UE 5 ANATOMIE FICHE DE COURS 1 : GENERALITES - PARIS XII CRETEIL - TORCY - SENART - CPCM
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PARIS XII CRETEIL – TORCY – SENART 2nd semestre 2019-2020 UE 5 ANATOMIE FICHE DE COURS 1 : GENERALITES CPCM – 106 Bd Saint Germain 75006 PARIS – Tel : 01.46.34.52.25 contact@prepa-cpcm.com / www.prepa-cpcm.com
Histoire de l’anatomie : Le terme « anatomie » est formé des racines grecques « tomein » qui signifie couper et « ana » qui signifie de haut en bas. Il s’agit de l’ouverture et de la dissection d’un corps pour en décrire les organes. Anatomistes Avancée de la discipline IVème siècle avant JC Aristote - Comparaison de structure anatomique à des éléments connus - Exemple : processus styloïde de l’ulna Renaissance André Vésale - approche scientifique de l’anatomie, raisonnement - apparition des éponymes : nom d’un anatomiste donné à une structure - Rédaction « De Hominis Corporis » 1895 Anatomistes germanophones - uniformisation du vocabulaire (Bâle) anatomique - langage universel - chaque structure est désignée par un terme unique, en latin - suppression des éponymes 1955 Anatomistes français (Paris) - adoption de la nomenclature internationale Nomina Anatomica en France 1988 - adoption internationale de la terminologie Anatomica L’anatomie au pluriel : L’anatomie est un langage qui se décline en anatomie : - descriptive : description des os en premier. La position des muscles, vaisseaux, nerfs et viscères est définie par rapport aux structures osseuses. La coupe anatomique est une restitution en 2 dimensions des organes. Exemple : les os du bassin. - Fonctionnelle : utilisation de l’anatomie descriptive lors d’un examen fonctionnel. - Clinique : utilisation de l’anatomie descriptive lors d’un examen clinique. Exemple : palpation des branches ischio-pubiennes chez une patiente. - Radiologique : montre les éléments vus sur une coupe anatomique.
- Pathologique : la compréhension de la pathologie fait appel à l’anatomie standard. Exemple : descente d’organes liée à une distension des muscles du périnée. - Chirurgicale : l’anatomie descriptive permet de comprendre certaines techniques chirurgicales. Exemple : une bandelette sous-urétrale pour être tendue d’un foramen obturé à l’autre pour le traitement de l’incontinence urinaire d’effort. - Comparée. Description des grandes régions. Tête : boite crânienne et face : creusée d’orifices contenant les organes des sens. Cou : zone rétrécie donnant accès à la tête. Tronc : région centrale composée : - thorax (cage thoracique): loge ostéofibreuse. Contient le bloc cardio- pulmonaire. - abdomen (cavité abdominale) : loge musculaire. Composée des muscles larges de l’abdomen qui s’insèrent sur : les côtés, le bassin, les vertèbres lombaires. - bassin (pelvis) : ceinture osseuse entourant les organes pelviens. Membre supérieurs : attachés au tronc. Membres inférieurs : attachés au tronc.
Orientation et positions : Position anatomique standard - position debout - pieds parallèles - membres supérieurs pendant le long du corps - paume des mains tournée vers l’avant - côté droit : référence Position fonctionnelle - plus appropriée pour les mouvements - en position neutre pour 2 mouvements opposés Termes et sens d’orientation : Termes Orientation Schéma Supérieur ou Crânial vers le haut ou le crâne Inférieur ou Caudal vers le bas, en direction du siège Médial ou Interne vers le milieu, l’intérieur Latéral ou Externe s’éloigne du milieu, vers l’extérieur Proximal vers l’insertion du membre sur le tronc ou près l’axe médian Distal s'éloigne du tronc ou l’axe médian
Termes Orientation Schéma Antérieur ou Ventral vers l’avant, le ventre Postérieur ou Dorsal vers l’arrière, le dos Superficiel ou Périphérique plus près surface du corps Profond ou Central éloigné de la surface, vers l’intérieur Ipsilatéral même côté Controlatéral côté opposé Plans anatomiques : Un plan anatomique est une surface imaginaire bi-dimensionnelle divisant le corps humain en 2 parties. Les 3 plans de référence correspondent aux 3 dimensions de l’espace et sont perpendiculaires entre eux. Plan sagittal : divise corps en 2 sections latérales (droite et gauche). Plan sagittal médian : passe par le milieu du corps. Plan para-sagittal : décalé latéralement par rapport au plan médian. Plan frontal : divise corps 2 parties : antérieure / postérieure. Parallèle au front Plan transversal : divise corps 2 parties : supérieure / inférieure.
Les axes : Un axe est une ligne imaginaire donnée par l’intersection de deux plans. On compte 3 axes de référence. Axes Description Axe sagittal - intersection plans sagittal et transversal - axe horizontal, direction: avant/arrière Axe transversal - intersection plans frontal et transversal - axe horizontal, direction : droite/gauche Axe longitudinal - intersection plans sagittal et frontal - axe vertical, direction : crânio- caudale
Les mouvements articulaires : Mouvement Description Plan référence Axe référence Flexion rapprochement des sagittal transversal segments osseux Extention éloignement des sagittal transversal segments osseux Abduction éloignement des frontal sagittal segments du plan sagittal médian Adduction rapprochement des frontal sagittal segments vers le centre Rotation interne rapprochement de la transversal longitudinal médian face antérieure du membre du plan sagittal médian Rotation externe éloignement de la face transversal longitudinal médian antérieure du membre du plan sagittal médian Exceptions pour l’abduction/adduction des doigts et des orteils : - mouvements des doigts en fonction de l’axe de la main qui passe par le 3ème doigt - mouvements des orteils en fonction de l’axe du pied qui passe par le 2ème orteil
Autres mouvements : Certains mouvements sont spécifiques de certaines articulations : • circumduction : combinaison de plusieurs mouvements fondamentaux. • antépulsion/rétropulsion : vers l’avant/vers l’arrière. • inclinaison latérale : mouvement du squelette axial dans le plan frontal. • pronation/supination : rotation interne/externe de l’avant-bras par rotation d’un os autour de son axe longitudinal constitué par l’ulna. • dorsiflexion/flexion plantaire : flexion et extension au niveau de la cheville et des orteils. Appareil osseux : Les os sont formés de tissu vivant, dur et blanc. Le squelette correspond à l’ensemble des os. Il y a 208 os constants et des os surnuméraires et doubles. Le squelette axial comprend les os de la colonne vertébrale, de la tête, du thorax et l’os hyoïde. Ses fonctions sont : • support des structures corporelles • protection des organes internes • permettre le mouvement par les muscles striés • hébergement de la moelle osseuse (formation des cellules sanguines) • stockage et métabolisme des minéraux • détoxication par fixation de certains toxiques (plomb) Histologie du tissu osseux : Le tissu osseux est formé de système de Havers. Il est organisé sous forme d’os compact ou spongieux. Système de Havers formé par les lamelles concentriques contenant les ostéocytes entourés d’une substance fondamentale et d’une matrice intercellulaire riche en carbonate de calcium et phosphate de calcium. Os compact réunion de système de Havers. Os spongieux - disposé en colonnes entre lesquelles se trouve la moelle osseuse. - colonnes disposées en fonction de ligne de force Remaniement osseux - perpétuel - grâce : ostéoblastes et ostéoclastes - plasticité osseuse - potentiel régéneratif chez l’adulte grâce au périoste
Croissance et régénération osseuse : Les os des enfants sont plus mous que ceux des adultes. La formation de l’os débute vers la 9ème semaine chez le fœtus. L’ossification est : le durcissement de tissu fibreux ou cartilagineux qui se transforment en os. Graduelle de l’enfance à la puberté. Le développement est proximo-distal ou céphalo-caudal. • ossification endo-membraneuse : à partir membrane périostique d’origine mésenchymateuse ostéogène par sa face profonde. Apposition de lamelles concentriques. Concerne : os plats et croissance en épaisseur des os longs. • ossification endochondrale : à partir noyaux d’ossification primaires (diaphyse) et secondaire (épiphyse). Entre les deux : cartilage de conjugaison qui permet la croissance en longueur. La croissance s’arrête quand il n’y a plus de cartilage de conjugaison. Concerne : os longs, vertèbres, os du pelvis, os de la base du crâne. • Périoste : rôle croissance latérale et régénération après fracture.
3 types d’os : Dimensions Organisation Exemples Os longs Longueur prédomine sur - partie intermédiaire fémur la largeur et l’épaisseur allongée: diaphyse - 2 extrémités : épiphyses - entre diaphyse et épiphyse: métaphyse Os plats Longueur et largeur 2 faces et plusieurs scapula, os iliaque prédominent sur bords l’épaisseur Os courts Les 3 dimension sont à 6 faces en général os du tarse peu près égales Os irréguliers Os rayonnés, os pneumatiques : creusés d’une cavité Vascularisation osseuse : Os longs - artères diaphysaire: pénètre l’os par un foramen nourricier - artères épiphysaire - artères périostées Os plats - artères nourricières - artères périostées Os courts - artères périostées Les articulations : Les articulations fibreuses : Elles sont unies par du tissu conjonctif. Ce sont des articulations immobiles. • Sutures crâniennes : le tissu fibreux s’ossifie. Ex. : os du crâne. • Syndesmoses : surfaces osseuses éloignées. Ex. : membrane interosseuse ulna/radius, ligaments jaunes. • Schyndilèse : crête osseuse s’articulant avec une rainure. Ex. : vomer et sphénoïde.
Les articulations cartilagineuses : • Synchondrose : articulations temporaires ou cartilagineuses primaires. Ex. : cartilage de conjugaison. • Symphyses ou amphiarthrose : fibre-cartilage renforcé par des ligaments. Ex. : corps vertébraux entre eux (disque intervertébral), symphyse pubienne. Diarthrose : articulations synoviales. Elles se caractérisent par la présence d’une cavité articulaire et d’une membrane synoviale. Elles ont une grande amplitude. Elles sont constituées d’une surface osseuse recouverte de cartilage hyalin, d’une structure fibre-cartilagineuses (labrum, ménisques, disques) et de moyens d’union : capsule articulaire et ligaments. Sous-types Caractéristiques Schéma Exemples Enarthrose ou - 3 degrés de liberté - Coxo-fémorale Sphéroïde - 2 surfaces sphériques - Scapulo-humérale inversées, pleines et creuses Condylarthrose ou - 2 degrés de liberté - Radio-carpienne Ellipsoide ou - 2 surfaces Condylaire ellipsoïdales, concave et convexe
Sous-types Caractéristiques Schéma Exemples Trochléarthrose ou - 1 degré de liberté - Huméro-ulnaire Ginglyme - 2 surfaces en forme - Cheville de poulie (un segment de poulie plein et un segment de poulie creux) Trochoïde - 2 surfaces cylindriques - Radio-ulnaire proximale pleines et creuses En selle - 2 surfaces osseuses - Carpo-métarcarpienne connexes dans un sens du pouce et concaves dans l’autre, de conformation inverse Arthrose ou plane - Mobilité réduite - Articulations zygapophysaires des apophyses articulaires des vertèbres thoraciques - Acromio-claviculaire
Description d’une articulation énarthrose : • 2 cartilages. • Insertion de la capsule qui peut se faire sur le pourtour de l’articulation. • Fibrocartilages associés : ménisques. • Membrane synoviale : sécrète le liquide articulaire (= synovie) ce qui assure la nutrition des surfaces articulaires. Elle se fixe à la face profonde de la capsule. Elle forme des culs de sac qui peuvent se remplir sous la peau et bomber entre les tendons. • Ligaments et tendons des muscles péri-articulaires qui renforcent l’articulation. Le système musculaire : Le muscle est un tissu contractile qui dispose de propriétés d’excitabilité, d’élasticité, de maintien du tonus et de plasticité. Leur contraction est sous commande nerveuse volontaire ou non.
3 types de muscles : • Muscles striés. Ils dépendent du système nerveux cérébro-spinal, innervés par moto-neurones passant par les nerfs spinaux. Ils sont impliqués dans la vie de relation et composés de cellules géantes multinucléées formant des fibres musculaires. • Muscles lisses : contractions involontaires, sous commande du système nerveux végétatif, innervé par des fibres amyéliniques. Elles sont fusiforme, mononucléées (léiomyocytes) et forment la paroi musculaire des organes creux et des vaisseaux sanguins. Elles se contractent lentement et entraînement un mouvement de péristaltisme. • Cellules musculaires cardiaques : cellules mono-nucléées et striées ayant une activité contractile spontanée, modulée par le système nerveux végétatif.
Les muscles striés: Fonctions - Mise en mouvement du corps et des articulations. - Maintien la posture globale, rôle dans la stabilité des articulations - Production de chaleur - 600 muscles constants, 45% masse corporelle Composition - Ventre charnu : insertion directe ou indirecte par un tendon sur l’os, cloisons intermusculaires, arcades fibreuses, muqueuse, derme - Cellules : géantes, multinuclées, formant des fibres musculaires. Diamètre : 10 à 100 microns. - Plusieurs couches de tissu conjonctif : Endomysium : entoure chaque fibre musculaire, Périmysium : assemble les fibres en faisceaux, Epimysium : recouvre l’ensemble du muscle. Structures annexées - Fascias : enveloppes fibreuses entourant les muscles, délimite les loges musculaires peu extensibles. - Bourses synoviales : entre le muscle et les structures voisines : favorise le glissement. - Gaines tendineuses formant des poulies. Histologie - limitée par : sarcolemme, constitué d’une membrane plasmique et d’une lame basale. - Noyaux en périphérie de la cellule - A proximité des noyaux : vacuoles de myoglobine - Sarcoplasme : cytoplasme des fibres musculaires, contient les unités contractiles : filament épais (myosine), filament fin (actine, troponine, tropomyosine). - Sarcomères : unités fonctionnelles contractiles. Contraction= raccourcissement des sarcomères par le glissement des filaments de myosine et d’actine. - Cellules satellites : sous lame basale. Responsable : régénération musculaire. Innervation - Motrice : libération d’acétylcholine dans la synapse. - Sensitive. Physiologie de la - Se contracte en réponse à une stimulation nerveuse qui provoque la contraction dépolarisation de la membrane plasmique (=sarcolemme). - Signal se propage : le long sarcolemme et entraine libération calcium dans le sarcoplasme. - Ca : déclenche la contraction= couplage excitation-contraction. - Unité motrice : ensemble formé par un neurone et les fibres musculaires qu’il innerve. Fonctionnement - Contraction isométrique - Contraction dynamique (raccourcissement du muscle) - Pour chaque mouvement il existe un muscle agoniste et un antagoniste.
Types de fibres : • Type I : contraction lente, peu fatigable à métabolisme aérobique. Endurance : +++. Maintien du tonus de posture. Riche en mitochondries, en myoglobine. • Type II (IIa et IIb) : Contraction rapide et forte mais fatigable. Métabolisme anaérobie : pauvres en mitochondries et en myoglobine mais riches en glycogène et en enzymes glycolytiques. Les différentes formes de muscles striés : Cela prend en compte : la localisation, la forme, la constitution, la direction des fibres, l’action, la taille, le volume des muscles. Composition Exemples Muscle bicipital - 2 chefs musculaires - Biceps brachial - Biceps fémoral Muscle tricipital - 3 ventres charnus disposés en - Triceps brachial parallèle - Triceps sural Muscle quadricipital - 4 ventres charnus disposés en - Quadriceps parallèle Muscle polygastrique - Additionne plusieurs fuseaux - Digastrique du cou - Grand droit - Diaphragme Muscle plat - Dentelé antérieur Muscle circulaire - Orbiculaire de la bouche - Sphincter urétral, anal Muscle pennés - Faisceaux de fibres très courts et un tendon qui s’étend sur toute la longueur du muscle. - L’orientation des pennations permet aux muscles squelettiques de produire des mouvements variés. Exemple du réflexe rotulien : C’est la contraction réflexe d’un muscle d’étirement composé : une voie monosynaptique excitatrice ou « réflexe myotatique » et une voie polysynaptique entrainant le relâchement du muscle antagoniste du muscle étiré. Permet l’examen neurologique d’un segment de moelle épinière. La percussion du tendon patellaire entraine l’extension de la jambe par contraction du quadriceps et relâchement du biceps fémoral. Met en jeu les racines L3-L4.
Le système nerveux. Fonctions : • Responsable de la coordination des actions du corps avec l’environnement. • Régule le fonctionnement des organes. • Reçoit et traite en permanence des informations sensorielles provenant de l’intérieur et de l’extérieur, coordonne l’action des muscles et des organes. Système nerveux central (SNC) Encéphale= cerveau + tronc cérébral + cervelet = partie du SNC située dans la boite crânienne. Rôle : réception, traitement, intégration et émission de messages nerveux. • Cerveau : organe central supervisant le système nerveux et centre de la pensée consciente. Au- dessus de la tente du cervelet. 3 parties : diencéphale, télencéphale. • Tronc cérébral = mésencéphale + pont + moelle allongée. A la jonction entre le cerveau, le cervelet, la moelle épinière. Lieu d’émergence des nerfs crâniens. Centres végétatifs. Responsable des fonctions vitales (régulation de la respiration, du rythme cardiaque). Centre de passage des voies motrices et sensitives. • Cervelet : fonctionne comme un cerveau secondaire, branché face dorsale tronc cérébral. Rôle : maintien posture, équilibre, coordination mouvements, mémoire, systématisation gestuelle. Moelle épinière : transmission des messages nerveux entre le cerveau et le reste du corps. Voies ascendantes et descendantes. Siège des réflexes élémentaires. SNC protégé par : • Enveloppes osseuses : boite crânienne, colonne vertébrale. • Méninges (dure-mère, arachnoïde, pie-mère) et liquide céphalo-rachidien. Système nerveux périphérique (SNP) Il comprend toutes les structures nerveuses qui se trouvent hors du canal vertébral et du crâne : • Nerfs sensitifs, sensoriels, moteurs issus moelle et tronc cérébral. • Chaines ganglionnaires latéro-vertébrales et plexus viscéraux.
Nerfs cérébro-spinaux : - Relient au monde extérieur - Responsables vie de relation - Sous contrôle de la volonté - Commande muscles striés - Véhiculent sensibilité - Forment système somatique - Comporte : Nerfs crâniens (12 paires): innervation extrémité céphalique et contenu viscéral cou et tronc. - Nerfs spinaux (31 paires) Nerfs végétatifs - Destinés aux viscères, glandes, vaisseaux sanguins - Indépendants volonté - Régulent : vie intérieure, fonctionnement organes - Appartiennent système nerveux autonome - Empruntent nerfs cérébro-spinaux Organisation microscopique : Neurone : • Cellule excitable, transmet un signal électrochimique = propagation de dépolarisation de la membrane plasmique et libération de neurotransmetteurs au niveau des synapses • A des prolongements : dendrites (entrée de l’information) et axone (sortie de l’information). Un seul axone. • Cas particuliers : neurones sensoriels de la peau : pas de dendrites, un unique axone avec deux embranchements. Corps cellulaire dans : le ganglion spinal. Cellules gliales : • Cellules de support nécessaires au bon fonctionnement du système nerveux. • Principales cellules : oligodendrocytes, cellules de Schwann • Forment une gaine de myéline autour des axons et permet la conduction saltatoire du signal électrique.
Organisation fonctionnelle du système nerveux : Constitution Moelle Encéphale Substance grise Corps des cellules Centrale - Périphérique nerveuses - Profonde Substance blanche Prolongement des Périphérique Centrale cellules nerveuses Cavité où circule le Communiquent avec les Canal épendymaire Ventricules LCR espaces subarachnoidiens Système nerveux somatique : neurones impliqués : mouvements volontaires, sensations conscientes. Neurones empruntent : branche antérieure du nerf spinal et innervent : muscles striés. Système autonome ou végétatif : neurones gérant : vie intérieure manière automatique et involontaire. Divisé : SN sympathique et SN parasympathique. Ce système commande et régule : grandes fonctions vitales : fréquence cardiaque, respiratoire, pression artérielle, température corporelle, fonctions digestives et sexuelles.
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