RECOMMANDATIONS AUX AUTEURS

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Annales Françaises d’Oto-Rhino-Laryngologie et de Pathologie Cervico-faciale

Revue officielle de la Société Française d’Oto-Rhino-Laryngologie et de chirurgie de la face et
                                            du cou

       Annales Françaises d’Oto-Rhino-Laryngologie et de pathologie cervico-faciale
             European Annals of Otorhinolaryngology, Head & Neck Diseases

                         RECOMMANDATIONS AUX AUTEURS

Les Annales Françaises d’Otorhinolaryngologie et de pathologie cervico-faciale et sa version
anglaise les European Annals of Otorhinolaryngology, Head and Neck Diseases publient des
travaux scientifiques originaux ayant trait à l’Oto-Rhino-Laryngologie. L’ensemble des
articles acceptés fait l’objet d’une traduction du français en anglais, ou de l’anglais en
français, pour être publié en anglais en format purement électronique (European Annals) et
en français en édition papier et électronique (Annales Françaises). Les auteurs francophones
doivent soumettre leur texte en français sur le site AFORL. Seule la version anglaise
(European Annals) est indexée dans les banques de données internationales. La Revue
adhère aux règles élaborées lors de la convention de Vancouver pour la soumission des
articles biomédicaux (consultables sur le site www.icjme.org). La soumission des articles
s’effectue exclusivement par voie électronique via le site de soumission en ligne de l’éditeur
(https://www.editorialmanager.com/aforl/default.aspx). Les manuscrits sont soumis à
l’avis du comité de lecture, qui est habilité à décider de leur publication. Le comité fait part
de ses observations aux auteurs en leur signalant les modifications à apporter pour que leur
manuscrit soit accepté. Les auteurs ont alors un délai maximum d’un mois pour modifier leur
texte. Le comité se réserve la possibilité d’apporter des modifications mineures au texte
dans le but d’en uniformiser la présentation sans en référer aux auteurs. En aucun cas le
Journal n’est engagé vis-à-vis des manuscrits qui lui sont adressés avant la décision définitive
de la rédaction. Quelle que soit la langue de soumission, les recommandations aux auteurs
sont identiques. En lisant ces recommandations, les auteurs doivent s’assurer que leur
travail correspond bien aux règles éditoriales ci-dessous du journal avant de soumettre leur
article sur le site https://www.editorialmanager.com/aforl/default.aspx

FACTEUR D’IMPACT
2018: 1.318 © Clarivate Analytics Journal Citation Reports 2019

INDEXATION
Current Contents - Clinical Medicine
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PubMed/Medline
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BOARD 2020-2024.

Rédacteur en chef.
Pr. Ollivier Laccourreye (Université Paris Centre, Paris, France).
Rédacteur en chef adjoint.
Pr. Roger Jankowski (Université de Lorraine, Nancy, France).

Rédacteurs en chef associés.
Otologie : Pr. Valérie Franco-Vidal (Université de Bordeaux, Bordeaux, France), Dr. Alexandre
Karkas (Université Jean Monnet, Saint-Etienne, France), Pr. Christophe Vincent (Université
de Lille, Lille, France).
Rhinologie : Pr. Justin Michel (Université Aix Marseille, Marseille, France), Dr. Cécile Rumeau
(Université de Lorraine, Nancy, France).
Laryngologie : Pr. Nicolas Fakhry (Université Aix-Marseille, Marseille, France), Pr. Marc
Makeieff (Université de Reims, Reims, France.
Cervico-facial : Pr. Olivier Malard (Université de Nantes, Nantes, France), Pr. Christian Righini
(Université Grenoble Alpes, Grenoble, France).
Pédiatrie : Pr. Nicolas Leboulanger (Université Paris Centre, Paris, France).
Statistiques : Dr. Quentin Lisan (Université Paris Centre, Paris, France).

Comité Editorial.
Pr. Emmanuel Babin (Université de Caen Normandie, Caen, France), Pr. Beatrix Barry
(Université Paris Diderot, Paris, France), Pr. Pierre Bonfils (Université Paris Centre, Paris,
France), Pr. Frédéric Chabolle (Institut Hartman, Neuilly sur Seine, France), Pr. Dominique
Chevalier (Université de Lille, Lille, France),
Pr. André Coste (Université Paris Est Créteil, Créteil, France), Pr. Vincent Couloigner
(Université Paris Centre, Paris, France), Pr. Virginie Pruliere-Escabasse (Université Paris Est
Créteil, Créteil, France), Pr. Renaud Garrel (Université de Montpellier, Montpellier, France),
Pr. Antoine Giovanni (Université Aix Marseille, Marseille, France), Pr. Thierry Mom
(Université Clermont Auvergne, Clermont-Ferrand, France),
Pr. Sylvain Morinière (Université François Rabelais, Tours, France), Pr. Richard Nicollas
(Université Aix-Marseille, Marseille, France), Pr. Sophie Périé (Institut Hartman, Neuilly sur
Seine, France), Pr. Sébastien Schmerber (Université Grenoble Alpes, Grenoble, France).

Comité Scientifique.
Dr. Pierre Attal (Centre Médical Shaare Zedek, Jérusalem, Israël), Dr. Ihab Atallah (Université
de Grenoble Alpes, Grenoble, France), Pr. Tareck Ayad (Université de Montréal, Montréal,
Canada), Pr. David Bakhos (Université de Tours, Tours, France), Pr. Bertrand Baujat
(Sorbonne Université, Paris, France), Dr. Marc Blumen (Hôpital Foch, Suresnes, France), Pr.
Alexandre Bozec (Université Côte d’Azur, Nice, France), Pr. Françoise Denoyelle (Université
Paris Centre, Paris, France), Pr. Xavier Dufour (Université de Poitiers, Poitiers, France), Pr.
Pavel Dulguerov (Université de Genève, Genève, Suisse), Pr. Johannes Fagan (Capetown
University, Capetown, Afrique du Sud), Dr. Pierre Fayoux (Université de Lille, Lille, France),
Pr. Bernard Fraysse (Toulouse, France), Pr. Philippe Giraud (Université Paris Centre, Paris,
France), Pr. Laurent Gilain (Université Clermont Auvergne, Clermont-Ferrand, France), Pr.
Christopher F. Holsinger (Université de Stanford, Palo Alto, Etats-Unis d’Amérique), Pr.
Franck Jegoux (Université de Rennes, Rennes, France), Pr. Laurent Laccourreye (Université

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d’Angers, Angers, France), Pr. Jérôme Lechien (Université de Mons, Mons, Belgique), Pr.
Emmanuel Lescanne (Université de Tours, Tours, France), Pr. Ludovic Le Tallandier de Gabory
(Université de Bordeaux, Bordeaux, France), Pr. Rémi Marianowski (Université de Bretagne
Occidentale, Brest, France), Pr. Jean-Paul Marie (Université de Rouen, Rouen, France), Pr.
Antoine Melkane (Université Saint Joseph, Beyrouth, Liban), Pr. Haitham Mirghani
(Université Paris Centre, Paris, France), Pr. Michel Mondain (Université de Montpellier,
Montpellier, France), Dr. Geoffrey Mortuaire (Université de Lille, Lille, France), Dr. Antoine
Moya-Plana (Institut Gustave Roussy, Villejuif, France), Pr. Albert Mudry (Université de
Stanford, Palo Alto, Etats-Unis d’Amérique), Pr. Kazimierz Niemczyk (Université de Varsovie,
Varsovie, Pologne), Pr. Cyril Page (Université de Picardie Jules Verne, Amiens, France), Pr.
Cécile Parietti-Winkler (Université de Lorraine, Nancy, France), Pr. Jean Michel Prades
(Université de Saint-Etienne, Saint-Etienne, France), Pr. Simon Rassi (Université Saint Joseph,
Beyrouth, Liban), Pr. Zoukaa Sargi (Université de Miami, Miami, Etats-Unis d’Amérique), Pr.
Elie Serrano (Université de Toulouse, Toulouse, France), Dr. Ricard Simo ( Hôpital Guy’s and
St Thomas, Londres, Royaume-Uni), Dr. Juliette Thariat (Centre Baclesse, Caen, France), Pr.
Chung Thuy (Université Nationale du Vietnam, Ho Chi Min City, Vietnam), Pr. Stéphane
Tringali (Université de Lyon, Lyon, France), Pr. Frédéric Venail (Université de Montpellier,
Montpellier, France), Dr. Benjamin Verillaud (Université Paris Diderot, Paris, France), Pr.
Sébastien Vergez (Université de Toulouse, Toulouse, France), Dr. Virginie Woisard
(Université de Toulouse, Toulouse, France).

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1. CONDITIONS DE PUBLICATION
Les manuscrits soumis pour publication ne doivent avoir fait l’objet d’aucune publication
antérieure, ni être simultanément soumis pour publication à une autre revue. En soumettant
un article pour publication, le(s) auteur(s) garantit(ssent) que l’article n’a pas été soumis
pour publication à un autre journal et n’a pas été publié auparavant. La reproduction de
documents déjà publiés doit être accompagnée de l’autorisation du possesseur du copyright.
Les auteurs doivent en faire la demande auprès de la maison d’édition et/ou de l’auteur de
la publication d’origine. Pour les études prospectives réalisées chez l’homme, les procédures
doivent avoir respecté les standards des Comités responsables de l’expérimentation
humaine (accord du Comité d’Éthique local, régional ou institutionnel) ou la déclaration
d’Helsinki de 1975 révisée en 1983. Pour les études réalisées chez l’animal, les
recommandations de l’Hôpital, du Conseil National de la Recherche ou toute autre
législation sur les soins et l’utilisation des animaux de laboratoire doivent être respectées.

1.1 Changements de paternité d’un article
Les auteurs doivent vérifier avec soin la liste et l’ordre des co-auteurs avant de soumettre
leur manuscrit et fournir cette liste lors de la soumission originale. Toute modification dans
la liste des auteurs (ajout, suppression, réarrangement) doit être faite avant l’acceptation du
manuscrit et sous réserve d’un accord de la rédaction. Lors de cette demande de
modification, la rédaction doit recevoir de la part de l’auteur correspondant : (a) la raison du
changement de la liste des auteurs et (b) la confirmation écrite (e-mail, courrier) de
l’ensemble des auteurs acceptant ladite modification (ajout, suppression, réarrangement).
L’auteur ajouté ou supprimé doit confirmer son acceptation. La rédaction n’acceptera que
dans des cas exceptionnels de considérer une telle demande après acceptation du
manuscrit ; la publication de l’article sera alors suspendue pendant l’examen de la demande.
Si l’article a déjà été publié en ligne, des demandes de modifications acceptées donneront
lieu à un erratum.

1.2 Publication des essais cliniques
Les essais contrôlés randomisés doivent être présentés selon les lignes directrices pour les
articles de recherche ¨CONSORT¨. Au moment de la soumission, l’auteur doit fournir la ligne
de contrôle CONSORT accompagnée d’une représentation schématique montrant l’évolution
de la situation clinique des patients pendant l’essai, leur recrutement, inclusion,
randomisation, leur retrait éventuel et la finalisation de l’essai ainsi qu’une description
détaillée de la procédure de randomisation. La liste de contrôle CONSORT et la
représentation schématique de l’essai sont disponibles en ligne.

1.3 Copyright
Dès qu'un article est accepté, il est demandé à ses auteurs de renseigner un « Accord de
publication dans la revue ». Un courrier électronique est envoyé à l'auteur correspondant
pour confirmer la bonne réception du manuscrit, accompagné d'un formulaire « Accord de
publication dans la revue» ou d'un lien pointant vers la version en ligne dudit accord.
Elsevier encourage le partage responsable. Découvrez comment vous pouvez partager vos
travaux de recherche publiés dans les revues Elsevier.

2. LES RUBRIQUES

                                                                                              4
Lors de l’envoi de leur manuscrit, les auteurs doivent préciser la rubrique dans laquelle ils
souhaitent le publier.

2.1 Editorial
Il comporte un titre, un texte libre et pas plus de 5 références. Il ne doit pas dépasser 3000
mots. Il est structuré en 5 sections successives : • Titre : Le plus court possible, il ne
comprend pas plus de 60 signes. • Discussion : Elle est libre avec un nombre le plus réduit de
paragraphes sans titres (cinq au maximum). Elle ne comporte pas de sous titres. • Conflit
d’Intérêt. • Remerciements. • Références.

2.2 Article Original
Le texte de l’article original (à l’exclusion du titre, des tableaux, de la déclaration d’intérêt et
des références) ne dépasse pas 3500 mots. Il comporte 6 auteurs au maximum. L’article
comporte au maximum 3 tableaux, 2 figures et 30 références. Les verbes sont à l’imparfait à
l’exception des faits unanimement reconnus qui sont eux au présent narratif (Ex : le malade
a été opéré et la septicémie impose l’antibiothérapie). Les références sont appelées dans le
texte par ordre de citation et placées entre crochets avant le point qui clôt la phrase. Les
auteurs sont encouragés à suivre les règles EQUATOR (https://www.equator-network.org/)
pour construire leur article et à mentionner la méthodologie précise suivie, dans le chapitre
Matériel et méthodes. Les règles à respecter ayant trait à l’utilisation de statistiques sont
détaillées dans le paragraphe Statistique de ce guide. Il est structuré en 11 sections
successives : • Titre : Le plus court possible, il ne comprend pas plus de 80 signes. • Résumé
: Il est structuré en : Buts, Matériel et Méthodes, Objectifs, Résultats, Conclusion. Il comporte
250 mots maximum. • Mots clés : 3 à 5. • Introduction : Elle comporte trois parties :
exposition générale du sujet, aspect particulier du sujet abordé et buts du travail.
L’introduction doit aussi préciser ce que le travail réalisé apporte de nouveau
comparativement à la littérature déjà publiée sur le sujet. • Matériel et méthodes : Sans
sous titre, cette partie précise la population étudiée, les critères de sélection, le(s) but (s) de
l’étude, les variables analysées et la méthodologie statistique utilisée. En cas d’étude
prospective et/ou randomisée, il doit comporter la mention de l’avis favorable des comités
ad hoc (CPP en France). Pour favoriser reproductibilité et transparences, les auteurs sont
encouragés à soumettre, avec leur article, dans un fichier accessoire, la base de données
anonymisée qui a rendu possible le travail. • Résultats : Répondant aux buts du travail, ils
sont exposés de façon claire et logique, y compris les résultats négatifs en faisant appel à des
tableaux. Ce chapitre ne comporte aucun commentaire ou référence.• Discussion : Réalisée
sans sous titre, elle analyse les résultats qui sont comparés aux données de la littérature
scientifique (Analyse PubMed). Ce chapitre doit répondre à l’introduction. Les incertitudes et
critiques sont exposées. • Conclusion : Elle développe les leçons à tirer, les solutions et les
voies de recherche. • Conflit d’Intérêt. • Remerciements. • Références : Le but des
références est de justifier tout fait énoncé par les auteurs et tout nom propre cité à partir
d’articles scientifiques déjà publiés (Analyse Pubmed). Pas de références issues de travaux
non indexés (livres, communications, thèses, mémoires…).

Le tableau qui suit précise les erreurs les plus communément notées conduisant au rejet des
articles originaux soumis aux Eur Ann.

                                                                                                  5
-   Etude purement descriptive.
   -   Pas d’apport aux données et publications déjà existantes.
   -   But non défini, variant et/ou variables majeures non étudiées ou manquantes.
   -   Chapitre matériel et méthode mal structuré, ne présentant pas la population
       étudiée, le but de l’étude et/ou les variables analysées.
   -   Absence d’analyse statistique et/ou tests statistiques utilisés incorrects.
   -   Introduction vague, trop longue et/ou ne reflétant pas la littérature.
   -   Population analysée trop hétérogène et/ou mal définie.
   -   Discussion, vague, hors sujet, surévaluant les résultats, sans rapport avec le but de
       l’étude ou les résultats et/ou présentant de nouveaux résultats.
   -   Discussion à étoffer avec références importantes manquantes ou incorrectes.
   -   Recul insuffisant.
   -   Résultats manquants, faux, modifiés dans la discussion.
   -   Article déjà publié dans une autre revue.
   -   Fausse étude prospective.
   -   Travail re soumis par les auteurs sans tenir compte de la relecture.
   -   Article non adapté à une revue dédiée à l’Otorhinolaryngologie.

2.3 Mise au Point et Revue de la littérature
La mise au point présente l’état de l’art sur un sujet spécifique. Elle est construite à partir de
la revue de la littérature médicale scientifique la plus récente (PubMed, Cochrane
Database…). Les auteurs sont encouragés à suivre la ligne directive PRISMA
(https://www.equator-network.org/) pour construire leur article et à mentionner la
méthodologie précise suivie, dans le chapitre Matériel et méthodes. Les règles à respecter
ayant trait à l’utilisation de statistiques sont détaillées dans le paragraphe Statistique de ce
guide. Elle ne comporte pas plus de 6 auteurs. Le texte de la mise au point (à l’exclusion du
titre, des tableaux, de la déclaration d’intérêt et des références) ne dépasse pas 4000 mots.
Elle comporte au maximum 5 tableaux, 5 figures et 100 références. Le mode de rédaction, la
mise en page, le choix et l’utilisation des références sont identiques à l’article original. La
mise au point est structurée en 9 sections successives : • Titre : Le plus court possible, il ne
comprend pas plus de 60 signes. • Résumé : Le résumé n’est pas structuré. Il comporte 250
mots au maximum. • Mots clés : 3 à 5. • Introduction: Elle doit comporter le but de la mise
au point, les bases de données analysées, les mots clefs retenus pour la recherche des
articles analysés, les critères d’exclusion (cas cliniques…). L’introduction doit dire ce que le
travail réalisé apporte de nouveau comparativement à la littérature déjà publiée sur le sujet.
• Discussion : Elle peut être fragmentée sous la forme de 3 paragraphes avec titres et
éventuellement 3 sous-titres par paragraphe. • Conclusion. • Conflit d’Intérêt. •
Remerciements. • Références.

2.4 Cas clinique
Ne peuvent être soumis aux Annales que les cas cliniques exceptionnels (moins de 15 cas
déjà publiés) et apportant des données nouvelles. La soumission de complications dans cette
section est encouragée. Les cas cliniques prétextes à une revue de la littérature ou à une
mise au point ne seront pas acceptés. Les auteurs sont encouragés à suivre les règles
EQUATOR (https://www.equator-network.org/) pour construire leur cas clinique. Le texte du
cas clinique (à l’exclusion du titre, des tableaux, de la déclaration d’intérêt et des références)
ne dépasse pas 1000 mots. Il comporte au maximum 3 tableaux, 3 figures et 15 références.
Le mode de rédaction, la mise en page, le choix et l’utilisation des références sont identiques
à l’article original. Le cas clinique ne comporte pas plus de 4 auteurs. Il est structuré en 10
                                                                                                6
sections successives : • Titre : Le plus court possible, il ne comprend pas plus de 80 signes.
Les superlatifs comme « rare, exceptionnel, unique… » doivent être évités dans le titre tout
comme les termes vagues tels que « A propos de… Rare… Exceptionnel… ». • Résumé : Le
résumé est structuré en trois parties : introduction, cas clinique, discussion. Il comporte 200
mots maximum. • Mots clés : 3 à 5. • Introduction : Elle comporte trois parties: exposition
générale du sujet, aspect particulier du sujet abordé et buts du travail. • Observation(s) : Ce
chapitre présente l’observation analysée. Plusieurs cas cliniques (moins de 15) peuvent être
regroupés en une petite série. Ce chapitre ne comprend aucun commentaire ni référence.
• Discussion : Réalisée sans sous-titre, elle analyse les données présentées dans le chapitre
Observation(s) et les compare aux données de la littérature scientifique (Analyse PubMed).
Les incertitudes et critiques sont exposées. Les auteurs ne doivent pas hésiter à inclure dans
leur discussion un tableau résumant les principales données ayant trait aux cas cliniques déjà
publiés. • Conclusion : Elle développe les leçons à tirer, les solutions et les voies de
recherche. • Conflit d’Intérêt. • Remerciements. • Références. Le tableau qui suit précise
les erreurs les plus souvent relevées conduisant au rejet des cas cliniques soumis aux Eur
Ann.

   -   Absence d’originalité (15 cas déjà recensés dans PubMed).
   -   Pas d’apport aux données médicales publiées sur le sujet traité.
   -   Titre vague, trop long ou non informatif (éviter les termes : à propos de, un Cas de,
       rare, exceptionnel …).
   -   Diagnostic incorrect, non démontré ou recul insuffisant.
   -   Introduction vague, sans rapport avec le cas ou ne reflétant pas la littérature.
   -   Non respect des conseils de rédaction des Eur Ann Otorhinolaryngol H N Dis.
   -   Références manquantes ou incorrectes.
   -   Orthographe et grammaire incorrectes.
   -   Tableau ou figure associé dupliquant le texte du cas soumis.
   -   Association de deux cas rares sans lien de causalité (simple concomitance).

2.5 Quel est votre diagnostic ?
Ce type d’article correspond à la présentation courte d’un cas clinique, d’une image
radiologique, clinique, opératoire ou anatomopathologique. Le titre, court, doit évoquer le
problème posé sans donner le diagnostic. Il ne comporte pas plus de trois auteurs. Le texte
du cas en question ne dépasse pas 200 mots (à l’exclusion du titre, de la déclaration
d’intérêt et des références). Il accompagne une iconographie composée au maximum de
deux images présentées côte à côte en un ¨bloc¨ unique (a,b) sans légende car c’est le texte
qui sert de descriptif. Il ne comporte pas plus de 5 références. Il est structuré en 7 sections
successives : • Titre : Le plus court possible, il ne comprend pas plus de 60 signes. •
Description : Elle présente le contexte clinique de l’iconographie présentée. Toutes les
données permettant de répondre à la question doivent être présentées dans ce chapitre. •
Question(s) : Quel est votre diagnostic ? Le texte de présentation du cas ne dépasse pas 200
mots. • Réponses : La réponse doit offrir au lecteur des informations utiles en pratique
quotidienne • Conflit d’Intérêt. • Remerciements. • Références.

2.6 Lettre à l’éditeur
Cette rubrique référencée concerne la majorité des cas cliniques. Le nombre des auteurs ne
doit pas dépasser quatre. Le document ne doit comprendre ni résumé ni mots clés. Le titre
sera rédigé en français et en anglais. Le texte comprendra un maximum de 500 mots avec 5

                                                                                               7
références accompagné d’un tableau ou d’une ou deux figures. Il sera organisé en deux
paragraphes. Le premier rapportera le cas clinique et le second sera centré sur la discussion.
Le texte de la lettre à l’éditeur doit toujours débuter avec ces mots : » Monsieur le rédacteur
en chef … »

2.7 Recommandations de la SFORL
Les recommandations de la SFORL (version courte) représentent un consensus sur un sujet
donné, accepté par l’ensemble des membres de la SFORL et c’est à ce titre qu’elles sont
publiées dans les Annales. Elles répondent à un problème posé à/ou par la SFORL. Elles
reposent sur une analyse de la littérature médicale scientifique réalisée par un Groupe de
Travail. A l’exclusion du titre, des tableaux, de la déclaration d’intérêt et des références, il ne
dépasse pas 4 000 mots. Il comporte au maximum 5 tableaux et 50 références.• Auteurs :
Groupe de Travail de la SFORL suivi des auteurs ayant participé à ce groupe de travail avec
en premier auteur le président du Groupe de Travail suivi de l’ensemble des auteurs placés
par ordre alphabétique. • Titre : Recommandation de la SFORL (version courte) sur un sujet
donné. • Résumé : Le résumé comporte 300 mots au maximum. • Mots clés : 3 à 5. •
Introduction : Elle précise le but de la recommandation et la méthodologie utilisée pour la
réaliser. • Texte de la recommandation : il est fragmenté en fonction des diverses
recommandations que comporte le texte. • Conflit d’Intérêt. • Remerciements : cette
rubrique comportera la liste alphabétique des relecteurs (avec leur titre) ayant participé à
l’élaboration de la recommandation. • Références : Le mode de rédaction des références est
identique à celui utilisé pour l’article original avec à la fin de chaque référence le niveau de
preuve scientifique entre parenthèses (Niveau A, B, C, D).

2.8 Note Technique
L’article correspond à la description d’une technique opératoire, d’une méthode d’analyse
ou d’une technologie. Il ne comporte pas plus de 4 auteurs. Le texte de la note technique (à
l’exclusion du titre, des tableaux, de la déclaration d’intérêt et des références) ne dépasse
pas 2000 mots. Il comporte au maximum 2 tableaux, 4 figures et en cas d’illustration d’une
technique chirurgicale : 2 dessins ou au maximum 6 schémas (pouvant bénéficier d’une aide
de la part d’un dessinateur de la revue) et 15 références. Le mode de rédaction, la mise en
page, le choix et l’utilisation des références sont identiques à l’article original. Il est structuré
en 10 sections successives : • Titre : Le plus court possible, il ne comprend pas plus de 60
signes ». • Résumé : Le résumé n’est pas structuré. Il comporte 200 mots maximum. • Mots
clés : 3 à 5. • Introduction. • Technique. • Discussion : Concise, elle ne comporte pas de
sous-titre et doit se centrer sur l’apport et les limites de la technique présentée. •
Conclusion. • Conflit d’Intérêt. • Remerciements. • Références : Le nombre de références
est limité à 15.

3. PRESENTATION GENERALE DES MANUSCRITS
• Les manuscrits doivent être saisis dans un format de fichier texte de type MS Word ou
Wordperfect en double interligne.
• Les pages doivent être numérotées consécutivement en commençant par la page de titre.
• Chaque partie (titre, résumé français et anglais, texte du manuscrit, remerciements et
déclaration de conflit d’intérêt, références, tableaux et légendes) doit commencer sur une
nouvelle page.

                                                                                                   8
• Le nom des auteurs et des institutions ne doit pas être mentionné dans le texte, ni sur les
figures.
• Les temps des verbes employés dans les descriptions cliniques doivent toujours être les
mêmes : présent ou passé et de préférence passé.

3.1 Le fichier texte
• Il comporte la page de titre (titre, auteurs, coordonnées complètes) le manuscrit (résumé,
mots clés, texte, références bibliographiques, tableaux et légendes des tableaux, légendes
des figures).

Sur la première page :
• le titre, toujours concis
• la liste des auteurs et pour chacun son institution, ville et pays d’exercice et pour l’auteur
correspondant, impérativement son adresse électronique et son numéro de téléphone.

Sur la deuxième page :
• le résumé : il doit être concis, factuel. Pour les articles originaux et les cas cliniques, les
résumés français et anglais doivent être structurés en objectifs, matériel et méthodes,
résultats et conclusions, en insistant sur les faits nouveaux. Aucune abréviation ni référence
bibliographique n’est autorisée.
• trois à cinq mots-clés en français et en anglais, sont indiqués immédiatement après le
résumé, choisis parmi les mots-clés anglais du Medical Subject Headings de l’Index Medicus.

Sur les pages suivantes :
• le manuscrit :
• les tableaux et figures: avec légendes. Toutes les données chiffrées sont présentées de
préférence sous forme de tableaux. Chaque tableau et figure doit comporter un appel dans
le texte et une légende figurant au-dessous du tableau ou de la figure. Si des abréviations
sont utilisées dans les tableaux et figures, il est indispensable de fournir l’explication
détaillée de l’abréviation au bas de la légende. Les tableaux et figures ne sont pas inclus dans
le corps du manuscrit. Leurs appels sont numérotés en chiffres arabes dans l’ordre de leur
première citation dans le texte.
• les références bibliographiques
• toutes les références doivent être appelées dans le texte par des numéros entre crochets
(chiffres arabes), présentées dans une liste en fin d’article et classées selon leur ordre
d’apparition dans le texte. Elles ne concernent que les travaux publiés ou sous presse. Les
communications personnelles, les thèses les livres ou les données non publiées ne figurent
pas dans la liste de références. Les titres des journaux sont abrégés selon la nomenclature de
l’U.S. National Library of Medicine. Au-delà de 6 auteurs, ne citer que les 3 premiers et
ajouter “et al.” Les articles sous presse sont cités normalement. A la suite de l’année de
publication, indiquer la mention (sous presse).

Exemples de références :
Article de périodique
• Goldenberg D, Lee J, Koch WM, Kim MM,
Trink B, Sidransky D. Habitual risk factors for head and neck cancer. Otolaryngol Head Neck
Surg 2004;131:986-93.

                                                                                               9
Supplément d’un périodique :
O’Reilly RC, He Z, Bloedon, et al. The role of extraesophageal reflux in otitis media in infants
and children. Laryngoscope. 2008 Jul;118(7 Part 2 Suppl 116):1-9

3.2. Fichiers des illustrations ou figures
• Les figures doivent être fournies en format JPG (.jpg), TIFF (.tif), EPS (.eps) (Éviter les
formats Word, Powerpoint et Excel), en fichiers séparés. L’auteur devra s’assurer de la
lisibilité de l’illustration (Colonne de la revue : 81 mm). La résolution des figures doit être au
minimum de 300 DPI pour les photographies en noir et blanc ou en couleur, et de 500 à
1000 DPI pour les graphiques ou schémas. La haute résolution est absolument nécessaire
pour l’impression.
• Les figures (schémas, dessins, photos, histogrammes, graphes) sont appelées dans le
texte par numéro (chiffres arabes) dans leur ordre d’apparition (Fig1) (Tableau1).
• Les titres et légendes sont indispensables.
• Les figures en couleurs seront systématiquement reproduites en couleurs dans la version
électronique et en noir et blanc dans la version papier de la revue. Les figures viennent à
l’appui du texte, pour illustrer ou présenter des résultats qui ne peuvent figurer sous
forme de tableau.

Pour toute reprise d’une figure et de texte déjà publiée, l’auteur doit fournir un courrier
d’autorisation. Il en fait la demande auprès de la maison d’édition et/ou de l’auteur de la
publication d’origine.

3.3. Statistiques, unités, etc.
Méthodes et considérations statistiques générales
Il est conseillé aux auteurs de se référer aux référentiels (CONSORT, STROBE, PRISMA…)
adaptés au type de l’étude réalisée et accessibles sur www.equator-network.org.
Le but de l’étude doit être clairement identifié à la fin du chapitre Introduction et dans les
chapitres Matériel et Méthode, Résultats et Résumé sous la forme : Objectif principal et
Objectifs secondaires. Pour les études observationnelles, les auteurs doivent décrire
précisément comment les données ont été recueillies, plutôt que d’utiliser des termes
génériques tel que l‘étude rétrospective’, et ceci selon le référentiel STROBE.1–3 Dans les
études observationnelles, les données manquantes doivent être décrites. De manière
générale, une description brève des sujets exclus à cause de données manquantes,
comparativement aux sujets inclus, doit être rapportée dans le chapitre matériel et
méthode, et une description plus détaillée peut être fournie en matériel supplémentaire (tel
qu’un tableau comparant les populations exclues et incluses). En cas de d’échantillon de
petite taille (moins de 50), il est préférable de considérer les résultats comme étant
exploratoires. Le langage causal doit être réservé uniquement pour les essais randomisés.
Typiquement, le terme « association » doit être utilisé pour décrire une association
statistique entre deux variables dans une étude observationnelle. Il est nécessaire d’inclure
le numéro d’enregistrement des essais randomisés (clinicaltrials.gov) et des revues
systématiques (www.crd.york.ac.uk/prospero/) dans le chapitre Matériel et Méthodes.

Analyses statistiques
Le nom du programme informatique ayant permis de réaliser les analyses doit être précisé
dans le chapitre Matériel et Méthode. Les nombres en valeur absolue doivent toujours

                                                                                               10
accompagner les pourcentages. Les auteurs sont encouragés à utiliser les moyennes et écart
types pour les données quantitatives qui suivent une distribution normale, et la médiane et
l’intervalle interquartile pour les données quantitatives ne suivant pas une loi normale. Les
analyses statistiques doivent être clairement décrites en incluant une description claire des
variables incluses dans les modèles multivariés. Les tests statistiques utilisés doivent être
adaptés aux variables considérées. Il est conseillé de décrire brièvement les tests utilisés
dans la partie analyses statistiques de la section Matériel et Méthodes. Bien qu’il ne soit pas
obligatoire de l’écrire dans le texte, il est important de vérifier que les conditions de validité
sont remplies pour les analyses bivariées comme pour les analyses multivariées (par
exemple, la distribution normale des données pour un test de Student, ou bien l’hypothèse
des risques proportionnels pour un modèle de régression de Cox). Les auteurs doivent
utiliser les tests statistiques adaptés aux variables analysées. Par exemple, concernant les
analyses bivariées, la comparaison de pourcentages entre séries indépendantes fait appel au
test du chi deux (et au test de Fisher en cas de non-respect des conditions de validité,
essentiellement en cas d'échantillon de petite taille). La comparaison de moyennes entre
deux groupes indépendants fait appel au test t de Student (et au test de Mann-Whitney en
cas de non-respect des conditions de validité du test de Student). Il n’est pas conseillé de se
reposer uniquement sur la valeur de p, qui ne rend pas compte de résultats quantitatifs.
Pour plus de détails concernant l’interprétation des tests statistiques ou des intervalles de
confiances, les auteurs sont encouragés à lire l’article de Greenland et al. (“Statistical tests, P
values, confidence intervals, and power: a guide to misinterpretations”).4 Les auteurs ne
doivent jamais présenter une valeur de p seule, i.e. sans les données descriptives ou la taille
d’effet (tel qu’un odd ratio). Les auteurs sont aussi encouragés à ne considérer comme
« significatives » que les valeurs de p< à 0,005 tandis que les valeurs de p comprises entre
0,05 et 0,005 ne doivent être considérées que comme « suggestives ».5,6 Il n’est pas conseillé
de considérer une valeur de p entre 0,05 et 0,10 comme étant une « tendance ». En cas
d’essai randomisé avec un seuil de significativité à 5%, une telle valeur est non significative.
En cas d’étude observationnelle, la taille d’effet et son intervalle de confiance apportent plus
d’information qu’une simple valeur de p. Les auteurs sont encouragés à utiliser les tailles
d'effet et les mesures d'incertitude, tel que l'odd ratio et son intervalle de confiance à 95%,
qui permet de quantifier les associations, ce que ne permet pas la p-value.

Tableaux et figures.
Les tableaux et figures doivent appuyer le texte, et leurs résultats doivent être cités dans le
texte. Dans les tableaux, inclure les nombres et éventuellement les pourcentages. En règle,
les comparaisons doivent être lues entre les colonnes. Il est important de préciser les unités
de mesure pour les données quantitatives. Les données présentées dans les tableaux et les
figures ne doivent pas se répéter. Concernant les courbes de Kaplan-Meier, il est conseillé
d’inclure le nombre de sujets à risque à chaque point de mesure sous l’axe des abscisses.
L’utilisation de figures en trois dimensions et les camemberts est à éviter. 7

Déclaration de partage des données
Dans la section Remerciements, une section « déclaration de partage des données » doit être
incluse, explicitant si les données peuvent être partagées (publiquement ou sur demande)
ou ne le peuvent pas.

1.     von Elm E, Altman DG, Egger M, et al. The Strengthening the Reporting of

                                                                                                11
Observational Studies in Epidemiology (STROBE) statement: guidelines for reporting
observational studies. Lancet Lond Engl. 2007
2.      Vandenbroucke JP. Prospective or retrospective: what’s in a name? BMJ. 1991
3.      Rothman KJ, Greenland S. Modern Epidemiology. 2nd ed. Lippincott-Raven; 1998.
4.      Greenland S, Senn SJ, Rothman KJ, et al. Statistical tests, P values, confidence
intervals, and power: a guide to misinterpretations. Eur J Epidemiol. 2016
5.      Ioannidis JPA. The Proposal to Lower P Value Thresholds to .005. JAMA. 2018
6.      Laccourreye O, Lisan Q, Bonfils P, et al. The use of p values, “significant”, and
“suggestive“ in scientific articles published by the European Annals of Otorhinolaryngology
Head Neck Diseases. Eur Ann Otorhinolaryngol Head Neck Dis 2019
7.      Spence I. No Humble Pie: The Origins and Usage of a Statistical Chart. J Educ Behav
Stat. 2005

Les méthodes statistiques employées doivent être présentées clairement pour permettre la
vérification des résultats rapportés. Les molécules, médicaments ou non, doivent apparaître
sous leur dénomination commune internationale, le nom commercial étant suivi de la
mention « ® » figurant en note de bas de page avec celui du laboratoire fabricant et de son
siège social. Les matériels chirurgicaux et implants doivent être écrits sous leur nom
générique avec un renvoi en note de bas de page mentionnant nom du fabricant, siège social
et nom commercial du matériel avec le signe™. Les mesures de longueur, hauteur, poids,
volume, sont celles du système métrique ou leurs multiples. Les températures sont en degré
Celsius, les pressions sanguines en millimètres de mercure (mmHG). Les mesures
hématologiques et biochimiques utilisent le système des unités internationales. Le terme
entier précède l’abréviation lors de sa première apparition dans le texte.

3.4 Présentation des remerciements
Ils figurent à la fin de l’article avant les références. Ils précisent les contributions qui
appellent un remerciement mais ne justifient pas une place parmi les auteurs, les
remerciements pour les aides techniques, les remerciements pour un soutien matériel/
financier.

3.5. Mentions de conflit d’intérêt : déclaration obligatoire
• La revue suit les pratiques internationales relatives aux conflits d’intérêts en rapport
avec les publications soumises. Un conflit d’intérêt existe quand un auteur et/ou un
coauteur a des relations financières ou personnelles avec d’autres personnes ou
organisations qui sont susceptibles d’influencer ses jugements professionnels concernant
une valeur essentielle (bien du patient, intégrité de la recherche…). Les principaux conflits
d’intérêt étant les intérêts financiers, les essais cliniques, les interventions ponctuelles, les
relations familiales…
• Tous les auteurs de la publication doivent déclarer toutes les relations qui peuvent être
considérées comme ayant un potentiel de conflits d’intérêt avec le texte publié.
1. Au cas où, il n’existe aucun conflit d’intérêt en lien avec l’article soumis, la mention
suivante doit être ajoutée directement dans le manuscrit : Conflit d’intérêt : aucun
2. Au cas où il existe un (ou plusieurs) conflit(s) d’intérêt avec un ou plusieurs des auteurs de
l’article, la liste complète de ceux-ci doit être mentionnée en fin de manuscrit,
avant les références bibliographiques et ce conformément à la présentation ci-dessous.

                                                                                              12
Les initiales de(s) l’auteur(s) concerné(s) et le nom de l’entreprise lorsqu’il est associé, sont à
ajouter à la liste exhaustive figurant ci-après des conflits d’intérêt potentiels qui sont à
déclarer. Exemples de mention de conflits, à faire figurer à la fin du texte, sous les
remerciements (le cas échéant), avec les initiales de chaque auteur :
    - C.R., E.L. Intérêts financiers dans l’entreprise Barbot S.A. E.L. Propriétaire, dirigeant,
         employé, participation à un organe décisionnel d’une entreprise Autres activités
         régulières dans l’entreprise
    - Chups SAS J.-J.E. Essais cliniques : en qualité d’investigateur principal, coordonnateur
         ou expérimentateur principal pour RTM SARL
    - P.L. Essais cliniques : en qualité de co-investigateur, expérimentateur non principal,
         collaborateur à l’étude pour Light & Co
    - F.W. Interventions ponctuelles : rapports d’expertise pour EFS Associated
    - M.D. Interventions ponctuelles : activités de conseil pour SFC
    - C.G. Conférences : invitations en qualité d’intervenant pour KKS & Son
    - M.S. Conférences : invitations en qualité d’auditeur (frais de déplacement et
         d’hébergement pris en charge par une entreprise) pour Régis SA C.-A. S. Versements
         substantiels au budget d’une institution dont vous êtes responsable
    - Aphelion M.F. Proches parents salariés dans les entreprises visées ci-dessus
    - A.D. Aucun conflit d’intérêt
3. Au cas où aucun conflit d’intérêt en lien avec l’article soumis n’a été transmis par l’auteur
(les co-auteurs) la mention suivante sera publiée dans l’article : Conflit d’intérêt : les auteurs
n’ont pas transmis de conflits d’intérêt.

Vidéos
Les vidéos et séquences d'animation pour soutenir et améliorer les articles sont vivement
encouragées. Les auteurs peuvent inclure un appel vers une vidéo ou une animation dans le
corps de l'article, de la même manière qu’une figure ou un tableau, qui réfère au contenu de
la vidéo ou de l'animation. Les fichiers correspondants doivent être aisément identifiables et
directement utilisables, c’est-à-dire dans un des formats de fichiers recommandés, pour une
taille maximale de 150 Mo par séquence, 1 GB au total. Les fichiers vidéo et des animations
fournis seront publiés dans la version électronique de l’article, y compris en ligne via, par
exemple, ScienceDirect (http://www.sciencedirect.com/).Il est également possible de fournir
avec vos fichiers une image extraite de la vidéo ou de l'animation (ou une image distincte),
qui sera utilisée à la place de l’icône standard et personnalisera le lien. Compte tenu du fait
que les vidéos ne peuvent évidemment pas figurer dans la version imprimée de l’article, les
auteurs doivent fournir un texte distinct pour la version en ligne et la version imprimée pour
les sections de leur article se référant à ce type de contenu. Pour plus d’informations sur les
vidéos : http://www.elsevier.com/artworkinstructions .

Matériel multimédia complémentaire
Il est possible de soumettre des éléments complémentaires pour accompagner, illustrer ou
enrichir vos articles de données ou d’applications pratiques, d’autres images, de clips audio,
et plus encore. Ces éléments (images, vidéo, audio, archives, tableurs, présentations, etc.)
seront accessibles uniquement en ligne, le lien vers la page de référence étant indiqué dans
la version papier de votre article. Les auteurs doivent soumettre avec l'article ces données
et       suppléments         dans       un       format        de       fichier      utilisable
(http://www.elsevier.com/artworkinstructions), avec une légende concise et descriptive

                                                                                                13
pour chaque fichier. Pour soumettre ce matériel complémentaire, sélectionnez « Fichier
media divers » dans le menu « Item » lors du téléchargement de vos fichiers. Vous pourrez
ainsi proposer des images (.gif, .tif, .jpg, .svg, .png, etc.), des vidéos (.mov, .avi, etc.), des
tableurs (.xls, etc.) ou des présentations (.ppt, .pps, etc.).

4. MODALITÉS DE SOUMISSION
4.1. Soumission
Les auteurs sont priés de respecter les règles de fond et de forme rappelées ci-dessus et de
soumettre leur article via le système de soumission en ligne Editorial Manager (EM), à
l’adresse internet : https://www.editorialmanager.com/aforl/default.aspx

4.2. Cheminement du manuscrit
Les articles adressés pour publication sont soumis à la lecture critique d’au moins deux
lecteurs experts et pris en charge par un rédacteur. L’auteur peut éventuellement indiquer,
au moment de la soumission de l’article, les deux relecteurs qu’il souhaite. Les avis formulés
sont réunis et analysés par le comité de rédaction qui peut :
    - Accepter la publication en l’état ou la refuser si elle ne correspond pas aux normes
        éditoriales du journal. En aucun cas, la Revue n’est engagée vis-à-vis des manuscrits
        qui lui sont adressés, avant la décision définitive du comité de rédaction.
    - Décider une acceptation de principe sous réserve de modifications selon les
        observations du rédacteur et les demandes de lecteurs.
La réalisation effective des corrections demandées permet l’acceptation de l’article, puis sa
traduction et sa mise en fabrication. Toutefois lorsque les aménagements demandés sont
nombreux et importants la rédaction retient la possibilité d’une publication mais sous
réserve d’une nouvelle rédaction reprenant les données du travail. Le manuscrit qui en
découle sera soumis au même cycle d’évaluation qu’un nouveau manuscrit.

5. MISE EN PRODUCTION, CORRECTION D’ÉPREUVES, DROIT DE REPRODUCTION
Lors de la mise en production du manuscrit accepté pour publication, l’éditeur enverra à
l’auteur correspondant un formulaire de transfert de droits par courrier électronique, qui
sera dûment complété et signé par l’auteur responsable de l’article pour le compte de tous
les auteurs, puis retourné à l’éditeur dans les plus brefs délais. L’auteur correspondant
recevra dans le même temps les épreuves électroniques de son article au format PDF. Les
corrections sont sous sa responsabilité. Les modifications portant sur le fond ne sont pas
acceptées sur les épreuves. Les corrections se limiteront à la typographie. Les auteurs
retourneront à l’éditeur les épreuves corrigées, dans les 48 heures suivant leur réception et
ce à toute période de l’année. En cas de retard, l’éditeur se réserve le droit de procéder à
l’impression sans les corrections de l’auteur. L’auteur désigné correspondant recevra
gracieusement des services de l’éditeur un tiré à part électronique au format PDF.

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