LA GUINGUETTE AUX COULEURS DE L'AFRIQUE SUBSAHARIENNE - Samedi 8 septembre 2018 - Ville de Tours
←
→
Transcription du contenu de la page
Si votre navigateur ne rend pas la page correctement, lisez s'il vous plaît le contenu de la page ci-dessous
DIRECTION DES RELATIONS INTERNATIONALES LA GUINGUETTE AUX COULEURS DE L’AFRIQUE SUBSAHARIENNE Samedi 8 septembre 2018 tours.fr
Mardi 4 septembre: Projection de LAMB dans le cadre des Tontons Filmeurs En 1964, le court métrage Lamb (La lutte) de Paulin Soumanou Vieyra est le premier film d'Afrique subsaharienne sélectionné au Festival de Cannes. La lutte traditionnelle (Lamb en wolof) est un sport très prisé au Sénégal qui rappelle la lutte gréco-romaine. Réalisé en 1963, ce film en présente les règles rigoureuses de ce sport. Présentation du film par Stéphane Vieyra de l’association PSV Films
Samedi 8 septembre Inauguration de la journée Guinguette aux couleurs de l’Afrique Subsaharienne © Ville de Tours - V. Liorit
Pôle Gastronomie Ateliers cuisine avec le restaurant NATHIYAN: sauce mafé, beignets de farine ou de banane
Pôle Solidarité Exposition paysages et modes de vie nomades subsahariennes (Niger-Tchad) – Association la Saharienne
Association la Saharienne
Solidarité et mobilité internationale avec Centraider, le Réseau Afrique 37 et le Greff
L’association Touraine Madagascar
L’association PSV Films
Conférence « Regards croisé sur les dynamiques des Diasporas subsahariennes d’hier et d’aujourd’hui » autour d’un extrait de la bande sonore du film Afrique-sur-Seine (1955) – Diffusion en direct sur Radio Béton et animée par René Mokoumkolo (Maitre de conférences Université de Tours) et Stéphane Vieyra (Président de PSV Films). Diasporas subsahariennes d’hier et d’aujourd’hui : Véritables ressources stratégiques régulièrement renouvelées, les diasporas subsahariennes en France font l’objet de débats récurrents, concernant en particulier leurs motivations, leurs trajectoires ainsi que les conditions et les modalités de leur installation sur « les bords de la Seine ». C’est notamment le cas des étudiants qui, dans l’entre-deux-guerres, ont alimenté les premiers mouvements intellectuels et politiques nègres dont la création artistique et culturelle engagée a souvent oscillé entre la dénonciation de l’ « impasse de l’assimilation » (Sadji, 1954), et « l’exaltation des valeurs africaines » (Ousmane, 1957). Ainsi, « il y a conflit de cultures, et il se produit en chacun de nous une manière de tiraillement (...) » (Béti, 1953). En même temps, « Paris ressemble à ces femmes ensorceleuses qu’on fuit, mais auxquelles on revient sans savoir pourquoi » (Dadié, 1954). Suite aux indépendances nominales des années 60, la plupart de ces étudiants sont rentrés pour constituer les premières élites de l’Afrique postcoloniale. Pourtant, presque soixante ans plus-tard, on compte 62 000 étudiants africains en France, contre 4544 en 1960. « Tant que les lions n'auront pas leurs propres historiens, les histoires de chasse tourneront toujours à la gloire du chasseur ».
Atelier percussions
Pôle Littérature et contes Contes de Côte d’Ivoire Contes malgaches
Pôle Littérature et contes Lectures d’auteurs africains contemporains – Réseau Afrique 37
Pôle Jeux Jeu traditionnel Malgache Fanorona
Défilé de Mode • Céline Kra – Partenaire d’OBB
Photos © Ville de Tours - V. Liorit
© Ville de Tours - V. Liorit
Défilé de mode chorégraphié • Aimée et Danse Hope
Photos © Ville de Tours - V. Liorit
Photos © Ville de Tours - V. Liorit
Spectacle de danse Association Dance Hope par Baruc Miekene © Ville de Tours - V. Liorit
Interviews Radio Béton Interview de Jérôme Tebaldi, Adjoint au Maire de Tours, en charge des Relations internationales et du Rayonnement Interview des associations et partenaires de la journée, en haut les associations Touraine Madagascar et la Saharienne. Interview de l’artiste Felkissam En bas l’association OBB
Concert de Felkissam
Merci à tous les partenaires de la journée Guinguette aux couleurs de l’Afrique subsaharienne!
Crédit Photos • © Ville de Tours- DRICD • © Ville de Tours - V. Liorit • Photo affiche ©Laurent Mévis
Vous pouvez aussi lire