Fiche pédagogique " Les vacances de M. Hulot "

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Fiche pédagogique « Les vacances de M. Hulot »
                                                 Un film en noir et blanc de Jacques Tati, produit par
                                                 Fred Orain (Cady films)
                                                 Scénario : Jacques Tati, Henri Marquet, Pierre Aubert et
                                                 Jacques Lagrange,
                                                 Directeurs de la photographie :Jacques Mercanton et
                                                 Jean Mousselle.
                                                 Ingénieur son : Roger Cosson.
                                                 Compositeur de la musique originale : Alain Romans

                                                 FRANCE 1953 . Durée : 96 minutes

                                                 Les personnages : M. Hulot (Jacques Tati), Martine
                                                 (Nathalie Pascaud), l’Anglaise (Valentine Camax), la
                                                 tante (Michèle Rolla), le commandant (André Dubois)...

                                     Jacques Tati
Né en 1907 au Pecq sous le nom de Jacques Tatischeff, décédé en 1982 (il vient juste de
terminer le scénario de Confusion), il est rugbyman au Racing, sa carrière débute par des
numéros de mime (Sport muet) et de Music-Hall, il commence des courts-métrages…
Tati lui-même se percevait comme le dernier chaînon de la ligne burlesque débutée avec
Little Titch, Buster Keaton et Charlie Chaplin et poursuivie avec Laurel et Hardy, les Max
Brothers…un humour sans hiérarchie ni préjugé, sans gag forcé et où le spectateur a
toute liberté.

Filmographie incomplète:
1939 Soigne ton gauche
1949 Jour de fête
1953 Les vacances de M. Hulot
1958 Mon Oncle
1967 Play-time que Tati désignait comme son « œuvre maîtresse »
1971 Trafic
1973 Parade

                            Les Vacances de M. Hulot
Après 7 mois de repérage sur les côtes de l’Atlantique et de la Manche, la plage, la jetée
et l’hôtel de la Plage de St Marc sur mer décident Tati à tourner c’est sa première
collaboration suivie avec le peintre - décorateur - scénariste Jacques Lagrange qui
redessine entièrement les façades des nombreuses maisons détruites. De juillet à octobre
1952 tournage à St Marc sur mer, près de St Nazaire et puis aux studios de Boulogne
Billancourt, c’est le deuxième long-métrage, deux ans après Jour de fête. Ne cédant à
aucune facilité et malgré le succès de son premier film, le réalisateur refuse d’utiliser une
seconde fois le personnage du facteur pourtant si populaire. Monsieur Hulot est né ainsi,
distrait et discrètement en 1951.Sortie du film en 1953 qui obtient le prix Louis Delluc et le
Prix de la Critique internationale à Cannes
Les différentes versions des Vacances de Monsieur Hulot

Depuis, on compte trois versions remontées de ce film par son réalisateur, accompagnées
de trois ressorties importantes. La première version est exploitée en 1953. Puis au début
des années 60, le réalisateur remonte le film, supprime et rallonge des plans. Il
réorchestre la musique d’Alain Roman et refait entièrement la musique et le mixage
sonore. C’est à cette époque aussi qu’il rajoute le plan final avec le timbre en couleur
marqué d’un tampon, signifiant le geste invisible du facteur. Plus tard en 1976, une
nouvelle génération de cinéphiles découvre avec émerveillement le film. Encouragé par ce
nouveau succès et inspiré par le film de Steven Spielberg « Les Dents de la mer »,
Jacques Tati retourne en 1978 des plans sur la plage de Saint-Marc-sur-Mer qu’il insère
dans une dernière version.

               Des pistes de lecture et de travail sur le film
Les personnages
Le film se déroule dans un lieu unique composé principalement de la plage et de l’Hôtel de
la Plage, sur un temps court (le mois de vacances) il n’y a pas de réel schéma narratif, pas
d’intrigue (mais il y a une histoire : le drame de Hulot) et les personnages ne sont pas
hiérarchisés. Les vacanciers sont d’importance égale.

                                       Monsieur Hulot
« C’est un original, disent les gens qu’il imite, un esbroufeur, un lunatique, un un
empêcheur de s’ennuyer en rond. Sa guimbarde passe en rugissant dans nos rues
paisibles qui s’ouvrent devant elle. Hulot nous choque, comme le ferait un mystérieux
étranger peu au courant de nos coutumes, ou mieux encore l’habitant d’une autre planète.
Nous ne pouvons nous reconnaître en lui, ni lui en nous, malgré ses efforts. Seuls les
enfants se plaisent à le suivre. »
Jean-Claude Carrière « Les vacances de M. Hulot » Ecole des Loisirs

Pour Jacques Kermabon, Monsieur Hulot est d'abord l'incarnation du mouvement
perpétuel, dialecticien subtil de l'équilibre et du déséquilibre, de l'ordre et du léger
décalage, du vide et du plein.

Pour Michel Manceaux : « …avec son visage à la Jacques Prévert sur le corps de De
Gaulle »
« Hulot, alter ego de Jacques Tati, sème derrière lui un vent de catastrophe et virevolte
sur son axe comme un poteau indicateur affolé par l’inconséquence du monde qui
l’entoure. » Marc Dondey.

M. Hulot est un exclu de la société, exclu de la possibilité d’aimer (il danse avec Martine
au moment du bal masqué car le déguisement le protège), il est l’étranger que ses
semblables rejettent. Le corps incliné vers l’avant, pipe au bec, il marche à grandes
enjambées tel un échassier dégingandé
Martine
Martine (Nathalie Pascaud), la jolie Martine, blonde aux nattes impeccables et toujours
élégante et qu’Hulot aime en secret. De sa chambre elle a une vue imprenable sur la mer,
toujours souriante, elle s’amuse des effets de M. Hulot.
La promenade en cheval ne pourra pas permettre de nouer l’idylle car M. Hulot ne peut
dompter son cheval !
                                   La vieille dame anglaise
La vieille dame anglaise (Valentine Camax) est venue pour s’amuser, hélas l’ennui la
cerne jusqu’à l’arrivée de…. Elle observe et admire ce M. Hulot, en particulier pendant le
match de tennis, elle viendra le saluer à la fin des vacances en espérant le revoir.
                                        Le commandant
Le commandant à la retraite, petit homme dru et sec comme sa moustache, parle des
batailles d’antan. Il occupe le terrain et conquière son public. Il est souvent en tête de
colonne et observe à la jumelle.
                                       Monsieur Smutte
Monsieur Smutte (époux à la ville de N. Pascaud), homme d’affaires Belge, venu avec sa
femme et son fils ne délaisse guère ses chiffres et ses cotations à la bourse. Il a troqué le
costume sombre pour le costume blanc : short, chemisette et casquette.

                                        Le serveur
Le serveur (Raymond Carl) a sa vie propre et crée du comique de situation par lui-même.
Dans sa veste fatiguée, l’air un peu malade, il jette quelques coups de torchon ici ou là. Il
pense tout haut. Il essaye de comprendre souvent le positionnement de M. Hulot face aux
autres touristes.

Pistes et questions :
- regarder l’affiche, décrire M. Hulot
- classer les grincheux et les sympathiques

Le son dans le film
Dans « Les Vacances de Mr Hulot » la dimension sonore est essentielle les personnages
parlent, dialoguent parfois, et Hulot lui même prononce quelques paroles mais tout ceci
est très relatif, comme si l’épure au niveau des dialogues lui permettait de renouer avec
l’efficacité des premiers maîtres du cinéma burlesque.
Le générique reprend le principe général du film : l’opposition avec vague – musique –
vague – musique... avec une entrée progressive des instruments comme si entre eux et la
mer il y avait du respect (Tati était très pointilleux sur le son, il a enregistré un son de
vague différent chaque jour).La musique composée par Alain Romans « Quel temps fait-il
à Paris » est une ritournelle obsédante, répétée comme le flux des vagues, c’est le tube
de l’été.
Par un cut on passe du générique à la gare avec le haut parleur nasillard et inaudible qui
est une critique de la médiation. Les locomotives donnent une rythmique parfaite alors que
la voiture est arythmique. Le principe d’opposition est repris également avec la voiture
silencieuse et la voiture pétaradante. A l’arrivée de M. Hulot dans l’hôtel la radio paniquée
dérape en sons stridents telle une alerte…
Le son chez Tati n’est pas un liant, il introduit des lignes de fractures et le heurt des
matières sonores donne le rythme.
Ainsi dans le travelling dans la salle de l’hôtel le son est en avance sur l’image, il y a la
voiture (extérieur), puis le ronfleur, les paroles du commandant, la radio…la caméra arrive
½ seconde après sur le personnage.
Les critiques ont parlé de la « rumeur des hommes ».Tati, plus que la grande majorité de
tous les cinéastes, aura accordé une importance exceptionnelle au son, bien entendu tout
en post - synchronisation.

Pistes et questions :
   - écouter un morceau de son du film sans les images, décrire les sons et
      imaginer les images associées
   - établir une liste des matières sonores : voix (enfants, commandant, discours
      ministre…), bruits (voiture, vagues, balles…), musiques (générique, jazz…)
   - expliquer la situation comique avec la musique de jazz qui perturbe le calme
      de la pension

Les ressorts comiques
Le burlesque (de l’espagnol burla qui peut se traduire par plaisanterie) est à l’origine un
genre théâtral fondé sur l’enchaînement de blagues pas toujours du meilleur goût. En
1910 il entre comme genre cinématographique (Max Linder, Harold Lloyd, Buster
Keaton…), le premier film de fiction français « L’arroseur arrosé » est un film burlesque. Le
cinéma muet se prête bien à ce genre. Le burlesque se caractérise par des effets très
visuels d’où des gros plans et un montage rapide. Dans « Les vacances de M. Hulot » ce
sont les situations décalées, l’ordre et le désordre et la perturbation mais toujours de
façon légère et non appuyée qui provoquent le rire. C’est le « à côté de la plaque » un peu
désuet et mélancolique des personnages qui voudraient garder la maîtrise des choses.
Jacques Tati : « Vous savez, dans les films comiques, en dehors de l'effet purement
comique, le gag visuel, le dialogue, la bonne réplique ou l'effet sonore, qui est fait pour
distraire et amuser les spectateurs, je crois qu'il se cache toujours un petit peu de
drame. »
Tati pour trouver ses idées se promène dans la rue car toute personne est susceptible de
produire du rire, c’est un comique démocratique, non focalisé sur un acteur. Ce rire naît de
la suggestion, de l’amorce, d’une sorte d’ébauche et c’est souvent au spectateur de
compléter, d’inventer et c’est lui qui produit le sens…D’où l’importance du hors – champ et
du non – vu. Tati « le tatillon » ne laisse jamais rien au hasard en témoignent d’ailleurs les
croquis minutieux élaborés avant le tournage.

Dans le film nous pouvons classer les effets (il y a 287 « gags ») en deux catégories liées
à la construction temporelle du film :
    - les effets longs construits en séquence avec un travail de plans, un son spécifique
       et des références, c’est une scène (c’est l’humour au long terme)
    - les gags courts sorte de ponctuation qui lancent ou terminent un plan ou bien
       servent de liaison (c’est l’éclat de rire).

Dans la première catégorie prenons quelques exemples :
  - L’arrivée des trains en gare où attendent les voyageurs, des annonces inaudibles et
      erronées créent un va et vient tel un ballet entre quais et passages souterrains.
  - M. Hulot arrive à la réception de l’hôtel et ne peut parler, il tient à deux mains ses
      valises et a sa pipe dans la bouche, le réceptionniste l’aide quand pour finir Hulot
      pose ses valises et le salue en soulevant son chapeau.
  - Quelqu’un (devinez qui ?) a défait le treuil qui maintenait un bateau à sec sur la
      plage, le marin recherche l’auteur de la blague…M. Hulot se sentant coupable
      prend une constance en s’essuyant le dos, en fait en essuyant le poteau derrière
      lui.
-   M. Hulot, gentleman, porte les valises d’une vacancière, emporté par son élan il
       traverse la maison, le jardin et se retrouve au point de départ (on retrouvera le
       passage de porte avec la scène des randonneurs).
   -   Dans la partie de tennis où dérogeant aux règles et techniques du sport, M. Hulot
       tenant sa raquette comme une poêle à frire et dans un style atypique élimine joueur
       après joueur.
   -   Le feu d’artifice : M. Hulot est poursuivi par des chiens depuis l’après midi, nous le
       retrouvons (ellipse) la nuit sur la plage toujours poursuivi par ces chiens, il se
       réfugie dans une cabane et met le feu aux pétards, fusées et autres feux
       d’artifice…branle bas de combat, c’est la guerre... (voir analyse de cette scène :
       Télédoc « Une chorégraphie du chaos »).

Dans la deuxième catégorie notons :
  - La tête de l’enfant, dans le volant du chauffeur de bus qui ne peut plus tourner
  - le chien couché devant la voiture qui ne réagit pas au klaxon
  - La moustache qui se soulève avec le vent brusque qui entre dans le restaurant
  - Le serveur qu renverse le verre sur le client en regardant l’heure à sa montre, on
      aura également le serveur qui perd son crayon dans l’aquarium.
  - Le bras de M. Hulot qui essuie la bouche de son voisin de table à chaque fois qu’ils
      s’échangent le sel ou le poivre.
  - Au cimetière la plume du chapeau de la dame qui chatouille le nez lors des
      condoléances.
  - le moment où M. Hulot tourne le siège du joueur de carte vers la mauvaise table de
      jeu
  - La roue de secours de la voiture qui tombe et roule en klaxonnant…

Certains gags reviennent comme fil rouge tout au long du film comme la pâte de guimauve
qui inexorablement descend de son support vers le sol, les traces de pas
incompréhensibles, Hulot tout en haut dans sa mansarde près du ciel…

Pistes et questions :
Choisir une situation comique :
La situation ?
Quels sont les éléments qui font rire ?
Comment Jacques Tati s’y prend-il pour montrer cela ?

Un drôle de personnage servi par le fond et la forme

                   FOND                                            FORME
M. Hulot perturbe et dérange l’ordre            -    arrive en tornade dans l’hôtel,
établi des petits bourgeois:                         journaux, tasses de thé emportés…
                                                 - en retard aux repas
                                                 - réveille tout le monde avec les feux
                                                     d’artifice en pleine nuit
                                                 - disparaît quand cela devient critique
M. Hulot ne fait pas comme tout le          - il arrive en vacances dans une vieille
monde :                                     guimbarde (Amilcar + Salmson + Renault !...)
                                            d’un autre temps / trains, bus, grosses
                                            voitures, vélos…
                                            - il est seul face aux groupes : couples,
                                            familles, promeneurs, joueurs de cartes ou de
                                            tennis…ainsi il écoute seul la musique de
                                            jazz…
- il fait sa vie, il ne fait rien de répréhensible, il
                                            marche droit mais il offusque quand même les
                                            autres personnages qui sont dans le rituel
                                            (plage, pique-nique, repas…) et ne peuvent
                                            quitter leur condition (bourgeois, militaire,
                                            serveur…)  dialogues sans intérêt
Les sympathisants de M. Hulot portent             - les enfants rieurs et blagueurs, une
un regard amusé sur les choses                        vieille anglaise, un monsieur éternel
                                                      promeneur et une jeune femme un peu
                                                      amoureuse (elle s’intéresse plus à la
                                                      partie de tennis de table de M. Hulot
                                                      qu’au discours du jeune homme…)
                                                      mais si timide…
                                                  - à la fin des vacances ils disent au
                                                      revoir à M. Hulot et espèrent le revoir
Les vacanciers petits bourgeois peu               - le militaire parle toujours de ses
sympathiques ne sortent pas de leurs                  souvenirs à la façon d’un donneur
rôles                                                 d’ordres, porte la casquette et salue de
                                                      la main…
                                                  - les repas, parties de cartes, bains de
                                                      soleil sont formalisés, disciplinés dans
                                                      un espace rigoureux
                                                  - - à la fin des vacances on s’échange
                                                      les adresses et l’on se congratule mais
                                                      en rejetant Hulot

Un travail formel et des plans rigoureux

Tati utilise avec justesse la prise de vue et le cadrage, tout ce qui peut encombrer l’image
est supprimé et il rend ainsi l’image directement lisible. Tati utilise fréquemment le plan
séquence, le plan moyen et le plan d’ensemble avec une profondeur de champ importante
pour jouer sur la participation du spectateur. Il est d’une précision extrême dans la
construction.

Dans le plan fixe de la gare où un groupe se déplace au rythme du haut parleur
incompréhensible, on a toujours les mêmes personnes en tête de groupe, impossible en
réalité mais obligatoire pour montrer la répétition.

Dans le plan du coup de pied aux fesses de M. Hulot à M. Smutte notons les 3 plans qui
forment 3 scènes avec 3 actions et 3 regards. L’objectif grand angulaire donne une
profondeur de champ importante et un cadrage large où le spectateur est dans l’action. le
croquis permet de visualiser les 3 scènes et les lignes de fuite qui guide la lecture.
J Carcedo, J.C Ruiller © Ciné Gamin (Illustration : J Carcedo)

Pistes et questions
Relever dans le film des gros plans et des plans larges
Quel est leur fonction par rapport à la scène filmée
A l’aide du croquis ci-dessous établir les lignes de forces et de fuites, établir leurs
rôles :

(Illustration : D. Lutz)
Des pistes de lecture et de travail dans le contexte
Les vacances
Il y a 57 ans la France part en vacances d’été, la loi sur les congés payés n’a alors que 20
ans.
4 juin 1936 : victoire du Front Populaire aux élections législatives. Léon Blum forme le
premier gouvernement socialiste français.
20 juin 1936 : le Journal Officiel publie la loi instituant 15 jours de congés payés annuels et
les semaines de 40 heures. Cette année-là, 600 000 personnes partent en vacances. Léo
Lagrange négocie avec la compagnie de chemin de fer un billet populaire de congés
annuel à tarif réduit dont 907 000 personnes bénéficient en 1937. Aujourd’hui les salariés
bénéficient de 5 semaines.

Pistes et questions
Noter en quoi les personnages restent dans leurs fonctions sociales
Relever dans le film les moyens de locomotion, les tenues des vacanciers, les
activités des touristes
Comparer avec les vacances d’aujourd’hui
Collectionner et comparer des « cartes postales »

http://www.ina.fr/economie-et-societe/vie-sociale/dossier/60/les-conges-
payes.20090331.CAF93019534.non.fr.html#containerVideo
La plage de St Marc sur mer pendant le tournage

http://www.ina.fr/economie-et-societe/environnement-et-
urbanisme/video/AFE03006780/departs-en-vacances-sur-la-nationale-7.fr.html
Les départs en vacances en voitures sur la N7

Bibliographie
La revue Dada, « Tati », n°147, édition Arola
« Les vacances de M. Hulot de Jacques Tati », Jacques Kermabon, Editions Yellow Now
2009
« Les vacances de M. Hulot », Jean-claude Carrière (illustrations Pierre Etaix), roman,
Editions Robert Laffont 2005
« Jacques Tati, de François le facteur à M. Hulot », Stéphane Goudet, Editions CNDP
Paris (cahiers du Cinéma) 2002
« Tati », Marc Dondey, Editions Ramsay cinéma 2002
« Jacques Tati, deux temps, trois mouvements », Macha Makeïeff et Stéphane Goudet,
Editions Naïve, 2009.
 « Le jacquot de Monsieur Hulot », David Merveille, album jeunesse, Editions du Rouergue
2006
« Le petit Tati », Macha Makeïeff, Jean Rouaud, album jeunesse, Editions Naïve 2009
« Le burlesque », Jean-Philippe Tessé, Editions CNDP Paris (cahiers du Cinéma)

DVD (version restaurée) Editions Naïve vision, 2009
CD « Tati sonorama », Les films de Mon Oncle/Naïve, 2008

Liens utiles :
http://www.cndp.fr/TICE/teledoc/mire/teledoc_vacanceshulot.pdf

http://www.tativille.com/
site officiel de Jacques Tati, avec pour les Vacances de M Hulot, Dans le hall, la scène
avec le texte. (il faut accepter les fenêtres pop-up sur le site)

http://www.commeaucinema.com/notes-de-prod/les-vacances-de-monsieur-hulot,3655
les différentes versions avec l'épisode Dents de la mer

http://www.evene.fr/cinema/actualite/jacques-tati-cinematheque-monsieur-hulot-playtime-
etaix-2083.php
http://www.evene.fr/celebre/biographie/jerome-deschamps-15348.php?video,2
une interview de Jérôme Deschamps sur l'univers Tati

http://www.calameo.com/read/000005026c1a84d69371a?authid=8XTX4ZuZwhBq
un superbe album avec de nombreuses photos et des notes de tournage

http://www.mairie-saintnazaire.fr/tourisme-loisirs/ville-aux-20-plages/les-vacances-de-
monsieur-hulot/
un article sur le tournage

http://www.thomsonfilmfoundation.org/fileadmin/user_upload/en/pdf/press_reviews/Press_
Review_VMH__Mai_2009_.pdf

http://laternamagika.wordpress.com/2009/07/02/les-vacances-de-monsieur-hulot-de-
jacques-tati/

http://ia58.ac-dijon.fr/cinema/article.php3?id_article=166
avec des fichiers à télécharger dont l’analyse de la bande son et une série de synopsis
intéressante pour des cycles 3

http://cyberechos.creteil.iufm.fr/cyber23/Lire/index.htm
un travail d'une classe

           Dossier réalisé par Didier Lutz, CPD Arts visuels Allier, janvier 2010
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