Revue de presse Accueil de M. le Secrétaire d'Etat à la Santé au Travail Laurent PIETRASZEWSKI
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Revue de presse Accueil de M. le Secrétaire d’Etat à la Santé au Travail Laurent PIETRASZEWSKI Jeudi 15 avril 2021 VD Communication SST24 27/04/2021
D ans le cadre de la rénovation de la santé au travail par la loi éponyme qui sera examinée prochainement au Sénat, suite éga- lement à la fusion de nos deux services départementaux et dans le contexte de regroupement de moyens avec la Corrèze, nous avons souhaité inviter M. Laurent Pietraszewski, Secrétaire d’Etat en charge de la santé au travail, à venir à la rencontre de nos équipes et de nos élus, le 15 avril dernier. A cette occasion, plusieurs sujets ont été abordés : • La télésanté au travail, avec la présentation unique en France de l’expérimentation sur la base d’un camion connecté. Cette unité mo- bile pilote dédiée a vocation à être fondamentalement réaménagée afin de donner une vision futuriste à l’ère des nouvelles technologies, avec toujours plus de services et une plus grande proximité vers nos adhé- rents ; • La réflexion menée sur l’optimisation du confort au travail à la maison par des services adaptés offerts dès le début de la pandémie ; • L’appropriation par notre Service de Santé au Travail de Dordogne du thème de l’exercice physique voire du sport sur son lieu de travail – le SST24 vient d’être labellisé Maison Sport Santé par le ministère char- gé des sports et le ministère des solidarités et de la santé. Nous vous invitons à parcourir cette revue de presse consacrée à l’accueil de M. le Ministre et relevant le dynamisme et l’innovation de notre Service de Santé au Travail. Philippe FRANCOIS, Président du SST 24 Membre du Conseil d’Administration de Présanse France
Aqui.fr - Partageons l'information en Nouvelle-Aquitaine et bien au delà 26/04/2021 En Dordogne, le service de santé au travail à la pointe de l’innovation Société | En Dordogne, le service de santé au travail à la pointe de l’innovation 26/04/2021 26/04/2021 | Le service de santé au travail de Dordogne (SST24) a lancé une unité mobile dédiée à la téléconsultation en santé au travail. Une première en France Le Service de santé au travail de Dordogne, qui accompagne 8600 entreprise, a mis au point le tout premier véhicule connecté pour réaliser des visites médicales à distance. Il se rend directement sur le site des
sociétés, particulièrement celles installées en zone rurale, évitant ainsi aux salariés des déplacements. Il y a quelques jours, le secrétaire d’Etat chargé de la santé au travail Laurent Pietraszewski a pu bénéficier d’une téléconsultation et se rendre compte des atouts de cette unité installée sur le parking de l’entreprise HMS Vilgo à Creysse. Le Service de santé au travail de Dordogne est le premier en France à s’équiper d’une unité mobile dédiée à la télé-santé au travail. Cette unité est en phase de test depuis quelques mois. Elle permet de réaliser des visites médicales en téléconsultation. Dans le camion réaménagé, deux personnes accueillent le salarié. Un assistant chauffeur conduit le véhicule, pratique les examens complémentaires (audition et vision). Une infirmière en santé au travail sera « la main du médecin » à distance : elle dispose de tous les outils médicaux connectés (stéthoscope cardiaque et pulmonaire, otoscope). Tout en dialoguant avec le patient, elle accompagne en visioconférence, le médecin du travail connecté à l’application dans l’un des centres du SST, pour l’examen médical à distance. Elle répond aux demandes du médecin et peut produire, si nécessaire, des clichés pour approfondir l’examen. Pour le médecin du travail, il s’agit d’un dispositif supplémentaire en plein développement. La téléconsultation en santé au travail atteint 15 % des visites depuis le début de la crise sanitaire. Pour Laurent Eecke, le directeur du SST 24: " cette innovation permet de couvrir certaines zones isolées, ne disposant ni de centres annexes, ni de maisons de santé. Pour le médecin du travail et le salarié, cela évite aussi de longs déplacements, qui peuvent parfois occasionner une heure de route pour le seul trajet aller ". Sécurité et confidentialité L’application de télé-santé est sécurisée et l’examen reste confidentiel. Le secret médical est respecté. Le salarié signe une feuille de consentement pour la téléconsultation. Le médecin du travail s’identifie avec sa carte professionnelle de Santé/ CPS. Il remettra ensuite une attestation de suivi ou un avis d’aptitude qui sera transmis au salarié, a posteriori, par courrier électronique. S’il le juge nécessaire en fonction de l’examen clinique, il délivrera un courrier destiné à son médecin traitant. Cette innovation a nécessité un investissement de 10 000 euros en matériels pour la téléconsultation. Le Service de santé au travail de Dordogne souhaite faire évoluer ce prototype et espère que ce dispositif sera amélioré et étendu à d’autres territoires. Visiblement séduit par cette première périgourdine, le secrétaire d'Etat envisage de faire la promotion des téléconsultations et de ce dispositif dans d’autres départements. Par Claude-Hélène Yvard Crédit Photo : Claude-Hélène Yvard
La plateforme d'information et de rencontres pour la santé, la sécurité et la qualité de vie au travail Une unité mobile de téléconsultation de méde- cine du travail émerge en Dordogne management-sst - Médecine du travail 22/04/2021 Le service de santé au travail de Dordogne est le premier en France à proposer des consultations à distance, par l’intermédiaire d’un camion connecté. Dans le camion connecté du SST 24 il y a deux personnes : un chauffeur et une infirmière. Le pre- mier est chargé de conduire le camion d’entreprise en entreprise, mais aussi de recevoir les salariés et de pratiquer les examens complémentaires (audition et vision). L’infirmière quant à elle est véri- tablement « la main du médecin » a distance. Le médecin, lui, est ailleurs, visible grâce à un écran. Le camion est équipé d’outils connectés : stéthoscope cardiaque et pulmonaire, otoscope (pour vi- sualiser le conduit auditif) et smartphone. Le tout pour que le médecin, à distance, puisse mener sa consultation. Ce système permet aux médecins du travail d’ausculter plus de salariés et donc de gagner du temps. Le secrétaire d’Etat chargé de la santé au travail, Laurent Pietraszewski, est récemment venu visiter le dispositif du SST 24. En savoir plus : • Le service de santé au travail de Dordogne • Le reportage de France 3 Périgord sur l'unité mobile
Le Démocrate 22 avril 2021 Jeudi 22 avril 2021 | www.ledemocratedebergerac.fr Bergeracois Jeudi 22 avril 2021 | www.ledemocratedebergerac.fr 14 14 Bergeracois Un projet de jardin Un solidaire projet de jard est en cours d’élaboration est en cours d’é 1 . Le secrétaire d’Etat venait découvrir la première télé-consultation mobile en santé au travail 1 de France. Un camion sillonnera les routes de Dordogne . Lepour secrétaire d’Etat venait aller directement découvrir dans la première télé-consultation mobile en santé au travail les entre- prises périgourdines. de France. Un camion sillonnera les routes de Dordogne pour aller directement dans les entre- prises périgourdines. SANTÉ AU TRAVAIL SANTÉ AU TRAVAIL QUEYSSAC Le maire est fier de présenter son projet du moment QUEYSSAC Le m Un secrétaire d’Etat en visite d’Etat en visite mom Un secrétaire Dans le charmant village de Queyssac, l’équipe municipale travaille sur un projet de Dans le charmant village de Queyssac, dans le Bergeracois jardin solidaire avec parcours de santé. unl’équipe municipale poulailler complèteratravaille sur un projet l’aménagement dede dans le Bergeracois Les travaux du verger ont déjà commencé, les jardin cet espace solidaire ludique avec parcours des et éducatif, de santé. membres un po premières plantations ont eu lieu en février Les travauxdu volontaires duConseil verger ont déjà commencé, municipal s’occupant les cet es et se poursuivront à l’automne. L’entretien depremières nourrir et plantations de choyer les ontgallinacés. eu lieu en février volon sera durable, sans pesticides et un arrosage et se poursuivront à l’automne. Le projet se développe également autour d’un L’entretien de no intégré est prévu. Le maire explique : « nous sera durable, parcours sanséquipé de santé, pesticides et undont d’agrès arrosage cer- Le pr CREYSSE Laurent Pietraszewski, Secrétaire CREYSSE d’Etat Laurent Pietraszewski, Secrétaire d’Etat avons pris conseil auprès du Conservatoire des espèces du Lot-et-Garonne, car nous voulions y intégré tains avons pourestles pris prévu. conseil Le maire enfants explique parcours et un nouveau auprès du : « nous Conservatoire de randonnée sera prochainement ouvert.des parco tains chargé de la santé au travail, chargé s’est déplacé à Creysse de la santé au travail, s’est déplacé à Creysse planter de vieilles variétés de fruitiers adaptées à notre climat ». Leespèces coût deducette Lot-et-Garonne, planter de vieilles subventionné opération (84car 000 variétésdede60% à hauteur nous€)voulions fruitiers par la est adaptées y CAB et à de ra Le co puis à La Force, le jeudi 15 avril. puis à La Force, le jeudi 15 avril. Des animations y seront organisées pour notre climat ». l’Etat, la part de la commune étant financée Des emprunt. animations y seront organisées pour subve l’Etat découvrir la vie des arbres, de la floraison sans à la récolte en passant par la production Etdécouvrir la vie des F. Papatanasios arbres, conclut : «deNous la floraison voulons sans et les greffes. Un apiculteur se joindra aux à la récolte montrer que laenrelation passanthumaine par la production est notre Et F. jardiniers et les enfants pourront grappiller et les greffes. Un apiculteur se joindra priorité, qu’il est important de conserver leaux lien mont framboises et groseilles pour en déguster les jardiniers social, et les enfants en développant sanspourront grappiller cesse de nouveaux priori 2 . Ce service per- framboises projets pour laetpopulation groseilles pour ». en déguster les socia saveurs. 2 mettra à certains . Ce service per- projet Une truffière sera installée surmettra le coteau et saveurs. Mairie : 05 53 24 23 62 - www.queyssac.com salariés d’éviter à certains Une truffière sera installée sur le coteau et Mair de faire plusieurs salariés d’éviter kilomètres pour leur de faire plusieurs Un programme de Un restauration visite de médecine du kilomètres pour leur travail. A l’inverse, il programme de visite de médecine du travail. A l’inverse, il doit permettre de restaurer l’église permet également au doit permettre de re médecin d’économiser permet également au son temps. Primordial médecin d’économiser quand on se trouve son temps. Primordial dans un désert quand on se trouve médical. Aujourd’hui, dans un désert le Service de Santé au médical. Aujourd’hui, travail de Dordogne le Service de Santé au (SST24) dispose de 16 travail de Dordogne médecins et d’autant (SST24) dispose de 16 d’infirmières. médecins et d’autant d’infirmières. 3 43 . A gauche, Laurent Pietraszewski. A droite, . Vilgo fabrique des cannes anglaises. Avec 4JEAN D’EYRAUD Philippe François, président du Service de . Acrise la gauche, Laurent sanitaire, Pietraszewski. l’entreprise A droite, de F. Jude . Vilgo fabrique des cannes anglaises. Avec Santé au travail en Dordogne. Philippes’est (photo) François, aussi président du Service tournée vers de la produc- la crise sanitaire, l’entreprise de F. Jude La restauration de l’église est soutenue par la Santé au travail en Dordogne. tion de distributeur de gel hydroalcoolique. ST (photo) s’est aussi tournée vers la produc- Fondation du Patrimoine La re tion de distributeur de gel hydroalcoolique. ST JEAN D’EYRAUD Fond L’église paroissiale Saint-Jean-Baptiste située au cœur du village de Saint Jean d’Eyraud L’église paroissiale Saint-Jean-Baptiste située dans la commune de Eyraud-Crempse-Mau- au cœur du village Aujourd’hui de Saint Jean un programme d’Eyraud de travaux est rens est inscrite à l’inventaire supplémentaire dans-lapour lancé commune de Eyraud-Crempse-Mau- un montant total de 360 000€ - Aujou des Monuments Historiques depuis 1946. rens qui estpermettre, doit inscrite à l’inventaire entre autres, supplémentaire de restaurer lancé Cette petite église romane du XIIème siècle lades Monuments maçonnerie, lesHistoriques depuis 1946. parements extérieurs et qui d possède un porche en plein cintre, un Cette petite intérieurs église ainsi queromane du et les vitraux XIIème siècle les couver- la ma clocher trapu qui dissimule une coupole abri- possède tures, un porche de protéger en plein l’édifice de cintre, la foudreunet de intér tant l’autel terminé par une abside voûtée ; clocher refaire trapu qui dissimule l’installation une coupole abri- électrique. tures quelques vitraux remarquables datant des Latant l’autel terminé Fondation par une aabside du Patrimoine choisivoûtée d’aider ; refair 19e et et début du 20e siècles décorent les cequelques projet etvitraux remarquables toute personne datant des peut contribuer La Fo parois intérieures de l’édifice. à19e et et début le financer, en du 20e siècles faisant un dondécorent les qui bénéficie ce pro 5 . Le Secrétaire Des travaux de restauration ont déjà eu lieu paroisréduction d’une intérieures de l’édifice. d’impôt. à le fi d’Etat s’est plusieurs fois sous la direction. Lede Secrétaire l’architecte Des travaux de restauration ont déjà eu lieu d’une ensuite rendu en d’Etat s’est plusieurs fois sous la direction de l’architecte
DL PÉRIGORD Vendredi 16 avril 2021 9 BERGERACOIS Dordogne Libre NASTRINGUES Une maison en feu Un camion mobile de16 avril 2021 Un incendie s’est déclaré hier vers 9 h 30 dans une maison de 100 m² située dans le bourg. Le feu serait parti télésanté au travail à l’essai d’un poêle à bois et se serait propagé à la charpente détruisant un quart de la toiture. Les six membres de la famille habitant la maison Le Service de santé ont été relogés par la mairie. au travail a mis en place un dispositif SAINT-PARDOUX- de téléconsultation LA-RIVIÈRE dans un camion Intoxiqué en voulant aménagé. éteindre un incendie Objectif : aller Hier vers 10 h 15, les sapeurs- d’entreprises en pompiers sont intervenus au entreprises pour lieu-dit La Peyronnie pour un incendie qui avait pris sous un éviter aux salariés escalier extérieur attenant à de se déplacer. une maison. Le feu avait pris sur un tas de détritus qui y Une infirmière étaient stockés. L’incendie a mène l’entretien été rapidement maîtrisé par les sapeurs-pompiers mais un médical. des habitants de la maison qui Marine PETIT avait tenté d’éteindre le feu a m.petit@dordogne.com été légèrement intoxiqué par les fumées et transporté à ans la cour de l’entre- l’hôpital de Périgueux. D prise HMS-Vilgo, un étonnant camion est garé sur le parking. Le Service interentreprise de santé au travail de Dordogne (SIST 24) BOURNIQUEL Blessé après avoir a mis en place ce poids lourd Laurent Pietraszewski, secrétaire d’État chargé de la santé au travail, a fait une simulation d’une visite mis le feu à un médicale avec l’infirmière et le médecin en visioconférence. PHOTO DR dédié à la téléconsultation. Une tunnel agricole première unité mobile pour réali- 15 % des consultations se font Une fois les premiers examens dent du Service de santé au tra- ser sa visite médicale sans avoir à déjà à distance », ajoute-t-il. réalisés, une connexion vidéo se vail de Dordogne. « Et une heure Un plombier de 38 ans s’éloigner de son travail. Cette première unité mobile de fait avec le médecin. « Je de route faite par le salarié est travaillait hier matin sur une Pour l’occasion, Laurent télésanté en France se déplace m’occupe de la manipulation et il une heure de perdue », admet installation dans un tunnel Pietraszewski, secrétaire d’État d’entreprises en entreprises pour entend et voit tout. Comme une Laurent Eecke. à volailles. Vers 11 h 25 après chargé de la santé au travail, est rencontrer les salariés jusqu’à consultation normale », ajoute-t- Dans le département, le SIST avoir fait une soudure au venu visiter ce service de santé trente à quarante minutes de elle. Si besoin, cette dernière s’occupe de près de 66 000 sala- chalumeau, il s’est absenté sur roues à Creysse. « C’est un Bergerac. Une infirmière mène la prend du temps pour discuter, riés et 8 600 chefs d’entreprises quelques instants. À son lien entre la médecine du travail consultation et un médecin seule, avec le salarié à la suite de qui ont leurs droits. « On a beau- retour, il s’est rendu compte et les employeurs », résume-t-il. supervise la visite médicale à dis- la visio. « C’est une médecine du coup de monde à surveiller, mais qu’un début d’incendie s’était tance. travail de proximité et tournée on veut servir aussi bien les déclaré dans la paille. Il a alors Une infirmière sur place, Dans ce prototype de première vers l’avenir. On répond à des entreprises des campagnes que tenté de maîtriser le sinistre un médecin à distance génération, l’infirmière effectue besoins tout en restant celles situées dans les agglomé- mais il a été brûlé par du différents contrôles sur le salarié. humains », ajoute Laurent rations », assure Philippe plastique fondu provenant En phase de test, le camion du « On écoute le cœur, on surveille Pietraszewski. François. du tunnel qui lui est tombé SIST 24 est déjà opérationnel. les tympans et la capacité respi- Avec le chauffeur du poids lourd, Cette initiative pourrait se déve- sur la tête et sur les bras. « C’est un projet pilote de télé- ratoire », explique Mélissa Le seule l’infirmière se déplace dans lopper dans d’autres départe- Légèrement brûlé, il a été santé mais il faut savoir que Mindu, l’infirmière. les entreprises. Le médecin reste ments selon les besoins des sala- transporté au centre à son cabinet ou simplement riés et des travailleurs. « Comme hospitalier de Périgueux chez lui. « Avec cette cabine, on le test fonctionne bien, le but est Des créneaux est capable de venir sur site sans local et on n’est pas obligé de de pouvoir tourner encore plus dans les territoires qui n’ont pas pour y être soigné. SERVICE PUBLIC de vaccination au SIST 24 faire déplacer tout le monde », constate le secrétaire d’État. de maison de santé ou qui en sont trop éloignés », conclut Laurent Eecke. Trois nouveaux À l’écoute des salariés Depuis un décret entré en espaces France vigueur en 2017, la visite médi- La structure du camion est quant cale est désormais fixée à tous les service labellisés à elle historique. « On a gardé un cinq ans pour les salariés. Quatre de nos véhicules tout en le digita- ans pour les salariés affectés à un C’est le 1er avril dernier que lisant. On fait du neuf avec du poste à risque. l’Agence nationale de cohésion vieux », sourit Laurent Eecke, Par ailleurs, le SIST 24 recrute du territoire a labellisé trois directeur du SIST 24. des psychologues pour répondre nouvelles structures France Cette démarche de médecine aux besoins « car il y a beaucoup Services. Ces nouveaux ambulante « suit l’évolution de la de fatigue dans les entreprises. espaces sont implantés sur les société et les différents problè- On fait évoluer les effectifs en communes d’E Eymet, Saint- mes que l’on peut rencontrer », fonction de la société et de la Martial-de-Nabirat et Lalinde poursuit Philippe François, prési- démographie ». et sont portés par les communautés de communes auxquelles elles adhèrent. Ces nouveaux espaces s’ajoutent au treize déjà existants sur le département (Nontron, Les salariés, volontaires, âgés de 55 à 69 ans, peuvent se faire vacciner Lanouaille, Thenon-Hautefort, avec l’AstraZeneca au Service de santé au travail à Périgueux. Pays de Belvès, Mussidan, Coulounieix-Chamiers, Saint- Depuis une quinzaine de jours, le vaccin AstraZeneca. Les Cyprien, Val-de-Louyre-et- le Service de santé au travail dates de rendez-vous sont plus Caudeau, Mareuil-en-Périgord vaccine des salariés volontaires ou moins rapides « en fonction Château-l’Évêque, Sorges-et- à son siège social de Périgueux des doses. Il y a environ une Ligueux-en-Périgord, et à son centre de Bergerac. dizaine de personnes qui se font Montignac-Lascaux, La Force). « Les salariés nous appellent et vacciner les vendredis ». Ainsi, à ce jour, seize France ont les inscrits sur des listes », Mais « on pourrait vacciner Services ont été labellisées. explique Valérie Desfrançois, encore plus de salariés si on Et un maillage de trente-trois chargé de communication avait les doses », ajoute-t-elle. espaces est prévu d’ici 2022. du SIST 24. Quatre médecins du travail du Annoncés par le président de Cette campagne de vaccination dispositif « peuvent se mettre la république en 2019, ces concerne les salariés d’une disponibles pour vacciner les espaces répondent à un entreprise, âgés de 55 à 69 ans. salariés » en cas d’accélération Le secrétaire d’État a rencontré Mélissa Le Mindu, l’infirmière qui opère besoin de ramener le service Les piqûres sont réalisées avec de l’opération. dans le camion aménagé du SST. PHOTO DL public au cœur des territoires.
Sud Ouest 16 avril 2021 SANTÉ AU TRAVAIL La première unité ma bile de France Laurent Pietraszewski, secrétaire d'État chargé des Retraites et de la Santé au travail, a rencontré jeudi 15 avril les représentants du Service inter-entreprises de la santé au travail de la Dordogne Marjorie Ansion ruer une consultation, qui va à sec.bergerac@sudouest.fr la rencontre des salariés. « Le médecin reçoit en direct les C 'était une visite chrono résultats des premiers exa métrée. Jeudi 15 avril, mens réalisés par l'infirmière. Laurent PieLraszewski, Ensuite, il poursuit la consul secrétaire d'État chargé des Re tation en visio, grâce à l'ordi traites et de la Santé au travail, nateur installé au fond du ca est venu découvrir le projet mion», détaille Philippe Fran d'unité mobile de télésanté au çois, président du service in Lravail porté par le Service in ter-entreprises de la santé au ter-entreprises de la santé au travail de la Dordogne. travail de la Dordogne. Une pre mière en France. Le médecin gagne du temps Pendant quarante-cinq mi Pour le secrétaire d'État,« cette nutes, il a découvert le camion unité mobile, c'est la solution aménagé pour les téléconsul pour déplacer la médecine du tations des employés du dé travail et permettre d'être sur partement, qui était installé tout le territoire. [ ... [C'est diffi sur le parking de l'entreprise cile de couvrir ce département. spécialisée dans le matériel Souvent, il faut prendre sa voi médical HMS-Vilgo, à Creysse, ture et faire 30 kilomètres pour près de Bergerac. aller voir le médecin du tra Ce camion a pour but de ser vail». vir aux 66 ooo salariés du res Si la télémédecine se veut sort du Service inter-entre- dans l'air du temps, une autre raison anime cette innova tion : « gagner du temps», sim plifie Philippe François. Selon « Une médecine du lui, « sur les 16 médecins que travail moderne et nous avons [NDLR: dans le ser vice], chaque jour, c'est l'équi Laurent Pietraszewskl, secrétaire d'i:ta1 chargé des Retraites et de la Santé au travail, était à Creysse tournée sur l'avenir » valent d'un médecin qui passe jeudi 15 avril pour découvrir le camion de téléconsultation de la médecine du travail. MAAJORIEANSION son temps sur la route». Le fait prises de la santé au travail de que le professionnel puisse L'investissement pour le doter Laurent Pietraszewski s'est « Avec ce camion, vous incar la Dordogne, ce qui représente rester dans son cabinet « per du matériel médical néces dit « prêt à revenir » en Dor- nez le« aller vers», a-t-illancé à B 600 entreprises. Le principe: met d'avoir plus de souplesse saire est d'environ ID ooo eu dogne lorsque ce prototype au- Philippe François. « Merci à le médecin reste dans son ca et de proximité», insiste-t-il. ros, financé par l'institution ra évolué. Et a annoncé qu'il en vous de mettre en place cette binet, derrière son écran d'or sur ses fonds propres. « C'est ferait « la publicité auprès réponse pour les besoins à la dinateur. C'est l'infirmière, qui 10 000 euros investis un prototype pour l'instant, il d'autres départements». Le se- fois des employeurs et des sala se trouve à bord du véhicule ce camion appartenait déjà au va évoluer. Nous espérons dé crétaire d'État n'a pas manqué riés, et d'avoir une médecine comprenant tour le matériel service inter-entreprises de la velopper cette unité à l'ave de vanter cette initiative, qui du travail moderne et tournée médical nécessaire pour effec- santé au travail de la Dordogne. nir», a ajouté le président. est une première en France. sur l'avenir.»
Première unité mobile de téléconsultation en santé au travail Par Christine RIBEYREIX 16 avril 2021 153 SANTÉ AU TRAVAIL. Le secrétaire d’État chargé des retraites et de la Santé au travail, Laurent Pietraszewski, a rencontré les représentants du Service de Santé au Travail Dordogne (SST24) jeudi 15 avril. Il a pu mesurer le caractère innovant de l’unité mobile dédiée à la téléconsultation en santé au travail : une première en France. Laurent Pietraszewsi a ainsi pu tester lui-même le camion connecté et aménagé, installé sur le parking de l’entreprise HMS-Vilgo, à Creysse. Cette unité dédiée, en phase de test depuis quelques mois, permet de réaliser les visites médicales en téléconsultation. L’infirmière disposant de tous les outils médicaux connectés (stéthoscope cardiaque et pulmonaire, otoscope) est “la main du médecin” à distance. Ce dernier reçoit en direct les résultats et poursuit la consultation en visio, avec la possibilité de recevoir des photos complémentaires si besoin. Allier tradition de proximité et nouvelles technologies Pour le médecin du travail, il s’agit d’une méthode supplémentaire qui se développe depuis le début de la pandémie et atteint désormais 15 % de la totalité des visites. Loin d’être une pratique déshumanisante, il s’agit selon Laurent Eecke, directeur du SST24, « de couvrir certaines zones blanches ne disposant pas de centres annexes ni de maisons de santé pluridisciplinaires. » Le camion peut ainsi se rendre sans difficulté dans ces secteurs. C’est aussi une alternative sur un territoire géographique étendu comme celui de la Dordogne, où il est fréquent qu’un médecin ait plus d’une heure de route pour rencontrer un salarié, et « une heure de route, c’est une heure de perdue ». L’unité mobile dédiée permet dans ces cas-là de gagner en souplesse et en proximité. Le médecin reste dans son cabinet et gagne également un temps précieux.
Dans cette période sanitaire compliquée mettant à rude épreuve le monde du travail, qu’il s’agisse des salariés ou des chefs d’entreprise, on peut se demander si la téléconsultation n’entrave pas la confiance que l’on place dans un médecin, du fait de la médiation de l’outil connecté. Testée pour les salariés expatriés, la téléconsultation a été notamment utilisée en psychiatrie. De nombreuses évaluations de ces expériences, basées essentiellement sur les entretiens verbaux, révèlent qu’elle n’est pas un frein, tout au contraire, à la libération de la parole, pour les professionnels comme pour les patients. Il ne s’agit pas pour autant selon Laurent Eecke de généraliser une pratique « non adaptée pour certains examens impérieux ne pouvant se pratiquer à distance : une coiffeuse dont la coiffe du rotateur est abîmée par des années de pratique devra être examinée en présentiel. » Un prototype qui ne demande qu’à évoluer Propriété du Service de Santé au Travail Dordogne, le camion a nécessité un investissement de 10 000 euros pour être doté du matériel médical connecté, indispensable pour la téléconsultation. Philippe François, président du SST24, ne compte pas en rester là et envisage de faire évoluer le prototype afin de développer ce dispositif d’unité mobile. Le secrétaire d’État a salué la réponse innovante apportée par le SST24 « qui s’adapte à son milieu et sait répondre aux besoins des salariés et des employeurs», ajoutant qu’il ne manquerait pas d’en faire la promotion auprès d’autres départements. Voir le reportage ICI
Périgueux 89.9/Bergerac 90.2) lundi 10 mai dans les flashs d’info de 6h, 6h30, 7h30, 8h30 et 9h Philippe FRANCOIS, Président du SST 24, évoque au micro de Florian Friquet, la télésanté, le maintien en emploi et la labellisation Maison Sport santé Ecouter les flashs d’infos : 7h30 (1:50) 8h30 (1:53) 9h (1:53)
Visite gouvernementale pour une première nationale en Bergeracois 16 avril 2021 Le secrétaire d'Etat en charge de la santé au travail, Laurent Pietraszewski, était de passage en Bergeracois ce jeudi. Il s'est rendu à Creysse, sur le site de l'entreprise HMS-Vilgo, afin de découvrir une première en France : une unité mobile de télésanté au travail présentée par le SST-24, le Service de Santé au Travail de Dordogne. De l'extérieur, c'est un camion tout ce qu'il y a de plus banal, qui est stationné sur le parking d'entrée de l'entreprise. Mais une fois à l'intérieur, on se croirait dans un vrai cabinet médical équipé de tout le matériel nécessaire. Le salarié-patient est d'abord accueilli par le chauffeur, également assistant, qui va s'occuper des premiers examens. Puis une infirmière en santé au travail prend le relais, devenant les mains du médecin non présent physiquement, mais tout de même capable de faire sa consultation à distance, grâce au matériel connecté. Comme l'explique Mélissa Le Mindu, l'infirmière du projet pilote.
« On a un otoscope (pour le tympan et le conduit auditif, Ndlr), on a un stéthoscope cardiaque et pulmonaire. Je fais mes manipulations, mes examens, et seul le médecin entend. Il me demande de déplacer le stéthoscope en haut, en bas, à droite, à gauche... Et après, c'est une consultation dite normale où le salarié échange avec le médecin sur la visite. » Plus de proximité Après une première téléconsultation symbolique, le secrétaire d'Etat est conquis. Il faut dire que ce service innovant pallie le manque de médecins du travail, tout en répondant à une demande de proximité des services. « De mettre en place cette réponse aux besoins, à la fois des employeurs et des salariés, c'est d'avoir une médecine du travail de proximité, moderne, tournée vers l'avenir. C'est trouver des solutions pour répondre aux besoins d'aujourd'hui et de demain », a déclaré le secrétaire d'Etat. Pour le président du SST 24, Philippe François, cette facilité de déplacement est surtout un gain de temps et de productivité pour les quelque 66.000 salariés et leurs employeurs qui n'ont plus à faire des kilomètres pour une consultation ; mais aussi pour les médecins qui passaient souvent plus de temps sur la route qu'en consultation. Présentation du nouveau prototype d'unité mobile de télésanté au travail à venir.
Encore en phase-test, la prochaine étape désormais pour l'unité mobile est de valider les premiers retours positifs, comme le rappelle le co-directeur du SST Dordogne, Laurent Eecke. « Là maintenant, c'est de pouvoir la faire tourner encore plus, et par rapport à des sites, des territoires qui sont sur des zones que j'appelerais un peu blanches pour être desservi par le médecin du travail : trop loin du centre principal, pas de centre annexe sur lequel consulter en dur... Le camion peut aller, lui, n'importe où. » Coup de pouce du confinement Quant à savoir si la télémédecine vous convient, il ne vous reste qu'à l'essayer. Selon le co-directeur, des études montreraient qu'il est, au final, plus facile de parler à son médecin via un écran. Une nouvelle façon de pratiquer dont l'acceptation aurait, toujours selon le professionnel, grandement été facilitée par les trois mois de confinement de mars dernier. Notez enfin cette deuxième innovation du SST Dordogne annoncé hier : Depuis fin mars, c'est le premier service de santé au travail de France a être labellisé Maison Sport-Santé par le ministère des Sports, et celui des Solidarités et de la Santé. Texte et photos : Nelly Albérola. Légende photo principale : En premier plan, le président du SST 24, Philippe François, et le secrétaire d'Etat en charge de la santé au travail, Laurent Pietraszewski. En second plan, de gauche à droite, le maire de Creysse et président de la CAB, Frédéric Delmarès, le député Michel Delpon et le préfet de Dordogne, Frédéric Périssat. Ecouter le reportage ICI
Philippe FRANCOIS, Président du SST24 Interview, le 26/04/2021, dans l’émission Local Actu Ecouter ICI
EN IMAGES - Cette visite médicale à distance en Dordogne est une première en France Laurent Pietraszewski était ce jeudi en Dordogne. Le secrétaire d'Etat chargé des Retraites et de la Santé au Travail est venu à Creysse pour visiter la toute première unité mobile dédiée à la santé, une première en Périgord et en France ! Jeudi 15 avril 2021 à 21:47 - Par Flavien Groyer, France Bleu Périgord, France Bleu Un médecin du travail réalise la visite médicale à distance © Radio France - Flavien Groyer C'est une première en Périgord et en France ! Le Service de Santé au travail de Dordogne a mis en place le tout premier camion connecté pour réaliser des visites médicales à distance. Il se déplace directement sur le site des entreprises. Invité par le SST, le secrétaire d'Etat chargé de la Santé au travail, Laurent Pietraszewski est venu visiter cette unité mobile à Creysse près de Bergerac. Laurent Pietraszewski (à droite) en visite dans le camion connecté - Valérie Desfrançois SST24 Une télé consultation presque... comme les autres Le salarié est assis sur un fauteuil, le médecin n'est pas sur place. Il apparaît en vidéo sur un ordinateur en direct. Une infirmière l'assiste (c'est la main du médecin) et prend le pouls du patient. Magie de la technologie, le docteur entend le cœur du patient comme s'il y était : "J'entends tous les battements du cœur du monsieur, je peux compter le nombre de pulsations. J'entends aussi bien, presque mieux !" explique Roland Alary, le médecin du travail. Il effectue ensuite une visite médicale professionnelle classique. Le camion dispose également d'un otoscope connecté pour visualiser le conduit auditif. Ce dispositif permet aux médecins d’ausculter plus de salariés et de gagner du temps comme l'explique Philippe François, le président du service de santé au travail de la
Dordogne et qui a joué le cobaye pour la démonstration: "On arrive a plus d'efficacité car au lieu d'être en voiture, le médecin reste à son bureau". Et Roland Alary ajoute : "Je dois voir cinq patients. Avec un système normal je n'aurais peut-être pas pu voir ces salariés avant un mois car il y a une carence de médecin du travail. Avec ce dispositif, je peux les voir plus rapidement". Cette première en France est saluée par le secrétaire d'Etat Laurent Pietraszewski présent à Creysse : "C'est très difficile de couvrir ce département et il faut parfois faire 30 km pour aller voir un médecin du travail. Vous incarnez le Allez Vers". Le ministre qui compte bien faire la publicité de ces téléconsultations dans d'autres départements. Reportage ICI
France 3 Périgords, 18h50, le 15 avril 2021 Voir le reportage ICI
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