Le dégénéré Prince Charles arrosé par Ben Laden : un scandale de plus!
←
→
Transcription du contenu de la page
Si votre navigateur ne rend pas la page correctement, lisez s'il vous plaît le contenu de la page ci-dessous
Le dégénéré Prince Charles arrosé par Ben Laden : un scandale de plus! Deux faces d’un même personnage… lequel est le plus touchant ? Bien évidemment j’étais certaine qu’il ne faudrait pas « lui donner le bon Dieu sans confession »… mais de là à apprendre que Charlie-Dumbo magouillait avec la saloperie de Ben Laden, les bras m’en tombent. Finalement, avec son air un peu stupide et sa vue basse, il était (et est toujours vraisemblablement) aussi retors que les plus affûtés de nos félons nationaux (et internationaux pour faire bonne mesure !). Il en a d’ailleurs les bons réflexes, comme de bidouiller les infos destinées au public, telle celle de conduire la même « bagnole » depuis plus de cinquante ans, ainsi que nous l’apprend Paris-Match, faisant de lui un homme économe, ne
jetant pas les livres sterling par les fenêtres… comme certains malotrus français que je ne citerai pas, puisque aisément reconnaissables… À la cérémonie d’ouverture des Jeux du Commonwealth, le 28 juillet, dans l’Aston Martin DB6 que le prince de Galles conduit depuis plus de cinquante ans. © Aijaz Rahi/AP/SIPA Bien que « né avec une petite cuillère en argent, voire en or, dans la bouche » il semblerait que sa future majesté ait néanmoins manqué de chance, d’abord avec une mother qui s’accroche à la vie et commence seulement à « lâcher du lest », non par estime et considération envers son rejeton, mais juste parce qu’elle est fatiguée. Charles le sait, il n’a pas toujours été aimé ; mais, désormais, ses futurs sujets commencent à l’apprécier et à reconnaître ses nombreuses qualités, dont son incroyable clairvoyance en matière d’écologie. Dans les sondages de popularité, il gagne des points de mois en mois. Rien ne semble pouvoir assombrir son règne à venir, de plus en plus proche. Quoique… Ah ben oui, c’est ballot… car c’est juste le moment où un méga-scandale est tout prêt de lui éclater en pleine ascension… Ça risque de chauffer sévère chez la « Queen », qu’il
représente de plus en plus (non pas qu’elle soit souffrante, mais ses 96 années, dont soixante-dix sur le trône, commencent à lui peser), et qui ne manquera pas de lui « tirer les oreilles » quand l’info lui parviendra, si ce n’est déjà fait. Mais qu’a-t-il donc fait, ce grand benêt, capable de craquer pour une Camilla (bof !) quand il avait une sublime Diana près de lui ? Patience, j’y arrive. Le « Sunday Times » révèle que la Fondation caritative du prince Charles a accepté, en 2013, plus de 1 million d’euros de la part de la famille du terroriste Oussama Ben Laden. Une polémique parmi d’autres sur l’origine des donations. La sanction est immédiate : selon Yougov, institut de sondage réputé, la popularité de Charles chute de 50 % à 42 %. Oh la boulette ! Elle va être sacrément difficile à réparer, celle-là… parce que ça fait vraiment désordre chez les têtes couronnées ! En même temps, cela prouve, pour ceux qui en France regrettent la monarchie remplacée par une république désincarnée, que finalement les reines, rois, et leurs rejetons, ne sont pas si éloignés des turpitudes des prétendus « républicains- démocrates » actuels, fort occupés à s’asseoir sur ladite République, tout en clamant à tout-va « ses » valeurs, qu’ils n’hésitent jamais à l’occasion de s’approprier pour fustiger un adversaire, accusé de trahir « leurs » valeurs républicaines… qui n’ont pourtant désormais plus rien à voir avec celles du peuple ! Précisions : Un scandale qui pourrait entacher durablement la réputation de la couronne, mais surtout son image de futur monarque. Le « Sunday Times » a mis le nez dans les comptes du Prince of Wales’s Charitable Fund (PWCF), la fondation qui soutient les différentes associations aidées par l’héritier du trône, et révèle que celle-ci
aurait accepté un don d’une valeur de 1 million de livres sterling (1,1 million d’euros), versé par deux membres de la famille d’Oussama Ben Laden. Un financement douteux que Charles aurait accueilli sans ciller. Derrière cette somme colossale, on retrouve Bakr et Shafiq Ben Laden, riches hommes d’affaires saoudiens et demi-frères du fondateur d’Al-Qaïda. https://www.parismatch.com/Royal-Blog/Le-prince-Charles-sous-l a-menace-d-un-scandale-1820171? Précision importante : aucun des deux n’est impliqué dans une entreprise terroriste. Ils ont même renié leur frère, après que celui-ci eut ordonné les attentats du 11 septembre 2001. Ah bon ? Du coup, si ce sont des demi-frères, la faute est divisée par deux… et si en plus ils ont renié ce demi-frère, cela pourrait bien dédouaner le bientôt King Charles (peut-être) d’une quelconque vilaine et malpropre acceptation d’argent sale… non ? Ouf, on respire tout de suite un peu mieux de l’autre côté de la Manche … Sauf que là-bas comme chez nous, il n’est pas impossible que les ennemis du futur monarque y voient l’occasion de salir un peu plus une réputation déjà bien entachée de polémiques à répétition, comme le rappelait Madame Figaro dans un article de décembre 2018, mis à jour en janvier 2021 : « les douze scandales qui ont éclaboussé le prince Charles ». En avril 2017, le New-Yorker titrait l’un de ses articles “Ce moment où le prince Charles a dérapé”, reprenant les épisodes peu glorieux de la vie de l’héritier au trône d’Angleterre. “Cherry Brandy”, le verre de la discorde Tranquillement attablé avec ses petits camarades de classe dans un pub écossais, en 1960, le prince Charles a 14 ans lorsqu’il commande un verre de brandy à la cerise, sans se douter qu’un journaliste people l’épie depuis le bar…
L’interview très gênante de ses fiançailles. À l’époque, l’homme de 32 ans et la jeune femme de 20 ans se sont rencontrés seulement treize fois avant qu’il ne fasse sa demande. Leur interview officielle vire, quant à elle, au chaos. “Êtes-vous amoureux ?”, les interroge le journaliste. Le prince Charles balaie la question : “Tout dépend de ce que l’on appelle amoureux”. La réplique aurait tout bonnement “traumatisé” Lady Diana, comme elle le raconte dans le documentaire Diana : in Her Own Words. Sa liaison avec Camilla Le prince Charles et Lady Diana divorcent en 1996. La raison majeure de cette rupture n’est autre que Camilla Parker Bowles. En 1992, quelques semaines avant son mariage, Lady Diana découvre un bracelet dans le bureau de son mari. Un employé lui avoue alors qu’il est destiné à Camilla Parker Bowles. Quand il a été surpris en train de se plaindre d’un journaliste En 2005, le prince Charles séjourne paisiblement dans la station de ski de Klosters, en Suisse, avec ses fils Harry et William. Hélas, les microphones de plusieurs journalistes captent une conversation privée, durant laquelle le futur monarque se plaint du journaliste Nicholas Witchell : “Maudits journalistes, grommelle-t-il. Je ne peux pas supporter cet homme. Il est si horrible, vraiment.” Des propos qui n’auront pas arrangé ses relations avec les professionnels concernés. Commentaire personnel : peut-on vraiment en vouloir au prince Charles de se plaindre de certains « journaleux » qui trahissent éternellement leur si belle profession, notamment les paparazzis qui traquent les personnalités avec des moyens indignes, voire carrément illégaux ; préférant payer de lourdes amendes plutôt que cesser leurs vils agissements ? Il aurait deux enfants illégitimes En septembre 2017, le monde fait la connaissance de l’ancien lieutenant de Marine Janet Jenkins dans les colonnes du quotidien The Globe. “J’ai été la maîtresse de Charles durant seize ans”, clame alors la Canadienne. ” À l’époque, aucun de nous deux n’utilisait de protection. C’était avant le Sida et nous n’y pensions tout simplement pas.” Neuf mois après cette prétendue liaison, elle donne naissance à son
fils Jason Jenkins. Quelques temps plus tard, c’est au tour de l’Australien Simon Durante-Day d’affirmer qu’il est le fils du prince, conçu avant son mariage avec Lady Diana. Une histoire – un brin rocambolesque – à laquelle ni Charles ni Camilla n’ont encore réagi. Le scandale du costume nazi Si, a priori, le costume de mauvais goût du prince Harry n’a rien à voir avec son père, la reine Elizabeth II semble convaincue du contraire. En 2005, la souveraine reproche à son fils l’attitude du prince Harry, pointant du doigt son “besoin désespéré d’attention paternelle”. Les médias, quant à eux, se demandent comment le prince de Galles a pu laisser sortir son fils, ainsi affublé du symbole nazi. Les dépenses faramineuses de l’héritier En mars 2018, la biographie non autorisée de Tom Bower, Le Prince rebelle, accuse le principal intéressé de dépenser de manière inconsidérée. D’après l’auteur, le prince emportait son propre matelas, son siège de toilettes et deux de ses tableaux lors de ses voyages officiels, causant par là-même des surcoûts inutiles. Sans compter que le futur monarque aurait emprunté le train royal juste pour visiter un pub. Une balade qui aurait coûté à elle seule 18 916 livres (soit 21 000 euros). Cela fait cher la première gorgée de bière. Avec des ministres qui sautent dans un jet pour se rendre en Allemagne pour un match de foot (Valls), ou à l’autre bout de la France pour voter + 16 fois en un an, un jet pour rejoindre des destinations à moins de 2 heures 15 en train (Castex)… nous aurions tort de lui jeter la première pierre, sans investir dans un lance-pierres pour nos propres abuseurs ! https://www.capital.fr/economie-politique/les-couteux-allers-r etours-de-jean-castex-en-falcon-1427969 Et pour plus de détails sur le prince, c’est ici : https://madame.lefigaro.fr/celebrites/les-12-scandales-qui-ont -eclabousse-le-prince-charles-121218-162513 Elizabeth II n’a jamais eu une très haute opinion de son aîné, ce fils qui ne lui
ressemble pas. Trop peu terre à terre, à son goût. Pourtant, ces derniers temps, elle avait appris à lui faire confiance. Elle le sentait enfin prêt pour la suite, apte à préserver cette institution qu’elle a façonnée en soixante-dix ans. Elle pensait que Charles s’était davantage assagi qu’Andrew, ce fils qu’elle adore mais qui lui donne tant de fil à retordre. Mais, après ces révélations, la souveraine regarde sans doute l’avenir avec appréhension. Tout s’écroulera-t-il après elle ? Car il faut bien plus qu’un biocarburant aux croûtes de fromage et au vin blanc pour faire tourner une machine comme la monarchie britannique... Charles n’a pas eu de bol, c’est un fait… mais la Reine non plus avec ses marmots… C’est pourtant toujours elle qui est aux commandes depuis fort longtemps, et elle ne semble pas avoir fait grand-chose pour contrer l’immigrationnisme forcené du fiston ! Il m’est donc plus aisé de réserver mon empathie aux citoyens anglais, qui subissent comme nous les conséquences des arrivées massives de musulmans extrémistes, ne venant en UK que pour y implanter leur satanée fausse religion… En même temps, ils sont toujours nombreux, ces citoyens britanniques, à acclamer leurs têtes couronnées, et ce malgré de nombreux scandales… Curieux, non ? Josiane Filio, au nom de la Liberté d’expression
Vous pouvez aussi lire