Carte des zones d'activité 2016 - Ville de Dijon

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Ville de Dijon
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Pour permettre l'implantation et le développement des entreprises, Dijon métropole s'est dotée, au fil des
années, de zones d'activités qui, signe de la vitalité du tissu économique local, ont toujours trouvé preneur
rapidement. À partir de 2001, 400 hectares nouveaux ont été fléchés pour l'accueil des entreprises : le parc
d’activités tertiaires Valmy au nord de l’agglomération, le technopôle Mazen-Sully à proximité du campus,
AgrOnov à Bretenière, l’Écoparc Dijon-Bourgogne entre Quetigny et Saint-Apollinaire, la zone d’activités de
Beauregard (Longvic et Ouges), l’ancienne BA 102 à Longvic, sans oublier le marché de l’agro, à l’entrée de
la zone industrielle Cap Nord. Dans le centre d'affaires Clemenceau, se sont déployés d'importants
programmes tertiaires en cœur de
ville.

Carte des zones d'activité 2016
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Pépinières, incubateurs, co-working
Des lieux ciblant davantage les jeunes entreprises innovantes se développent comme la pépinière régionale
« Hope ! », située à Novarea, dans le prolongement du campus universitaire de Dijon et du parc d’activités
Mazen-Sully, dédié aux biotechnologies. En savoir +

Depuis janvier 2018, elles peuvent également trouver un toit en plein centre-ville dans « Le Village by CA »,
qui emménagera ensuite à la Cité internationale de la gastronomie et du vin.

À proximité de la gare, « Startway » propose des espaces coworking, des bureaux privatifs, des salles de
réunion et une grande salle pour l’événementiel, dans l'Hôtel des Postes de Dijon Grangier. Savoir +

Le « Quatre-quarts », un « co-working café », propose quant à lui un espace de travail partagé et
collaboratif, à mi-chemin entre le bureau et le salon de thé. Savoir +

Les entreprises culturelles trouveront davantage leur place à la « Coursive Boutaric », dans le quartier
politique de la ville des Grésilles. Savoir +

Valmy : zone d'activités tertiaires
La zone d'activités tertiaires de Valmy, au nord de Dijon, a été aménagée en trois phases à partir du début des
années 2000. À terme, Valmy comprendra plus de 300 000 mètres carrés de bureaux et de locaux sociaux
et sanitaires, et représentera plus de 3000 emplois. La première tranche a été rapidement commercialisée en
2005-2006. Parmi les réalisations les plus remarquables figure le Dijon Park Avenue, programme de 12.000
m2 du groupe Lazard, acteur majeur de l'immobilier professionnel en France et en Europe. Les Jardins de
Valmy, le Katamaran ou le 255 (avec une éolienne signée Philippe Starck) figurent parmi les programmes
réalisés à Valmy I. Les services de la Caisse régionale d'assurance maladie et de santé au travail (Carsat)
Bourgogne-Franche-Comté se sont implantés en 2016 dans un bâtiment de 13 600 m2.
La deuxième tranche du parc d'activités de Valmy est plus spécifiquement dédiée aux activités sanitaires et
sociales avec l'implantation d'un pôle santé de la Mutualité française et d’une clinique de 288 lits du groupe
Ramsay-Générale de santé.

La zone de Valmy accueille également plusieurs établissements et services des PEP21 (Pupilles de
l’Enseignement Public), réseau associatif qui oeuvre principalement dans le domaine social, médico-social,
sanitaire et celui de l’animation : la cafétéria L’intervalle, l’ESAT Le Goéland, l’hôpital pédopsychiatre Les
cigognes, le service Challenge-emploi, la direction du Dispositif adultes, et aujourd’hui la direction générale
ainsi que le service d’éducation spéciale et de soins à domicile (SESSAD) des Pays et les services mutualisés
du dispositif IME-SESSAD.

Le site compte aussi le siège des PEP CBFC. En effet, dans une ère de regroupements régionaux, les
associations départementales PEP 21, PEP 25, PEP 58 et PEP 89, se sont engagées, en signant le contrat
pluriannuel d’objectifs et de moyens (CPOM) Bourgogne Doubs 2014-2018, à se réunir en 2018 de manière à
ne former plus qu’une seule entité détentrice de l’ensemble des autorisations.

L'écopôle Valmy

La troisième tranche du parc d'activités, baptisée « écopôle Valmy », comprend à elle seule 130 000 m2 de
bureaux, dans des bâtiments regroupés autour d'une place centrale, véritable espace de vie d'un nouveau
quartier desservi par le tramway et dont la conception est signée de l'urbaniste Michel Guthmann. L'écopôle
Valmy bénéficie en outre d'un accès direct à la rocade grâce à un échangeur mis en service en octobre 2015.

La troisième tranche du parc d'activités Valmy comprendra à elle seule 130.000 mètres carrés de bureaux.
Crédit : Michel Guthmann

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Mazen-Sully, l'espace des biotechnologies
Au plus près du grand campus de Dijon où sont regroupés l'université de Bourgogne, AgroSup Dijon, le
centre Inra, le CHU et le centre Georges-François-Leclerc, le technopôle Mazen-Sully regroupe, sur 8
hectares, des PME dans le domaine des biotechnologies et de la santé. La zone d'activités bénéficie d'une
desserte tram et d'un accès direct à la rocade Est. Parmi les entreprises implantées se trouvent CEN Nutriment
et CEN Biotech, Filab, Crossject, Chematech, Couleur & Connection, Odil, Bioaact... Le siège de la société
Oncodesign se trouve à proximité immédiate.

Mazen Sully est un technopôle de 8 hectares dédié aux biotechnologies.

Novaréa
Novaréa, espace régional de l'innovation et de l'entrepreneuriat, est une opération de la Région
Bourgogne-Franche-Comté. Situé à proximité immédiate du technopôle Mazen Sully, il regroupe, sur 3,5
hectares, 26 000 m2 de bureaux et de laboratoires répartis dans plusieurs bâtiments : la maison régionale de
l'innovation, Hope ! (pépinière), Nova Center (hôtel d'entreprises innovantes), Pharmimage et son cyclotron
ainsi que la maison régionale de la métallurgie.

Hope !, pépinière d'entreprises au cœur de l'Espace régional de l'innovation et de l'entrepreneuriat

Clemenceau, la City à la dijonnaise
Au centre-ville de Dijon, à deux pas de la place de la République, Clemenceau est un quartier d'affaires
incarnant le visage moderne de la capitale régionale. Adossés à Dijon Congrexpo et à l'auditorium-Opéra de
Dijon, les bâtiments tertiaires totalisent 50 000 mètres carrés de bureaux. Ils abritent un hôtel, les services du
conseil départemental de la Côte-d'Or, de la caisse primaire d'assurance maladie de Côte-d'Or, du rectorat
d'académie et de l'inspection d'académie de Côte-d'Or, des sièges d'entreprises, services et restaurant.
Bouygues Immobilier a construit la Cité des affaires et Lazard les deux tours Clemenceau Plaza et Marbotte
Plaza. L'architecte Rudy Ricciotti a signé le bâtiment abritant le rectorat. Quant au bureau d'études Elitihis, il
a conçu, avec le cabinet d’architecture Arte-Charpentier, la tour qui porte son nom et qui est considérée
comme « le bâtiment tertiaire le plus performant au monde ».

Le centre Clemenceau totalise 50.000 mètres carrés de bureaux et de services au cœur de Dijon.

Dijon Congrexpo, outil du rayonnement économique de Dijon
Au cœur du centre Clemenceau, le parc des congrès et des expositions de Dijon propose 31 000 mètres
carrés d'espaces aux organisateurs d'événements. Il est doté d'un auditorium de 610 places, 20 salles de
conférences et de réunions et 5 halls d'exposition dont un s'étend sur 12 000 mètres carrés sans aucun pilier
porteur. Les grands congrès peuvent bénéficier de la salle voisine de l'auditorium (1600 places). Lui-même
organisateur d'événements dont la foire internationale et gastronomique, sixième foire de France par sa
fréquentation (180 000 visiteurs), le parc accueille chaque année des dizaines de congrès nationaux voire
internationaux et des salons professionnels ou grand public qui contribuent au rayonnement de Dijon et
génèrent des retombées économiques considérables. En 2016, celles-ci étaient estimées, pour 72.210
journées-congressistes, à 11,5 millions d'euros.

Le parc des congrès et des expositions de Dijon a accueilli, en 2015, 53.000 « journées-congressistes ».
Crédit : Alain Doire

Le marché de l'agro
L'ancien marché de gros, créé dans les années 1960 à l'entrée de la zone industrielle Cap Nord, est devenu le
marché de l'agro. La halle centrale ainsi que des bâtiments vétustes ont été rasés, permettant l'implantation et
le développement d'entreprises du secteur agroalimentaire. Parmi celles-ci se trouvent les Salaisons
dijonnaises, Apidis, Vitalfa, My Wok, Caves Carrière, Pierre Hubert Traiteur, Petits Plats France... Cette
zone d'activités contribue au positionnement fort de Dijon dans le domaine du goût.

AgrOnov : ici se prépare l'assiette de demain
Les bâtiments que l'Inra a libérés à Bretenière quand il a regroupé ses équipes dijonnaises sur son site du
campus ont été transformés en locaux pour des entreprises spécialisées dans l'agronomie et l'alimentation.
Cette nouvelle zone d'activités, qui bénéficie de la proximité des 150 hectares de champs expérimentaux de
l'Inra, s'appelle AgrOnov. C'est là que se prépare l'agriculture de demain, à la fois productive et
écoresponsable. Technopôle agro-environnemental unique en son genre en France, AgrOnov s'étend sur 13
hectares et propose actuellement 2700 mètres carrés de bureaux et de laboratoires.

 Le technopôle agro-environnemental de Bretenière accueille, sur 13 hectares, des entreprises innovantes qui
préparent l'agriculture de demain, à la fois productive et écoresponsable.

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Écoparc Dijon-Bourgogne : un nouvel horizon pour l'activité
économique
Entre Quetigny et Saint-Apollinaire, le long de l'Arc reliant Dijon à l'autoroute A31, à 20 min de la gare de
Dijon, une zone d'activités économiques baptisée Écoparc Dijon-Bourgogne accueille des entreprises
industrielles et tertiaires sur 185 hectares. Ce nouvel espace d'activités et d'emploi à haute qualité
environnementale propose des services aux entreprises implantées. Elle complète l'offre de Dijon
métropole constituée par les ZAE de Longvic, de Cap Nord et de Chevigny-Saint-Sauveur.

L'écoparc Dijon-Bourgogne s'étend sur 185 hectares à l'Est de Dijon.

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Beauregard : plein feux sur l'industrie
À cheval sur les communes de Longvic et d'Ouges, la zone industrielle de Longvic s'étend sur le secteur de
Beauregard, sur environ 80 hectares. À destination des entreprises industrielles, elle renouvelle l'offre
foncière du sud de l'agglomération, composée déjà de 135 hectares à Longvic, 122 hectares à Chenôve et 44
hectares à Marsannay-la-Côte.

Le parc d'activités industrielles de Beauregard s'étendra sur 80 hectares au sud de la zone industrielle de
Longvic.

Aéroport Dijon-Bourgogne : entre avions et autos
Les bâtiments libérés par l'armée de l'air permettent aujourd'hui de développer, sur le site de l'ancienne base
aérienne 102, des entreprises dans les domaines de l'aéronautique mais aussi de l'automobile. Une vingtaine
de sociétés sont déjà implantées, parmi lesquelles Apache Aviation (patrouille acrobatique Breitling), Dijon
Auto Racing (préparation de moteurs de voitures de course), Airborne Concept (école de pilotage de
drones)… Le groupe Edeis, exploitant de l'aéroport Dijon-Bourgogne, est chargé de la prospection et de
l'accueil des entreprises sur le site.

 L'ancienne base aérienne de Dijon-Longvic accueille désormais des activités économiques dans les domaines
de l'aéronautique ou de l'automobile, à l'image de l'école de pilotage de drones Airborne Concept.

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L'accueil des entreprises
Guichet unique, agence Dijon métropole Développement, société publique locale d’aménagement de
l’agglomération dijonnaise (Splaad).

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Les pôles d'excellence
Notre force de frappe : alimentation, goût, nutrition grâce à l'industrie agroalimentaire et à ses centres de
recherche et d'enseignement supérieur, et développement de nombreux pôles de compétences notamment
dans le domaine de la santé ou du développement durable.

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