Saut Hermès au Grand Palais 2019
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Saut Hermès au Grand Palais 2019 Les 22, 23 et 24 mars 2019, le Saut Hermès au Grand Palais réunira les 50 meilleurs cavaliers mondiaux pour participer aux épreuves du concours de saut d’obstacles labellisé CSI 5*, catégorie la plus élevée de la classification de la Fédération Équestre Internationale (FEI).
Jean-Luc Van Den Heede en tête Mardi 29 janvier, à l’occasion de l’arrivée du skipper Jean- Luc Van Den Heede, France 3 Pays de la Loire hisse les voiles direction les Sables d’Olonne et vous invite à suivre le direct sur pdl.france3.fr et les pages spéciales dans les éditions d’information en compagnie du vainqueur. De la ligne de départ de la Golden Globe Race le 1er juillet 2018, à l’arrivée des skippers, France 3 Pays de la Loire suit cette course mythique et ses péripéties, entre abandon, avarie et soulagement. Revivez la course au fil des articles et modules web sur le site pdl.france3.fr ! Jean-Luc Van Den Heede, skipper sablais de 73 ans, doyen de ce tour du monde arrive en tête de la Golden Globe Race et rejoint enfin la terre ferme après sept mois en mer en solitaire. Manon Monnier et Damien Raveleau, envoyés spéciaux sont à bord du bateau de l’équipe de VDH pour vous faire vivre cette arrivée. Au total, seulement 5 voiliers sont encore en lice alors que 17 étaient sur la ligne départ en juillet dernier. Une chose est sûre : le public sera au rendez-vous au port des Sables d’Olonne pour accueillir et acclamer les skippers ! Cap sur les Sables d’Olonne ! Suivez l’arrivée de la Golden Globe Race sur France 3 Pays de la Loire à travers le live et les deux pages spéciales du 12/13 et 19/20 à 12h et 19h ce mardi 29 janvier. Suivez aussi le direct, les réactions sur les réseaux sociaux !
FFSA : Un accessit au parfum de succès ! Pour son premier évènement en Championnat du Monde des Rallyes, Adrien Fourmaux a fait honneur à son double statut de Champion de France et membre de l’Équipe de France FFSA Rallye, en terminant 2 e du WRC2 au Rallye Monte-Carlo.Les couleurs tricolores ont sacrément brillé au cours de ce dernier week-end de janvier. Avec le Rallye Monte-Carlo (25-27 janvier), théâtre de la reprise du Championnat du Monde des Rallyes, plusieurs dizaines d’équipages français jouaient, pour ainsi dire, à domicile. Les tortueuses et verglacées ES de l’épreuve monégasque, qui se déroule néanmoins majoritairement sur le territoire français, ont souri à bon nombre d’entre eux. Pas moins de cinq pilotes hexagonaux ont ainsi terminé parmi
les dix premiers : Sébastien Ogier a signé son septième succès sur ses terres ; Sébastien Loeb a fini au pied du podium ; Yoann Bonato a fait honneur à son titre de Champion de France et pris la première place du WRC2 ; Stéphane Sarrazin a complété le podium des R5 ; et Adrien Fourmaux est parvenu à s’immiscer dans le Top 10 au général. Pourtant le moins inexpérimenté à ce niveau, Adrien Fourmaux a peut-être été le signataire de la plus belle des performances sur ce Rallye Monte-Carlo. Pour son premier évènement en Championnat du Monde, le nouveau pensionnaire de l’Équipe de France FFSA Rallye et son copilote Renaud Jamoul ont maîtrisé leur course de bout en bout pour prendre une fantastique deuxième place en WRC2 Au volant d’une Ford Fiesta R5 préparée par M-Sport et aux couleurs de Yacco et Michelin, l’ancien lauréat Rallye Jeunes FFSA 2016 s’est même payé le luxe d’inscrire son premier point au classement général du Championnat du Monde. Première épreuve, premier podium, premier point… Autant de succès inauguraux qui ne sont pas sans rappeler les performances de ses aînés qui l’ont précédé sous la bannière bleu-blanc rouge ! « La performance d’Adrien est plus que conforme à nos attentes, mais c’est aussi la manière qu’il faut saluer. Il a été très à l’écoute des consignes que je lui ai données, à savoir ne pas prendre de risque sur le rallye. Le résultat final est donc d’autant plus valorisant qu’il a gardé cet objectif du début jusqu’à la fin, sans penser à la performance. Pour le moment, nous sommes d’ailleurs sur une phase d’apprentissage, avec une première partie de saison marquée par la découverte des épreuves. Adrien va donc devoir prendre son mal en patience et persévérer dans cette voie, au moins jusqu’à ce qu’il prenne en main la nouvelle Ford Fiesta R5 en Finlande. Je ne doute pas qu’il saura se montrer à la hauteur, en particulier avec ce qu’il a pu montrer ce week- end. Je savais qu’Adrien avait les capacités pour ce type de
performance, mais je ne m’attendais pas à ce qu’il puisse maîtriser la course et sa voiture de la sorte. Très honnêtement, Adrien ne cesse de me surprendre. Enfin, je tiens également à saluer les performances des autres jeunes français qui se sont illustrés sur ce Monte-Carlo. Je pense notamment à Yohan Rossel, qui s’est imposé au sein du classement deux roues motrices, et à Nicolas Ciamin, qui s’est régulièrement montré aux avant-postes de la catégorie R5 pour signer un Top 10. De tels succès dès le premier rallye de la saison laissent présager un excellent millésime 2019 ! » Nicolas Bernardi, Entraîneur National La plupart de ces équipages tricolores se retrouveront désormais au Rallye de Suède, pour la deuxième manche du Championnat du Monde des Rallyes, du 14 au 17 février prochains. Adrien Fourmaux y découvrira notamment le pilotage sur glace et neige, au volant d’une Ford Fiesta R2 (modèle 2018). Programme d’Adrien Fourmaux en 2019 : – 24-27 janvier : Rallye du Monte-Carlo (R5) – 15-18 février : Rallye de Suède (R2) – 14-16 mars : Rallye du Touquet (R5) – 28-31 mars : Tour de Corse (R5) – 13-16 juin : Rallye de Sardaigne (R5) – 12-14 juillet : Autoglym Rally (R5) – 1-4 août : Rallye de Finlande (R5) – 22-25 août : Rallye d’Allemagne (R5) – 2-6 octobre : Rallye du Pays de Galles (R5) – 23-27 octobre : Rallye d’Espagne (R5) Adrien Fourmaux : Né le 03/05/1995 Champion de France des Rallyes Junior 2018
Espoir Échappement 2018 3e du Championnat de France des Rallyes Junior 2017 Lauréat Rallye Jeunes FFSA 2016 Renaud Jamoul : Né le 10/06/1984 Copilote de Rallye professionnel depuis 2003 Champion du Monde des Rallyes WRC3 et JWRC 2015 Les 900 Nautiques : 10ème édition d’ « une course qui
se mérite ! » Départ le 23 mars 2019 de Saint-Tropez. ème La 10 édition de la plus longue course au large de Méditerranée prendra le départ le samedi 23 mars 2019 de Saint-Tropez. Créée en 2010 par la Société Nautique de Saint-Tropez pour les équipages désireux d’aventures sportives au large, l’épreuve s’est ouverte aux solitaires depuis 2015 et aux duos depuis 2016 avec un parcours de 400 nautiques sauf bien sûr pour ceux qui visent de plus grandes courses au large par la suite ! C’est le cas de la jeune et très dynamique navigatrice niçoise, Alexia Barrier, qui a récemment terminé 15 ème à la route du Rhum 2018 (avec le meilleur temps du tour de la Guadeloupe de la classe Imoca !) et qui participera en solo sur le parcours des équipages, soit les 900 nautiques en vue de son prochain objectif : le Vendée Globe 2020. Elle sera confrontée à Clément Giraud sur un Imoca également. Du côté des « solo », cinq voiliers sont en attente et déjà quatre bateaux ont confirmé leur participation dont deux habitués en JPK10.10, Eric Merlier, vainqueur 2018 et Daniel Dupont dont ce sera la 4ème participation. Deux autres concurrents, Daniel Tinmazian (A35) et Arnaud Vuillemin (JPK10.10), habituellement en duo la feront cette année en solitaire. Chez les trois premiers duos inscrits, ce sera une première participation pour Thibaut Garnotel et Jean- Philippe Gallois de la SN de Saint-Tropez sur Figaro 2, pour Thomas Illeux avec Frédéric Demainay (Sunfast 3200) et pour
Ludovic Gérard associé à Philippe Mariani (JPK10.80). Pour l’heure neuf bateaux sont en attente pour le groupe « duos » avec des marins aguerris à bord… Du côté des équipages, les voiliers 4D, l’A40 avec Frédéric Nicholas, AMARYS, un Pogo 36 avec Eric Vinay ont d’ores et déjà confirmé leur inscription mais ils devront compter sur la participation d’autres redoutables équipages comme celui de Pierre Ortolan sur PATITIFA, fidèle de la course qui a déjà remporté la course par deux fois en 2014 et 2018. A deux mois de l’évènement, l’organisation de la Société Nautique de Saint-Tropez ainsi que les concurrents se préparent ardemment à cette course au large en ne lésinant sur aucune des Règlementations Spéciales Offshore, importantes pour la sécurité de tous. Comme chaque année, après le contrôle minutieux des dossiers et des équipements de sécurité des bateaux en lice, le Directeur de Course, Georges Korhel annoncera la veille du départ le parcours et le sens de rotation en fonction des conditions météorologiques. Parmi les portes obligatoires : Sud des Baléares, bas de la Sardaigne, les Iles Pontines, Nord Corse avant de revenir couper la ligne d’arrivée à Saint-Tropez. A noter que cette épreuve compte pour le Championnat UNCL Méditerranée dans les trois catégories. Rendez-vous donc sur la ligne de départ le 23 mars 2019!
Alexia Barrier en lice des 900 Nautiques en vue du Vendée Globe 2020 On ne présente plus Alexia Barrier, navigatrice de la région PACA qui, à 20 ans, avait déjà parcouru plus de 120 000 milles à travers le monde et qui a participé à 14 courses transatlantiques dont 4 en solitaire sur Mini Transat, Figaro 2, 60 pieds monocoque et multicoque. Cette régatière de niveau mondial en Match Racing s’est, très jeune, lancée dans les courses au large en solitaire. En 2009, elle a créé 4myplanet devenant la 1ère femme à tenter un tour du monde en solitaire au profit de la science. A 39 ans, son prochain objectif ? « C’est le Vendée Globe 2020 sur IMOCA et chaque course est une préparation supplémentaire autant qu’une étape importante. Entre chaque course, je ne me repose pas ! Au contraire j’intensifie la préparation physique, nutritionnelle et mentale.». Cette course en Méditerranée à cette période de l’année où les conditions météorologiques sont souvent plus musclées, est également un très bon entrainement et cela permet de se qualifier sur des épreuves au large. Ce qu’ils ont dit en 2018: Eric Merlier sur TELEMAQUE : 1er solitaire en temps réel et en temps compensé « Nous (les solitaires) étions toujours en contact pas
toujours avec les mêmes mais toujours avec les bateaux en vue pendant les 400 milles. La première nuit, les conditions étaient très difficiles sous spi mais il y avait une belle luminosité et on voyait les dauphins qui nous accompagnaient. La deuxième nuit, il y avait beaucoup de pluie mais la mer était moins formée. La troisième nuit, il y a eu un gros vent très puissant, c’était tendu avec Richard Delpeut (Walili) on était toujours en contact et on a rien lâché. Il y a moins de 10 minutes qui nous distance à la fin ! Toute la nuit, on a bataillé mètres par mètre et il fallait anticiper car nous n’avons pas le même rating ! Il fallait être à 100% depuis le cap Corse jusqu’à Saint- Tropez. Pendant la course, pour me reposer, je mets le chrono de 20 minutes mais en vérité, on ne sait plus parfois quand on est éveillé et quand on dort… Les réflexes et habitudes prennent le dessus et quand on sent que le bateau ne nécessite pas de réglage, on en profite… C’est une super organisation, un club super sympa et c’est une course qui se mérite ! C’est dans ce genre de course qu’on remarque que la préparation du bateau et la capacité de gérer sa fatigue font beaucoup… Pierre Ortolan, PATITIFA, premier en équipage (900 milles) 7 ème édition pour Pierre Ortolan qui était très fier de son équipage composée également d’un fidèle de la course, Christian Deschepper (9 ème édition) qui n’a pas pu faire la course sur son voilier Peips en 2018. « C’est une course passionnante malgré le manque de concurrent cette année à mi-course. Les conditions étaient dures aussi bien dans le registre du vent que de la mer. Vent fort et calme et mer houleuse. Il y a eu une excellente entente dans
l’équipage et l’organisation a fonctionné parfaitement. Chacun a respecté ce qu’il fallait ! A l’arrivée, il y avait une euphorie avec l’accueil ! Nous n’étions pas nombreux mais il y avait une chaleur humaine formidable ! J’espère encore revenir l’année prochaine !! » Pascal Muller sur FIRSTY 4 (en double avec Christophe Barrue) er : 1 équipage en double en temps réel et compensé. « C’est plus une course de guerrier que de la détente. J’ai eu très peur surtout la 1ère nuit. C’était très difficile avec une météo exécrable, toujours de la houle et des nuits très froides mais c’est une expérience humainement très enrichissante ! C’est une grosse introspection car on a le temps de réfléchir ! Avec Christophe Barrue qui était à fond pour remporter l’épreuve, j’ai beaucoup appris et comme il ne restait que 2 bateaux en double, ça ressemblait à un duel… Nous avons eu 17 à 25 nœuds de vent en moyenne avec les ¾ de la course sous spi, toujours avec une mer clapoteuse et démontée. Cette année c’était extrême ! Les mauvaises conditions avant la course n’ont pas permis de préparer correctement le bateau…le ratio plaisir / temps, préparation,
coût…est dur mais c’est une belle expérience que je referai pour ne pas rester sur celle-ci et avoir de meilleures conditions ! Merci à l’organisation de la SNST au top avec un super accueil même par l’équipe de la SNST à 2h du matin sous la pluie en mer, c’était inespéré et très réconfortant !!! «
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