Belgian National Orchestra, Shokhakimov & Kopatchinskaja - Bozar Belgian National Orchestra 3 Oct.'21 - Salle Henry Le Boeuf Zaal, Bozar
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Bozar ✕ Belgian National Orchestra 3 Oct.’21 Belgian National Orchestra, Shokhakimov & Kopatchinskaja Salle Henry Le Bœuf Zaal, Bozar
Belgian National Orchestra Aziz Shokhakimov, direction ∙ leiding Patricia Kopatchinskaja, violon ∙ viool Maurice Ravel FR-NL 1875-1937 Le tombeau de Couperin (1919) ✓ Prélude: Vif ✓ Forlane: Allegretto ✓ Menuet: Allegro moderato ✓ Rigaudon: Assez vif Felix Mendelssohn-Bartholdy FR-NL 1809-1847 Concerto pour violon en ré mineur ∙ Concerto voor viool in d, MWV03 (1822) ✓ Allegro molto ✓ Andante ✓ Allegro pause · pauze
Ludwig van Beethoven FR-NL 1770-1827 Symphonie n° 6 en fa majeur ∙ Symfonie nr. 6 in F, op. 68, “Pastorale” (1808) ✓ Erwachen heiterer Empfindungen bei der Ankunft auf dem Lande. ✓ Allegro ma non troppo ✓ Scene am Bach: Andante molto moto ✓ Lustiges Zusammensein der Landleute: Allegro ✓ Gewitter. Sturm: Allegro ✓ Hirtengesang: Frohe und dankbare Gefühle nach dem Sturm. durée ∙ duur : ± 2h15 BACK
Clé d’écoute Maurice Ravel Le tombeau de Couperin Le tombeau était un genre musical en usage pendant la période baroque. À l’instar des compositeurs d’autrefois qui rendaient parfois hommage aux maîtres qu’ils admiraient, Ravel a élevé une stèle musicale au souvenir de Couperin et plus généralement à l’école des clavecinistes français des XVIIe et XVIIIe siècles. Le Tombeau de Couperin est, en sa forme originale, une suite pour piano dont la physionomie externe est assez analogue aux « ordres » de Couperin. Sans aucun pastiche archaïsant, Ravel reprend le cadre ancien de la suite classique. Chacune des parties est traitée sous sa forme primitive classique, mais avec toutes ses ingénieuses trouvailles harmoniques, rythmiques et mélodiques. La version pianistique comprend six morceaux. Lorsqu’en 1920 Ravel décida d’orchestrer l’œuvre, il n’en reprit que quatre, laissant de côté deux parties considérées comme essentiellement pianistiques. Restent donc le Prélude, si merveilleusement volubile ; la Forlane, avec toutes les grâces souples de cette ancienne danse vénitienne ; le Menuet, dans le style typique du XVIIIe siècle ; et le Rigaudon, où se lit en filigrane l’admiration que Ravel portait au compositeur Chabrier. Chacune des pièces est dédiée à la mémoire de l’un des amis de Ravel tombés au champ d’honneur dans les premiers mois de la guerre de 1914. La première audition de la version orchestrale fut donnée le 28 février BACK
1920 aux Concerts Pasdeloup sous la direction de Rhené-Baton. Peu après, les Ballets suédois avec le danseur Jean Borlin en donnèrent une version chorégraphique. Felix Mendelssohn-Bartholdy Concerto pour violon en ré mineur Le Concerto pour violon en mi de Felix Mendelssohn est l’une des plus belles œuvres du répertoire pour violon, dont la célèbre mélodie d’ouverture, tout en mélancolie, s’avère particulièrement poignante. Aujourd’hui, nous écoutons toutefois le concerto en ré – composé à l’âge de 13 ans seulement. À l’instar de Mozart, Mendelssohn fut considéré comme un enfant prodige car il démontra très tôt un talent exceptionnel pour la composition. Parmi ses autres œuvres de jeunesse, citons l’Octuor à cordes et l’ouverture du Songe d’une nuit d’été, composés respectivement à l’âge de 16 et 17 ans. Composé vingt ans avant le Concerto en mi, le Concerto en ré présente une construction en trois mouvements (allegro-andante-allegro) et des progressions harmoniques et phrasés équilibrés apparentés à ceux de Mozart. Néanmoins, par instants, Mendelssohn fait particulièrement preuve d’originalité. Les modulations audacieuses du deuxième mouvement (andante), surtout, prouvent qu’il ne craignait pas de sortir des sentiers battus. Le concerto a connu une véritable BACK
renaissance lorsque le légendaire violoniste Yehudi Menuhin s’attaqua à la partition en 1956. Depuis lors, plusieurs grands violonistes ont repris le concerto, à l’instar de Patricia Kopatchinskaja aujourd’hui. Ludwig van Beethoven Symphonie n° 6 en fa majeur, « Pastorale » Le romantisme est un art aux facettes multiples, et ce certainement chez Beethoven. Ainsi, alors que sa Troisième Symphonie était celle des sentiments héroïques, la Cinquième des tourments roman- tiques et de la fatalité, c’est le lyrisme bucolique qui domine dans la Sixième Symphonie. Bien sûr, ce caractère pastoral cadre parfaitement avec la sensibilité et l’humanisme romantiques, mais la Symphonie Pastorale apparaît surtout comme occupant une place originale dans toute l’œuvre de Beethoven. Par opposition à la plupart de ses autres symphonies, remarquables par la solidité de leurs formes, la charpente complexe de leurs structures et leur tension dramatique, la Pastorale est d’une simplicité déconcertante : les mélodies y sont diatoniques, la progression harmonique lente et les accords exposés fondamentaux ; les struc- tures rythmiques y sont élémentaires et très sou- vent répétées, les contrastes et la dynamique ne dépassent que de temps à autre le mezzo-forte. En un mot, Beethoven manipule dans sa Pasto- rale une tonalité qui n’est ni flamboyante, ni extra- vertie, mais beaucoup plus discrète et intime. Une tonalité qui demande par conséquent une écoute BACK
minutieuse afin d’apprécier le raffinement et les subtilités de la partition. Et si, dans le quatrième mouvement de l’œuvre, les élans beethovéniens bien connus sont ranimés, ils seront aussitôt tem- pérés, dans le finale, par les mélodies lyriques et les rythmes fluides. Cette inhabituelle simplicité permet aux différents mouvements d’être libérés d’un contenu stricte- ment musical et d’être explicitement couplés à des images extra-musicales ; et ainsi, la Symphonie Pastorale a accédé au titre des œuvres les plus si- gnificatives du répertoire symphonique. En effet, la Pastorale est la première grande symphonie basée sur un contenu programmatique. Programme ne signifie nullement « anecdote » ou « tableau », mais bien expression du sentiment et des sensations : Beethoven ne tente pas de créer une copie musi- cale de la réalité, mais construit un homologue mu- sical basé sur les émotions qui foisonnèrent en lui alors qu’il se promenait dans la nature. La trame programmatique de la Pastorale n’a d’ailleurs pas été sans secouer la tradition sym- phonique. Par opposition à la symphonie classique en quatre mouvements, la Pastorale compte cinq mouvements, dont les trois derniers enchaînés. Beethoven s’est bel et bien ici laissé guider par le contenu extra-musical poétique de l’œuvre, et non par les conventions compositionnelles. Ce carac- tère récalcitrant devant la tradition, cette revendi- cation du primat de la subjectivité et de l’émotivité de l’artiste sur la convention, font de la Symphonie Pastorale une œuvre romantique par excellence. Pieter Bergé BACK
Toelichting Maurice Ravel Le tombeau de Couperin Zoals de oude componisten die hulde brachten aan de oude meesters, zo schreef Ravel ‘een muzikale gedenksteen’ als herinnering aan François Couperin en de Franse klavecimbelschool van de zeventiende en achttiende eeuw. Le tombeau de Couperin was oorspronkelijk een suite voor piano, die uiterlijk veel gelijkenis vertoont met de ‘ordres’ van Couperin. Zonder het minste archaïsme gebruikt Ravel het oude kader van de klassieke suite. Elk stukje wordt behandeld in zijn klassieke vorm, maar uiteraard met toevoeging van harmonische, ritmische en melodische vondsten. De pianoversie bestond uit zes delen. Wanneer Ravel in 1920 besliste een orkestversie te maken, liet hij twee delen weg, omdat hij hen als te pianistiek beschouwde. Wat overbleef was een wonderlijk welbespraakte Prélude, een Forlane, vervuld van de gratie van deze oude Venetiaanse dans, een Menuet in een typisch achttiende-eeuwse stijl en een Rigaudon die getuigt van Ravels grote bewondering voor Chabrier. Elk van deze stukken is opgedragen aan een van Ravels vrienden, gesneuveld in de eerste oorlogsmaanden van 1914. De eerste uitvoering van de orkestversie vond plaats op 28 februari 1920 in de Concerts Pasdeloup o.l.v. Rhené-Baton. Later werd er bij de muziek een choreografie geschreven door de Ballets suédois van Rolf de Maré. BACK
Felix Mendelssohn-Bartholdy Concerto voor viool in d, MWV03 Mendelssohns Vioolconcerto in e behoort tot een van de mooiste werken voor viool ooit geschreven. Vooral de weemoedige melodie aan het begin van het werk is bijzonder beklijvend. Vandaag staat het Vioolconcerto in d op het programma, dat hij componeerde toen hij slechts dertien jaar oud was. Net als Mozart was Mendelssohn een wonderkind, omdat hij al op een jonge leeftijd een knap staaltje compositietalent toonde. Andere werken die hij op jonge leeftijd componeerde zijn bijvoorbeeld het Octet voor strijkers en de ouverture van Ein Sommernachtstraum. Mendelssohn was respectievelijk slechts zestien en zeventien jaar oud. Zijn Concerto in d kan je dan misschien wel beschouwen als het kleine broertje van die in e door de driedelige opbouw (snel-langzaam-snel) en de harmonische progressies en evenwichtige frases die verwant zijn aan Mozart. Toch weet Mendelssohn bij momenten bijzonder origineel uit de hoek te komen. Vooral de gewaagde modulaties in het tweede langzame deel bewijzen dat hij niet de gebaande baden zomaar volgde. Het concerto kende een ware renaissance toen de legendarische violist Yehudi Menuhin in 1956 het stof blies van de partituur. Sindsdien hebben verschillende grote violisten zich gewaagd aan dit concerto, zoals vandaag Patricia Kopatchinskaja. BACK
Ludwig van Beethoven Symfonie in f-groot , ‘Pastorale’ De romantiek is, zeker bij Beethoven, een kunst met veel gezichten; daar waar Beethoven in zijn Derde symfonie nog de heroïek en in zijn Vijfde symfonie nog de romantische tormentatie en noodlottigheid gestalte had gegeven, overheerst in de Zesde symfonie veeleer de bucolische lyriek. Vanzelfsprekend past ook het pastorale gegeven perfect in het kader van het romantische levens- gevoel, maar desalniettemin bekleedt de Pastorale een ietwat opmerkelijke plaats in Beethovens sym- fonisch oeuvre. In tegenstelling tot de meeste an- dere symfonieën, die veelal gehonoreerd worden omwille van hun doorwrochte vormen, hun com- plexe structuren of hun dramatische geladenheid, is de Pastorale veeleer een symfonie die geken- merkt wordt door een bijna onthutsende eenvoud, een eenvoud die (vooral in de eerste drie delen) zelfs balanceert op de rand van de monotonie en het simplisme: de melodieën zijn doorlopend di- atonisch, het harmonische verloop is langzaam en de gebezigde akkoorden basaal, de ritmische structuren zijn elementair en worden vaak veelvul- dig herhaald, contrasten zijn er nauwelijks en de dynamiek groeit slechts nu en dan uit boven het mezzo-forteniveau; kortom, Beethoven hanteert in het grootste deel van de Pastorale een toonspraak die niet extrovert en flamboyant is, maar veeleer discreet en intiem, een toonspraak derhalve die vraagt om een zeer accurate beluistering, opdat het raffinement en de subtiliteiten van de partituur (cf. de orkestratie!) hoorbaar zouden worden. BACK
Pas in het vierde deel van deze symfonie flakkert de welbekende Beethoveniaanse bezetenheid op, doch in de finale wordt deze alweer getemperd door lyrische melodieën en vloeiende ritmen. Ondanks – of misschien juist mede door toedoen van – deze ongewone eenvoud wordt de Pastorale beschouwd als een van de meest significante symfonieën uit het integrale symfonische repertoire. Vanzelfsprekend heeft dit te maken met het feit dat de verschillende delen van Beethovens Zesde Symfonie nadrukkelijk gekoppeld zijn aan buitenmuzikale voorstellingen. De Pastorale is de eerste grote symfonie die op een programmatische inhoud gebaseerd werd. Meteen dient hierbij beklemtoond te worden dat het Beethoven in dit werk geenszins om ‘Malerey’ maar wel om ‘Ausdruck der Empfindungen’ te doen was. Met andere woorden, Beethoven heeft – op enkele vogelgeluiden na – niet zozeer getracht om een muzikale kopie van de werkelijkheid te creëren, maar wel om op basis van de emoties die bij hem opborrelden wanneer hij in de natuur vertoefde, een muzikaal pendant te construeren. De programmatische inslag van Beethovens Pastorale heeft de bestaande symfonische traditie overigens niet onberoerd gelaten. In tegenstelling tot de klassieke vierdelige symfonie, is de Pastorale immers een werk in vijf delen (waarvan de laatste drie delen rechtstreeks in elkaar overlopen). Hieruit blijkt dat Beethoven zich bij de uiteindelijke vormgeving van zijn werk wel degelijk heeft laten inspireren en beïnvloeden door buitenmuzikale aspecten, alle compositorische conventies ten spijt. Het is juist BACK
deze weerbarstigheid ten aanzien van de traditie, evenals de ermee gepaard gaande, toenemende profilering van de subjectieve intenties en emoties van de kunstenaar, die de Pastorale Symfonie karakteriseren als een romantisch werk bij uitstek. Pieter Bergé BACK
Biographies Biografiëen Aziz Shokhakimov, direction ∙ leiding © Mischa Blank FR Depuis sa victoire au Concours international de direction Gustav Malher à Bamberg à l’âge de 21 ans seulement, Aziz Shokhakimov a dirigé des orchestres de renom tels que la Staatskapelle Dresden, la Kammerphilharmonie Bremen, le SWR Sinfonieorchester, le HR-Sinfonieorchester, le Deutsches Sinfonieorchester Berlin ou le London Philharmonic Orchestra. Outre le domaine symphonique, il se produit régulièrement à l’opéra. L’été dernier, il a dirigé Le coq d’or de Rimski- Korsakov, dans une mise en scène de Barrie Kosky, au Festival d’Aix-en-Provence. BACK
NL Aziz Shokhakimov won op 21 jarige leeftijd de Gustav Mahler International Conducting Competition in Bamberg. Sindsdien dirigeerde hij gerenommeerde orkesten als de Staatskapelle Dresden, Kammerphilharmonie Bremen, SWR Sinfonieorchester, HR-Sinfonieorchester, Deutsches Sinfonieorchester Berlin en London Philharmonic Orchestra. Naast zijn symfonische bezigheden, dirigeert hij ook regelmatig opera’s. Afgelopen zomer dirigeerde hij Rimsky-Korsakovs Gouden haan in een regie van Barrie Kosky op het Festival d’Aix-en-Provence.
Patricia Kopatchinskaja, violon ∙ viool © Alexandra Muravyeva FR Alliant dans son jeu profondeur, brillance et humour, Patricia Kopatchinskaja approche la musique avec une théâtralité exceptionnelle. Curieuse, elle aborde tant les concertos pour violon de Tchaïkovski, Ligeti ou Schönberg, que des projets scéniques singuliers dans lequel elle déconstruit Beethoven, Oustvolskaïa ou Cage. La violoniste se produit comme soliste aux côtés des orchestres les plus prestigieux. Cette saison, elle est artiste en résidence auprès du Berliner Philharmoniker, et vient à Bozar à deux reprises durant le même mois : le 3 octobre, en soliste avec le Belgian National Orchestra, puis le 27 octobre, en tournée avec l’éminente violoncelliste Sol Gabetta. BACK
NL Patricia Kopatchinskaja combineert diepgang, briljantheid en humor in haar spel en benadert de muziek met een uitzonderlijke theatraliteit. Het maakt daarbij niet uit of ze een vioolconcerto van Tsjakovski, Ligeti of Schönberg vertolkt of een eigenzinnig geënsceneerd project presenteert waar in ze Beethoven, Oestvolskaja of Cage deconstrueert. Momenteel soleert ze met de meest prestigieuze orkesten, en is ze dit seizoen artist in residence bij de Berliner Philharmoniker. Ze komt deze maand twee keer naar Bozar: op 3 oktober, als solist met het Belgian National Orchestra, en op 27 oktober, op tournee met de eminente cellist Sol Gabetta. BACK
Belgian National Orchestra FR Fondé en 1936, le Belgian National Orchestra est en résidence permanente à Bozar. Depuis 2017, le chef d’orchestre américain Hugh Wolff est aux commandes de l’orchestre. Le Belgian National Orchestra se produit aux côtés de solistes renommés tels que Vilde Frang, Gidon Kremer ou Rolando Villazón. Il s’intéresse également à la jeune génération d’auditeurs et ne recule pas devant des projets novateurs tels que sa collaboration avec l’artiste pop-rock Ozark Henry. Sa discographie, parue essentiellement sur le label Fuga Libera, jouit d’une reconnaissance internationale et comprend, entre autres, six enregistrements réalisés sous la direction de l’un de ses anciens chefs Walter Weller. NL Het Belgian National Orchestra, dat werd opgericht in 1936, is de geprivilegieerde partner van Bozar. Sinds 2017 staat het orkest onder leiding van de Amerikaanse dirigent Hugh Wolff. Het Belgian National Orchestra treedt op met solisten van wereldformaat als Vilde Frang, Gidon Kremer en Rolando Villazón. Verder investeert het Belgian National Orchestra in de toekomstige generatie luisteraars en deinst het niet terug voor vernieuwende projecten, zoals met pop-rock- artiest Ozark Henry. Tot de bekroonde discografie, voornamelijk op het label Fuga Libera, behoren onder meer zes opnames onder leiding van voormalig chef-dirigent Walter Weller. BACK
Konzertmeister ∙ contrebasse ∙ contrabas concertmeester Robertino Mihai*** Alexei Moshkov Svetoslav Dimitriev* Dan Ishimoto premier violon ∙ eerste viool Miguel Meulders Sophie Causanschi*** Gergana Terziyska Isabelle Chardo* Sarah Guiguet* flûte ∙ fluit Maria Elena Boila Baudoin Giaux*** Nicolas Deharven Laurence Dubar* Françoise Gilliquet Jérémie Fèvre* Philip Handschoewerker AkikaHayakawa hautbois ∙ hobo Ariane Plumerel Dimitri Baeteman** Serge Stons Bram Nolf* Dirk Van De Moortel clarinette ∙ klarinet deuxième violon ∙ Julien Beneteau** tweede viool Emilie Maggio Filip Suys*** Jacqueline Preys** basson ∙ fagot Nathalie Lefin* Gordon Fantini*** Marie-Daniëlle Turner* Bert Helsen* Sophie Demoulin Hartwich D’Haene cor ∙ hoorn Anouk Lapaire Anthony Devriendt* Ana Spanu Jan Van Duffel* Esther Singier Katrien Vintioen* Ricardo Viera Bernard Wasnaire* Dries Laureyssens alto ∙ altviool Vladimir Babeshko*** trompette ∙ trompet Mihoko Kusama* Bram Mergaert Sophie Destivelle Ward Opsteyn* Katelijne Onsia Peter Pieters trombone Marinela Serban Bruno Debusschere* Silvia Tentori Montalto Koen Severens Song Aun Mun percussion ∙ slagwerk violoncelle ∙ cello Nico Schoeters*** Lolsi Leka Lesya Demkovych Tine Muylle ***chef∙fe de pupitre ∙ Uros Nastic lessenaanvoerder Harm Van Rheeden **premier·ère soliste ∙ eerste solist Taras Zanchak *soliste ∙ solist BACK
Discover the Music Season ’21 → ’22 at Bozar Let’s get things moving
coproduction · coproductie soutien · steun Le Belgian National Orchestra bénéficie du soutien de différents partenaires. C’est grâce à leur appui qu’il peut multiplier ses projets et en améliorer la qualité. L’orchestre tient à leur exprimer toute sa gratitude. Het Belgian National Orchestra wordt gesteund door verschillende partners. Dankzij hun inbreng kan het meer en betere projecten ontwikkelen. Het orkest wil deze part-ners graag danken. Bozar remercie ses mécènes, partenaires publics, culturels, institutionnels et structurels, fondations et partenaires médiatiques pour leur précieux soutien. Bozar dankt zijn patronen, publieke, culturele, institutionele en structurele partners, stichtingen en mediapartners voor hun steun. Réalisation du programme · Opmaak van het programmaboekje Coordination · Coördinatie Maarten Sterckx Rédaction · Redactie Maarten Sterckx, Luc Vermeulen Textes d’archives de · Archiefteksten van Pieter Bergé Graphisme · Grafiek Sophie Van den Berghe
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