SNB BNSt: ? Geld, Währung und Konjunktur Monnaie et conjoncture No.3 September / septembre 1985 - Jahrgang/3eme annee - Monnaie et conjoncture ...
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167 SNB BNSt:{? Geld, Währung und Konjunktur Monnaie et conjoncture No.3 September / septembre 1985 3. Jahrgang/3eme annee
169 Inhalt /Table des matières Übersicht 171 Sommaire /Sommario 172 Abstracts 174 Wirtschafts- und Währungslage 175 Situation économique et monétaire 197 Pierre Languetin: Die Beziehungen der Schweiz zu den internationalen Währungsorganisationen 221 Urs W. Birchler: Gehaltskonti und Geldmengenstatistik 228 Geld- und währungspolitische Chronik 240 Chronique monétaire 240
171 Übersicht Wirtschafts- und Währungslage Erleichterungen für die Geldaufnahme am (S.175-196) schweizerischen Kapitalmarkt eingeräumt. Seit 1977 ist die Schweiz an den Jahresversammlun - Die konjunkturelle Erholung hat im zweiten Quar- gen beider Institutionen als Beobachter zugelas- tal 1985 sowohl in den Vereinigten Staaten als sen. Im Zusammenhang mit der Erweiterung der auch in den meisten europäischen Industrielän- AKV trat die Schweiz im Jahr 1983 als Vollmit- dern und Japan an Kraft gewonnen. Während in glied der Zehnergruppe bei. Im Rahmen dieses den USA die Binnennachfrage rasch expandierte, Gremiums beteiligte sie sich aktiv an der Debatte bildeten in Europa und Japan die Exporte die über die Zukunft des Weltwährungssystems. Die wichtigste Konjunkturstütze. Infolge des nach wie Frage des Zeitpunkts und der Bedingungen eines vor schwachen Beschäftigungswachstums konn- Beitritts der Schweiz zum Währungsfonds und te indessen die hohe Arbeitslosigkeit nicht abge- zur Weltbank ist noch offen. Angesichts der Be- baut werden. deutung dieser Organisationen für die Stabilität der internationalen Währungsordnung liegt eine In der Schweiz verstärkte sich der Konjunkturauf- Mitgliedschaft im langfristigen Interesse der schwung ebenfalls. Überaus kräftig wuchsen die Schweiz. Exporte; aber auch die Investitionen - namentlich im Ausrüstungsbereich - sowie der private Kon- sum dürften zugenommen haben. Gleichzeitig Gehaltskonti und Geldmengenstatistik liess der Teuerungsdruck spürbar nach. (S.228 -239) Die bereinigte Notenbankgeldmenge lag in den In diesem Beitrag geht es um die Frage, ob die Monaten April bis Juli um 2,6% über dem entspre- von den Banken vor einigen Jahren eingeführten chenden Vorjahresstand. Trotz dieser leichten Gehaltskonti Zahlungsmittel im Sinne der Geld- Zielunterschreitung setzte sich der Rückgang der menge M1 oder zinstragende Anlagen im Sinne Geldmarktsätze fort. Der Schweizer Franken ge- der Spargelder darstellen. Im Zentrum der Unter- wann gegenüber den meisten wichtigen Währun- suchung stehen empirische Schätzungen der gen - insbesondere gegenüber dem Dollar - an Nachfrage nach Gehaltskonti. Die Resultate deu- Wert, so dass sein exportgewichteter realer ten darauf hin, dass die Gehaltskonti eher die Wechselkurs Ende Juli nur noch geringfügig unter Rolle von Sparanlagen als diejenige von Zah- dem entsprechenden Vorjahresniveau lag. lungsmitteln spielen. Obschon die Gehaltskonti eine wichtige Liquiditätsreserve für monatlich und jährlich wiederkehrende Zahlungen sind, weist ihr Die Beziehungen der Schweiz zu den inter- Verhalten im Konjunkturverlauf auf eine recht nationalen Währungsorganisationen enge Verwandtschaft zu den Spareinlagen hin. (S.221 -227) Auch werden die Schätzergebnisse einer Geld - nachfragefunktion nicht verbessert, wenn die Ge- Die Schweiz stellt unter den westlichen Industrie- haltskonti in die Geldmenge M1 einbezogen wer- ländern insofern einen Sonderfall dar, als sie den. Die vorliegende Untersuchung bildete die weder dem Internationlen Währungsfonds (IWF) Grundlage zum Entscheid der Schweizerischen noch der Weltbank angehört. Dennoch haben Nationalbank, die Geldmenge M1 um die von den sich im Laufe der Zeit enge Beziehungen zu Banken teilweise als Sichteinlagen verbuchten diesen beiden Institutionen herausgebildet. Die Gehaltskonti zu bereinigen (vgl. Revision der Schweiz schloss sich im Jahr 1964 den Allgemei- Geldmengenstatistik, Geld, Währung und Kon- nen Kreditvereinbarungen (AKV) der Zehner- junktur, 1/1985, S. 51 ff). gruppe an und beteiligte sich auch an Kreditfazili- täten des Währungsfonds. Der Weltbank wurden
172 Sommaire Situation économique et monétaire tue sur le marché suisse des capitaux. Depuis (p.197 -219) 1977, la Suisse prend part, avec le statut d'obser- vateur, aux assemblées annuelles de ces deux Au deuxième trimestre de 1985, l'amélioration de institutions. A la faveur d'une extension des AGE, la conjoncture a pris de la vigueur aussi bien aux en 1983, la Suisse est devenue membre à part Etats -Unis que dans la plupart des pays euro- entière du Groupe des Dix. Dans ce cadre, elle péens et au Japon. Si la demande intérieure a participe activement aux discussions sur l'avenir progressé vivement aux Etats-Unis, les exporta- du système monétaire international. Le moment tions ont été le principal soutien de la conjoncture et les conditions d'une adhésion au FMI et à la en Europe et au Japon. Cependant, le chômage Banque mondiale sont encore loin d'être arrêtés. n'a pas diminué, la croissance de l'emploi demeu- Etant donné l'importance que revêtent ces deux rant faible. institutions pour la stabilité monétaire internatio- nale, une participation est à long terme dans En Suisse également, la reprise s'est renforcée. l'intérêt de la Suisse. Les exportations ont augmenté très fortement. Les investissements, en biens d'équipement no- tamment, et la consommation privée ont semble - Comptes -salaires et agrégats monétaires t-il progressé eux aussi. Simultanément, le ren- (p.228 -239) chérissement a faibli. Les comptes -salaires, introduits par les banques Pendant les mois d'avril à juillet, la monnaie voici quelques années, représentent -ils des centrale ajustée dépassait de 2,6 %, en moyenne, moyens de paiement, donc une composante de la son niveau de la période correspondante de masse monétaire M1, ou des placements produc- 1984. Bien que ce taux soit légèrement inférieur à tifs d'intérêt au sens des fonds d'épargne? Cette l'objectif, les rémunérations à court terme ont question fait ici l'objet d'une étude axée sur continué de fléchir. Le franc suisse s'est apprécié des estimations empiriques de la demande de vis -à -vis de la plupart des autres monnaies, en comptes -salaires. Les résultats incitent à penser particulier face au dollar. A fin juillet, son cours que les comptes -salaires jouent plutôt le rôle de réel, pondéré par les exportations, n'était plus que dépôts d'épargne que celui de moyens de paie- légèrement inférieur au niveau observé un an ment. Les avoirs en comptes-salaires constituent auparavant. il est vrai une importante réserve de liquidités en vue de paiements intervenant à intervalles régu- liers. Mais, durant les diverses phases du cycle, le La Suisse et les organisations monétaires comportement de ces comptes est très proche de internationales (p. 221 -227) celui des dépôts d'épargne. En outre, les estima- tions d'une fonction de demande de monnaie ne Parmi les pays industrialisés occidentaux, la donnent pas de meilleurs résultats lorsque les Suisse est un cas particulier puisqu'elle n'est comptes-salaires sont introduits dans M1. Sur la membre ni du Fonds monétaire international base des résultats de cette étude, la BNS a (FMI), ni de la Banque mondiale. Néanmoins, des décidé de ne plus inclure d'avoirs en comptes - liens très étroits ont été noués entre notre pays et salaires dans l'agrégat M1. Une partie des ces deux institutions. La Suisse s'est associée, en comptes -salaires figurait dans M1, car plusieurs 1964, aux Accords généraux d'emprunt (AGE) du banques considéraient ces avoirs comme des Groupe des Dix et a participé à des facilités de dépôts à vue (voir Révision de la statistique crédits mises sur pied dans le cadre du FMI. En monétaire, Monnaie et conjoncture 1/1985, outre, elle a accordé des allégements pour les p. 57ss). recueils de fonds que la Banque mondiale effec-
173 Sommario Situazione economica e monetaria ca mondiale vennero concesse agevolazioni per (pag. 175-219) la raccolta di fondi sul mercato svizzero dei capi- tali. Dal 1977 è stata ammessa, in qualità di Nel secondo trimestre 1985, si è assistito a un osservatore, alle assemble annuali delle due or- rafforzamento della ripresa tanto negli Stati Uniti ganizzazioni. Nel 1983, con l'estensione dei Gab, che nella maggior parte dei paesi europei e in aderì al Gruppo dei dieci quale membro a pieno Giappone. Negli Stati Uniti la domanda interna ha diritto. In questo ambito ha partecipato attiva- conosciuto una rapida espansione, mentre in mente al dibattito sull'awenire del sistema mone- Europa e in Giappone le esportazioni hanno tario internazionale. II momento e le condizioni di costituito l'elemento trainante della congiuntura. Il una partecipazione della Svizzera all'Fmi e alla permanere di una debole crescita dell'impiego ha Banca mondiale rimangono una questione da ri- impedito l'assorbimento dell'elevata disoccupa- solvere. In considerazione del loro significato per zione. la stabilità dell'ordine monetario internazionale, una futura appartenenza a queste istituzioni sa- Anche in Svizzera, l'andamento dell'attività eco- rebbe nell'interesse della Svizzera. nomica è stato più sostenuto. Le esportazioni hanno avuto un'espansione oltremodo rapida; tuttavia anche gli investimenti - soprattutto in Conti salario e statistica della massa macchine e attrezzature - e consumi privati i monetaria (pag. 228-239) sembrano essersi accresciuti. Il rincaro si è atte- nuato. Questo contributo affronta il quesito se conti i salario, introdotti da qualche anno dalle banche, Nel periodo aprile -luglio, la base monetaria epu- siano da considerare un mezzo di pagamento, rata è stata del 2,6% superiore a quella dello conformemente alla definizione della massa mo- stesso periodo dello scorso anno. Malgrado que- netaria M1, oppure siano depositi a risparmio, sta evoluzione, che si colloca leggermente al portatori d'interesse. Il perno dello studio è costi- disotto dell'obiettivo, è proseguita la diminuzione tuito da stime della domanda di conti salario, con dei tassi sul mercato monetario. Il franco si è l'ausilio di metodi quantitativi. I risultati indicano apprezzato nei confronti di quasi tutte le principali che questi conti assumono più il ruolo di depositi a valute, in particolare, del dollaro. In luglio, il suo risparmio che non quello di mezzi di pagamento. corso reale, ponderato sulla base delle esporta- È vero che i conti salario sono un'importante zioni, è così risultato di poco inferiore al livello di riserva di liquidità per pagamenti ricorrenti; il loro dodici mesi prima. comportamento nel ciclo congiunturale presenta tuttavia una grande affinità con quello dei depositi a risparmio. L'inclusione dei conti salario in M1 Le relazioni tra la Svizzera e le organizzazioni non migliora inoltre risultati delle stime della i monetarie internazionali (pag. 221 -227) funzione di domanda di moneta. Le conclusioni di questo studio hanno rappresen- La Svizzera rappresenta un caso particolare tra i tato le basi perla decisione della Banca nazionale paesi occidentali industrializzati, in quanto non fa svizzera di non introdurre conti salario in M1. Una i parte nè del Fondo monetario internazionale parte di essi vi figuravano, poichè venivano regi- (Fmi) nè della Banca mondiale. Nondimeno, con strati quali depositi a vista da alcune banche (cf r. queste istituzioni, si sono via via sviluppate strette Revision der Geldmengenstatistik; Geld, Wäh- relazioni. Dal 1964, con la partecipazione agli rung und Konjunktur 1/1985, pag. 51 e seguenti). Accordi generali di prestito (Gab), la Svizzera fu rappresentata in seno al Gruppo dei dieci e prese parte alle facilitazioni creditizie dell'Fmi. Alla Ban-
174 Abstracts Economic and Monetary Developments annual meetings of these two institutions. In 1983, (pp. 175-219) when the GAB were extended, the country be- came a full -fledged member of the Group of Ten The pickup in economic activity gathered force in and as such it has taken an active part in the the second quarter of 1985 both in the United debate on the future of the international monetary States and in most of Europe's industrialized system. It remains an open question when and on nations as well as in Japan. While domestic what terms Switzerland will join the Monetary demand snowballed in the US, exports were the Fund and the World Bank. In view of the signifi- chief pillars supporting the upswing in Europe and cance of these organizations for the stability of the Japan. However, since the improvement in em- international monetary order membership is in the ployment levels continued to be slow, jobless long -term interest of Switzerland. figures remained high. In Switzerland the economic recovery also Payroll Accounts and Money Supply strengthened. Exports exhibited extremely Statistics (pp. 228-239) marked growth while investments - notably in plant and equipment - and private consumption This paper deals with the question of whether the are likewise expected to show an increase. At the payroll accounts introduced by the banks a same time, the upward pressure on prices eased number of years ago are to be considered as perceptibly. instruments of payment and included in M1 or as interest -bearing investments comparable to From April through July the adjusted monetary savings deposits. The study focuses on empirical base exceeded the corresponding year-back estimates of the demand for payroll accounts. The level by 2.6 %. Although the target was thus not conclusion seems to be that payroll accounts play quite reached, the decline in money market rates the role of savings deposits rather than of pay- continued. The Swiss franc appreciated against ments media. For although payroll accounts rep- most major currencies, in particular vis -à -vis the resent a major liquidity reserve for payments dollar, with the result that at the end of July recurring on a monthly or annual basis, their its export- weighted real exchange rate fell only development during the business cycle points to slightly short of the corresponding 1984-level. considerable similarities with savings deposits. Moreover, the results of the estimates of a money demand function are not enhanced by including Switzerland's Relations with the International payroll accounts in money supply M1. The present Monetary Organizations (pp. 221 -227) study formed the basis of the Swiss National Bank's decision no longer to consider payroll Switzerland is a special case among western accounts - some of which have been entered as industrialized nations in that it is a member of sight deposits by the banks - as a component of neither the International Monetary Fund (IMF) nor M1 (cf. Revision of money supply statistics in this of the World Bank. Nevertheless, over the years Bulletin, vol.1/1985, p. 51). close relations have been established with these two institutions. In 1964 Switzerland joined the General Arrangements to Borrow of the Group of Ten, and it has also participated in credit facilities of the Monetary Fund. The World Bank was accorded preferential conditions for raising funds on the Swiss capital market. Since 1977 Switzer- land has been granted observer status at the
175 Wirtschafts- und Währungslage Bericht des Direktoriums über die Wirtschafts- und Währungslage für die Sitzung des Bankrats vom 6. September 1985* A. Die Wirtschafts- und Währungslage Grafik 1: Industrieproduktion im Ausland 1. Überblick 120 Konjukturentwicklung Die konjunkturelle Erholung gewann im zweiten 110 Quartal in den meisten Industrieländern an Kraft. In Europa wurde damit der teilweise witterungs- bedingte Rückschlag zu Beginn des Jahres wett- 100 gemacht. Obschon sich das amerikanische Wirt- schaftswachstum mittlerweile stark abge- - schwächt hat im zweiten Quartal war es deutlich Schweiz geringer als in der Bundesrepublik Deutschland 90 und Grossbritannien -, stellten die USA infolge BO Bi B2 83 84 85 der nach wie vor hohen Importneigung eine wich- Quelle: OECD, Main Economic Indicators, Bundesamt für tige Stütze der Weltkonjunktur dar. Daher wirkten Industrie, Gewerbe und Arbeit in Europa die Exporte immer noch als wichtiger Wachstumsmotor. Allmählich scheint jedoch die Der Teuerungsdruck, der im ersten Vierteljahr in konjunkturelle Erholung auch auf die europäische fast allen Industrieländern spürbar zugenommen Binnennachfrage überzugreifen. Während die hatte, liess im zweiten Quartal nach. Im OECD - Ausrüstungsinvestitionen schon seit geraumer Raum betrug die durchschnittliche Jahresteue- Zeit kräftig wachsen, zeichnete sich insbesonde- rungsrate im Juli 4,7 %; sie lag damit leicht tiefer re in der Bundesrepublik Deutschland eine Bele- als Ende 1984. bung des privaten Konsums ab. Im Vergleich zu den Vereinigten Staaten ist das Wachstum des privaten Konsums jedoch nach wie vor schwach. Wirtschaftspolitik In Japan bildete sich die Binnennachfrage leicht zurück, so dass die japanische Konjunktur stark Der geldpolitische Kurs wurde in den wichtigsten von der Auslandnachfrage abhängig bleibt. Industrieländern im zweiten Quartal merklich gelockert. In den Vereinigten Staaten gab die Die hohe Arbeitslosigkeit bleibt eines der drän- Verlangsamung des Wirtschaftswachstums das gendsten Probleme im OECD-Raum. In den gros- Signal zu einer grosszügigeren Geldversorgung; sen europäischen Ländern war das Beschäfti- Bedenken hinsichtlich wieder steigender Infla- gungswachstum im zweiten Quartal zu schwach, tionsraten traten darob etwas in den Hintergrund. um ein weiteres Ansteigen der Zahl der Arbeits- In Europa wurde die mit der expansiveren Geld- losen zu verhindern. Gleichzeitig verlangsamte politik in den USA einhergehende Abschwächung sich das Tempo, mit dem in den Vereinigten des Dollarkurses ebenfalls zu einer Lockerung Staaten namentlich im Dienstleistungssektor und damit zu einer Senkung der Zinssätze ge- Stellen geschaffen wurden. nutzt. Zu einer deutlichen Überschreitung des * Der Bericht wurde Mitte August abgeschlossen und stützt Geldmengenziels kam es in den Vereinigten sich im Prinzip auf Fakten, die im Mai, Juni und Juli 1985 bekannt Staaten - hier wurde sogar das Ziel für die zweite wurden. Jahreshälfte nach oben revidiert -sowie in Gross-
176 britannien und in Frankreich. In der Bundesrepu- Franken gegenüber dem Dollar auf; in den Mona- blik Deutschland wuchs die Geldmenge demge- ten Juni und Juli gewannen diese beiden Währun- genüber im vorgesehenen Rahmen. gen je rund 12% an Wert. Der amerikanische Kongress verabschiedete im Infolge der Kursabschwächung bildete sich auch Juli das Budget für das am 1. Oktober beginnende der reale handelsgewichtete Wechselkurs des Fiskaljahr 1985/86. Durch die nach schwierigen Dollars zurück; im Juli lag er nur noch um rund 1% Verhandlungen beschlossenen Ausgabenkür- höher als vor Jahresfrist, gegenüber rund 9% im zungen soll das Budgetdefizit um rund 40 Mrd. auf Durchschnitt der Monate Mai und Juni. Demge- 172 Mrd. Dollar gesenkt werden. Da das ge- genüber stiegen die realen handelsgewichteten schätzte Einnahmenwachstum jedoch auf ausge- Wechselkurse des Yen, der D -Mark und des sprochen optimistischen Annahmen bezüglich Schweizer Frankens leicht an; im Juli übertrafen des Wirtschaftswachstums beruht, wird bereits sie das entsprechende Vorjahresniveau um zum heutigen Zeitpunkt mit einem höheren Fehl- 0,6 %, 3,2% und 1,3 %. betrag gerechnet. Anfang Juli geriet die italienische Währung im Europäischen Währungssystem (EWS) zuse- Devisenmarkt hends unter Druck, so dass am 20. Juli die Paritä- ten neu festgelegt werden mussten. Bei dieser Im zweiten Quartal standen die Devisenmärkte im achten Leitkursanpassung im EWS wurde die Zeichen der Abschwächung des Dollarkurses. Lira um 6% abgewertet und die übrigen EWS- Nach einer vorübergehenden Verlangsamung Währungen um 2% aufgewertet. gegen Endè des Quartals setzte sich der Kurs- rückgang der amerikanischen Währung im Juli beschleunigt fort. Wesentlich dürfte dazu der Internationale Verschuldung Abbau des Zinsgefälles zwischen den USA und Europa beigetragen haben. Am stärksten werte- Im Sommer 1985 standen die lateinamerikani - ten sich das britische Pfund und der Schweizer schen Länder Argentinien Brasilien und Peru im Mittelpunkt der Schuldendiskussion. Grafik 2: Dollarkurse in wichtigen Im Juni gewährte die amerikanische Regierung Fremdwährungen zusammen mit elf weiteren Ländern Argentinien 240 einen Überbrückungskredit in der Höhe von 483 - Nominelle Indizes Mio. Dollar. Dadurch wurde verhindert, dass Ar- 210 _November 1977 = 100 gentinien nach der Blockierung des Stand -by- 180 Kredits durch den Internationalen Währungs- 150 fonds (IWF) im März mit den Zinszahlungen noch Pfuntl mehr in Rückstand kam, was für die betroffenen 120 Yen amerikanischen Banken zu Schwierigkeiten hätte 90 führen können. Dies ist darin begründet, dass Franken 60 gemäss den amerikanischen Bilanzierungsvor- 240 schriften Kredite, bei denen die Zinszahlungen - Nominelle Indizes während mehr als 90 Tagen ausstehend sind, von 210 _ November 1977 = 100 den Aufsichtsbehörden für notleidend erklärt wer- 180 den können. Im August einigten sich Argentinien und der IWF auf ein neues Wirtschaftsprogramm, 150 worauf der Stand -by- Kredit des IWF freigegeben 120 wurde. 90 ,,,.,,,,.,11,,,,,,,,,,,1,,,,,,,,,,, Das von der argentinischen Regierung verab- 60 Bo 81 82 83 84 B5 schiedete Sanierungsprogramm geht wesentlich
177 weiter, als es der IWF verlangte. Als erste Mass- Umschuldungsabkommen und der Gewährung nahme wurde ein allgemeiner Preis- und Lohn- von Krediten durch den IWF stellt die internatio- stopp sowie die Einfrierung der Tarife für öffent- nale Verschuldung nach wie vor ein ernstes Pro- liche Dienstleistungen verhängt. Bis zum ersten blem der Weltwirtschaft dar. Zwar hat sich die Vierteljahr 1986 soll zudem das monatliche Lage im vergangenen Jahr etwas entspannt, da Wachstum der Geldmenge M1 von rund 20% im die weltweite Konjunkturerholung die Exportmög- Mai 1985 auf weniger als 10% vermindert wer- lichkeiten der Schuldnerländer verbesserte. Die den. Ein weiteres Element stellt die Währungs- drei grössten lateinamerikanischen Schuldner - reform dar, die die Ersetzung des argentinischen Mexiko, Brasilien und Argentinien - konnten denn Pesos durch den Austral brachte. Die neue Wäh- auch beträchtliche Überschüsse in ihren Han- rungseinheit entspricht 1000 Pesos bzw. 0.8 Dol- delsbilanzen erwirtschaften. Die dringend not- lar. Mit diesen Massnahmen soll die monatliche wendigen Strukturanpassungen haben jedoch Inflationsrate von durchschnittlich 24% im ersten grösstenteils noch nicht stattgefunden; ob Argen- Quartal 1985 auf 8% im ersten Quartal 1986 tinien hier eine Ausnahme bildet, wird sich noch reduziert und der Anteil des Staatsdefizits am zeigen müssen. Es besteht deshalb die Gefahr, Bruttoinlandprodukt von 13% im Jahre 1984 auf dass sich die Verschuldungssituation bei einer 6% im Jahre 1985 gesenkt werden. Abschwächung der Weltkonjunktur rasch wieder verschärfen könnte. Die Verhandlungen zwischen Brasilien und dem IWF über ein Wirtschaftssanierungsprogramm blieben ohne Ergebnis. Die Gläubigerbanken sa- hen sich in der Folge gezwungen, den am 31. Mai 2. Die Wirtschaftsentwicklung in den abgelaufenen Zahlungsaufschub für den Schul- wichtigsten Industrieländern dendienst des öffentlichen Sektors um weitere 90 Tage zu verlängern. Vereinigte Staaten Die neue peruanische Regierung hat kurz nach Die amerikanische Konjunktur fasste im zweiten ihrer Amtseinsetzung Anfang August zu einem Quartal wieder Tritt, nachdem sie in den vorange- politischen Dialog über die Lösung des Schulden - gangenen zwölf Monaten merklich an Schwung problems aufgerufen und einseitig ein Morato- verloren hatte. Der private und öffentliche Kon- rium für alle Fälligkeiten vom 1.August 1985 bis sum sowie die Anlageinvestitionen wuchsen mit zum 31. Januar 1986 erklärt. Zwar betonte die einer Jahresrate von 6,2%, nach Zuwachsraten neue Regierung, dass sie alle Verbindlichkeiten von 4% in den vorangegangenen drei Quartalen. gegenüber dem Ausland anerkennen würde; Da jedoch gleichzeitig die Exporte zurückgingen gleichzeitig wies sie aber darauf hin, dass ein und die Lagerbestände beträchtlich abgebaut Schuldendienst von mehr als 10% des Ausfuhr- wurden, erhöhte sich das reale Bruttosozialpro - wertes als nicht tragbar erachtet werde. dukt lediglich um 2 %; es lag damit um 2,0% über dem entsprechenden Vorjahreswert. Teilweise Im Juli unterzeichnete Polen mit 17 Gläubiger- als Folge des Lagerabbaus, der sinkenden Aus- staaten, darunter auch der Schweiz, ein Um- fuhren sowie der starken Importkonkurrenz nahm schuldungsabkommen über die zwischen 1982 die Industrieproduktion nur geringfügig zu. und 1984 aufgelaufenen Schuldverpflichtungen von rund 12 Mrd. Dollar. Der daraus resultierende Die stärksten Impulse gingen im zweiten Quartal Schuldendienst soll nach einer fünfjährigen Ka- von den Ausrüstungs- und Bauinvestitionen aus, renzfrist über sechs Jahre gestaffelt geleistet die nach einer Stagnation im ersten Vierteljahr auf werden. Mit Auslandverpflichtungen in der Höhe Jahresbasis umgerechnet um 14% zunahmen. von insgesamt etwa 28 Mrd. Dollar bleibt Polen Dabei profitierte namentlich der Wohnungsbau das am stärksten verschuldete Land im vom Rückgang der Zinssätze. Während der priva- Comecon. te Konsum erneut kräftig stieg ( +5 %), beschleu- nigte sich auch das Wachstum der Staatsaus- Trotz einer Reihe erfolgreich abgeschlossener gaben.
178 Für das laufende Fiskaljahr wird mit einem Bud- Grafik 3: Vereinigte Staaten getdefizit von rund 210 Mrd. Dollar gerechnet. 600 Damit werden sowohl der im Sommer 1984 bud- Ziel: Geldmenge 3 -8% (Mrd $11 getierte Betrag als auch das Vorjahresergebnis M1 deutlich überschritten. Gemäss dem Anfang Au- 550 Ziel: gust vom amerikanischen Kongress verabschie- 4 -7X Ziel: deten Budget sollen die Staatsausgaben im kom- 4 -8% 500 menden Fiskaljahr 1985/86 lediglich um nominell 1% zunehmen. Bei einem geschätzten Einnah- Ziel: 4 -8% menwachstum von nominell 8% ergibt sich ein 450 Budgetdefizit von 172 Mrd. Dollar. Da die Einspa- Ziel: 2.5-5.5% rungen bei den einzelnen Ausgabenpositionen 400 Ziel: 6-8.5X noch ausgehandelt werden müssen und zudem das Einnahmenwachstum auf ausgesprochen optimistischen Wirtschaftsprognosen beruht, gilt 350 - Ziel: - 4-6.5X sau Il.11.lII..L.I.. eine Überschreitung des angestrebten Budgetde- 22 fizits als wahrscheinlich. $ Euromarktsatz. 3 Monate 18 Mit einer gewissen Verzögerung schlug sich die markante Höherbewertung des Dollars zu Beginn 14 des Jahres in den amerikanischen Exporten nie- der. Im zweiten Quartal sank das Ausfuhrvolu- 10 Offizieller Diskontsatz men gegenüber der Vorperiode um 13% (Jahres- J 1111,111111I.111111.111I1,11 rate). Demgegenüber stagnierten die realen Im- 6 I11111111,1 lllll 11111111111111 porte auf hohem Niveau. Das Handelsbilanzdefi - 120 zit belief sich im ersten Halbjahr auf 71 Mrd. Dollar $ (real.handelsgewichtet)3 110 Index 1970 =100 gegenüber 60 Mrd. Dollar vor Jahresfrist. 100 Die Beschäftigung wuchs langsamer als in den vorangegangenen Quartalen. Während die Zahl 90 der Arbeitsplätze in der Industrie weiter abnahm, 80 schwächte sich nun auch der Zuwachs an Ar- beitsplätzen im bisher dynamischen Dienstlei- 70 80 81 B2 83 84 85 stungssektor ab. Die Arbeitslosenrate verharrte bei 7,2 %. Saisonbereinigt; Ziele: 4. Quartal gegenüber 4. Quartal des Vorjahres (Quelle: Federal Reserve Board) 2 Vom 2. Quartal bis 4. Quartal 1983 bzw. 2. Quartal bis Verschiedene Konjunkturindikatoren deuten auf 4. Quartal 1985 eine Fortsetzung des mässigen Wirtschafts- 3 Quelle: OECD wachstums in den kommenden Monaten hin. Die Nachfrage nach dauerhaften Industriegütern nahm zu, und der Index der vorlaufenden Indika- steigende Besorgnis des Fed über die Konjunk- toren stieg im Juni deutlich. turabschwächung in den Vereinigten Staaten. Sie deutet aber auch darauf hin, dass die amerikani- Die Geldmenge M1 wuchs auch im zweiten Quar- sche Zentralbank ein Wiederaufflackern der Infla- tal kräftig, so dass das vom Federal Reserve tion zur Zeit als wenig wahrscheinlich hält. Im Board im Februar bestätigte Geldmengenziel von zweiten Quartal betrug die durchschnittliche Jah- 4 -7% weit überschritten wurde. Auch die monetä- resteuerungsrate 3,7%. re Basis nahm deutlich stärker zu als in den vorangegangenen Quartalen. Diese Entwicklung, Angesichts der markanten Zielüberschreitung im die einer Kehrtwendung des bisherigen geldpoliti- ersten Halbjahr revidierte das Fed das Geldmen- schen Kurses gleichkommt, widerspiegelt die genziel für M1 nach oben. Der neue, bis zum
179 vierten Quartal 1985 geltende Zieltrichter beläuft Grafik 4: Bundesrepublik Deutschland sich auf 3 -8%, wobei als Basis der hohe durch- 210 schnittliche Stand des zweiten Quartals gewählt _ Zentralbankgeldmenge (Mrd OM11 wurde. Dies bedeutet, dass das Fed die starke 200 Ausdehnung im ersten Halbjahr nicht zu kompen- sieren gedenkt, auch wenn für den Rest des 190 Jahres mit einem langsameren Geldmengen- wachstum gerechnet wird. Die Ziele für die übri- 180 gen Geldaggregate sowie das Kreditwachstum blieben unverändert. Während sich die Geldmen- 170 gen M2 und M3 auch im zweiten Quartal innerhalb des Zielkorridors bewegten, wuchsen die Kredite 160 schneller als vorgesehen. Gleichzeitig mit der Zielrevision gab das Fed auch die provisorischen I,,,,,,.,, ,,,,,.,, Ziele für das Jahr 1986 bekannt. Das angestrebte 150 Wachstum für Mi und M2 beläuft sich wie letztes 16 Jahr auf 4 -7% bzw. 6-9 %, während das Ziel für _ OM Euromarktsatz, 3 Monate M3 sowie das Kreditwachstum des inländischen 12 Nichtbankensektors auf 6 -9% bzw. 8-11% ge- kürzt wurde (1985: 6-9,5% bzw. 9 -12 %). 8 Im Zusammenhang mit der Neufestlegung des Offizieller Lombardsatz Geldmengenziels für M1 wies die amerikanische Notenbank auf die Möglichkeit eines Struktur- 4 I,,,,,l .,,,,,,, wandels in der Nachfrage nach M1 hin. Es müsse 120 0M (real, handelsgewichtet)2 damit gerechnet werden, dass das Publikum in- - Index 1970=100 folge der Verzinsung der Sichteinlagen einen 110 grösseren Teil seiner Bankguthaben in Form von M1 zu halten wünschte. Laut Fed ist die gegen- wärtige Situation mit 1982/1983 vergleichbar, als 100 M1 infolge der Zinssatzderegulierung und der Einführung neuer Einlageformen stark an Aus- sagekraft verloren hatte. 90 ,,,,,,,, ,,,,,,,, ,,.,.I 80 81 82 B3 84 85 Infolge des starken Wachstums der Geldmenge 1 Saisonbereinigt; Ziele: 4. Quartal gegenüber 4. Quartal setzte sich der seit Jahresanfang beobachtete des Vorjahres (Quelle: Deutsche Bundesbank) I Quelle: OECD Rückgang der Zinssätze auch im zweiten Quartal fort. Erstmals nach über sechs Jahren fielen die kurzfristigen Zinssätze wieder deutlich unter die hatte, beschleunigte sich im Frühling. Gemäss 7 %- Marke. Im Anschluss an die markante Kurs- provisorischen Angaben wuchs das reale Brutto- abschwächung des Dollars im Juli zeichnete sich sozialprodukt im zweiten Vierteljahr gegenüber eine gewisse Festigung dieser Zinssätze ab, was dem Durchschnitt des Jahres 1984 um 2,6 %. Im darauf hindeutet, dass das Fed die geldpoliti- Vorjahresvergleich, der allerdings durch den schen Zügel nicht mehr weiter gelockert hat. streikbedingten Rückschlag im zweiten Quartal 1984 nur bedingt aussagekräftig ist, wuchs das Bruttosozialprodukt um real 3,2%. Bundesrepublik Deutschland Nach wie vor bilden die Exporte die wichtigste Das Wirtschaftswachstum in der Bundesrepublik Konjunkturstütze. Positive Impulse gingen jedoch Deutschland, das sich im ersten Quartal infolge auch von der Binnennachfrage aus. Die Ausrü- der extrem kalten Witterung stark verlangsamt stungsinvestitionen nahmen zu, und der Anstieg
180 der Detailhandelsumsätze deutet auf eine Bele- Diese Entspannung dürfte grösstenteils auf den bung des privaten Konsums hin. Keine Erholung Kursrückgang des amerikanischen Dollars zu- zeichnete sich demgegenüber in der Bauwirt- rückzuführen sein, wobei die zielkonforme Ent- schaft ab. Vor diesem Hintergrund beschloss die wicklung der Zentralbankgeldmenge dazu den Bundesregierung im Budgetentwurf für das Jahr nötigen Spielraum bot. Seit Mitte Juli liegen die 1986 eine Reihe stimulierender Massnahmen für Dreimonatssätze am Euromarkt deutlich unter den Bausektor. der Marke von 5 %. Die Exporte stiegen auch im ersten Halbjahr 1985 deutlich stärker als die Importe, so dass die Grossbritannien Handelsbilanz mit einem Rekordüberschuss von 32 Mrd. D -Mark schloss (1. Halbjahr 1984: 20,0 Die britische Wirtschaft wies auch im ersten Quar- Mrd.). Die Ertragsbilanz wies einen Überschuss tal 1985 ein relativ hohes Wachstum auf. Das von beinahe 15 Mrd. D -Mark aus: sein Anteil am reale Bruttoinlandprodukt lag um 3% über dem Bruttosozialprodukt erhöhte sich damit von 0,5% entsprechenden Vorjahreswert. Überdurch- im ersten Halbjahr 1984 auf 1,7 %. schnittlich stark, nämlich um 3,7 %, wuchsen die Investitionen. Während die Bautätigkeit leicht zu- Am Arbeitsmarkt zeichnete sich eine leichte Bes- rückging, wurden die Ausrüstungsinvestitionen serung ab. Die Zahl der offenen Stellen stieg, und kräftig erhöht. Zum Teil hing dies mit den Ende die Beschäftigung dürfte leicht zugenommen ha- März auslaufenden Steuererleichterungen zu- ben; die Arbeitslosenquote verharrte allerdings sammen. Demgegenüber schwächte sich das bei 9,4 %. Einen Lichtblick stellte das Umfrage- Wachstum des privaten Konsums ab, wobei die- ergebnis des Ifo- Institutes für Wirtschaftsfor- ses mit 1,3% immer noch deutlich höher war als in schung dar, wonach die Unternehmen nun wieder den meisten übrigen europäischen Ländern. vermehrt Erweiterungsinvestitionen planen. Da- mit dürfte sich die Nachfrage nach Arbeitskräften Das kräftige Exportwachstum und die geringere weiter verstärken. Die Teuerungsrate bildete sich Zunahme der Importe führten im zweiten Quartal nach dem leichten Anstieg in den Wintermonaten zu einer annähernd ausgeglichenen Handels- wieder zurück; im Juli betrug sie 2,3%. bilanz. Dank eines weiterhin hohen Überschus- ses bei den Dienstleistungen vergrösserte sich Die vorlaufenden Indikatoren deuten auf eine der Überschuss der Ertragsbilanz auf 1,3 Mrd. Fortsetzung des Konjunkturaufschwungs in der Pfund (erstes Quartal: 0,1 Mrd.). Bundesrepublik Deutschland hin. Aufgrund des kräftigen Bestellungseingangs in der Investitions- Die Beschäftigung nahm im zweiten Quartal ge- güterindustrie dürfte dieser Wirtschaftszweig ringfügig zu, während gleichzeitig die Zahl der auch künftig überdurchschnittlich stark vom Arbeitslosen infolge der Zunahme der erwerbs- Wachstum profitieren. fähigen Bevölkerung weiter -wenn auch verlang- samt - stieg. Trotz der unverändert hohen Ar- Die Zentralbankgeldmenge wuchs im zweiten beitslosenquote stiegen die Nominallöhne stärker Quartal langsam und bewegte sich im mittleren als die Konsumentenpreise. Im zweiten Quartal Bereich des Zielkorridors. Auch das Wachstum setzte sich die seit Anfang Jahr beobachtete der Geldaggregate M1, M2 und M3 blieb mit rund Beschleunigung des Preisauftriebs fort. Die 5% in bescheidenem Rahmen. Anlässlich der durchschnittliche Jahresteuerungsrate betrug halbjährlichen Überprüfung des Geldmengen - 7,0 %, gegenüber 4,8% im zweiten Halbjahr 1984. ziels bestätigte die Deutsche Bundesbank das diesjährige Ziel. Der seit einigen Monaten beob- Das Wachstum der Industrieproduktion (ein- achtete Rückgang der Zinssätze sowie die Sen- schliesslich Bergbau und Erdölförderung), das kung des Lombard- und Diskontsatzes um je sich seit dem dritten Quartal 1984 spürbar be- einen halben Prozentpunkt auf 5,5% bzw. 4% am schleunigt hat, betrug im zweiten Vierteljahr auf 15. August lassen dennoch auf eine leichte Lok - Jahresbasis umgerechnet 8%. Die vorlaufenden kerung des geldpolitischen Kurses schliessen. Indikatoren weisen auf eine Fortsetzung des Wirt-
181 Grafik 5: Grossbritannien Das Wachstum der Geldmenge Sterling M3 be- 120 schleunigte sich stark, so dass das angestrebte Geldmenge Sterling M3 (Mrd £)1 Ziel deutlich überschritten wurde. Demgegenüber Ziel: setzte sich der mässige Anstieg der monetären 5-9X Basis Mo fort. Die starke Ausweitung von Sterling 100 ,Ziel: i IIm" M3 dürfte teilweise darauf zurückzuführen sein, ' , 00011. Ziel: 7-11% 6-10% dass ein Teil der zuvor bei den Hypothekarinstitu - Ziel: ten ( building societies) langfristig angelegten Gel- BO 6 -12X der (die nicht in M3 eingeschlossen sind) infolge der hohen kurzfristigen Zinssätze ins Banken - system zurückfloss. Ferner scheint sich der seit 60 einigen Jahren beobachtete Rückgang der Um- laufgeschwindigkeit von Sterling M3 verstärkt fort- zusetzen. Die britischen Zinssätze, die im Mai 40 und Juni annähernd stabil geblieben waren, bilde- ten sich ab Mitte Juli deutlich zurück. Dies wider- 20 Euromarktsatz, 3 Monate spiegelt eine leichte Lockerung der britischen Geldpolitik, die durch die feste Haltung des Pfun- 16 des an den Devisenmärkten ermöglicht wurde. 12 Frankreich Auch in Frankreich hinterliess der harte Winter im 8 ,,,,,,,,,,,1,,,,,.,,,,,I,,,,,,,,,,,I,,,,,,,.,,,I,,,,,, Ill ersten Quartal deutliche Spuren. Zwar erhöhte _t (real, handelsgewichtet) 2 sich der reale private Konsum um 1,5% gegen- 140 _ Index 1970=100 über der Vorperiode, doch war dieses Wachstum 130 zum grossen Teil auf den witterungsbedingt hö- heren Energieverbrauch zurückzuführen. Ein 120 markanter Rückgang der Bautätigeit sowie sin- 110 kende Exporte glichen diesen Zuwachs an- nähernd aus, so dass das reale Bruttoinlandpro- Soo dukt insgesamt stagnierte. 90 ,,,,,, ,,,,,,1 80 81 82 83 84 85 Im zweiten Quartal zeichnete sich eine leichte Saisonbereinigt; statistische Änderung im November konjunkturelle Besserung ab. Nach dem Rück- 1981; Ziele: Februar bis April des folgenden Jahres gang zu Jahresbeginn erreichte der Index der (Quelle: Bank of England) 2 Industrieproduktion im Mai wieder das Niveau Quelle: OECD des entsprechenden Vorjahresmonats. Ferner nahmen die realen Detailhandelsumsätze zu, was auf ein weiteres Wachstum des privaten schaftsaufschwunges hin. Der Britische Arbeit- Konsums schliessen lässt. geberverband (CBI) rechnet damit, dass sich die Kohleförderung bei rund 90% ihres Umfanges vor Infolge der höheren Exporte verringerte sich das Ausbruch des Streiks im Frühling 1984 einpen -, Handelsbilanzdefizit, nachdem dieses im ersten dein wird; zudem wird erwartet, dass sich die Quartal stark angestiegen war. Im ersten Halbjahr Produktion in den übrigen vom Streik tangierten belief es sich auf insgesamt 14 Mrd. Franc gegen- Industrien weiter normalisieren wird. Das Wachs- über 17 Mrd. Franc in der gleichen Vorjahrespe- tum des realen Bruttoinlandproduktes dürfte da- riode. Zusammen mit einem hohen Überschuss in mit im zweiten und dritten Quartal 1985 um rund der Dienstleistungsbilanz führte dies zu einer einen Prozentpunkt höher ausfallen als in den Verringerung des Ertragsbilanzdefizits auf 6,9 vorangegangenen Quartalen. Mrd. Franc (1. Halbjahr 1984: 10,1 Mrd. Franc).
182 Grafik 6: Frankreich im ersten Vierteljahr 1985 bei einer durchschnitt- 2200 lichen Jahresteuerung von 6,5% nur noch 6 %. _ Geldmenge M2 bzw. M2R (Mrd FF)1 Zwischen April und Juli bildete sich die Teue- rungsrate weiter auf 6,1% zurück. 2000 Die französische Geldpolitik blieb im zweiten 1800 Quartal tendenziell restriktiv. Zwar lag der Zu- 5.5-6.5% wachs der Geldmenge M2R während der ersten fünf Monate des laufenden Jahres deutlich über 1600 dem angestrebten Ziel. Dies dürfte jedoch teil- weise auf die Aufhebung der Kreditbegrenzung 1400 zu Beginn des Jahres zurückzuführen sein. Zur Eindämmung des starken Geldmengenwachs- 1200 I,,,,,,, I ,1,1,,, 11111 I I I ,,,,,,,,,, 1111. ,,,,,,,, tuins ergriff die Banque de France eine Reihe von Massnahmen: So wurden unter anderem die Ka- 24 Geldmarktsatz, 3 Monate pitalaufnahme im Ausland erschwert und die Kre- dite an Wirtschaftszweige, denen nicht erste Prio- 20 rität zukommt, eingeschränkt. Durch diese Mass- 16 nahmen könnte der seit einigen Monaten beob- achtete Zinsrückgang, den die französische No- 12 tenbank durch das mehrmalige Senken des Inter- ventionssatzes unterstützt hatte, gebremst wer- ,,,,,,,,,I ,,,,,,,,,,1,,,,,,,,,,, den. Ein Ansteigen der Zinssätze gilt dagegen als wenig wahrscheinlich. FF (real, exportgewichtet) 2 - Index 1970 =100 In den vergangenen Monaten machte die Libera- 105 lisierung des französischen Finanzmarktes weite- re Fortschritte. Das Finanzministerium liess im März erstmals die Begebung einer Inlandanleihe 95 durch eine ausländische Bank zu. Im April wurde zudem der Euro- Franc -Obligationenmarkt, der 85 seit Mai 1981 geschlossen war, wieder geöffnet. BO 81 82 83 B4 85 1 Saisonbereinigt; M2R- M2 minus ausländische Bank- einlagen; Ziele: Dezember gegenüber Dezemberdes Vor- Italien jahres; ab 1983: Durchschnitt der Monate November, Dezember und Januar gegenüber der entsprechenden Der Wachstumsrhythmus der italienischen Wirt- Vorjahresperiode (Quelle: Banque de France) schaft hat sich im ersten Halbjahr 1985 etwas 2 Quelle: OECD verlangsamt. Nachdem das reale Bruttoinland- produkt im Vorjahr um 2,6% gestiegen war, wuchs es im ersten Quartal gegenüber der ent- Die Schaffung von neuen Arbeitsplätzen bleibt sprechenden Vorjahresperiode um 1,8 %. Im nach wie vor eines der drängendsten Probleme. zweiten Quartal erholte sich die Industrieproduk- Im zweiten Quartal verharrte die Arbeitslosenrate tion vom markanten, vorwiegend witterungsbe- bei 10,6 %. Die hohe Zahl von Arbeitslosen führte dingten Rückschlag am Jahresanfang. Da sich zusammen mit der restriktiven Wirtschaftspolitik jedoch der Bestellungseingang in der Industrie zu einem markanten Rückgang des Wachstums abgeschwächt hat und auch der Index der vorlau- der Nominallöhne in der verarbeitenden Industrie. fenden Indikatoren flacher verläuft, dürfte sich Während diese im Jahre 1982 mit durchschnitt- das Wirtschaftswachstum in Italien eher ab- lich 16% noch deutlich stärker als die Preise schwächen. Die Lage auf dem Arbeitsmarkt wird ( +12 %) zugenommen hatten, betrug ihr Anstieg sich damit vorderhand kaum bessern. Nachdem
183 Grafik 7: Italien festgelegte Wachstumsziel für die Geldmenge M2 22 - im Jahre 1985 beläuft es sich auf 10%-wurde in Monetâre Basisl der Folge massiv überschritten. Im Mai wuchs M2 gegenüber der entsprechenden Vorjahresperio- 18 de um 14,7 %. Die Bestrebung der italienischen Notenbank, das Geldmengenwachstum einzu- 14 -' dämmen, führte im zweiten Quartal zu einem Anstieg der Geldmarktsätze. Ende Juni betrug die Rendite der Dreimonatsschatzwechsel 13,8% 10 gegenüber 12,9% im März. 6 Im zweiten Quartal stieg die Jahresteuerungsrate 24 erstmals nach rund zwei Jahren wieder leicht an; Geldmarktsatz,3 Monate sie belief sich auf durchschnittlich 8,8 %. Ein wich- tiger Schritt zur weiteren Bekämpfung der Infla- 20 tion erfolgte im Juni, als die italienischen Stimm- bürger die Wiedereinführung des automatischen Teuerungsausgleichs ablehnten. 16 Die seit geraumer Zeit bestehende Überbewer- _ Offizieller Diskontsatz tung der Lira im EWS führte im zweiten Quartal zu 1111 lllllll 1111 llllll 11111111/111111 i,,,,,,,,1..i,,..,1..,,, einer markanten Erhöhung des Handelsbilanz- 12 defizits. In den ersten fünf Monaten belief es sich auf 14500 Mrd. Lira; dies entspricht rund Dreivier- 92 _Lira (real, handelsgewichtet)2 tel des gesamten Defizits des Jahres 1984. Ange- Index 1970 =100 sichts des wachsenden Ungleichgewichts im Aussenhandel wurde die Lira am 20. Juli gegen- 88 über den EWS- Währungen um durchschnittlich 8% abgewertet. 84 Japan 80 11./.,,.,,1/..,,,,,,,.1,,,.,.,,.,,i.,,.,.,,..1i,.,,.,,.,.,i..,,,.,,.,. 80 81 82 83 84 85 Im ersten Quartal stagnierte das reale Bruttoso- Veränderung in % gegenüber Vorjahresperiode zialprodukt in Japan auf dem Niveau des Vor- (Quelle: Banca d'Italia) quartals, und die Industrieproduktion bildete sich 2 Quelle: OECD erstmals nach zwei Jahren zurück. Die markante Konjunkturabschwächung ist dabei in erster Linie auf den Rückgang der Exporte zurückzuführen. die Beschäftigung im zweiten Halbjahr 1984 leicht Negative Impulse gingen zudem von den sinken- angestiegen war, nahm sie in den ersten Monaten den Staatsausgaben sowie der stagnierenden des laufenden Jahres wieder ab. Die Arbeits- Investitionstätigkeit - namentlich im Ausrüstungs- losenquote lag im zweiten Quartal bei 10,4 %. bereich - aus. Der zwischen Geldmengenkontrolle und Finan- Infolge steigender Exporte sowie einer Aufstok- zierung des Budgetdefizites bestehende Zielkon- kung der Lagerbestände nahm die Industriepro- flikt verschärfte sich im ersten Halbjahr 1985. duktion im zweiten Quartal wieder leicht zu. Die Infolge des hohen Finanzierungsbedarfs des Binnennachfrage blieb jedoch schwach. Sowohl Staates beschleunigte sich das Wachstum der die realen Detailhandelsumsätze als auch die monetären Basis. Das von der Banca d'Italia im Investitionen sanken. Dank hoher Exporte weite- Rahmen ihres Inflationsbekämpfungsprogramms te sich der Handelsbilanzüberschuss im zweiten
184 Grafik 8: Japan real leicht gesenkt werden sollen, rechnet die 14 Regierung mit einem nominellen Anstieg der Geldmenge M2 +CDS Staatseinnahmen von 10 %. Damit dürfte sich -: Projektion sowohl der Anteil des Budgetdefizits als auch der 11 - Staatsausgaben am Bruttosozialprodukt verrin- gern. Das Wachstum der Geldmenge M2 + CD be- schleunigte sich leicht. Im zweiten Quartal lag sie um durchschnittlich 8,3% über dem entsprechen- den Vorjahresniveau, gegenüber knapp 8% im 5 1111..t1.11111111,.111 111111..1.111...1 11111.,1111.1111 ersten Vierteljahr. Gleichzeitig bildeten sich die 14 Geldmarktsätze leicht auf 6,2% zurück. 10 6 2 180 Yen (real, handelsgewichtetie Index 1970 =100 160 140 120 1.11l11.11..11..1....111 L 1..1..1,1, 80 81 82 83 84 85 Veränderung in % gegenüber Vorjahresperiode; die Projektionen werden quartalsweise festgelegt (Quelle: Bank of Japan) 2 Quelle: OECD Quartal aus. Er betrug 9 Mrd. Dollar, gegenüber 5,6 Mrd. in der Vorperiode. Die Beschäftigung nahm im zweiten Quartal wei- ter zu, während die Arbeitslosenquote bei rund 2,5% verharrte. Die Jahresteuerungsrate blieb unverändert bei 2 %. Das Budget für das kommende Fiskaljahr 1986/ 87 widerspiegelt die auf einen Abbau des Budget- defizits ausgerichtete Fiskalpolitik der japani- schen Regierung. Während die Staatsausgaben
185 Tabellen 1.1 -1.4: Internationale Konjunkturentwicklung 1.1 Reales Bruttosozialprodukt (Veränderung in Prozent gegenüber Vorjahresperiode) 1982 1983a) 1984a) 1983a) 1984a) 1985a) 4. Q. 1. Q. 2. Q. 3. Q. 4. Q. 1. Q. 2. Q. USA - 2,2 3,7 6,9 6,3 8,0 7,5 6,1 5,7 3,3 2,0 BRD - 1,1 1,3 2,6 2,9 4,0 0,8 2,0 2,8 0,4 3,2 Grossbritannien b) 2,0 3,0 2,6 3,6 3,0 2,5 2,1 2,7 2,8 - Frankreich b) 2,1 0,9 1,5 1,1 2,2 1,2 2,5 1,6 0,7 0,7 Italien b) -0,4 -1,2 2,6 2,2 1,8 3,4 3,4 1,7 1,8 - Japan 3,3 3,4 5,8 3,9 5,3 5,9 5,3 6,5 5,1 - Schweiz b) -1,1 0,7 2,0 1,9 2,2 1,9 2,0 1,9 2,0 - a) provisorisch b) BIP 1.2 Konsumentenpreise (Veränderung in Prozent gegenüber Vorjahresperiode) 1982 1983 1984 1984 1985 4. Q. 1. Q. 2. Q. April Mai Juni Juli USA 6,2 3,2 4,3 4,0 3,5 3,7 3,6 3,7 3,7 3,6 BRD 5,3 3,3 2,4 2,1 2,3 2,5 2,5 2,5 2,3 2,3 Grossbritannien 8,6 4,6 5,0 4,8 5,5 7,0 6,9 7,0 7,0 5,7 Frankreich 11,8 9,6 7,4 6,8 6,5 6,5 6,5 6,5 6,4 6,1 Italien 16,3 15,0 10,8 8,8 8,6 8,8 8,8 8,8 8,7 8,7 Japan 2,7 1,9 2,2 2,3 2,0 2,0 1,9 1,6 2,5 2,4 Schweiz 5,6 2,9 2,9 3,0 3,8 3,8 3,6 3,8 3,4 3,4 1.3 Arbeitslosigkeit (Arbeitslose in Prozent der Erwerbsbevölkerung, saisonbereinigt) 1982 1983 1984 1984 1985 4. Q. 1. Q. 2. Q. April Mai Juni Juli USA 9,7 9,6 7,5 7,1 7,2 7,2 7,2 7,2 7,2 7,2 BRD 7,7 9,2 9,2 9,1 9,3 9,4 9,3 9,4 9,4 9,3 Grossbritannien b) 11,5 12,3 12,7 12,9 13,0 13,2 13,1 13,3 13,3 13,3 Frankreich b, d) 8,9 8,9 10,2 10,5 10,7 10,6 10,5 10,6 10,6 10,6 Italien b) 9,1 9,9 10,4 10,3c) 10,5c) 10,4c) - - - - Japan 2,4 2,6 2,7 2,7 2,5 2,5 2,4 2,5 2,6 2,6 Schweiz 0,4 0,9 1,1 1,1 1,0 1,0 1,0 1,0 0,9 0,9 b) ausgenommen Schulabgänger c) erster Monat des Quartals d) Berechnungen der OECD 1.4 Rechnung der laufenden Transaktionen (Ertragsbilanz; Saldo in Mrd. US- Dollar, saisonbereinigt) 1982 1983a) 1984a) 1983a) 1984a) 1985a) 4. Q. 1. Q. 2. Q. 3. Q. 4. Q. 1. Q. 2. Q. USA -11,2 -40,8 -101,5 -17,2 -19,7 -24,7 -32,5 -25,5 -30,0 - BRD 3,3 3,3 5,6 0,7 0,8 - 0,2 1,6 3,4 2,1 2,6 Grossbritannien 9,0 3,8 0,1 0,4 0,8 - 0,7 - 0,7 0,8 0,2 1,7 Frankreich b) -11,6 - 3,5 0,0 0,3 - 1,3 0,1 0,5 0,4 - 0,7 1,2 Italien b) - 7,4 0,5 - 4,2 - 0,4 - 2,2 - 1,2 0,8 - 1,6 - - Japan 6,8 20,8 35,0 6,2 4,8 10,0 8,7 11,6 6,8 13,2 Schweiz b) 4,0 3,4 3,7 1,0 1,0 1,0 0,7 1,0 1,4 1,0 a) provisorisch b) nicht saisonbereinigt
186 B. Die Wirtschafts- und. Währungslage Grafik 9: Geschäftsgang in der Industriel in der Schweiz 40 30 1. Überblick 20 - In der Schweiz hat sich der konjunkturelle Auf- 10 - schwung im zweiten Quartal weiter verstärkt. 0 Besonders kräftig stiegen die Exporte. Als Folge der relativ langen Dollarhausse konnten die Lie- -io i- ferungen nach den USA erneut gesteigert wer- -20 - den. Da der Dollar inzwischen tiefer bewertet -30 - wird und in den Vereinigten Staaten selber die konjunkturellen Auftriebstendenzen an Schwung -40 - verloren haben, dürften die Zuwachsraten ins - 50 80 81 82 83 B4 B5 künftig geringer ausfallen. Eine weitere wichtige Konjunkturstütze bildeten im zweiten Quartal die Geglättet; beim «Geschäftsgang» in der Industrie handelt Ausrüstungsinvestitionen. Zwei wichtige Indika- es sich um einen Sammelindikator, der sich aus vier Einzelgrössen - Bestellungseingang und Produktion im toren, nämlich die aus dem Inland stammenden Vorjahresvergleich sowie Beurteilungen des Auftragsbe- Bestellungen in der Maschinen- und Apparate- standes und der Fertigfabrikatelager - zusammensetzt. industrie sowie die Investitionsgüterimporte, Quelle: KOF-ETH, Konjunkturtest nahmen stark zu. Die Bauinvestitionen stiegen demgegenüber nur leicht: Im laufenden Jahr ist zwar mit einem deutlichen Wachstum bei den sprechenden Vorjahreswert. Parallel zur verbes- gewerblich -industriellen Bauten zu rechnen, serten Auftragslage in der Industrie nahmen ins- doch dürfte der Wohnungsbau abnehmen. Beim besondere die Einfuhren von Rohstoffen und privaten Konsum wurden die in den Vormonaten Halbfabrikaten zu. beobachteten Stagnationstendenzen überwun- den. Das als Folge des Konjunkturaufschwungs Die Geldpolitik der Nationalbank blieb darauf verbesserte Konsumklima wird zu einer weite- ausgerichtet, die Inflation weiter zu reduzieren. ren, wenn auch nicht spektakulären Erhöhung Die bereinigte Notenbankgeldmenge wurde von des realen Konsums führen. April bis Juli gegenüber dem Vorjahr um 2,6% ausgedehnt. Für die ersten sieben Monate die- Ein ausreichendes Arbeitskräfteangebot, zum ses Jahres betrug der Zuwachs 2,5 %. Die Geld - Teil noch nicht voll ausgelastete technische Ka- mengenpolitik der Nationalbank war somit etwas pazitäten sowie eher noch zu grosse Lagerbe- restriktiver als ursprünglich geplant (Ziel 1985: stände ermöglichten es den inländischen Anbie- 3 %). Trotz dieser leichten Zielunterschreitung tern, flexibel auf die erhöhte Nachfrage zu rea- begannen die Zinssätze am schweizerischen gieren. Die Industrieproduktion nahm zu und Geldmarkt im Laufe des Sommers wieder zu übertraf das entsprechende Vorjahresniveau um sinken. 4 %. Gleichzeitig stieg die Kapazitätsauslastung sowie der Überstundenanteil. Die Erhöhung des Die Zinsdifferenz zum Dollarraum hatte sich in Produktionsausstosses war von einer Beschäfti- den Monaten Februar und März trotz steigender gungszunahme, einem markanten Rückgang der Frankenzinsen stark ausgeweitet. Gleichzeitig Kurzarbeit und einem unerwartet deutlichen Ab- setzte der Dollar zu einem Höhenflug an, der ihn bau der Zahl der Arbeitslosen begleitet. vorübergehend bis über die Marke von 2.90 Franken trug. Im Zuge der in den folgenden Die Expansion der Gesamtnachfrage führte ne- Monaten eingetretenen bedeutenden, aber nicht ben der erwähnten Ausweitung der Produktion unerwarteten Abschwächung des US- Dollars bil- auch zu einem starken Anstieg der Importe. Der deten sich die Eurofrankensätze (3 Monate) bis Gesamtimport lag im zweiten Quartal wie schon Ende August wieder um rund 1 Prozentpunkt auf im Vorquartal um real rund 7% über dem ent- 41/2% zurück. Parallel zum Rückgang des Dollar-
187 kurses erholte sich der Franken auch gegenüber Grafik 10: Reales Bruttoinlandprodukt1 der Mark und dem Yen, so dass sein realer 12 exportgewichteter Aussenwert nur noch gering- - \\ Anlageinvestitionen fügig unter dem entsprechenden Vorjahresstand lag. 4 / \, BIP J `----. Die Jahresteuerungsrate (Landesindex der Kon- Privater sumentenpreise) betrug im August 3,0 %. Seit Konsum -4 dem im Februar gemessenen Höchststand von 4% hat sich die Teuerung nicht zuletzt aufgrund 8 der Wechselkursbewegungen bemerkenswert 80 - 81 B2 83 84 85 rasch zurückgebildet. Die Verlangsamung des Veränderung in % gegenüber der entsprechenden Preisauftriebs war bei den in den Grosshandels- Vorjahresperiode Quelle: Bundesamt für Statistik index eingehenden Waren noch ausgeprägter als auf der Konsumstufe. Quartal 1985 und 82% im ersten Quartal 1984 - 2. Der realwirtschaftliche Bereich lassen vorläufig eine reibungslose Anpassung der Produktion an die steigende Nachfrage zu. Bruttoinlandprodukt und industrielle Die im Durchschnitt als eher etwas zu gross Produktion geltenden Fertigfabrikatelager gewährleisten zu- dem eine ausreichende Lieferbereitschaft. Das reale Bruttoinlandprodukt lag im ersten Quartal 1985 um 2% über dem Vorjahresniveau. Die Zahl der Beschäftigten wurde von der Mehr- Gegenüber dem Vorquartal betrug der Zuwachs heit der am KOF- Konjunkturtest beteiligten Un- auf saisonbereinigter Basis 0,3 %. Im industriel- ternehmen als ausreichend, teilweise schon als len Sektor nahm die Produktionsleistung innert zu knapp beurteilt. Bei einer weiteren Erhöhung Jahresfrist um 3,4% und verglichen mit dem der Produktion Ist deshalb in Teilbereichen der Vorquartal saisonbereinigt um 0,7% zu. Beide Industrie mit einer Verknappung des Angebots Aggregate zeigten im ersten Quartal eine an qualifizierten Arbeitskräften zu rechnen. Aller- Wachstumsverlangsamung an, doch waren da- dings dürfte es zurzeit noch möglich sein, Eng- für vor allem ausserordentliche Witterungsfakto- pässe durch vermehrte Überzeitarbeit zu über- ren verantwortlich. Die meisten verfügbaren Da- brücken. Der Anteil der Überstunden an der ge- ten weisen darauf hin, dass die Wirtschaft im samten Arbeitsleistung belief sich im zweiten zweiten Quartal wieder zu einem schnelleren Quartal auf 2,0%, gegenüber 1,6% vor einem Wachstumsrhythmus zurückgekehrt ist. Jahr. Gemäss dem von der KOF -ETH im Rahmen Die Auftragseingänge in der Industrie lagen im ihres Konjunkturtests ausgewiesenen Sammel- ersten Quartal 1985 um 7% über dem Vorjahres- indikator «Geschäftsgang» verbesserte sich die stand. Dabei war namentlich bei den Ausland- Lage in der Industrie auch im zweiten Quartal aufträgen eine starke Belebung festzustellen. (vgl. Grafik 9). Die Industrieproduktion stieg ge- Gemäss KOF- Umfrage stieg das Auftragsvolu- genüber der entsprechenden Vorjahresperiode men auch im zweiten Quartal. um 4 %. Gestützt auf die im KOF- Konjunkturtest erfragten Unternehmerpläne kann auch im drit- ten Quartal mit einer Ausdehnung der Industrie- Privater Konsum produktion gerechnet werden. Der private Konsum bildete sich im ersten Quar- Die noch vorhandenen Kapazitätsreserven die - tal gegenüber der Vorperiode saisonbereinigt Kapazitätsauslastung belief sich im zweiten deutlich zurück und wuchs im Vorjahresvergleich Quartal auf gut 85% gegenüber 84% im ersten lediglich um 0,5 %. Zu diesem ungünstigen Er-
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