Philip-Lorca DICORCIA - Head #1, 2000 - Luc Bellier
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Philip-Lorca DICORCIA - Head #1, 2000 - Édition de 10 Description universelle de Luc Bellier, expert à Paris et membre de la CNE en date du 22/09/2020
Philip-Lorca DICORCIA - Head #1, 2000 - Édition de 10 Description universelle de Luc Bellier, expert à Paris et membre de la CNE en date du 22/09/2020 Philip-Lorca DICORCIA Nationalité : Américaine Date et lieu de naissance : 1951, Hartford, Connecticut Vit et travail à : New York City, U.S.A Titre de l’oeuvre : Head #01 Date : 2000 Technique : tirage Fujicolor cristal monté sur Plexiglass Dimensions : 122,5 x 152,5 cm - 48 x 60 inches Encadrement selon les directives de l’artiste : Finition : Érable avec une couche de graphite noir Pas de bordures ni de passe-partout (à fond perdu/à fleur de cadre) Face de 2,54 cm x profil de 5,08 cm Entretoises de 1,5875 cm teintées pour correspondre au cadre Photographie montée sur dibond Signature : signée Philip Lorca Dicorcia à l’encre au verso sur une étiquette PACE/MACGILL GALLERY Édition : d’une édition de 10, non numérotée, référencée PL. 187.2 Provenance : Philip-Lorca Dicorcia PACE/MACGILL GALLERY, New York Galerie Almine Rech, Paris Luc Bellier, Paris Expositions : Galerie Almine Rech, Philip-Lorca DiCorcia : Heads, 27 oct – 2 déc 2001 Paris, Bellier, Photographies, 8 juin-23 juillet 2004 Paris, Prisme, Cape Fear, exposition du 20 novembre au 12 janvier 2019 Collections Publiques : Birmingham Museum of Art, Alabama Deutsche Börse Photography Foundation, Frankfurt Fundación Helga de Alvear, Cáceres, Spain Whitney Museum of American Art, New York Historique d’exposition pour Head #1 de Philip-Lorca diCorcia: New York, Pace/MacGill, Philip-Lorca diCorcia: Heads, September 6 - October 13, 2001; exhibi- tion catalogue (published by Steidl, Göttingen, Germany and Pace/MacGill, New York; text by Luc Sante), cover, n.p., illustrated. - Stockholm, Magasin III, Philip-Lorca diCorcia, September 18 - December 12, 2004. - Boston, Institute of Contemporary Art, Philip-Lorca diCorcia, June 1 - September 3, 2007; exhibi- tion catalogue (edited by Bennett Simpson; published by the Institute of Contemporary Art, Boston and Steidl, Göttingen, Germany), not illustrated. - Los Angeles, Los Angeles County Museum of Art, Philip-Lorca diCorcia, May 23, 2008 - September 14, 2008. - New York, Whitney Museum of American Art, Legacy: The Emily Fisher Landau Collection, February 10 - May 1, 2011; traveled to West Palm Beach, Florida, Norton Museum of Art, February 21 - June 2,
Philip-Lorca DICORCIA - Head #1, 2000 - Édition de 10 Description universelle de Luc Bellier, expert à Paris et membre de la CNE en date du 22/09/2020 2013; Ridgefield, Connecticut, The Aldrich Contemporary Art Museum, Legacy: Photographs from the Emily Fisher Landau Collection, June 8 - September 2, 2013; Omaha, Nebraska, Joslyn Art Mu- seum, September 28, 2013 - January 5, 2014; Grand Rapids, Michigan, Grand Rapids Art Museum, February 2 - April 27, 2014; San Jose, California, San Jose Museum of Art, June 5, 2014 - September 14, 2014 (work exhibited in New York and Ridgefield only); exhibition catalogue (edited by Dana Mil- ler; texts by Donna De Salvo and Joseph Giovannini; published by the Whitney Museum of American Art, New York and Yale University Press, London and New Haven), p. 79, illustrated. - New York, Fisher Landau Center for Art, Legacy: Photographs from Emily Fisher Landau’s Gift to the Whitney Museum of American Art, November 1, 2013 - March 31, 2014. - Frankfurt, Germany, Schirn Kunsthalle, Philip-Lorca diCorcia: Photographs 1975-2012, June 20 - September 8, 2013; exhibition catalogue (edited by Katharina Dohm, Max Hollein and Hendrik Driessen; text by Geoff Dyer), p. 109, illustrated. - Paris, Almine Rech, Group Show, January 12 - February 2, 2013. - Madrid, Centro de Arte Alcobendas, Philip-Lorca diCorcia: El lenguaje del narrador, April 29, 2014 - July 5, 2014; exhibition catalogue (text by Lorena Martinez de Corral; interview with Philip-Lorca diCorcia by Christoph Ribbat), p. 51, illustrated. - Cincinnati, Ohio, Cincinnati Art Museum, Eyes on the Street, October 11, 2014 - January 4, 2015. - New York, Whitney Museum of American Art, Human Interest: Portraits from the Whitney’s Collec- tion, April 2, 2016 - April 2, 2017. - Peoria, Illinois, Peoria Riverfront Museum, Vantage Points: Contemporary Photography from the Whitney Museum of American Art, September 14 - November 10, 2019; forthcoming travel to Roanoke, Virginia, Taubman Museum of Art, July 10, 2021 - October 10, 2021. - Vienna, Albertina Museum, American Photography, June 10 - August 23, 2020; exhibition cata- logue (forthcoming). Bibliographie sélective : Luc Sante, DiCorcia, Heads, New York, Seidl Box Pace Mac Gill, 2001, s.p. Birmingham Museum of Art: Guide to the Collection (Birmingham, Alabama: Birmingham Museum of Art, 2010), p. 264, illustrated. Presse : The New York Time, 14 September 2001, Michael Kimmelman Philip Lorca diCorcia: What happened between Streetworks and Heads ?, Oturn ,Art and writing practice and theory—and rug analyses,23 February 2003
Philip-Lorca DICORCIA - Head #1, 2000 - Édition de 10 Description universelle de Luc Bellier, expert à Paris et membre de la CNE en date du 22/09/2020 HEAD#1 est l’un des plus brillants accomplissements du portrait photographique des dernières dé- cennies. En l’occurence là où la magie s’opère par le fait d’une inspiration supérieure. Phillip-Lorca diCorcia a réalisé beaucoup de clichés. Tous n’ont pas pour objectif d’être équivalents en « qualité » mais contiennent toujours cette étonnante valeur du sentiment « cinémato- graphique » . Sur sa vaste production on pourrait établir un parallèle avec Picasso tant le démiurge avait cette nécessité unique de produire des oeuvres comme chacun doit respirer, et par certaines périodes il atteignait ce nirvana qui n’est plus humain, et n’est de Pi- casso que pour son génie légendaire, mais est aussi et surtout le produit du mystère de l’art. Depuis vingt ans que je la possède, je peux affirmer que HEAD#1 relève de cette mystérieuse magie. Qui est cet homme ? Que nous inspire-t-il ? Malgré tous les apparats d’une élégance inusité, quelle est donc l’origine de cette sourde et vibrante inquiétude, perceptible par la bouche entrouverte, le strabisme divergent, dans ce halo lumineux « théâtral»? Et là où tous les hommes ainsi vêtus ne sont pas né noirs, quel a été son destin ? La contemplation de cette image reste le plus noble mais aussi le plus authentique moyen qu’a parfois l’art de nous dicter sa vertu impénétrable. Comme le rap- pelle ce com- mentaire éclairé de Michael Kimmelman: « Les photos de M. diCorcia nous rappellent, entre autres choses, que nous sommes chacun notre petit univers de secrets, et que nous sommes vulnérables. Le bon art vous fait voir le monde différemment, au moins pour un temps, et après avoir vu les nouvelles «Têtes» de M. diCorcia, pendant les prochaines heures, vous ne passerez pas de- vant une autre personne de la rue de la même manière absente.1 Luc Bellier
Philip-Lorca DICORCIA - Head #1, 2000 - Édition de 10 Description universelle de Luc Bellier, expert à Paris et membre de la CNE en date du 22/09/2020
Philip-Lorca DICORCIA - Head #1, 2000 - Édition de 10 Description universelle de Luc Bellier, expert à Paris et membre de la CNE en date du 22/09/2020
Paul Pfeiffer - Goethe’s Message to the New Negroes #1- 2001 Description universelle de Luc Bellier, expert à Paris et membre de la CNE 30/11/2020 https://vimeo.com/406139566
Paul Pfeiffer - Goethe’s Message to the New Negroes #1- 2001 Description universelle de Luc Bellier, expert à Paris et membre de la CNE 30/11/2020 Paul Pfeiffer Nationalité : Américainne Date et lieu de naissance : 1966 à Honolulu, Hawaï, USA Vit et travaille à : à New York, USA Titre de l’oeuvre : Goethe’s Message to the New Negroes #1 Date : 2001 Technique : vidéo, couleur, sans son, format 4/3 sur DVD, diffusée sur mini-écran LCD, monté sur structure en métal Durée : 03:02 mn (boucle) Dimensions : structure en métal, 160cm (longueur de la barre), moniteur (12.7 × 16.5 × 5.1 cm) Édition : 2/6 Signature : Signé et titré sur le DVD PP 11201 Provenance : Atelier de l’artiste The Project, New York, Acquis auprès du Project en 2001 par Luc Bellier, Paris Exposition : Faces in a crowd : The Modern Figure and Avant-Garde Realism, Londres, WhiteChapel Art Galle- ry, 3 déc. 2004 – 27 février 2005 / Castello di Rivoli, Turin, 28 mars – 3 juillet 2005. Collection publique : Whitney Museum of American Art, édition 1/6, achat, avec des fonds du Comité de la peinture et de la sculpture contemporaines en 2001 Expositions personnelles (sélection) UCLA Hammer Museum in Los Angeles (2001) Whitney Museum of American Art in New York (2002) Museum of Contemporary Art in Honolulu (2003) Museum of Contemporary Art in Chicago (2003) Museum of Art at Middlebury College, Vermont (2005) Thyssen Bornemisza Art Contemporary, Kunstzone Karlsplatz Technische Universitat in Vienna (2008). Perspective Machine, BAIBAKOV art projects, Moscow, Russia (2009) The Saints, Nationalgalerie im Hamburger Bahnhof – Museum für Gegenwart, Berlin, Germany (2009) Paul Pfeiffer: In the Zone, Albright-Knox Gallery, Buffalo, NY (2010) Sammlung Goetz, Munich, Germany (2012) The Rules of Basketball: Works by Paul Pfeiffer and James Naismith’s Original Rules of Basketball, Blanton Museum of Art, Austin, TX, USA (2012) Jerusalem, Artangel (2014) Four Horsemen of the Apocalypse, U.S. Embassy, Vienna, Austria (2015) Vitruvian Figure, Museum of Contemporary Art and Design, Malate Manila, Philippines (2015) Paul Pfeiffer: Screen Series, Museum of Contemporary Art Chicago, Chicago, IL, USA (2017)
Paul Pfeiffer - Goethe’s Message to the New Negroes #1- 2001 Description universelle de Luc Bellier, expert à Paris et membre de la CNE 30/11/2020 Ses oeuvres ont également été incluses dans des institutions et évènements majeurs tels que la Bienniale du Whitney Museum (2000), la Biennale de Venise (2001), SITE Santa Fe (2003), The Shapes of Space au musée Solomon R. Guggenheim (2007), ainsi qu’à la Biennale de Sydney (2008). - Note : Réalisée en 2001, juste après la série des Cavaliers de l’Apocalypse, l’oeuvre est une des plus emblématiques de Pfeiffer, marquant l’entrée dans le 21ème siècle. Paul Pfeiffer adresse à travers les nouvelles technologies de représentation digitale des questions liées aux constructions socio-culturelles et au discours post-colonial, souvent abordées par le prisme du sport. Dans sa video Goethe’s Message to the New Negroes (2001), Pfeiffer utilise des extraits de joueurs stars de la NBA de l’époque de Michael Jordan en pleine action, dont il manipule les images en fondant les visages les uns dans les autres comme dans une course folle. Le titre de l’oeuvre est emprunté aux écrits de Léopold Sédar Senghor. L’artiste y explore la définition de l’identité noire formulée par Senghor à travers ses valeurs fondamentales : détermination, endurance, esprit de communauté et profonde empathie. Goethe’s message to the new negroes, est une installation vidéo de Paul Pfeiffer que j’ai également rencontré à la vibrante gal- erie de Harlem, The Project, et plus tard à la Biennale de Venise. Au bout d’un long bras métallique, est fixé un misérable petit moniteur de télésurveillance qui diffuse en boucle pendant 3 minutes et deux secondes des images parfaitement calibrées sur des visages saisis en pleine action. Bien que l’on ne distingue que leurs visages, on est amené et même saisi par le fait qu’ils sem- blent aspirés par une course étouffante, une urgence vitale. La qualité des images est absolument brute, bien volontairement car en y prêtant une attention élémentaire on comprend qu’elles sont issues d’écrans de télévision. Cet agencement de l’oeuvre laisse perplexe, étant de fait à la fois sophistiquée et rudimentaire. Mais une évidente réalité se met à jour, avant même d’avoir intégra- lement vu la loupe. Cette « démonstration » n’est rien d’autre qu’une ode merveilleusement mythologique. Nous vivons avec notre temps. Et notre temps moderne a vu progressivement évoluer les icônes de l’héroïsme collectif, les icônes du sport rivalisant, voir supplantant celles du cinéma. Or Goethe’s message to the new negroes est un défilé des plus grandes stars de l’Amérique, et même planétaire, principalement en la personnes des idoles de la NBA, mais aussi des reines de la WNBA , et même le demi-dieu Michael Jordan, et tant d’autres encore qu’il n’est pas la place de les nommer tous, à l’exception peut-être du regretté Kobe Bryant. Or la succession des icônes s’enchaine par des des fondus syncopés dans le rythme suffocant et irrespi- rable d’une course qui paraît être contre la montre, mais en réalité surtout contre la mort. Depuis que j’ai acquis cette oeuvre, le nombre des artistes et de leur créations s’est démultiplié, et surtout les nouveaux médias, particulièrement numériques, ont tout autant pullulé. En dépit de cela, jamais je n’ai eu de sentiment équivalent à celui, homérique, de cette vanité du XXIème siècle. Et l’impression de morphing, le choix délibéré d’oeuvrer sur la base d’images pauvres, touche au sacré. Luc Bellier
Paul Pfeiffer - Goethe’s Message to the New Negroes #1- 2001 Description universelle de Luc Bellier, expert à Paris et membre de la CNE 30/11/2020
POPE L Party Room, 2001
William POPE LANCASTER, dit POPE L - Party Room, 2001 Description universelle de Luc Bellier, expert à Paris et membre de la CNE en date du 22/09/2020
William POPE LANCASTER, dit POPE L - Party Room, 2001 Description universelle de Luc Bellier, expert à Paris et membre de la CNE en date du 22/09/2020 POPE L. Nationality: Américan Date and place of birth: 28 june 1955, Newark, New Jersey, États-Unis Lives and works: Chicago, Illinois Title: Party Room Date: 2001 Media: Installation with 119 Wild Irish Rose 750 ml. bottles,119 stuffed animals and 8 shelves, each bottle 11 by 3 by 3 in. Dimensions - Intalled on eight shelves: 120 by 132 by 9 1/4 in. by 335.3 by 23.5 cm Provenance: The artist, Chicago, made for the occasion of the exhibition at The Project, Harlem, New York, 2001 Acquiered during the exhibition by Luc Bellier, Paris Exhibitions: New York, NY, The Project, Hole Theory, 2001 New York, NY, MItchell-Innes & Nash Gallery, One Thing After Another, 2019 Bibliography: Mark H.C. Bessire, William Pope.L: The Friendliest Black Artist in America, Cambridge,MA, 2002, illustrated pp. 192-93 Press: - The New York Time, June 8, 2001, Holland Cotter - The New York Time, August 23, Holland Cotter - Artnews, November 2002, Edgar Allen Beem - Art In America, May 2003, Barbara Pollack Note: Over the past four decades, Pope.L has continuously probed the complexities of identity, race and representation in his work. With his distinct humorous, absurd and poetic sensibility, he en- gages unconventional materials and techniques to challenge the limits of his subject matter in a rigorously inventive investigation of history and cultural norms. Transcending a wide range of art move- ments, including Pop art, Fluxus and conceptual art, his work has come to embody its own genre of body politics, literally using black and white as functions of form and style. As he notes: ‘Blackness has always been a kind of rabbit’s hole—an uncertainty of someone’s making...You might have to construct new meanings for [it]. You won’t always know what it is. And that does produce a kind of dis- comfort.” [1] His multifaceted works— including public actions, per- formances, pain- tings, drawings, sculptures and photography—have involved selling aspirins and mayonnaise on the street for a hundred dollars a pill/spoonful; eating Wall Street Journal newsprint while seated on the sidewalk on an American flag; burying himself up to his shoulders with a bowl of vanilla ice cream just out of reach and crawling through various cities around the world.
William POPE LANCASTER, dit POPE L - Party Room, 2001 Description universelle de Luc Bellier, expert à Paris et membre de la CNE en date du 22/09/2020 In the present work, Pope.L has arranged more than one hundred bottles of the “Wild Irish Rose” brand of fortified wine on wall- mounted wooden shelves, and placed a stuffed animal on top of each facing away from the viewer, their stomachs pushed into the bottlenecks. While the installa- tion recalls both minimalism, with its use of seriality and repetition, and Pop art, with its references to mass consumerism, the towering display has a hypnotic, compulsive effect that ironically also invokes the notion of the sublime. The arbitrary and even comical connection between the inexpensive beverage and its poetic name, as well as its largely artificial, res- pective red and white coloring, echoes Pope.L’s broader interest in language and the loaded relationship between sign and referent. As Mark H.C. Bessire has pointed out, Pope.L “addresses issues of race through the metaphor of consumption. In this way, he exposes the American desire to accept and consume packaged ideas and products that mask more volatile and discomforting realities. This includes not only how race, for example, the black male body, is consumed as a social construct, but also how the consumption of certain products can serve as a metaphor for the estrangement of the disenfranchised.” [2] Estrangement is specifically evoked by the present installation, whose socially upbeat title contrasts with the absence of a human subject, in turn conjuring associations of loneliness, isolation, sad- ness, anger and ultimately addiction. Pope.L grew up in a close- knit family hit hard by alcoholism, and the colorful children’s toys thus also have autobiographical significance, and point to the often seamless transition between childhood and substance abuse. “Wild Irish Rose” first featured in the artist’s performance Thun- derbird Immolation in 1978, when he doused himself in a mixture containing the beverage while seated in a yoga pose surrounded by matches outside the Castelli and Sonnabend galleries in New York City. xPope.L made a second version of «Party Room,» a common ap- proach he takes with many of his installations. This second version, also titled «Party Room,» was on view during his retrospective that toured to Diverse Works, Houston, TX and the Portland Institute of Contemporary Art, Portland, ME in 2002-3 and consisted of 119 Wild Irish Rose bottles and stuffed animals. [1] First part of quote: Pope.L, “Interview with William Pope.L by Lowery Stokes Sims,” in William Pope.L: The Friendliest Black Artist in America©. Exh. cat. (Port- land, ME, Institute of Contemporary Art at Maine College and MIT Press, 2012), p. 65; second part of quote: Pope.L cited by C. Carr, “In the Discomfort Zone,” Ibid., p. 53. [2] Mark H.C. Bessire, “The Frien- dliest Black Artist in America©,” in Ibid., p. 24.
William POPE LANCASTER, dit POPE L - Party Room, 2001 Description universelle de Luc Bellier, expert à Paris et membre de la CNE en date du 22/09/2020
José Cabral Anjos Urbanos (Urban Angels) - MOAMRA, 1983
José Cabral - Anjos Urbanos (Urban Angels) - MOAMRA, 1983 Description universelle de Phillipe Boutté, Directeur de la Galerie Magnin-A, Paris 22/10/2020
José Cabral - Anjos Urbanos (Urban Angels) - MOAMRA, 1983 Description universelle de Phillipe Boutté, Directeur de la Galerie Magnin-A 22/10/2020 José CABRAL Nationalité : Mozambicain Date et lieu de naissance : 1952 à Maputo, Mozambique Vit et travaille à : Maputo Titre de l’oeuvre : Anjos Urbanos (Urban Angels) - MOAMRA, 1983 Date : 1983 Technique : gelatin silver print on RC paper Dimensions : 24 x 34,5 cm (image), 30 x 40 cm (papier Édition : pièce unique - encadrée Signature : Signé et daté au dos N° Inv. JC1808003 Provenance : José Cabral Galerie Magnin-A, Paris, France - Note : La photo a été prise à Moamba, un district de la province de Maputo. Chaque matin, de jeunes bergers responsables du bétail de leur famille se rassemblent dans le village et emmènent le bétail pour boire de l’eau dans une rivière voisine appelée «rivière Incomati». Ils utilisent toujours la même route. Cabral avait l’habitude de rester sur le bord de cette route en contemplant leur routine. L’un des garçons était plus extraverti, plus énergique, et sur son chemin du retour pour rentrer chez lui, en passant devant Cabral, il monta sur un taurillon et commença à le chevaucher d’un côté à l’autre en essayant d’attirer l’attention du photographe. C’est à ce moment que Cabral a pris la photo.
José Cabral - Anjos Urbanos (Urban Angels) - MOAMRA, 1983 Description universelle de Phillipe Boutté, Directeur de la Galerie Magnin-A, Paris 22/10/2020
José Cabral - Anjos Urbanos (Urban Angels) - MOAMRA, 1983 Description universelle de Phillipe Boutté, Directeur de la Galerie Magnin-A, Paris 22/10/2020 À l'attention de : M. Luc Bellier 5 boulevard Voltaire 75011 Paris luc@lucbellier.com Paris, le 12.11.2018 Facture N° 280-11-2018 José Cabral Anjos Urbanos (Urban Angels) - MOAMRA, 1983 Gelatin silver print on RC paper Image : 24 x 34,5 cm Papier : 30 x 40 cm Pièce unique Prix : 2 130.00 ¤ Signé et daté au dos Remise spécialement consentie : 213.00 ¤ N° Inv. JC1808003 Prix de vente : 1 917.00 ¤ Encadrée Régime particulier-Objets d'art En votre aimable réglement, MAGNIN-A Banque: Credit Lyonnais - Agence Paris Oberkampf Titulaire: EURL MAGNIN-A IBAN: FR83 3000 2004 1000 0044 6471 G93 BIC/SWIFT: CRLYFRPP MAGNIN-A 118 bd Richard Lenoir 75011 Paris T. +33 1 43 38 13 00 / + 33 9 51 46 15 - info@magnin-a.com - www.magnin-a.com EURL MAGNIN-A au capital de 20000 ¤ - RCS Paris 513 241 844 - N° TVA FR21 513 241 844
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