C'est ma tournee Une aventure postale en vallee du Thore - Tourisme Thoré montagne noire
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C'est ma tournee Une aventure postale en vallee du Thore Carnet de tournée de facteur agrémenté de notes d’archéologie industrielle, bribes d’histoire locale, d’ethnologie rurale et de botanique, recettes et trucs de grand-mère. Le facteurs et autres colporteurs, té- moins de la vie quotidienne et de l’évo- lution des campagnes, et des villages, vous invitent à un voyage poétique dans le passé.
02 03 sommaire La Haute Vallée du Thoré un la laine à domicile les durs mois bouleversé la vie locale : chemi- Côté jardin-côté turbin : pays où la forêt, l’agriculture de d’hiver. née d’usine, bâtiments industriels, montagne et l’industrie textile ont Il y avait l’eau essentielle au barrages et ruines de moulins Les terrasses du Baous : St-Amans Valthoret marqué les esprits et les paysages. délainage, au lavage à la teinture à foulon témoignent encore Tout était réuni dans le sud Tarn de la laine et au fonctionnement aujourd’hui de cette période pour vivre une révolution indus- des moulins à foulons. historique Un pays de défrichement : le village de Sauveterre trielle textile sans précédent. Il y avait le bois, source d’énergie, Ce livret de découverte complète Il y avait la matière première : la source de tanins pour le cuir. les 4 sentiers de petites anecdotes, laine des troupeaux de mouton de Il y avait des corporations et des colportées ici et là …d’histoires Le sentier des vieux métiers de Rouairoux la montagne noire et des causses protestants à l’esprit d’entreprise. locales, de courrier, de recettes Il y avait la main d’œuvre issue Il y avait le train… et de petits bricolages nature de la terre, qui filait et tissait L’aventure industrielle textile a d’autrefois. Le chemin des usines : Labastide Rouairoux
04 05 Les Terrasses du baous Saint-Amans Val Thore Regard sur le passe Cote turbin La Commune de Saint-Amans-Valtoret s’étale des rives du Thoré (al- titude 264 m) jusqu’à la «Montagnola» (petite Montagne alt. 823 m) dominant le lac des Saints-Peyres. Sur les bords du Thoré, jardins ouvriers, terrasses en pierres sèches, ruines de moulins et bâtiments industriels témoignent d’un passé industriel des plus glorieux. L’industrie de Carriere & pecheurs de sable Le Thore charrie tradition lainière (délainage) a aujourd’hui pratiquement disparue. Il ne subsiste qu’une Autrefois, une famille « pê- entreprise de lavage et de fabrication de matelas de laine. Une autre usine transforme chait » le sable dans le Thoré. des fibres synthétiques, une autre fabrique des aliments pour animaux. Le sable récolté était vendu aux artisans maçons de la vallée. Le « rocher du Bœuf », la falaise qui domine le Thoré en rive gauche faisait l’objet d’une extraction de pierres que l’on détachait à la dynamite. L’histoire du textile et délainage à Saint-Amans Val–Thoré La localité était spécialisée L’usine de délainage « La mé- mondiale du délainage. L’usine est dans la confection de serge et de canique » alors rachetée et transformée en flanelle. Des artisans travaillaient En 1824, on construit l’usine du unité de délainage. Aujourd’hui à domicile pour carder, filler et Baus appelée « la mécanique » un artisan matelassier et les tisser la laine et le coton. Ils tra- constituée d’un moulin à foulon et services municipaux occupent vaillaient pour des facturiers de de deux marteaux. cette usine. castres, Mazamet ou de Boissezon. En 1840, on ajoute des machines à Au XIXème siècle, cet artisanat filer la laine et à tondre les draps. disparaît avec l’apparition des Au début du XXème, la ville de filatures mécanique. Mazamet devient la capitale Remèdes populaires L’opération de délainage consistait à séparer la laine de la peau Les ouvriers du délainage, les des moutons par une série de procédés dit de « l’échauffe ». Photo- graphie prise à Mazamet Crédit photographie : Fonds Houlés.Archives « peleurs » contractaient souvent départementales aux doigts des panaris « les pa- tous » (ou patons) mais également le mal charbon à l’origine d’in- fections graves. Pour se soigner : on achetait ainsi aux marchands ambulants des scorpions gris que l’on faisait macérer dans de l’eau de vie avec du tabac pour désin- fecter les plaies.
Les Terrasses du baous Saint-Amans Val Thore 06 07 Cote jardin Histoires botaniques des plantes et des Hommes promenade aux terrasses du Baus, ces plantes vagabondes qui racontent le petit Nice » l’histoire des echanges commerciaux des Hommes Les terrasses du Baous ont été cultivées et entretenues à la fin XIX siècle et au début du XXème siècle par une population ouvrière en partie employée dans l’industrie tex- tile locale. On y cultivait des légumes et des arbres fruitiers. Le dimanche, on venait s’y détendre, se baigner et boire une limonade. La Remouée La renouée du japon a été acclima- tée dans les parcs privés. Espèce opportuniste, elle envahit les berges. Elle se dissémine essentiellement à partir de fragments de rhizomes et de boutures de tige On trouve égale- ment dans les prairies de la vallée, le Séneçon du Cap.Ses graines auraient été ramenées et disséminées lors du transport des peaux de moutons en provenance du monde entier. Recette limonade de sureau Ingrédients : 30g de bonbonne qu’on laisse au soleil 5 jours. Puis fil- trer et placer le tout fleurs de sureau,7l et dans les bouteilles que demi d’eau,1/2 verre de l’on ferme bien. Laisser vinaigre 1 kg de sucre, 1 la limonade deux jours de Citron en tranches, Mélan- plus au soleil, puis la ger les ingrédients et les stocker au réfrigérate placer dans une
08 09 Sauveterre un pays de defrichement Situées entre la montagne Noire et la rivière du Tho- étaient des lieux d’asiles et de défrichement créés à paisible nous raconte l’his- toire chaotique de l’instal- Des traces de ré, les terres de Sauveterre s’étendent sur le versant l’initiative de l’Église. Sauveterre était partagé lation des populations dans la montagne : des premiers premiers defricheurs nord de la montagne et entre les maigres revenus défricheurs du néolithique, s’étagent de 305 m d’alti- de la forêt exploitée par à la création de la sauveté tude à 986 m d’altitude. une population pauvre et et de la seigneurie d’Auxi- Il y a 5000 ans environ au cueillette, pâturage, char- en place des mesures pour Sauveterre ou Salva Terra la plaine plus opulente pro- hlon, des guerres de reli- néolithique, des groupes bonniers, fours verriers, réglementer l’usage des doit son nom à l’établis- pice aux cultures plus nour- gion aux nombreux conflits de chasseurs nomades forges). forêts. sement, au XIIème siècle, ricières. pour l’usage des forêts. s’installent ici et se séden- Les « forêt dites de la nar- d’une sauveté. Les sauvetés Ce petit village aujourd’hui tarisent: ils défrichent et bonnaise » furent victimes commencent à cultiver et d’un défrichement intense élever des troupeaux. pendant l’Ancien Régime mais, dès le XVIIème siècle, La forêt source de le seigneur de Sauveterre conflits «au temps fit garder son domaine par des gardes particuliers qui des buscadiers …» dressaient des procès-ver- Dans la montagne où ré- baux à ceux qui coupaient gnait une pauvreté géné- le bois de façon clandestine rale, la forêt jouait depuis toujours un rôle nourri- Au XVIIIème siècle, l’admi- cier (bois de chauffage, nistration forestière met
Sauveterre un pays de defrichement 10 11 Faim de terre et de bois Terres de sauveterre « Vo lo n v e n d r e lo s vaca n t s Aiga e lo bosc i ls v e u l e n t v e n d r e l e s vaca n t s ) l’eau et la foret des ressources locales rès des rivières du Thoré et Décimée par la peste, les bricon de pan » «Le genêt, de Candesoubre, il y avait de guerres de religion, les on le portait au boulanger, nombreux moulins (moulin aléas climatiques la popu- ça nous payait un peu de à céréales, moulin forge à lation déshéritée se devait pain » fer et scierie hydraulique). d’exploiter au mieux les Il était utilisé comme bois Le moulin principal était si- ressources locales. Au pro- de chauffage, pour la fabri- tué sur le Thoré. C’était un gramme d’une vie de mi- cation de balais, le tissage moulin à blé (ou seigle) dit sère : cueillette de plantes, et la teinture des étoffes. « banal » : il appartenait au baies, champignons et En 1941, pendant la guerre, seigneur. L’histoire locale fruits sauvages, bracon- en raison du manque de et la toponymie évoquent la nage et pêche, filage et tis- laine, on utilisait la fibre présence de fours verrier sage à domicile, cultures du genêt pour tisser. « Cela (hameau du Four du Verre, de pomme de terre et cor- faisait un tissu rude mais Gourgne) et de mines de vées de bois. solide. Avec le jus de genêt, fer. L’herbier des campagnes on le distillait pour faire un Les habitants souvent très couper du bois et de pratiquer breux indigents étaient obligés de pauvres eurent du mal à accepter « la dépaissance » (faire paître défricher les bois pour survivre La forêt nourricière « gla- « lo genest Los portavem médicament la spartéine, les nouvelles contraintes. les bêtes).Ils étaient insuffisants : ils y cultivaient du seigle des ner » pour survivre al bolangèr. Nos pagava um un tonique cardiaque. » Sur les espaces communaux pour répondre aux besoins des pommes de terre. Ils profitaient appelés « vacants » Los vacants habitants. de l’incertitude existant sur les (en occitan) il était possible de Les paysans pauvres et de nom- limites et les droits de propriété. Zoom sur le chataignier ANECDOTES Le châtaigner a sauvé de nom- Au XIXème siècle, 3 gardes forestiers de Sauveterre ont été successivement congédiés en raison de leur « breuses personnes de la famine. manque de zèle » à protéger la forêt.
Sauveterre un pays de defrichement 12 13 La vie sur la commune Rouairoux la fin du XIXeme siecle sur les traces des Picons mestiers d'un cop era Il y avait 2 foires à Sauveterre. L’école a été créée en 1835.La maisons. 13 pâtres (gardiens de troupeaux) s’occupaient de 220 de la vallée embauchaient une partie de la population. Petits metiers d'autrefois commune accueillaient gratuite- bêtes à laine sur les communaux. la passerelle sur le Thoré autre- ment les enfants pauvres. 63 agriculteurs, 15 journaliers, un fois. Cette petite randonnée, sur la commune de couturiers, maîtres verriers, meuniers, En 1886, on comptait 350 habi- prêtre, un instituteur, un garde- tants dont 60 au village et 290 champêtre, un forgeron et un Rouairoux vous emmène jusqu’au hameau maîtres foulon, lavandières, forgerons fai- éparpillés dans les hameaux. 76 épicier. Les manufactures textiles de Lavergne. saient alors résonner la montagne de leurs L’itinéraire circule dans des paysages ty- activités. piques de la montagne: prairies de fauche, Cette émouvante vie rurale était aussi ani- vergers, bois de feuillus et vous fait décou- mée par le passage du train et de vendeurs vrir un riche patrimoine bâti : ruines de ambulants pour le moins insolites (rémou- moulins, fontaines et lavoirs. leur, récupérateurs de peaux de lapins). Paysans, tisserands, fileurs, tisserands, La gare d’Albine à côté de Sauveterre Le train n°701 part de Castres à 6 h 50 pour arriver à Bédarieux à 9 h 59. L’espoir du train et d’un développement économique Avant l’arrivée du train et la reconversion de Mazamet en pôle de délainage, la crise commençait à affecter les usines textiles. La population déshéritée voyait dans l’arrivée du train le moyen de sortir de sa pauvreté. Le chantier de la voie ferrée commence en 1876 et se termine en 1887.
labastide rouairoux 14 15 L agriculture ethnologie rurale Herbier des campagnes le frene compagnon des paysans Les bêtes à laine De nom- On battait (dépiquage) les Pour labourer, « l’araire » breux troupeaux de race gerbes avec des fléaus. était toujours utilisée montagne noire pâturaient Mettre image d’outils rouil- jusqu’en 1940 ! Cet arbre est intimement lié autrefois dans la mon- lés faux Puis on amenait le Faneuse à bœuf Vers 1930 aux pratiques rurales. Son bois tagne. Ils fournissaient la grain (seigle)au moulin de commencent à apparaître servait à fabriquer les manches laine pour le tissage, le cuir GAmel pour le moudre. des charrues perfection- d’outils, et ses feuilles séchées et le fromage. De la houe à la machine à nées (simples ou bissocs) servaient de fourrage d’appoint pour le bétail. On en fait une Du champ au moulin de vapeur des défonceuses des fa- boisson alcoolisée la frênette. Gamel La houe était l’outil des neuses à cheval ou bœufs Les enfants qui gardaient les La moisson se faisait à la plus pauvres on trouvait : et des machines à battre à troupeaux en faisaient un sifflet faucille « Lo volam » Elle l’aissad, la massa, lo bigos, vapeur. fut remplacée par la faux et lo rabassièr.. à la fin du XIXème siècle. Dans le tiroir du grand-Père… Montage avec Sur une table mettre des Musique nature La fabrication: prendre objets rétro médicaments pour la gorge un bout de bois de frêne Vieilles pub rigolotes extraite de jour- et on coupe à 3 en- naux pour la promotion du tracteur ce que droits. Avec le manche je t’ai envoyé du couteau tapoter sur J’ai des fer à bœuf rouillé peaux de le bout de bois jusqu’à lapin détacher l’écorce en la Veille allumette de contre bande faisant glisser. Vielle caserolle non retammée couteau Inciser l’extrémité pierre à affuter pour faire une hanche. Tabac à priser veille montre photo de Remettre l’écorce et mamy plume d’oie plume à écrire bon point… siffler ensuite au- dessus et on obtient de la musique. On varie les notes en faisant glisser le tube.
labastide rouairoux 16 17 La « Rouairoux » Pomme de gros calibre, Labastide-Rouairoux acidulée et sucrée, adaptée pour les jus le chemin des usines et les compotes. L’histoire raconte qu’on forgeron de la commune aurait distribuait des greffons de son pommier à ses clients donnant ainsi naissance la variété dite de Rouairoux. La ville du textile Activité textile Les petits métiers Les ambulants Au 19e siècle la révolu- créativité, innovation ont De nombreuses usines fer- & moulins foulon- Dans la montagne, coexistait depuis longtemps une double acti- & vagabonds tion industrielle propulse fait la réputation de Labas- ment leur porte, tandis que la ville au premier rang tide Rouairoux jusqu’au d’autres se reconvertissent niers vité agricole et artisanale. Dans « Pelharoc ! Pèl de lèbre, pèl de lapin ! Ganhi ma viada coma national. Les fils et tissus milieu du 20e. sur des créneaux plus tech- La laine de brebis était lavée cette ruralité où les gens étaient podi ! (peau de lièvre, peau de bastidiens se font même Cette tradition textile niques (fibre médicale) ou et filée par les femmes sur les démunis financièrement, l’ingé- lapin, je gagne ma vie comme je rouets, puis elle était tissée sur niosité et la diversité des activités reconnaître mondialement. souffre malheureusement des niches de production. peux).» des métiers en bois. Ensuite, était de mise afin d’assurer sa Savoir-faire, techniques, depuis les années 1960. Cette vie rurale était animée par les pièces étaient foulées dans subsistance. le passage de nombreux petits les moulins. Sur le ruisseau du Le forgeron métiers ambulants. Rieubon, on peut voir les ruines Les lavandières « lengut coma una Les rémouleurs affutaient les cou- de deux moulins (moulin à grain bugadièra » avoir lalangue pendue teaux et les outils, les rétameurs et foulon) comme une lavandière redonnaient une nouvelle vie aux chaudrons et casseroles, des vendeurs vendaient allumettes, scorpions, savons, parapluie etc.. . Le récupérateur de peaux de lapins
labastide rouairoux 18 19 De l artisanat au developpement L’épopée Labastide Rouai- industrielle roux aujourd’hui de l industrie drapiere La Révolution Industrielle au Une à une les usines ont fermé provoquant une grave crise et de début du XIXème siècle suscite un nouvel essor de la production profonds bouleversements sociaux La filature et le tissage à politique économique de protestantes dynamise la textile bastidienne. La reconver- au cœur d’une région qui s’était domicile étaient des activi- Colbert qui favorise la pro- reconversion des mou- sion de la ville de Mazamet en un développée essentiellement sur tés très présentes dans la duction du drap languedo- lins bladiers (fariniers) en pôle du délainage et l’arrivée du cette mono-industrie qu’était le textile. vallée du Thoré et dans tout cien alors en concurrence moulin foulonniers. Une train en 1888 et vont donner un élan décisif à l’industrie tarnaise Images des grèves le sud Tarn en général. avec le textile Anglais et véritable industrie textile se Aujourd’hui ne reste à Labastide- du textile. La fabrication de drap Hollandais. met en place. Labastide-Rouairoux peut ainsi Rouairoux que 3 entreprises à se développe à la fin du La présence de corpo- caractère textile employant une XVIIème siècle, grâce à la rations professionnelles cinquantaine de personnes contre plus d’une trentaine au XIXème et plus de 2000 ouvriers. s’approvisionner en laines prove- nant de toute la France mais aussi d’Espagne, de la Plata, d’Aus- tralie, de Nouvelle Zélande puis d’Afrique du Sud. Le musée du textile Le Musée départemental du Tex- tile témoigne de l’intense activité drapière qui s’est développée L’herbier du tisserand En chemin repérer la cardère croq depuis le XVIème siècle et surtout au XIXème dans le sud du Tarn. Il raconte cette histoire notam- Cette plante a largement été culti- ment en montrant les étapes de vée afin de servir dans l’industrie textile. Les industriels bastidiens se fabrication d’une étoffe de laine La cardère Ce chardon a donné le mot lancent dans la production cardée depuis la matière pre- « carder » Il ne servait pas réelle- d’étoffes destinées à la Haute-Cou- mière jusqu’au produit fini, par ment à carder, c’est à dire séparer ture aux étoffes ordinaires pour des démonstrations d’anciennes les fibres et démêler la laine, mais le prêt-à-porter, à l’ameublement machines textiles. à ce que l’on appelle le lainage.Le et aux fournitures militaires lainage est une opération de fini- grâce à l’aide du Maréchal soult, tion du tissu qui va en soulever les originaire de Saint-Amans Soult. fibres pour le rendre plus moelleux et souple.
C'est ma tournee Une aventure postale en vallee du Thore Bibliographie abastide-Rouairoux au fil du Thoré - Carto Club Tarnais – 2008 Rouairoux d’hier et d’aujourd’hui - Henri AMALRIC – 1991 Saint-Amans les deux villages – Lo païs esclairat - Daniel LODDO – ed. Edicopie – 1990 Les mots du textile – Petit bréviaire pour textiliens - Musée départemental du Texile – éd. Un Autre Reg’Art – 2009 Abrégé d’histoire de Labastide-Rouairoux dans le Tarn – Jean-Pierre FERRER – Collection les Cahiers de Minerve – 2003 Le Journal Rural n°2 Echos musée n°2 : La Bugada – Lavoirs et fontaines en Montagne Noire – Ecomusée de la Montagne Noire et de la Vallée du Thoré - 1991 Retour aux sources n°1 – janv.2012 – Mémoire & Patrimoine Retour aux sources n°2 – janv.2013 – Mémoire & Patrimoine La Voix des Campagnes n°18 Sauveterre et son passé – La Nature sauvage : un trésor apprivoisé pour nos anciens – Robert Pistre – Centre de Recherches du Patrimoine de Rieumontagné - 2012 Sauveterre dans le Tarn - collections les Cahiers de Minerve. Jean-Pierre Ferrer Ils ont contribué à la rédaction de ce livret : Contacts : Musée du textile Office de tourisme Télécharger les documents de visite Site internet blog flash code Logo COCOM CG81 EUROPE CPIE
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