LIAM NEESON NON-STOP par le réalisateur de - Matériel marketing salles STUDIOCANAL
←
→
Transcription du contenu de la page
Si votre navigateur ne rend pas la page correctement, lisez s'il vous plaît le contenu de la page ci-dessous
LIAM NEESON Réalisé par JAUME COLLET-SERRA avec LIAM NEESON VERA FARMIGA - PATRICK WILSON DURÉE : 1H45 AU CINÉMA LE 24 JANVIER 2018 DISTRIBUTION STUDIOCANAL PRESSE SOPHIE FRACCHIA B.C.G 1, PLACE DU SPECTACLE MYRIAM BRUGUIÈRE • OLIVIER GUIGUES 92120 ISSY-LES-MOULINEAUX THOMAS PERCY • WENDY CHEMLA TÉL. : 01 71 35 11 19 23, RUE MALAR PORT. : 06 24 49 28 13 75007 PARIS SOPHIE.FRACCHIA@STUDIOCANAL.COM TÉL. : 01 45 51 13 00
synopsis Comme tous les jours après son travail, Michael MacCauley (Liam Neeson) prend le train de banlieue qui le ramène chez lui. Mais aujourd’hui, son trajet quotidien va prendre une tout autre tournure. Après avoir reçu l’appel d’un mystérieux inconnu, il est forcé d’identifier un passager caché dans le train, avant le dernier arrêt. Alors qu’il se bat contre la montre pour résoudre cette énigme, il se retrouve pris dans un terrible engrenage. Une conspiration qui devient une question de vie ou de mort, pour lui ainsi que pour tous les autres passagers !
A près les succès internationaux de SANS IDENTITÉ, « The passenger pose une question morale : que feriez-vous si quelqu’un vous NON-STOP et NIGHT RUN, Liam Neeson retrouve le proposait de faire une chose à priori insignifiante sans en connaître les conséquences, réalisateur Jaume Collet-Serra pour la quatrième fois en échange d’une somme d’argent considérable ? » explique Jaume Collet-Serra. avec le thriller explosif THE PASSENGER. Si l’histoire de « Le personnage principal du film a soixante ans. Il vient d’être licencié. Il n’a pas d’argent cet homme prêt à tout pour empêcher qu’une catastrophe de côté et croule sous les dettes. Doit-il dès lors ne penser qu’à lui et à sa situation ou doit- ait lieu dans un train de banlieue bondé avait tout pour il prendre en considération les éventuelles retombées de ses actes ? » plaire au duo, ce n’est pas tant pour la promesse de scènes spectaculaires que la problématique complexe à laquelle Liam Neeson, lui, était particulièrement séduit à l’idée que l’action se déroule est confronté le personnage principal, et les conséquences quasiment en temps réel : « Le personnage principal prend conscience de l’ampleur que chacune de ses décisions entraîne, tant pour les de la situation au fur et à mesure et doit tout mettre en œuvre le plus rapidement passagers du train que pour sa propre famille. possible pour identifier la personne qui détient la clé de toute cette machination.
À chaque station, la tension monte d’un cran avec de Avec l’aide de quelques passagers habituels en qui il peut avoir nouveaux passagers, et de nouveaux indices. Le film devient confiance, Michael se lance dans une course effrénée pour alors un thriller psychologique dont le rythme n’est pas sans prendre au piège les tueurs et mettre en sécurité les voyageurs. me rappeler L’INCONNU DU NORD-EXPRESS ou LA MORT AUX TROUSSES, les deux chefs-d’œuvre d’Alfred Hitchcock. » Jaume Collet-Serra et Liam Neeson avaient déjà pris la voie du succès avec NON-STOP – qui a récolté 222,8 millions de dollars Le producteur Alex Heineman ne peut qu’aller dans ce dans le monde en 2014 – et SANS IDENTITÉ (130,8 millions sens : « Avec Andrew Rona, mon associé au sein de The Picture en 2011). Rien ne pouvait donc les empêcher de remettre leur Company, on est tombé instantanément amoureux du script. association sur les rails, même si cela devait être à bord d’un Il a cette fibre hitchcockienne avec un type ordinaire pris dans train de banlieue. une succession d’évènements qui le dépassent. Comme nous avions travaillé avec Jaume et Liam sur NON-STOP et SANS En lisant le scénario, Jaume Collet-Serra a rapidement fait IDENTITÉ, nous savions que ce scénario allait leur plaire. » le lien avec NON-STOP : « C’est une sorte de suite spirituelle. Un mystère devient d’autant plus captivant si le héros est un type Le personnage interprété par Liam Neeson, Michael comme vous et moi. C’est un principe cher à Hitchcock : LA MORT MacCauley, travaille au sein d’une compagnie d’assurance. AUX TROUSSES, UNE FEMME DISPARAÎT, FENÊTRE SUR COUR… Si la famille semble mener une petite vie tranquille à Comme dans L’INCONNU DU NORD-EXPRESS, nous voulions un Westchester, dans l’Etat de New York, sa femme et son homme normal confronté à un choix moral déterminant : jusqu’où fils sont loin de se douter de l’état alarmant des finances est-il prêt à aller pour de l’argent sans connaître les conséquences familiales. Car, en coulisses, Michael se démène pour de ses actes ? Quand des choses extraordinaires arrivent à des joindre les deux bouts. Et il lui est de plus en plus difficile gens ordinaires, la gradation est primordiale. Les premiers choix de garder la tête hors de l’eau. doivent être évidents pour le public. A sa place, nous aurions fait les mêmes. L’action doit découler de la crédibilité de ces choix. » Un matin, en arrivant au travail, Michael apprend qu’il est licencié. Il est cependant loin de se douter que le pire est à venir. Le soir même, dans le train de banlieue qui le ramène chez lui, il voit s’asseoir en face de lui une femme prénommée Joanna. Celle-ci lui fait une proposition : trouver le passager qui ne devrait pas être dans le train, en échange d’une grosse somme d’argent. Si beaucoup accepteraient sans se poser la moindre question, Michael hésite, car son passé d’ancien policier lui a inculqué un sens très prononcé du bien et du mal. S’il consent finalement à trouver le « suspect » parmi tous les passagers, son enquête le mène vers une évidence : celle d’une machination visant à tuer ce voyageur. Une machination qu’il est le seul à pouvoir arrêter.
L e réalisateur a été également séduit par le choix de narration : lève tous les matins pour sauver sa famille. Le combat est rude, mais « J’aime les films racontés selon le point de vue du personnage Michael est dur au mal car il sait qu’il doit le faire et qu’il ne peut en principal », admet-il. « Nous savons exactement ce qu’il sait en être autrement. Et voilà qu’on lui fait une proposition qui fait vaciller même temps qu’il obtient l’information. Nous sommes avec lui et nous ses certitudes : de l’argent, beaucoup d’argent mais en échange de apprenons que sa famille est en danger en même temps que lui. Par quelque chose qui ne lui inspire guère confiance. Pour trouver une conséquent, la caméra devait rester à bord et ne pas montrer ce qu’il solution, il reçoit l’appui d’autres passagers. Ils n’ont aucun contrôle se passait à l’extérieur du train. Là encore, c’est un mécanisme très sur la situation, ni sur le train. Mais, ensemble, ils trouvent la force hitchcockien qui a défini le style visuel du film. » nécessaire pour renverser le cours des événements. » Jaume Collet-Serra voulait que le point de vue narratif de THE Le producteur Andrew Rona ne tarit pas d’éloges sur le travail des PASSENGER soit différent des autres films tournés avec Liam Neeson : scénaristes Byron Willinger et Philip de Biasi : « En lisant le scénario, « Cette fois-ci, j’ai mis un point d’honneur à ce que le public s’identifie j’ai été frappé par son efficacité. Il vous prend par le bras et ne vous au personnage principal. Michael est un combattant du quotidien, qui se lâche jamais. Beaucoup de films montrent des personnages englués
dans une situation inextricable. Dans SPEED, le héros l’acteur : « J’adore travailler avec lui. Je l’ai rencontré il y n’a pas d’autre choix que de rester dans le bus et trouver a six ou sept ans sur le plateau de SANS IDENTITÉ et on la solution. Dans THE PASSENGER, tous les curseurs s’est immédiatement entendu. On est comme un couple sont poussés au maximum : l’action, le suspense, le de danseurs qui, au fil des danses, devient de plus en plus mystère mais aussi la profondeur des personnages. » intime. Il me facilite le travail et il prétend que je facilite le sien. Pour moi, c’est le meilleur des compliments ! Jaume Le caractère ordinaire du personnage de Michael a est un vrai metteur en scène. Il est attentif en permanence séduit Liam Neeson : « Michael prend le même train à l’arc narratif du film, à sa progression. C’est un fou de depuis dix ans, cinq fois par semaine », explique-t-il. cinéma. Il a un véritable sens de ce qui est juste. Il me « Un jour, il est licencié et il ne sait comment l’annoncer rappelle beaucoup Steven Spielberg. » à sa femme, d’autant qu’il a deux emprunts sur le dos. Après avoir partagé un verre avec un ancien collègue Nul ne saurait remettre en cause le talent de Jaume policier pour se donner du courage, il prend le train pour Collet-Serra. Sa préparation méticuleuse, son approche rentrer chez lui et annoncer à sa femme et à son fils, imaginative de la réalisation et son aisance à jongler qui doit entrer à l’université, qu’ils n’ont plus d’argent. avec les contraintes pour créer les scènes les plus Dans le train, il tombe sur cette mystérieuse personne spectaculaires possibles, ne cessent d’impressionner qui lui demande s’il serait prêt à faire une toute petite ses collaborateurs. « À notre dernière réunion de pré- chose sans importance pour 100 000 dollars. Comme production, j’ai eu l’impression de revenir à mes études il hésite, la personne lui dit de trouver un sac caché de cinéma », se souvient le producteur Alex Heineman. dans le compartiment avec 25 000 dollars à l’intérieur. Il « Jaume est si méticuleux qu’il nous a décrit le film plan cherche et trouve l’argent. Le drame peut commencer. » par plan ! Lorsque nous nous rendions sur le plateau, nous nous rendions compte qu’il savait exactement ce Au-delà du scénario et du personnage complexe qui lui qui allait être tourné dans le moindre détail. Le chef- était proposé, c’est la perspective de retravailler avec opérateur Paul Cameron a effectué également un travail Jaume Collet-Serra qui a particulièrement enthousiasmé remarquable. Jaume a une vision et il s’y tient. Il ne va jamais tourner avec plus de deux caméras. Il sait le plan qu’il veut. Le film est dans sa tête. »
Le public peut se rendre compte du style de Collet-Serra dès le générique. plans montés ensemble donnent une idée d’une semaine ordinaire dans la En effet, le réalisateur s’est rapidement confronté à un problème : gagner vie de Michael. Les vêtements, le temps, changent mais son attitude reste l’attention des spectateurs dès le début du film, ce qui n’était pas gagné la même jour après jour. Les images ne finissent par raconter qu’une seule d’avance. « Le titre du film suggère la monotonie de la routine. Depuis vingt ans, et même chose. Les spectateurs ont du coup l’impression de l’accompagner Michael se lève tous les matins à 6 heures, se retrouve sur le même quai, prend depuis des années dans sa vie quotidienne. » le même train et douze heures plus tard, il reprend le même train dans l’autre sens. C’est une vie si calibrée, si banale qu’il est facile de s’y identifier. Il fallait Un choix conforté par le producteur Andrew Rona : « Des millions de donc que j’attache un soin particulier à la mettre en scène. On aurait pu ouvrir personnes utilisent des trains de banlieue tous les jours pour aller travailler le film par un plan de Michael saluant tous les passagers du train qu’il connaît, à New York. Jaume nous fait sentir le temps qui passe et nous connecte mais cela n’aurait pas suffi. J’ai alors eu l’idée de commencer avec un plan de directement à l’univers de Michael. » chaque jour de la semaine : le premier, lundi, le second, mardi, etc. Tous ces
NON-STOP, INSTINCT DE SURVIE, THE PASSENGER : Jaume Collet-Serra est devenu un spécialiste des endroits confinés. Ces trois films ont la particularité de prendre leurs spectateurs à la gorge sans relâche malgré l’exiguïté des lieux. Le producteur Alex Heineman explique cette efficacité par la volonté du réalisateur de ne laisser aucun temps mort : « Pour lui, chaque seconde doit servir le film. Le rythme imprimé est tel que vous n’avez aucun répit. Jaume est une sorte d’Hitchcock moderne : d’un concept fort, il tire un film tout aussi intense. Que ce soit avec Blake Lively dans INSTINCT DE SURVIE ou avec Liam Neeson dans SANS IDENTITÉ et NON-STOP, il sait tirer le maximum de ces histoires autour d’un personnage principal ordinaire qui vous amène à vous dire : « Et moi, que ferais-je à sa place ? » ». « Hitchcock adorait tisser des histoires dans un lieu unique », approuve Andrew Rona. « FENÊTRE SUR COUR, LA CORDE, LE CRIME ÉTAIT PRESQUE PARFAIT… Le concept du décor unique permet de se concentrer sur les personnages sans se perdre dans des considérations matérielles diverses. À l’image du grand cinéaste anglais, Jaume est devenu un maître du suspense. » Si NON-STOP enfermait les personnages et les spectateurs réalisateurs qui pouvaient faire d’une telle histoire un film dans un avion durant tout le film, THE PASSENGER s’autorise aussi profond. Durant la production, nous avions quelques quelques séquences hors du train. Celles-ci, situées dans un références en tête : LE FUGITIF, SPEED, NON-STOP et bar et chez Michael, permettent de mieux appréhender son évidemment Hitchcock ou encore Agatha Christie pour quotidien. Un choix qui, pour Andrew Rona, « porte le film vers le mystère à résoudre dans un lieu confiné. Un train, en une autre dimension. Au-delà de l’action, THE PASSENGER est un l’occurrence. Mais il fallait que le film soit spectaculaire. Il véritable thriller avec une énigme à résoudre tant pour Michael ne s’agissait pas de refaire NON-STOP, mais d’aller encore que pour les spectateurs qui, jusqu’à la fin, ne cessent de se plus loin. » poser des questions sur les responsables de la machination. » Rona a été impressionné par la méthode de travail de THE PASSENGER est la troisième collaboration d’Andrew Collet-Serra : « Jaume décortique le scénario, il l’étudie Rona avec Collet-Serra. Huit années durant lesquelles le sous tous les angles. Il crée le background de tous ses producteur a vu le réalisateur s’affirmer de plus en plus dans personnages, de façon à ce que leurs actions soient son travail : « Je l’ai rencontré sur ORPHAN, et son évolution censées. De fait, une fois sur le plateau, tout est maîtrisé. ne cesse de m’impressionner. Sur SANS IDENTITÉ et NON- Il n’y a aucune hésitation, juste de la place pour le plaisir. STOP, il s’était emparé d’un concept et en avait tiré le maximum. Jaume considère la caméra comme un personnage à part THE PASSENGER est un accomplissement. Je connais peu de entière. Travailler ainsi lui permet de magnifier le scénario en lui apportant des nuances insoupçonnées. »
Personnage principal du film, Michael en est le moteur. Le public Andrew Rona met en avant l’empathie du public pour l’acteur : découvre les rebondissements de l’intrigue en même temps que lui. Il « J’adore travailler avec lui. Il est facile tout en se montrant extrêmement fallait donc qu’entre les deux, l’identification soit totale. professionnel et dévoué sur un plateau. Il y a peu d’acteurs qui lui ressemblent dans le cinéma actuel. Le public l’adore car il dégage une Pour les deux producteurs, le film ne pouvait se faire sans Liam Neeson : masculinité certaine tout en suscitant beaucoup d’empathie. Dans THE « Liam est une sorte de John Wayne des temps modernes », souligne PASSENGER, la caméra est quasi-continuellement braquée sur lui. Peu Heineman. « Avec une pincée de James Stewart. Jaume a construit d’acteurs sont capables de porter tout un film sur leurs épaules. » autour de Liam un personnage de héros ordinaire, plutôt sympathique mais taciturne, avec une douleur prégnante. Cette ambivalence, Liam Jaume Collet-Serra rêvait de travailler une nouvelle fois avec sait la faire passer d’un seul regard. Il n’a pas besoin d’emphase pour Liam Neeson. Un rêve comblé, d’autant que l’acteur a su encore le exprimer les émotions les plus fortes. C’est la raison pour laquelle il est surprendre : « Il ne se trompe jamais. À chaque premier jour de tournage, si formidable dans ces thrillers où on montre plus les choses qu’on ne je suis comme un gamin au matin de Noël. Je me demande quelle surprise les dit. » il va me réserver ! Et dès qu’il arrive, je comprends avec un geste, un regard, qu’il habite totalement son personnage. Le plus fou, c’est que j’arrive encore à découvrir de nouvelles facettes de son talent. »
EN VOITURE ! LES AUTRES ACTEURS A utour de Liam Neeson, on retrouve un casting payer le billet ? » Le film est une fable, une sorte de Diable et Daniel Webster international au diapason. Le rôle clé de Joanna est sous testostérone. Michael signe un pacte faustien avec cette mystérieuse interprété par Vera Farmiga, qui jouait déjà dans femme et, une fois qu’il a accepté, le film lui fait payer cher. Joanna est la ESTHER. Joanna s’invite dans la routine de Michael le tentatrice, celle qui le pousse et tire les ficelles. » jour où celui-ci vient d’être licencié. Dans le train du retour, alors que Michael se demande comment il va Jouer un tel personnage a poussé la comédienne à sortir de ses habitudes : annoncer la nouvelle à sa famille, une jeune femme « J’ai voulu infuser à Joanna une dimension surnaturelle. Joanna n’est pas s’asseoit en face de lui. Michael, qui connaît tous les quelqu’un de bon ou de mauvais. Elle incarne à la fois le vice et la vertu. Dans habitués du compartiment, ne l’a jamais vu. Très vite, notre vie, nous sommes tous amenés un jour ou l’autre à nous demander si nos celle qui dit se prénommer Joanna lui fait une proposition actes sont conformes à notre moralité. Joanna joue avec cela. Je ne pense pas étrange : quelque chose lui a été volé dans le train. S’il qu’elle soit le diable. D’ailleurs, pour Jaume, elle incarne carrément Dieu ! » accepte de l’aider, il sera largement récompensé. Vera Farmiga était particulièrement heureuse de retravailler avec Jaume « Jaume m’a envoyé un e-mail me demandant si je voulais Collet-Serra : « J’ai l’impression qu’on a repris les choses là où on les avait passer quelques temps avec Liam Neeson à bord d’un laissées. J’apprécie particulièrement le fait qu’il soit constamment derrière la train », se souvient Vera Farmiga. « Je lui ai répondu : caméra. Du coup, même si nous sommes sur une production d’ampleur, le fait « J’ai cru que tu ne demanderais jamais… Mais dois-je de l’avoir avec nous donne une sensation d’intimité très rassurante. »
Collet-Serra, lui, n’avait aucun doute sur la complicité qui allait se créer Le casting de ces personnages secondaires était déterminant : « Il fallait entre Liam Neeson et la comédienne : « J’adore travailler avec elle et je qu’on puisse reconnaître un peu de nous dans chacun d’entre eux », continue rêvais de l’associer à Liam. Quand j’ai eu le scénario entre les mains, je n’ai le réalisateur. La plupart sont de simples spectateurs du drame qui se pensé qu’à elle pour le rôle. Heureusement qu’elle a accepté ! Sa présence joue. Une poignée d’autres va être sollicitée par Michael pour l’aider. à l’écran est telle qu’elle n’a aucunement besoin d’en faire trop. Elle est Il y a William, le copain de wagon (Jonathan Banks), ou encore Tony, là, elle existe et le public est totalement captivé par sa prestation. Voir ces un Newyorkais jusqu’au bout des ongles qui va prêter son téléphone deux acteurs jouer ensemble m’a procuré un bonheur que je n’avais pas portable à Michael (Andy Nyman). Les autres seront suspectés tour à tour connu depuis longtemps. » par Michael : la lycéenne Gwen (Florence Pugh), le jeune tatoué Dylan (Killian Scott), le trader de Wall Street Vince (Shazad Latif), l’ouvrier du Vera Farmiga n’avait jamais travaillé avec Liam Neeson : « Je ne le bâtiment bourru Jackson (Roland Moller), le guitariste Oliver (Kobna connaissais pas. C’était un mythe, une légende ! C’est un monument de Holdbrook-Smith) et le contrôleur du train Sam (Colin McFarlane). grâce ! Quand je l’ai rencontré, il était exactement comme je m’y attendais : fort, ferme, gentil et totalement ouvert. Il est si chaleureux et si curieux ! Il Grâce à eux, Jaume Collet–Serra fait grimper la tension progressivement. est formidable. » Bientôt, Michael ne sait plus à qui faire confiance et sombre dans la paranoïa. « Chaque personnage a sa part d’ombre, son petit mystère : pourquoi-est il là ? Neeson retourne le compliment : « Vera joue ce personnage mystérieux Que cache-t-il dans son sac ? Pourquoi a-t-il fait ce geste ? Nous aussi, on a avec une telle justesse qu’on ne sait jamais sur quel pied danser : est- envie de savoir les raisons de leur présence dans ce train. » elle un flic, un agent du FBI, un « bad guy » ? Elle ne fait qu’un avec son personnage. De toute façon, elle était sur ma liste des actrices avec qui je Patrick Wilson joue le rôle de Murphy, l’ancien collègue de Michael lorsque voulais tourner. » celui-ci était policier. Pour lui, faire partie de l’aventure était une évidence : « J’ai tout de suite accepté pour retravailler avec Liam. » Les deux hommes Le producteur Andrew Rona ajoute : « Nous avons de la chance d’avoir pu avaient collaboré sur L’AGENCE TOUS RISQUES : « Je ne connaissais pas Jaume travailler avec Vera. Elle possède un tel talent qu’elle peut tout jouer. Cette mais Vera Farmiga, qui est une très bonne amie, m’a rapidement convaincu. aisance sied à merveille au personnage de Joanna. » Quant à Liam, il n’est pas une star par hasard. Il est si généreux à l’écran qu’on ne peut qu’être avec lui. On veut qu’il gagne à la fin ! » Pour les autres personnages, Jaume Collet-Serra tenait à ce que les passagers du train reflètent la diversité de la population qui part travailler Jaume Collet-Serra a su tirer parti du caractère international de son tous les jours à New York. Comme il n’y a pas de première classe dans casting : « Il est toujours difficile de tourner un film dans un pays différent ce genre de trains, tous ces gens sont contraints de partager les mêmes de celui où est censée se dérouler l’action. Comme nous tournions en voitures. « J’ai fait et refait ce trajet pendant la préparation du film », Angleterre, il fallait faire croire au public que nous étions près de New York. explique-t-il. « J’ai vu comment ça se passait. Et j’ai compris que Michael La plupart des acteurs étaient des Anglais capables de reproduire l’accent devait se situer entre deux mondes. Il travaille dans le quartier financier newyorkais à la perfection. » mais c’est un homme qui a sans doute été un « col bleu » et qui a toujours travaillé dur pour faire vivre sa famille du mieux possible. Soudain, il perd son travail et se retrouve à la casse. Et dans le train du retour, il se retrouve au milieu de passagers qui ont leur propres problèmes. J’aime l’idée que ces gens-là, qui ne se connaissent pas vraiment au début, finissent par s’en sortir en s’entraidant. »
CONSTRUIRE LE TRAIN LE TOURNAGE
L Un train de banlieue newyorkais comporte six à e tournage s’est déroulé pendant dix semaines en Angleterre aux studios sept voitures de 20 à 25 mètres. Il était évidemment de Pinewood et de Longcross, dans le Surrey. impossible de reproduire le train dans sa totalité sur le plateau de Pinewood. La production a donc opté pour la Le film se déroulant presqu’entièrement dans un train, Jaume Collet-Serra construction d’une voiture et demie entourée de fonds et son équipe se sont retrouvés face à deux énormes challenges : rendre une verts, en dur avec de véritables portes et vitres. Ainsi, telle histoire passionnante avec un décor qui ne change jamais, et adapter la il devenait possible de bouger l’ensemble pour simuler mise en scène à cette contrainte : « Un train peut être relativement ennuyeux le mouvement du voyage. Cette construction permettait à filmer », explique le réalisateur. « Heureusement, le Hudson North a une également de tourner à l’extérieur comme à l’intérieur, où esthétique intéressante. Il est vieux, fait beaucoup de bruit et il a encore ce système les sièges étaient disposés de part et d’autre d’une allée de tickets à poinçonner que je trouve fascinant. De plus, cette ligne propose des centrale. L’ensemble de la voiture pesait une trentaine lumières nombreuses et variées. On passe des quais et des tunnels de Grand de tonnes. Afin de s’assurer qu’elle puisse bouger selon Central au Bronx puis à l’Hudson River avant de quitter la ville. Visuellement, on les scènes, l’ensemble fut monté sur des roues posées pouvait en tirer un grand avantage. » sur un rail de guidage. Au milieu du train, un vérin hydraulique simulait les à-coups caractéristiques. Le réalisateur connaît parfaitement les contraintes et les avantages liés au tournage d’un film dans un transport en commun. Ses films ont déjà eu pour Pour intensifier l’illusion du mouvement, l’équipe avait décor des avions (NON-STOP), le métro allemand (SANS IDENTITÉ) et les créé un dispositif pour faire vibrer les sièges ou les chemins de fers américains (NIGHT RUN). Il savait dès lors pertinemment objets sur les tables. qu’il lui serait impossible de tourner dans un vrai train. Le train était entièrement modulable, de façon à avoir « Sans aucune surprise, la Metropolitan Transit Authority ne nous a pas donné plus de latitude pour tourner les scènes. « Ce réalisme a l’autorisation d’utiliser ses équipements, ni de tourner dans Grand Central », également été d’une grande aide pour les acteurs », insiste explique Andrew Rona. « Nous avons du tout construire en studio. » Richard Bridgeland. « Ils avaient la sensation d’être dans un vrai train de banlieue. Il ne manquait que l’odeur ! » Le chef décorateur Richard Bridgeland poursuit : « Un des producteurs a dit : « C’est simple. Il s’agit juste d’un train. » Je savais néanmoins que ce train avait Chaque jour, les deux voitures devaient être configurées un parcours. Et que ce parcours, reconstitué en Angleterre, devait ressembler à selon l’ordre des plans de la journée. Les acteurs New York et sa grande banlieue. Jaume était intransigeant sur cette crédibilité. Le prenaient leur place… Et Jaume Collet-Serra se trouvait film ne fonctionnerait que si le public croyait au monde que nous avions construit. parfois un peu perdu : « Les voitures se ressemblaient Il fallait également reproduire l’usure caractéristique des trains newyorkais. Pour tellement qu’il m’est arrivé de me demander où devait cela, je me suis rendu dans une casse spécialisée près de Cleveland, dans l’Ohio, aller la caméra ! Le travail de préparation a été primordial. et j’ai récupéré beaucoup de matériel dont je me suis inspiré. » J’avais un plan dessiné de chaque voiture avec le placement de tous les personnages, leurs mouvements et la trajectoire Le fait d’avoir travaillé auparavant avec Collet-Serra sur Sans identité a permis de Liam au milieu. Parfois on tournait dans la journée un à Richard Bridgeland d’anticiper les demandes du réalisateur : « Je sais qu’il plan avec un acteur sortant par la fenêtre de la voiture 1 adore bouger la caméra. Il lui faut de l’espace ! J’ai donc conçu un décor de 80 puis, une semaine après, on le filmait entrant par la fenêtre mètres carrés et haut de 3 mètres, afin qu’il puisse, par exemple, sortir du train de la voiture 2. Tout cela avec une perspective différente… Il et y entrer de nouveau en un seul plan. » fallait savoir s’y retrouver. »
« Jaume voulait également être en mesure de faire des plans grand secours pour Richard Bridgeland. Le duo s’est évertué à fluides dans la voiture. Nous aurions pu enlever le plafond de celle- reproduire une lumière la plus réaliste possible dans le contexte ci et utiliser un fond vert », poursuit Bridgeland, qui a alors l’idée d’un studio, tout en veillant à ce que l’intérieur des voitures soit de poser la caméra sur une plateforme glissant sur des rails suffisamment éclairé lors des scènes sous terre. « Nous avons fixés au plafond. Cette plateforme pouvait tourner à 360 degrés finalement fixé les lumières sur le haut des cadres des fenêtres », et permettait de fait une liberté d’action considérable : « Le précise le chef décorateur. « Une petite entorse à la réalité qui train avait été construit en métal. Du coup, il n’était pas aisé de nous a facilité la tâche. » tout chambouler pour suivre les acteurs dans la voiture », précise Collet-Serra. « Cette dolly au plafond fut la solution parfaite. Elle Ces voitures deviennent le lieu de scènes de combat était pilotée de l’extérieur et, du coup, l’équipe était réduite au particulièrement intenses. Elles sont le fruit de la longue minimum à l’intérieur de la voiture. » collaboration entre Liam Neeson et le cascadeur Mark Vanselow. Le duo a travaillé seize fois ensemble et se connaît parfaitement : Les extérieurs ont apporté également leur lot de problèmes. En « Cette proximité a son lot d’avantages et d’inconvénients », précise effet, il était impossible d’utiliser des gares anglaises en lieu et Vanselow. « Nous nous connaissons par cœur. Il nous faut donc place des stations newyorkaises. Grand Central et les stations chercher incessament à créer de nouvelles choses qui collent à 86th Street, 110th Street et 125th Street furent reconstituées à l’histoire et au personnage. Jaume nous poussait régulièrement Pinewood. Pour Tarrytown et Cold Spring, des gares du sud de à sortir de nos habitudes. Chaque combat a lieu dans différents l’Angleterre furent totalement transformées. endroits du train. Il fallait prendre en compte l’exiguïté des voitures, et le fait que celui-ci soit à l’arrêt ou en mouvement. » Avec, là Liam Neeson a été particulièrement impressionné par le travail encore, un souci de réalisme permanent : « Michael n’est pas de Bridgeland et de son équipe : « Il se trouve que le train de un super-héros. C’est un gars ordinaire qui, il y a longtemps, était l’histoire passe devant ma maison près de New York. Cela fait donc policier. Il a donc conservé des réflexes mais il est un peu rouillé. une vingtaine d’années que je le prends. Et inutile de vous dire Les combats ont été chorégraphiés en fonction du physique hors- que j’en connais le moindre boulon ! Le travail de reconstitution norme de Liam (1,94m) et du background des autres personnages. est fantastique. Les plus infimes détails sont présents, jusqu’aux Chaque combat doit être un dialogue – certes musclé – entre les emballages de McDonald’s débordant des poubelles des stations. » deux parties. » Et le producteur Andrew Rona, d’ajouter: « Au final, c’est presque « Je ne fais pas mes cascades, je laisse ça aux professionnels », une production théâtrale. Le train ne bougeait pas, ce sont les renchérit l’acteur. « Mais j’adore les scènes de combat. À chaque stations qui changeaient. C’est une sorte de retour aux vieilles fin de journée, je passais un moment à les répéter encore et encore recettes du cinéma. Celles utilisées notamment pour tourner des avec Mark et son équipe. Afin d’être prêt à souffrir, je faisais 45 films comme L’INCONNU DU NORD-EXPRESS. Avec quelques minutes de gym tous les matins avant de me rendre sur le plateau. avancées technologiques en plus. » Un bonheur ! » La gestion de la lumière fut aussi un challenge, comme le « Liam se plaît à dire qu’il est trop vieux pour ce genre de films », rappelle Richard Bridgeland : « Nous tournions dans un studio. Il sourit Andrew Rona. « Je le rassure toujours. Après tout, Clint fallait donc créer une lumière qui rappelle celle qui pénètre dans Eastwood le fait encore, et il est bien plus vieux que Liam. Il a un les voitures durant un voyage. Or, cette lumière change en fonction souci constant de crédibilité. Il ne voudrait surtout pas que le public de la vitesse ». Le chef-opérateur Paul Cameron a été d’un doute de la scène et, donc, de son personnage. Il n’est pas du genre à prendre les choses à la légère. »
DISTRIBUTION
LIAM NEESON – Michael MacCauley Récompensé à de multiples reprises, Liam Neeson est un acteur dont le talent a traversé nombre de productions indépendantes et de blockbusters. En 1993, sa performance dans LA LISTE DE SCHINDLER de Steven Spielberg lui vaut une nomination à l’Oscar, au Bafta et au Golden Globe. Trois ans plus tard, il joue le rôle-titre dans MICHAEL COLLINS VERA FARMIGA – Joanna de Neil Jordan. Il est récompensé d’une nouvelle nomination Depuis ses débuts, Vera Farmiga a enchaîné les rôles marquants. au Golden Globe et remporte la Coupe Volpi du meilleur ac- Sa performance dans IN THE AIR de Jason Reitman lui a valu teur au Festival de Venise, ainsi qu’un Evening Standard Briti- en 2009 une nomination à l’Oscar, au Golden Globe et au Bafta, sh Film Award. les trois dans la catégorie du meilleur second rôle. Sa prestation dans DR. KINSEY de Bill Condon en 2004 lui vaut Après avoir terminé le tournage de la suite de GODZILLA, elle une troisième nomination au Golden Globe et une autre au In- a retrouvé Jason Reitman pour THE FRONT RUNNER, dans dependent Spirit Award. Il est récompensé par la Los Angeles lequel elle incarne la femme du sénateur démocrate et candidat Film Critics Association. à l’élection présidentielle de 1988 Gary Hart (Hugh Jackman). On la verra également face à John Goodman dans le thriller Liam Neeson a joué cette année dans QUELQUES MINUTES dystopien CAPTIVE state signé Rupert Wyatt, et dans BOUNDARIES APRÈS MINUIT de J.A. Bayona, SILENCE de Martin Scorsese de Shana Feste, auprès de Christopher Plummer. et THE SECRET MAN – Mark Felt de Peter Landesman. Cette année, Vera Farmiga est apparue dans la cinquième et Liam Neeson compte à son actif plus de soixante-dix films. dernière saison de BATES MOTEL. La série produite par A&E, Parmi ceux-ci, la trilogie TAKEN, LE TERRITOIRE DES LOUPS inspirée par le film PSYCHOSE d’Alfred Hitchcock, suit les de Joe Carnahan, LES MISÉRABLES de Bille August, STAR relations troubles entre Norman et sa mère. Le rôle a valu à WARS ÉPISODE 1 : LA MENACE FANTÔME de George Lucas, l’actrice une nomination aux Emmy Awards en 2013. BATMAN BEGINS de Christopher Nolan, LOVE ACTUALLY de Richard Curtis ou encore GANGS OF NEW YORK de Martin En 2016, Vera Farmiga a retrouvé Patrick Wilson et le réalisateur Scorsese. James Wan pour CONJURING 2 : LE CAS ENFIELD. Les deux CONJURING ont rapporté plus de 300 millions de dollars à En 1993, Liam Neeson a fait ses débuts à Broadway dans travers le monde. l’adaptation de la pièce d’Eugene O’Neill ANNA CHRISTIE, prestation qui lui vaudra une nomination au Tony Award.
PATRICK WIL SON – Murphy En 2018, Patr ick Wilson se DC AQUAMA ra à l’affiche N aux côtés du film de su par James W de Jason Momoa per-héros an, Wilson in ca . Dans ce film réalisé SAM NEILL – demi-frère e rne Orm – o Cap itaine Hawth t ennemi d’A u Ocean Ma Sam Neill a orne quaman. ster -, le acquis une ré C’est avec le en 1993 aprè putation inte même Jame s ses presta rnationale gros succès. s Wan que W JURASSIC P tions remarq Depuis 2013 ilson a conn ARK de Steve uées dans dans le mon , la franchise u ses plus LEÇON DE n Spielberg de entier. L CONJURING PIANO de Ja et dans LA top 5 des plu e premier épis triomphe autres rôles ne Campion s gros succè ode est entr marquants, . Parmi ses millions de d s du é dans le de Phillip N on note CAL ollars pour so genre. Le deuxième a ré ROUGE de Jo oyce, À LA P OURSUITE D ME BLANC n premier w co lté 40 hn McTierna ’OCTOBRE eekend d’exp MONDE de W n, JUSQU’AU En 2015, il in loitation. BO U T D U carne Lou S im Wenders Kirsten Dunst olve de John Carp , L’ANTRE D , Jesse Plemon rson dans la série FAR À L’OREILLE enter, L’HOM ME QUI MU E LA FOLIE lui vaut une s et Ted Danso GO, avec DES CHEVA RMURAIT nomination n. Une interpré L’HOMME B UX de Robe au Golden G tation qui ICENTENAIR rt Redford, lobe et au C E de Chris On a pu le vo ritic’s Choice ANGEL de F ir dans : DES . rançois Ozon Colombus, STRETCH, IN E R T GUN, BON . SIDIOUS, IN E TOMAHAW À la télévisio ADULT, MO SIDIOUS 2, K, ZIPPER, RNING GLO PROMETHE n, il apparaît FAMILLE TR R Y, L’AGENCE T U S, YOUNG BLINDERS, dans les séri ÈS MODER OUS RISQU LES TUDORS es PEAKY LES PASSAG N E, WATCHM E S, U N E qui lui vaut u et la mini-sé E R S, H A R C E EN : LES G ne nominati rie MERLIN, HARD CAND LÉS, COURIR A R DIENS, Golden Glob on à l’Emmy Y, LITTLE CH AVEC DES C e. Award et au A L A M O… ILDREN, LE ISEAUX, FANTÔME D E L’OPÉRA, A la télévisio n, Patrick W Golden Globe ilson a été n s pour le rôle ommé aux E en 2003. Il a de Joe Pitt da mmys et aux également jo ns ANGELS IN dans la série ué dans la sé AMERICA HBO GIRLS. rie A GIFTED MAN et Au théâtre, Patrick Wilso tives au Tony n a reçu deu Award du m x nominatio sicale pour T eilleur acteu ns consécu- HE FULL MO r dans une co suivante. En NTY en 2001 médie mu- 2006, il reto et OKLAHOM aux côtés d urne sur les A ! l’année ’Amanda Pe planches de de Neil Simo e t dans PIED Broadway n. Deux ans S N U S DA N Dianne West plus tard, il S LE PARC et Katie Holm joue avec Jo FILS d’Arthu es dans ILS h n L ightgow, r Miller. ÉTAIENT TO US MES
ley ora M a cCau i o n de C té aren état por V E R N – K son interpr overn a rembution C GO istri our McG B E T HM G lo be p Elizabeth le de la d ELIZA e au Golde TON ABBE vec l’ensem n Y, b m é W N rd a de Nom y dans DO Guild Awa a ca méra n le s nt l e Craw een Actor i t deva A U T R E S G- r fa S un Sc 2. a se S LE rd, R A n 2 0 1 a u ciném COMME n plus ta r pour e n S a a aritio GEN iante. Un on à l’Osc lobe. r e app ans DES t u d a ti G a p rem i è fo rd d e n c o re é e n om i n u G olden S d t u n t a rt Re lle es vaut ôle e ÉTAI T Robe lors qu’e rman lui second r a ns IL sons 0 , a F o u n o d 198 de M ilos rice d ans e Nir s mo is ert d Dans Le ires Ni- TIME lleure act e R o b e . a i tés d Leon ur parten la me n e a ux cô e Sergio a p o r e tou ÉRIQUE d amin, elle 9 8 4, ell M nj ES En 1 O I S EN A i c h a rd Be C H OC D t- F R E a UNE temps de an Pe nn. ans L de M r in t S e p a r ue d ICK-ASS e st ap p du Cage ns K colas e s , elle e si que da é in s ann ier, a n. En d e r nière is Leterr lo n donie Ces Lou âtre way. I T A N S de . re d u thé de Broad nd the T h n gu s ea h e w Vaug s t u ne fi s planche upe Sadi t ern e ur sur le ans le gro M cGov eto d be t h son r ment um. Eliza lle a fait oue égale rti un alb ,e tj o 2017 mpose e ui elle a s co c q en Elle , ave Gw Hoth eads P UGH – ENCE ges pour s ce on FLOR uan ean g es lo e ven d, ncée a reçu d soiffée d m Oldroy omme nte u g h e a s i l l i a s du rière, c qua re nce P ne femm DY de W critique S – Walt . S a car us de cin F lo u de je YOUNG L ée par l A e s NK ngt o n rp l rôle H A N BA né à Washi , s’étale su T H E ce s a l u T dans rforman TING JONA Banks est sicale HAI R 5 et n 201 13 p e s FIGH ré- n u : e une t i e r. d a n t Jona th a ie m rd s 20 e en aine m écrit e ack c oméd m y Awa AUL, en IA. mond p ro c h f i l J avec . l a ux E m LL S MAF l’ a nnée nouveau e y cotoie ayne é es t re fois a TTER CA DANS LA verr a LY, le chant. E rost, Dw l l a n n é qu a de B E FLIC - On la MY FAMI M er k F é té nomm saisons 9 pour UN IC D E BE WITH ar Steph eadey, N e n i c k s a d e u x 19 8 F L E À p H Ban our les en LE IÈG alisé n, Lena Vaughn. ans 6 p G B AD et s , dont BLUE, P e e é ma d 201 BREA KIN e film ARK Lo w d tV i n c ts au c i n pour ta ine d URES, D son e débu en 2014. ne c e n 48 H E R. John s e s ans u EMLINS, e FLIPPE a fait orley poli- ou é d R r e Pugh e Carol M série TV. Il a j HILLS, G E ou enco o re n c G d s l a LY S S F FALL IN ir dan sur I VE R DE V ITE THE p u la vo , diffusée GRAN , on a ELLA t é l é vision ue MARC À la nniq brita cière
JAUME COLLET-SERRA - Réalisateur Jaume Collet-Serra est né à Sant Iscle de Vallalta, une petite ville près de Barcelone, en Catalogne. à 18 ans, il part à Los ÉQUIPE TECHNIQUE Angeles avec un peu d’argent et une connaissance limitée de la langue anglaise, dans le but de devenir réalisateur. Il suit des cours à Columbia et en parallèle, commence à travailler comme monteur. Influencé par David Fincher, Spike Jonze et Mark Romanek, il décide de réaliser un clip vidéo comme film de fin d’études, en lieu et place du court-métrage habituel. Son clip, accom- pagnant la musique d’un groupe local, attire l’attention de nombreuses sociétés de production. Avant d’être diplômé, Collet-Serra est déjà engagé comme réalisateur par The End. Après avoir tourné de nombreux clips, Collet-Serra réalise un spot pour AOL qui fait sensation. Il réalise ensuite des publici- tés pour PlayStation, Budweiser, MasterCard, Miller Lite, Pon- tiac, Smirnoff Ice, Renault, Verizon, entre autres. JUAN SOLA - Producteur Délégué Juan Sola a créé et dirige la société de production Ombra Son univers à la fois sombre et fantastique tape dans l’œil Films avec Jaume Collet-Serra. du producteur Joel Silver qui lui confie la réalisation de LA MAISON DE CIRE en 2002. En 2005, son amour du football La société a produit MINDSCAPE (StudioCanal), CURVE (Uni- le pousse à revenir en Espagne pour tourner GOAL 2 : LA versal), EDEN (Voltage Pictures), HOOKED UP, EXTINCTION CONSÉCRATION. En 2009, ESTHER lui offre un succès à la (Sony), et INSTINCT DE SURVIE avec Blake Lively (Sony). fois critique et commercial. En 2011, SANS IDENTITÉ avec Liam Neeson prend la tête du box-office américain le weekend Parmi les projets en développement, on trouve RETRIBUTION, de sa sortie. Son film suivant, NON-STOP, récoltera plus de le remake du film espagnol APPEL INCONNU en partenariat 220 millions de dollars dans le monde. NIGHT RUN en 2015 avec StudioCanal, avec Liam Neeson dans le rôle principal, et et INSTINCT DE SURVIE en 2016 connaîtront des succès HORIZON LINE. similaires. THE PASSENGER est la quatrième collaboration du réalisateur avec Liam Neeson. Juan Sola a coproduit pour HBO NIGHTINGALE, avec la société de production de Brad Pitt, Plan B. En 2012, Jaume Collet-Serra a créé Ombra Films avec son ami et partenaire Juan Sola.
ANDREW RONA- Producteur En 2009, il devient le vice-président de Silver Pictures. Il dé- Andrew Rona a débuté sa carrière chez Miramax Films en veloppe et produit des films pour la société comme PROJET X 1993, où il fut un des assistants d’Harvey Weinstein. Il grimpe qui rapportera plus de 100 millions de dollars. les échelons rapidement pour devenir producteur exécutif et En 2014, il fonde The Picture Company avec son partenaire participe à la création de Dimension Films, dont il devient le Andrew Rona. coprésident en 2000. La société produit nombre de succès, dont les franchises SCREAM, SCARY MOVIE, et SPY KIDS, SIN CITY de Robert Rodriguez et la comédie BAD SANTA. PAUL CAMERON – Directeur de la photographie Paul Cameron est l’un des directeurs de la photographie les De 2005 à 2008, il devient coprésident de Rogue Pictures où plus demandés du moment. il supervise des films comme LES INCONNUS, UNBORN, LA DERNIÈRE MAISON SUR LA GAUCHE, HOT FUZZ et CORA- Il a récemment travaillé sur la série HBO WESTWORLD. Écrite LINE, nommé aux Oscars. et mise en scène par Jonathan Nolan et produite par J.J. Abrams, la série a réuni 3,3 millions de téléspectateurs lors De 2008 à 2013, il est président de Silver Pictures où il produit des de la diffusion du pilote, un des plus gros succès de la chaîne. films comme la comédie PROJET X et SANS IDENTITÉ de Jaume Ce travail lui a valu une nomination aux Emmy Awards et aux Collet-Serra. Durant son mandat, le studio produit une douzaine ASC Awards. de films dont SHERLOCK HOLMES et LE LIVRE D’ELI. Avant cela, Paul Cameron avait tourné PIRATES DES Il créé en 2014 The Picture Company avec l’appui financier de CARAÏBES : LA VENGEANCE DE SALAZAR en Australie. Il a StudioCanal. Parmi les projets en développement de la société : travaillé également avec les réalisateurs Len Wiseman (TOTAL le remake de NEW YORK 1997 par Robert Rodriguez, RETRI- RECALL), Tony Scott (MAN ON FIRE, DÉJÀ VU) ou encore Dominic BUTION produit par Jaume Collet-Serra avec Liam Neeson, Sena (OPÉRATION : ESPADON, 60 SECONDES CHRONO). le thriller SF UNEXPLAINED PHENOMENON, l’adaptation du best-seller THE LAST BATTLE, le remake américain du film Pour COLLATERAL de Michael Mann, il est l’un des premiers espagnol LA COLÈRE D’UN HOMME PATIENT réalisé par à utiliser une caméra numérique dans une production d’une Albert Hughes, DRUG WAR réalisé par Jaume Collet-Serra, et telle ampleur. Son travail lui vaut un Bafta et un Los Angeles THE CORPORATION, avec Benicio Del Toro. Film Critics Award. Sa prochaine production, ALPHA, est un survival qui se situe RICHARD BRIDGLAND – Chef décorateur durant l’âge de glace. Réalisé par Albert Hughes, il sortira en Richard Bridgland a travaillé récemment sur THE NICE GUYS, mars 2018. écrit et réalisé par Shane Black avec Ryan Gosling et Russell Crowe, AMERICAN ULTRA avec Kristen Stwart et Jesse ANDREW HEINEMAN – Producteur Eisenberg, SERENA réalisé par Susanne Bier avec Bradley En 2001, Andrew Heineman apprend le métier de la production Cooper et Jennifer Lawrence, FRIGHT NIGHT de Graig Gillespie, chez Dimension Films sur des films comme SIN CITY et les SANS IDENTITÉ de Jaume Collet-Serra avec Liam Neeson, franchises SPY KIDS et SCARY MOVIE. Priest avec Paul Bettany et SHERLOCK HOLMES : JEUX D’OMBRES de Guy Ritchie avec Robert Downey Jr. En 2005, il devient vice-président de Rogue Pictures où il s’occupe de films comme LES INCONNUS, LA DERNIÈRE MAISON SUR Il a travaillé également à deux reprises avec Paul W. Anderson LA GAUCHE, et CORALINE, nommé aux Oscars. sur ALIEN VS PREDATOR et RESIDENT EVIL, ainsi qu’à deux reprises également avec Paul McGuigan sur GANGSTER N°1 et THE ACID HOUSE.
LISTE ARTISTIQUE : LIAM NEESON MICHAEL MACCAULEY VERA FARMIGA JOANNA PATRICK WILSON ALEX MURPHY SAM NEILL CAPITAINE HAWTHORNE KILLIAN SCOTT DYLAN ELIZABETH MCGOVERN KAREN MACCAULEY JONATHAN BANKS WALT DEAN-CHARLES CHAPMAN DANNY MACCAULEY FLORENCE PUGH GWEN SHAZAD LATIF VINCE ANDY NYMAN TONY NILA AALIA SHERRI ELLA-RAE SMITH SOFIA CLARA LAGO EVA LISTE TECHNIQUE : RÉALISATEUR ET PRODUCTEUR JAUME COLLET-SERRA PRODUCTEURS ANDREW RONA ALEX HEINEMAN PRODUCTEURS EXÉCUTIFS JUAN SOLA MICHAEL DREYER SCÉNARIO BYRON WILLINGER PHILIP DE BLASI ANDREW BALDWIN RYAN ENGLE IMAGE PAUL CAMERON CASTING MEREDITH JACOBSON MARCIANO DIRECTEUR ARTISTIQUE WING LEE COSTUME JILL TAYLOR
Vous pouvez aussi lire