L'INCROYABLE ODYSSÉE DE UN FILM DE NICOLAS WADIMOFF - Sister Distribution

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L’INCROYABLE ODYSSÉE DE

UN FILM DE NICOLAS WADIMOFF
                 EN COLLABORATION AVEC BÉATRICE GUELPA

                Un film de NICOLAS WADIMOFF en collaboration avec BÉATRICE GUELPA • Images FRANCK RABEL
 Son CARLOS IBANEZ DIAZ • Assistante de réalisation AYA EL-ZINATI • Montage CHRISTINE HOFFET • Narration BRUNO TODESCHINI
           Conception sonore BENOÎT DAME • Musique CLAUDE FRADETTE • Consultante au montage KARINE SUDAN
      Productrice déléguée MÉLANIE LASNIER • Produit par COLETTE LOUMÈDE (ONF) et PHILIPPE COEYTAUX (AKKA FILMS)
              Une coproduction AKKA FILMS, l’OFFICE NATIONAL DU FILM DU CANADA, RTS Radio Télévision Suisse
L’APOLLON DE GAZA
                       Un film de Nicolas Wadimoff
                   En collaboration avec Béatrice Guelpa

                           Suisse/Canada I 2018 I 78’

                       SEMAINE DE LA CRITIQUE, LOCARNO 2018
                                   World Premiere

                               Fri. 3.8.2018, 11h00, La Sala
                             Sat. 4.8.2018, 18h30, L'altra Sala

                                 SORTIE SUISSE A VENIR

Production
AKKA FILMS
17, chemin des Suzettes, 1233 Bernex
Philippe Coeytaux, producteur : p.coeytaux@akkafilms.ch ; 079 443 47 82

Distribution
SISTER DISTRIBUTION
4 rue des Marbriers, 1204 Genève
Suisse romande Abel Davoine ; abel@sister-distribution.ch ; 078 797 23 06
Deutschschweiz Sara Hesse ; pressesister@gmail.com ; 078 930 96 28
En 2013, une statue d’Apollon datant de l’Antiquité est trouvée au large de Gaza avant de
disparaître dans d’étranges conditions. Œuvre de faussaires ou bénédiction des dieux pour
un peuple palestinien en mal d’espoir ? Bientôt, la rumeur s’emballe alors qu’en coulisse
différents acteurs locaux et internationaux s’agitent, mus par un souci de préservation ou
par une logique purement mercantile. Tourné à Gaza et à Jérusalem, L’Apollon de
Gaza se déploie comme un film-enquête axé sur ce trésor national qui fait rêver.
Passionnante réflexion sur le temps et la fragilité des civilisations, mais aussi méditation
poétique et philosophique, le film nous immerge dans la réalité méconnue d’un territoire qui
paie encore le prix du conflit israélo-palestinien, mais où la vie, insoumise, subsiste envers
et contre tout. Apportant un peu de lumière et de beauté dans le ciel de Gaza, la statue
pourrait redonner une part de dignité à tout un peuple, tout en réveillant par son histoire
exaltante une fierté nationale trop souvent bafouée.

In 2013, an ancient statue of Apollo was found in the waters off Gaza—before disappearing
under mysterious circumstances. Is it the work of forgers, or a gift from the gods to a
Palestinian people desperately in need of hope? Soon the rumours start to swirl, while
behind the scenes local and international players start jostling—some driven by historical
preservation and others by purely commercial interests. Filmed in Gaza and Jerusalem, The
Apollo of Gaza plays out like a mystery built around a national treasure that is the stuff of
dreams.
The Apollo of Gaza is an engaging reflection on the passage of time and the fragility of
civilizations, as well as a poetic and philosophical meditation that immerses us in the often-
misunderstood realities of life in a place that continues to pay a heavy price for the
seemingly endless Israeli-Palestinian conflict—a place where life doggedly carries on,
resisting.
Like a meteor streaking across the sky, the statue of Apollo brings a moment of light and
beauty to Gaza. Can it help restore dignity to a people, revealing a glorious history and
fostering pride in a nation often misrepresented and demeaned?
Tout commence par la découverte d’une statue d’Apollon par un pêcheur au large de Gaza en
août 2013. Cette pièce d’antiquité en bronze datant, selon les premières estimations, de 300 à 200
avant Jésus-Christ fait bientôt la une de plusieurs journaux internationaux avant de disparaître dans
d’étranges conditions. Coproduit par Akka Films et l’Office national du film du Canada, L’Apollon
de Gaza du cinéaste suisse Nicolas Wadimoff tente de percer le secret de cette étonnante
découverte archéologique. Tourné à Gaza et à Jérusalem, ce documentaire aux multiples
rebondissements se déploie comme un film-enquête lancé sur les traces de ceux et celles qui se
sont approchés ou qui ont entendu parler de ce trésor national. Œuvre de faussaires ou bénédiction
des dieux pour un peuple palestinien en mal d’espoir ? La question reste entière. Chose certaine,
l’Apollon de Gaza est bientôt l’objet de toutes les spéculations et de toutes les convoitises, et son
existence même nourrit les plus folles rumeurs, allant jusqu’à brouiller la frontière entre vérité et
mensonge, mythe et réalité.

Qu’est-il advenu de cette mystérieuse statue dont la valeur historique pourrait être inestimable ?
Entre ceux qui obéissent à de purs intérêts mercantiles et ceux qui sont animés avant tout par des
considérations artistiques et de préservation, une guerre sourde semble engagée et tous les
pouvoirs, officiels ou occultes, s’affrontent à l’abri des regards. Au-delà des rivalités politiques et
des prétentions locales (notamment en Israël) ou internationales, L’Apollon de Gaza s’avère une
passionnante réflexion sur le passage du temps et les cycles de l’histoire. Une histoire qui a vu, au
fil des siècles, naître, s’épanouir et mourir de grandes civilisations, et ce, dans une région du monde
aujourd’hui en proie à l’interminable conflit israélo-palestinien, dont la bande de Gaza assiégée
continue de payer lourdement le prix.

Alors que des images de guerre et de misère économique ne cessent d’être associées à Gaza par
les médias du monde entier, L’Apollon de Gaza nous immerge dans un territoire méconnu où la
vie, insoumise, subsiste envers et contre tout. Même si elle n’a traversé le ciel de Gaza que comme
un « météore » laissant dans son sillage un peu de lumière et de beauté, la statue d’Apollon
redonne une part de dignité à tout un peuple, tout en réveillant par son histoire exaltante une fierté
nationale trop souvent bafouée. « Ce qui se forge dans l’adversité sera solide », déclare l’un des
intervenants. De fait, aussi fugace soit-elle, l’irruption de cette œuvre d’art dans le quotidien
tourmenté des Gazaouis a eu l’insigne mérite de susciter l’émergence d’un renouveau culturel. En
cas de récupération de la statue, un musée construit avec l’aide internationale pourrait d’ailleurs
servir d’écrin à l’Apollon de bronze et ramener un territoire oublié dans le concert des nations.

Si le film offre des images inédites de la vie à Gaza et nous fait rencontrer sur le terrain plusieurs de
ses habitants issus de différentes sphères d’activité, il ouvre aussi sur des horizons plus vastes.
Traversé de plages oniriques, L’Apollon de Gaza tient de la méditation poétique et philosophique.
À sa manière, cette découverte archéologique au secret non encore élucidé remet l’histoire en
mouvement là où celle-ci a justement été souvent négligée et oubliée. Pour les nouvelles
générations, l’énigmatique Apollon de Gaza pourrait servir de lien entre passé et présent tout en
pavant la voie à un avenir plus radieux. À l’instar de l’entrepreneur et collectionneur Jawdat N.
Khoudary, qui surveille amoureusement l’éclosion de ses fleurs, Nicolas Wadimoff invite par son
film à la patience, seule garante d’une paix qui finira bien un jour par s’installer sur ce rivage
abandonné de tous. De tous, sauf peut-être d’Apollon, l’improbable messager des dieux
soudainement réveillé par la mer.
It all started in August 2013, when a Gaza fisherman pulled a statue of Apollo out of the water. A
bronze relic of antiquity, the statue was originally believed to date from 300–200 BCE. It became
front-page news around the world—and then it disappeared, under mysterious circumstances.

Co-produced by Akka Films and the National Film Board of Canada and directed by Swiss
filmmaker Nicolas Wadimoff, The Apollo of Gaza tries to uncover the secrets behind this stunning
archaeological discovery. Filmed in Gaza and Jerusalem, the film plays out like a mystery—one full
of unexpected plot twists, as Wadimoff tracks down those who saw the priceless statue or who
have heard stories about it. Is it the work of forgers, or a gift from the gods to Palestinians
desperately in need of hope? There are a lot of unknowns, but one thing is sure: the Apollo of Gaza
soon becomes an object of speculation and greed, its very existence feeding the wildest rumours,
and blurring the line between truth and lie, myth and reality.

What happened to the statue, whose historic value may be unparalleled? A war of attrition breaks
out between those who have a purely commercial interest in the statue and others motivated by
historical and artistic considerations, as officials and shadowy, powerful figures battle it out away
from the spotlight.

Beyond the local political rivalries (particularly in Israel) and international concerns, The Apollo of
Gaza is an engaging reflection on the passage of time and the cycles of history. It’s a history that
has seen the birth, growth, and death of great civilizations, in a part of the world marked by the
endless Israeli-Palestinian conflict, where the besieged Gaza strip continues to pay a heavy price.

The world has come to associate Gaza with media images of economic misery and war. But The
Apollo of Gaza takes us to a less well-known Gaza, where life doggedly carries on, resisting. The
statue of Apollo may not have blazed its way across the sky, but like a meteor it briefly left light and
beauty in its wake, helping to restore a people’s dignity, awakening a sense of pride in their
history—a history that has often been misrepresented and demeaned. “Anything forged in adversity
will be strong,” says one of the participants in the film. As fleeting as it may have been, the sudden
arrival of this work of art struck a chord in the troubled daily lives of Gazans, and had the
remarkable effect of sparking a cultural resurgence. Will the statue ever come back? If it does, the
bronze Apollo could be housed in a museum built with the help of international aid, helping to bring
the forgotten territory back into the eye of the world’s nations.

While the film offers never-before-seen images of life in Gaza and introduces us to a range of
people living in the territory, it also embraces much wider horizons. With lingering images of dream-
like beaches, The Apollo of Gaza is also a political and philosophical meditation. In its own way, this
archaeological discovery—and still unsolved mystery—has jump-started an interest in history in a
place where it has often been neglected or even forgotten. For younger generations, the enigmatic
Apollo of Gaza could serve as a link to the past, while paving the way to a brighter future. Just like
entrepreneur and collector Jawdat N. Khoudary, who lovingly watches his plans come to fruition,
director Nicolas Wadimoff’s film is an invitation to patience—the only constant in the hope that
peace will one day return to this coastal strip abandoned by all. All except, it seems, Apollo: an
unlikely messenger of the gods, who suddenly appeared in the sea.
Nicolas Wadimoff est un auteur, réalisateur et producteur d’origine suisse qui vit entre Montréal et
Genève. Il étudie le cinéma à Montréal avant de tourner en 1990 son premier documentaire, Le bol,
qui est d’emblée sélectionné au Festival de Locarno. Suit en 1991 un autre documentaire, Les gants
d’or d’Akka, tourné en Israël et mettant en scène un boxeur palestinien. Après de nombreux
reportages pour la Télévision suisse romande, il coréalise en 1996 au Québec, avec Denis
Chouinard, Clandestins, son premier long métrage de fiction. Le film remporte un grand succès
critique et est primé dans de nombreux festivals internationaux, dont Locarno et Namur. Vont
s’enchaîner entre 1999 et 2003 plusieurs téléfilms (15, rue des Bains, Kadogo, l’enfant soldat), un
long métrage de fiction (Mondialito) et un documentaire (Alinghi: The Inside Story).

Sensible à la situation politique au Proche-Orient, il organise des ateliers documentaires auxquels
participent de jeunes cinéastes palestiniens. Cinq courts métrages regroupés sous le titre My
Home sont présentés au festival Visions du réel en 2005. La même année, le
documentaire L’accord sur l’Initiative de Genève est projeté à Locarno et diffusé sur Télé-Québec
après une présentation aux Rencontres internationales du documentaire de Montréal (RIDM). Une
collection de 13 courts métrages coproduite avec le Palestinian Filmmakers’ Collective, Palestine,
Summer 2006, suivra. Parallèlement, entre 2007 et 2009, il se consacre à la production et appuie
plusieurs projets (5 Minutes from Home de Nahed Awwad, Dowaha de Raja Amari et Fix Me de
Raed Andoni) qui sont sélectionnés dans les grands festivals de la planète.

Au lendemain de la guerre à Gaza, il tourne en 2009 le documentaire Aisheen (Chroniques de
Gaza), qui est primé au Festival de Berlin 2010 avant d’entamer un long périple dans une trentaine
de festivals, dont Visions du réel et Hot Docs à Toronto. Son projet suivant, Opération Libertad, est
sélectionné en première mondiale à la Quinzaine des réalisateurs de Cannes en 2012, ainsi qu’à
Locarno, avant de connaître une sortie en salle. Puis, en 2013, Nicolas Wadimoff coréalise avec
Juan José Lozano le documentaire télévisuel Chasseurs de crimes.

Dans la foulée, il réalise en 2014 Spartiates, un autre documentaire sur un sujet social tourné dans
les quartiers nord de Marseille, où Yvan Sorel, qui dirige un club d’arts martiaux, lutte à sa façon
contre la misère et la violence. Film de clôture des RIDM en 2014, le long métrage reçoit le
prestigieux prix de Soleure lors des Journées cinématographiques de Soleure en 2015, avant d’être
primé à Palm Springs et à Amsterdam et de connaître une carrière en salle en Suisse, au Québec
et en France. Jean Ziegler, une autre personnalité charismatique, se retrouve au centre de son
documentaire suivant, Jean Ziegler, l’optimisme de la volonté, qui le suit entre Genève, Alger, Berlin
et Cuba. Le film, présenté en première mondiale à Locarno, sort en salle en Suisse, en Allemagne,
en Autriche et en France.

Coproduit avec l’Office national du film du Canada, son dernier film, L’Apollon de Gaza, lui permet
de renouer en 2017 avec la Palestine, une région du monde qu’il affectionne particulièrement et
dont il a souvent témoigné de la réalité complexe au fil de ses nombreux projets et collaborations.
Nicolas Wadimoff is a Swiss-born writer, director and producer who divides his time between
Montreal and Geneva. He studied film in Montreal and in 1990 directed his first documentary, Le
Bol, which was selected for the Locarno Festival. In 1991, Wadimoff released his second
documentary, Les gants d’or d’Akka, shot in Israel and featuring a Palestinian boxer. After doing
reportage for Swiss Romansh television, he returned to Quebec, where he co-directed his first
feature drama, Stowaways, with Denis Chouinard. The film met with great critical success and won
awards at many international festivals, including Locarno and Namur. The made-for-TV films 15, rue
des Bains and Kadogo, l’enfant soldat followed, along with another feature drama (Mondialito) and
the documentary Alinghi: The Inside Story.

Sensitive to the political situation in the Middle East, Wadimoff organized a series of documentary
workshops for young Palestinian filmmakers. A resulting collection of five short films called My
Home was shown at the Visions du réel festival in 2005. That same year, his documentary L’accord,
on the Geneva Accord, screened at Locarno and at the Rencontres internationales du documentaire
de Montréal (RIDM) before being broadcast on Télé-Québec. The film was followed by Palestine,
Summer 2006, a collection of 13 short films co-produced with the Palestinian Filmmakers’
Collective.

From 2007 to 2009, Wadimoff focused on producing, concurrently supporting numerous projects,
including 5 Minutes from Home by Nahed Awwad, Dowaha by Raja Amari and Fix Me by Raed
Andoni, that would go on to be selected by some of the world’s most prestigious festivals.

In 2009, right after the end of the Gaza War, he directed the documentary Aisheen (Still Alive in
Gaza). It won an award at the 2010 Berlin International Film Festival and screened at more than two
dozen other festivals, including Visions du réel and Hot Docs in Toronto. His next project, Opération
Libertad, enjoyed its world premiere at the 2012 Cannes Directors’ Fortnight, then screened at
Locarno and in commercial theatres. In 2013, Wadimoff co-directed the TV documentary Chasseurs
de crimes with Juan José Lozano. He immediately followed that project with the 2014 social-issue
documentary Spartans. Shot in the neighbourhoods of northern Marseilles, it highlights Yvan Sorel,
who runs a martial arts club and—in his own way—fights against poverty and violence. The feature-
length doc was honoured as the closing film at the 2014 RIDM festival, won the prestigious Prix de
Soleure at the 2015 Solothurn Film Festival, and took home awards at Palm Springs and
Amsterdam, before going on to theatrical releases in Switzerland, Quebec, and France.

Wadimoff’s next documentary, Jean Ziegler: The Optimism of Willpower, focused on the charismatic
Ziegler, following him to Geneva, Algiers, Berlin, and Cuba. The film had its world premiere at
Locarno, and was released in theatres in Switzerland, Germany, Austria, and France.

With his latest film, The Apollo of Gaza, co-produced by the National Film Board of Canada,
Wadimoff returned to Palestine in 2017. It is a region particularly close to his heart—a part of the
world whose complex realities he’s borne witness to through many personal projects and
collaborations.
Un film de               Assistante de réalisation – Gaza
      NICOLAS WADIMOFF                     AYA EL-ZINATI

      En collaboration avec               Chauffeur – Gaza
       BÉATRICE GUELPA                    HAMAN AHMED

              Avec               Chargée de production – AKKA Films
                                         SÉVERINE PISANI
   JEAN-BAPTISTE HUMBERT
       WALID AL-AQQAD              Consultation technique – caméra
     JAWDAT ABU GHURAB                      STEVE HALLÉ
         NAFEZ ABED
      JAWDAT KHOUDARY                 Traduction et sous-titrage
       HEYAM AL-BITAR                     NAÏMA BACHIRI
       SOFIANE SALMAN                          CNST
          GIL CHAYA
        FADEL AL-OTOL                      Transcription
    TANIA COHEN-UZZIELLI                 KENZA WADIMOFF
  JEAN-MICHEL DE TARRAGON                  LÉO TARAZI
     ARCHEVÊQUE ALEXIOS
   MARC-ANDRÉ HALDIMANN               Assistants au montage
      MOHAMMED KHALLA                MYKYTA KRYVOSCHEIEV
       SAMI ABU SALEM                  PHILIPPE LEFEBVRE
         SAMI AJRAMI                ARIANE TURMEL-CHÉNARD

           Produit par           Soutien technique au montage image
    COLETTE LOUMÈDE – ONF                  PIERRE DUPONT
PHILIPPE COEYTAUX – AKKA FILMS         ISABELLE PAINCHAUD
                                          PATRICK TRAHAN
           Images
        FRANCK RABEL                    Infographie et titres
                                       MÉLANIE BOUCHARD
            Son
     CARLOS IBANEZ DIAZ                   Montage en ligne
                                         YANNICK CARRIER
          Montage
      CHRISTINE HOFFET                    Montage sonore
                                          JÉRÉMIE JONES
          Narration
      BRUNO TODESCHINI                      Bruitage
                                       STÉPHANE CADOTTE
       Conception sonore
        BENOÎT DAME                  Enregistrement du bruitage
                                            LUC LÉGER
          Musique
      CLAUDE FRADETTE               Enregistrement de la narration
                                           FREESTUDIOS
     Consultante au montage             MAXENCE CIEKAWY
        KARINE SUDAN                     XAVIER LAVOREL

      Images additionnelles                  MIXAGE
      NICOLAS WADIMOFF                     SERGE BOIVIN
       SYLVESTRE GUIDI
Matériel image                         Relations de presse internationale
              VISUALS SWITZERLAND                                  NADINE VIAU
                  PHILIPPE ROMI
                                                             Agent de mise en marché
                  Matériel son                                FRANÇOIS JACQUES
              TECHNIQUES CINÉMA
              CARLOS IBANEZ DIAZ                                   assisté de
                                                                JOLÈNE LESSARD
Un merci tout particulier à ALEXANDRE DOMINGUE et à
          POST-MODERNE pour leur soutien.                         Administratrice
                                                                 SIA KOUKOULAS
               en coproduction avec
         RTS – RADIO TÉLÉVISION SUISSE                    Coordonnatrices de production
        UNITÉ DES FILMS DOCUMENTAIRES                       CHINDA PHOMMARINH
                IRÈNE CHALLAND                                GABRIELLE DUPONT
              GASPARD LAMUNIÈRE
                                                             Adjointe administrative
                   SRG SSR                                 PASCALE SAVOIE-BRIDEAU
                  SVEN WÄLTI
               GREGORY CATELLA                              Coordonnatrice technique
                                                                MIRA MAILHOT
                avec le soutien de
     L’OFFICE FÉDÉRAL DE LA CULTURE (OFC)                      Productrice déléguée
                                                                MÉLANIE LASNIER
            avec la participation de
 CINÉFOROM et le soutien de la LOTERIE ROMANDE                  Une coproduction de
      SUCCÈS PASSAGE ANTENNE SRG SSR                               AKKA FILMS
                  SUISSIMAGE                          l’OFFICE NATIONAL DU FILM DU Canada

               avec le soutien du
   FONDS D’ENCOURAGEMENT À L’EMPLOI DES
               INTERMITTENTS
   GENEVOIS (FEEIG) – ACTION INTERMITTENTS

                Conseiller juridique
               CHRISTIAN PITCHEN
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