Présentation, synopsis, équipe et devis technique - Page 1 sur
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Des Katacombes à Rideau | Historique Petits crimes contre l’Humanité a vu le jour dans un bar punk underground, sur une toute petite scène rendue encore plus petite à cause de la présence d’une affiche géante du festival Zoofest. L’année suivante, en 2017, la troupe remonte sur scène pour une représentation unique au Festival Vue sur la Relève. La pièce remporte quatre Coups de pouce professionnels, dont celui du Théâtre Aux Écuries et celui du Théâtre Hector-Charland, ce qui l’amène à être programmée en 2018 au Festival Fous de théâtre. Au fil de ces passages éclair en festivals, le propos s’affine, le jeu se raffine et la pièce gagne en maturité. En 2019, Petits crimes contre l'Humanité présente une vitrine à Rideau. Il en résulte une tournée de douze représentations dans des Maisons de la Culture de Montréal et de Shawinigan, aux Rencontres Théâtre Ados, ainsi que plusieurs représentations scolaires, prévues pour le printemps 2020. Afin de produire cette tournée et développer leurs prochaines créations, David Strasbourg, le metteur en scène et Gabriel Morin, l’auteur et l’un des interprètes, fondent Le Complexe en août 2019. Au printemps 2020, une certaine pandémie mondiale, dont nous tairons le nom afin de protéger son identité, force Le Complexe à suspendre ses activités vingt- quatre heures avant la première. La plupart des représentations sont reportées à l’année suivante. Page 2 sur 15
Zoofest - 2016 Festival de théâtre de rue de Lachine - 2018 Répétitions - mars 2020 Conception finale - avril 2020 Page 3 sur 15
Chroniques de nos petites hypocrisies | Synopsis Petits crimes contre l’Humanité est une pièce à tableaux, une comédie grinçante, qui s’amuse a critiquer notre société. L’hyperbole et le revirement de situation sont les deux mécaniques utilisées afin d’illustrer avec humour l’absurdité des comportements humains. Un couple angoissé se questionne sur l’efficacité du recyclage tout en faisant l’amour. Un homme en burnout lutte littéralement contre sa dépression lorsque celle-ci prend les traits d’un lutteur mexicain. Une jeune femme qui n’a pas rapporté un livre se fait traiter comme une criminelle par deux bibliothécaires zélés. Petits crimes contre l’Humanité aborde autant de sujets variés, teintés d’absurde, qui dressent un portrait global, quoique peu flatteur, de notre société. Le tout, décliné en dix scènes d’une durée de cinq à quinze minutes. Dans un sens plus large, la pièce parle de déshumanisation et de désengagement social. Dans chaque tableau, un personnage plus sensible, qui porte une détresse ou une angoisse existentielle, se frappe à la froideur du “système”, qui est souvent représenté par un personnage en position d’autorité. Souvent grinçante, parfois angoissante, mais toujours avec un sourire en coin, Petits crimes contre l’Humanité est une pièce qui fait réfléchir, tout en restant accessible à un large auditoire. Avec sa scénographie épurée, ses sujets actuels et la variété de ses situations, Petits crimes revêt beaucoup de potentiel pour aller toucher un public aux quatre coins du Québec. Portée par l’énergie et la folie de cette jeune troupe, c’est un succès assuré ! . Page 4 sur 15
Ce qui était prévu en 2020 | Mot des créateurs Puisque le COVID nous empêche de vous présenter une captation ainsi que des photos du spectacle joué au printemps 2020, nous désirons vous informer du développement de la pièce depuis la captation vidéo de 2018. Pour la première fois depuis le Zoofest, nous avions enfin entre nos mains deux ressources dont nous rêvions depuis longtemps : du temps et un budget de production. Le grand nombre de représentations prévues pour ce printemps nous a permis de reprendre le spectacle dans un contexte professionnel et de nous donner les moyens de réaliser notre vision artistique. Voici donc, en quelques mots, les changements apportés dans cette ultime version. Du point de vue narratif, la formule de “ pièce à tableaux ” permet d’embrasser un large horizon, par la multiplication des situations, des personnages et des univers. La faiblesse de ce genre de proposition est dans l’absence de fil narratif qui se déploie tout au long de la pièce. Dans cette version de Petits crimes, nous avons développé un axe narratif autour du personnage de La Femme aux Chiens et de La Voisine. Récemment divorcée, La Femme aux Chiens vient d’emménager au Lux, un complexe de condos urbains (et très branché) du centre-ville. Une amitié se développe avec sa voisine un peu trop accueillante, mais le tableau s’assombrit lorsque La Voisine soupçonne la nouvelle propriétaire de posséder des chiens. Puisque les chiens sont persona non grata au Lux, La Voisine tente de forcer La Femme aux Chiens à s’en débarrasser. Il en résulte une confrontation qui amènera La Femme à envoyer ses chiens dans l’espace afin de les protéger de la bêtise humaine. Cette finale fait écho au voyage spatial de Laïka, premier être vivant à entrer dans l’espace et cobaye sacrifié au profit d’une lutte d’égo entre deux superpuissances. L’histoire de La Femme aux Chiens se décline en trois tableaux et sert à souligner le manque d’humanité et de sensibilité de notre société moderne. Cette colonne vertébrale narrative fait échos aux thématiques de déshumanisation de la pièce et rassemble le propos des autres tableaux en une finale surprenante qui amène une réflexion chez le spectateur. Page 5 sur 15
Au niveau de la conception artistique, nous nous sommes dotés, pour la première fois depuis 2016, d’une véritable scénographie et d’une conception de costumes. Polysémique et mobile, le décor évoque le condo de la Femme aux Chiens. Il se transforme pour devenir une bibliothèque, un vestiaire, un club, le bureau d’une physiothérapeute et un ring de lutte. Les acteurs sont tous habillés d’un costume de base plutôt chic, qui rappelle l’esprit branché du Lux. À l’image des personnages de la pièce, les costumes et le décor se dégradent, perdent leur éclat de perfection et révèlent ainsi leur vraie nature, cachée derrière une apparence de modernité et d’efficacité. Nous sommes très fiers du parcours de Petits crimes et de l’aboutissement de cette ultime version. Bien que nous n’ayons pas pu rencontrer notre public cette année, l’équipe est plus qu’enthousiaste à l’idée de reprendre plusieurs des spectacles prévus et d’ajouter de nouvelles dates. Nous avons très hâte d’être confinés dans une salle de théâtre et de revoir la culture se déployer sur scène. David Strasbourg Metteur en scène et cofondateur Le Complexe Gabriel Morin Auteur et cofondateur Le Complexe Page 6 sur 15
Scénographie et costumes | Aperçu La scénographie évoque le condo de La Femme aux Chiens. Pour occuper l’espace, trois bandes de vinyle descendent du plafond. Pendant les capsules du narrateur, on y projette des images d’archives issues de documentaires sur la conquête spatiale. Autrement, leur surface brute évoque les murs de bétons nus que l’on retrouve dans la plupart des condos modernes. Page 7 sur 15
Le Complexe est une jeune compagnie d’art narratif ayant comme mandat la création de récits “complexes” et captivants. Ses créateurs sont à la recherche d’une harmonie entre expérimentation et tradition, entre drame et comédie, entre accessibilité et profondeur du propos. Le Complexe se donne donc comme mandat de produire des oeuvres denses, mais toujours au service d’un récit poignant. La compagnie accorde une grande importance au spectateur, au spectaculaire et veut développer de nouveaux publics en s’adressant autant aux néophytes qu’aux initiés. Équipe et distribution David Strasbourg | Metteur en scène David Strasbourg est un jeune metteur en scène qu’on doit surveiller de près. Diplômé en interprétation du Cégep de St-Hyacinte, il navigue aussi bien comme directeur d’acteurs que comme interprète. En 2016, il signe la mise en scène de Conversations avec mon Pénis (Théâtre Bistouri), présentée au Zoofest. La pièce est reprise à La Licorne, à Premier Acte et en tournée dans plusieurs régions du Québec. En 2018, il intègre l’équipe de Petits crimes contre l’Humanité comme metteur en scène. La pièce attire l’attention de diffuseurs professionnels lors de son passage à Rideau en 2019. David est doté d’une grande habileté pour décoder le sens profond d’un texte, tout en faisant ressortir l’humour au travers du drame. Ses mises en scène témoignent de son amour du jeu et de sa passion pour le théâtre. Page 8 sur 15
Gabriel Morin | Auteur et Comédien Diplômé en interprétation du Conservatoire de Montréal (2014) et de l’INIS comme auteur au programme Télévision (2018), Gabriel Morin navigue entre le jeu et l’écriture. Sa première pièce, Petits crimes contre l’Humanité, a été présentée dans plusieurs festivals, tels que Zoofest, Vue sur la Relève, Fous de Théâtre (Th. Hector-Charland) et Rideau. En 2018, il obtient une bourse de la Société des auteurs et compositeurs dramatiques afin de soutenir le démarrage de sa prochaine pièce, Merci d’être venus. En 2020, il reçoit une bourse de soutien à la création dans le cadre du programme “Ma première demande de bourse”. Il s’agit d’un partenariat du Conseil des arts et des lettres du Québec ainsi que du Conseil des arts de Montréal. Cette même année, Gabriel participe à L’École d’Hiver du CEAD, une résidence d’écriture intensive. Depuis cette résidence, il est accompagné par Paul Lefebvre, conseiller dramaturgie au CEAD. Merci d’être venus a été sélectionnée au Festival Jamais Lu et sera mise en lecture en janvier 2021. Anne-Marie Binette | Comédienne Depuis sa sortie du Conservatoire d’art dramatique de Montréal en 2013, c’est surtout sur scène qu’Anne- Marie a eu la chance de se faire connaître. Elle a notamment interprété le rôle de Viviane dans Coco, écrite par Nathalie Doummar et mise en scène par Mathieu Quesnel, pièce qui a connu un vif succès lors de sa création en 2016 au Théâtre La Licorne. Elle était également de la distribution de Vol au-dessus d’un nid de coucou au Théâtre du Rideau Vert en 2017, sous la direction de Michel Monty. On l’avait auparavant vue au Page 9 sur 15
Théâtre Denise-Pelletier dans Chatroom, mise en scène de Sylvain Bélanger, ainsi qu’au TNM dans le cadre d’une lecture de textes de Michel Tremblay sous la direction de Lorraine Pintal. On pourra la voir dans Le malade imaginaire de Molière au Théâtre du Rideau Vert à l'hiver 2020. Pendant toute l’année 2019, elle parcourt le Québec avec Tanguy, adaptation théâtrale du film culte mise en scène par Normand Chouinard. Improvisatrice chevronnée, elle est de la distribution de Parc, un laboratoire basé sur l’improvisation dirigé par Frédéric Barbusci lors d’une résidence au Théâtre Aux Écuries (production de l’Instable). Elle est également comédienne à la LIM et joueuse remplaçante à la LNI et fait partie des Productions de l’Instable. À la télévision, elle a collaboré aux émissions Prière de ne pas envoyer de fleurs à Radio-Canada, aux 400 coups à TVA en plus d’apparaître dans quelques publicités. Isabeau Blanche | Comédienne Depuis la fin de ses études en Interpréta1on théâtrale au Cégep de Saint-Hyacinthe en 2009, on a pu voir Isabeau Blanche dans une douzaine de produc1ons montréalaises. Récemment elle était de la distribu1on de la pièce Les Amoureux, mise en scène par Catherine Vidal au Théâtre Denise-Pelle1er, et elle incarnait Roxane dans la produc1on Cyrano de Bergerac de la Comédie Humaine à l’hiver 2020, dirigée par Michèle Deslauriers. Au pe1t écran, elle prêtait ses traits à Carolane dans Ces Gars-Là et à Amélie dans les saisons 3 et 4 de la série Mensonges. Elle donne la réplique à Thierry LhermiWe dans le film La nouvelle vie de Paul Sneijder. Isabeau cumule plusieurs années d’expérience au micro, notamment en surimpression vocale et publicités radio. Elle retrouvera les planches en 2021, dans deux produc1ons montréalaises, si la situa1on le permet. Page 10 sur 15
Vincent Fafard | Comédien Issu de la cohorte 2007 du Conservatoire d’Art Dramatique de Montréal, Vincent Fafard débute sa carrière professionnelle en interprétant le rôle titre dans la pièce Zorro (mes Vincent-Guillaume Otis) présentée à la Roulotte de 2007 à 2010 et ensuite, en tournée. Il enchaîne plusieurs projets théâtraux dont On achève bien les chevaux (mes Marie-Josée Bastien), Roméo et Juliette (mes Jacques Rossi), les Zurbains édition 2008 et 2013 (mes Monique Gosselin), ainsi que Qu’est-ce qu’on fait au bon Dieu? (mes Denise Filiatrault). C’est en 2014 dans L’Importance d’être Constant au TNM (mes Yves Desgagnés) que Vincent se fait vraiment remarquer. À l’écran, il a été de la distribution de District 31, Ruptures 2, Jean Béliveau, Patrice Lemieux et plusieurs autres projets. Il interprète d’ailleurs, Sébastien dans la série Barman (tou.tv) ainsi que Louis dans Le temps des chenilles (TV5). Au cinéma, il était de la distribution de Mommy de Xavier Dolan et de Montréal la blanche de Bachir Bensadek Leïlah Dufour-Forget | Conceptrice de costumes Diplômée en scénographie et costumes au Cégep de Saint-Hyacinthe en 2014, Leïlah Dufour Forget taille sa place dans le milieu artistique depuis sa sortie de l’école. Elle réalise un stage de trois mois durant l’été 2014 au Théâtre du Peuple, en France, au cours duquel elle assiste le scénographe et les régisseurs plateau. À son retour au Québec, elle se spécialise en conception et réalisation de costumes et accessoires. On a pu admirer son travail dans Madra (m.e.s. Marie-Hélène Gendreau, Licorne, Périscope), Page 11 sur 15
Mélanie sans extasy (m.e.s. Nicolas Gendron, Petit Prospéro) ainsi que Petits crimes contre l’Humanité (m.e.s. David Strasbourg, en tournée en 2020). Philippe Gatien | Compositeur et concepteur sonore Philippe Gatien compose depuis 2009 toutes sortes d’environnements sonores pour le théâtre, les jeux vidéo, la télévision et même pour accompagner les scans de résonance magnétique. À travers cette diversité, il tente toujours de créer des objets musicaux intelligents sans être hermétiques. Il cherche à créer un dialogue sensible avec les autres disciplines impliquées dans l’œuvre. Récemment, il a composé les univers de Dick the turd une pièce mariant théâtre et lutte (Zoofest, 2019, Aux Écuries 2020) et de Petits crimes contre l’Humanité (en tournée en 2020). Pour faire suite à son baccalauréat en écriture de la musique de L'Université de Montréal, il étudie maintenant au DESS en musique de film de l’UQÀM. Suzie Bilodeau | Conception d’éclairages Formée en Gestion et techniques de scène à l’École de théâtre du Cégep de Saint- Hyacinthe (2014), Suzie Bilodeau continue une formation à temps partiel en Stratégies de production culturelle et médiatique à l’UQAM. Après un stage de technicienne au Moulin à images de Robert Lepage et deux stages de régie au Festival OFF d’Avignon en France, elle cumule des expériences en direction de production (La liberté (Martin Bellemare, m.e.s. : Gaétan Paré), Guérillas, humour et compassion (Anna Page 12 sur 15
Fuerstenberg), Post Mortem (Pier-Luc Legault), Les Coleman-Millaire-Fortin- Campbell (Claudio Tolcachir, m.e.s. : Louis- Karl Tremblay). Elle cumule aussi plusieurs expériences en régie. P o l y v a l e n t e , S u z i e œ u v re a u s s i e n conception vidéo et en éclairage, et travaille depuis quelques années comme adjointe à la direction générale du Réverbère Théâtre et comme technicienne en travaux pratiques au Cégep Édouard-Montpetit (scénographie). Elle est actuellement en tournée avec Dan Bigras (Le temps des Seigneurs), comme éclairagiste et conceptrice vidéo. Olivia Pia-Audet | Scénographe Depuis sa sortie de l’École de théâtre professionnel du Collège Lionel-Groulx, Olivia a la chance d’enchaîner les créations. Si c’est d’abord le texte qui l’a mené vers le théâtre, c’est l’amour de la recherche pour la création de visuels forts qui a su alimenter l’épanouissement de sa pratique, grâce à la rencontre de plusieurs artistes : Metteurs en scène, acteurs, techniciens, circassiens et créateurs la font voyager du décor aux accessoires en passant par le costume. Olivia est toujours portée par sa curiosité d’en apprendre plus sur son métier et ce sont ses expériences d’artisanes et d’associations avec d’autres concepteurs qui la nourrissent pour ses propres créations. Dernièrement, on a pu voir son travail dans le spectacle « Éden » présenté au Centre du Théâtre d’Aujourd’hui en décembre dernier puis prochainement dans « Petits crimes contre l’Humanité » en tournée à Montréal. Page 13 sur 15
Parcours de la compagnie | Petits crimes contre l’Humanité Tournée au Québec au printemps 2020 [annulée et reportée en 2021] Festival Rencontre Théâtre Ados, Maison des arts de Laval. Maison de la culture Francis-Brisson, Shawinigan. Maison de la culture Pointe-Aux-Trembles. Maison de la culture Claude Léveillé, Montréal. Salle Émile-Legault, Ville Saint-Laurent. Salle Désilets, Montréal Rideau - février 2019 Participation et présentation d’une vitrine à l’événement Rideau au Palais des Congrès de Québec. Festival de Théâtre de rue de Lachine - 2018 L’entrepôt, salle de spectacle. Festival Fous de Théâtre — 2018 Centre d’arts Diane Dufresne et Théâtre Hector-Charland. Festival Vue sur la relève — 2017 Monument-National. Récipiendaire de plusieurs coups de pouces professionnels lors de la cérémonie de clôture du Festival Vue sur la relève. Coup de pouce professionnel du Théâtre Hector-Charland | Michèle Rouleau Programmation du spectacle lors du festival Fous de théâtre en juillet 2018. Coup de pouce du Théâtre Aux Écuries | Marcelle Dubois Offre d’une micro résidence, soit 30 heures de répétitions dans les locaux du Théâtre Aux Écuries. Coup de pouce du Théâtre de la Ville | Anne-Marie Provencher Participation aux activités des Fenêtres de la création théâtrale de 2017 . Page 14 sur 15
Coup de pouce de Local 9, agence de promotion créative | Martin Véronneau Offre d’un contrat de relations de presse et de promotion radio. Festival Zoofest — 2016 Présentée aux Katacombes et au Monument-National. Parcours de la compagnie | Merci d’être venus Merci d’êtres venus est la prochaine création du Complexe. Il s’agit d’un monologue qui traite de deuil et de résilience et qui tente de comprendre le phénomène du suicide du point de vue des survivants. Festival Jamais Lu - janvier 2021 Mise en lecture lors de la prochaine édition du Festival Jamais Lu. Théâtre Aux Écuries. Résidence d’écriture d’hiver du CEAD - janvier 2020 Participant à la résidence d’écriture hivernale organisée par le CEAD. Bourse de création « Ma première demande bourse » - janvier 2020 Bourse de recherche et création remise par le Conseil des arts et des lettres du Québec et le Conseil des arts de Montréal à l’auteur Gabriel Morin. Bourse de la Société des auteurs et compositeurs dramatiques (SACD) Bourse d’écriture remise à Gabriel Morin. Page 15 sur 15
DEVIS TECHNIQUE Petits crimes contre l’humanité Personne ressource (technique) : Hélène Rioux | 514-451-9196 | helene591@hotmail.com *4 techniciens minimum fournis par la salle Sons Hauts-parleurs P.A général + retours en mi-scène (jardin et cour) Console de son (1 entrée jack 1/8 pour ordinateur/Qlab) 1 micro SM58 (positionné à cour, avant-scène) 1 pieds de micro Éclairage Appareils (VOIR LE PLAN D’ÉCLAIRAGE POUR LA LISTE DES PROJECTEURS) Console ETC Element, Express, ou équivalent Cadres de gélatines Gélatines : voir plan / **Nous fournirons nos propres gélatines 6 bases au sol (floor base) 2 adapteur twist-lock mâle à u-ground femelle Fumée atmosphère faible débit Habillage Voir le plan d’éclairage pour l’emplacement des pendrillons (nous utiliserons également le rideau en fond de scène qui sera fermé)
Vidéo 1 projecteur vidéo 5000 lumens minimum Filage nécessaire jusqu’à la régie, branchement en HDMI pour l’ordinateur. Nous projetons sur nos propres écrans (un écran déroulable de 5’-0" (L) X 22’ de haut + 2 autres écrans) Autres Une loge pour 4 acteurs 1 steamer 1 miroir pouvant être installé en coulisse à cour 2 tables de coulisses (pour accessoires, 1 à cour, 1 à jardin) 4 chaises (coulisses)
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