BIMÉTÉ 2018 - mairie du Ban Saint Martin
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BAN- B U L L E T I N D ’ I N F O R M AT I O N M U N I C I PA L BIM SAINT- MARTIN FR 18 N°22 ÉTÉ 20 P8 FREESTYLE AU BSM P6 P10 P13 BAN DE L’ÉCOLE LE POINT SUR... ON VOUS EXPLIQUE Les changements La santé et le bien-être Le budget 2018 de la rentrée au Ban-Saint-Martin
2 Ce qu’il faut EN IMAGES RETENIR Le carnaval des enfants. Remise de médailles et inauguration des nouveaux vestiaires. Les sports d’hiver imaginés par les services techniques. Carnaval : le public place de la hottée de pommes. Un parking de 38 places rue Otto Zollinger. Les décorations de Pâques. Un nouveau véhicule pour la police intercommunale. Chasse au gaspillage à la restauration scolaire. BIM - LE BAN-SAINT-MARTIN
3 SOMMAIRE L’édito du MAIRE « Notre territoire P6 continue d’attirer » P8 Le festival des arts de la rue s’est installé au Ban-Saint-Martin le dimanche 13 mai. La météo n’a pas été de la partie et pourtant le public a répondu présent. Sans doute l’originalité et la nouveauté du festival y sont-ils pour beaucoup. Initiée par l’équipe municipale, magistralement organisée par Eric Martinez, notre responsable du service jeunesse auquel j’adresse mes chaleureuses félicitations, cette nouvelle mani- P14 festation témoigne de la capacité de notre commune à créer un évène- ment qui innove et qui s’adresse à un public plus jeune et plus attentif aux expressions artistiques actuelles. 4 QUARTIERS LIBRES En proposant sur l’année deux manifestations gratuites différenciées – // le festival des arts de la rue en mai et la fête de la pomme en septembre – chacun pourra vivre sur notre territoire des moments de découverte, de détente mais également de culture, selon ses souhaits et ses attentes. 6 BAN DE L’ÉCOLE Ces deux manifestations complètent l’offre de loisirs sportifs et cultu- rels proposée par nos associations. Ensemble, mairie et associations La rentrée scolaire 2019 renforcent l’attractivité de notre territoire et positionnent le Ban- Saint-Martin comme un acteur majeur de la dynamique sportive et culturelle de notre Métropole. 7 PORTRAIT En matière d’habitat et d’équipements publics, notre commune Éric Martinez, responsable du service conforte également son attractivité. Ainsi, l’accès depuis le Boulevard jeunesse Saint-Symphorien a entamé sa mue. La friche militaire fortement dégradée par une série d’incendies va céder la place à deux immeubles 8 posés sur pilotis qui marqueront l’entrée du Ban-Saint-Martin. SUR LE VIF Ur-Ban, le festival de la Le nouvel accès au collège et aux écoles permet de sécuriser les che- culture urbaine minements piétonniers que la mise en œuvre de la vidéo surveillance renforcera. Il en sera de même sur la place de la Hottée de Pommes. 10 LE POINT SUR... En vous proposant dans ce BIM un focus sur les services de santé et La santé et le bien-être de bien-être, j’ai souhaité attirer votre attention sur la richesse et la au Ban-Saint-Martin diversité de l’offre qui est à votre disposition. Ainsi, un second oph- talmologue, Madame Souquet – alors que la demande est très forte – viendra même s’installer dans les locaux de l’actuel cabinet rue Foch. 13 ON VOUS EXPLIQUE Le budget 2018 Petit par sa taille, notre territoire continue d’attirer. Multiplicité des services, accessibilité depuis les axes majeurs de mobilité, ouverture sur la nature avec les cheminements vers le Saint-Quentin et la Moselle, offre de logements alliant mixité sociale et typologie variée de loge- 14 LE MOT DE LA FIN ments, Le Ban-Saint-Martin poursuit son développement au service de ses concitoyens et du développement de notre Métropole. Bernard Beaudoing : les 50 ans du judo Avec mon équipe, je suis heureux d’y participer ! Henri Hasser, Maire du Ban-Saint-Martin ÉTÉ 2018
4 Quartiers BIEN-ÊTRE LIBRES Un nouvel BONNE ADRESSE institut de Mme Foussadier, beauté rue coiffeuse à domicile de la côte Depuis les années 2000, Mme Foussadier propose des presta- tions de coiffure à domicile. Lorsqu’on l’interroge, elle explique Laure, bien connue à la mairie pour y avoir tra- qu’elle a une clientèle d’habitués pour qui elle est bien plus vaillé comme animatrice et agent spécialisé des qu’une coiffeuse. Même si elle peut coiffer tout le monde, sa écoles maternelles, propose désormais une clientèle est surtout composée de personnes qui ont du mal à se multitude de soin. Dans son institut situé au déplacer. Elle intervient également dans les hôpitaux et maisons 2 rue de la côte, elle s’occupera de vous, de de retraite. Si vous avez envie d’une petite coupe, il ne vous reste l’épilation au modelage relaxant. Les soins se font plus qu’à l’appeler au 03 87 66 32 40. uniquement sur rendez-vous : 03 87 51 93 49. Le gymnase municipal à nouveau opérationnel Alors que les travaux de réhabilitation venaient de se terminer, une surtension électrique pro- venant du nouveau transformateur de l’URM détruisait, en mai 2017, une grande partie du système électrique du gymnase. Après de nom- breuses vicissitudes, le voilà à nouveau totale- ment accessible. Ses 700 utilisateurs hebdoma- daires en sont ravis. BIM - LE BAN-SAINT-MARTIN
5 TRAVAUX Quartiers LIBRES Aménagements en cœur de ville… Après la création de la place de la hottée de pommes, de la rue Otto Zollinger et de logements, la com- mune, dans le cadre du programme défini, a fait aménager : - un nouvel accès au collège afin de sécuriser le cheminement des élèves, - une circulation piétonne qui per- met désormais de joindre la rue Otto Zollinger à la rue Saint-Sigisbert, - Un parking de 38 places rue Otto Zollinger qui vient compléter les créations de places de stationnement lors de la réalisation de cette rue. En y ajoutant la réfection des abords du gymnase, ces travaux ont coû- té 390 000 € TTC. Metz Métropole a accordé un fonds de concours de 95 000 € pour cette opération. … et du chemin de guerre La Ville a pu affirmer sa volonté de proposer à l’utilisateur de l’espace public, autre que l’automobiliste, des déplacements plus sûrs et plus agréables (voir article ci-dessus, créa- tion de zones 30, bandes cyclables…). C’est pour cela que, profitant de la création du nouveau quartier du bois de chanteraine, le chemin reliant la rue des Bénédictins à Plappeville a été élargi et sécurisé. ÉTÉ 2018
6 Ban de RÉFORME DES RYTHMES SCOLAIRES L’ÉCOLE Retour à la semaine des 4 jours LA RÉFORME DES RYTHMES SCOLAIRES HOLLANDE- PEILLON, MISE EN PLACE EN 2013, QUI IMPOSAIT UNE SEMAINE DE 4 JOURS ET DEMI VA CONNAÎTRE SON ÉPILOGUE, LORS DE LA PROCHAINE RENTRÉE SCOLAIRE 2018/2019. DÈS SEPTEMBRE PROCHAIN, LES ÉCO- LIERS DE MATERNELLE ET D’ÉLÉMENTAIRE N’AURONT PLUS CLASSE LE MERCREDI MATIN. ÉTAT DES LIEUX DES CHANGEMENTS À VENIR. la précipitation. On sait qu’il fallait prendre le temps de la réflexion quand il s’agit de l’avenir et du présent de nos enfants. Le moment de réinstaurer la semaine des 4 jours est venu. » À partir de septembre 2018, les écoles primaires et maternelles de la commune fonctionne- ront les lundis, mardis, jeudis et vendredis, de 8h15 à Au Ban-Saint-Martin, la semaine de quatre jours et demi avec 11h45, puis de 13h30 à 16 heures, avec une pause mé- école le mercredi matin vit ses dernières heures. Mise en place ridienne proposée au Ru-Ban. « La semaine des 4 jours en septembre 2014, elle s’effacera à la prochaine rentrée devant et demi avait quelques inconvénients, notamment la semaine de quatre jours, dont le retour a été plébiscité par les à l’école maternelle, souligne Alain Arriat, adjoint en conseils d’école, les consultations d’enseignants et de parents charge des affaires scolaires. Les enfants devaient être d’élèves organisées par la commune. La semaine de 4 jours et demi réveillés durant leur sieste pour pouvoir être libérés vantée par les chronobiologistes - cette dernière permettant de à 15h30 et ce n’était pas idéal pour eux. De plus, nous mieux organiser la semaine des enfants des écoles maternelles avons remarqué que les enfants de l’élémentaire sont et élémentaires - va prendre fin en juillet prochain. Une décision plus fatigués en fin de semaine avec le rythme scolaire mûrement réfléchie par le conseil municipal. « Une grande majo- actuel. Cela explique, en partie, la volonté des parents rité des parents d’élèves souhaitait le retour aux 4 jours lors de la de revenir aux 4 jours. » dernière rentrée scolaire 2017/2018 et la libération du mercredi, explique le maire Henri Hasser. Nous avions entendu le message, Trois formules possibles pour autant, nous n’avions pas souhaité revenir aux 4 jours dans pour le mercredi Avec un retour aux quatre jours, que prévoir le mercre- di ? « Les parents se sont habitués à un accueil, il faut combler le vide, confie Alain Arriat. Nous allons assurer un service éducatif le mercredi, et cela va permettre à EN + certaines associations de pouvoir relancer des activités pour les enfants, notamment le mercredi matin. » Ces Des écoles bien équipées animations seront sous la responsabilité de la commune et devraient bénéficier d’un accompagnement financier La municipalité poursuit sa politique de développement des équi- de l’État, via le fonds de soutien et de la caisse nationale pements des écoles de la commune avec l’installation d’un nou- d’allocations familiales. Le périscolaire, assuré au centre veau vidéoprojecteur interactif à l’école Marcel Pagnol cet été. socioculturel, Le Ru-Ban, sera mis en place avec trois « L’objectif est d’équiper toutes les classes des écoles Marcel Pagnol formules proposées : de 7h30 à 18 heures avec repas, de et Paul Verlaine de VPI », note Alain Arriat. Actuellement, 4 classes 7h30 à 13h30 avec repas ou de 13h30 à 18 heures sans de Paul-Verlaine et 2 de Marcel Pagnol sont équipées de VPI. repas. Les tarifs seront communiqués ultérieurement. BIM - LE BAN-SAINT-MARTIN
SERVICE JEUNESSE PORTRAIT 7 Éric Martinez, le hip-hop dans la peau Apparu dans les années 1970, aux États-Unis, le mouve- ment hip-hop, s’il a pu être controversé, n’a jamais cessé de faire parler de lui. Plus présent que jamais sur la scène ARRIVÉ À LA MAIRIE DU BAN-SAINT-MARTIN EN culturelle, l’art urbain est partout (street art, danse, mu- 2007, ÉRIC MARTINEZ EST À L’INITIATIVE DU PRE- sique…) et Le Ban-Saint-Martin lui a consacré, à côté des MIER FESTIVAL DES CULTURES URBAINES ET DES arts de la rue, un festival le dimanche 13 mai dernier. La ARTS DE LA RUE ORGANISÉ SUR LE PARKING DU première édition d’« Ur-Ban », festival des cultures ur- COMPLEXE SPORTIF. BAIGNÉ DANS LA CULTURE baines et des arts de la rue, est née de l’esprit d’Éric Mar- HIP-HOP DEPUIS SON ADOLESCENCE, L’ACTUEL tinez, le responsable du service jeunesse de la mairie du RESPONSABLE DU SERVICE JEUNESSE A RÉUSSI Ban-Saint-Martin. « D’une idée commune avec mon ad- SON PARI LE 13 MAI DERNIER. jointe « pédagogique », Déborah Rodick, plus exactement, sourit Éric Martinez. Nous avons rassemblé dans cet évé- nement tout ce que l’on aime dans les arts de rue et la culture urbaine et sélectionné de nombreux artistes lo- caux de talent. » Performances de freestyle football, de dans laquelle a été baigné Éric Martinez durant son adoles- musculation de rue, concert de slam, de hip-hop alterna- cence. Plus qu’une passion, une école de la vie. « J’ai toujours tif ou de folk soul, démonstrations de self défense, spec- eu une sensibilité pour l’art urbain. J’ai découvert le hip-hop à tacles de cirque burlesque, de théâtre de rue, de danse l’âge de 10-12 ans en tombant sur un clip vidéo à la télévision. ragga / dance hall ou de cracheurs et jongleurs de feu, et Tout a commencé là. » Pratiquant la danse hip-hop et très actif bien plus encore étaient au programme d’« Ur-Ban ». « Il dans la vie associative, Éric Martinez devient, en 1996, objec- s’agissait d’un panel hétéroclite pour tous les goûts et teur de conscience auprès du centre culturel Marc-Sangnier de tous les âges, ajoute Éric Martinez. C’était un vrai défi de Montigny-lès-Metz, puis emploi jeune en tant qu’agent de pré- rassembler tous ces arts. Nous avons pu compter sur le vention urbaine, animateur de danse hip-hop et directeur des soutien du conseil municipal et des services techniques accueils de loisirs pendant les vacances scolaires, rattaché au mais également de Metz Métropole pour le prêt de ma- service culturel de la mairie de Montigny. « Je n’étais pas voué tériel. » à faire ce métier, mais ma passion du hip-hop, mon appétence pour les arts en général, le plaisir d’animer des groupes, m’ont « La culture urbaine, permis de trouver un chemin professionnel. Je me sentais utile on l’a ou on ne l’a pas » socialement, je faisais du lien entre les jeunes avec une culture La création de ce festival n’est pas un simple effet de et de la danse. » En 2004, il obtient un concours lui permettant mode. C’est surtout la mise en lumière d’une culture de devenir cadre intermédiaire de la fonction publique et de la filière animation. Arrivé à la mairie du Ban-Saint-Martin en 2007, par voie de mutation, Éric Martinez a attendu 11 ans pour lancer le premier festival dédié aux cultures urbaines et aux arts de rues. « Je n’ai pas vu le temps passer depuis mon arrivée dans la commune. Il a fallu mettre en place le service jeunesse et l’organisation des accueils périscolaire et extra-scolaire, car ma mission première est de garantir le bon déroulement de ces actions, organisées par ma mairie. Depuis peu, la fusion des services scolaires et jeunesse, en septembre 2017, m’a permis de dégager du temps. Légitimé par M. le Maire et ma hiérarchie, j’ai pu me lancer dans de nouveaux projets notamment cultu- rels. J’ai fait le choix des artistes à partir de ma connaissance du milieu hip hop et de mes découvertes récentes. Je pense avoir la légitimité sur les critères des choix, « le groove », la culture urbaine, on l’a ou on ne l’a pas. » Un festival qui s’est dé- roulé sans accroc, avec un seul mot d’ordre, celui du hip hop : Peace, love and having Fun ! ÉTÉ 2018
8 Sur le FESTIVAL UR-BAN VIF Concert de Slam de Atelier de musculation Croqué sur le vif. Charly Chapo. de rue par Street coach. Les arts de rue s’installent sur le Ban Live painting graffiti, sur les murs ... et jusqu’à 18h avec Renaud (Metz), David autour du stade de football à partir Sonner (Luxembourg), Slow Raffiki (Metz) de 11h... et Maze (Courcelles-sur-Nied). Carrousel de chaises Spectacle du jeune volantes. Yanis âgé de 11 ans. BIM - LE BAN-SAINT-MARTIN
9 FESTIVAL UR-BAN Sur le VIF Démonstration hip-hop Spectacle burlesque de l’école de danse Le «Kub» par la compagnie Ban des Arts. Le Cirque en Carton. Atelier Nail’Art par Animation musicale L’Or Institut du BSM. par DJ Lezard. Mouloud freestyle football. LE 13 MAI DERNIER, LA VILLE DU BAN-SAINT-MARTIN A LANCÉ LA 1RE ÉDITION D’UR-BAN, LE FESTIVAL DES CULTURES URBAINES ET DES ARTS DE LA RUE. EN DÉPIT D’UNE MÉTÉO MAUSSADE, LES ARTISTES SE SONT PRODUITS POUR LE GRAND BONHEUR DU PUBLIC PRÉSENT. ENTRE PERFORMANCES DE SLAMEURS ET DÉMONSTRATIONS DE FREESTYLE FOOTBALL, IL Y EN AVAIT POUR TOUS LES GOÛTS AU BAN. RETOUR EN IMAGES. Spectacle de danse Michael Démonstration de self Jackson par Le Ban des Arts. défense par le dojo BSM. ÉTÉ 2018
10 Le PROFESSIONNELS DE SANTÉ / BIEN-ÊTRE POINT SUR LES MÉTIERS DE Route de Plappevill LA SANTÉ ET DU e Pascal Dolle BIEN-ÊTRE AU 2 RUE DE LA CÔTE Rue de la Côte BAN-SAINT-MARTIN LA COMMUNE ACCUEILLE PAS MOINS D’UNE QUARANTAINE DE PROFESSIONNELS RÉPARTIS DANS 15 SECTEURS DISTINCTS. Côte Raymond Spens EN VOICI LE DÉTAIL. de la 45 RUE DE LA CÔTE Ru e 47 RUE DE LA CÔTE Jean-Michel Gostner Michel Devaux Firas El Hachem Cabinet de rééducation et de kinésithérapie du sport Pierre Bertaux Joffrey Sirtoli Brigitte Souquet Cécile Untereiner (à compter du 09/2018) MÉDECINS GÉNÉRALISTES 24 RUE DU MARÉCHAL FOCH INFIRMIERS ORTHOPHONISTE DENTISTES KINÉSITHÉRAPEUTES OPHTALMOLOGUE ORL PROTHÉSISTES DENTAIRES PÉDIATRE PODOLOGUES ORTHOPTISTE PHARMACIE PSYCHOLOGUE CABINET D’HYPNOSE NATUROPATHE ET THÉRAPEUTE REIKI BIM - LE BAN-SAINT-MARTIN
11 PROFESSIONNELS DE SANTÉ / BIEN-ÊTRE Le POINT SUR Alexandre Michaud 114 ROUTE DE PLAPPEVILLE Pharmacie Du Saint Quentin 84 ROUTE DE PLAPPEVILLE 102 ROUTE DE PLAPPEVILLE 58 ROUTE DE PLAPPEVILLE Dorothée Lefèvre Grégoire Pate Émilie Menzin Émilie Caldera Émilie Wild 44 BIS RUE DU NORD Marie Girard Émilie Renner Séverine Carter Sylvain Vibert Pauline Liber Sandra Espalier Ro Germain Cera u te de Maïté Patrignani Pla pp evi ne ar ll e aM Danielle Goulon el ed Isabelle Delignies-Soulier 21 RUE LARDEMELLE Ru Christelle Walck-Gautier Xavier Gautier Martine Bertrand 27 AVENUE DE LA LIBERTÉ 2 RUE LARDEMELLE 29 AVENUE DE LA LIBERTÉ 33 RUE SAINT-SIGISBERT Marine Goubaud Michel Nosal II 34 RUE SAINT-SIGISBERT e nri u eH A31 en Cabinet Doro’t Av Sophie Siegrist Henry Martin Ru e Sa 3 RUE SAINT-SIGISBERT in t- S LE ig EL is OS be M LA rt 2 RUE SAINT-SIGISBERT 1 RUE DU GÉNÉRAL DE GAULLE Delphine Jolly (Neuropédiatrie) Clinique vétérinaire pour nos amis les bêtes Claire Duflot Bilbault Agathe Pariset Anne-Charlotte Cullier Philippe Cavelius 20 BIS RUE DU GÉNÉRAL DE GAULLE E LL O SE L AM ÉTÉ 2018
12 On vous LE BUDGET 2018 EXPLIQUE Faire aussi bien avec moins de moyens ENTRE LA RÉFORME DE LA FISCALI- TÉ LOCALE, LA SUPPRESSION DES CONTRATS AIDÉS ET LE TRANSFERT DE CHARGES NON COMPENSÉES, LES FINANCES DES COLLECTIVITÉS TERRITORIALES SE TENDENT INEXO- RABLEMENT. CELLES DU BAN-SAINT- MARTIN NE FONT PAS EXCEPTION À LA RÈGLE. POUR AUTANT, LA VILLE CONTINUE À MENER UNE POLI- TIQUE VOLONTARISTE EN MATIÈRE D’INVESTISSEMENT, PRENANT EN COMPTE L’ÉVOLUTION DES BESOINS DE LA POPULATION ET LE MAINTIEN DES SERVICES PUBLICS À UN NI- Si la croissance française est portée par un contexte écono- VEAU SUFFISANT. mique plus favorable que les années précédentes (accélération de l’activité économique soutenue par les investissements des entreprises et des ménages qui bénéficient toujours de taux d’intérêts faibles, mise en place du CICE*…), il est important de rappeler que les équilibres financiers de la ville ont été forte- autofinancement des investissements 2018 rendu pos- ment impactés depuis 2013 par les pertes de recettes succes- sible grâce à un excédent de fonctionnement de 1,4 M€, sives. Liées à la baisse des dotations de l’État sur la période résultant du versement du solde de l’assurance consé- 2013-2018, les diminutions en cascades des autres niveaux ins- cutif à l’incendie du gymnase et à celui de la vente des titutionnels, les impacts budgétaires des transferts de charges, terrains de la caserne Dupuis, par le reversement du mais également les mesures législatives régulièrement im- budget annexe « Cœur de Ban » au budget principal. Par posées par l’État n’ont fait qu’aggraver la situation financière. ailleurs, si l’année 2016 a vu l’aboutissement des éco- En effet, la collectivité a enregistré une perte cumulée de nomies réalisables au niveau des charges à caractère 315 000 euros soit une moyenne annuelle de 63 000 euros. Au général, on a plutôt observé en 2017, l’augmentation Ban-Saint-Martin, l’année 2018 s’inscrit ainsi dans ce contexte des tarifs des énergies et carburants, la prise en charge national incertain, marquée notamment par des réformes et du gymnase, des travaux de voirie avec l’achat de bar- décisions gouvernementales impactant fortement les collec- rières et potelets, la prolongation des réseaux d’élec- tivités locales (réforme de la fiscalité locale, suppression des tricité pour les constructions nouvelles, mais aussi une contrats aidés, transferts de charges non compensées). augmentation du budget scolaire. Malgré tous ces fac- teurs, il est a souligner que l’encours de la dette par ha- Baisse de l’encours de la dette par habitant bitant n’est seulement que de 480 € alors qu’il est de Les objectifs qui ont conduit à la construction du budget ont 816 € pour les villes de la même strate de population. été les suivants : le gel des taux d’imposition, la maîtrise des Une performance résultant d’une gestion optimisée du charges de fonctionnement courantes, la poursuite de l’en- patrimoine de la commune, ce qui a permis à la Ville de tretien et de la rénovation des bâtiments ainsi que du dé- ne pas augmenter les taux d’imposition. sendettement de la Ville sans oublier de conserver une ca- pacité d’autofinancement permettant l’investissement. Un *Crédit d’Impôt pour la Compétitivité et l’Emploi. BIM - LE BAN-SAINT-MARTIN
13 LE BUDGET 2018 On vous EXPLIQUE Ce qu’il faut retenir du budget 2018 Budget Dépenses Dépenses global d’investissement de fonctionnement 5 135 431 € 1 439 599 € 3 695 832 € 5 ACTIONS MARQUANTES DU PROGRAMME BON À SAVOIR D’INVESTISSEMENT 2018 0% d’augmentation du taux d’imposition 24 000 € Pour les écoles 25 000 € Incluant l’acquisition de mobilier pour 480 € d’encours une classe et de l’équipement informa- tique (logiciel et matériel). Entretien et sécurité de la voie publique de la dette/habitant. Comprenant notamment la mise en Moyenne des communes place de caméras de surveillance au de même strate: 816 € niveau du complexe sportif et de la Place de Hottée de Pommes ainsi que de la mise en place de matériel de voirie. 32 agents en poste 87 000 € dont 5 à temps partiel Rénovation annexe Paul Verlaine 15 agents périscolaires 50 000 € à temps non complet Pour la résidence Pierre-Herment 95 000 € Dont 20 000 € en provision** et 1,59 M€ 30 000 € pour la mise aux normes de deux ascenseurs. Soit le produit des taxes Aménagement des abords directes locales en 2018 du gymnase **Afin de mieux appréhender l’avenir, la Ville Dont un nouveau cheminement envisage de mettre en place des provisions, technique budgétaire qui permet d’aug- piétonnier ainsi que la création de menter l’autofinancement pour les futures 38 places de parking. dépenses d’investissement. ÉTÉ 2018
14 Le mot JUDO CLUB DU BAN-SAINT-MARTIN DE LA FIN La 50e rugissante CLUB EMBLÉMATIQUE DU DÉPARTE- MENT MOSELLAN, LE JUDO CLUB DU BAN-SAINT-MARTIN SOUFFLE LES 2 ET 3 JUIN PROCHAINS SES 50 PRINTEMPS. FONDÉ PAR HENRI QUÉRU, RENÉ MAR- CHAL ET ROBERT ARRIAT, LE CLUB PEUT SE TARGUER D’AVOIR AUJOURD’HUI PLUS DE 280 LICENCIÉS ET, CHAQUE ANNÉE, DE NOMBREUX JUDOKAS AUX CHAMPIONNATS DE FRANCE. UN VÉRI- TABLE TOUR DE FORCE. C’est au centre socioculturel que le Judo tique du karaté, du judo adapté pour les séniors, un véritable tour de force au vu Club du Ban-Saint-Martin a poussé son athlètes handisport et, auparavant, de de la taille de la commune. « Le succès premier cri, né de l’abnégation de trois l’aïkido – arrêté en 2013 – le Judo Club du club s’explique par la dynamique et hommes : René Marchal, Henri Quéru et compte aujourd’hui 280 licenciés et une l’activité intense développés par Yves Robert Arriat. « À l’époque, les judokas dizaine de professeurs, tous diplômés Beaudoing qui manage l’élite du club, devaient installer eux-mêmes leurs ta- d’État, fait rare dans un club de judo. note Pierre Turon, 3e Dan et enseignant tamis avant de les ranger aussitôt les « Nous avons la fierté de ne compter que au club. Ici, c’est l’état d’esprit qui fait cours terminés pour laisser le centre so- des enseignants diplômés dans notre notre succès. Nous accueillons réguliè- cioculturel disponible pour d’autres as- club, ajoute Bernard Beaudoing, pré- rement des judokas d’autres clubs pour sociations », glisse Alain Arriat, adjoint au sident du JCBSM depuis 1980. Qui plus qu’ils puissent combattre chez nous, maire en charge des affaires scolaires et est, ils sont pour la plupart au club de- ce n’est pas commun. Si les combat- fils de Robert Arriat, l’un des membres puis de très nombreuses années, voire tants restent au club et que d’autres fondateurs. Une cinquantaine de licen- même depuis leur tendre enfance. C’est viennent régulièrement s’entraîner ici, ciés les deux premières années avant dire la fidélité qu’ils vouent à ce club. » c’est que tout le monde se sent bien au d’atteindre le chiffre symbolique de 100 Ban-Saint-Martin. » Pour fêter ses 50 en 1970, le Judo Club fait des émules. Les 50 ans au gymnase ans, le club organise une grande fête au « C’était un sport mineur à cette époque, les 2 et 3 juin gymnase de la commune, les samedi 2 raconte Joël Remy-Vincent, au club de- Club familial, toujours prêt à accueillir et dimanche 3 juin prochains, avec de puis 1973 et aujourd’hui secrétaire. Nous les combattants de Moselle et de Na- nombreuses démonstrations au pro- avions pourtant de nombreux prati- varre, le Judo Club participe à toutes les gramme, en la présence d’Henri Hasser, quants intéressés pour faire ce sport, compétitions officielles, du champion- le maire, et des élus, ainsi que Raymond et eu des enseignants de qualité. » In- nat départemental au championnat de Deprets, le président du comité dépar- tégrant le Dojo en 1981, l’activité pour- France 1re Division, la division du multi temental de Moselle de judo ou encore suit son essor et atteint 370 licenciés en médaillé olympique Teddy Riner. Der- le président de la Ligue Grand Est de 1985, proche du record d’inscrits, 380 nièrement, 6 combattants ont repré- judo, Jean-Louis Duvergey. Une juste en 2005. Comptant également la pra- senté le club au championnat de France récompense. BIM - LE BAN-SAINT-MARTIN
EXPRESSION DES GROUPES POLITIQUES 15 Liste d’opposition Laura Tared Il y a 10 ans brûlait le bâtiment de la DDE situé avenue du général de Gaulle, en contrebas de la bretelle de sortie du pont de Verdun. Cet édifice avait une valeur architecturale intéres- sant puisqu’il était l’œuvre de l’architecte Jean- Louis Jolin. Une fois le site décontaminé seront construits 54 logements. Ils seront signés par John D’Eathe, architecte irlandais d’un cabinet messin. Un nouveau projet que l’opposition approuve. Pourquoi un bon accueil pour ce projet et une bataille acharnée contre les projets immo- biliers antérieurs ? L’opposition réclamait l’embellissement des deux entrées de ville. Celle du pont de fer a profité du reboisement imposé par la loi pour contrebalancer la déforestation du Saint Quentin pour construire le lotissement du bois de Chanteraine. Même si celui-ci ne compense pas les six hectares de foret perdue ! Il y avait dans notre protestation, un souci écologique et un souci lié à la circulation. Il y a déjà, à cause de la configuration de notre ville, des difficultés de stationnement rue saint Sigisbert, rue des Bénédictins et dans nombre de rues. Inutile d’en ajouter par négligence vis-à-vis des promoteurs. À cela s’est ajoutée la mauvaise qualité des logements LOGIEST, qui a fait l’objet d’articles dans la presse. La commune a toujours une lourde responsabilité en tant que donneur d’ordres publics. On récapitule : -Chanteraine : cinquante-sept logements et cinq pavillons -Un programme imposant que nous avons critiqué fortement au nom de la protection du poumon vert de l’aggloméra- tion et de la transparence, car le maire dans le cadre de ses attributions à Metz Métropole avait en charge la protection, l’aménagement et la sauvegarde du belvédère naturel. Nous nous sommes opposés aussi à cause de la densité de logements à l’hectare, déjà trop im- portante dans la commune 13 contre 1 dans des villes similaires. -« Cœur de Ban » ; trois immeubles de 75 logements du promoteur George Lucas avec la création artificielle d’un centre-ville alors qu’historiquement, c’est l’axe qui conduit à Plappeville. Mais la place de la Hottée de pommes pourrait dissiper nos craintes si elle sert une politique culturelle de qualité. -Le Clos Hermes, en face de la mairie, 16 appartements. La frénésie immobilière va enfin prendre fin. Et les deux entrées de notre ville seront dignes de la belle réputation de notre ville. « Pour compléter le bien », comme dirait un agent immobilier, il serait intéressant d’y adjoindre un rond point au croisement de l’avenue Foch et de l’avenue du général de Gaulle. Ainsi, l’opposition, en informateur critique et lucide, applaudirait comme elle sait le faire quand les décisions sont bonnes ! ÉTÉ 2018
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