" La chambre verte ", dites-vous ? - écoconso
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n°122 - février 2016 | www.ecoconso.be | Une question ? 081 730 730 | info@ecoconso.be SOMMAIRE Retrouvez-nous sur • Edito • L'actu d'écoconso • Dossier • Et vous, vous en pensez quoi? • En bref, ce mois-ci • Agenda • Dans le prochain numéro EDITO « La chambre verte », dites-vous ? Les candidats à la construction ou à la rénovation seront probablement de nouveau 200 000 à 300 000 à arpenter les allées des 12 palais de Batibouw du 25 février au 6 mars. Batibouw, c’est « le plus grand salon belge de la construction, de la rénovation et de l'aménagement ». Dans ce secteur, c'est la construction qui se porte le mieux : selon la Confédération de la Construction, le nombre de permis octroyés est en hausse pour la nouvelle construction, en particulier pour les appartements. Pour les rénovations, c’est l’inverse : la tendance est négative. Dommage lorsque l’on connaît les enjeux de la rénovation en matière de performances énergétiques (et donc de climat), de salubrité et de densification de l’habitat. C’est en rénovation que devraient se concentrer les efforts, avec le soutien d'une politique forte en la matière. Si la rénovation est présente à Batibouw, il n'y a guère de place réservée à l’éco-construction ou à la performance énergétique. À pointer : une conférence le 25 février de la Ministre Flamande de l’Énergie, Annemie Turtelboom, sur la réglementation PEB et l’évolution du secteur de la construction. Pour le reste, le programme des conférences est plutôt classique. Finalement, le seul « vert » se situe dans un nouveau concept proposé par le salon : les « Chambres Vertes », à savoir des espaces extérieurs dédiés au bien-être, au jardin, à la nature et au… luxe. Décidément, le salon Batibouw ne donne toujours pas beaucoup de place à l’habitat durable. Et si comme bon nombre de visiteurs, vous sortez avec plus de questions que de réponses, rappelez-vous que le service-conseil d’écoconso répond gratuitement à vos questions en construction ou rénovation saine et écologique au 081 730 730 ou via info@ecoconso.be. Nous vous propons d'ailleurs ce mois-ci un dossier consacré au choix d'un système de chauffage.
Bonne lecture ! Jean-François Rixen, Secrétaire général. L'ACTU D'ÉCOCONSO Do it yourself ! Retrouvez désormais sur notre site une nouvelle rubrique avec des astuces afin de faire une foule de choses vous-même et éco-consommer de façon pratique. Récup’, cuisine, rénovation, produits d’entretien… de nombreux sujets seront abordés. Pour l’instant, vous y trouverez notamment des articles pour : faire vos graines germées ; utiliser les cendres de votre poêle ; préparer une pâte à tartiner maison, sans huile de palme ; emballer vos cadeaux avec un furoshiki. À lire dans la rubrique Do it yourself, qui s’enrichira progressivement ! DOSSIER Quel système de chauffage choisir ? Chez soi, on aime se sentir bien au chaud lorsqu’il fait froid dehors. Pour cela, on choisit un système de chauffage adapté à sa maison, qui combine confort thermique et économies d'énergie. Chauffer sa maison peut être très coûteux en énergie, comme financièrement. Dans un logement moyen, le chauffage représente 65% de la consommation et 55% de la facture d'énergie. Voici un guide pour vous aider à choisir le système de chauffage le plus adapté à votre situation (petite rénovation, rénovation profonde, nouvelle construction). Il n'est pas exhaustif mais reprend les situations et options les plus habituelles.
Le chauffage dépend du niveau d'isolation Petite rénovation Lorsque la chaudière a plus de 20 ans, il est certainement intéressant de la remplacer ! La consommation d'énergie peut diminuer de 30%. Si elle est plus jeune, on profite de l'entretien pour faire vérifier le rendement de combustion. En-dessous de 90%, ça vaut la peine de remplacer le système. Cela dépend notamment du prix de la nouvelle chaudière, du coût d'installation et du prix du combustible. Les guichets de l'énergie peuvent vous aider à avoir si cela vaut la peine de remplacer votre vieille chaudière. Si on n'améliore pas l'isolation de son logement et qu'on change simplement la chaudière, c'est très simple : seules les chaudières à condensation sont désormais admises. Exception : si, dans l'immeuble, toutes les chaudières sont « sans condensation » et qu’il n'est pas possible d'installer une chaudière à condensation (à moins de prévoir un conduit d'évacuation spécifique). Pour réguler la température, on installera un thermostat (éventuellement connecté). Et, s'il n'y en a pas encore, des vannes thermostatiques. Une sonde extérieure permettra d'adapter la température de l'eau fournie par la chaudière aux températures extérieures. C'est un accessoire incontournable pour une chaudière à condensation. Lors d'une rénovation, on n'a pas nécessairement la possibilité de remplacer les radiateurs classiques par des radiateurs basse température. Même sans radiateurs basse température, une chaudière à condensation permet d'importantes économies : moyennant une régulation correcte, la chaudière pourra condenser 75% du temps sur la saison de chauffe ! Il est prouvé que la chaudière à condensation est la solution la plus avantageuse (grâce à un coût d'installation faible) et que les convecteurs électriques reviennent le plus cher (même avec un prix de l'électricité en France bien plus faible qu'en Belgique). Sans changement de radiateurs : Avec changements de radiateurs (BT = basse température) :
Grosse rénovation/nouvelle construction On profite généralement d'une grosse rénovation pour renforcer l'isolation, et peut-être repenser tout le système de chauffage. Avec des besoins en chauffage réduits, on peut opter pour des systèmes « basse température », avec de plus petites puissances et utiliser au mieux les énergies renouvelables. Une nouvelle construction permet encore plus facilement d’opter pour les solutions optimales de chauffage et d'eau chaude. Dans tous les cas, on choisit l'un ou l'autre système en fonction de la performance énergétique de sa maison. Rénovation/construction basse énergie Pour chauffer une maison basse énergie, on aura besoin de 30 à 60 kWh/an/m². On aura donc sans doute besoin d'un chauffage central. On peut envisager toutes les possibilités, selon ses propres préférences (chauffage par le sol, par les murs, par radiateurs), son souhait d'utiliser des énergies renouvelables (bois, énergie solaire) et le confort d'utilisation souhaité (par exemple : tout automatisé pour une chaudière ou une pompe à chaleur ou rechargement manuel pour un poêle). Rénovation/construction très basse énergie Dans une maison très basse énergie, on consommera très peu pour se chauffer : de 15 à 30 kWh/an/m². En fonction de la configuration du bâtiment (notamment l'orientation, qui détermine les apports solaires), il sera même peut-être possible de se passer d'un chauffage central. Dans ce cas, un système de chauffage au rez-de-chaussée suffit, la distribution de la chaleur dans l'ensemble du bâtiment étant assuré par une ventilation mécanique. Rénovation/construction passive Dans une maison passive, on n'aura besoin que de 15 kWh/an/m² maximum pour se chauffer. Un système de chauffage central est alors inutile. Un chauffage de très faible puissance au rez-de- chaussée suffit pour assurer une température confortable, même par grand froid. L'eau chaude sanitaire peut être produite par un chauffe-eau solaire. L'appoint d'eau chaude et ou de chauffage est assuré par une chaudière à condensation, un poêle à pellets ou même une résistance électrique.
Pour obtenir 1 kWh d'électricité (énergie finale) il faut fournir en moyenne 2,5 kWh d'énergie primaire à la centrale (nucléaire, gaz, charbon ...). La consommation maximale d'énergie primaire en passif est de 42 kWh/an/m² : on ne peut donc pas se contenter de l'électricité pour assurer le chauffage et produire l'eau chaude sanitaire. Il est également possible de chauffer directement l'air distribué par la ventilation. Trouver le bon équilibre pour le chauffage et l'eau chaude sanitaire Grâce aux techniques de construction actuelles – qui combinent une isolation renforcée, une étanchéité à l'air soignée et une ventilation performante –, la puissance demandée au système de chauffage devient très faible (de 1 à 8 kW) : Le bémol : la production d'eau chaude sanitaire peut demander beaucoup de puissance. Par exemple, une production instantanée de 15 litres/min d'eau chaude demande 24 kW. Du coup, la réflexion ne doit pas porter uniquement sur le chauffage mais bien sur une meilleure combinaison chauffage et eau chaude sanitaire. La production de chaleur La clé d'un chauffage économe c'est la basse température. Les anciennes chaudières produisent une eau à 70°C - 90°C pour les radiateurs. Les pertes sont très importantes : au niveau de la chaudière : la chaufferie devient ainsi un espace pratique pour faire sécher le linge mais c’est aussi signe d’un gaspillage ; au niveau des tuyaux : plus la différence de température est élevée, plus les pertes sont importantes, ce qui est typiquement le cas quand des tuyaux d'eau très chaude traversent des pièces non chauffées ; au niveau de la cheminée : fumées à 150°C. Les chaudières à basse température fournissent aux radiateurs une eau à 55 °C ou moins, ce qui est bien plus économe. Les chaudières à condensation sont encore plus performantes : les fumées qui en sortent atteignent une température plus faible (45°C) et sont condensées. La fumée d'une combustion correcte contient du CO2 et de la vapeur d'eau. La chaudière va condenser une partie de cette vapeur en eau et récupérer au passage la chaleur dite « latente ». Ce système permet d'augmenter le rendement de 10% par rapport à une chaudière classique : le
rendement peut dépasser 100% (104 à 108% pour une chaudière à gaz). D'autres systèmes peuvent également assurer un chauffage à basse température : pompe à chaleur, chaudière à pellets, chauffage solaire… Les radiateurs Pour que l'eau à basse température puisse chauffer une habitation de manière efficace, il faut idéalement – en plus d’une excellente isolation – des radiateurs « basse température » (qui offrent une grande surface d'échange), un chauffage par le sol ou un encore un chauffage mural. La production d'eau chaude sanitaire La production instantanée d'eau chaude est l'option la plus économe. Au lieu de conserver une grande quantité d'eau à haute température (60 à 70°C), on va produire l'eau chaude uniquement au moment de l’utilisation. L'inconvénient : cela nécessite une puissance suffisante et une partie de l'eau est perdue en attendant que l'eau chaude soit disponible. Chauffage et eau chaude : quelques combinaisons recommandées Pour la production d'eau chaude sanitaire, un chauffe-eau solaire est l’idéal. Il permet de ne pas utiliser la chaudière en été et à l'intersaison, et couvre jusqu'à 60% de besoins sur l'année. Il peut se combiner avec n'importe quel système de chauffage qui peut également assurer l'appoint de chaleur en hiver, lorsque les panneaux solaires ne permettent pas de chauffer suffisamment l'eau. Pompe à chaleur air/eau (idéalement couplée à des panneaux photovoltaïques) La pompe à chaleur air/eau prend l'énergie dans l'air extérieur et le transmet dans le bâtiment via un chauffage par le sol, un chauffage mural ou des radiateurs basse température. Avantages : Programmation aisée via un thermostat, on décide quand on a besoin de chauffage et à quelle température chauffer. Économique à l'usage à condition qu'elle ait un bon coefficient de performance saisonnier (rapport entre l'énergie électrique consommée et la chaleur fournie) : Les meilleures pompes à chaleur air/eau sont notées A++ sur l'étiquette énergie. Inconvénients : Peut être bruyant pour le voisinage (vérifier l'étiquette énergie pour choisir un modèle plus silencieux). Fonctionne à l'électricité : il est important de se fournir en électricité verte ou de produire sa propre électricité, par exemple avec des panneaux photovoltaïques. À réserver aux logements bien isolés :il existe des pompe à chaleur « haute température » mais leur consommation électrique est alors élevée. Variantes : Une pompe à chaleur sol/eau : elle puise la chaleur dans le sol du jardin, soit horizontalement
(nécessite de l'espace) soit verticalement (nécessite de creuser profondément dans le sol, plus coûteux). Il existe également des pompes à chaleur hybrides, composées à la fois d'une chaudière à condensation (pour chauffer les jours les plus froids) et d'une pompe à chaleur. En savoir plus sur les pompes à chaleur. Poêle à pellets, avec ou sans radiateurs Suivant la configuration de la maison, il est possible de se contenter d'un simple poêle ou de quelques radiateurs pour distribuer la chaleur à partir du poêle (il ne s'agit pas d'un système central à proprement parler, il n'y a pas un radiateur dans chaque pièce). Avantages : Utilise un combustible renouvelable. Combustible globalement moins cher que le gaz et le mazout (même si pour le moment ce n'est plus le cas). Coût d'installation raisonnable. Inconvénients : Demande un entretien régulier (notamment en ce qui concerne la gestion des cendres). La production d'eau chaude doit être assurée par un autre système. Qualités de pellets très diverses. Préférer ceux qui répondent à la norme DIN+ ou EN plus. Variante : Un poêle à bûches : il est plus économique à l'usage mais demande plus de place (entreposage des bûches) et de maintenance (chargement du poêle). À lire aussi : « se chauffer au bois », « le chauffage aux pellets » et les « poêles à bois ». Petite chaudière à condensation Avantages : Excellent rendement. Facilité de fonctionnement. Programmation aisée (via un thermostat, on choisit quand et à quelle température chauffer). Inconvénients : Utilise un combustible fossile. Nécessite d'être raccordé au gaz. Chauffage solaire Couvre jusqu'à 40% des besoins en chauffage. Le reste doit être apporté par un autre système (chaudière à condensation, pompe à chaleur, chaudière à pellets ...). Tableau comparatif récapitulatif :
Quel que soit le système de chauffage retenu, ce sont aussi l’utilisation adéquate et les bonnes habitudes qui permettent d'économiser l’énergie thermique au quotidien : limiter la température, éviter les courants d'air, ralentir (et même mieux : couper) le chauffage en cas d'absence et pendant la nuit... Les conseils sont bien connus, mais au mieux on les applique, au plus on économise. Pour aller plus loin Pourquoi envisager une rénovation basse énergie ? 10 conseils avant d'envisager une rénovation Le confort thermique, encore mieux que la chaleur ! Prix des différentes énergies (c€/kWh) APERe Les Portes Ouvertes Écobâtisseurs : en novembre, des particuliers ouvrent leurs maison ou leur chantier pour partager leurs solutions de construction ou de rénovation écologique. Les Passeurs d’énergie : des citoyens et des entreprises partagent leur passion des solutions durables de gestion de l'énergie, de l'eau, d'utilisation de matériaux écologiques ... Le Guide du bâtiment durable
ET VOUS, VOUS EN PENSEZ QUOI? Quand la musique s'envole Un festival de musique belge, en Corse Un festival de musique, c'est toujours un grand événement. En effet, accueillir des milliers de personnes dans les meilleures conditions possibles n'est pas une mince affaire, surtout quand la météo vient jouer les trouble-fêtes. Or, la Belgique n'est pas réputée pour avoir une météo stable/ensoleillée/prévisible (biffez les mentions éventuellement inutiles). Et c'est là que le bon sens intervient : puisqu'on ne peut pas prévoir cette météo et que la machine à changer la météo n'a heureusement pas encore été inventée (on sait déjà pas gérer des tunnels, alors la météo, hein), qu'à cela ne tienne : allons faire le festival belge... en Corse. Vous avez bien compris : on propose maintenant à des Belges un festival de musique à l'affiche quasi 100 % belge, mais en Corse. C'est d'une logique imparable. On se demande même pourquoi on n'y a pas pensé plus tôt. Ce qui est génial, c'est que le concept est déclinable à l'infini. Le Marché de Noël de Bruxelles ? Dans les Alpes. Le Carnaval de Binche ? À Torremolinos (comme ça on est plus près pour les oranges, double avantage). Et le défilé du 21 juillet ? À Nice ! (où l'anglo-saxonne promenade pourrait être rebaptisée « promenade des Belges », pour l'occasion). Aah mes amis, on vient d'inventer quelque chose de grand avec cette idée. La Belgique s’exporte encore plus à l'étranger. Il ne reste plus qu'à faire des échanges : qui sait, peut-être que des Andalous seraient intéressés par organiser un de leurs événements à la fraîche, sous un petit crachin de juillet ? D'ailleurs, on pourrait même proposer au Qatar d'organiser le Mondial de foot de 2022 en Belgique. Comme ça, pas besoin de changer de date ni de climatiser les stades. Elle est pas bien mon idée ? Pour revenir à notre festival belge en Corse, sachez qu'il vous faudra débourser 950 € minimum pour le séjour, soit 5 jours, temps de déplacement inclus. Évidemment, à ce prix-là tout est compris : le Club – d'un organisme réputé – pour vous tous seuls, des buffets à volonté, deux open bar... Histoire sans doute de ne pas pousser à la consommation. N'inclus ni la compensation carbone, ni la visite de l'île de Beauté (pas le temps !). Pour le même prix vous pouvez aller à Werchter, Tomorrowland, Dour et les Francos de Spa. Il vous restera même 200 € pour vous loger. Ah, c'est sûr que c'est moins chic qu'un village de vacances en Corse. Mais vous profiterez de 16 jours de festivals avec, certainement, plusieurs jours où il ne
pleuvra pas. Et on ne vous parle pas du nombre incroyable d'artistes que vous pourrez voir pour ce prix-là. Et vous, vous en pensez quoi ? EN BREF, CE MOIS-CI Devenez co-demandeur de l’Action Pour Le Climat! Klimaatzaak Changement climatique: cause perdue? Pas encore! L’ASBL belge Klimaatzaak (L’Action pour le climat) a entamé début 2015 un procès à l’encontre du gouvernement belge pour cause de politique climatique défaillante. L’asbl Klimaatzaak demande à l’État Belge de s’en tenir aux accords internationaux afin de garder le réchauffement planétaire en dessous de cette barre fatidique des 2°C . Pour cela il est nécessaire de réduire d’au moins 40 % les émissions d’ici 2020. C’est parce que tout indique, pour l’instant, que cette objectif ne sera pas atteint que l’Action pour le Climat a entamé cette procédure. Remettre à plus tard les prises de mesures nécessaires est criminel. Klimaatzaak (L’Action Pour Le Climat) s’est inspiré d’un litige similaire au Pays-Bas : le 24 juin 2015 un jugement historique a été rendu dans l’affaire qui opposa l’organisation environnementale Urgenda à l’État néerlandais. Urgenda gagna l’affaire et le tribunal imposa à l’État de réduire les émissions de gaz à effet de serre aux Pays-Bas. Klimaatzaak offre la possibilité de devenir co-demandeur de cette procédure juridique (cela n'implique aucun risque, financier ou autre). Pour cela rendez-vous sur www.lactionpourleclimat.be Vous pouvez aussi apporter un soutien financier, pour couvrir les frais de procédure. Klimaatzaak est également à la recherche de bénévoles motivés pour lancer une branche francophone. Sont recherchés : des ambassadeurs francophones qui voudraient répandre largement l’Action pour le climat en Wallonie et à Bruxelles. Contactez-les via info@klimaatzaak.be et envoyez-leur un petit descriptif de ce que vous aimeriez faire: administration, traduction, contact presse, communication, récolte de fonds, coordination...
L'Inde, championne du système D écologique Véhicule équipé d'un moteur de pompe à eau Novethic revient sur le livre de Bénédicte Manier « Made in India. Le laboratoire écologique de la planète » qui témoigne de l'inventivité de la société civile face au développement effréné du pays et ses conséquences écologiques. « Territoires zéro déchet, villages éclairés au solaire, reconstitution des nappes phréatiques, agriculture durable, démocratie participative ou encore médecine solidaire... Partout dans le sous- continent, des actions se mettent en place et se concrétisent, dans tous les secteurs. » Une culture du système D inspirante qui s'ancre dans la tradition indienne. À lire sur Novethic Compléments : Make in India ? Made in India ! JNE Jugaad sur Wikipedia Bravo pour vos magnifiques sapins de Noël ! Vous avez été nombreux à participer au concours de sapins de Noël créatifs, lancé par différentes associations (Terre-en-vue , écoconso, IEW, Amis de la Terre, Oxfam...) suite au développement des cultures intensives de sapins de Noël en Wallonie. C’est finalement la simplicité qui nous a rassemblé : le jury a jeté son dévolu sur le joli "sapin-livres" envoyé par Maria. Bravo à elle et bravo à toutes et tous pour votre participation. Vous trouverez dans le porte-folio de Terre -en-vue une petite sélection des sapins que nous avons reçus. À lire : Notre fiche conseil Un sapin de Noël... écologique ?
Des produits dangereux dans les vêtements de plein air Randonnée Greenpeace a effectué des analyses sur des vêtements, chaussures, tentes, sacs à dos, cordes et sacs de couchage de 11 marques différentes. D'après les résultats, 90% des produits contiennent des PFC, des fluoroplastiques toxiques et persistants dans l'environnement. En 2015, l'association a également mené des expéditions dans huit régions montagneuses du globe : tous les échantillons d'eau et de neige contenaient des PFC. Pour alerter les skieurs et randonneurs et faire pression sur les marques, Greenpeace lance la pétition : "Dites aux dirigeants de The North Face et Mammut d'arrêter d'utiliser ces substances chimiques nocives." À lire aussi : notre dossier "Bien choisir ses vêtements de sport de plein air" Grand Paris : chantier test pour l'économie circulaire. Inspirant ! Déchets de chantier Si les citoyens récupèrent de plus en plus les matériaux de déconstruction, cela vaut aussi pour les chantiers publics. Ainsi, le chantier pharaonique du Grand Paris, qui verra notamment la mise en oeuvre de plusieurs dizaines de projets de métros, tramways, tram-trains, RER, tangentielle, etc. devra rencontrer des exigences d'économie circulaire, notamment pour l’évacuation et la valorisation des 43 millions de tonnes de déblais de déconstruction de bâtiments et surtout, de forage de tunnels. Les chantiers du Grand Paris seront d’abord producteurs de matériaux, avec la déconstruction d’une centaine de bâtiment de toute nature (60 000 t) puis le percement de 200 km de tunnels. Sur les premiers chantiers de déconstruction, la Société du Grand Paris (SGP) ambitionne de recycler 95 % des matériaux de démolition. L’évacuation devrait se faire par voie fluviale ou ferrée pour réduire les nuisances sonores liées au transport routier. Des barges pourraient acheminer les déblais vers d’anciennes carrières à
réaménager. Au retour, elles emporteraient des matériaux pour la construction du métro, des gares et des projets urbains lancés alentours des lignes de métro. Une boucle vertueuse. Le maître d’ouvrage prévoit aussi de valoriser 70 % des déblais, une véritable gageure, car les tunneliers remontent les couches géologiques en les mélangeant. Il faudra donc trouver des solutions créatives pour leur réutilisation. Le secteur produirait 250 millions de tonnes de déchets par an, dont 90 % de matériaux inertes à valoriser dans des produits finis d'une part, dans le réaménagement de carrières pour la fraction non recyclable d'autre part. En trente ans, la part des matériaux recyclés a été multipliée par trois, passant de 4 à 10 % du total des granulats produits. Les carriers prévoient de la multiplier à nouveau par deux d’ici à 2010 pour atteindre 15 % (30 millions de tonnes). Une étude de la Cellule économique du Rhône-Alpes a montré en 2014 que 63 % des déchets inertes du BTP régionaux étaient valorisés dans le produit fini ou en carrière. Un chiffre assez proche des 70 % fixés par une directive européenne pour 2030. L’activité s’avère rentable, et la conjoncture sociale lui est favorable. Une boucle vertueuse se dessine là aussi, dans la mesure où il y a correspondance entre une demande sociétale de consommation responsable des ressources naturelles et la difficulté pour les carriers de renouveler leurs gisements. Les bénéfices sont aussi économiques et les acteurs économiques ne s'y sont pas trompés, qui ont saisi l'opportunité avant même que le politique s'en mêle. On passe ainsi d'une « économie linéaire de stock » à « une économie circulaire de gestion de flux de matières », avec la possibilité de gagner au passage deux ou trois points de PIB, de créer 500 000 emplois ou de réduire l’effet de serre de 50 à 60 %. Source : http://www.chantiersdefrance.fr/article/grand-paris-le-recyclage-des-deb... Une déclaration des droits des paysans Une capsule vidéo publiée par FIAN explique les enjeux de la déclaration des droits des paysans, actuellement en négociation. Pourquoi une telle déclaration ? Paysans, pêcheurs, éleveurs, nomades : ce sont eux qui nourrissent leurs communautés. Dans le monde actuel, leur situation est difficile et leurs droits sont violés de nombreuses façons. Leurs terres peuvent être saisies pour le développement d'industries, d'infrastructures ou de plantations à grande échelle comme les agrocarburants. Le prix des terres agricoles augmente en permanence, l'utilisation libre des semences est de plus en plus bridée. Ce ne sont que quelques exemples des difficultés auxquelles les paysans doivent faire face.
Lorsqu'ils essaient d'agir, les paysans et leurs familles sont souvent victimes de discriminations et de violences physiques et psychologiques. Ajoutons à cela que les politiques publiques favorisent l'agriculture industrielle et ne leur offrent guère de soutien. Ces violations multiples ont pour conséquence que des millions de paysans sont, paradoxalement, les premiers à souffrir de la faim. Des représentants du monde rural et de la société civile ont élaboré une déclaration pour protéger les droits des paysans. Une collaboration avec des représentants de l'ONU a permis de produire une déclaration commune. C'est ce texte qui est en négociation aujourd'hui. Plus d'infos sur : www.fian.be Le texte intégral de la déclaration se trouve sur le site de La Via Campesina : http://viacampesina.net AGENDA Bruxelles La vie à la ferme: découverte en famille Les mercredis 11/03, 25/03, 22/04, 06/05, 20/05, 03/06 et 17/06 Ferme d'Uccle Vieille rue du Moulin, 93 1180 Uccle Belgique Organisateur : Tournesol-Zonnebloem Email : info@tournesol-zonnebloem.be Téléphone : 02 675 37 30 Prix : Gratuit et sans inscription
Venez découvrir la ferme d’Uccle en famille : son potager, ses animaux… tout cela dans le magnifique cadre du parc Fond’Roy. Avec un animateur, vous partirez à la rencontre des animaux : ânes, moutons, chèvres, lapins, poules, vache et cochon et apprendrez comment leur apporter quelques soins. À la bonne saison, ce sera aussi l’occasion de découvrir ce qui pousse au potager. Deux départs sont prévus : le 1er départ à 14h et le 2ème à 15h. Rendez-vous devant la ferme où un animateur vous rejoindra pour débuter l’activité (durée environ 1h). Balades plantes sauvages comestibles de printemps (à Bruxelles) Vendredi 1 mai et dimanche 3 mai Rouge-Cloître 1160 Auderghem Belgique Organisateur : Cuisine sauvage asbl Email : info@cuisinesauvage.org Téléphone : 0478 51 26 02 Prix : 9€ Rejoignez-nous pour un moment de détente, de découverte et de plaisir ! Nous vous emmenons en balade à la rencontre des plantes comestibles. Une initiation de 2h30 pour apprendre à les reconnaître, éviter les confusions, savoir quelle partie utiliser,... Nous vous apprenons avec des mots simples à cueillir les plantes sauvages et à les cuisiner, dans une approche pratique et interactive. Accessible dès 12 ans / Activité maintenue quelle que soit la météo / Durée 2h30 Horaires : Vendredi 1/05 : de 13h à 15h30 Dimanche 3/05 : de 10h à 12h30 Dimanche 3/05 : de 13h à 15h30 Réservation : https://www.billetweb.fr/shop.php?event=balade-sauvage-de-printemps-brux...
Hainaut Video Nature Academy 6 jours répartis du dimanche 29 mars au dimanche 17 mai 2020 Belgique Organisateur : Point Culture Email : bruno.hilgers@pointculture.be Téléphone : 02/737 19 30 Prix : 330 € Une formation pour vidéastes nature amateurs Le plaisir de partager, par l'image, de fabuleuses observations est concrétisé depuis plus de vingt ans par le Festival International Nature Namur. Ce festival permet à un large public de visionner sur grand écran des films amateurs et professionnels. La Video Nature Academy a pour objectif de stimuler, depuis près de 15 ans, cette passion naissante pour certains ou offrir la possibilité de se perfectionner pour d’autres, en vue de soumettre un film lors du prochain festival. Ce cycle de formations de six jours (+ deux jours supplémentaires en option cette année : affût !!) comporte un contenu théorique, pratique, animé par un staff professionnel et des rencontres avec des cinéastes animaliers. Il est organisé par le Service éducatif de PointCulture (ex-La Médiathèque), en collaboration avec les organisateurs du Festival International Nature Namur et le réseau des Centres Régionaux d’Initiation à l'Environnement (CRIE) de Wallonie. Cette seizième édition de la Video Nature Academy, se déroulera le week-end, durant le printemps 2020 à travers le réseau des Centres Régionaux d’Initiation à l'Environnement de Wallonie. Le programme est agencé comme suit :
Jour 1 - Introduction générale & Focus sur le volet scénario (Dimanche 29 mars 2020 au CRIE de Villers-la-Ville) Jour 2 & 3 - Composition de l'image, prise en main de la caméra - Techniques de prise de son & bruitage/sonorisation d'un film (en résidentiel, les samedi 25 et dimanche 26 avril 2020 au CRIE de Spa) Jour 4 - Journée trucs et astuces de terrain (Dimanche 3 mai 2020 à Nassogne) Jour 5 & 6 – Montage et mise en pratique des apprentissages (en résidentiel, le samedi 16 et le dimanche 17 mai 2020 à Jalna - Marche-en-Famenne) + en option - Jour 7, 8 & 9 - Exercices d'affût et de prise d'images de la faune sauvage sur le terrain (en résidentiel, à Vierves-sur-Viroin, organisé par les CNB avec la présence possible de Tanguy Dumortier - dates à préciser) Le nombre de participants est limité à 20 et les inscriptions doivent être rentrées pour 1 février 2020 au plus tard. Une sélection sera réalisée sur base de la motivation des futurs participants, de leur expérience de naturaliste et de leurs pratiques de la photo et/ou de la vidéo amateurs. Les frais de participation sont fixés à 330 € pour l'ensemble de la formation et comprend une partie des repas et nuitées, et 225€ pour les jour 7,8 et 9 en option. Le formulaire d’inscription, est disponible sur : www.pointculture.be -> service éducatif -> formation Renseignements et inscription PointCulture – Place de l'Amitié, 6 – 1160 Bruxelles 02/737 19 30 - bruno.hilgers@pointculture.be facebook.com/videonatureacademy/ Balades plantes sauvages comestibles de printemps (à Mons) Dimanche 10 mai 2020 Saint-Denis 7034 Mons Belgique Organisateur : Cuisine sauvage asbl Email : info@cuisinesauvage.org Téléphone : 0478 51 26 02
Prix : 9€ Rejoignez-nous pour un moment de détente, de découverte et de plaisir ! Nous vous emmenons en balade à la rencontre des plantes comestibles. Une initiation de 2h30 pour apprendre à les reconnaître, éviter les confusions, savoir quelle partie utiliser,... Nous vous apprenons avec des mots simples à cueillir les plantes sauvages et à les cuisiner, dans une approche pratique et interactive. Accessible dès 12 ans / Activité maintenue quelle que soit la météo / Durée 2h30 environ Horaires : Dimanche 10/05 : de 10h à 12h30 Dimanche 10/05 : de 13h à 15h30 Réservation : https://www.billetweb.fr/shop.php?event=balade-sauvage-de-printemps-mons... Liège Video Nature Academy 6 jours répartis du dimanche 29 mars au dimanche 17 mai 2020 Belgique Organisateur : Point Culture Email : bruno.hilgers@pointculture.be Téléphone : 02/737 19 30 Prix : 330 € Une formation pour vidéastes nature amateurs Le plaisir de partager, par l'image, de fabuleuses observations est concrétisé depuis plus de vingt ans par le Festival International Nature Namur. Ce festival permet à un large public de visionner sur grand écran des films amateurs et professionnels.
La Video Nature Academy a pour objectif de stimuler, depuis près de 15 ans, cette passion naissante pour certains ou offrir la possibilité de se perfectionner pour d’autres, en vue de soumettre un film lors du prochain festival. Ce cycle de formations de six jours (+ deux jours supplémentaires en option cette année : affût !!) comporte un contenu théorique, pratique, animé par un staff professionnel et des rencontres avec des cinéastes animaliers. Il est organisé par le Service éducatif de PointCulture (ex-La Médiathèque), en collaboration avec les organisateurs du Festival International Nature Namur et le réseau des Centres Régionaux d’Initiation à l'Environnement (CRIE) de Wallonie. Cette seizième édition de la Video Nature Academy, se déroulera le week-end, durant le printemps 2020 à travers le réseau des Centres Régionaux d’Initiation à l'Environnement de Wallonie. Le programme est agencé comme suit : Jour 1 - Introduction générale & Focus sur le volet scénario (Dimanche 29 mars 2020 au CRIE de Villers-la-Ville) Jour 2 & 3 - Composition de l'image, prise en main de la caméra - Techniques de prise de son & bruitage/sonorisation d'un film (en résidentiel, les samedi 25 et dimanche 26 avril 2020 au CRIE de Spa) Jour 4 - Journée trucs et astuces de terrain (Dimanche 3 mai 2020 à Nassogne) Jour 5 & 6 – Montage et mise en pratique des apprentissages (en résidentiel, le samedi 16 et le dimanche 17 mai 2020 à Jalna - Marche-en-Famenne) + en option - Jour 7, 8 & 9 - Exercices d'affût et de prise d'images de la faune sauvage sur le terrain (en résidentiel, à Vierves-sur-Viroin, organisé par les CNB avec la présence possible de Tanguy Dumortier - dates à préciser) Le nombre de participants est limité à 20 et les inscriptions doivent être rentrées pour 1 février 2020 au plus tard. Une sélection sera réalisée sur base de la motivation des futurs participants, de leur expérience de naturaliste et de leurs pratiques de la photo et/ou de la vidéo amateurs. Les frais de participation sont fixés à 330 € pour l'ensemble de la formation et comprend une partie des repas et nuitées, et 225€ pour les jour 7,8 et 9 en option. Le formulaire d’inscription, est disponible sur : www.pointculture.be -> service éducatif -> formation Renseignements et inscription PointCulture – Place de l'Amitié, 6 – 1160 Bruxelles 02/737 19 30 - bruno.hilgers@pointculture.be facebook.com/videonatureacademy/ Cultiver et cuisiner ses aromatiques Mardi 5 mai 2020 de 19h à 22h
CRIE de Liège 3 rue Fusch 4000 Liège Belgique Organisateur : CRIE de Liège Email : info@education-environnement.be Téléphone : +32 (0)4 250 75 10 Prix : 12 € Les aromatiques sont de précieuses alliées au jardin et un délice pour la cuisine. Sur le balcon ou au jardin apprenons comment et lesquelles planter. En sirop, pour parfumer l’apéro ou les gâteaux, réalisez des recettes surprenantes et savoureuses. Nos ateliers de savoir-faire, pour adultes, c’est : Créer et réaliser par soi-même Echanger et partager des trucs et astuces S’approprier des gestes pour refaire chez soi Sensibiliser à une thémati que Construire un autre modèle de consommati on, plus respectueuse de l’environnement Lieu : au CRIE de Liège - Parc du Jardin Botanique - 3 rue Fusch, 4000 Liège Quand : de 19h à 22h Prix : 12 € Limité à 15 personnes - Inscription obligatoire. Non remboursement en cas de désistement 5 jours avant la date de l'atelier Plus d’infos et inscription : www.education-environnement.be 04 250 75 10
info@education-environnement.be Luxembourg Video Nature Academy 6 jours répartis du dimanche 29 mars au dimanche 17 mai 2020 Belgique Organisateur : Point Culture Email : bruno.hilgers@pointculture.be Téléphone : 02/737 19 30 Prix : 330 € Une formation pour vidéastes nature amateurs Le plaisir de partager, par l'image, de fabuleuses observations est concrétisé depuis plus de vingt ans par le Festival International Nature Namur. Ce festival permet à un large public de visionner sur grand écran des films amateurs et professionnels. La Video Nature Academy a pour objectif de stimuler, depuis près de 15 ans, cette passion naissante pour certains ou offrir la possibilité de se perfectionner pour d’autres, en vue de soumettre un film lors du prochain festival. Ce cycle de formations de six jours (+ deux jours supplémentaires en option cette année : affût !!) comporte un contenu théorique, pratique, animé par un staff professionnel et des rencontres avec des cinéastes animaliers. Il est organisé par le Service éducatif de PointCulture (ex-La Médiathèque), en collaboration avec les organisateurs du Festival International Nature Namur et le réseau des Centres Régionaux d’Initiation à l'Environnement (CRIE) de Wallonie. Cette seizième édition de la Video Nature Academy, se déroulera le week-end, durant le printemps 2020 à travers le
réseau des Centres Régionaux d’Initiation à l'Environnement de Wallonie. Le programme est agencé comme suit : Jour 1 - Introduction générale & Focus sur le volet scénario (Dimanche 29 mars 2020 au CRIE de Villers-la-Ville) Jour 2 & 3 - Composition de l'image, prise en main de la caméra - Techniques de prise de son & bruitage/sonorisation d'un film (en résidentiel, les samedi 25 et dimanche 26 avril 2020 au CRIE de Spa) Jour 4 - Journée trucs et astuces de terrain (Dimanche 3 mai 2020 à Nassogne) Jour 5 & 6 – Montage et mise en pratique des apprentissages (en résidentiel, le samedi 16 et le dimanche 17 mai 2020 à Jalna - Marche-en-Famenne) + en option - Jour 7, 8 & 9 - Exercices d'affût et de prise d'images de la faune sauvage sur le terrain (en résidentiel, à Vierves-sur-Viroin, organisé par les CNB avec la présence possible de Tanguy Dumortier - dates à préciser) Le nombre de participants est limité à 20 et les inscriptions doivent être rentrées pour 1 février 2020 au plus tard. Une sélection sera réalisée sur base de la motivation des futurs participants, de leur expérience de naturaliste et de leurs pratiques de la photo et/ou de la vidéo amateurs. Les frais de participation sont fixés à 330 € pour l'ensemble de la formation et comprend une partie des repas et nuitées, et 225€ pour les jour 7,8 et 9 en option. Le formulaire d’inscription, est disponible sur : www.pointculture.be -> service éducatif -> formation Renseignements et inscription PointCulture – Place de l'Amitié, 6 – 1160 Bruxelles 02/737 19 30 - bruno.hilgers@pointculture.be facebook.com/videonatureacademy/ Namur Video Nature Academy 6 jours répartis du dimanche 29 mars au dimanche 17 mai 2020 Belgique Organisateur : Point Culture Email : bruno.hilgers@pointculture.be
Téléphone : 02/737 19 30 Prix : 330 € Une formation pour vidéastes nature amateurs Le plaisir de partager, par l'image, de fabuleuses observations est concrétisé depuis plus de vingt ans par le Festival International Nature Namur. Ce festival permet à un large public de visionner sur grand écran des films amateurs et professionnels. La Video Nature Academy a pour objectif de stimuler, depuis près de 15 ans, cette passion naissante pour certains ou offrir la possibilité de se perfectionner pour d’autres, en vue de soumettre un film lors du prochain festival. Ce cycle de formations de six jours (+ deux jours supplémentaires en option cette année : affût !!) comporte un contenu théorique, pratique, animé par un staff professionnel et des rencontres avec des cinéastes animaliers. Il est organisé par le Service éducatif de PointCulture (ex-La Médiathèque), en collaboration avec les organisateurs du Festival International Nature Namur et le réseau des Centres Régionaux d’Initiation à l'Environnement (CRIE) de Wallonie. Cette seizième édition de la Video Nature Academy, se déroulera le week-end, durant le printemps 2020 à travers le réseau des Centres Régionaux d’Initiation à l'Environnement de Wallonie. Le programme est agencé comme suit : Jour 1 - Introduction générale & Focus sur le volet scénario (Dimanche 29 mars 2020 au CRIE de Villers-la-Ville) Jour 2 & 3 - Composition de l'image, prise en main de la caméra - Techniques de prise de son & bruitage/sonorisation d'un film (en résidentiel, les samedi 25 et dimanche 26 avril 2020 au CRIE de Spa) Jour 4 - Journée trucs et astuces de terrain (Dimanche 3 mai 2020 à Nassogne) Jour 5 & 6 – Montage et mise en pratique des apprentissages (en résidentiel, le samedi 16 et le dimanche 17 mai 2020 à Jalna - Marche-en-Famenne) + en option - Jour 7, 8 & 9 - Exercices d'affût et de prise d'images de la faune sauvage sur le terrain (en résidentiel, à Vierves-sur-Viroin, organisé par les CNB avec la présence possible de Tanguy Dumortier - dates à préciser) Le nombre de participants est limité à 20 et les inscriptions doivent être rentrées pour 1 février 2020 au plus tard. Une sélection sera réalisée sur base de la motivation des futurs participants, de leur expérience de
naturaliste et de leurs pratiques de la photo et/ou de la vidéo amateurs. Les frais de participation sont fixés à 330 € pour l'ensemble de la formation et comprend une partie des repas et nuitées, et 225€ pour les jour 7,8 et 9 en option. Le formulaire d’inscription, est disponible sur : www.pointculture.be -> service éducatif -> formation Renseignements et inscription PointCulture – Place de l'Amitié, 6 – 1160 Bruxelles 02/737 19 30 - bruno.hilgers@pointculture.be facebook.com/videonatureacademy/ Passion Robinson Du vendredi 1er mai à 10h au dimanche 3 mai à 18h pin Domaine provincial de Chevetogne Officiel - Province de Namur Rue de Pirchamps, 1 5590 Chevetogne, Namur Belgique Organisateur : Domaine provincial de Chevetogne Officiel - Province de Namur Prix : 10€ - Seniors (60+): 5€ - Enfants en-dessous de 6 ans : gratuit Festival International des cabanes, roulottes et de l’habitat premier Cet événement est à la fois salon (il réunit une trentaine de cabaneux, yourteurs, roulottiers, tentistes et autres inventistes) et festival (programmation artistique). Un incontournable pour les amateurs de voyages immobiles ou pour les projets d’habitat léger et alternatif. Des activités musicales et créatives sont également au programme de cette édition. Durant tout un week-end, le Domaine de Chevetogne voit fleurir les cabanes, yourtes, roulottes, tree-tents et autres habitats légers. Le Salon Passion Robinson réunit depuis plusieurs années déjà les personnes qui font le choix d'habiter autrement ou de proposer des logements insolites et les géniaux constructeurs. Durant tout le week-end, le Domaine de Chevetogne fourmille de constructeurs en tous genres, d’architectes, d’entrepreneurs de la filière bois et de jeunes designers wallons aux projets audacieux. Le Salon estt une vitrine innovante, pluridisciplinaire et technologique de l’habitat, sujet actuel et brûlant. C'est désormais le rendez-vous incontournable pour les amateurs de voyages immobiles ou pour les projets d’habitat léger. Étant à la fois salon (il réunit une trentaine de cabaneux, yourteurs, roulottiers, tentistes et autres inventistes) et festival, des activités musicales et créatives pour petits et grands sont également au programme de l'événement (ateliers
artistiques, mais aussi courtes formation d'éco-construction) L'idée d'habiter dans une tiny-house ou d'équiper votre hébergement de cabanes insolites vous séduit mais vous ne savez pas par quel bout prendre ce projet ? Rendez-vous au salon pour y rencontrez plusieurs dizaines d’exposants de cabanes, yourtes, tree-tents, roulottes, tiny-houses ... découvrez leurs projets, pour concrétiser votre projet d'habitat léger. Et si vous n'êtes qu'au début de votre réflexion, rejoignez les causeries, ces moments de partage entre professionnels de la construction, usagers de l'hébitat léger et amateurs. C'est LE salon idéal pour faire avancer votre propre projet d'habitat léger, aletrnatif, insolite. Découvrez ou redécouvrez ce bien précieux décliné, chez nous, dans toutes les variantes possibles et imaginables et laissez les enfants, tels de petits constructeurs en herbe, donner libre cours à leur imagination. Ils auront fort à faire entre cabanes à visiter et ateliers créatifs qui leur sont réservés. Pour accéder au Salon Passion Robinson, acquittez-vous du prix d'entrée habituel au Domaine. Les activités sur place sont ensuite gratuites. Les détenteurs du Pass loisirs profitent de cette journée sans supplément. Voir tous les événements Vous souhaitez annoncer un événement? Envoyez-nous vos informations à agenda@ecoconso.be, en texte et sous une forme résumée. Attention : l'annonce des informations dépend de la date de parution de l'Art d'éco-consommer. La rédaction se réserve le droit de publier les annonces qui lui parviennent. DANS LE PROCHAIN NUMÉRO Un dossier consacré au plastique ! Cette création est mise à rue Nanon 98 à 5000 Namur. disposition sous un contrat Editeur responsable : écoconso est soutenu par la Creative Commons CC BY-NC- Jean-François Rixen Wallonie et la Fédération ND (attribution - pas d'utilisation info@ecoconso.be Wallonie-Bruxelles. commerciale - pas de 081 730 730 modification) Des réponses personnalisées à vos questions : 081 730 730 | info@ecoconso.be | www.ecoconso.be Cette publication est mise à disposition sous un contrat Creative Commons
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