MÉTHODE EXPERIMENTALE POUR LA RECHERCHE EN INFORMATIQUE - Nadine Mandran CNRS/LIG HAITI SITERE 2016
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MÉTHODE EXPERIMENTALE POUR LA RECHERCHE EN INFORMATIQUE Nadine Mandran CNRS/LIG HAITI SITERE 2016 N.Mandran , LIG/PIMLIG, Novembre 2016- Haiti
Système d’information et Utilisateurs Marco Santorum, 2014, LIG/SIGMA Objectif : Développer une application pour construire de manière collaborative des procédures Cas d’étude : un procédure administrative de départ en mission Acteurs : Assistante, responsable, employé, agence de voyage, agent comptable … Actions : commander, téléphoner, remplir un formulaire, … Document := devis, demande d’ordre de mission, billets , ….. Etat des documents : OM Validé, signé, …. Action externe Utilisateurs Action interne Document et état N.Mandran , LIG/PIMLIG, Novembre 2016- Haiti
PLAN Connaissance scientifique ? Méthode de conduite de la recherche Méthode de développement User Centered Design Méthode de production et d’analyse Qualitatif / Quantitatif Méthode de conduite des études Protocole / Outils/ Passation / Analyse N.Mandran , LIG/PIMLIG, Novembre 2016- Haiti
CONNAISSANCE SCIENTIFIQUE ? N.Mandran , LIG/PIMLIG, Novembre 2016- Haiti
EPISTEMOLOGIE S’intéresser à la méthodologie de la recherche interroge la manière d’élaborer la connaissance scientifique, autrement dit la question de la posture épistémologique. L‘épistémologie est définie par [Piaget 1967] comme « l’étude de la constitution des connaissances valables ». Pour [Le Moigne 1995], cette définition pose trois questions : 1. Qu’est ce que la connaissance et quel est son mode d'investigation ? 2. Comment la connaissance est-elle constituée ou engendrée ? 3. Comment apprécier sa valeur ou sa validité ? N.Mandran , LIG/PIMLIG, Novembre 2016- Haiti
CONNAISSANCE DANS CES SCIENCES ? Sociologie expérimentale Informatique « performance des algorithmes » Informatique centrée humain N.Mandran , LIG/PIMLIG, Novembre 2016- Haiti
CONNAISSANCE BIOLOGIE SOCIO. EXPERIMENTA I. « ALGO » I.CENTREE HUMAIN LE NATURE réel réel « artificiel » « artificiel » et réel Technique et OBJET Humain Vivant Technique humain PRISE EN COMPTE Holistique Réductionniste x Holistique STATUT Evoluée « immuable » « immuable » Evoluée Comprendre et MESURES Comprendre Valider Valider Valider A chaque domaine, une posture pour créer et valider de la connaissance => Posture épistémologique N.Mandran , LIG/PIMLIG, Novembre 2016- Haiti
CONSTRUCTIVISME PRAGMATIQUE En RICH => positionnement - observer l’humain dans son contexte pour connaitre ses pratiques, ses comportements, ses attentes - observer le réel : coté technique du domaine, le réel de l’humain, la perception du réel et des observables par l’humain En RICH => la connaissance prend la forme de modèle intelligible qui sont instanciée sous forme d’applications utilisables N.Mandran , LIG/PIMLIG, Novembre 2016- Haiti
CONSTRUCTIVISME PRAGMATIQUE But de la connaissance : Construire des modèles intelligibles de l’expérience humaine, offrant des repères adaptés et viables pour organiser le monde de l’expérience humaine. Statut de la connaissance : Interprétations plausibles adaptées à l’expérience et viables pour agir intentionnellement. Forme de la connaissance : Modèles génériques et propositions activables N.Mandran , LIG/PIMLIG, Novembre 2016- Haiti
LES 3 QUESTIONS L‘épistémologie est définie par [Piaget 1967] comme « l’étude de la constitution des connaissances valables ». Pour [Le Moigne 1995], cette définition pose trois questions : 1. Qu’est ce que la connaissance et quel est son mode d'investigation ? 2. Comment la connaissance est-elle constituée ou engendrée ? => Méthodes pour construire la connaissance 3. Comment apprécier sa valeur ou sa validité ? = > Méthodes pour évaluer la connaissance N.Mandran , LIG/PIMLIG, Novembre 2016- Haiti
PLAN Connaissance scientifique ? Méthode de conduite de la recherche Méthode de développement User Centered Design Méthode de production et d’analyse Qualitatif / Quantitatif Méthode de conduite des études Protocole / Outils/ Passation / Analyse N.Mandran , LIG/PIMLIG, Novembre 2016- Haiti
MÉTHODE DE RECHERCHE => MÉTHODE DE CONDUITE DE LA RECHERCHE N.Mandran , LIG/PIMLIG, Novembre 2016- Haiti
DEFINITION La méthode de recherche : - processus, propriété du processus pour conduire la recherche - Méthodes : - Design Based Research (Wang et Hannafin), - Dialogical Model (Avenier), - Design science (Hevner), - THEDRE (Mandran) N.Mandran , LIG/PIMLIG, Novembre 2016- Haiti
MODELE : THEDRE N.Mandran 2016 à publier N.Mandran , LIG/PIMLIG, Novembre 2016- Haiti
PLAN Connaissance scientifique ? Méthode de conduite de la recherche Méthode de développement User Centered Design Méthode de production et d’analyse Qualitatif / Quantitatif Méthode de conduite des études Protocole / Outils/ Passation / Analyse N.Mandran , LIG/PIMLIG, Novembre 2016- Haiti
USER CENTERED DESIGN ISO 9241-210:2010, 3 phases : Analyse, Conception, Evaluation Elle concerne la méthodologie de conception et l'intégration de l’humain dans la conception et le développement. Recommandations • Une préoccupation amont des utilisateurs, de leurs tâches et de leur environnement, • La participation active de ces utilisateurs, ainsi que la compréhension claire de leurs besoins et des exigences liées à leurs tâches, • Une répartition appropriée des fonctions entre les utilisateurs et la technologie, • L'itération des solutions de conception : on peut s'imaginer le cycle comme une spirale, une démarche qui boucle et reboucle jusqu'à ce que le système satisfasse aux exigences définies au départ, • L'intervention d'une équipe de conception multi-disciplinaire. N.Mandran , LIG/PIMLIG, Novembre 2016- Haiti
USER CENTERED DESIGN Avantages : - Intégration de l’utilisateur et du contexte dans la conception d’un outil - De procéder par phases successives - Pas de contraintes sur les méthodes à employer Proposition Mandran et al 2013 Analyser ou explorer ? : • TLFI : « explorer » : parcourir et/ou examiner de fond en comble pour découvrir quelque chose, « analyser » : décomposer un tout en ses éléments de manière à le définir, le classer, le comprendre Conception ou co-construction ? • Conception, un terme utilisé dans de nombreux cycles d’ingéniérie, le coté collaboratif absent du terme conception . • La co-construction introduit la collaboration et le pluridisciplinaire. Evaluation ? • Evaluer l’artefact et non pas valider • Valider => finalité • Evaluer un continum N.Mandran , LIG/PIMLIG, Novembre 2016- Haiti
DCU : LES 3 PHASES EXPLORER, CO-CONSTRUIRE, EVALUER Pourquoi faire ? A quel moment du développement de l’application ? ` Avec qui ? Comment faire ? Avec quoi ? N.Mandran , LIG/PIMLIG, Novembre 2016- Haiti
DCU : LES 3 PHASES DÉVELOPPEME POURQUOI ETAPES UCD NT DE AVEC QUI ? COMMENT ? FAIRE ? L’APPLICATION Comprendre et faire l’analyse des observer sur le EXPLORER Utilisateurs finaux besoins, des terrain, discuter attentes Maquette ou CO- Faire un travail de Utilisateurs et faire des réunions prototype CONSTRUIRE co-conception concepteursss de groupes interactif Prototype faire des tests EVALUER Tester l’application interactif ou une Utilisateurs utilisateurs application N.Mandran , LIG/PIMLIG, Novembre 2016- Haiti
PLAN Connaissance scientifique ? Méthode de conduite de la recherche Méthode de développement User Centered Design Méthode de production et Qualitatif / Quantitatif d’analyse Protocole / Outils/ Passation / Méthode de conduite des études Analyse N.Mandran , LIG/PIMLIG, Novembre 2016- Haiti
METHODE DE PRODUCTION N.Mandran , LIG/PIMLIG, Novembre 2016- Haiti
QUALI / QUANTI / MIXED Le Design based Reseaech et le User Centred Design ne focalisent pas sur une seule méthode de production des données. Il faut saisir et comprendre un maximum d’éléments provenant de l’utilisateurs et de son contexte d’évolution. Nécessaire de mixer les méthodes qualitatives et quantitatives. N.Mandran , LIG/PIMLIG, Novembre 2016- Haiti
DONNEES QUALITATIVES Portrait chinois Si les vacances étaient un animal ? Si les vacances étaient une couleur ? N.Mandran , LIG/PIMLIG, Novembre 2016- Haiti
DONNEES QUALITATIVES Quand ? Peu de notions sur ce qui se passe , sur ce que l’on veut observer Pose une question Pourquoi ? Attester de l’existence d’un phénomène Laisser libre cours au discours, au vécu, aux habitudes Recenser un maximum d’usages, de comportements, d’opinions Recueillir une diversité de situations Avoir différents points de vue … Faire échanger des utilisateurs lors de travaux de groupe N.Mandran , LIG/PIMLIG, Novembre 2016- Haiti
DONNEES QUALITATIVES Comment ? Mode de recueil ouvert, qui privilégie le spontané Outils ? Entretiens individuels , de groupes, Des tests de maquettes, des portraits chinois, De l’observation, de l’analyse de tâches, … Quoi ? Audio,Vidéo Des dessins, Des photos, Des carnets de bords Post-it N.Mandran , LIG/PIMLIG, Novembre 2016- Haiti
DONNEES QUALITATIVES Les critiques • Le nombre de sujets restreint • Un matériel lourd à exploiter • Des critères d’analyses « subjectifs » • Pas de données quantitatives ca ne prouve rien Les réponses • Le qualitatif permet d’accéder au sens (Duyck, 2003) et/ou aux représentations. • Permet de comprendre • La manière d’appréhender des notions inconnues • La durée des entretiens permet de connaître en profondeur et avec précision un phénomène • Effectif restreint mais des sujets connus : préconisation de 20 individus • Des outils d’analyses systématiques (caqdas et analyse de discours, de contenu) • Pour les étapes d ’évaluation, permet de comprendre les résultats du quantitatif P.Paille et A.Muchielli, L'analyse qualitative en sciences humaines et sociales, 2012. N.Mandran , LIG/PIMLIG, Novembre 2016- Haiti
DONNEES QUALITATIVES Les outils de production de données Entretien semi- directif Entretien en face à face Guidé par une grille d’entretien élaborée au préalable Environ 1h à 1h30 Enregistrement audio 20 sujets Focus-group ou réunion d’utilisateurs Séances de travail en groupes Guidé par une grille d’animation Organisation d’activités Environ 2h à 2h30 3 focus de 8 personnes Autoconfontation Filmer le sujet pendant une tâche Après la réalisation de la tâche, faire visionner le film au sujet et le faire verbaliser sur ce qu’il a fait Annotations des vidéos Journal de bord et « Social probes » Cerner les habitudes par le quotidien Capturer ce qui forme le quotidien (maison, entreprise,…. ) N.Mandran , LIG/PIMLIG, Novembre 2016- Haiti
DONNEES QUANTITATIVES Sondage d’opinion sur les vacances N.Mandran , LIG/PIMLIG, Novembre 2016- Haiti Source : TNS Sofres, EPIQ 2009.
DONNEES QUANTITATIVES Quand ? Poser une hypothèse Une information à contrôler Pourquoi ? Quantifier Evaluer, valider de manière statistique Comment ? Prise de Mesures Capture des traces lors de l’utilisation d’un logiciel Capture de mouvements (gestuels, visuels, émotionnels, physiologique…. ) Une enquête par sondage Un questionnaire fermé lors d’un test N.Mandran , LIG/PIMLIG, Novembre 2016- Haiti
DONNEES QUANTITATIVES Critiques Ne permet pas de comprendre Le plus souvent pas de méthode d’échantillonnage décrite Des plans d’expérience Le choix des sujets expérience Réponse La seule manière de quantifier La manière d’évaluer, quand on se place dans une posture hypothético-déductive N.Mandran , LIG/PIMLIG, Novembre 2016- Haiti
DONNEES QUANTITATIVES Les outils de production de données Questionnaire Auprès d’un échantillon correctement échantillonné (en socio minimum 500 personnes) Peut-être administré en face-à-face ou en ligne Capture de traces d’activités Avoir une application qui permet de tracer les interactions des utilisateurs Tests utilisateurs Avoir une application sur laquelle on va faire des tests précis Souvent utilisés en IHM, mesure de performance, de précision, erreurs, … N.Mandran , LIG/PIMLIG, Novembre 2016- Haiti
N.Mandran , LIG/PIMLIG, Novembre 2016- Haiti
MIXER LES METHODES DE PRODUCTION METHODE ETAPES UCD OUTILS DONNÉES PRINCIPALE EXPLORER Qualitatives Entretien audio-video CO- CONSTRUIRE Qualitatives Focus groups audio-video Tests Mesures et EVALUER Quantitatives utilisateurs traces N.Mandran , LIG/PIMLIG, Novembre 2016- Haiti
PLAN Connaissance scientifique ? Méthode de conduite de la recherche Méthode de développement User Centered Design Méthode de production et d’analyse Qualitatif / Quantitatif Méthode de conduite des Protocole / Outils/ études Passation / Analyse N.Mandran , LIG/PIMLIG, Novembre 2016- Haiti
METHODE DE CONDUITE DES ETUDES N.Mandran , LIG/PIMLIG, Novembre 2016- Haiti
EXEMPLE : TEST D’UNE INTERFACE SUR TÉLÉPHONE MOBILE Connaitre les habitudes sur les habitudes d’utilisation du téléphone mobile Entretien Réaliser une première tache avec le téléphone mobile Mesure de rapidité , de nombre d’erreurs, … Mesurer l’utilisabilité de l’application Questionnaire d’utilisabilité Réaliser une seconde tâche avec le téléphone mobile Mesure de rapidité , de nombre d’erreurs, … Mesurer l’utilisabilité de l’application avec la seconde tâche Questionnaire d’utilisabilité Debriefing Grille d’entretien N.Mandran , LIG/PIMLIG, Novembre 2016- Haiti
EXEMPLE : APPRENTISSAGE DES ÉLÈVES AVEC UN EIAH Pré test : mesurer les connaissances avant un exercice Questionnaire sur les connaissances Analyser les comportement des élèves avec l’EIAH Capture des traces d’interaction Debriefing avec les élèves Focus-group Questionnaire d’utilisabilité Post-test : mesurer les connaissances après un exercice Questionnaire sur les connaissances Post-test lointain : mesurer les connaissances mémorisées Questionnaire sur les connaissances N.Mandran , LIG/PIMLIG, Novembre 2016- Haiti
PROTOCOLE D’ETUDE => SCENARIO à REDIGER => Protocole expérimental ou protocole de production et d’analyse des données ou protocole d’étude => Recenser l’ensemble des étapes qui vont être conduites pour construire et évaluer la proposition de recherche avec des utilisateurs => Garantir la répétabilité des différentes étapes de l’étude menée N.Mandran , LIG/PIMLIG, Novembre 2016- Haiti
PROTOCOLE D’ETUDE Quelles questions se poser pour rédiger un protocole ? N.Mandran , LIG/PIMLIG, Novembre 2016- Haiti
PROTOCOLE D’ETUDE Quels sont les objectifs de l’étude ? Quel est l’objet qui est concerné par l’étude ? Peut on le découper en sous-objet ? Dans quel état de développement se trouve cet objet, ces sous-objets ? Quels sont les utilisateurs concernés ? Qu’est ce que je peux leur faire tester ? Quelles informations j’attends de leur part ? Quelles mesures je peux prendre ? Quels outils je dois construire pour les interroger ? N.Mandran , LIG/PIMLIG, Novembre 2016- Haiti
PROTOCOLE D’ETUDE Quels sont les objectifs de l’étude ? Quel est l’objet qui est concerné par l’étude ? Peut on le découper en sous-objet ? Dans quel état de développement se trouve cet objet, ces sous-objets ? Quels sont les utilisateurs concernés ? Qu’est ce que je peux leur faire tester ? Quelles informations j’attends de leur part ? Quelles mesures je peux prendre ? Quels outils je dois construire pour les interroger ? Choisir les méthodes de production N.Mandran , LIG/PIMLIG, Novembre 2016- Haiti
PROTOCOLE D’ETUDE A partir de vos travaux, répondez à ces questions et identifiez ensuite les méthodes de production les plus adéquates N.Mandran , LIG/PIMLIG, Novembre 2016- Haiti
PROTOCOLE D’ETUDE DEBRIEFING N.Mandran , LIG/PIMLIG, Novembre 2016- Haiti
PROTOCOLE D’ETUDE Les rubriques 1/2 • Date, auteurs • Décrire le projet global • Décrire l’instrument produit par la recherche qui doit être construit et/ou évalué • Si besoin essayer d’identifier des composants de cet instrument • Décrire les objectifs de l’étude, autrement dit quelles sont les finalités de l’étude par rapport à l’instrument et à ses composants • Rédiger les questions et hypothèses auxquelles l’étude doit répondre • Pour chaque question, identifier les mesures à prendre • Lister les phases de l'étude : • Une phase correspond à une étape pendant laquelle un ou plusieurs composants sont soumis à une étude pour prendre une ou plusieurs mesures et ainsi répondre à des questions ou des hypothèses. • Un seul des états d’un composant peut être étudié par phase. • Déclaration à la CNIL ? N.Mandran , LIG/PIMLIG, Novembre 2016- Haiti
PROTOCOLE D’ETUDE Les rubriques 2/2 • Pour chaque phase • Objectifs de la phase, • Questions ou hypothèses qui seront abordées, • Composants concernés, • Etat des composants avant l’étude (à explorer, à co-construire, à évaluer), • Etat attendu des composants après l’étude (exploré, co-construit, évalué), • Matériel informatique qui pourra être utilisé (prototype, application, … ), • Autre matériel relatif à la proposition de recherche (maquette,dictionnaire, schéma, …), • Méthode de production de données (entretien, captures de traces, … ), • Matériel expérimental à créer (guide d’entretien, questionnaire, … ), • Matériel technique pour collecter les données (caméra, enregistreur, oculomètre, …) • Lieu de passation (labo, in situ … ), • Type et nombre de participants, • Données collectées (traces, audio, video, … ), • Pré-traitement des données (grille de codage, … ) • Méthodes d’analyse des données N.Mandran , LIG/PIMLIG, Novembre 2016- Haiti
PLAN Epistémologie Connaissance scientifique ? Design Based research et Méthode de conduite de la Design science recherche User Centered Design Méthode de développement Qualitatif / Quantitatif Méthode de production et d’analyse Protocole / Outils/ Passation / Méthode de conduite des études Analyse N.Mandran , LIG/PIMLIG, Novembre 2016- Haiti
CONSTRUIRE DES OUTILS DE MESURE N.Mandran , LIG/PIMLIG, Novembre 2016- Haiti
GUIDE D’ENTRETIEN N.Mandran , LIG/PIMLIG, Novembre 2016- Haiti
ENTRETIEN Exemple : Etudier les pratiques des ménages par rapport à leur usage de la télévision et de l’usage des télécommandes. Instrument : une nouvelle télécommande sous forme de prototype => co-construire les fonctionnalités proposées. Mesures à prendre : N.Mandran , LIG/PIMLIG, Novembre 2016- Haiti
ENTRETIEN Comment faire ? Lister les mesures à prendre • Pratiques par rapport à la télévision Contexte • Fréquence d’utilisation de la télévision • Types de programmes regardés • Usage des télécommandes • Avantages de celles déjà utilisées Eléments • Inconvénients de celles déjà utilisées connexes • Améliorations souhaitées • Avis sur la nouvelle télécommande Organiser les mesures par grands thèmes Perception de la nouvelle télécommande, avantages et inconvénients Usage de la télécommande pour la tv, Points précis Opinions sur les télécommandes actuelles , attentes Usage de la télévision et satisfaction Ordonner les questions Le contexte et l’environnement : Fréquence d’utilisation de la télévision Les points connexes : Utilisation des télécommande de manière générale Les points précis de l’étude : avis sur la nouvelle télécommande N.Mandran , LIG/PIMLIG, Novembre 2016- Haiti
ENTRETIEN Comment faire ? Faire une introduction, sur la raison de l’entretien et comment il va se dérouler • Il faut présenter au sujet pourquoi nous lui avons demander de participer à cet entretien • En faisant attention à ne pas lui donner trop d’informations qu’il cherchera à valider pour vous faire plaisir pendant l’entretien • lui indiquer les étapes de l’entretien • Lui dire que c’est votre proposition qui est évaluer et pas lui • Lui dire d’exprimer tout ce qu’il a envie de dire par rapport à la proposition Les questions s’enchainent, pour arriver au point essentiel de l’entretien • Lors de la passation de l’entretien, l’interviewé peut parfois aborder les différents éléments prévus par la grille sans forcément respecter l’ordre que vous avez prévu • Peu importe : l’entretien est semi-directif ce sera l’enquêteur de conduire l’entretien sans pour autant être dirigiste. • Laisser le sujet exprimer ses idées même si elles ne sont pas dans l’ordre de la grille. L’enquêteur doit veiller à ce que tous les points soient abordés. Lors de la rédaction de la grille : envisager tous les cas de figures. • Si le sujet a parlé la télécommande • Si elle n’en a pas parlé La grille doit contenir les remarques pour l’enquêteur • ENQUETEUR : Noter tous les objets cités par le sujet • ENQUETEUR : Faire faire un schéma à la personne pour représenter sa télécommande idéale La grille se termine en demandant les caractéristiques des participants Année de naissance, vous êtes un homme/ une femme, votre profession, niveau d’étude, domaine d’activités, votre type d’habitat, nombre d’enfants … et toutes informations utiles pour répondre à vos questions. N.Mandran , LIG/PIMLIG, Novembre 2016- Haiti
ENTRETIEN Comment faire ? Les domaines qui sont abordés sont parfois complexes pour cela deux possibilités non exclusives : Proposer des constats pour lancer l’entretien Exemple : pour expliquer ce que l’on définit comme un système d’information parallèle Dans les systèmes d’informations des grandes organisations, une majorité des acteurs n'est pas satisfaite du fonctionnement de ces applications. En effet, les utilisateurs directs qui constatent souvent un décalage entre leur travail au quotidien et les applications qu'ils manipulent. Souvent, les évolutions successives de ces applications ne permettent pas de répondre à leur demande. Evolutions qui sont rarement cohérentes et très changeantes. Du coup, certains installent (ou même développent) des applications à usage privé (ou équipe), qui finissent par former un système d’information parallèle qui contient un pourcentage considérable des informations vitales pour l’organisation. Proposer des définitions sur des termes qui ne doivent pas être ambigus Aujourd’hui, on entend beaucoup parler de réseaux sociaux. Dans notre étude, il s’agit des réseaux de type facebook où chacun est libre de déposer des informations qui le concerne et de les partager avec d’autres personnes. L’utilisateur de facebook peut également créer des groupes de personnes auxquels il réservera certains types d’informations . N.Mandran , LIG/PIMLIG, Novembre 2016- Haiti
ENTRETIEN Rédiger les questions Les questions doivent permettre des réponses larges et ouvertes : Vous avez un agenda électronique ? (non) Comment ? Pourquoi ? Qui le fait ? Dans quelles circonstances ? (oui) Ne jamais suggérer de réponses dans les questions Vous pensez que ce dispositif peut-être utile ? (non) Que pensez vous de ce dispositif ? (oui) Poser vous les questions à vous-mêmes Que répondriez vous ? N.Mandran , LIG/PIMLIG, Novembre 2016- Haiti
ENTRETIEN VS QUESTIONNAIRE Généralités Doit comporter une introduction, La structuration reste la même du plus global au plus précis, Les modalités des réponses sont définies, à l’exception des questions ouvertes, Les variables sociodémographiques se situent à la fin. Types de questions Les questions fermées (close-ended question) : les réponses aux questions sont fixées, il n’est pas possible de rajouter des modalités de réponses Questions numériques Combien de voitures possédez vous ? Les question semi-ouvertes (semi-open question): questions pré codées, avec l’option autre qui permet d’ajouter des items de réponse. Quels sont vos sports favoris : Course à pied Ski Natation Vélo Autres précisez Les questions ouvertes (open-ended question) : l’enquêté répond librement, pas de propositions de réponses a priori. N.Mandran , LIG/PIMLIG, Novembre 2016- Haiti
ENTRETIEN VS QUESTIONNAIRE Types de questions Réponse unique sur une échelle de réponse (scale) : Echelle de Likert (Likert scale)La personne interrogée exprime son degré d'accord ou de désaccord vis-à-vis d'une affirmation. L'échelle contient en général cinq ou sept choix de réponse qui permettent de nuancer le degré d'accord. Pas du tout d'accord, Pas d'accord, Ni en désaccord ni d'accord, D'accord, Tout à fait d'accord. Pour les échelles impaires, le niveau central permet de n'exprimer aucun avis, tandis que les échelles paires (par exemple à quatre modalités) sont dites « à choix forcé ». (5) Réponse à choix multiples (multiple-choice questions) : Choix de plusieurs modalités de réponse : (exemple j’utilise mon portable pour 1- Téléphoner 2 - Envoyer des SMS 3- Pour tenir mon agenda, 4-Pour me réveiller, 5- Autres ) À opposer aux questions à choix unique, pas de possibilité de rajouter une modalité de réponse Réponse avec une demande de classement : les réponses sont ordonnées selon une préférence ou un ordre d’importance. : Pour le produit XYZ vous classerez les 3 caractéristiques suivantes en partant de ce vous considérez comme son point le plus fort vers son point le plus faible : Facilité d’utilisation Fiabilité d’utilisation Son prix N.Mandran , LIG/PIMLIG, Novembre 2016- Haiti
ENTRETIEN VS QUESTIONNAIRE Objectif : Etude sur la connaissance et l’utilisation des portables. Deux téléphones doivent être étudiés : ALLO et JECOUTE. Comparaison des fonctionnalités entre les deux téléphones, au niveau des services offerts en version initiale. Connaître l’utilisation de leur portable Connaître la connaissance de ces deux matériels Mesurer les avantages et les inconvénients, Connaître les perspectives d’utilisations Entretien auprès de 20 personnes (10 possédant ALLO et 10 possédant JECOUTE), avec un test de matériel les ALLO testeront JECOUTE et les JECOUTE testeront ALLO Une grille d’entretien : Privilégier le spontané, si besoin suggérer des éléments Rédiger une dizaine de questions Ordonner les questions Comment passer l’idée d’un nouveau téléphone ? Rédiger l’introduction pour le questionnaire Une enquête en ligne 50% possède ALLO et 50% possède JECOUTE Un questionnaire : Rédiger une dizaine de questions Quelles questions socio-démo ? Ordonner les questions Comment passer l’idée d’un nouveau téléphone ? Rédiger l’introduction pour le questionnaire N.Mandran , LIG/PIMLIG, Novembre 2016- Haiti
PLAN Epistémologie Connaissance scientifique ? Design Based research et Méthode de conduite de la Design science recherche User Centered Design Méthode de développement Qualitatif / Quantitatif Méthode de production et d’analyse Protocole / Outils/ Passation / Méthode de conduite des études Analyse N.Mandran , LIG/PIMLIG, Novembre 2016- Haiti
GRILLE DE PASSATION N.Mandran , LIG/PIMLIG, Novembre 2016- Haiti
GRILLE DE PASSATION Objectif : Organiser les différentes étapes d’une phase=> proposition Lister les hypothèses ou questions : Q1 : le dictionnaire proposé est-il compréhensible par tous ? Q2 :est-il complet ? H1 : la représentation graphique est correcte HYPOTHÈSE OU DOCUMENTS ET HEURE HEURE OBJECTIF DE L’ÉTAPE QUESTION ANIMATEUR ACTIVITÉ DONNÉES PRODUITES DURÉE MATÉRIELS ASSOCIÉS DÉBUT FIN CONCERNÉE powerpoint de Paul introduction et tour de table 00:10:00 14:00 14:10 présentation questionnaire sur les pratiques réponse aux Paul questionnaire n°1 00:10:00 14:10 14:20 des experts en GL questions INTRODUCTION Portrait chinois sur la enregistrement Paul 00:10:00 14:20 14:30 conception en GL audio présentation d’un outil de powerpoint de enregistrement Jacques 00:10:00 14:30 14:40 conception présentation audio lecture du dictionnaire de la terminologie en silence, dictionnaire et leurs propositions Q1,Q2 Paul 00:15:00 14:40 14:55 proposition d’un nouveau mot définitions écrites VALIDER LA ou d’une nouvelle définition TERMINIOLOGUE UTILISÉE enregistrements Q1,Q2 Paul confrontation des propositions 00:30:00 15:00 15:30 audio des échanges Montrer les outils graphiques powerpoint de H1 Jacques 00:10:00 15:30 15:40 que l’on souhaite utiliser présentation VALIDER LA les représentations Faire jouer un scénario avec ces les schémas produits REPRÉSENTATION H1 Jacques graphiques en papier/ 00:30:00 15:40 15:10 objets graphiques et les vidéos GRAPHIQUE DES OBJETS stylos/ciseaux colles Jacques et enregistrements H1 Debriefing grille d’entretien 00:20:00 15:10 15:30 Paul audio des échanges N.Mandran , LIG/PIMLIG, Novembre 2016- Haiti
PASSATION Quelques règles pour passer des entretiens ou des focus groups • Introduire pourquoi on est là et comment cela va se dérouler • Ne jamais suggérer les réponses • Prendre des notes • Noter d’autres questions en cours d’entretien sur lesquelles vous pourrez revenir pour relancer l’entretien • Faire des questions ouvertes • Laisser s’installer des silences • Ne reformuler pas • Utiliser le vocabulaire de la personne • Vous êtes là pour écouter pas pour vous justifier • vous vous justifierez à la fin, mais laissez la personne dire ce qu’elle veut dire N.Mandran , LIG/PIMLIG, Novembre 2016- Haiti
SYNTHÈSE A CHAUD Une synthèse même rapidement écrite après un entretien ou une séance de focus group est essentielle , elle permet de gagner du temps lors de l’analyse des données. N.Mandran , LIG/PIMLIG, Novembre 2016- Haiti
PASSATION N.Mandran , LIG/PIMLIG, Novembre 2016- Haiti
PLAN Epistémologie Connaissance scientifique ? Design Based research et Méthode de conduite de la Design science recherche User Centered Design Méthode de développement Qualitatif / Quantitatif Méthode de production et d’analyse Protocole / Outils/ Passation / Méthode de conduite des études Analyse N.Mandran , LIG/PIMLIG, Novembre 2016- Haiti
ANALYSE QUALITATIVE Entretien : Analyse thématique simplifiée Méthode en Sociologie : Exemple Retranscrire les entretiens (1h => 6h) Thème « Utilisation de la télévision » A partir de la problématique et de la grille d’entretien, créer une grille thématique, A partir de la retranscription des entretiens, Thème nouveau « Utilisation que de l’ordinateur » identifier les thèmes qui correspondent à la problématique et aussi les thèmes qui émergent Sous- thèmes de « utilisation de la télévision » Les thèmes sont larges, il convient de créer des sous- « utilisation classique » thèmes « utilisation pour télécharger des films » « utilisation pour voir des photos avec des amis » Chacun des sous-thèmes est illustré par des verbatims Verbatim du sous- thème «utilisation pour voir des (extraits du discours associé au code du sujet ayant photos avec des amis » prononcé de discours) « c’est pour voir les photos que l’on en fait entre potes Synthèse pour chaque thème (S1) » Synthèse globale N.Mandran , LIG/PIMLIG, Novembre 2016- Haiti
ANALYSE QUALITATIVE Entretien : Analyse thématique simplifiée Méthode en Sociologie : Exemple Retranscrire les entretiens (1h => 6h) Thème « Utilisation de la télévision » A partir de la problématique et de la grille d’entretien, créer une grille thématique, En écoutant les entretiens, identifier les thèmes qui Thème nouveau « Utilisation que de l’ordinateur » correspondent à la problématique et aussi les thèmes qui émergent Sous- thèmes de « utilisation de la télévision » Les thèmes sont larges, il convient de créer des sous- « utilisation classique » thèmes « utilisation pour télécharger des films » « utilisation pour voir des photos avec des amis » Chacun des sous-thèmes est illustré par des verbatims Verbatim du sous- thème «utilisation pour voir des (extraits du discours associé au code du sujet ayant photos avec des amis » prononcé de discours) « c’est pour voir les photos que l’on en fait entre potes Synthèse pour chaque thème (S1) » Synthèse globale N.Mandran , LIG/PIMLIG, Novembre 2016- Haiti
ANALYSE QUALITATIVE Entretien : Analyse thématique simplifiée Thèmes Catégorie Exemple Suivi du travail suivi du travail de l'élève "là ca claque" "ouh là, mon bonhomme le dipole est pas iden;que" suivi du travail d'un sous groupe (au moins deux) « Y a quand même un taux important… y a quand même déjà trois Autre Exemple : élèves qui… qui la refont fait griller une deuxième fois quoi » suivi du travail de la classe "ils font tous la même chose" "la classe a fini" Commentaire commentaire, recul sur le travail de l'élève « Ouais donc André, celui qui avait du mal qui meLait le mauvais sens des résistances » commentaire, recul sur le travail d'un sous groupe (au moins deux) « ils ont presque tous fermé l'interrupteur en premier pour voir comment elle fonc;onnait déjà à la base » commentaire, recul sur le travail de la classe Diagnos;c Diagnos;c connaissance de l' élève "Ouais lui il a compris tout de suite que c'était le même " Diagnos;c connaissance d'un sous groupe (au moins deux) "Donc on peut que pour ceux là ça nous donne vraiment une indica;on sur... ouais sur leur connaissance des lois et leur u;lisa;on quoi" Diagnos;c connaissance de la classe Compréhension de Compréhension de l'énoncé c'est là que, ouais ça permet de voir notamment aussi ceux qui ont des… l'énoncé et des consignes des difficultés dans les lectures de consigne Respect des consignes caractéris;ques nominales de la lampe Toutes les caractéris;ques physiques sont bonnes, y a juste le nom qui est… qui est pas bon quoi Nom de la lampe indiqué ou non par l'élève Toutes les caractéris;ques physiques sont bonnes, y a juste le nom qui est… qui est pas bon quoi remarques du prof sur le recul du prof sur l'exercice proposé à l'élève "Cet exercice est trop dur, finalement la consigne est mal posée" contenu de l'exercice remémora;on sur l'exercice « Alors le résultat du 3 c'est combien? 70? Je sais plus…. 95. », « Les dipôles ne sont pas iden;ques » Tâche de suivi faite par le Commentaire sur le suivi « Alors on va aller voir la séance non l'étape » prof logiciel et ihm Incompréhension sur ce qui se passe "je ne comprends pas ce que le logiciel m'affiche" je ne comprends pas ce que je vois, le logiciel me dit que" Commentaires sur le logiciel « Donc ça veut dire que ceux qui ont mis rouge ils ont validé et on leur a dit que c'était faux. » u;lisabilité "la c'est pas pra;que", "comment je reviens sur la page d'avant" , "je vois pas l'ensemble de la classe" Autres Autres "oh il fait chaud ici" N.Mandran , LIG/PIMLIG, Novembre 2016- Haiti
ANALYSE QUALITATIVE Schéma Créer une grille d’analyse pour savoir ce qui doit être repérer par rapport à la problématique Photographier chacune des productions Repérer les ressemblances/les différences entre les représentations Repérer ce qui confirme les objectifs de l’étude Repérer les apports de la représentation des sujets par rapport à la proposition Visionner et écouter les films Conduire une « analyse thématique simplifiée » N.Mandran , LIG/PIMLIG, Novembre 2016- Haiti
ANALYSE QUALITATIVE Video Créer une grille d’analyse pour savoir ce qui doit être repérer par rapport à la problématique. Utiliser des logiciels d’annotations de video Analyser les annotations Statistiques descriptives Extraction de verbatims Faire une synthèse N.Mandran , LIG/PIMLIG, Novembre 2016- Haiti
ANALYSE QUALITATIVE Points forts et Points faibles Outil : Grille qui liste les éléments relatifs à une proposition et qui à deux colonnes une pour noter les points forts et l’autre les points faibles Remarque : Outil de production pour une situation expérimentale où le nombre de personnes est réduit. Table Number : First and last name : List the strengths and Exemple : weaknesses on the following Strengths Weaknesses the work performed with the + - method the collaborative work + - enabled with the method The creativity enabled with + - the method the serious gaming of the + - method The software compared to + - card game N.Mandran , LIG/PIMLIG, Novembre 2016- Haiti
ANALYSE QUALITATIVE Points forts et Points faibles Méthode : Saisir l’ensemble des réponses : Ligne=participants, Colonnes = réponse aux questions, 2 colonnes par éléments N.Mandran , LIG/PIMLIG, Novembre 2016- Haiti
ANALYSE QUALITATIVE Points forts et Points faibles Méthode : Faire une « analyse thématique simplifiée » et une synthèse N.Mandran , LIG/PIMLIG, Novembre 2016- Haiti
ANALYSE QUALITATIVE Points forts et Points faibles Faire l’exercice par groupe avec la grille points forts // points faibles du focus group d’Autrans Jean Philippe Pernin, Christelle Mariais, Florence Michaud et Nadine Mandran Donner l’article avec la problématique, les études et les résultats et lien aussi sur la thèse de Christelle N.Mandran , LIG/PIMLIG, Novembre 2016- Haiti
ANALYSE QUANTITATIVE Cycle de vie des données => importance du pré-traitement Echantillon Type de variables => quali/quanti/ordinales Rôles des variables => explicatives et à expliquer Règles de décision sur le choix de la méthode N.Mandran , LIG/PIMLIG, Novembre 2016- Haiti
ANALYSE QUANTITATIVE Cycle de vie des données Préparer l’étude Analyser les données Valider les données Préparer la collecte c Interpréter les résultats Enrichir les Collecter les données données Communiquer les résultats N.Mandran , LIG/PIMLIG, Novembre 2016- Haiti
ANALYSE QUANTITATIVE Cycle de vie des données Préparer l’étude Analyser les Valider les données données Préparer c la collecte Interpréter Enrichir les données les résultats Collecter les données Communiquer les résultats N.Mandran , LIG/PIMLIG, Novembre 2016- Haiti
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