Natalia JaiMe-Cortez Marée basse - Galerie Gratadou / Galerie Convergences

 
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Natalia JaiMe-Cortez Marée basse - Galerie Gratadou / Galerie Convergences
Natalia JAiMe-Cortez
                    Marée basse

 Galerie Gratadou / Galerie Convergences
                                    2022   1
Natalia JaiMe-Cortez Marée basse - Galerie Gratadou / Galerie Convergences
Natalia JaiMe-Cortez Marée basse - Galerie Gratadou / Galerie Convergences
Natalia JAIME-CORTEZ
                        Marée basse

   Galerie Gratadou / Galerie Convergences
                    10 mars∣02 avril 2022
Natalia JaiMe-Cortez Marée basse - Galerie Gratadou / Galerie Convergences
Elle est partie où la mer ?
    C’est le vacarme de la lune.

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Natalia JaiMe-Cortez Marée basse - Galerie Gratadou / Galerie Convergences
Sans titre, 2021, encre sur papier, assemblé et déposé sur tige de métal, 80x105 cm

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Natalia JaiMe-Cortez Marée basse - Galerie Gratadou / Galerie Convergences
Sans titre, 2021, encre sur papier, assemblé et déposé sur tige de métal, 43x49 cm

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Les pieds dans le ciel1
Natalia, c’est toujours comme ça que je t’imagine.
« Rien qu’un corps pour l’eau et le soleil. »2

Je te vois dans l’eau, parce que je t’ai rencontrée à bord de ses plis.
Il restait de là, poussière coincée entre ses pas. Dans l’inclinaison du sol de
ton atelier. Elle est tombée du ciel. Cette eau. Et tu lui as donné comme la
manne, l’air du sacré. C’est avec elle que tu fais, comme au butō, d’état en
état tout transformer.
Dans la chorégraphie des corps effacés, dans tes surfaces mystères plus
grandes que les fleuves. Et pourtant ce n’est que du papier. Inlassablement
le même papier. Depuis des années le même papier. Je me dis que c’est
une histoire d’amour comme dans les contes insensés. J’aime y voir une
voile tendue, par le fracas des bourrasques, mal attelée.
Il te suit alors que tu vis jouissance de le déchirer. Tu me dis que tu as tout
essayé. Mais c’est sûr, c’est bien lui, il attend sa calligraphie. Désespéré. Le
sésame pour se déployer. En le plongeant dans l’encre, tu le noies dans la
masse encore paisible des mots. Lui fais écrire silence dans bain d’écume.
Exhaler dans la lie sa peine.
Fluide, aujourd’hui est devenu un mot vanitondé, gargarisé et toi tu le
saisies en toute impunité. Tu n’aimes pas la colle. Tu ne veux plus butter
contre les lignes fossés. Tu as trouvé comment l’effleurer et le pétrir, sans le
rendre altier. En lui offrant ce qu’il te donne, t’en-gorger. Ton eau n’est pas
trouble Natalia, elle est couleur défaussée. Tu m’as dit que tu la voulais
franche. Tu es passée du pâle au tranché.
Tu la traverses pour réunir ses rives. Tu sais que tu n’y arriveras jamais.
Alors, tu patauges dans ses lisières. Dans ses franges que l’on croit
évidées. Et te plais à le faire comme enfant à la pelle des châteaux. Tu
coupes, découpes, déchires, détrempes. Mais ne recoupes jamais. Tu
assembles vite, vite, excitée avant que le jour ne s’allonge pour la soirée.
Et eux, tes papiers, ont silence gardé. Pendus à leur archet. Vibrants
acharnés. Ils sont des pans, ils sont des pleins, comme dessinant la
marée, ils font sillons. Ces papiers pliés ont parcouru quelques eaux du
monde entier. Et toi, encore à t’amuser d’eux comme des marées. Tu
joues de la bassine pour incliner l’onde arrêtée.
Et puis l’eau s’est retirée.

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La terre, je me demande si tu t’en es émancipée parce que tu sais qu’elle
    est territoire et obsession propriété. En graines de sol, elle se faufile pour
    combler le moindre trou de liberté. Tu sais que c’est dans les mers. La
    mer, quand elle relève sa paupière, son sable est limon enfoui par corps
    chassie. Éclats vivants et morts amers. Ici le soleil traine sans distinction.
    Joue à la bascule. Comme toi, en dérision, il aime à y rester sans jamais
    s’y noyer.
    Ce sont des peaux que tu fais apparaître à force de les tanner. Je dis
    ça parce que dans ton atelier, j’ai eu des sensations tannerie, notes
    de daim, délicates fleurent ici Peut être une mercerie. J’ai pensé à une
    drôle d’imprimerie aussi. Même de près, il fallait toucher pour voir papier.
    C’est une façon de parler, parce que tu ne les tannes pas tes papiers, tu les
    impressionnes avec encre, les trempes, arriccio-sinopia-intonaco-giornaté.
    Une fois imprégné, ce papier-peau prendrait ton relai façon corps-lambeaux ?
    Papiers découpés. Matisse est dans l’espace. Dessine, figure et assemble
    sur l’immaculé blanc. Dans l’atelier, tu es dans le temps, ses impres-
    sions et son recouvrement. Pour exposer, de toutes pièces tu fabriques
    l’espace avec le papier. Tu m’as encore dit : là, je suis dans le présent, ce
    n’est plus une couleur qui s’efface ou revient comme la marée, ici c’est
    franc. Horizontal et pas plan mais plat comme le sable de l’eau qui se
    retire et se tend dans l’estran.
    Tu préfères le transitoire et les formes alluvions. En suspension, ses corps
    Matisse –, dansent ou lévitation ; toi tu dessines la chute, construis la
    chute, ériges les chutes. Il n’est pas question de contrer la gravité avec
    s’effeuiller. Ce que je veux dire aussi c’est que tu crées ce qui habituelle-
    ment est en reste, l’existant voué à disparaître. Tu commences là où ça
    devrait terminer.

    Claire Luna, mars 2022

    1 Emanuele Coccia, « Les pieds dans le ciel », in Libération, chronique Points de vie, 19

    septembre 2021.
    2 Antoine Wauters, Mahmoud ou la montée des eaux, Verdier, 2021, p.25.

    Paravent desombre, 2022, encre sur papier, assemblé et déposé sur structure de métal pliable, 200x170x40 cm

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Sans titre, 2021, encre sur papier, assemblé et déposé sur tige de métal, 30x33 cm
Page de droite : 70m2 de bleu, portant, 2021. Vue d'exposition, 2021, Prieuré Saint-Cosme

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Sans titre, 2021, encre sur papier, assemblé et déposé sur tige de métal, 47x67 cm, 55x57 cm, 49x63 cm

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Atmos 1, 2021, encre sur papiers népalais et thaïlandais, collage, 64x51 cm

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Butinage, 2020, encre sur papier assemblé, environ 35 cm de hauteur

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Sans titre, 2021, encre sur papier, assemblé et déposé sur tige de métal, 64x60 cm

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Portant carré, 2021, vue d'exposition, 2021, Les portants, Prieuré Saint-Cosme, Tours

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70m2 de bleu, 2019, encre sur papier plié, 18x18x24 cm

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Sans titre, 2021, encre sur papier, assemblé et déposé sur tige de métal, 40x41 cm
Pages suivantes, vue de l'exposition Les portants, 2021, Prieuré Saint-Cosme, Tours.

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Sans titre, 2021, encre et pigments sur papier, 35x35 cm

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Atmos 17, 2021, encre sur papiers népalais et thaïlandais, 64x51 cm

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Butinage, 2020, encre sur papier assemblé, environ 35 cm

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Sans titre, 2021, encre et pigment sur papier, collage, 35x35 cm

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Sans titre, 2021, encre et pigment sur papier, collage, 35x35 cm

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Atmos 8, 2021, encre sur papiers népalais et thaïlandais, 64x51 cm

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Atmos 5, 2021, encre sur papiers népalais et thaïlandais, 64x51 cm

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Car c’est dans l’invisible que le vivant habite à bien des égards. (…) Les
naturalistes et les artistes répondent à cette part d’invisibilité du vivant
par une démarche partagée : celle d’enquêter sur leur part visible, à
savoir, leurs corps. Chacun le fait à sa manière, mais il y a cette même
conviction que les corps sont des portes vers l’invisible.

Estelle Zhong Mengual « Naturalistes et artistes sortent la nature du
mutisme ». Extrait d’un entretien avec Nicolas Truong « Les penseurs du
vivant.» Le Monde du 31.07.21

           Sans titre, 2021, encre et pigment sur papier, collage, 35x35 cm

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Sans titre, 2021, encre et pigment sur papier, collage, 35x35 cm
     Page de droite : Sans titre, 2021, encre sur papier, assemblé et déposé sur tige de métal, 105x53 cm

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Natalia Jaime-Cortez – Le pliage comme dess(e)in
     Extrait du texte de Louis Doucet, 2016.

     Vient ensuite l’opération de trempage. {…} Ce processus
     d’infiltration vitale, d’imprégnation génésique qui a pour
     objectif que de recréer un monde, n’est autre que celui
     qu’évoque Anchise quand le héros troyen vient rencontrer
     son père, au-delà du Styx, dans le livre VI de l’Énéide :

     Dès le principe des choses, un esprit de vie alimente
     intérieurement le ciel et les terres, et les plaines liquides,
     et le globe lumineux de la lune, et l’astre titanien,
     et cette âme infiltrée à travers les membres
     agite toute la masse et se mêle au grand corps de l’univers.*

     On pense aussi à Cendrars, quand il écrivait : « Je ne trempe pas ma
     plume dans un encrier mais dans la vie. » Ce processus d’immer-
     sion n’est pas celui d’un quelconque baptême qui purifierait de
     fautes supposées, mais une appropriation – une sorte de phago-
     cytage – d’un environnement matériel, la résultante d’un choc
     entre deux univers, entre le solide et le liquide, entre le compact
     et le diffus... Mais aussi entre une réalité prégnante et un univ-
     ers en devenir qui emprunte et détourne certains éléments du
     réel... Le bain peut être réduit à sa plus simple expression puis-
     que, dans Mékong, 2016, il ne s’agit que des eaux plus ou moins
     boueuses de six lieux différents du delta du fleuve. Ce bain n’est
     donc pas rédempteur mais révélateur, au sens photographique
     de ce terme. On peut y voir aussi, même si l’artiste s’en défend, les
     traces d’un exercice mémoriel, le désir de conserver une trace d’un
     éphémère, d’un temps évanescent, à la manière d’un instantané
     photographique, mais qui n’exclut pas une certaine préméditation.

     *Vers 724-727

        2021, papier plié trempé dans le fleuve Loire lors de la performance Confluences
     2021, photographie argentique, papier tout juste trempé à marée basse dans la Manche
            lors des grandes marées. Papier ouvert 4m20x2m80, papier plié 15x15x10
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Natalia Jaime-Cortez
                       est née à paris en 1983.

                       Etudiante à l’École Nationale Supérieure des Beaux-
                       Arts de Paris (atelier Richard Deacon), Natalia Jaime-
                       Cortez découvre le Butō* auprès de la danseuse Maki
                       Watanabe. Cette rencontre décisive l’amènera à éla-
                       borer une pratique où le corps a une place centrale.

                       Elle développe depuis plus de 10 ans un travail plas-
                       tique autour du papier, de la couleur et de l’espace
                       tout en ayant une pratique de la performance et de
                       la vidéo.

      C’est au travers de l’installation de ses papiers et dans un réper-
      toire de gestes comme celui, récurrent, de « tremper » que Natalia
      Jaime-Cortez met en lumière la présence du corps au sein d’une
      couleur ou d’un paysage.**

      L’eau traverse toute son œuvre : sa liquidité, son écoulement, son
      évaporation et aussi son absence. Cet élément originel et vital
      irrigue ce qui se pense au sein de ses gestes et ce qui se donne à
      voir dans cette matière-couleur picturale qui infuse le papier et le
      transforme.

      En janvier 2021, elle imagine le projet 72% de Terre est recouverte
      d’eau. Reprenant un geste qu'elle a inauguré en 2016 dans les
      eaux du Delta du Mékong, elle confie un papier plié à d’autres
      artistes afin qu'ils.elles le trempent sur le site de leur choix. Cette
      aventure au long cours se veut porteuse d’énergie et de lien :
      chaque papier est trempé par plusieurs artistes dans différentes
      eaux, pour une porosité des eaux et une alliance symbolique des
      artistes, unis par ce geste à travers le monde. Natalia Jaime-Cor-
      tez interroge l’eau, qui nous sépare et nous relie à la fois, et qui
      façonne géologiquement, économiquement et politiquement
      notre monde. Les papiers deviennent de mystérieuses reliques
      contenant l’impalpable et l’immatériel voyage. Tout en restant
      particulièrement simples, et même dérisoires, ils acquièrent la
      puissance d'objets chargés de mythes.
      *Butō: Le terme japonais butō est composé de deux idéogrammes ; le premier,
      bu, signifie « danser » et le second, tō, « taper au sol ». Le butō est une danse
      née au Japon dans les années 1960. Cette « danse du corps obscur » s'inscrit
      en rupture avec les arts vivants traditionnels du nô et du kabuki.
      **Court texte de Emma Bourgin.

     Paravent 1, 2021, encre sur papier thaïlandais déposé sur paravent pliable, 170x75x2 cm
                    Vue d'exposition, Les portants, Prieuré Saint-Cosme, Tours
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Expositions personnelles - Performances

     2021 Confluences Performance. Les assemblées du parlement de
     	Loire - Polau Les portants Prieuré Saint-Cosme, Commissaire
     	Anne-Laure Chamboissier, Tours

     2020   Butinages, Galerie Réjane Louin, Locquirec

     2019   Performance Séminaire art et antipsychiatrie, INHA,
            Commissaire Sandrine Meats

     2018   Journée, Galerie Modulab, Metz, Commissaire Camille Paulhan

     2017   Petits formats, Galerie Gratadou-Intuiti, Paris

     2016   L’art dans les Chapelles, Pontivy
            Papiers,Château de Ratilly, Yonne
            Pans, Galerie Vincenz Sala, Paris

     2015	Artiste FOCUS, Galerie Vincenz Sala, Salon Drawing Now

     2014   Face aux dos, Musée Départemental Matisse, Le Cateau

     2013   L’entre deux, Musée des dentelles et broderies , Caudry. Pli,
            Galerie Vincenz Sala, Paris

     Expositions collectives – Performances

     2021   En découdre, Galerie B.A.R. Roubaix. Commissaire Clotilde
            Boitel
            Pénélope à la pêche, Galerie Réjane Louin Peinture,
            Commanderie des Templiers

     2020   Traumatic lines, Galerie Vincenz Sala, Berlin
            Performance au Mac Val, Vitry-sur-Seine

     2019   Exposition d’été, Galerie Réjane Louin, Locquirec

     2018   10 ans déjà, Galerie Réjane Louin,Locquirec Quartet, Galerie du
            Buisson, Paris

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2017      Plié+Déplié, Galerie Réjane Louin, Locquirec L’inventaire des
          brouillards, Galerie Graphem, Paris
          Deux temps trois mouvements, Le Radar, Centre d’art de
          Bayeux Votre âme est un paysage choisi, Kogan Gallery, Paris
          Electric night vol 16, Palais des paris, Tokyo, Japan
          Salon du dessin, 6B, Paris

  Inconnaissance, 6B, Paris
2016
  Drawing Now, Performance au Silencio , Paris
	Texture de l’art contemporain, Musée Saint-Roch, Issoudun

2015 24h de la Parformance, Le Générateur, Paris
	L’inaugure, Performance Galerie Vincenz Sala, Paris
     CorpssproC, Fondation Zervos

2014      Prix jeune création, Atelier Blanc, Saint-Rémy
          Jeune Création, 104, Paris
          Venice experimental cinema and performance art festival,
          Palazzio Ca’Zanardi

2013      ICI/ Performance
          Festival de performance INACT, Strasbourg

Résidences – Bourses

2020-21   Les arcades, Ecole d’art d’Issy les Moulineaux
2019-20   Prieuré Saint-Cosme, Tours
2018      Echangeur 22- Saint-Laurent des Arbres
2016      Domaine de Kerguehennec
2015      Musée Saint Roch d’Issoudin
2013      Coup de pouce à L’H du Siège - Valenciennes

AUTRES
Création et direction du festival Still Moving Festival de performances et
pratiques In Situ
2012-13 Jardin d’Alice, Paris
2015      Carte blanche pour la Galerie Vincenz Sala, Paris
2018      Carte blanche pour le Théâtre de l’étoile du nord, Paris

DNSAP- Diplôme National Supérieur d’Arts Plastiques des Beaux Arts
de Paris – Atelier Richard Deacon- 2007

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Photos :
     Richard Muller
     Christophe Rimbault (P 20-21)
     Esmeralda Da Costa (P 17)
     Ghislain Pellicano (P 33)
     Alexandre Perrot (P 34)
     Yane Agius Jaime-Cortez (en couverture verso)

     Texte :
     Claire Luna

     Graphisme :
     Élizabeth Barbosa

     Natalia Jaime-Cortez adresse ses chaleureux remerciements à :

     Yane Agius Jaime-Cortez, Chechu Alava, Elyette Ben Aych,
     Doan Biraud, Anne-Laure Chamboissier, Annie Combelles,
     Margaux Derhy, Annick et Louis Doucet, Amélie Du Chalard,
     Carole Dupin, Sylvie Fontaine et la revue Artaïs, Lili Garcia
     Gomez, Marie Gayet, Valérie Grais, Christophe Gratadou,
     Vincent Guidault, Noria Larose et Isham Fleury, Réjane Louin,
     Claire Luna, Marie Marfaing, Loïc Pantaly , Alexandre Perrot,
     Amélie Pironneau, Thai Ha Tran Dinh, Baptiste et Maud Rio,
     Carole Stromboni et Marie Werner.

     Le catalogue est publié par la Galerie Convergences
     et la Galerie Gratadou à l'occasion de l'exposition
     de Natalia Jaime-Cortez,
     Marée basse
     du 10 mars au 2 mars 2022

     Galerie Convergences
     22, rue Coutures-Saint Gervais, 75003 Paris
     06 24 54 03 09
     graisvalerie@yahoo.fr
     www.galerieconvergences.com

     Galerie Gratadou
     12, rue de Thorigny, 75003 Paris
     06 82 83 26 29
     christophe@galeriegratadou.com
     www.arthome-galeriegratadou.com

     © Galerie Convergences, Paris 2022
     © Galerie Gratadou, Paris 2022

     Au dos : Per formance Confluences, 2021

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10,00€
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