FRANCE LE CHIFFRE D'AFFAIRES TRIMESTRIEL DU GROUPE PSA A AUGMENTÉ DE 4,9 % - CCFA
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ANALYSE DE PRESSE DE 14H00 2017/04/26 FRANCE LE CHIFFRE D’AFFAIRES TRIMESTRIEL DU GROUPE PSA A AUGMENTÉ DE 4,9 % Le chiffre d’affaires du Groupe PSA s’est établi à 13,6 milliards d’euros au premier trimestre de 2017, en hausse de 4,9 %. La division automobile du constructeur (marques Peugeot, Citroën et DS) a vu son activité croître de 2,5 %, à 9,01 milliards d’euros, le succès du lancement de nouveaux produits faisant « plus que compenser » des effets de change négatifs (- 1 %), souligne-t-il un communiqué. De leur côté, les volumes de véhicules écoulés ont progressé de 4,2 %, un effondrement commercial en Chine et en Asie du Sud-Est (- 45,6 %) étant effacé par la réintégration des ventes iraniennes dans le périmètre. Faurecia, que le Groupe PSA contrôle, a publié le 11 avril un chiffre d’affaires de 5,09 milliards d’euros pour le premier trimestre, en hausse de 9,3 %. Si l’évolution du nombre de véhicules vendus par le Groupe PSA est dans le vert sur les trois premiers mois de l’année, cela est principalement dû au retour dans les comptes des ventes en Iran, où le groupe dirigé par Carlos Tavares a signé en 2016 de nouvelles coentreprises après la levée de certaines sanctions économiques dans la foulée d’un accord sur le programme nucléaire de la République islamique. Ces ventes représentent 104 000 véhicules au premier trimestre, soit le septième des volumes totaux de PSA (729 000). Leur retour dans le périmètre, cinq ans après le départ forcé de PSA d’Iran, a permis d’effacer un véritable écroulement des volumes en Chine et en Asie du Sud-Est, passées en un an de 152 700 à 83 000, Citroën et DS perdant plus de 60 % de part de marché et Peugeot 33,2 %. Le 18 avril au Salon de Shanghai, M. Tavares a estimé que cette forte baisse des ventes sur le premier marché automobile mondial pourtant en pleine santé n’était « pas acceptable », promettant de travailler d’« arrache-pied » pour redresser la tendance. A fin mars 2017, les stocks du constructeur étaient en légère hausse, à 390 000 unités. Sur l’ensemble de 2017, PSA s’attend à une croissance du marché automobile de l’ordre de 1 % en Europe et de 2 % en Amérique latine. Le marché devrait croître de 5 % en Chine et rester stable en Russie. (AFP, COMMUNIQUE DE PRESSE GROUPE PSA 26/4/17) Par Alexandra Frutos
PSA RETAIL VISE UNE PROGRESSION DE 13 % DU CHIFFRE D’AFFAIRES DE SA PLAQUE RENNAISE Après l’inauguration des plateformes de Marseille-Marignane, de Nice-Corse et de Toulouse en 2016, PSA Retail est désormais opérationnel avec un dixième site de distribution de pièces de rechange en France. Depuis le 23 janvier 2017, un entrepôt de 7 300 m2, implanté au cœur de l’usine PSA de Rennes la Janais (Ille-et-Vilaine), assure le stockage et la livraison des pièces (trois fois par jour). Cette unité, qui s’inscrit dans le cadre de la réindustrialisation du site industriel de Rennes, amorcée en 2013, est organisée autour de cinq zones de stockage (petites pièces, moyennes pièces, grosses pièces, pneumatiques, pièces attractives) et dispose de quinze emplacements pour accueillir les véhicules aux couleurs de la marque de distributeur Distrigo. A ce jour, près de 18 000 références de pièces d’origine PSA sont représentées sur la plateforme, auxquelles viennent s’ajouter 3 000 références de pièces Eurorepar et 5 000 de pièces équipementiers (IAM), soit un stock d’une valeur de 3 millions d’euros. A terme, les gammes de pièces équipementiers devraient monter à 20 000 références. Complémentaire de la plateforme historique de Nantes-Orvault, cette nouvelle implantation doit permettre à la filiale de distribution du Groupe PSA d’améliorer son taux de service auprès de ses clients réparateurs (de 88 % actuellement), mais aussi d’aller conquérir de nouveaux garages sur un périmètre d’une heure autour de Rennes, qui coiffe des villes telles que de Saint-Malo, Fougères, Avranches, Laval ou Lamballe. « Sur ce marché, c’est véritablement le service, le suivi et la qualité de livraison qui font la différence. Notre force est aussi de nous appuyer sur notre gamme de pièces d’origine », indique Jean-Baptiste Choupot, directeur de PSA Retail. Les deux plaques bretonnes représentent un chiffre d’affaires global de 76,6 millions d’euros, dont 46,6 millions sur la zone nantaise, via 700 clients, et 30 millions sur le périmètre rennais, avec 450 clients. A Rennes, le gros des ventes de pièces se concrétise auprès des agents de marque (51 %), suivis des concessionnaires (21 %) et des MRA (16 %). La plaque rennaise, dirigée par Pascal Busson, vise une croissance de 13 % de son chiffre d’affaires d’ici à un an, en misant à la fois sur la conquête de nouveaux clients, en particulier chez les MRA, et la hausse du panier moyen. (LARGUS.FR 25/4/17) Par Alexandra Frutos TESLA ÉTEND SON RÉSEAU DE SUPERCHARGEURS EN FRANCE Avec l’ouverture des Superchargeurs de Saint-Brieuc (Côtes-d’Armor) et d’Urvilliers (Aisne), Tesla compte désormais 53 stations en France pour 390 points de charge. Ce maillage permet à 99 % de la population française de se trouver à moins de 130 km d’une borne de recharge. La marque procèdera à d’autres ouvertures au cours des prochains mois pour préparer le lancement du Model 3 dès 2018. En Europe, Tesla compte au total 290 stations de recharge, lesquelles permettent de relier le sud de l’Europe au nord du Vieux Continent jusqu’à la limite du Cercle arctique. Dans le monde, la marque californienne promet par ailleurs de doubler le nombre de Superchargeurs pour compter 10 000 stations d’ici à la fin de l’année. (JOURNALAUTO.COM 25/4/17) Par Alexandra Frutos GRUAU DÉVOILE SES NOUVEAUX PROJETS
Gruau dévoile ses nouveaux projets. « Dans les deux prochaines années, nous allons investir 39 millions d’euros en nouveaux produits, en nouveaux équipements, en nouveaux bâtiments et en nouvelles opérations de croissance externe », annonce Patrick Gruau, président du carrossier- constructeur. Gruau a prévu de consacrer 16 millions d’euros aux nouveaux produits, 10 millions d’euros aux nouveaux équipements, 7 millions d’euros aux nouveaux bâtiments et, enfin, 6 millions d’euros aux nouvelles opérations de croissance externe. « Nous venons de capter auprès d’un constructeur un marché produit représentant 20 millions d’euros par an sur une période de huit à dix ans et nous construisons actuellement un bâtiment supplémentaire d’une surface de 4 000 m² sur notre site de Laval », précise le dirigeant. « Nous sommes actuellement référencés auprès de 34 constructeurs », souligne-t-il. Le groupe chapeaute par ailleurs 15 marques (Gruau, Petit, Picot, Gifa, Collet, Gruau Electric, etc.) et totalise à ce jour 21 sites dans le monde (treize en France, deux en Pologne, un en Espagne, un en Algérie, un aux Etats- Unis et trois en Italie, ces derniers correspondant à ceux repris à la société italienne Onnicar). Mais l’internationalisation du groupe mayennais ne fait que commencer. L’entreprise recherche d’autres partenaires aux Etats-Unis – elle ne peut s’y appuyer aujourd’hui que sur la seule entreprise locale Knapheide – et s’apprête à donner naissance à Gruau Allemagne via la création d’une coentreprise avec le spécialiste des systèmes de rangement Sortimo (Gruau a pris une participation de 50 % dans le capital de Sortimo France début 2016, donnant ainsi naissance à l’entité Sortimo by Gruau). Avec toutes ces initiatives, le carrossier-constructeur vise un chiffre d’affaires de 280 millions d’euros en 2017, 340 millions en 2018 et 360 millions en 2019 (220 millions en 2016). Une montée en puissance à laquelle devrait participer toujours plus l’Electron II. La seconde génération de cet utilitaire électrique de 3,5 tonnes élaboré sur la base d’un Fiat Ducato vient d’enregistrer ses premières livraisons, notamment auprès des groupes Heppner, RATP Dev et Enedis en France. L’Electron II donne accès à des packs de batteries lithium-ion de 38, 51 et 58 kWh, qui autorisent des autonomies de respectivement 180, 242 et 268 km à la norme NEDC. « Ses performances peuvent être comparées à celles délivrées par un utilitaire thermique développant 130 ch », souligne Gruau. Dans les deux ou trois ans à venir, le groupe compte en commercialiser un bon millier par an en France (5 000 V.U.E. de 3.5 tonnes pourraient être vendus chaque année à cet horizon en France). Mais cela pourrait être beaucoup plus, Gruau cherchant actuellement à le référencer auprès de l’Ugap. (JOURNALAUTO.COM 25/4/17) Par Alexandra Frutos ALLEMAGNE LA FLOTTE D’ALPHABET DEUTSCHLAND A DÉPASSÉ LES 150 000 VÉHICULES La flotte d’Alphabet Deutschland (filiale du groupe BMW dédiée à la mobilité) a dépassé les 150 000 véhicules. Elle se composait en effet de 152 500 voitures particulières et véhicules utilitaires légers disponibles en location de longue durée à la fin de l’année 2016 (soit 6,5 % de plus qu’à la fin de 2015). La flotte compte quelque 73 000 véhicules des marques BMW et Mini et 79 500 véhicules d’autres constructeurs. En outre, en 2016, Alphabet Deutschland a conclu près de 55 000 nouveaux contrats de location de longue durée (+ 4,6 %), dont environ 5 000 contrats pour des véhicules utilitaires légers (+ 47 %).
Le nombre de contrats de location de longue durée enregistrés pour des modèles électriques et hybrides rechargeables s’est établi en 2016 à environ 3 000, soit près de deux fois plus qu’en 2015. En outre, Alphabet fournit des services de gestion de flottes, mais aussi des conseils de gestion de l’énergie (avec notamment la distance des bornes de recharge pour véhicules électriques, ou encore les endroits où il est possible de recharger un véhicule via l’énergie solaire). (AUTOMOBILWOCHE 25/4/17) Par Cindy Lavrut LES ÉQUIPEMENTIERS ALLEMANDS TABLENT SUR UNE LÉGÈRE BAISSE DE LA PRODUCTION AUTOMOBILE Le chiffre d’affaire cumulé des équipementiers allemands a augmenté de 0,2 % au premier trimestre, à un total de 223 milliards d’euros environ. Néanmoins, lors du Salon de Hanovre, ils ont indiqué tabler sur une légère baisse de la production automobile en Allemagne cette année. En revanche, en raison d’une baisse des taux d’intérêts, les équipementiers estiment que leurs investissements augmenteront cette année. Les perspectives pour 2017 ne sont toutefois pas toutes optimistes, en raison notamment des tendances protectionnistes initiées aux Etats-Unis par le Président Donald Trump. En outre, les exportations de l’industrie équipementière allemande ont augmenté de 1,3 % en 2016, à 85,5 milliards d’euros. (AUTOMOBILWOCHE 25/4/17) Par Cindy Lavrut PRÈS D’UN QUART DES ALLEMANDS NE VOUDRAIENT PAS SE PASSER DE LEUR VOITURE Selon un sondage réalisé par YouGov, près d’un quart des Allemands (23 %) n’accepteraient de se passer de leur voiture sous aucun prétexte pour réaliser leurs déplacements en milieu urbain. 41 % y seraient prêts, mais uniquement à condition que le réseau de transports publics soit étendu et amélioré. Cette étude montre l’importance de la voiture pour les consommateurs allemands et pour leur mobilité en ville. Parmi les raisons qui pourraient inciter les Allemands à renoncer à leur voiture en ville, le coût élevé du carburant est cité par 17 % des sondés. Par ailleurs, ils sont 16 % à déclarer que si des espaces de stationnement plus sûrs pour les vélos étaient fournis, ils pourraient troquer leur voiture pour un vélo. En revanche, seuls 9 % des sondés déclarent que de meilleurs services d’autopartage pourraient les inciter à ne plus prendre leur propre voiture pour leurs trajets en ville. L’étude montre que pour 49 % des sondés, disposer de sa propre voiture reste le moyen de transport le plus flexible en ville, malgré les feux rouges et les embouteillages. 27 % mentionnent le confort comme raison pour continuer à prendre leur propre voiture. Enfin, 16 % se sentent plus en sécurité dans leur voiture (qu’à deux-roues par exemple). En outre, l’étude de YouGov a montré que 32 % des Allemands refusent la mise en place d’une «
vignette bleue » qui interdirait l’accès aux voitures émettant le plus de NOx dans les centres-villes. Par ailleurs, un autre sondage, réalisé cette fois par le site Internet Autoscout24, montre que 55 % des voitures particulières circulant en Allemagne sont de marques allemandes. En outre, les Allemands dépensent en moyenne 226 euros par mois pour leur véhicule (coûts de carburant, frais de stationnement, taxes, assurances, remboursement d’un emprunt, frais de location et entretien). Cela représente un tiers de la somme accordée à leur habitation (loyer, remboursement de crédit, intérêt, charges, courant, eau, frais domestiques, réparations). (AUTOMOBILWOCHE 25/4/17) Par Cindy Lavrut DAIMLER RELÈVE SES PRÉVISIONS POUR 2017 Après des résultats meilleurs qu’escomptés au premier trimestre, le groupe Daimler a relevé ses objectifs pour l’ensemble de l’année 2017. Il table désormais sur une « nette progression » de son chiffre d’affaires et de son bénéfice opérationnel EBIT, alors qu’il visait jusqu’alors sur une « légère hausse ». Ses ventes devraient en outre augmenter d’au moins 5 %. En effet, Daimler a fait savoir début avril qu’il avait dégagé un bénéfice opérationnel EBIT de 4,008 milliards d’euros au premier trimestre (contre 2,148 milliards d’euros sur la même période de 2016). Les analystes tablaient plutôt sur un bénéfice opérationnel de 3,05 milliards d’euros (cf. analyse de presse du 12/4/17). En outre, le bénéfice net part du groupe de Daimler au premier trimestre a également dépassé les attentes des marchés, à 2,7 milliards d’euros (soit deux fois plus qu’un an auparavant). Son chiffre d’affaires s’est établi à 38,8 milliards d’euros sur les trois premiers mois de l’année (+ 11 %). (AFP, BLOOMBERG, AUTOMOBILWOCHE, HANDELSBLATT 26/4/17) Par Cindy Lavrut CONTINENTAL VA INVESTIR 300 MILLIONS D’EUROS DANS LES V.E. L’équipementier allemand Continental va investir 300 millions d’euros supplémentaires dans les technologies d’électrification des véhicules d’ici à 2021. Avec cet investissement, Continental va renforcer son expertise dans l’électronique pour les véhicules électriques (et à terme pour les voitures autonomes également), afin de suivre l’évolution engagée par ses clients, les constructeurs d’automobiles (notamment Volkswagen et Ford). Néanmoins, malgré ces investissements, Continental souligne que les véhicules à moteurs à combustion représenteront toujours la majeure partie du marché automobile mondial, et ce au moins jusqu’en 2025. Par ailleurs, Continental prévoit que sa division dédiée aux transmissions réalisera un chiffre d’affaires de 10 milliards d’euros d’ici à 2019, grâce au développement des transmissions électriques. En effet, les transmissions électriques contribueront au chiffre d’affaires de Continental à hauteur de 1 milliard d’euros d’ici à 2021 (contre 130 millions d’euros l’an dernier). L’investissement de 300 millions d’euros annoncé par Continental viendra s’ajouter à la somme d’un milliard d’euros que l’équipementier a déjà investi au cours des cinq dernières années dans le
domaine des véhicules électrifiés (électriques et hybrides rechargeables). Cette année, la division Transmissions de Continental table sur une hausse de son chiffre d’affaires de 9 %, à 8 milliards d’euros et sur une marge opérationnelle de 9 %. (AUTOMOTIVE NEWS EUROPE, AUTOMOBILWOCHE 25/4/17) Par Cindy Lavrut CHINE MIDEA ENVISAGE DE NOUVELLES ACQUISITIONS Le groupe chinois Midea – qui a récemment racheté le fabricant allemand de machines-outils Kuka – envisage de nouvelles acquisitions dans l’industrie équipementière, notamment en Allemagne. Ces futures acquisitions s’inscriront dans la stratégie d’internationalisation de Midea, qui veut notamment faire de Kuka un acteur mondial. (AUTOMOBILWOCHE 25/4/17) Par Cindy Lavrut LE MONTANT DES IMPORTATIONS DE PIÈCES AUTOMOBILES EN CHINE A AUGMENTÉ Le montant des importations de pièces automobiles en Chine a augmenté de 16,3 % en mars, représentant ainsi une valeur de 2,89 milliards de dollars. Bien que les groupes chinois ont amélioré leurs produits, les fabricants locaux de pièces restent minoritaires en comparaison avec les fournisseurs étrangers. A l’avenir, la Chine veut accroître la part de marché de ses équipementiers locaux, en favorisant l’innovation et le design et le développement en interne, plutôt que la simple imitation de pièces étrangères. (GASGOO.COM 26/4/17) Par Cindy Lavrut LA CHINE SE FIXE POUR OBJECTIF DE VENDRE 35 MILLIONS DE VÉHICULES PAR AN D’ICI À 2025 La Chine se fixe pour objectif de vendre 35 millions de véhicules par an d’ici à 2025 (contre 28 millions en 2016) et veut qu’à cet horizon les véhicules à énergies alternatives représentent au moins 20 % du marché (soit au moins 7 millions d’unités). En outre, le gouvernement chinois se fixe comme objectif intermédiaire de vendre 2 millions de véhicules à énergies alternatives en 2020. (AUTOMOTIVE NEWS EUROPE 25/4/17) En outre, la Chine devrait assouplir sa réglementation limitant à 50 % la participation des constructeurs étrangers dans leurs coentreprises avec des constructeurs chinois. (BLOOMBERG 25/4/17) Par Cindy Lavrut
CORÉE DU SUD TESLA VA INSTALLER 14 STATIONS DE RECHARGE RAPIDE EN CORÉE DU SUD Tesla a annoncé qu’il installerait quatorze stations de recharge rapide en Corée du Sud cette année. Cinq de ces stations seront situées à Séoul et une autre à Bundang, au sud de la capitale coréenne, a précisé le constructeur américain de voitures électriques qui a ouvert deux boutiques en Corée du Sud (voir la revue de presse du 14 mars). (YONHAP 25/4/17) Par Frédérique Payneau LE BÉNÉFICE NET DE HYUNDAI A BAISSÉ DE 21 % AU PREMIER TRIMESTRE Au premier trimestre, le chiffre d’affaires de Hyundai a augmenté de 4,5 %, à 23 360 milliards de wons (18,98 milliards d’euros), mais son bénéfice net a reculé de 21 %, à 1 460 milliards de wons (1,18 milliard d’euros) et son bénéfice d’exploitation a diminué de 6,8 %, à 1 250 milliards de wons (1 milliard d’euros). Le constructeur a indiqué qu’il avait enregistré de bons résultats en Russie et au Brésil, mais il a pâti d’une forte baisse de la demande pour ses véhicules en Chine et dans certains marchés en Asie et au Moyen-Orient. Ses ventes sur le marché chinois ont chuté de 44 % au mois de mars, sur fond de tensions politiques entre Séoul et Pékin liées au déploiement du système antimissile américain Thaad en Corée du Sud. Hyundai a vendu environ 1,1 million de voitures au premier trimestre, soit 1,6 % de moins que sur la période correspondante de 2016. Il a dit s’attendre à une période riche en défis, entre le ralentissement de la croissance mondiale et les tentations protectionnistes. (YONHAP, AFP 26/4/17) Par Frédérique Payneau LES EXPORTATIONS ET IMPORTATIONS DE VOITURES ONT BAISSÉ EN VALEUR AU PREMIER TRIMESTRE Selon les services des douanes coréens, les exportations de voitures fabriquées en Corée du Sud ont diminué de 2,7 % en valeur au premier trimestre, à 8,7 milliards de dollars. La valeur des voitures importées en Corée du Sud sur cette période a pour sa part baissé de 16,3 %, à 1,8 milliard de dollars. Les exportations et les importations de voitures ont baissé respectivement de 8,6 % et 24,3 % en volume (à 596 000 et 53 000 unités) sur les trois premiers mois de 2017. (YONHAP 26/4/17) Par Frédérique Payneau ESPAGNE LA RENTABILITÉ MOYENNE DES CONCESSIONNAIRES ESPAGNOLS AU PLUS HAUT DEPUIS 2008
Les concessionnaires espagnols ont dégagé un bénéfice moyen sur chiffre d’affaires de 1,9 % en 2016, contre 1,7 % en 2015. Cette marge de 1,9 % est la meilleure enregistrée par le secteur depuis 2008. Environ 83 % du chiffre d’affaires des concessionnaires espagnols procèdent de la vente de véhicules (neufs et d’occasion), 12 % procèdent de la vente de pièces de rechange et d’accessoires et 5 % de la réparation. (EL MUNDO 25/4/17) Par Juliette Rodrigues ETATS-UNIS LE COÛT DE RÉPARATION DES VÉHICULES A AUGMENTÉ EN 2016 Le coût moyen de réparation des véhicules aux Etats-Unis a augmenté de 2,7 % en 2016, à 398 dollars, après deux années de stagnation, selon l’Indice de santé des véhicules 2017 publié par la société américaine CarMD. La hausse des coûts de main-d’oeuvre a atteint 4,7 % et celle des coûts des pièces 1,4 %, a précisé CarMD. Les coûts de réparation des véhicules ont augmenté dans toutes les régions des Etats-Unis l’an dernier, à l’exception de l’Ouest où ils ont diminué de 1,1 %. (AUTOMOTIVE NEWS 25/4/17) Par Frédérique Payneau INDONÉSIE LA NOUVELLE USINE INDONÉSIENNE DE MITSUBISHI PRODUIRA DES VÉHICULES POUR NISSAN À PARTIR DE 2019 Dans le cadre de ses efforts visant à accroître ses ventes en Asie du Sud-Est, Nissan va renforcer sa collaboration avec Mitsubishi dans cette région. Mitsubishi vient d’inaugurer, le 25 avril, une nouvelle usine en Indonésie, qui produira dans un premier temps 30 000 Pajero Sport par an, puis, à partir de cet automne, un nouveau véhicule à usage multiple (type monospace) au rythme de 80 000 unités par an. Le VUL Colt L300 sera également fabriqué sur le site. Située à Bekasi, la nouvelle usine est une coentreprise entre Mitsubishi Motors, Mitsubishi Corp et un partenaire local. Ses capacités s’établissent à 160 000 unités par an. A partir de 2019, l’usine devrait en outre produire des véhicules à usage multiple pour Nissan. (NIKKEI 26/4/17, REUTERS 25/4/17) Par Juliette Rodrigues JAPON NISSAN VA DÉVELOPPER SA GAMME NISMO
Nissan veut développer sa gamme sportive Nismo (Nissan Motorsport), notamment avec des SUV, et vient d’annoncer la création d’un nouveau département dédié baptisé Nismo Cars Business. Actuellement, Nissan propose sept modèles Nismo à travers le monde : les GT-R, Juke, 370Z, Micra, Patrol, Sentra et Note e-Power. Il compte doubler le nombre de ses modèles Nismo d’ici à 2022 et élargir son éventail de débouchés. Grâce à cette expansion, Nissan vise une forte hausse de ses ventes de voitures Nismo. Elles devraient atteindre 100 000 unités par an au début des années 2020, contre quelque 15 000 unités. La gamme Nismo va notamment s’enrichir de SUV et crossovers sportifs (un Qasqhai Nismo pourrait voir le jour). Plusieurs niveaux de gamme seront proposés, des options et finitions Nismo Line, des véhicules Nismo et des autos Nismo High Performance. Nissan compte présenter les premiers modèles conçus par Nismo Cars Business à l’automne ou l’hiver prochain. (AUTO PLUS 25/4/17) Par Juliette Rodrigues KENYA LES IMPORTATIONS DE VÉHICULES D’OCCASION AU KENYA DEVRAIENT RECULER Les importations de véhicules d’occasion au Kenya devraient reculer en 2017, à quelque 60 000 unités (contre 75 000 unités en 2016), selon les estimations de la KABA (association automobile kényane). Cette baisse s’explique par l’incertitude causée par les élections organisées cette année, ainsi que par la dévaluation du shilling kényan. Toutefois, l’agence de presse chinoise XINHUA NEWS (25/4/17) souligne que les importations de véhicules d’occasion au Kenya avaient continuellement augmenté au cours de la dernière décennie. Les véhicules d’occasion représentent environ 70 % du marché automobile kényan, en raison de leurs prix abordables. Par Cindy Lavrut RUSSIE LA RUSSIE COMPTE 3,5 MILLIONS DE VOITURES À VOLANT À DROITE Au 1er janvier 2017, la Russie comptait 3,5 millions de voitures à volant à droite, correspondant à 8,3 % du parc automobile local, indique une étude d’Autostat. Plus de 80 % de ces véhicules circulent dans les régions de l’Est du pays, notamment la Sibérie. (AUTOSTAT 25/4/17) Par Juliette Rodrigues UNION EUROPÉENNE
LE MARCHÉ DES VÉHICULES UTILITAIRES DANS L’UE A AUGMENTÉ DE 10 % EN MARS Le marché européen des véhicules utilitaires a augmenté de 10 % en mars, à 266 902 unités. Sur les trois premiers mois de l’année, la progression a atteint 7,5 %, à 606 230 unités. Les immatriculations de véhicules utilitaires légers ont augmenté de 10,5 % le mois dernier, à 225 833 unités, et de 8,1 % sur trois mois, à 504 849 unités. Le marché des véhicules de plus de 3,5 tonnes a progressé de 7,1 % en mars, à 36 870 unités, et de 4,7 % sur trois mois, à 91 665 unités. Le marché des véhicules industriels de plus de 16 tonnes a quant à lui progressé de 6,1 % le mois dernier, à 29 971 unités, et de 4,8 % au cumul, à 75 331 unités. Enfin, le marché des autobus et autocars a augmenté de 9,1 % en mars, à 4 199 unités, et de 5,9 % sur trois mois, à 9 716 unités. (COMMUNIQUE DE PRESSE ACEA 26/4/17) Par Alexandra Frutos
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