Centre des Monuments Nationaux - Cerema
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MAN – 9 rue René Viviani BP 46 223 44 262 NANT ES CEDEX 02 Département Infrastructures, mobilité, environnement et risques Groupe Environnement Centre des Monuments Nationaux Bilan agronomique des sols du jardin de la Maison Clemenceau à Saint-Vincent-sur-Jard (Vendée) Photo : La maison Clemenceau et son jardin, mai 2014 (Alix Nédélec) Rapport d’expertise
Historique des versions des documents Version Date Commentaires V0 29/08/2014 Initialisation du rapport V1 10/09/2014 Finalisation du document Affaire suivie par : Adrien Lenfant – Cerema / Direction territoriale Ouest DIMER – Groupe Environnement mail : adrien.lenfant@cerema.fr– Tél : 02.40.12.83.68 Rédacteur : Adrien Lenfant – Cerema / Direction territoriale Ouest Christophe Pineau – Cerema / Direction territoriale Ouest Alix Nédélec – Cerema / Direction territoriale Ouest Relecteur : Fabien Durr – Cerema / Direction territoriale Ouest DIMER – Groupe Environnement mail : fabien.durr@cerema.fr– Tél : 02.40.12.83.54 1
1 - Contexte et objet de l’intervention La maison de Georges Clemenceau, située sur la commune de Saint-Vincent-sur-Jard en Vendée, est classée monument historique de France depuis 1970, et son jardin fait partie de ce classement. En 2006, ce jardin a fait l’objet d’une rénovation cherchant à redonner aux lieux un esprit impressionniste et naturel, et un cahier des charges concernant son entretien a été élaboré par Françoise Phiquepal (Architecte Paysagiste). Ce cahier préconisait notamment d’effectuer, tous les 3 ans, une analyse agronomique des sols pour adapter le plan de fumure et d’amendement à l’évolution des conditions pédologiques. Ces analyses n’ont pas eu lieu, et en 2014 le Centre des Monuments Nationaux a confié au Cerema une mission d’expertise agronomique des sols du jardin historique de la maison Clemenceau. Cette étude consiste donc un état initial des sols du jardin, puisque aucune étude préalable n’a été effectuée, accompagnée d’un inventaire des espèces rencontrées sur place. L’objectif est d’aboutir à des préconisations de gestion en accord avec l’esprit et l’ambiance « impressionniste » recherchés. Cette mission a consisté en une journée terrain, réalisée le 23 juillet 2014 en la présence de Marie-Christine Vernillet, Responsable du jardin Clemenceau. Cette journée a donné lieu à des observations de la végétation en place et du sol, pour lequel des échantillons ont été prélevés puis transmis au laboratoire d’analyse INOVALYS basé à Nantes. Les résultats de ces analyses ainsi que de l’expertise de terrain sont présentés dans la suite de ce rapport. 2 - Description du jardin 2.1 - Positionnement général du jardin La maison Clemenceau ainsi que son jardin sont situés en front de mer, directement sur la dune jouxtant la plage. Bien que le jardin soit protégé par une digue, il est tout de même soumis aux embruns et à des vents fréquents, à dominance Ouest et parfois violents. La tempête Xynthia, a par exemple laissé des traces encore visibles dans la végétation du jardin, notamment sur la strate arborée. De plus, son positionnement sur une dune sableuse en fait un jardin particulièrement difficile à entretenir. L’implantation et le maintien d’une végétation « impressionniste » nécessite un effort constant, un apport en matière organique conséquent ainsi qu’un arrosage permanent puisque le sol ne peut retenir l’eau. Ce jardin est composé de plusieurs zones bien différentes de par leur rôle dans la présentation et l’organisation du jardin. Cela implique donc des pratiques de gestion fortement différenciées, allant d’un interventionnisme à minima pour le labyrinthe boisé et le petit bois sauvage à des interventions longues et répétées pour la terrasse et l’enclos fleuris (Cf plan annexe 1). 2
2.2 - Composition floristique du jardin Malgré ces conditions environnementales difficiles, le jardin présente une diversité floristique importante et relativement conforme aux préconisations de Françoise Phiquepal. Un inventaire floristique par zone de végétation homogène a été effectué lors de la sortie terrain, et la liste des espèces contactées se situe en annexe 2. Les cinq zones décrites correspondent aux zones de prélèvement d’échantillon de sol. Des lapins sont présents sur le site, et ont pu être directement observés lors de notre visite dans la zone du petit bois sauvage (au niveau de l’échantillon 3). Une clôture anti- lapins avait été mise en place par le passé, mais celle-ci se révèle inefficace puisque les intrusions se font directement par le portail d’entrée. 2.3 - Première analyse qualitative du sol Dans un premier temps, des excavations d’environ 40 cm de profondeur ont été effectuées, à la pelle bêche, pour observer le système racinaire, les différents horizons et une éventuelle activité biologique. Cela a été complété par une prospection à la tarière sur environ 80 cm de profondeur. Ces manipulations ont donné lieu a des observations très proches quel que soit l’endroit investigué : peu de matière organique, peu de racine, peu d’élément grossier et une activité biologique quasi inexistante. Très rapidement, au- delà de 25 à 30 cm, on ne trouve plus que du sable. Les fiches d’analyse des sols sont placées en annexe 3. Ces premières analyses de terrain nous indiquent que ce sol très sableux correspondant aux zones dunaires et a priori calcaire n’est pas un sol propice à une culture horticole ornementale. Celle-ci nécessite donc des efforts et des apports importants en matière d’intrants, notamment organiques. 2.4 - Pratiques de gestion passées et actuelles Mme Vernillet nous a indiqué qu’avant son arrivée en avril 2011 à la maison Clemenceau, le jardin n’était pas entretenu par un jardinier du CMN mais par une entreprise privée. Il est donc difficile de dire quelles étaient les pratiques de gestion entre 2006 et 2011, notamment en matière d’amendement, car aucun document n’en atteste. Actuellement, les pratiques de gestion du jardin ne correspondent pas à ce qu’il était préconisé dans le cahier des charges de Françoise Phiquepal. Il n’y a pas, à l’heure actuelle, de plan de fumure utilisé dans les jardins Clemenceau. La matière organique nécessaire au maintien des spécimens implantés est apportée ponctuellement lors de leur mise en place, et cet apport est élaboré par Mme Vernillet. Les conditions environnementales particulièrement difficiles pour un jardin d’agrément engendrent un taux de reprise extrêmement faible des semis et plantations mis en place. 3
3 - Analyse des échantillons de sol Le prélèvement a été effectué à la pelle et à la tarière, aux endroits indiqués sur le plan de masse du jardin dans le CCTP. Le prélèvement n°1 a été légèrement déplacé (vers l’est) en accord avec Mme. Vernillet, ce qui a été indiqué sur le plan en annexe 1. Nous avons déplacé ce prélèvement, car son positionnement ne paraissait pas pertinent. Il était placé au droit d'une construction et à un endroit ne subissant que très rarement des interventions de la part de Mme Vernillet, alors qu’à quelques mètres de là des rosiers avaient été implantés. C’est à cet endroit que nous avons décidé de réaliser le prélèvement. 3.1 - Les résultats (Tableau annexe 4) Les résultats d’analyse de la texture (cf Figure 1) montrent une grande homogénéité des 5 situations. La dominance de la texture sableuse est très nette avec plus de 95 % de sables. Figure n°1 : Texture des 5 échantillons (en g/kg) 1000 900 800 Sables grossiers 700 Sables fins 600 Limons grossiers 500 Limons fins 400 Argile 300 200 100 0 N°1 N°2 N°3 N°4 N°5 L’humidité mesurée dans les échantillons est assez faible : on observe les taux de 2,8 à 7,5 %. Ces résultats sont en lien avec certes la saison d'échantillonnage (été) mais surtout avec la texture très sableuse des sols. Les taux les plus faibles correspondant aux zones dites les plus « sauvages ou naturelles » (échantillons n°1 et n°3) ou le sol a été peu travaillé dernièrement. Le taux de chlorure qui dans ces sols de bords de mer est souvent important, est confirmé par les analyses de laboratoire avec un niveau minimum de 825 mg/kg de NaCl. Le niveau tellement important n'a pu être ainsi déterminé par les méthodes d’analyse classique. Le pH de ces sols est très élevé, 8,5 en moyenne, on parle de pH fortement alcalin. Il peut en effet aller jusqu’à 8,9 pour la zone d’échantillon n°1, et 8,4 pour la zone n°4 à végétation plus installée. Pour les sols sableux, on considère qu’un pH de l'ordre de 5,5 à 7,5 permet d’avoir un sol cultivable, avec un optimum vers 6,5. 4
Les taux de matière organique vont de 1,3 à 3% indiquant, pour des sols à texture légère, une fertilité plutôt faible. Ces sols sont caractérisés par des niveaux d'azote assez faibles et des niveaux de carbone organique moyen à faible. Cela donne des rapports C/N extrêmement variables, de 9 (échantillon n°3) à 24 (échantillon n°2). Le rapport C/N faible étant à mettre en relation avec un niveau de N plus important que les autres pour le sol n°3. Figure n°2 : Résultats analyses chimiques 35 30 Calcaire total % CaCO3 Carbone organique g/kg 25 Matières organiques g/kg Azote total g/kg N 20 C/N 15 10 5 0 N°1 N°2 N°3 N°4 N°5 D'un point de vue du sol, plus il y a d’azote, meilleure sera la décomposition de la matière organique par les bactéries qui en ont besoin. Mais un déséquilibre entre le carbone et l’azote implique une mauvaise décomposition (peu de C pour beaucoup de N et vice- versa). Ces sols sableux sont assez typiques de sols à activité biologique réduite. Seul le sol n°3 a une activité biologique pouvant être qualifiée de bonne avec cet indicateur. Les 4 autres sols ont de faibles activités biologiques en lien étroit avec la texture du sol et l’absence de matière organique. Rapport C/N Diagnostic
Le taux de calcaire variant entre 4,8 et 6,8 %, permet de qualifier ces sols de faiblement calcaire, avec toutefois des risques éventuels de chlorose ferrique pour ceux dont le taux est supérieur à 6 (carence en fer dû à sa faible disponibilité dans le sol). 3.2 - Discussion La description des végétations observées, des sols et leur analyse ont permis de comprendre l’état actuel du jardin en lien avec sa gestion. Trois facteurs limitants du développement des végétaux sont apparus dans cette zone dunaire transformé en jardin il y a 100 ans : • la disponibilité en eau : la texture sableuse des sols (3 % d’argile) et l’absence de matière organique ne permettent pas de constituer de réserve en eau suffisante ; • la teneur élevée en sel : supérieure à 825 mg/kg/Nacl ; • le pH élevé : très alcalin, supérieur à 8,5, alors que la maximum de tolérance généralement admis est de 7,5 pour les végétaux. Ces sols très sableux, sont très perméables à l’eau et à l’air, ils se réchauffent donc rapidement. Un atout précieux en hiver mais pouvant se révéler néfaste en été couplé à d’autres conditions environnementales. En effet, ces sols présentent un pH et des teneurs en sel très élevé ainsi qu’un taux de matière organique très faible : soumis à un fort ensoleillement et à des vents importants sur le littoral vendéen, ils auront tendance à rapidement sécher et à ne pas retenir les éléments fertilisants. Ces sols sont donc agronomiquement difficilement utilisable : naturellement peu fertiles, ils ne seront fertilisables qu’au prix d’efforts conséquents et constants sans que le succès d’une telle gestion puisse être assuré. 4 - Préconisations de gestion Comme nous l’avons indiqué précédemment, il n’y a pas actuellement une pratique de gestion homogène dans les différentes parties du jardin en lien avec les objectifs de rendus visuels des espaces. L’esprit de départ et l’aspect des jardins « impressionniste » des années 20 n’a été permis qu’au prix de travaux conséquents en matière d’amendements organiques et minéraux, et d’une irrigation importante. Son relatif abandon qui s’est déroulé progressivement au cours du 20éme siècle, a réduit à néant les efforts d’amélioration des sols qui avaient été consentis. L’action des tempêtes, comme Xynthia par exemple, le développement d’une végétation spontanée sont autant d’éléments qui ont permis un retour au sol originel, à savoir une dune de sable. La reprise du jardin et le projet de réhabilitation proposés en 2006 par F. Phiquepal restent valables, puisque les préconisations d’amendement étaient judicieuses mais n’ont pas été suivies. 6
La gestion actuelle se caractérise par un lien fort avec les moyens disponibles, et se traduit par des interventions localisées et ponctuelles pour tenter de faire correspondre le jardin avec l’esprit impressionniste d’antan. Cela implique un travail presque exclusivement manuel et conséquent dans des conditions environnementales particulièrement difficiles, une gestion que l’on pourrait qualifier de pointilliste donc. Les trois facteurs limitants dans ces sols (réserve en eau, sel, pH) sont tous à combattre pour permettre l’implantation des végétaux désirés et leur maintien. L’utilisation d’amendement organique peut permettre de résoudre de façon globale les difficultés d’installation des végétaux, et à défaut, d’améliorer sensiblement la fertilité des sols. Quelques moyens simples et efficaces peuvent permettre d’améliorer la situation actuelle : • faire un apport régulier en matière organique, compost, tourbe, fumier, algues ou encore du terreau. Ceci devra se faire préférentiellement à l’automne afin de conserver le maximum d’humidité (le travail de printemps étant plus déstructurant pour le sol) ; • apport au printemps d’argile bentonique (à raison de 40 à 80 kg/100 m²) et de compost (30 à 40 kg/100 m²) ; • semis de légumineuses en début d’automne, (pois, féveroles, vesces…) enfouies par la suite pour favoriser l’humus ; • apporter de l’acidité par exemple via du soufre (500 g pour 100 m²) ou du fumier bien composté ; • ajoutez de la terre végétale pour alourdir le sol en place, ce qui permettra de le rendre plus accueillant pour la plupart des plantes ; • arrosez régulièrement, dès que le sol est sec, le soir et de manière limitée afin de réduire l’évaporation. La fertilisation et les amendements permettront de modifier le pH, mais dans des proportions très faibles (0,5 point tous les deux ans). Le goémon qui avait été autrefois utilisé dans le Jardin Clemenceau est à éviter même s’il est peu salé (après séchage et lavage), il est assez calcaire et ne permettrait pas d’améliorer la situation sur ce point là. Une proposition d’amendement peut être faite pour les massifs de fleurs et d’arbustes, notamment des amendements organiques polyvalent et biologique ciblés sur des produits à pH autour de 6 à 7 et présentant un rapport C/N faible. Un compost éventuellement élaboré sur place peut aussi bénéficier à la qualité agronomique des sols. Amendement N P K Oligo- Quantité Prix Période d’utilisation éléments g/m2 Orgalite 3 3 10 B Cu Zn 250g 27€/25kg À la plantation et au Paysage printemps Orga Mer 11 4 12 B Cu Zn 50g 40€/25kg Au printemps Orga plantation 4 3 3 B Cu Zn 25-50g 27€/25kg À la plantation Compost 300g Engrais liquide Éventuellement et à adapter à la situation 7
Compte tenu de la gestion « impressionniste » du jardin, il paraît difficile de réaliser ces apports à grande échelle à moins de décider une reprise totale du jardin et un travail en profondeur du sol. Il est serai sans doute plus judicieux sur 2015 de réaliser une expérimentation sur une surface réduite, et ce afin de bien identifier la réaction à cet amendement du sol support et des végétaux installés. Le choix des végétaux est également un moyen d'action pour adapter le jardin aux conditions de sols (sol calcaire, peu fertile, sec et salé) ; cette attention devra être maintenue comme le fait actuellement Mme Vernillet ; même si les travaux d'amendement doivent permettre d’améliorer la situation. Une attention particulière devra être également portée sur la question des espèces exotiques invasives. Les milieux littoraux sont assez sensibles et déjà des premiers végétaux ont été signalés sur site (Séneçon en arbre, herbe de pampa, buddleia de David, Vergerette du Canada…). Il serait judicieux d'éviter la plantation de certains sujets et de supprimer certaines espèces au regard de la liste établi par le conservatoire botanique en 2013 (cf annexe 5 : http://www.cbnbrest.fr/site/pdf/invasives_pdl.pdf ) 8
5 - Conclusions de l’étude Comme on pouvait le penser intuitivement, le jardin de la maison Clemenceau est un espace particulièrement difficile à entretenir pour y faire vivre un esprit impressionniste. Les conditions pédologiques (réserve en eau faible, sable, ph très alcalin, sel) et climatiques (vent, ensoleillement, embruns) du jardin sont typiques d’un bord de mer. Les efforts d’amélioration de sols de cette dune pour en faire un espace agronomiquement utilisable sont très importants et doivent être continus. En effet, dans ces conditions extrêmes la capacité de résilience de ces sols est assez importante. L’apport d’amendement organique devra être suivi d’analyses de sol pour juger de la trajectoire de la fertilité des sols, et donc des éventuelles modifications à apporter aux pratiques de gestion du jardin. Actuellement, ces sols sont très proches de leurs situations originelles, et les améliorations apportées par les amendements préconisés ne se feront que sur le long terme. Il faudra de plus continuer de choisir des végétaux tolérant à la fois le calcaire et le sel, puisque ces variables environnementales risquent peu d’évoluer quels que soient les amendements apportés. 9
6 - ANNEXES Annexe n°1 : Plan du Jardin et localisation des échantillons (document joint) Annexe n°2 : Relevés de végétation (document joint) Annexe n°3 : Fiches de relevé de sol (document joint) Annexe n°4 : Résultats détaillés des analyses de sol Annexe n°5 : Liste des plantes vasculaire invasives des Pays de la Loire 10
Annexe n°4 : Résultats détaillés des analyses de sol Unité Échantillons N°1 N°2 N°3 N°4 N°5 Granulométrie % terre fine 100 100 100 100 100 Texture Sable Sable Sable Sable Sable Texture N°1 N°2 N°3 N°4 N°5 Argile g/kg 28,1 22,6 27,5 34,1 35,5 Limons fins g/kg 13,4 4,4 6,5 2,2 2,5 Limons grossiers g/kg 7,8 3,4 5,6 2,6 1,3 Sables fins g/kg 76,8 58,8 88 107,1 65,5 Sables grossiers g/kg 873,9 910,8 872,5 853,9 895,1 N°1 N°2 N°3 N°4 N°5 Calcaire actif % 1,9 1,9 1,8 1,9 1,9 Ph eau 8,9 8,6 8,6 8,4 8,7 N°1 N°2 N°3 N°4 N°5 Calcaire total % CaCO3 4,8 6,8 5,2 6 6,4 Carbone organique g/kg 17,7 18,1 13,1 8 10,1 Matières organiques g/kg 30,4 31,1 22,5 13,8 17,4 Azote total g/kg N 0,89 0,77 1,39 0,64 0,58 C/N 19,9 23,5 9,4 12,5 17,4 Chlorures mg/kg NaCl 825 825 825 825 825 Humidité pondérale % 2,8 7,45 3,2 6,45 7,5 11
Annexe n°5 : Liste des plantes vasculaire invasives des Pays de la Loire http://www.cbnbrest.fr/site/pdf/invasives_pdl.pdf 12
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