territoire. La scène nationale accueille, pour une durée moyenne de deux ou trois saisons, trois compagnies en rési- dence : l’une en théâtre, une autre en danse, une, enfin, en musique jazz. Un lien particulier se tisse ainsi avec les habi- tants et les publics. L'artiste et le théâtre nouent une relation d'échange et d'hospitalité, construisant un véritable compa- gnonnage artistique. Ateliers dans des établissements par- tenaires (établissements scolaires ou spécifiques tels que milieu hospitalier ou carcéral), sensibilisations auprès de classes, rencontres et répétitions publiques… et autres mul- tiples possibles à inventer ! F RA NÇOIS V ER R ET – DA N S E ( D E P U I S 2 014 ) D ed ans - d eho rs #2 5 AU 7 NOV EM B R E L’ -Théâtre d es Arts / Cerg y- centre (P 22) L E S CHIENS D E NAVA R R E – T H É Â T R E ( D E P U I S 2 014 ) Les d ans eurs o nt ap p réc ié la q ualité du parquet 4 & 5 F ÉV R IER L’ -Théâtre d es Lo uvrais / Po nto is e (P 46) YO M – JA Z Z ( D E P U I S 2 015 ) • Le s ilence d e l’exo d e 6 N OV EM B R E M a i s o n d e l’Ile / Auvers - s ur- O is e (P 24) 1 7 J U IN Au dito rium d e Co ulang es / Go ness e (P 24) • Yi d d is h Cow b oys 9 F ÉV R IER L’ -Théâtre d es Arts / Cerg y- centre (P 48) • Yom et Aurélien Naf f ric ho ux 1 2 F ÉV R IER Le Fo rum / Vauréal (P 50) D I X- S E P T A R T I S T E S E N R É S I D E N C E D E P U I S 1 9 9 9 ! C H A R L E S C R É - A N G E ( DA N S E , 1 9 9 9 -2 0 0 1 ) , C H A R L I E B R O Z Z O N I ( T H É ÂT R E , 1 9 9 9 -2 0 0 1 ) , B É AT R I C E M A S S I N ( D A N S E , 2 0 0 1 - 2 0 0 3 ) , D A N I E L D O B B E L S ( D A N S E , 2 0 0 3 - 2 0 0 5 ) , M I C H A E L B AT Z ( DA N S E , 2 0 0 3 -2 0 0 5 ) , A N DY E M L E R (JA Z Z , 2 0 0 5 -2 0 07 ) , A B B I PAT R I X ( T H É ÂT R E , 2 0 0 5 -2 0 07 ) , F R A N Ç O I S V E R R E T ( DA N S E , 2 0 0 5 -2 0 07 ) , Y V E S B E A U N E S N E ( T H É ÂT R E , 2 0 0 7 - 2 0 1 1 ) , F R A N Ç O I S M E C H A L I (J A Z Z , 2 0 0 7 - 2 0 1 1 ) , N A S S E R M A R T I N - G O U S S E T ( DA N S E , 2 0 07-2 0 1 1 ) , J AC Q U E S R E B O T I E R ( T H É ÂT R E - M U S I Q U E , 2 0 1 2 -2 0 1 3 ) , O L I V I E R D U B O I S ( D A N S E , 2 0 1 2 - 2 0 1 4 ) , A N T O I N E C A U B E T ( T H É ÂT R E , 2 0 1 2 - 2 0 1 4 ) , P I E R R E D E B E T H M A N N (JA Z Z , 2 0 1 2 -2 0 1 5 ) R E T R O U V E Z N O S C A R N E T S D E R É S I D E N C E E N V E N T E À L’A C C U E I L D E S D E U X T H É ÂT R E S D ’AG G L O M É R AT I O N
LES ARTISTES DE LA SAISON EN TOUR NÉE DANS LE VAL D’OISE L E S I L E N C E D E L’ EXO D E YOM V E N D R E D I 6 N OV EM B R E 20 H 3 0 M a i son d e l ’ Il e / Auvers - s ur- o is e V E N D R E D I 1 7 J U IN 20 H 3 0 Au d i tor i u m d e Co ulang es / Go ness e L E YA R K É L O D I E S É G U I – C I E L’ O R G A N I S AT I O N D I M A N C H E 1 7 JA NV IER 16 H 30 LU N D I 1 8 E T M A R D I 19 JA NV IER 10 H E T 14H 30 M E R C R E D I 2 0 JA NV IER 15 H Cen t re c u l t u re l Le Fig uier Blanc / Arg enteuil LES ANNÉES A N N I E E R NAU X J E A N N E C H A M PA G N E – T H É ÂT R E É C O U T E J E U D I 2 8 JA N V IER 20 H 30 – D ô me / Po nto is e J E U D I 1 1 F É V RIER 10 H & 14H V E N D R E D I 1 2 F ÉV R IER 20 H 3 0 Au d i tor i u m d e Co ulang es / Go ness e YO M E T AU R É LIEN NA F F R ICHO UX CO N C E RT CO M M ENTÉ V E N D R E D I 1 2 F ÉV R IER 20 H 3 0 – Le Fo rum / Vaur éal T E N I R L E T E MPS R ACHID OUR AMDANE V E N D R E D I 1 9 F ÉV R IER 2 1 H – Es p ace Germinal / Fosses BADKE K VS , L E S B A L L E T S C D E L A B , A . M . QAT TA N F O U N DAT I O N M A R D I 2 9 M A RS 21H – Théâtre Paul É luard / B ezons L E S M É M O I R ES D ’ U N S EIG NEU R OLIVIER DUBOIS V E N D R E D I 1 E R E T SA M ED I 2 AV R IL 21H Th éâ t re Pa u l Éluard / Bezo ns E N C L ASS E JULIE NIOCHE D U 4 AU 1 5 AVR IL E n ét a b l i ssem ents s co laires à Cerg y- Po nto is e et G a rg es - l ès- Go ness e SAC R É S U C R É SA LÉ S T É P H A N I E S C H WA R T Z B R O D C I E L’ O U B L I D E S C E R I S I E R S SA M E D I 1 9 E T/O U D IM A NCHE 20 S EPTEM B R E Sa l l e J a cq u es Brel / Go ness e V E N D R E D I 2 0 M A I 20 H 3 0 M ais o n d e q uartier d e L a C h a l l e à E rag ny- s ur- O is e V E N D R E D I 27 M A I 20 H 3 0 Th éâ t re d e J ouy / Jo uy- le- M o utier SA M E D I 2 8 M AI 20 H 30 L’Antarès / Vauréal JE U D I 2 J U I N 20 H 3 0 D ô me / Po nto is e 8 S E R E N D R E DA N S L E S L I E U X P 8 8
R ENCONTR ES AVEC LES ARTISTES RÉPÉTITIONS PUBLIQUES DIBOUK F R A NÇ OI S M E C HA L I ET A L A I N T I M Á R (VOIR P 64) M A R D I 12 JA NV IER 19 H 30 L’ -Théâtre d es Arts / Cerg y- centre RENCONTRE JEAN-MICHEL RABEUX AU TO UR D E L A BEL L E AU BOI S DOR MANT (VOIR P 14) M A R D I 22 S EPTEM B R E 19 H 3 0 L’ -Théâtre d es Arts / Cerg y- centre R E N C O N T R E S - D É B AT S OL I V I E R BRU N H E S AU TO UR D E PAROL ES DU DEDANS (VOIR P 33) SA MED I 12 D ÉCEM B R E 17 H L’ -Théâtre d es Arts / Cerg y- centre J E A N N E C H A M PA G N E E T A N N I E E R N AU X AU TO UR D E L ES ANNÉES (VOIR P 43) V E N D R ED I 22 JA NV IER 19 H 3 0 L’ -Théâtre d es Arts / Cerg y- centre AU TO UR D E L E P ROCÈS DE SOC RATE (VOIR P 71) SA MED I 21 M A I 17 H L’ -Théâtre d es Arts / Cerg y- centre R E N C O N T R E S À L’ I S S U E D E S R E P R É S E N TAT I O N S V E N D R ED I 6 NOV EM B R E D E DANS - D EH O RS #2 D E F R A N Ç O I S V E R R E T V E N D R ED I 11 D ÉCEM B R E UM WELT D E M A G U Y M A R I N V E N D R ED I 8 JA NV IER O R ESTI E D E R O M É O C A S T E L L U C C I JE UD I 4 F ÉV R IER L E S DANS E URS O NT AP P RÉCI É LA QUA LITÉ D U PARQ UE T D E S C H I E N S D E N AVA R R E M A R D I 9 F ÉV R IER Y I D D I S H COWBOYS D E Y O M V E N D R ED I 1 er , SA M ED I 2 AV R IL L E S M ÉM O I RE S D ’UN S EI GNEUR D ' O L I V I E R D U B O I S MARDI 3 MAI T E NI R LE TEM P S D E R A C H I D O U R A M D A N E 9 V E N D R ED I 27 M A I SAC RÉ S UC RÉ SALÉ D E S T É P H A N I E S C H WA R T Z B R O D
LA SAISON
MÉTAMOR- PHOSES GÉOMÉTRIQUES A N I A B OR Z OB OH AT Y – S C U L P T EU R Métal et hologrammes Ania Borzobohaty a su retrouver le fil qui la relie à l’Art construit de l’Europe de l’Est du début du vingtième siècle. Ainsi, une filiation existe entre elle et Katarzyna Kobro, sculp- teur polonaise de référence, auteur de sculp- tures dans les années trente, en accord avec les théories de l’Unisme*. Utilisant les moyens technologiques actuels, Ania Borzobohaty a mis au point une méthode de conception informatique pour la réalisation de ses sculp- tures en métal coloré qui sont pensées, en fonction du lieu de leur présentation, comme une suite logique de propositions formelles, où chaque élément de la suite découle de l’élément qui le précède selon un processus de métamorphose géométrique qui est res- titué dans des sculptures holographiques. Cette démarche résolument contemporaine, reste fidèle à l’esthétique d’un art géomé- trique devenu classique. * Unisme : Théorie esthétique élaborée par Wladyslaw Strzeminski en 1925, qui prône la pureté d’un art géomé- trique. Un recueil de textes publiés en revue de Kartazyna Kobro et Wladyslaw Strzeminski ont été réunis sous le titre : « L’espace uniste » VERNISSAGE AVEC L’ARTISTE VENDREDI 25 SEPTEMBRE 18H30 EXPOSITION DU 25 SEPTEMBRE AU 1 9 D É C E M B R E L’-T h é â t r e d e s L o u v r a i s / P o n to i s e ARTS PLASTIQUES TA R I F E N T R É E L I B R E , S U R R É S E R VAT I O N P O U R L E V E R N I S S AG E © D R 12
( RE) CRÉATI ON 2015-2016 LE CROCODILE TROMPEUR / DIDON ET ÉNÉE H EN RY PU RCEL L SA M U E L AC H AC H E – J E A N N E C A N DE L Esprit farceur pour opéra tragique « Crocodile trompeur » : ce sont les mots que lance Didon, reine de Carthage, à l’adresse du prince troyen Énée, lorsque ce dernier l’informe de son départ pour l’Italie. Leurs amours contrariées ont inspiré à Henry Purcell un chef d’œuvre d’opéra baroque. Trois siècles plus tard, Jeanne Candel et Samuel Achache en reprennent le cours, sous la direction musi- cale du jazzman Florent Hubert. Si la partition de Purcell, même transposée dans de nou- velles et vives couleurs, est respectée dans son intégrité, la mise en scène et le jeu des acteurs-chanteurs s’en donnent à cœur joie. Sur fond d’éboulis (les ruines de Carthage), la tragédie prend ici des allures de farce savam- ment dosée, où le sens de l’absurde et du décalage touche à l’euphorie. VENDREDI 25 SEPTEMBRE 20H30 SAM E DI 26 SE PTE M BRE 20H30 L’-T h é â t r e d e s L o u v r a i s / P o n to i s e OPÉRA C R É AT I O N D ’A P R È S H E N RY P U R C E L L E T AU T R E S M AT É R I AU X • M I S E E N S C È N E S A M U E L AC H AC H E , J E A N N E C A N D E L • D I R E C T I O N M U S I C A L E F L O R E N T H U B E R T • AV E C M AT T H I E U B L O C H , A N N E - E M M A N U E L L E DAV Y, V L A D I S L AV G A L A R D , F L O R E N T H U B E R T, C L É M E N T J A N I N E T, O L I V I E R L A I S N E Y, L É O - A N T O N I N L U T I N I E R , T H I B A U LT P E R R I A R D , J A N P E T E R S , J E A N N E S I C R E , M A R I O N S I C R E E T L AW R E N C E W I L L I A M S . ( D I S T R I B U T I O N C O M P L È T E S U R W W W. L A P O S T R O P H E . N E T ) © V I C TO R TO N E L L I - A R TC O M A R T 13 TA R I F A P L E I N 2 4 € • R É D U I T 1 9 € • G R O U P E S C O L A I R E 9 € • TA R I F S A B O N N É S 6 € À 17 € ( P. 8 0)
LA BELLE AU C R ÉATIO N 2 015- 2 016 BOIS DOR MANT C H A R L E S PE R R AU LT J E A N-M ICH EL R A BEU X L’effrayant merveilleux des contes Les contes, avec toute leur part d’« effrayant merveil- leux », Jean-Michel Rabeux les affectionne tout parti- culièrement. Vogue alors le plateau vers les contrées de l’enfance, sans édulcorant : « le conte dit toute la vie, avec ses beautés, mais aussi ses inadmissibles cruautés. » Avec La Belle au Bois dormant, Rabeux passe Perrault au mixeur de ses rêves, entrechoque époques et langages : les princes et les princesses se déplacent en skate et sur roulettes, et la Reine est une « ogresse du dollar », qui veut dévorer tout le royaume, à commencer par sa bru et ses petits- enfants. Mais que les « adultes de plus de six ans », comme dit Rabeux, se rassurent : tout finira bien. Dans la marmite à cuire les méchants ! EN FAMILLE À PARTIR DE 6 ANS MARDI 22 SEPTEMBRE 19H30 : VENEZ RENCONTRER L'ÉQUIPE ARTISTIQUE EN PARTENARIAT AVEC RGB 99.2 FM J E U D I 1 ER O C TO B R E 1 0 H & 1 4 H 3 0 VE NDRE DI 2 OCTOBRE 10H & 14H30 SAM E DI 3 OCTOBRE 17H L’-T h é â t r e d e s A r t s / C e r g y - c e n t r e T H É ÂT R E J E A N - M I C H E L R A B E U X À L’ a P O S T R O P H E : A R L E Q U I N P O L I P A R L’A M O U R ( 2 0 0 2 ) , L A B A R B E B L E U E ( 2 0 1 0) , L A P E T I T E S O L D AT E A M É R I C A I N E ( 2 0 1 5 ) . C R É AT I O N D ’A P R È S C H A R L E S P E R R A U LT • T E X T E E T M I S E E N S C È N E J E A N - M I C H E L R A B E U X • AV E C M O R G A N E A R B E Z , JAC I N T H E C A P P E L L O , C O R I N N E C I C O L A R I , R E N A U D T R I F FA U LT © B É R E N G È R E VA L L E T ( D I S T R I B U T I O N C O M P L È T E S U R W W W. L A P O S T R O P H E . N E T ) TA R I F C P L E I N 1 3 € • R É D U I T 1 0 € • M O I N S 1 2 A N S 6 , 5 € • G R O U P E S C O - L A I R E +1 2 A N S 8 € • TA R I F S A B O N N É S 4 € À 9 € ( P. 8 0) 14
ONOMATOPÉE T G S T A N , D E K O E , D O O D PA A R D , M A AT S C H A PPI J DIS C OR DI A Une banderole d’agit-prop Entre Flandre et Pays-Bas, le théâtre semble avoir trouvé une potion magique tout à fait revigorante. Ses ingrédients ? Un appétit de jeu que rien ne semble entamer, une liberté assumée dans le rapport aux textes, et un zeste d’effronterie. Dans Onomatopée, ils sont cinq esprits libres, issus de différentes compagnies, à faire vivacité commune en passant d’un poème sonore à une badinerie, d’un monologue raté à un inénarrable choix de mots sibyllins. La scène devient alors une formidable banderole d’agit-prop, magistrale- ment déployée par nos cinq compères, mués en garçons de café, qui opposent à « l’envi- ronnement néolibéral qu’est actuellement la société », la salutaire insolence du « geste spontané ». DANS LE CADRE DU FESTIVAL D’AUTOMNE À PARIS ATTENTION : PLACEMENT LIBRE ! MARDI 6 OCTOBRE 20H30 ME RCRE DI 7 OCTOBRE 20H30 JEUDI 8 OCTOBRE 19H30 L’-T h é â t r e d e s L o u v r a i s / P o n to i s e T H É ÂT R E D E E T AV E C G I L L I S B I E S H E U V E L , DA M I A A N D E S C H R I J V E R , W I L L E M D E W O L F, P E T E R VA N D E N E E D E , M AT T H I A S D E K O N I N G © S A N N E PEPER ( D I S T R I B U T I O N C O M P L È T E S U R W W W. L A P O S T R O P H E . N E T ) 15 TA R I F B P L E I N 1 9 € • R É D U I T 1 6 € • G R O U P E S C O L A I R E 9 € • TA R I F S A B O N N É S 5 € À 1 4 € ( P. 8 0)
FR ASQUES EN FR ESQUE U NE FR ESQUE VI ROLAND SHÖN – ARTISTE Vent de fraîcheur pataphysique Dans l’univers du spectacle vivant, Roland Schön n’est pas un inconnu. On lui doit de nombreuses créations où son invention est sans limite. Gyromances, Ni fini ni infini, Visites obliques, nous ont éblouis par un uni- vers entre farces métaphysique, rêveries sur les mathématiques floues, et transmutations joyeuses du langage. Représentant exclusif en France de la Fondation Volter Notzing* et frère de cœur du peintre Loxias, adepte de l’art Coucou, Roland Shön est un artiste multidimensionnel sans pourtant adhérer aux théories d’Herbert Marcuse. Plus proche de la pataphysique que du structuralisme idéologique, il est à la fois metteur en scène, comédien, écrivain, musicien, marionnettiste, et peintre. C’est dans ce costume qu’il don- nera un air de frasques à la nouvelle Fresque tout en conservant ses multiples panoplies en réserve. Un vent de fraîcheur va souffler, venant de tous les coins de la pensée, dans le couloir de L’-Théâtre des Arts. * Volter Notzing est un fameux explorateur ayant découvert les franges de l’invisible. VERNISSAGE AVEC L’ARTISTE VE NDRE DI 9 OCTOBRE 18H30 E X P O S I T I O N D U 9 O C TO B R E AU 2 5 J U I N L’-T h é â t r e d e s A r t s / C e r g y - c e n t r e ARTS PLASTIQUES TA R I F E N T R É E L I B R E , S U R R É S E R VAT I O N P O U R L E V E R N I S S AG E © DR 16
L’AMPHI- THÉÂTR E SANGLANT J E A N-PI ER R E CA M US F L OR E NC E BE I L L AC OU Baroque et cruel, à la lueur des bougies Tremblez, mécréants ! Les « nouvelles tra- giques » de Jean-Pierre Camus, zélé prédica- teur du XVIIe siècle naissant, évoquent avec force détails les rudes et sanglants châti- ments réservés à ceux qui emprunteraient les voies du mal et du vice. Mais l’auteur ne se délecte-t-il pas lui-même des descriptions imagées de carnages, et du sadisme des per- sonnages ? En exhumant ces textes, Florence Beillacou, jeune metteure en scène, y décèle un théâtre de la Cruauté avant l’heure. Dans une ambiance qui tient du cabinet de curio- sités, éclairé à la bougie, avec violoncelle à la clé (Louise Amazan) en costumes et diction d’époque (Vivien Guarino), elle retourne aux sources du baroque, violentes et terrifiantes, mais aussi gourmandes et jubilatoires. DANS LE CADRE DU FESTIVAL BAROQUE DE PONTOISE VE NDRE DI 9 OCTOBRE 20H30 L’-T h é â t r e d e s A r t s / C e r g y - c e n t r e T H É ÂT R E M USIC A L C R É AT I O N C I E L U M I N E U S E • T E X T E J E A N - P I E R R E C A M U S • M I S E E N S C È N E F L O R E N C E B E I L L A C O U • AV E C L O U I S E A M A Z A N ( V I O L O N - CELLE BAROQU E), VIVI E N G UAR I N O © G U I LLE R M O CA SA S ( D I S T R I B U T I O N C O M P L È T E S U R W W W. L A P O S T R O P H E . N E T ) 17 TA R I F B P L E I N 1 9 € • R É D U I T 1 6 € • G R O U P E S C O L A I R E 9 € • TA R I F S A B O N N É S 5 € À 1 4 € ( P. 8 0)
JAZZ AU FIL DE L’OISE 6 NOV EMBR E > 13 DECEMBR E PR É SENTATION DE L’ÉDITION 2015 F R E D PA L L E M N E I L YOU NG N E V E R SL E E PS Sur les brisées de Neil Young, capable du folk le plus touchant comme de la tempête élec- trique la plus violente, le bassiste Fred Pallem, jazzman amoureux des télescopages musi- caux, engage les cuivres du Sacre du tympan, son fameux big band rejoint pour l’occa- sion par Juliette Paquereau, la chanteuse du groupe pop Diving With Andy. Un tribute de grande tenue. H UG H C OLT M A N Hugh Coltman, le plus francophile des songwriters britanniques, se souvient que sa mère faisait swinguer le tourne-disque domes- tique du côté du jazz, avec un faible pour Nat King Cole, crooner mâtiné de blues et de soul. En double hommage, maternel et musical, il ranime un répertoire où les standards ont par- fois éclipsé des titres moins connus, mais tout aussi épatants. ACCUEIL ET COCKTAIL EN COMPAGNIE DE L’ENSEMBLE DE VIOLONCELLES DIVERSION SAM E DI 10 OCTOBRE 18H30 L’-T h é â t r e d e s L o u v r a i s / P o n to i s e JAZZ F R E D P A L L E M D I R E C T I O N , G U I TA R E S , C L AV I E R S , C H A N T F R E D PA L L E M • B AT T E R I E E M I L I A N O T U R I • C H A N T J U L I E T T E PAQ U E R E AU • S A XO P H O N E S F R É D É R I C G A S TA R D • G U I TA R E S , C H A N T G U I L L AU M E M AG N E • B A S S E É L E C T R I Q U E J E A N - M A R C P E L E TA N • T R O M P E T T E , B U G L E S Y LVA I N B A R D I AU • T R O M B O N N E T É N O R M AT T H I A S M A H L E R © DR H U G H C O LT M A N VO I X H U G H C O LT M A N • G U I TA R E M I S JA F I T ZG E R A L D - M I C H E L • P I A N O G A Ë L R A KOTO N D R A B E • B A S S E L AU R E N T V E R N E R E Y • B AT T E R I E R A P H A Ë L C H A S S A I N © M A R C O B I N TA R I F E N T R É E L I B R E S U R R É S E R VAT I O N 18
GALA CRÉATI ON 2 01 5- 2 01 6 JÉRÔME BEL Le bal des singularités Déclaration d’amour au spectacle. Après The Show must go on et Cour d’honneur (conçu pour le Festival d’Avignon en 2013), l’iné- galable Jérôme Bel réunit une vingtaine de personnes, en un groupe qui mêle profes- sionnels et amateurs (enfants, adolescents, retraités, handicapés…) dans une forme qui rappelle joyeusement le gala de fin d’année. Loin d’une quête de virtuosité ou d’excellence, mais faisant appel aux outils et à l’imaginaire des participants, Gala questionne la « culture du spectacle » en offrant « une représentation la plus large possible des corps. » Une uto- pie égalitaire, au fond, qui met en jeu la mise en valeur des singularités et le partage des savoirs. Un foisonnement où chacun a enfin sa place. DANS LE CADRE DU FESTIVAL D’AUTOMNE À PARIS MARDI 13 OCTOBRE 20H30 L’-T h é â t r e d e s L o u v r a i s / P o n to i s e DA N S E C R É AT I O N C O N C E P T I O N , M I S E E N S C È N E J É R Ô M E B E L • I N T E R - P R É TAT I O N E N A LT E R N A N C E TA O U S A B B A S , C É D R I C A N D R I E U X , M I C H È L E B A R G U E S , C O R A L I E B E R N A R D , C H I A R A B E R S A N I , VA S S I A C H AVA R O C H E , H O U D A D A O U D I , R A P H A Ë L L E D E L A U N AY, D I O L A D J I B A , S H E I L A D O N OVA N , N I C O L E D U FA U R E , C H I A R A G A L L E R A N I , S T É P H A N I E G O M E S , M A R I E -YO L E T T E J U R A , A L D O L E E , F R A N Ç O I S E L E G A R D I N I E R , M A G A L I S A B Y, M A R L E N E S A L DA N A , O L I V I A N E S A R R A Z I N , F R É D É R I C S E G U E T T E , S I M O N E T R U O N G , S H U N TA R O YO S H I DA © H E R M A N S O R G E L O O S ( D I S T R I B U T I O N C O M P L È T E S U R W W W. L A P O S T R O P H E . N E T ) 19 TA R I F B P L E I N 1 9 € • R É D U I T 1 6 € • G R O U P E S C O L A I R E 9 € • TA R I F S A B O N N É S 5 € À 1 4 € ( P. 8 0)
IL TRIONFO C R ÉAT I ON 2015- 2 016 DEL TEMPO E DEL DISINGAN NO G . F. H A E N DE L OPHÉLIE GAILLAR D Le raffinement du style italien À 21 ans, en 1706, Haendel arrive à Rome. Quelques mois plus tard, après avoir travaillé avec Corellli et Scarlatti, il maîtrise déjà le raffinement du style italien et compose son premier oratorio, Il Trionfo del Tempo e del Disinganno. Une allégorie du combat que mènent, pour conquérir la Beauté, le Plaisir d’une part, le Temps et la Désillusion d’autre part, que Haendel pare d’airs inspirés, avec un sens profond du drame. A la tête de l’Ensemble Pulcinella, en résidence au Festival Baroque de Pontoise, la violoncelliste Ophélie Gaillard réunit un collectif de virtuoses passionnés par l’interprétation sur instruments historiques. Un écrin pour les voix de la soprano Raquel Camarinha, de la mezzo-soprano Blandine Staskiewicz et du ténor Mathias Vidal. DANS LE CADRE DU FESTIVAL BAROQUE DE PONTOISE DIMANCHE 18 OCTOBRE 16H L’-T h é â t r e d e s L o u v r a i s / P o n to i s e OPÉRA C R É AT I O N E N S E M B L E P U LC I N E L L A • D I R E C T I O N M U S I C A L E O P H É L I E G A I L L A R D • S O L I S T E S R AQ U E L C A M A R I N H A ( S O P R A N O) , B L A N D I N E S TA S K I E W I C Z ( M E Z ZO - S O P R A N O) , M AT H I A S V I DA L ( T É N O R ) , L U C I L E R I C H A R D O T ( A LTO) • T H I B A U LT N OA L LY ( 1 E R V I O LO N S O LO) , N I C O L A S M A Z Z O L E N I ( 2 E V I O LO N S O LO) , M A R I E K E B O U C H E ( V I O LO N ) , P I E R R E VA L L E T ( A LTO) , O P H É L I E G A I L L A R D ( V I O LO N C E L L E ) , B R I C E S A I L LY (O R G U E S O L O , C L AV E C I N , C H E F D E C H A N T ) , A N T O I N E T O R U N C Z I K ( H AU T B O I S S O LO) ( E N C O U R S ) © C A R O L I N E D O U T R E ( D I S T R I B U T I O N C O M P L È T E S U R W W W. L A P O S T R O P H E . N E T ) TA R I F A P L E I N 2 4 € • R É D U I T 1 9 € • G R O U P E S C O L A I R E 9 € • TA R I F S A B O N N É S 6 € À 17 € ( P. 8 0) 20
ESCALES DANSE EN VAL D’OISE L’époque est révolue où la danse contempo- raine était censée ne s’adresser qu’à un public « d’initiés ». À l’initiative d’un réseau de 11 struc- tures sur tout le territoire du Val d’Oise, Escales danse déploie une large palette d’univers cho- régraphiques, théâtralisés ou plus abstraits. Julie Nioche suscite l’imaginaire corporel des plus jeunes, et François Verret invente le laboratoire commun « d’autres manières de percevoir et de ressentir… » Olivier Dubois, lui, convoque sur le plateau une toute autre forme de choralité pour soutenir la figure soli- taire d’un « seigneur ». Et quand bien même le mouvement se fait « abstrait », il traduit, avec Fabrice Lambert et Rachid Ouramdane, « la capacité de l’humanité à concevoir son propre avenir », face à la course des temps. • D E DA N S - D E H O R S # 2 François Ve rret ( p 2 2 ) • B A D K E K V S , L e s b a l l e t s C d e l a B , A . M . Q a t t a n F o u n d a t i o n ( p 5 8) • L E S M É M O I R E S D ’ U N S E I G N E U R O U L’ H O M M E D I S PA R U O l i v i e r D u b o i s ( p 5 9) • E N C L A S S E J u l i e N i o c h e ( p 6 1 ) • J A M A I S A S S E Z Fa b r i c e L a m b e r t ( p 6 3 ) • T E N I R L E T E M P S R a c h i d O u r a m d a n e (p66) L E R É S E A U E S C A L E S DA N S E E N VA L D ’ O I S E T H É ÂT R E PAU L- É L UA R D S C È N E C O N V E N T I O N N É E D E B E ZO N S • L'A P O S T R O P H E S C È N E N AT I O - N A L E D E C E R G Y- P O N TO I S E E T D U VA L- D ' O I S E• D I R E C T I O N D E L’AC- T I O N C U LT U R E L L E E T D E L' O R A N G E B L E U E * D ' E AU B O N N E • E S PAC E G E R M I N A L , S C È N E D E L’ E S T VA L D O I S I E N , D E F O S S E S • D I R E C T I O N D E L’AC T I O N C U LT U R E L L E D E G A R G E S - L È S - G O N E S S E • D I R E C T I O N D E S AC T I O N S C U LT U R E L L E S D E L A V I L L E D E G O N E S S E • D I R E C T I O N D E L’AC T I O N C U LT U R E L L E D E L A V I L L E D E G O U S S A I N V I L L E • D I R E C T I O N D E L’AC T I O N C U LT U R E L L E D E J O U Y- L E - M O U T I E R • E S PAC E C U LT U R E L L U C I E N J E A N D E M A R LY- L A - V I L L E • C O O R D I N AT I O N D E L'A C T I O N C U LT U R E L L E D E S A I N T- G R AT I E N • C E N T R E C U LT U R E L D E TAV E R N Y S O U T E N U PA R L E M I N I S T È R E D E L A C U LT U R E E T D E L A C O M M U N I C A - T I O N E T L E C O N S E I L D É PA R T E M E N TA L D U VA L D ’ O I S E
Zoom sur François Verret Dans ses chorégraphies, qui restent depuis les années 1980 comme autant d’étoiles charbonneuses, ou en fondant les Laboratoires d’Aubervilliers, qu’il a dirigés de 1993 à 2000, François Verret n’a ces- sé de cultiver une fibre soucieuse des désordres du monde. À nou- veau en résidence à L’apostrophe (après y avoir été accueilli de 2005 à 2007), il développe un projet au long cours, Chantiers 2014-2018, qui engage « la construction d’une mémoire commune et une critique de l’héritage politique et culturel du XXe siècle. » F R A N Ç O I S V E R R E T DA N S L E C A D R E D E S A R É S I D E N C E : C HA NTI ER M U S I L (20 05), I N TH E B AC K O F M Y M I N D ( 2 0 0 6 ) , S A N S R E T O U R ( 2 0 0 6 ) , L A B O R AT O I R E D E R E C H E R C H E S A R T I S T I Q U E S ( 2 0 07 ) , R H A P S O D I E D É M E N T E (2015) C R É AT I O N C I E F V • C O N C E P T I O N , C H O R É G R A P H I E F R A N Ç O I S V E R R E T • AV E C C H A R L I N E G R A N D , N ATA C H A K O U Z N Z E T S O V A , C H I H A R U M A M I YA , M A R C S E N S , F R A N Ç O I S V E R R E T, PA U L P O N C E T J E A N LO U I S FERNANDEZ TA R I F C P L E I N 1 3 € • R É D U I T 1 0 € • M O I N S 1 2 A N S 6 , 5 € • G R O U P E S C O - L A I R E +1 2 A N S 8 € • TA R I F S A B O N N É S 4 € À 9 € ( P. 8 0) 22
DEDANS-DEHORS #2 CRÉATI ON 2015-201 6 FR ANÇOIS VERR ET ARTISTE EN RÉSIDENCE Atelier commun, forge d’expériences Dans Rhapsodie démente (la saison passée à L’apostrophe), François Verret engageait, en chair et en os, la bataille « contre les forces d’abandon, de renoncement, de résignation, qui cherchent à nous posséder. » N’y a-t-il pas urgence, en effet, à « conjurer certains enfermements obsessionnels » et à déjouer « la langue de la marchandise qui forge cer- taines habitudes-réflexes » ? Le plateau de théâtre, que le chorégraphe perçoit comme « lieu d’exorcisme », viendra en temps utile distiller, tout au long d’un cycle de « formes- laboratoire » ce qui aura été éprouvé lors de dispositifs de rencontre et d’échange, notam- ment alimentés par des textes de Primo Levi, de Dürrenmatt et d’André Gorz. Un atelier commun, une forge d’expériences, pour inven- ter « d’autres manières de percevoir, ressentir, associer… » RENCONTRE AVEC L’ÉQUIPE ARTISTIQUE À L’ISSUE DE LA REPRÉSENTATION DU 6 NOVEMBRE EN PARTENARIAT AVEC RGB 99.2 FM J E U D I 5 N OV E M B R E 1 9 H 3 0 V E N D R E D I 6 N OV E M B R E 2 0 H 3 0 S A M E D I 7 N OV E M B R E 2 0 H 3 0 L’-T h é â t r e d e s A r t s / C e r g y - c e n t r e DA N S E 23
Zoom sur Yom Formé au Conservatoire de Paris, Yom a la clarinette voyageuse. Depuis 2007, c‘est en toute liberté qu’il mêle sa passion pour le klez- mer, cette musique des joies et des peines ashkénazes, à la guim- barde chinoise de Wang Li, ou encore aux sons de l’électro-rock, du jazz ou de la country (avec Yiddish Cowboys). Des univers fan- tasques, qui laissent pourtant poindre, dans Le Silence de l’exode, des accents plus mystiques. YO M À L’ a P O S T R O P H E : Y O M & FA R I D D ( 2 0 1 4) C R É AT I O N C O M P O S I T I O N , C L A R I N E T T E S YO M • V I O LO N C E L L E FA R I D D . • C O N T R E B A S S E C L A U D E T C H A M I T C H I A N • Z A R B , DA F, B E N D I R B IJAN CH E MIR ANI © AR NO WE IL TA R I F PA R T I C U L I E R P L E I N 1 6 € • R É D U I T 1 2 € • TA R I F S A B O N N É S 5 € E T 1 0 € • E N T R É E L I B R E P O U R L E S M O I N S D E 1 0 A N S ( P. 8 1 ) TA R I F PA R T I C U L I E R À G O N E S S E ( P. 8 1 ) 24
LE SILENCE DE L’EXODE CONCERT D’OU V ERTU R E DE JA ZZ AU FIL DE L’OISE YOM ARTISTE EN RÉSIDENCE Les notes croisées d’une épopée Entre puissante ancestralité et étonnante modernité, fruit d’une commande du Festival d’Île-de-France, Le Silence de l’Exode part de l’histoire fondatrice de la sortie d’Egypte du peuple juif et de ses longues années d’errance dans le désert du Sinaï. À cette aune, le com- positeur et clarinettiste Yom fait germer la vibrante traversée d’un ailleurs mystique, à la croisée des musiques juives, orientales et moyen-orientales. Les envolées véloces de sa clarinette, aux sons lourds et graves, tissent le fil initiatique d’une épopée où prennent part les percussions persanes de Bijan Chemirani, le violoncelle orientalisant, façon oud, de Farid D, et la contrebasse inspirée de Claude Tchamitchian. En lumineuse et brûlante ferveur. ACCUEIL ET COCKTAIL EN COMPAGNIE DE LA FANFARE KLEZMER D’ILE-DE-FRANCE EN PARTENARIAT AVEC RGB 99.2 FM V E N D R E D I 6 N OV E M B R E 2 0 H 3 0 M a i s o n d e l ’ I l e / A u ve r s - s u r- O i s e JAZZ HORS-LES-MURS VENDREDI 17 JUIN 20H30 A u d i to r i u m d e C o u l a n g e s / G o n e s s e 25
IL NE FAUT JUR ER DE RIEN ALFR ED DE MUSSET Y V E S B E AU N E S N E La stratégie amoureuse, un champ de bataille Si Valentin aime l’alcool, le jeu et les femmes, il ne croit pas en grand-chose et surtout pas à l’amour. Tout du moins s’en convainc-t-il. Et lorsque son oncle, qui finance bon gré mal gré ses frasques, l’engage à se marier avec une jeune aristocrate, Valentin va s’ingénier, pour prouver la futilité des femmes, à séduire inco- gnito et en peu de jours sa promise. Las, pour avoir sous-estimé l’intelligence d’une femme plus rouée qu’il ne le soupçonnait, le dandy sera lui-même vaincu par sa vanité. Cette pièce d’Alfred de Musset, Yves Beaunesne l’avait déjà abordée en 1996, alors tout jeune metteur en scène. « La pièce », dit-il, « est construite comme un champ de bataille dont les généraux sont femmes, celles de la straté- gie amoureuse moderne. » EN PARTENARIAT AVEC RGB 99.2 FM J E U D I 1 2 N OV E M B R E 1 9 H 3 0 V E N D R E D I 1 3 N OV E M B R E 1 4 H 3 0 & 2 0 H 3 0 L’-T h é â t r e d e s L o u v r a i s / P o n to i s e T H É ÂT R E Y V E S B E AU N E S N E DA N S L E C A D R E D E S A R É S I D E N C E : L’ É C H A N G E ( 2 0 0 8 ) , L E C A N A R D S A U VA G E ( 2 0 0 8 ) , LO R E N Z A C C I O ( 2 0 0 9) , R É C I T D E L A S E R VA N T E Z E R L I N E ( 2 0 1 0) , C O S I FA N T U T T E ( 2 0 1 1 ) , P I O N N I E R S À I N G O L S TA DT ( 2 0 1 1 ) C R É AT I O N T E X T E A L F R E D D E M U S S E T • M I S E E N S C È N E Y V E S B E A U N E S N E • AV E C F L O R E N C E C R I C K , FA B I A N F I N K E L S , O L I V I E R M A S S A R T, O L I V I A S M E T S , A L E X A N D R E VO N S I V E R S ( D I S T R I B U T I O N C O M P L È T E S U R W W W. L A P O S T R O P H E . N E T ) © G U Y D E L A H AY E TA R I F B P L E I N 1 9 € • R É D U I T 1 6 € • G R O U P E S C O L A I R E 9 € • TA R I F S A B O N N É S 5 € À 1 4 € ( VO I R P. 8 0) 26
THE LAST SUPPER A H M E D E L AT TA R SPECTACLE EN ARABE SURTITRÉ EN FRANÇAIS Une satire de l’élite égyptienne La charge est féroce. Figure incontournable de la scène indépendante au Caire, fondateur du théâtre Falaki et du Downtown Contemporary Arts Festival, Ahmed El Attar dresse, dans The Last Supper, un portrait cinglant de l’élite éco- nomique égyptienne. La chute du régime de Moubarak semble ne pas avoir entamé l’arro- gance d’une caste pour laquelle le peuple n’est que « tas de cafards ». Attablés pour un dîner familial, treize personnages conversent de tout et de rien. Futilité, autoritarisme, allusions maladives à l’argent : dans un art consommé de l’oralité et une mise en scène parfaitement maîtrisée, Ahmed El Attar révèle, sous le ver- nis des richesses extérieures, l’égoïsme et la superficialité d’une bourgeoisie que l’on disait autrefois « éclairée ». DANS LE CADRE DU FESTIVAL D’AUTOMNE À PARIS M A R D I 1 7 N OV E M B R E 2 0 H 3 0 L’-T h é â t r e d e s L o u v r a i s / P o n to i s e T H É ÂT R E C R É AT I O N T E M P L E T H E AT R E C O M PA N Y • T E X T E E T M I S E E N S C È N E A H M E D E L AT TA R • AV E C B O U T R O S B O U T R O S - G H A L I ( P I S S O ) , M A H M O U D E L H A D D A D , A H M E D FA R A G , M O N A FA R A G , M O H A M E D H AT E M , N A N D A M O H A M M A D , R A M S I L E H N E R , A B D E L R A H M A N N A S S E R , S AY E D R A G A B , M O N A S O L I M A N E T M A R WA T H A R WAT • M U S I Q U E H A S S A N K H A N ( D I S T R I B U T I O N C O M P L È T E S U R W W W. L A P O S T R O P H E . N E T ) © M O S TA FA A B D E L AT Y 27 TA R I F B P L E I N 1 9 € • R É D U I T 1 6 € • G R O U P E S C O L A I R E 9 € • TA R I F S A B O N N É S 5 € À 1 4 € ( P. 8 0)
LA NUIT DU JAZZ 8 E SONIA W IEDER-ATHERTON AV ISHAI COHEN S O N I A W I E D E R-AT H E R T O N LITTLE GIR L BLUE , FROM NINA SIMONE Sonia Wieder-Atherton, l'une des grandes violoncellistes de sa génération, refuse les carcans et poursuit depuis toujours une « quête du chant de l'instrument ». Accompagnée par le piano coloriste de Bruno Fontaine et les percussions bigarrées de Laurent Kraif, elle substitue la voix de son violoncelle au timbre de Nina Simone, dont elle réveille les mélodies, comme un souvenir lointain, une ritournelle enfantine. AV I S H A I C O H E N T R I O F RO M DA R K N E S S Quand l’harmonie du jazz se mêle au lyrisme des modes orientaux… Depuis deux décen- nies, le compositeur et contrebassiste Avishai Cohen, parfaitement à son aise en trio avec le pianiste Nitai Hershkovits et le batteur Daniel Dor, a su s’imposer comme l’icône d’une musique israélo-new-yorkaise où les mesures asymétriques flirtent avec des improvisations maîtrisées. DANS LE CADRE DU FESTIVAL JAZZ AU FIL DE L'OISE EN PARTENARIAT AVEC RGB 99.2 FM S A M E D I 2 1 N OV E M B R E 2 0 H L’-T h é â t r e d e s L o u v r a i s / P o n to i s e JAZZ AV I S H A I C O H E N À L’ a P O S T R O P H E : A U R O R A ( 2 0 1 1 ) S O N I A W I E D E R - AT H E R T O N D I R E C T I O N A R T I S T I Q U E , V I O L O N C E L L E S O N I A W I E D E R - AT H E R T O N • C O L L A B O R AT I O N M U S I C A L E , P I A N O B R U N O F O N TA I N E • C O L L A B O R AT I O N M U S I C A L E , P E R C U S S I O N S L A U R E N T K R A I F © X AV I E R A R I A S AV I S H A I C O H E N T R I O C O N T R E B A S S E AV I S H A I C O H E N • P I A N O N I TA I H E R S H KOV I T S • B AT T E R I E DA N I E L D O R © YO U R I L E N Q U E T T E TA R I F A P L E I N 2 4 € • R É D U I T 1 9 € • G R O U P E S C O L A I R E 9 € • TA R I F S A B O N N É S 6 € À 17 € ( P. 8 0) 28
NIJINSKI À MINUIT INSPIR É DE L’APR ÈS-MIDI D’U N FAU NE C RÉ AT I ON 2 01 5- 2 01 6 KO M U ROBUSH I Le Faune et les étincelles du Butô Danse des ténèbres, corps obscurs. En procla- mant la « révolte de la chair », dans le Japon des années 1960, Tatsumi Hijikata répandait le soufre du Butô, cette danse d’avant-garde autant qu’archaïque, que l’on pourrait qualifier d’animisme contemporain. Ko Murobushi en est aujourd’hui l’un des plus fidèles héritiers, en incarnation d’une spiritualité organique que la lecture de Nietzsche, Georges Bataille ou encore Michel Foucault vient nourrir. « Mon corps n’est jamais un, il est toujours innom- brable », dit-il à l’orée d’une nouvelle création qui vise à réveiller, avec une dizaine d’inter- prètes, le fantôme du Faune immortalisé par Nijinski. Avec la conviction qu’il y a là un formi- dable combustible pour émettre de nouvelles étincelles. RETROUVEZ LE SPECTACLE DU 30 NOVEMBRE AU 4 DÉCEMBRE À LA GRANDE HALLE DE LA VILLETTE À PARIS J E U D I 2 6 N OV E M B R E 1 9 H 3 0 L’-T h é â t r e d e s L o u v r a i s / P o n to i s e DA N S E CRÉATION K & ASSOCIÉS / KO & EDGE • CHORÉGRAPHIE KO MUROBUSHI • MUSIQUE OSAMU GOTO • SCÉNOGRAPHIE ET LUMIÈRE SALLAHDYN KHATIR • COSTUMES LAURENCE BRULEY • INTERPRÉTATION AYMERIC BICHON, KEVIN FRANC, FHUNYUE GAO, IZASKUN INSAUSTI, ANAÏS MICHELIN, YO NAKAMURA, ALEXANDRA ROGOVSKA, FANNY SAGE, HÉLÈNA SAMPAIO VAN RIEMSDYK, SARJO SANKAREH, KAORI SEKI, OLIVER TIDA, LEANDRO VILLANVICENCIO CRUPI, HANNA WIADROWSKA © LAURENT ZIEGLER ( D I S T R I B U T I O N C O M P L È T E S U R W W W. L A P O S T R O P H E . N E T ) 29 TA R I F B P L E I N 1 9 € • R É D U I T 1 6 € • G R O U P E S C O L A I R E 9 € • TA R I F S A B O N N É S 5 € À 1 4 € ( P. 8 0)
C R ÉAT I ON 2 015- 2 016 SOULÈV EMENT(S) M ARCEL BOZON NET L E S C OM É DI E N S VOYAG EU R S La force subversive de l’éloquence À quel moment une révolution s’incarne-t- elle ? Qu’est-ce qui fait qu’à un moment donné les événements se précipitent, que le temps s’emballe et se condense, et qu’il crée une rupture qui réoriente l’histoire ? Et quels dis- cours en portent le flot ? Au cœur des sou- lèvements populaires qui renversent l’ordre des choses, des paroles s’élèvent. Force sub- versive de l’éloquence, bouche qui délivre, art oratoire. En complicité avec la comédienne Valérie Dréville et avec le metteur en scène et compositeur Richard Dubelski, qui fut l’inter- prète et le collaborateur de Georges Aperghis, Marcel Bozonnet fait jaillir, à travers un mon- tage de textes, « la parole collective de la révo- lution, son bruissement, ses craquements, ses inquiétudes et son enthousiasme. » DANS LE CADRE DU THÉÂTRE DU PRÉSENT CONFÉRENCE DE MARCEL BOZONNET À L’UNIVERSITÉ DE CERGY-PONTOISE, DANS LE CADRE DE L’UNIVER- SITÉ OUVERTE, EN LIEN AVEC LA LICENCE MÉDIATION CULTURELLE : JEUDI 5 NOVEMBRE – 18H EN PARTENARIAT AVEC RGB 99.2 FM V E N D R E D I 2 7 N OV E M B R E 2 0 H 3 0 S A M E D I 2 8 N OV E M B R E 2 0 H 3 0 L’-T h é â t r e d e s A r t s / C e r g y - c e n t r e T H É ÂT R E C R É AT I O N C I E L E S C O M É D I E N S V O YA G E U R S • T E X T E M A R C E L B O Z O N N E T, J U D I T H E R T E L D ’A P R È S L E S T E X T E S D E M I R A B E A U , A B D E LWA H A B M E D D E B , R O B E S P I E R R E , A N T O N I N A R TA U D , O LY M P E DE GOUGES… • MUSIQUE ORIGINALE RICHARD DUBELSKI • SCÉNO - G R A P H I E E T C O S T U M E S R E N AT O B I A N C H I • AV E C M A R C E L B O Z O N N E T, VA L É R I E D R É V I L L E , R I C H A R D D U B E L S K I © D R TA R I F C P L E I N 1 3 € • R É D U I T 1 0 € • M O I N S 1 2 A N S 6 , 5 € • G R O U P E S C O - L A I R E +1 2 A N S 8 € • TA R I F S A B O N N É S 4 € À 9 € ( P. 8 0) 30
THÉÂTR E DU PR ÉSENT R ENDEZ-VOUS D’AU TEU RS 28 & 29 NOV EMBR E L’-THÉÂTR E DE S ARTS / CERGY-CENTR E « Hauteur, altitude de la parole, de la prise de parole. Comment creuse-t-elle un silence où ensuite s'épanouir, d'où monter et se propager dans l'air et dans les têtes. » Note de Denis Podalydès autour du projet Soulèvement(s), juillet 2014. Focus sur les écritures dramatiques contem- poraines, Théâtre du Présent permet de mettre le texte au centre. La porosité, aujourd'hui remarquable, entre les fonc- tions autrefois clairement définies d'auteur S A M E D I 2 8 N OV E M B R E 1 5 H et de metteur en scène, ouvre de nouveaux • Lecture de deux textes coups de cœur champs et témoigne de l'importance d'in- 14-15 du comité de lecture terroger la place du texte dans la création • Rencontre-débat avec des artistes de la contemporaine. programmation (Marcel Bozonnet, Jeanne Mis en voix par des comédiens, trois textes Champagne, Joël Pommerat, Jean-Michel – sélectionnés au cours de la saison dans le Rabeux, sous réserve) cadre du Comité de lecture de la scène natio- • S oulèvement(s) de Marcel Bozonnet à nale – d'auteurs dits émergents, seront don- 20h30 nés à entendre : L’Attentat disparu d’Anaïs D I M A N C H E 2 9 N OV E M B R E 1 5 H de Clercq, Le bon grain de François • Lecture du troisième texte coup de cœur Dumont, Ogres de Yann Verburgh. Soumis 14-15 du comité de lecture au choix des spectateurs, un vote détermi- • Rencontre-débat avec les auteurs nera le texte favori qui, avec les deux textes • Sélection et vote du texte lauréat du Comité lauréats élus en 2013 et 2014 lors des précé- de lecture dentes journées Théâtre du Présent, seront • Annonce du lauréat du Comité de lecture proposés à un artiste qui mettra l'un d'eux en scène. Une façon stimulante et vivante EN COMPLICITÉ AVEC LES ÉDITIONS THÉÂTRALES de s'interroger sur les enjeux du théâtre TA R I F S : E N T R É E L I B R E S U R R É S E R VAT I O N . P O U R S O U L È V E M E N T( S ) L E 2 8 N OV E M B R E : TA R I F C aujourd'hui ! PLEIN 13 € • RÉDUIT 10 € • MOINS 12 ANS 6,5 € • G R O U P E S C O L A I R E +1 2 A N S 8 € • TA R I F S A B O N N É S 4 € À 9 € ( P. 8 0) 31
ÇA IR A (1) C RÉ ATIO N 2 015- 2 016 FIN DE LOUIS JOË L P OM M E R AT DURÉE EXCEPTIONNELLE La Révolution au présent Sculpteur de mots, Joël Pommerat a l’art de révéler ce qui, sous les subterfuges de la « communication » et du storytelling publicitaire, hante notre inconscient contemporain. Sa nouvelle création attaque le noyau dur, si l’on ose dire, de toutes nos représentations. Questionnant « l’avènement et l’évènement de la démocratie », il s’agit de mettre en scène « une épo- pée politique et une histoire des idées. En dehors des grandes figures et des stéréotypes historiques, com- ment redonner vie à une matière qui est devenue un mythe auquel le présent ne cesse pourtant de nous renvoyer ? » Partant du processus qui a conduit à la Révolution française, de 1787 à 1789, Joël Pommerat nous prend à témoin d’une histoire déployée au vif de l’action et des débats qui la traversent. DANS LE CADRE DU FESTIVAL THÉÂTRAL DU VAL D’OISE RETROUVEZ ÇA IRA (1) – FIN DE LOUIS DU 4 AU 29 NOVEMBRE AU THÉÂTRE NANTERRE-AMANDIERS EN PARTENARIAT AVEC RGB 99.2 FM JEUDI 3 DÉCEMBRE 19H30 VENDREDI 4 DÉCEMBRE 19H30 L’-T h é â t r e d e s L o u v r a i s / P o n to i s e T H É ÂT R E J O Ë L P O M M E R AT À L’ a P O S T R O P H E : A U M O N D E ( 2 0 0 4) , L E P E T I T C H A P E R O N R O U G E ( 2 0 0 6 ) , L E S M A R C H A N D S ( 2 0 0 9) , M A C H A M B R E F R O I D E ( 2 0 1 2 ) , U N E A N N É E S A N S É T É ( 2 0 1 4) , C E N D R I L LO N ( 2 0 1 4) C R É AT I O N C I E L O U I S B R O U I L L A R D • C R É AT I O N J O Ë L P O M M E R AT • AV E C S A A D I A B E N TA Ï E B , A G N È S B E R T H O N , YA N N I C K C H O I R AT, E R I C F E L D M A N , P H I L I P P E F R É C O N , Y VA I N J U I L L A R D , A N T H O N Y M O R E A U , R U T H O L A I Z O L A , G É R A R D P O T I E R , A N N E R O T G E R , DAV I D S I G H I C E L L I , M A X I M E T S H I B A N G U , S I M O N V E R J A N S , B O G DA N Z A M F I R (EN COU RS) © CICI OL SSON ( D I S T R I B U T I O N C O M P L È T E S U R W W W. L A P O S T R O P H E . N E T ) TA R I F A P L E I N 2 4 € • R É D U I T 1 9 € • G R O U P E S C O L A I R E 9 € • TA R I F S 32 A B O N N É S 6 € À 17 € ( P. 8 0)
Vous pouvez aussi lire