Le retour de la liberté d'expression en France n'est pas pour demain, malgré Elon Musk - Riposte Laique
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Le retour de la liberté d’expression en France n’est pas pour demain, malgré Elon Musk Parmi les dernières nouvelles boursières, il y a le rachat de Twitter par Elon Musk. Vous me demanderez ce que cette nouvelle peut bien faire sur un site tel que Riposte Laïque qui a pour objet de lutter contre les religions de haine d’importation, que la doxa et la classe politique veulent nous imposer en France. Quelques explications. Il est de notoriété qu’une censure effrénée s’est abattue sur la France destinée à interdire toute critique de l’islam, et plus particulièrement à taire les vérités sur cette idéologie qui n’a rien à envier au nazisme. Ainsi, la doxa française journalistico-médiatique et la majorité de la classe politique de ce pays ont décidé d’imposer aux Français de souche une idéologie
ségrégationniste au plus haut point puisque mortelle pour qui n’y adhère pas : on l’a vu au Bataclan, on l’a vu sur la Promenade des Anglais à Nice, on l’a vu dans les églises de Nice encore ou de Saint-Étienne-du-Rouvray, on le voit régulièrement dans l’espace public français où le coup de couteau musulman contre le Français d’origine est devenu la règle. Dans une vision à long terme, la démographie faisant son œuvre, on peut schématiser en affirmant que la classe politique française qui s’est soumise à l’islam est décidée à génocider tous les citoyens natifs historiques de ce pays qui refusent cette ignominie mahométane au pays de Jeanne d’Arc. Décidément en matière de trahisons ce pays aura tout connu au cours de son histoire. Elon Musk a proclamé que son rachat de Twitter était motivé par sa volonté de rétablir la liberté d’expression qu’il voudrait conforme au premier amendement de la Constitution américaine : « Elon Musk a décidé d’acquérir Twitter notamment parce qu’il estime que le réseau ne respecte pas suffisamment la liberté d’expression. Mais sa vision absolutiste inquiète les défenseurs des libertés de chacun sur Internet, qui prônent des échanges sans haine ni désinformation. » https://www.fdesouche.com/2022/04/28/elon-musk-achete-92-de-tw itter-et-en-devient-le-premier-actionnaire/ Or la liberté d’expression aux US s’oppose à la censure en vigueur sur notre continent puisque les « États-Unis se distinguent des autres démocraties par ce qui pourrait être considéré comme une vision absolutiste de la liberté d’expression. Ainsi, dans le droit américain, même le discours de haine est protégé et la Cour suprême a plusieurs fois affirmé qu’il n’y avait pas d’exception pour les discours de haine dans le Premier amendement (Beauharnais v. Illinois, 1952 ; Matal v. Tam, 2017).
Comme le rappelle l’ancien conseiller juridique de l’American Civil Liberties Union ( ACLU) Steven Shapiro, sur ce point, les États-Unis sont uniques et en contradiction avec le cadre juridique international défini par le Pacte international relatif aux droits civils et politiques de 1966 (article 20) qui oblige les signataires à interdire les discours de haine et que les États-Unis ont signé en 1992, précisément avec des réserves sur ce point. » https://theconversation.com/le-culte-de-la-liberte-dexpression -aux-etats-unis-155577 Cette volonté de libérer la parole sur Twitter a entraîné une levée de boucliers de ce côté-ci de l’Atlantique par ceux qui se prétendent comme des autorités constituées pour menacer Elon Musk de divers maux s’il entendait maintenir son projet libertaire par chez nous : on voit ici que la doxa-système veut à tout prix contenir l’information pour continuer à lobotomiser le citoyen européen qui aurait envie de s’affranchir des mensonges d’État dont ceux destinés à masquer la submersion migratoire et l’islamisation forcenée de l’Union. Ainsi, la Commission européenne a rappelé, par l’intermédiaire de Thierry Breton, les règles et les sanctions contenues dans le Digital Service Act récemment adopté par le Parlement européen : Le cyberharcèlement et les fake news sont notamment visées parmi les interdictions. https://www.journaldugeek.com/2022/04/27/apres-le-rachat-de-tw itter-leurope-menace-elon-musk-sur-la-liberte- dexpression/?msclkid=77ef03fbc86d11ec971f972c2012a881 https://www.journaldugeek.com/2022/04/25/contrefacon-haine-en- ligne-fake-news-le-dsa-est-vote-en-europe-et-il-veut- revolutionner-internet/ Lutter contre le cyberharcèlement et les messages de haine,
ces derniers bien souvent issus de la communauté musulmane quel que soit le pays d’origine des impétrants, on l’a vu avec les Tchétchènes à Conflans-Sainte-Honorine, et Mila et bien d’autres en font foi, est un but que l’on ne peut que louer. Or ce que l’on peut remarquer depuis que les lois répressives existent, notamment en France, elles sont rarement mises en application effective dès qu’il s’agit de sanctionner le Mahométan : il ne faut pas se voiler la face, la lutte contre la haine en ligne ne vise en général que le non-musulman, le coranique, lui, semble disposer d’un genre d’immunité que l’on n’accorde en général qu’aux membres d’un corps diplomatique. Quand Mila ou une candidate Miss France, dont le nom sonne israélien, reçoivent des dizaines de milliers de messages de menaces de viol et de décapitation et que l’on traîne devant les tribunaux pas plus de 10 ou 15 pékins qui curieusement paraissent avoir été choisis parmi les plus intégrés à l’occidentale, on se dit qu’il y a bien loin de la coupe aux lèvres quand il s’agit de réprimer la haine coranique, tandis que pour une malheureuse pancarte sur laquelle figure le pronom interrogatif « qui ? » brandie par une bonne Française de souche, c’est du six mois de prison avec sursis et avec licenciement de l’Éducation nationale. La situation de la justice française peut se résumer ainsi : une blanche de France qui pose une simple interrogation sur une pancarte dans l’espace public français sans nuire, violenter ou agresser quiconque par viol ou décapitation, risque la taule et perd sa source de revenus, tandis que les mahométans haineux qui lancent de réelles fatwas de viol ou de décapitation, qui seront suivies à la lettre par des membres de leur communauté, ne sont même pas poursuivis. Belle police belle justice, en période de guerre civile cela s’appelle choisir son camp avec toutes les conséquences qui en découlent, sans sursis et sans appel possible. Il y aurait donc bien deux justices en France, et
contrairement à ce que veulent laisser accroire par fake news relayées par toute la doxa journalistique les woke- indigénistes-arabo-griots colorés extra européens, le principal ségrégué dans ce pays est le Français et la Française blancs de souche. Certains esprits éveillés, au vu des tous les faits-divers commis depuis quelques années et du peu de sanctions prononcées dès lors que l’appellation d’origine extra- européenne est reconnue, vont jusqu’à affirmer que l’impunité s’est étendue jusqu’aux délits les plus sordides fomentés par les divers, ce qui permet de supposer raisonnablement que les exotiques disposent d’un ausweis permanent pour leurs agissements pernicieux. Or dans ses intentions manifestées lors du rachat de la société, Elon Musk vise aussi à lever l’anonymat sur les titulaires de comptes Twitter. Ainsi, les attentes des autorités constituées européennes dans leur lutte contre la haine en ligne pourraient être satisfaites puisque le Mahométan haineux serait immédiatement identifié et signalé à Pharos pour être poursuivi sans délai. Encore faudrait-il au préalable licencier la grande partie des magistrats français qui s’y refusent dès qu’il s‘agit d’un divers haineux pour les remplacer par d’autres qui en voudraient vraiment, ou alors faudrait-il qu’ils en reçoivent l’ordre comminatoire de la chancellerie sous peine d’être virés de la magistrature sans droit à pension pour laxisme et mise en danger de la vie d’autrui comme on l’a vu à Conflans- Sainte-Honorine où tout part de rumeurs coraniques sur messagerie. Mais ici, concernant une totale transparence sur les propriétaires des comptes twitter , c’est la fédération internationale des journalistes qui « critique notamment la volonté d’Elon Musk d’”authentifier” tous les utilisateurs du réseau social, estimant que l’absence d’anonymat “remettrait
sérieusement en cause la protection (…) de nombreux journalistes et sources à travers le monde” qui prennent des risques en affrontant des intérêts puissants ». https://www.fdesouche.com/2022/04/28/la-federation-internation ale-des-journalistes-condamne-le-rachat-de-twitter-par-elon- musk-y-voyant-une-menace-pour-la-liberte-de-la-presse/ La saillie n’est pas sans fondement : quand un pool de journalistes dévoile un Panama Papers par exemple, on imagine bien que des sources anonymes ont permis le travail : comment voulez-vous savoir un jour si Emmanuel Macron, dont le patrimoine déclaré suscite des doutes par rapport à ses anciennes fonctions chez Rothschild, dispose ou non de comptes offshore gérés par un prête-nom, ou de trusts gérés par un trustee et dont le nom du bénéficiaire réel figure dans un contrat de fiducie tenu secret dans le coffre d’une banque, chez un notaire ou avocat, ces derniers tenus au secret professionnel ? Il faut bien dans ce genre d’affaires que quelqu’un du sérail se déballonne les miches, et il est normal de protéger ce quelqu’un. En effet, le système doxa au pouvoir s’est prémuni de toute éventualité en décrétant et faisant décréter par la justice la mort économique de tout auteur de dévoilement des agissements délictueux comme une « atteinte au secret des affaires » , « vol de données » ou « espionnage économique » comme on l’a vu par exemple dans l’affaire Falciani : ainsi une illégalité commise par des agents du système peut-elle être couverte par la justice puisque celui qui en rend public les mécanismes est passible de tribunaux, je vous la fais en métaphore qui cause plus au pois chiche : c’est comme si un violeur pouvait agir en justice pour invalider l’accusation qui le met en cause au motif que le mode d’approche de ses victimes est couvert par le secret de ses petites affaires et qu’il est illégal d‘en faire état.
Dans l’affaire Falciani, le comble a été atteint par la Cour de Cassation française, puisque le fisc a été interdit d’utilisation du fichier pour effectuer des perquisitions et rappeler l’impôt, l’obtention de la liste provenant de ce qui a été considéré comme un vol ayant été déclaré illégale. https://www.letemps.ch/economie/fichiers-hsbc-ne-peuvent-servi r-fisc-francais Pire, la lenteur des juges français a été pointée, qui mettait à mal l’action du fisc, et les contribuables avaient beau jeu nier disposer de comptes fiscaux en suisse puisque « la liste HSBC ayant été constituée à partir de données volées, elle n’est pas opposable comme « preuve fiscale ». https://www.challenges.fr/economie/liste-hsbc-30-des-personnes -visees-nient-avoir-fraude-le-fisc_173961 Du délire pur donc, et il est normal que tout citoyen-pékin de bon sens de la rue et de la base en tire une conclusion logique : la justice est bien aux ordres des riches et non pour l’intérêt collectif de la société, car comment comprendre autrement que des juges couvrent une illégalité en déclarant illégale l’information qui dévoile l’illégalité première ??? Il en va de même si vous voulez faire la lumière sur des contrats de ventes d’armes par exemple, et les rétrocommissions d’usage qui les accompagnent, pour connaître le nom de ceux qui en palpent et qui parfois sont les mêmes que ceux qui viennent vous donner des leçons d’éthique et de morale sur les plateaux TV, capables également de mentir publiquement les yeux dans les yeux de millions de contribuables comme tel un ancien ministre des finances. Cela vaut également pour établir les liens incestueux qui lient certains politiciens et politiciennes français avec les islamiques, et dont il est d’importance vitale pour la Nation d’établir la trahison, pour, selon ma formule consacrée, en tirer « toutes les conséquences qui en découlent, sans sursis
et sans appel possible ». On le voit donc, rétablir une vraie liberté d’expression en Europe, et plus particulièrement en France où les lois mémorielles favorisent les actions judiciaires d’associations d’islamistes ou de submersions migratoires pour étouffer toute vérité, n’est pas pour demain. Si déjà les juges français faisaient leur boulot pour condamner et expulser à vie de notre pays tous les Maures haineux, il y aurait déjà beaucoup moins de discours de malveillance en ligne. Si en plus on interdisait le Coran qui incite à la haine et si on rasait toutes les mosquées…. Ben oui quoi, pourquoi celui-là, le livre coranique qui pousse au meurtre de Français blancs de souche non musulmans les millions de frénétiques établis dans nos banlieues, n’est jamais combattu par ceux qui prétendent lutter contre la haine, mais qui en réalité interdisent de dénoncer publiquement les discriminations et les crimes contre l’Humanité découlant de cette idéologie nauséabonde qui devrait être prohibée à ce titre dans toute l’Union par simple respect des valeurs du Traité européen ???? Et ici je pose sérieusement la question à tous les membres de la Commission européenne : pourquoi vouloir imposer à la Pologne comme supérieures à son droit interne les valeurs du Traité européen que la Commission elle-même ne respecte pas quand elle pousse à la prospérité de la haine musulmane sur tout notre continent jusqu’à ce que des guerres civiles finissent par éclater ???? Vous le voyez, on se retrouve plein pot dans la même mécanique de l’affaire Falciani où des juges couvrent l’illégalité des appels au meurtre lancés par des musulmans à hue et à dia cinq fois par jour en déclarant illégale toute critique de l’Islam. Voyez-donc comment le système se protège de ses propres ignominies.
Comme l’Oncle Titus, tout cela finira mal…. Jean d’Acre
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