Quentin Montagne 2017 - Base DDAB
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Ma pratique est construite sur la citation et la transposition. Je sélectionne, dans les champs de l’Histoire de l’art, de l’architecture et de la culture de masse, des éléments liés au Merveilleux, un terme à entendre comme tout ce qui se rapporte, pour l’individu, aux différents modes d’évasion du réel immédiat - ce qui inclut la religion comme le cinéma ou l’utopie. Une fois extraits de leur contexte, ces éléments acquièrent un autre niveau de lecture. Abstraits, ils deviennent polysémiques et hermétiques. Il s’agit à chaque fois de pièces situées au carrefour de plusieurs idées, de plusieurs références et qui nécéssitent un certain effort de décryptage de la part du spectateur. Différentes interventions, notamment liées aux modes de présentation et d’accrochage, favorisent cette lecture. Comme une manière de semer des indices, le document occupe une place souvent importante. Bien que j’utilise essentiellement la peinture et le dessin, je ne privilégie aucun médium en particulier, sinon l’exposition comme mise en oeuvre d’articulations possibles entre les travaux.
Depuis cinq ans, mon travail se concentre essentiellement sur l’imaginaire subaquatique et l’un de ses principaux médias, l’aquarium. Plus qu’un dispositif populaire, scientifique ou de loisir, cet objet se caractérise par des mises en scène où règnent l’anachronisme et l’hétérogénéité. Ruines classiques, fabriques gothiques, épaves de galions, débris de guerres ou figures futuristes cohabitent dans un entrelacs de plantes et de madrépores qu’animent poissons, mollusques et crustacés. Au-delà des visions génériques héritées de Painlevé ou d’un Cousteau, l’aquarium relève autant de l’écologie que de la peinture, du jardin et du paysage. Par son entremise peuvent alors être redécouverts l’Histoire de l’Art, la mythologie, le cinéma, la littérature, jusqu’à l’architecture moderne et contemporaine. Menant une recherche tant artistique que théorique, l’étude de l’aquarium motive à la fois une pratique plastique et la rédaction d’articles ou de conférences, en France comme à l’étranger. Mes activités de chercheur et de plasticien sont indissociables l’une de l’autre. Le va-et‑vient entre lecture et production est constant. Dessins et peintures guident la documentation en même temps qu’ils s’en nourrissent. À l’exception de quelques réalisations autonomes, la plupart de mes productions s’inscrivent dans des ensembles définis, circonscrits ou au contraire exponentiels. Outil préparatoire et ne nécessitant que peu de matériel, le dessin prend un statut particulier dans mon travail. Initiée en 2013, la série des Décors d’aquarium est un projet de recensement global des figures artificielles disponibles sur le marché de l’aquariophilie. À la façon des vélins d’Histoire naturelle, le dessin est d’abord ici moyen de connaissance. Par ce travail laborieux et paradoxalement absurde, je tente d’exercer la même attention que les peintres naturalistes sur des objets sans valeur et profondément kitsch. L’étude patiente des volumes et des textures révèle parfois l’origine lointaine de ces images où survivent l’Antiquité classique, la gravure de Piranèse et les rochers de lettrés d’Extrême-Orient. La méthode ne varie pas. Sur format A3 ou A2, la figure est abstraite de tout contexte par un fond blanc. L’utilisation exclusive du stylo Bic, normalement dévolu à l’écriture, inscrit ces dessins dans le champ de la prise de note. Les traits de construction, les accidents et autres erreurs sont toujours visibles. Bien que détaillées et précises, ces images restent de l’ordre du croquis. Elles s’inspirent autant des ébauches de la Renaissance italienne, des relevés des explorateurs du XVIIIe siècle que des simples gribouillages de marge, ceux que les collégiens laissent par ennui dans un coin de leur feuille de cours. Sans fin programmée, la série se poursuit régulièrement. Chaque nouveau format s’additionne à un ensemble que structurent plusieurs sous-catégories définies selon les éléments apparents, les temps et les lieux représentés, la marque des décors ou bien les thématiques auxquelles ils appartiennent. Parmi d’autres productions sur papier, une partie de la série était présentée au PHAKT, Centre Culturel Colombier à Rennes. En toile de fond apparaissent des figures peintes à même le mur. Si la couleur rappelle celle du stylo Bic, le « bleu tempête » de la gamme Tollens a pour but de réunir et de mettre en perspective les différents travaux, à commencer par la série des Ruines sur papier calque et quelques grands formats réalisés à l’encre de Chine. Plus qu’un papier peint, les fresques citent des figures tutélaires de l’illustration zoologique et de l’imaginaire marin, à la fois ces êtres fantastiques que sont la Baleine commune et le Serpent de Mer, les premiers manuels d’ichtyologie dont ils sont issus, et enfin leurs auteurs, Pierre Belon (Histoire naturelle des estranges poissons marins, Paris, 1551) et Guillaume Rondelet (Histoire entière des poissons, Lyon, 1558). Décors d’aquarium, 2014-2017. Stylo Bic sur papier formats A3 et A2 Ruines, 2015. Série de huit dessins, encre de Chine sur papier calque, 48x48 cm chaque En Eaux Troubles, 2017 PHAKT Centre Culturel Colombier, Rennes, vues d’exposition
Décors d’aquarium - Volcan #5, 2015 Décors d’aquarium - Tête Maya #1, 2016 Stylo Bic sur papier, 42x29,7 cm Stylo Bic sur papier, 42x29,7 cm
Tracées à l’encre de Chine sur papier calque, les Ruines résultent directement des Décors d’aquarium. Comme un contrepoint, à la ruine fantasmée répond la réalité de la guerre véhiculée par les journaux d’information. Travail cathartique, élaboré en réaction à l’actualité du moment, elles rassemblent en un long panorama une suite de décombres disparates que surplombent des animaux aquatiques. Les débris de bâtiments anonymes, pour la plupart situés au Moyen‑Orient, sont littéralement collés les uns aux autres, fondus dans le noir de l’encre. Leur registre graphique s’oppose à celui des animaux directement empruntés à un tableau de classification zoologique. De même qu’une végétation transforme des ruines, témoins de désastres plus ou moins anciens, l’imaginaire sous-marin met à distance la réalité du cataclysme. Le paysage apocalyptique échappe à tout rapport d’échelle et tentative de reconnaissance précise. Indifférents à cette scène inférieure, les êtres aquatiques forment comme un bandeau indépendant. Premiers signes de recouvrement, quelques ilots d’algues vertes réunissent les deux étages de ce panorama.
Fruit de recherches sur la ruine et l’échec des grandes utopies modernes, Le désastre de Malévitch est un aquarium. Dans une cuve montée sur socle, des figures en béton sont envahies par une végétation aquatique peuplée de poissons et autres animaux. Ces modèles géométrisants reproduisent dans l’eau plusieurs projets tardifs de l’avant-garde russe. L’architectone Zeta (1923-1927) trône parmi les débris de divers Ornements Suprématistes (1878-1935), pièces majeures et pourtant énigmatiques de Kasimir Malevitch. Entre sculpture pure et architecture, ces projets modernistes participent autant du rêve que de la destruction. Longtemps perdus, éparpillés et mal conservés, ce ne que récemment qu’ils ont été redécouverts. Désormais exposés sous vitrine, ces vestiges du XXe siècle portent les traces de la longue restauration de Poul Pedersen. Des rajouts contemporains complètent parfois les morceaux originaux, jaunis et abîmés. Emblématiques du destin tragique de leur auteur, ces pièces historiques témoignent des bouleversements de l’époque, lorsqu’aux ambitions révolutionnaires succède le pouvoir stalinien. Les formes élémentaires des architectones rappellent les constructions archaïques et massives des premières civilisations. Par sa structure pyramidale, Zeta évoque des réalisations cyclopéennes archaïques, depuis la structure sous-marine de Yonaguni au Japon, découverte en 1985, jusqu’aux ziggourats du Moyen-Orient ou les temples d’Amérique Centrale. Englouti, le projet moderne d’une cité idéale devient une nouvelle Atlantide. La scène est nue, rocailleuse, avant d’accueillir la végétation. L’aquarium est une sculpture évolutive. Son aspect varie avec le temps. Les maquettes ne sont pas ruinées avant immersion. Les fragilités inhérentes au tirage en béton disparaissent sous l’action de l’eau quand les surfaces sont recouvertes de mousses et de micro-algues. La faune et la flore connaissent également des transformations successives. L’aquarium conserve un écosystème vivant et dynamique. Certains végétaux à croissance rapide en recouvrent ainsi d’autres pour prendre leur place, les animaux détritivores se Le désastre de Malevitch, 2015-2017 nourrissent du dépôt du sol alors que les prédateurs régulent le nombre des alevins et Cinquième état, novembre 2016 des mollusques. Aquarium 112 Litres monté sur socle, 156x80x35 cm Bois, peinture, béton hydrofuge, sable, néons et système électrique Population : Corydoras Paleatus, Ancistrus Temincki, Poecilia wingei, Xiphophorus maculatus, Chromobotia macracanthus, Hemigrammus bleheri, Hemigrammus erythrozonus, Paracheirodon innesi et Planorbella duryi Plantes : Hygrophila corymbosa, Microsorum Windelov, Microsorum Pteropus, Cryptocoryne wendtii, Cladophora aegagropila, Sagittaria Eatonii, Anubias Barteri Nana, Anubias Barteri et Pistia Stratiotes
Telle la fenêtre albertienne, l’aquarium est un tableau. Derrière son écran invisible prend place un décor étonnant où évoluent diverses formes animales et végétales. Le scénario est improbable. Comme dans la série des Ruines, la composition de grands formats à l’encre de Chine naît d’un assemblage hétérogène. Puisés dans une banque d’images régulièrement alimentée par internet et diverses lectures, sculptures renaissantes, architectures anciennes ou actuelles, minéraux et plantes prennent ici place autour de couples d’animaux reptiliens. Le travail s’apparente littéralement à du collage. Sans plan établi, le dessin naît d’un désir d’accumulation. Les mythes de la Création le disputent à la réalité scientifique. Figurés à taille réelle, tritons et polypterus rappellent les terribles sauriens de la Préhistoire que le public découvrait pour la première fois au milieu du XIXe siècle, alors même que l’Atlantide réapparaissait dans la littérature et que les premiers aquariums publics ouvraient leurs portes. Une seule et même vision du passé qui alimente encore notre imaginaire collectif. La trame même de l’image, réalisée à la plume, s’inspire des gravures du haut-modernisme, sources essentielles de mes recherches. Par un jeu d’analogies formelles et de rapports chronologiques, le décor prolonge les thématiques des origines et de la ruine. Rappelant les pyramides sud-américaines en même temps que les légendes atlantidiennes, l’immeuble flottant Triton City de Buckmintser-Fuller rejoint le fameux hôtel The Palm de Dubaï comme les fragments de Seseña et d’Ordos, deux villes fantômes d’Espagne et de Chine. Sous une collection de plantes inspirée de celle de Des Esseintes dans le roman de Huysmans (À rebours, 1884), la tête délabrée d’un robot géant scrute une figurine de Godzilla, les restes d’une plateforme pétrolière ainsi qu’une ammonite fossilisée. Juchant le feuillage, l’ichtyosaure de Benjamin Waterhouse Hawkins achève de compléter les références éparses générées par un duo de tritons marbrés. Ma pratique du dessin n’est jamais autonome. Le plus souvent motivées par un projet sculptural ou d’installation, ces réalisations sont les étapes d’un développement à venir. Une même figure peut également apparaître successivement sur différents formats, annonce d’une production future potentielle. En tant que supports de réflexion, les dessins conservent leurs traits d’ébauche et de construction. De même que les plans d’architecture, le papier travaille. Il porte les marques de nombreuses manipulations, il subit l’humidité de l’encre avant d’être finalement fixé et protégé sous un verre. Initiée par l’exploitation de la revue Les Muses, encyclopédie des arts, une série de collages sur papier prolonge cette pratique préparatoire de compositions accumulatives. Page précédente : Les Polypterus, 2016-2017 Encre de Chine sur papier, 120x80 cm Ci-contre : Les Tritons Marbrés, 2017 Encre de Chine sur papier, 120x80 cm
Les Muses - Dans la grotte, 2017 Collage sur format A3, 37,7x20 cm
Les Muses - L’horloge, 2017 Collage sur format A3, 35,8x22,5 cm
Atlantis #1, 2015 Peinture sur bois, 75x75x5 cm
Perrier Corail, 2015 Peinture murale, 300x1400 cm, accueillant les pièces de Rika Tanaka et Anita Gauran Tchat, 2015 Galerie du 48, Rennes, vue d’exposition
Carte Postale #1 - Paris sous les flots, 2015 Stylo bic sur papier et carte postale parisienne, collage,14,8x10,5x3 cm Perrier-Corail, 2015 (détail) Tchat, 2015, Galerie du 48, Rennes, vue d’exposition
Fabrique Stoër, 2016 Sapin et hêtre, 220x90x90 cm Sculpture In Situ, Approche de la Déambulation, Université Rennes 2, Rennes, 2016
Wall #12, 2013 Installation murale, 9 reliefs en bois peints à l’’huile et disposés sur une impression jet d’encre, 270x1230 cm.
Quentin Montagne Atelier 2 8 square Doyen Yves Milon 35200 Rennes montagne.q@gmail.com http://base.ddab.org/quentin-montagne EXPOSITIONS PERSONNELLES En Eaux Troubles, PHAKT Centre Culturel Colombier, Rennes, février-mars 2017 Dessins, Galerie Monod, Paris, avril 2013 Rock-Paper-Scissors-Lizard-Spock, Espace M, Rennes, mars 2013 EXPOSITIONS COLLECTIVES (sélection) 2018 L’Art chemin faisant, Atelier d’Estienne, Pont-Scorff (à venir) 2017 Rêve de Tigre, APO Ville de Rennes, Rennes Croquis Cartographiques, Galerie Michel Journiac, Université Paris 1, Paris 2016 Maracuja, Galerie du 59, Paris Approche de la Déambulation, Université Rennes 2, Rennes Sans Fin, Galeries du Cloître, EESAB, Rennes Close Encounters, Le Praticlable, Rennes Phase One, Ruskin Gallery, Cambridge 2015 Peindre 3, Le Volume, Vern-sur-Seiche /de.sε/, Galerie du 48, Rennes TCHAT, Galerie du 48, Rennes Détours, Galeries du Cloître, EESAB, Rennes Wall #12, 2013 (détail) The Mechanical Turk, faculté Saint-Charles, Marseille 2014 Loin de Veracruz, Galerie du Faouëdic, Lorient Le Monde ne suffit pas, Galerie du 48, Rennes En mai 2012, suite à l’observation en direct de l’absorption d’une géante rouge par un trou noir 2013 supermassif à environ 2,7 milliards d’années-lumières de notre galaxie, la NASA diffuse une Prêts à exposer, Malgras/Naudet, Manchester RE #4 Nous ne serons jamais des princesses, le 6B, Saint-Denis (93) vidéo de synthèse simulant le phénomène. Wish you were here, Galerie du 48, Rennes Objet d’études et de théories différentes depuis plusieurs années, le trou noir est un élément Gomme Together, la Criée - Centre d’art contemporain, Rennes cosmique encore mal compris. Après avoir enregistré ce genre de phénomène à plusieurs 2012 reprises, et au lieu de présenter les images ou relevés directement captés par leurs appareils, Toutes nos félicitations, Saint-Briac sur Mer les scientifiques préfèrent nourrir l’imaginaire de l’espace auprès du grand public. RE : #3 bis, Standards Expositions, Biennale Off, Rennes Tirées de la vidéo de simulation éditée par la NASA (NASA’ Swift Satellite Spots Black Hole Goodbye to College Joys, École Européenne Supérieure d’Art de Bretagne, Rennes RE :#2, Galerie du 48, Rennes Devouring a Star J1644+57), ces formes peintes disposées sur l’image d’une météorite, En Vert et contre Tout, Comptoir Général, Paris représentent neuf phases de l’animation. Neuf moments de l’évolution d’une forme de base Politiquement Songes, Institut d’Études Politiques, Rennes distordue dans son mouvement de disparition. Ces abstractions figurantes, images d’images Sound Floor, Standards Expositions, Rennes d’abstractions, s’inscrivent dans un ensemble de réalisations concentrées autour de manifestations cosmiques que nous ne percevons qu’au travers des filtres de la photographie RESIDENCES et de l’image de synthèse. mai-juillet 2017 : Résidence Crystal, AM Art, Megève mai 2014 : Galerie du 48, Rennes AIDE A LA CREATION mai 2014 : attribution d’un atelier-logement, Direction Générale Culture Ville de Rennes
CONFERENCES (sélection) 2017 « L’Aquascape : un nouveau paysage pour l’aquarium », La miniature, un dispositif artistique et un modèle épistémologique à l’ère du nano, colloque international, Centre de Recherche Textes et Cultures, Université d’Artois, Arras « Seeing Eye to Eye, Through a Glass Clearly ? The Blurring of the Boundary Between Humans and Animals », The Human-Animal Line, Interdisciplinary Approaches, colloque international, CEFRES (Centre français de recherche en sciences sociales), Prague, République Tchèque « La leçon de l’aquarium », Créations artistiques et territoires, colloque international, MSHB, Maison des Sciences de l’Homme en Bretagne, Rennes 2016 « L’aquarium : héritage et persistance du XIXe siècle », Du rétro au néo, entre nostalgie et réinvention. Objets en mouvement !, colloque international, GIRCAM (Groupe Interdisciplinaire de Recherche sur les Cultures et les Arts en Mouvement), Université Catholique de Louvain, Mons, Belgique « Quêtes de mondes engloutis : l’Atlantide aujourd’hui », Congrès international EAM, Université Rennes 2. « Les mises en scène de l’aquarium : un imaginaire marin anachronique », Image de la mer, colloque international, Institut Supérieur des Etudes Appliquées en Humanitées de Mahdia, Tunisie « La sirène au coeur de l’enquête : cryptozoologie, docu-fiction et théorie du complot », séminaire ALEF Aux confins de l’enquête : entre excès et évidement, l’art créateur d’instabilité, Université Rennes 2 EDITIONS et MULTIPLES (sélection) 2014 RE:Briques (tirage : 100 exemplaires), Rennes 2013 Erosions (tirage : 100 exemplaires), EESAB, Rennes Gomme Together, La Criée - Centre d’art contemporain, Rennes 2012 Metrovoïd #2 (tirage : 100 exemplaires), Rennes Metrovoïd #1 (tirage : 100 exemplaires), micro-édition, Rennes RE:#3 (tirage : 300 exemplaires), Rennes RE: #1 (tirage : 90 exemplaires), Rennes ATELIERS ET ENSEIGNEMENT (sélection) «Schémas», workshop, LAP / PHAKT Centre Culturel Colombier, Rennes, mars 2017 «Passer la Ve, seconde édition», workshop, Ecole Supélec, Rennes, novembre 2016 «Passer la Ve», workshop, Ecole Supélec, Rennes, novembre 2015 2013-2017 : chargé de cours théoriques et pratiques, Université Rennes 2, Rennes FORMATION 2013-2017 : Doctorat Arts Plastiques. Préparation d’une thèse intitulée « L’aquarium : un réservoir de l’imaginaire marin aux croisements de l’art et de la science » (direction : Christophe Viart), École doctorale Arts, Lettres et Langues, Université Rennes 2 2013 : Master recherche Arts Plastiques avec Félicitations, Université Rennes 2 2012 : DNSEP option Art avec Félicitations, EESAB-site de Rennes 2010 : DNAP option Art avec Mention, ERBA, Rennes
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