Retombées presse au 01/04/2016 - Ensaia
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Retombées presse au 01/04/2016
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Parutions par ordre chronologique
Page 3 : Invitation presse
Page 5 : Annonce dans La Moselle Agricole
Page 6 : Annonce dans Le Paysan Vosgien
Page 7 : Annonce dans Biotech Info
Page 8 : Annonce dans Campagnes & Environnement
Page 9 : Annonce dans Grand Nancy
Page 10 : Annonce dans Savoirs & Connaissance
Page 11 : Annonce dans Ecophyto Portail
Page 12 : Le filon de la lutte biologique (>͛ ƐƚZĠƉƵďůŝĐĂŝŶ, 09/02)
Page 13 ͗>͛ğƌĞĚƵbiocontrôle est arrivée (Up Magazine, 08/02)
Page 18 : Ces futurs ingénieurs agronomes se mobilisent pour une agriculture raisonnée
(>͛ ƚƵĚŝĂŶƚ, 08/02)
Page 20 : Confusion sexuelle : la DGAL « préoccupée ͩƉĂƌů͛ŽďůŝŐĂƚŝŽŶĚĞCertiphyto
(Agra Fil, 09/02)
Page 21 : Partenariat ENSAIA Nancy ʹ BASF Division Agro
(Flash Info Economie, 09/02)
Page 22 ͗>͛ĞƐƐŽƌĚƵbiocontrôle reste entravé (Yvoir.fr /10/02)
Page 23 : La DGAL préoccupée par l'obligation de Certiphyto
(>͛ĂŐƌŝĐƵůƚĞƵƌŶŽƌŵĂŶĚ, 11/02)
Page 24 : Des freins liés à l'efficacité, au coût, à la main-‐ĚΖƈƵǀƌĞ͕selon une enquête
(Agrapresse Hebdo, 15/02)
Page 25 : Le biocontrôle une solution d'avenir (Le Paysan Lorrain, 26/02)
Page 28 : La DGAL préoccupée par l'obligation de Certiphyto (La Marne viticole, 1/03)
Page 29 : >ĂƌĞĐŚĞƌĐŚĞƐ͛ŽƌŐĂŶŝƐĞƉŽƵƌĂĐĐĠůĠƌĞƌůĞƐŝŶŶŽǀĂƚŝŽŶƐ
(Actu Environnement, 2/03)
Page 31: Le biocontrôle une solution d'avenir (Le Paysan Vosgien, 4/03)
Page 33 : Le biocontrôle une solution d'avenir (Le Paysan du Haut-‐Rhin, 11/03)
Page 35 : Une protection des plantes économe et performante
(>͛ ƐƚĂŐƌŝĐŽůĞĞƚǀŝƚŝĐŽůĞ, 11/03)
Page 37 : Biocontrôle en grandes cultures: où en sommes-‐nous?
(Semences et Progrès, 16/03)
Page 41 : ^&ŝǀŝƐŝŽŶŐƌŽƉŽƵƌƐƵŝƚƐŽŶƉĂƌƚĞŶĂƌŝĂƚĂǀĞĐů͛ E^/;Focus RH , 24/03)
Page 42 : Identifier les freins au développement du biocontrôle (Terre-‐Net, 29/03
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Retombées presse Colloque biocontrôle
ENSAIA / BASF ʹ 8 février 2016, Nancy 
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4 Retombées presse Colloque biocontrôle ENSAIA / BASF ʹ 8 février 2016, Nancy
Date : 05 FEV 16
Pays : France
Périodicité : Hebdomadaire
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Pays : France
Périodicité : Bimensuel
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Retombées presse Colloque biocontrôle
ENSAIA / BASF ʹ 8 février 2016, Nancy Date : 09 FEV 16
Journaliste : Patrice Costa
Pays : France Périodicité :
Quotidien OJD : 140564
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Retombées presse Colloque biocontrôle
ENSAIA / BASF ʹ 8 février 2016, Nancy BIO INNOVATIONS (/INDEX.PHP/LE-VIVANT/BIO-INNOVATIONS)
>͛ğƌĞĚƵbiocontrôle
est arrivée
Trouver des parades à la mouche du brou qui attaque les noyers en Dordogne, ou
contre le chancre coloré qui ravage les platanes du Canal du PLGL« Les
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Retombées presse Colloque biocontrôle
ENSAIA / BASF ʹ 8 février 2016, Nancy agroentreprises et instituts techniques se tournent de plus en plus vers des
solutions biologiques : parasites, produits naturels, pièges KRUPRQDX[« Avec succ
!
Photo : Aphidius colemani sur pucerons
R ien de plus déprim ant que de voir son jardin, ses arbres, ses cultures« grignotés p
les insectes. Avec le printemps qui vient, chacun guette les solutions pour contrer les
ravageurs. On pense à la bactérie Xylella fastidiosa qui menace les oliveraies des Pouille
en Italie, aux charançons rouges qui V¶HQ prennent aux palmiers dans le Midi, mais aussi la
pyrale, ce papillon dont la chenille dévore les allées de buis et défigure nos jardins
historiques à la française. Imaginez Vaulx le vicomte ou Villandry sans leurs buissons
sculptés !
La contre offensive pourrait bien venir du biocontrôle, cette stratégie de lutte biologique
où le ravageur se trouve perturbé, piégé, attaqué par un parasite. Le pionnier en la
matière est le groupe Koppert né aux Pays-Bas il y a 40 ans et qui propose une panoplie
de bourdons pollinisateurs, bactéries tueuses ou semences enrobées de microorganism
dopants. Il vient G¶DLOOHXUVde mettre sur le marché le piège BUXatrap qui émet des
phéromones capables G¶DWWLUHUet tuer les pyrales du buis. « &¶HVWune solution qui a été
validée dans le cadre du projet SaveBuxus que nous avons mené en partenariat avec INRA,
Plante & cité, Astredhor, et dont le brevet G¶LQYHQWLRQa été déposé" précise Frédé Favrot,
directeur général de Koppert France. Ce dernier apparaît parfois comme un sauveur. A
Nice et à Monaco, on est venu à bout de O¶LQYDVLRQdes palmiers par les charançons
rouges grâce à O¶LQMHFWLRQ DXF°XUde O¶DUEUHde nématodes produits par O¶HQWUHSULVH
hollandaise.
Aphidius ervi sur pucerons 14
Retombées presse Colloque biocontrôle
ENSAIA / BASF ʹ 8 février 2016, Nancy Ecouter les plantes
Avec des filiales dans plus de vingt pays, Koppert élève et distribue toutes sortes
G¶RUJDQLVPHV pour les arbres, végétaux et cultures : des insectes auxiliaires (microguèpe
hyménoptères, acariens, araignées prédatrices, °XIVODUYHVou SXSHV« des
microorganismes protecteurs, stimulants ou fertilisants. « Nous produisons des
organismes vivants, et cela requiert une logistique à flux tendu, explique Frédéric Favrot Pour
O¶(XURSH les organismes sont élevés à Rotterdam ou en Espagne : nous ne pouvon retarder
ou accélérer les rythmes que de quelques jours par des effets de température. vie Q¶DWWHQG
pas ».
La firme qui emploie DXMRXUG¶KXL 1 100 personnes (avec un chiffre G¶DIIDLUHVde 180
millions G¶HXURV a une approche holistique des cultures et ne se considère pas comme
fournisseur mais comme un partenaire des agriculteurs. Sous son influence, les cultures
sous abri (sous serre) se sont pratiquement presque toutes affranchies des traitements
phytosanitaires. Tomates, concombres, FRXUJHWWHV«ne subissent plus TX¶XQou deux
traitements grâce à des approches de biocontrôle préventives.
Un autre marché V¶RXYUHDXMRXUG¶KXLcelui des cultures spécialisées en plein champ
(viticulture, arboriculture, OpJXPHV« « Et il y a fort à faire quand on sait TX¶LO y a près de
trente traitements réalisées sur les vergers de pommes, et plus de 60 parfois sur les
bananeraies » pointe Frédéric Favrot qui Q¶HVWpas un militant mais seulement un
défenseur du « moindre impact environnemental ». « Ce qui nous fera réussir F¶HVWque
nous sommes en train de buter sur des impasses techniques, estime-t-il. Soit les produit
classiques ne marchent plus car le ravageur est devenu résistant, soit le pesticide a été retiré
du marché car trop dangereux, soit nous avons affaire à de nouveaux SDUDVLWHV«Chacun
sent que nous arrivons à la limite de notre système du « tout chimique » qui ren malade et qui
est cher ».
Pour la protection de la vigne, Koppert a mis au point ± avec O¶,QVWLWXW français de la vigne
une substance naturelle qui forme un film sur les feuilles et étouffe les champignons
parasites comme O¶RwGLXP ou le botrytis ou pourriture grise. Ce produit pourra aussi serv
sur les pommiers atteints de tavelure en complément de pièges à confusion sexuelle
contre le carpocapse.
Le biocontrôle peut aussi être conçu sous forme de stimulations des plantes afin de les
rendre plus fortes contre les agresseurs. Des souches de champignon du genre
Trichoderma sont efficaces ainsi que des cocktails adaptés aux situations propres à
chaque champ. Ces protocoles de type NatuGro proposés par Koppert exigent un
diagnostic préalable mais permettent un pilotage fin, susceptible G¶DXJPHQWHUla
protection et les rendements. De plus en plus les agriculteurs recourent à des semences
qui ont été enrobées afin de faciliter la croissance. Et cet enrobage peut être fait de
microorganismes (trichoderma asperellum, bacillus megaterium, bacillus subtilis et des
champignons du genre glomus) et G¶H[WUDLWVnaturels (algues) : toute cette flore qui est
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mise en sommeil dans une formulation huileuse dont Koppert garde le secret produit dsécrétions favorables à la germination de la graine.
Aphidius matricariae momies de pucerrons
Une mutation des pratiques et des mentalités
Les acteurs de ces démarches de biocontrole étaient réunis le 26 janvier dernier à Paris
par leur association IBMA (International biocontrol manufacturers association). Ils sont
très encouragés par le Ministre Stéphane Le Foll qui inaugurait en février 2015 le
consortium public-privé sur le biocontrôle mobilisant les groupes BASF, Bayer, Goëmar,
InVivo, Lesaffre, De Sangosse, Syngenta et Koppert France. « Le Chlordécone, ça a bien
déconné ! a lâché Stéphane Le Foll. Il faut que nous soyons capables de nous réorienter
Cette initiative correspond à O¶XQH des cinq priorités thématiques du plan « Agriculture ±
Innovation 2025 » annoncé le 20 février 2015. Elle vise à coordonner les acteurs du
biocontrôle dans le double objectif G¶RIIULU aux utilisateurs, en premier lieu les agriculteu
des méthodes alternatives en matière de produits phytosanitaires, et de contribuer à la
consolidation du secteur français du biocontrôle. &¶HVWun secteur prometteur et en
croissance.
Pour donner un ordre de grandeur, O¶LQGXVWULH française du biocontrôle a réalisé, en 201 un
chiffre G¶DIIDLUHV de 110 millions G¶HXURV et a généré plus de 5 500 emplois, directs ou
indirects. Le consortium entend placer, à O¶KRUL]RQ 2020, la part du biocontrôle à 15 % du
marché français de la protection des cultures (5 % DXMRXUG¶KXL et à multiplier par 4 les
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emplois générés par cette industrie.
Rappelons ici que cette dynamique résulte des impulsions politiques liées au planEcophyto qui exige une réduction de 50% des pesticides à O¶pFKpDQFH 2021 (année de
référence 2010).
Mobilisation des agrochimistes
Les grands groupes agrochimistes ont bien compris la mutation en cours. Ils ont tous mi
un pied dans le secteur en rachetant des sociétés spécialisées dans la lutte biologique.
BASF a acquis Becker Underwood en 2012, Bayer a acheté AgraQuest, Monsanto a capté
danois Novozymes, tandis que le levurier Lesaffre a mis dans son giron Agauxine. On pe
signaler aussi que la société Goëmar ciblée sur les algues - née à St Malo en 1971 - a été
récupérée par le géant japonais Arysta LifeScience Limited.
Syngenta ± qui vient G¶rWUH racheté par le chinois ChemChina pour 43 Milliards de dollars
Q¶HVW pas absent du marché car il propose une gamme Bioline de macro-organismes. Prè
de 40 milliards G¶LQVHFWHV et acariens de 20 espèces différentes sont élevés chaque anné à
Telstar Nursery, site G¶pOHYDJH Bioline au Royaume-Uni. Enfin le groupe In Vivo distribu les
produits de Biotop ± biofabrique basée à Livron-sur-Drôme - qui produit des organismes
auxiliaires de cultures.
"Face aux géants de la chimie, il faut TX¶RQcrée des géants du biocontrole" a insisté le
ministre de O¶DJULFXOWXUHà O¶$)3Mais la comparaison est KDVDUGHXVH«Pour O¶KHXUHle
marché du biocontrôle est de 75 millions G¶HXURV en France alors que celui des pesticide
est de deux milliards G¶HXURV LOQ¶Dpas baissé depuis 2010). Cette disproportion des
moyens risque de durer. Le lobby des chimistes reste très actif comme O¶DWWHVWH le dernie
numéro du magazine bimensuel Science & pseudo-sciences édité par l'AFIS (Association
Française pour l'Information Scientifique) consacré aux pesticides.
Ainsi après les climato-sceptiques, se manifeste ici le réseau des « toxico-sceptiques ».
L'éditorialiste qualifie les associations anti-pesticides de "marchands de peur", face aux
industries qualifiées de "marchands de doute" (en référence au livre de Naomi Oreskes,
juin 2010, Le Pommier). Une position qui va à O¶HQFRQWUH de la présentation faite par Mar
Boudot dans son enquête « Produits chimiques : nos enfants en danger » diffusée le 2
février dans O¶pPLVVLRQG¶(OLVHLucet, Cash Investigation.
Si O¶RQveut sortir de ces postures dogmatiques, rien Q¶HVWplus efficace TX¶REVHUYHUles
avantages intégrés de O¶DSSURFKH« biocontrôle » : connaissance des comportements,
respects des équilibres, absence de WR[LFLWp« Les frères Peter et Paul Koppert qui dirigen le
groupe familial avec leur beau-frère Hendrich Oosthoek possèdent 100% du capital. U
modèle original basé sur la valeur sociale de O¶HQWUHSULVH et qui fait des envieux !
Un colloque est organisé à Nancy sur le biocontrôle ce 8 février à O¶LQLWLDWLYH des étudiants de
O¶(16$,$et en partenariat avec BASF.
Séminaire de l'Anses le 10 mars : Quels défis pour O¶pYDOXDWLRQ et la gestion des risques pour les
cultures HWO¶HQYLURQQHPHQW? (http://www.up-magazine.info/index.php/actualites/rendez- 17
vous/5535-10-mars-quels-defis-pour-l-evaluation-et-la-gestion-des-risques-pour-les-cultures-et-lundi 8 février 2016 18 : 17
518 mots
: LETUDIANT.FR
Ces futurs ingénieurs agronomes se mobilisent pour une agriculture raisonnée
LES JEUNES ONT DE L'ʹAVENIR ! -‐‑ Ȃ raisonnée est Ȃ des
thèmes abordés dans le documentaire « Demain », de Mélanie Laurent et
Cyril Dion, qui cartonne au box office avec plus 500.000 entrées en huit
semaines. 12 étudiants en 3e année de Ȃ ǰ École nationale supé-‐‑
rieure Ȃ et Ȃ alimentaires de Nancy (54), ont orga-‐‑
nisé un colloque sur le thème du biocontrôle le 8 février 2 016.
Isabelle Maradan ȯ Publié le
Les 12 étudiants en 3e année de Ȃ organisateurs du colloque sur le
thème du biocontrôle. // © Photo fournie par les témoins
« Le colloque que nous organisons est destiné à faire savoir que le biocontrôle,
ça existe, Ȃ efficace, et Ȃ Ȃ Ȃ solution Ȃ », assure Alice
Valles, qui fait partie des 12 étudiants de Ȃ ENSAIA organisateurs Ȃ col-‐‑
loque sur ce thème, à Nancy, le 8 février 2 016.
Comme elle, Thomas Arricastres, Mathilde Carre, Julia Cathelin, Maryse Clau-‐‑
son, Noémie Darloy, Clié Frican, Marine Guilcher, Thibaud Jerziony, Marion
Marchal, Alma Roblin, Florian Potterie, sont tous de futurs ingénieurs agro-‐‑
nomes engagés dans ce projet étudiant. Ils ont entre 22 et 26 ans. La moitié
Ȃ eux se spécialisent en protection des cultures et en biotechnologies. Ils
Ȃ dans la logique de Ȃ raisonnée et durable. « Ce sont des
profs qui nous ont parlé de la possibilité de monter ce projet dans le cadre de
notre formation. Nous avons noué un partenariat avec l'ʹun des leaders de
l'ʹagrochimie qui souhaitait se tourner vers autre chose que les pesticides pour
être plus respectueux de l'ʹenvironnement », détaille la future ingénieure agro-‐‑
nome.
Des sols sont travaillés par la chimie
Qu'ʹest-‐‑ce que le « biocontrôle » ? Des méthodes complémentaires à Ȃ des
pesticides, destinées à protéger les cultures de manière naturelle et res-‐‑
pectueuse de Ȃ. Ȃ· Ȃ¢ consacrer un colloque est née suite à
une enquête menée Ȃ dernier par le groupe Ȃ· auprès des acteurs du
monde agricole. Elle avait notamment révélé un manque Ȃ.
« Le biocontrôle est encore cher et cela induit des difficultés logistiques pour les
agriculteurs qui Ȃ pas Ȃ Ȃ ces produits naturels, sans
conservateurs, explique Alice Valles. Les agriculteurs dépendent de Ȃ·ǰ
vivent de leur récolte et ont un niveau de rendement nécessaire et, en même
temps, ils voient bien que les sols sont travaillés par la chimie, qui ne respecte
pas l'ʹenvironnement. »
Herbicides naturels, produits issus d'ʹalgues, micro-‐‑organismes
Des solutions comme des herbicides naturels, des produits issus Ȃǰ si-‐‑
mulateurs de défense naturelle des plantes ou des micro-‐‑organismes, capables
de tuer des champignons comme le ferait une solution chimique, sont présen-‐‑
tées lors de ce colloque réunissant des représentants de coopératives, des agri-‐‑
18
Retombées presse Colloque biocontrôle
ENSAIA / BASF ʹ 8 février 2016, Nancy culteurs, des instituts techniques, des chercheurs de Ȃ INRA ou du CNRS , ain-‐‑ si que des étudiants de
Ȃ· Ȃ· nancéenne. « Nous voulons mon-‐‑ trer que le biocontrôle est possible pour tout type
Ȃ », conclut Alice Valles. Ce 8 février 2016, 300 personnes étaient réunies au Palais des
congrès de Nancy pour récolter les fruits du travail de ces étudiantsdz Et semer, de-‐‑ main, d'ʹautres
graines.
Isabelle Maradan Lundi 8 février 2 016
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ENSAIA / BASF ʹ 8 février 2016, Nancy AGRA FIL
Date : 09 FEV 16
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Périodicité : Quotidien
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ENSAIA / BASF ʹ 8 février 2016, Nancy FLASH INFOS ECONOMIE EDITION
ALSACE/LORRAINE/FRANCHE COMTE Date : 09 FEV 16
Pays : France
Périodicité : Quotidien
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