Revue de presse Mise à jour Septembre 2017 - Ca Me Regarde

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  Mise à jour Septembre 2017
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Janvier
                                            2017

Extrait de l'article de L'Usine nouvelle
n° 3499 du 19 au 25 janvier 2017"
Revue de presse Mise à jour Septembre 2017 - Ca Me Regarde
Janvier
 2017
Décembre
                                                        2016

Encadrées et soutenues par les entreprises, les journées de
repos dédiées à des actions citoyennes et sociales se
développent. Cette forme de bénévolat collectif bénéficie
à des associations humanitaires. Un dispositif qui favorise
l’engagement des salariés. Que ce soit dans la société ou
dans l’entreprise.

Pour ces salariés, RTT ne rime pas toujours avec jour chômé
ou week-end prolongé. Le temps d’une journée, ils préfèrent
se retrousser les manches plutôt que se reposer. Leurs
tâches ? Trier des vêtements pour les démunis, collecter des
denrées destinées à une épicerie sociale, aménager les
locaux d’une association caritative ou créer un jardin
partagé… Dans le groupe d’assurance Covéa (Maaf, MMA,
GMF), le dispositif des RTT solidaires a été généralisé cette
année à l’ensemble de ses 20 000 employés. Depuis
septembre dernier, 150 volontaires se sont inscrits à des
chantiers solidaires au cours d’une vingtaine de journées.
« Fidèles à nos valeurs mutualistes, nous avons souhaité que
nos collaborateurs puissent donner de leur temps en
apportant leur aide à une association », explique Renaud
Pesesse, responsable des projets RH. Et ce genre d’initiative
est loin d’être un cas isolé. La Poste, Axa, Macif, ou encore
le cabinet d’audit et de conseil Deloitte donnent l’occasion
à leurs salariés de s’investir dans des activités sociales.

Lien vers l’article complet : http://jgarcialopez.over-
blog.com/2016/12/rtt-solidaires-les-volontaires-s-engagent-
pour-la-bonne-cause.html

Auteur(s) : Par José Garcia Lopez
Paru dans Entreprise & Carrières, N° 1314 du 06/12/2016
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Économie sociale
Les modalités collaboratives du mécénat d’entreprise
Le mécénat collaboratif s’impose dans les mœurs des entreprises. Cas concrets.

Le mécénat d’entreprise, qui reprend de la vigueur pour la première fois en 2016, tend à devenir plus
incarné, en systématisant l’implication de l’ensemble des collaborateurs. Les acteurs traditionnels ou
les nouveaux intermédiaires rivalisent d’ingéniosité pour élargir la palette des engagements
possibles : micro-don financier, mécénat de compétences, congé solidaire… Les entreprises y voient
l’occasion de générer de la fierté, décloisonner en interne, répondre aux salariés en quête du sens.
Ces investissements personnels sont, pour les associations et fondations, un gage de pérennité du
partenariat avec l’entreprise.

[…]

Ségolène Delahalle
cofondatrice de Ça me regarde, société coopérative et participative (Scop) qui accompagne les
entreprises dans le développement de leur implication citoyenne

Dans quel but les entreprises font-elles appel à vous ?
Notre objectif est de sortir les collaborateurs de l’entreprise mais aussi de leurs domaines d’expertise :
nous nous distinguons du mécénat de compétences car nous avons l’intention de “faire tomber le
costume”. Nous proposons à nos clients des missions collectives d’une ou deux journées, avec 5 à
400 personnes, mais notre cœur de cible est le groupe de 30-40 personnes. Les salariés travaillent
avec des associations proches de l’entreprise ou de son lieu de séminaire, soit en se portant
volontaires, soit lors de séminaires solidaires.

Quelle est la promesse des séminaires solidaires ?
Il s’agit d’amener de la solidarité dans l’entreprise et de révéler le meilleur de chacun. Nous essayons
de faire germer l’envie d’améliorer le quotidien de l’entreprise, d’y apporter plus de bienveillance.
Les séminaires solidaires peuvent remplacer les activités de type karting ou paintball. Les
collaborateurs qui n’ont jamais travaillé dans ce milieu sont mis à l’aise. Nous faisons un débriefing en
fin de journée pour récupérer les verbatims de chacun. Ils font souvent part de leur fierté et de leur
étonnement. Les collègues se découvrent sous un nouveau jour, certains deviennent bénévoles.

Comment s’organise la rencontre des entreprises et du monde associatif ?
Nous cherchons à comprendre le besoin de l’entreprise puis nous cherchons un projet : par exemple,
faire du maraîchage avec des personnes en insertion, ou réaliser l’inventaire dans une épicerie
solidaire. Il y a eu des pionniers du côté des entreprises et des associations. Au début, ces dernières
étaient un peu frileuses. Puis une association s’est dite intéressée. Elle proposait de l’accueil de jour
pour les SDF, mais ne voyait pas ce qu’elle pouvait proposer à un groupe de salariés. En nous
rendant dans les locaux, nous avons vu qu’elle avait un potager abandonné, et nous avons proposé
que l’entreprise paie une clôture que les salariés viendraient poser. Et depuis le 1er janvier 2012, nous
avons travaillé avec 90 entreprises, réalisé un peu plus de 200 opérations solidaires au profit d’une
soixantaine d’associations.

Lien vers l’article complet : https://www.lenouveleconomiste.fr/lesdossiers/les-
modalites-collaboratives-du-mecenat-dentreprise-61176/

Auteur(s) : Par Solange Brousse
Juin 2017

Une deuxième édition de l’opération « Solidarité Au Sens
Propre » avec le Samusocial.
Après une première édition très encourageante, l’opération SOLIDARITÉ AU SENS
PROPRE se lance dans une seconde édition. L’opération vise à collecter auprès
des entreprises et de leurs salariés un maximum de produits d’hygiène et de soin
au profit du Samusocial de Paris. SOLIDARITÉ AU SENS PROPRE se déroule en deux
temps, une période de collecte puis une immersion au sein de l’association pour
les salariés « ambassadeurs ».

De consommation courante, les produits collectés seront ensuite distribués aux
personnes hébergées dans les centres d’urgence et fréquentant les espaces
d’accueil de jour, soit environ 50 000 hommes et femmes en Ile-de-France. Les
produits peuvent être par exemple des brosses à dents, du shampoing, du savon
ou du gel douche neutre, des peignes et brosses à cheveux, des rasoirs et de la
crème à raser ou bien encore, pour les enfants, des couches, des lingettes, des
serviettes hygiéniques ou du lait de toilette.

Une opération en deux temps pour les participants.
Du 19 au 29 septembre 2017, ce sera la collecte. Les produits de soins et d'hygiène
sont récoltés dans les entreprises. Les 12 et 13 octobre 2017, lors de l'immersion, les
salariés volontaires de l'entreprise se rendront au cœur de la plate-forme logistique
du Samusocial de paris à Ivry-sur-Seine pour aider au tri des produits et aller à la
rencontre des travailleurs sociaux. Au moins un salarié volontaire de chaque
entreprise est invité à se rendre au siège du Samusocial de Paris pour trier les dons
et mieux comprendre leur utilisation. De retour dans l’entreprise, il pourra ainsi
témoigner de leur distribution et expliciter le sens de l’action. L’équipe Ça Me
Regarde, la SCOP qui pilote l'opération, organise et anime cette immersion avec
la présence des responsables de l’organisation.

Les entreprises sont totalement accompagnées dans la démarche.
Elles reçoivent un kit d’accompagnement pour aider à la communication, à
l'information et à l'animation de l'espace de collecte. L'entreprise est
accompagnée également dans la logistique d’enlèvement des dons et pour
l’inscription et l’encadrement des volontaires lors les demi-journées d’immersion et
de tri au Samusocial de Paris. Enfin, afin qu’elles puissent informer les participants,
un reporting global est envoyé à l'issue de l'opération à toutes les entreprises.

Cet article vous intéresse ? Retrouvez le en intégralité en suivant ce lien :
https://www.oneheart.fr/news/5938189f8ead0e920c71b5a7/2017-06-07-
une-deuxieme-edition-de-l-rsquo-operation-laquo-solidarite-au-sens-propre-
raquo-avec-le-samusocial#c0X1Wkf3mx
Juin 2017

Une deuxième édition de l’opération « Solidarité Au Sens
Propre » avec le Samusocial.
La 2e édition de l’opération SOLIDARITÉ AU SENS PROPRE de la Scop Ça Me
Regarde sera lancée en fin d’année. Le but ? Collecter un maximum de produits
d’hygiène auprès des entreprises d’Île-de-France et de leurs salariés, au profit du
Samusocial de Paris.

Collecte de produits d’hygiène et immersion des salariés
Afin d’améliorer le quotidien des 50 000 hommes et femmes hébergés en centre
d’urgence et fréquentant les espaces d’accueil de jour du Samusocial de Paris, la
Scop (Société coopérative et participative) Ça Me Regarde a décidé de lancer
l’opération SOLIDARITÉ AU SENS PROPRE. La 2e édition se déroulera en septembre
et en octobre 2017, en deux temps :
- du 19 au 29 septembre, une collecte de produits de soin et d’hygiène au
bénéfice du Samusocial de Paris se tiendra dans les entreprises participantes d’Île-
de-France                                                                                ;
- les 12 et 13 octobre, les salariés volontaires de ces entreprises iront aider au tri des
produits directement au siège du Samusocial de Paris à Ivry-sur-Seine.
Roxane Da Cunha, chef de projet solidaire chez Ça Me Regarde,
précise également : "Nous faisons aussi en sorte d'entendre les besoins exprimés
par l'association. Ainsi, cette année nous insisterons sur la nécessité de collecter
des produits destinés aux enfants."

Une 1ère édition en 2015, dont le bilan s’est révélé très positif
Afin d’assurer la réussite de l’opération, Ça Me Regarde accompagne les
entreprises en leur fournissant des affiches, des flyers et des cartons logotés,
destinés à sensibiliser les salariés et à les inviter à faire don d’articles d’hygiène. En
2015, la 1ère édition de SOLIDARITÉ AU SENS PROPRE avait été un grand succès :
près de 4 000 produits avaient été récoltés, dont environ 850 rasoirs, 700 savons et
gels douche, 185 paquets de mouchoirs et 95 articles pour bébés. Grâce à ces
produits “Plus de 300 personnes hébergées dans les centres d’urgence du
Samusocial de Paris ont ainsi bénéficié, chaque jour de l’année, des soins
d’hygiène participant à leur reconstruction" selon Aline Delettrez, Directrice du
mécénat et du bénévolat au Samusocial. Cinq entreprises (Mercer, EDF,
Candriam, Coca-Cola et Coved) avaient notamment participé, sur huit sites
différents, et 27 salariés ambassadeurs avaient été mobilisés au centre de tri du
Samusocial de Paris.

Cet article vous intéresse ? Retrouvez le en intégralité en suivant
ce lien :
https://www.carenews.com/fr/news/8200-operation-solidarite-
au-sens-propre-deuxieme-edition
Mai 2017

L’opération SOLIDARITÉ AU SENS PROPRE se lance dans une seconde édition

Après une première édition très encourageante, l’opération SOLIDARITÉ AU SENS PROPRE se
lance dans une seconde édition. L’opération vise à collecter auprès des entreprises et de
leurs salariés un maximum de produits d’hygiène et de soin au profit du Samusocial de
Paris.

SOLIDARITÉ AU SENS PROPRE se déroule en deux temps, une période de collecte puis une
immersion au sein de l’association pour les salariés « ambassadeurs ».

De consommation courante, les produits collectés seront ensuite distribués aux personnes
hébergées dans les centres d’urgence et fréquentant les espaces d’accueil de jour, soit
environ 50 000 hommes et femmes en Ile-de-France. Les produits peuvent être par
exemple des brosses à dents, du shampoing, du savon ou du gel douche neutre, des
peignes et brosses à cheveux, des rasoirs et de la crème à raser ou bien encore, pour les
enfants, des couches, des lingettes, des serviettes hygiéniques ou du lait de toilette.

Une opération en deux temps pour les participants
- Du 19 au 29 septembre 2017 - La collecte
Les produits de soins et d’hygiène sont collectés dans les entreprises.
- Les 12 et 13 octobre 2017 - L’immersion
Les salariés volontaires de l’entreprise se rendront au cœur de la plate-forme logistique du
Samusocial de paris à Ivry-sur-Seine pour aider au tri des produits et aller à la rencontre des
travailleurs sociaux.

Deux demi-journées de tri au Samu Social de Paris
Au moins 1 salarié volontaire de chaque entreprise est invité à se rendre au siège du
Samusocial de Paris pour trier les dons et mieux comprendre leur utilisation. De retour dans
l’entreprise, il pourra ainsi témoigner de leur distribution et expliciter le sens de l’action.
L’équipe Ça Me Regarde, la SCOP qui pilote l’opération, organise et anime cette
immersion avec la présence des responsables de l’organisation.

Les entreprises totalement accompagnées dans la démarche
Un kit d’accompagnement est fourni pour chaque entreprise ou site participant. Il
comprend :
L’entreprise est accompagnée également dans la logistique d’enlèvement des dons et
pour l’inscription et l’encadrement des volontaires lors les demi-journées d’immersion et de
tri au Samusocial de Paris.
Enfin, afin qu’elles puissent informer les participants, un reporting global est envoyé à l’issue
de l’opération à toutes les entreprises.

Cet article vous intéresse ? Retrouvez le en intégralité en suivant ce lien :
http://www.ressources-solidaires.org/L-operation-SOLIDARITE-AU-SENS
Mai 2017

Les entreprises invitées à participer à la deuxième opération « Solidarité au
sens propre »

Avec 4 000 produits d’hygiène et de soin récoltés, la première édition de « Solidarité au
sens propre » s’était conclue de manière très encourageante. L’opération, organisée par la
SCOP Ça Me Regarde au profit du SAMU social de Paris, est renouvelée pour une seconde
édition.

Solidarité au sens propre » vise à collecter, dans des entreprises, auprès des salariés, un
maximum de produits d’hygiène et de soin de consommation courante. Les produits
peuvent par exemple être des brosses à dents, du shampoing, du savon ou du gel
douche neutre, des peignes et brosses à cheveux, des rasoirs et de la crème à raser ou
encore, pour les enfants, des couches, des lingettes ou du lait de toilette.
Les produits collectés seront ensuite distribués aux gens hébergés dans les centres
d’urgence et fréquentant les espaces d’accueil de jour, soit environ 50 000 personnes en
Île-de-France.
« Donner un flacon de gel douche pour une personne sans abri est plus utile qu’on ne
l’imagine ! Bien plus qu’un simple geste de propreté, le soin d’hygiène quotidien contribue
à la réappropriation d’un corps oublié et à la restauration d’une estime de soi
défaillante », explique Aline Delettrez, directrice du mécénat et du bénévolat au SAMU
social.

Une opération en deux temps pour les entreprises et les salariés
« Solidarité au sens propre » se déroule en deux temps. D’abord, accompagnées par
l’organisateur « Ça me regarde », les entreprises organiseront la collecte du 19 au 29
septembre 2017. Elles recevront un kit d’accompagnement avec des affiches et des flyers
pour annoncer et expliquer l’opération ainsi que des cartons arborant un logo et un
kakemono pour identifier et organiser l’espace de collecte.
Puis, les 12 et 13 octobre, des volontaires au sein de l'entreprise se rendront au cœur de la
plate-forme logistique du SAMU social à Ivry-sur-Seine pour une immersion au contact de
l’association. Pendant une demi-journée, ces salariés aideront au tri des produits et
rencontreront les acteurs de l’action du SAMU social. Ces ambassadeurs pourront ainsi
mieux comprendre leur utilisation et témoigner de leur distribution et expliquer le sens de
l’action dès leur retour dans l’entreprise.

Un beau succès lors de la première édition
Pour sa première édition, « Solidarité au sens propre » a réussi à embarquer cinq grandes
entreprises qui ont elle-même mobilisé huit sites en tout. Florence Mehl, assistante de
direction chez Mercer et participante à la première édition, se rappelle : « Les salariés ont
apprécié que l'entreprise s'engage dans ce type d'action. On nous a dit qu'il fallait le faire
plus souvent. Car lorsque ces actions sont encadrées, elle sont plus motivantes ».

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http://www.miroirsocial.com/actualite/14661/les-entreprises-invitees-a-participer-a-la-
deuxieme-operation-solidarite-au-sens-propre
Avril
                                                            2017

Entrepreneurs & Startups
Avez-vous déjà entendu parler des
séminaires solidaires ?
par Julie Galeski

Pour dépoussiérer les séminaires d’entreprises et les rendre
plus utiles, la SCOP Ça Me Regarde veut pousser les
entreprises, petites et grandes, à adopter les séminaires
solidaires.

Seriez-vous prêt à participer à un team building solidaire ?
Pour 88 entreprises, la réponse a été « oui», sous l’égide de
Ça Me Regarde qui organise des séminaires utiles et
responsables. Selon les objectifs poursuivis par l’entreprise et
les besoins des associations, de multiples formats sont
possibles: team-building, convention, session d’intégration,
comité de direction.

« Nous voulions sortir du format habituel des séminaires
d’intégration pour nos nouveaux employés en ajoutant du
sens à ces moments de cohésion. L’enjeu pour nos
nouveaux employés était de réaliser un inventaire, un tri
massif et un classement de vêtements stockés au sein du
Samu social. L’utilité, le « faire ensemble » et l’adhésion
immédiate de tous nos nouveaux employés a permis la
réalisation d’un travail incroyable sur cette journée

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suivant ce lien :
https://www.widoobiz.com/entrepreneurs-startups/avez-
vous-deja-entendu-parler-des-seminaires-
solidaires/79255
Janvier
                                                                     2017

Lesgoodnews.fr

Société
Ça Me Regarde a vu juste
par Philippe RUAUDEL · Publication 20 janvier 2017 · Mis à jour 20 janvier
2017

En France, la Scop Ça Me Regarde propose l’organisation
d’événements et de chantiers solidaires, aux entreprises
soucieuses du développement durable.

Le temps est aujourd’hui une denrée qui se raréfie. Pourtant,
la société coopérative et participative (SCOP) Ça Me
Regarde fait le pari d’utiliser un peu du temps des salariés
des entreprises, au profit d’actions solidaires en partenariat
avec des associations. Ségolène Delahalle et Arnaud Fimat,
deux anciens salariés de Manutan, ayant en commun le
même engagement pour le développement durable, co-
fondent Ça Me Regarde en 2012. Devant le constat d’une
déshumanisation galopante et une crise profonde de sens
de notre société, Ça Me Regarde propose un cadre pour
faire bouger les mentalités et combattre la fatalité. La
structure compte trois salariés. Cependant, l’équipe peut
être renforcée ponctuellement en fonction des différents
projets. L’état d’esprit des Scop permet, notamment, à
chacun d’exposer ses idées et de donner son avis.

Cet article vous intéresse ? Retrouvez le en intégralité en
suivant ce lien :
http://www.lesgoodnews.fr/2017/01/20/ca-me-
regarde-a-vu-juste/
Janvier
                                                                                                                                                                 2017

Une journée solidaire dans une communauté Emmaüs
Ça me regarde organise des séminaires et des RTT solidaires auprès d’une cinquantaine d’associations spécialisées dans la
précarité ou l’environnement. Sous la houlette de cette Scop, Kaizen s’est immergé dans la communauté Emmaüs Liberté à Ivry-
sur-Seine (94) le temps d’une journée solidaire.

                                                                                    Le tri des vêtement est un moment important. Face à cette montagne,
                                                                                    savoir décrocher et admettre qu’on en viendra pas à bout.
                                                                                    © Ça Me Regarde

« Partir à la découverte des autres et de soi », telle est l’invitation au voyage que je reçois dans ma boîte e-mails. À la lecture de ces mots inspirants, je m’inscris. Et,
par un froid matin de décembre au ciel plombé de particules fines, je délaisse mon vélo pour m’engouffrer dans le métro. Cap sur la communauté Emmaüs Liberté à
Ivry-sur-Seine (94). À 9 heures, m’accueillent Franck Leton, coresponsable de cette communauté, et Arnaud Fimat, cofondateur de la Scop Ça me regarde. Quatre
autres personnes sont du voyage. « L’idée, nous expliquent-ils autour d’un café noir, est de s’immerger dans la communauté Emmaüs. C’est par le travail que la
rencontre avec les Compagnons, qui sont des acteurs et non des bénéficiaires, va se faire. Ils sont 45, et 26 nationalités se côtoient. Beaucoup ont connu la rue. La
clef de cette journée : ne rien en attendre. Simplement vivre le moment présent. » Vaste chantier, même au nom de la solidarité !
Immersion dans le bric-à-brac de la boutique
M’efforçant de mettre en sourdine la petite voix qui, en boucle dans ma tête, rumine le passé et se projette dans l’avenir, je m’ancre dans le présent au milieu d’un
poétique bric-à-brac. Me voici dans la boutique Emmaüs sur laquelle veille Ali, « mon » Compagnon pour la matinée. Vite ! Les clients, de plus en plus nombreux, se
pressent devant le vaste entrepôt. Il faut ranger de la vaisselle, rassembler des tableaux, balayer des débris de verre, mettre des bibelots sur les étagères, réassortir
des lampes… Ouf ! Il est 10 heures. Ouverture des portes. Une foule de points d’interrogation déferle : « Où sont les décorations de Noël ? », « Vous auriez des
objets des années 1920 ? C’est pour une pièce de théâtre. », « Magnifique, ce service ! D’où ça vient ? De l’hôtel de Vendôme ? Oh ! C’est chic. Je vais en faire des
cadeaux ! », « Combien coûte cette lampe ? » Emmitouflé dans un blouson d’hiver, chauffage d’appoint à ses pieds, Ali égrène les prix, serrés comme le café du
matin. Je l’aide à emballer les articles dans du papier journal, tout en engageant la conversation. 12 heures ! Je n’ai pas vu le temps passer. C’est l’heure de
déjeuner.

                                                                                    Le responsable du rayon livres connait les habitués et leur besoins. Il lui arrive de
                                                                                    mettre des livres de coté pour certains d’entre eux. © Ça Me Regarde

Des séminaires et des RTT solidaires
Pour donner le goût des autres, le repas est partagé. Du fumet de soupe monte des cuisines jusqu’à la barbe blanche de l’abbé Pierre dont le portrait surplombe la
salle commune. Le fondateur du mouvement Emmaüs, qui a passé sa vie à demander aux sans-rien « de l’aider à aider les autres », est présent dans tous les
esprits. Comme celui d’Ali, mon Compagnon, cette fois, de table. Tout en mangeant, il me montre, sur son téléphone, les montagnes vertigineuses du Pakistan, son
pays d’origine. Je nous fais atterrir sur le plancher des vaches en lui parlant de la Bretagne, ma région d’origine ! Après le dessert, je retrouve Franck Leton, Arnaud
Fimat et les quatre autres « voyageurs ».
L’occasion de nous dessiller les yeux sur Ça me regarde. Cette Scop propose des séminaires et des RTT solidaires. Comment ? En mettant en relation, dans toute
la France, les RH des entreprises avec une cinquantaine d’associations engagées dans la lutte contre la précarité ou la protection de l’environnement. Fini le Lido ou
le karting pour renforcer la cohésion d’équipe. « De leur côté, précise Arnaud Fimat, les associations bénéficient gratuitement de la puissance de feu des bénévoles
qui débarquent parfois à une centaine pour la journée. Au-delà, l’objectif est de se reconnecter, non seulement les uns aux autres, mais aussi avec soi. » Et de citer
l’exemple d’un participant qui avait pris conscience, en triant les vêtements issus d’une pile qui n’arrêtait pas de grimper, qu’il fallait qu’il lâche prise devant sa pile
de… courriels !
Des valises de vie au centre de tri
Moi aussi, des piles m’attendent : celles des objets qui arrivent au centre de tri. À 14 heures, j’y rejoins un autre Compagnon, Andrzej. Une forte poignée de main se
referme autour de la mienne. Sur son visage, les sillages creusés par une vie d’errance. Avec son accent qui me transporte dans les pays de l’Est, il m’indique les
cartons à déballer et les bacs dans lesquels transiteront les articles : tout-venant, ferraille, livres, appareils électroménagers, jouets, tissus, déchets, etc. Pendant
deux heures, nous faisons le tri dans un silence ponctué d’émotions devant deux valises rétro qui renferment une paire de gants en dentelle, des photos jaunies, un
collier de perles… Le voyage de toute une vie.
16 heures : c’est la pause ! On termine la journée par un compte rendu et un rituel qui consiste à donner une citation résumant notre expérience. Cette journée
m’aura permis de ressentir sur le terrain que tout est interdépendant. Je me suis ainsi reliée à moi, aux autres venus d’un ailleurs et à la nature que l’on détruit pour
emmagasiner des biens matériels qui finissent en piles chez Emmaüs. Alors, je choisis le poète antillais Édouard Glissant : « Agis en ton lieu, pense avec le
monde. »
                                                                                                                                                              Aude Raux

Lien vers l’article en ligne : https://www.kaizen-
magazine.com/journee-solidaire-communaute-emmaus/
Décembre
                                                                                         2016

Crédit Agricole T&S mise sur la solidarité pour dépoussiérer le séminaire
d’intégration

Marc Do Van Tuan est directeur des ressources humaines et de la communication de
Crédit Agricole Technologies et Services. Avec son équipe, il a décidé d’entamer une
démarche de management innovante axée sur la solidarité en dépoussiérant l’exercice
du séminaire d’intégration des nouveaux collaborateurs. Prudent à l’origine sur ce projet,
la première session d’intégration, nouvelle formule, en lien avec la SCOP Ça me regarde et
le Samu social, a eu un effet positif sur les nouveaux collaborateurs et reçu une « adhésion
immédiate».

Pourquoi avoir choisi le solidaire comme socle pour vos séminaires d’intégration ?

Marc Do Van Tuan : Nous souhaitions sortir du format habituel des sessions d’intégration
pour nos nouveaux employés chez Crédit Agricole Technologies et Services en ajoutant
d’avantage de sens à ces moments de cohésion. Nous avons laissé mûrir notre réflexion :
la crainte de sortir des sentiers battus et de ne pas réussir à embarquer le collectif nous
invitait à avancer avec retenue. Après cette belle phase de construction du projet, de
défi de nos attendus avec l’équipe de Ça me regarde (la SCOP qui nous a accompagnés
sur le projet), nous nous sommes lancés avec leur appui sur une première initiative en
partenariat avec les responsables et l’équipe du Samu social de Paris.

L’enjeu concret et solidaire de la journée a-t-il ensuite pris corps dans le projet de
l’entreprise ?

Marc Do Van Tuan : L’enjeu était de taille pour nos nouveaux employés : réaliser un
inventaire, un tri massif et un classement de vêtements stockés au sein du Samu social
mais impossible à effectuer rapidement par ses propres équipes du fait de la volumétrie
(alors que cet approvisionnement sur le terrain est indispensable pour les maraudes et les
précaires). L'effet de cette action a été saisissant : ancrée sur le sens, l’utilité et le « faire
ensemble », l’adhésion immédiate de tous nos nouveaux employés a permis la réalisation
d’un travail incroyable sur cette journée. Ce projet a été encadré de bout en bout par
Arnaud Fimat et Ségolène Delahalle (les co-fondateurs de Ça me regarde) et le lien a été
immédiat avec la responsable du Samu social de Paris.

Au final, comment les collaborateurs ont-ils vécu cette expérience et qu’en reste-t-il ?

Marc Do Van Tuan : Chacun des collaborateurs et managers de Crédit Agricole
Technologies et Services est reparti avec un sentiment de fierté d’accomplissement,
d’authenticité et de découverte des autres, sur une action qu’ils ont porté « ensemble » et
qui correspond aux valeurs de notre entreprise. Une vraie démarche professionnelle et
humaine qui amènera d’autres expériences demain avec l’équipe de Ça me regarde.

Lien vers l’article en ligne :
http://www.miroirsocial.com/actualite/14067/credit-agricole-t-s-mise-sur-la-la-solidarite-
pour-depoussierer-le-seminaire-d-integration
Décembre
                                                    2016

Les RTT solidaires séduisent de plus en
           plus d’entreprises
                   Sébastien Arnaud

Donner aux salariés l’occasion de s’engager dans des
causes solidaires est une pratique vertueuse qui porte
beaucoup de fruits : engagement, esprit d’équipe,
confiance en soi. Des arguments qui semblent porter
puisque de plus en plus d’entreprises se lancent dans
cette voie, raconte le journal Les Echos.

RSE Magazine le souligne chaque jour, il existe une
variété immense de leviers pour que l’entreprise ait un
impact social et vertueux sur la société. En même temps
que le concept de responsabilité sociale des entreprises
prend de l’ampleur, des pratiques se répandent vitesse
grand V.

Cet article vous intéresse ? Retrouvez le en intégralité en
suivant ce lien :
http://www.rse-magazine.com/Les-RTT-solidaires-seduisent-
de-plus-en-plus-d-entreprises_a1963.html
Novembre
                                                 2016

RTT solidaires : s’engager sur une ou
plusieurs journées
JULIE LE BOLZER Le 25/11/2016 à 07:00

Tendance - Les RTT solidaires se
développent. En permettant aux
salariés de participer à des actions
qui ont du sens et d’apporter un
soutien logistique aux associations,
ces journées contribuent également à
décloisonner les équipes d’une même
entreprise.

Cet article vous intéresse ? Retrouvez le en suivant
ce lien :
http://business.lesechos.fr/directions-ressources-
humaines/management/developpement-
personnel/0211523169174-rtt-solidaires-s-engager-
sur-une-ou-plusieurs-journees-302600.php
Octobre
                                                 2016

RTT solidaires : un pari
gagnant pour
l’entreprise
Faire le tri de vêtements
avant la distribution aux
plus démunis, participer
à un atelier d’aide à l’emploi des plus pauvres,
aider à la restauration d’un espace vert… Pendant
une journée, grâce à leur entreprise, des salariés
volontaires se mettent au service d’une
association. C’est le principe des journées
solidaires. Une expérience émotionnellement
forte et stimulante pour les salariés, mais qui a
aussi un véritable intérêt pour les entreprises.
Explications.

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ce lien :
Vers le blog : http://www.novethic.fr/
Vers l’article : http://www.novethic.fr/empreinte-
sociale/conditions-de-travail/isr-rse/conges-
solidaires-un-pari-gagnant-pour-l-entreprise-
144131.html
Septembre
                                                               2016

Des RTT solidaires au sein d'associations
caritatives pour recréer du lien entre salariés
Donner une journée de RTT pour aider une association caritative en
découvrant par la même occasion le bénévolat et des collègues
qu'ils n'auraient sinon jamais croisés: c'est ce que propose une scop
qui a convaincu plusieurs grands groupes de sa démarche.
Les salariés des entreprises intéressées peuvent ainsi s'inscrire à une
ou plusieurs journées d'immersion totale au sein d'associations
caritatives de recyclage, réinsertion, dans des foyers d'hébergement
ou au sein d'écoles de la deuxième chance, expliquent à la presse
Arnaud Fimat et Ségolène Delahalle, fondateurs en 2012 de cette
scop (société coopérative et participative) baptisée "Ca me regarde"
et qui compte trois salariés.
Une fois le projet défini avec l'entreprise, les salariés volontaires
posent une journée de RTT, de récupération ou de congé payé. Le
jour J, ils peuvent tout aussi bien monter un atelier recherche
d'emplois pour des jeunes, aider aux tâches d'une épicerie solidaire,
trier des vêtements ou des objets, nettoyer un espace naturel,
réhabiliter les locaux d'un centre d'hébergement ou concevoir une
campagne de communication pour une association.
Septembre
                                                                2016

Des RTT solidaires au sein d'associations
caritatives pour recréer du lien entre salariés
Donner une journée de RTT pour aider une association caritative en
découvrant par la même occasion le bénévolat et des collègues
qu'ils n'auraient sinon jamais croisés: c'est ce que propose une scop
qui a convaincu plusieurs grands groupes de sa démarche.
Les salariés des entreprises intéressées peuvent ainsi s'inscrire à une
ou plusieurs journées d'immersion totale au sein d'associations
caritatives de recyclage, réinsertion, dans des foyers d'hébergement
ou au sein d'écoles de la deuxième chance, expliquent à la presse
Arnaud Fimat et Ségolène Delahalle, fondateurs en 2012 de cette
scop (société coopérative et participative) baptisée "Ca me regarde"
et qui compte trois salariés.
Une fois le projet défini avec l'entreprise, les salariés volontaires
posent une journée de RTT, de récupération ou de congé payé. Le
jour J, ils peuvent tout aussi bien monter un atelier recherche
d'emplois pour des jeunes, aider aux tâches d'une épicerie solidaire,
trier des vêtements ou des objets, nettoyer un espace naturel,
réhabiliter les locaux d'un centre d'hébergement ou concevoir une
campagne de communication pour une association.

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intégralité en suivant ce lien :
Vers l’article :
http://lentreprise.lexpress.fr/actualites/1/actualites
/des-rtt-solidaires-au-sein-d-associations-
caritatives-pour-recreer-du-lien-entre-
salaries_1839809.html
Mai
                                                       2016

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Vers le blog : http://www.metiseurope.eu
Vers l’article : http://www.metiseurope.eu/ca-me-regarde-
tout-le-monde-y-gagne_fr_70_art_30357.html
Octobre
                                                      2015

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Vers le blog http://www.youphil.com/
Vers l’article en question
http://www.youphil.com/fr/article/08065-team-building-
solidaire-nouvel-atout-entreprises?ypcli=ano
Mai
                                                       2015

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Vers le blog www.20minutes.fr
Vers l’article en question www.20minutes.fr/lyon/1611419-
20150519-lyon-salaries-benevoles-jour-chez-emma-rtt
Mai
                                                       2015

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Vers le blog www.lavie.fr
Vers l’article en question www.lavie.fr/solidarite/carnets-
citoyens/dans-le-val-de-marne-des-rtt-solidaires-
bouleversent-la-vie-des-salaries-05-05-2015-62810_459.php
On parle de nous

    A LA RADIO
ET A LA TELEVISION
Janvier
                                                    2017

 Lorsque le monde du travail rencontre celui des ONG

http://www.france2.fr/emissions/mille-et-une-
vies/diffusions/16-01-2017_541419
Novembre
                                       2016

https://www.youtube.com/watch?v=yC-
sr6Xw4vY&feature=youtu.be&list=PLbgfbH83Y
YQlsVpv4RV9EJJMGAbPya6yx
Août
                                                      2016

Ça Me Regarde, la société qui invente les RTT
SOLIDAIRES ! C’et le sujet de La Bonne Idée du Jour,
chronique présentée par Véronique Jacquier

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Vers le podcast : http://www.sudradio.fr/Podcasts/La-
bonne-idee-du-jour/ca-me-regarde
Mai
                                                      2015

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suivant ce lien :

http://france3-regions.francetvinfo.fr/rhone-
alpes/2015/05/20/rtt-solidaires-chez-emmaus-
venissieux-728231.html
Mai
                                                          2015

Après 8 ans d’exercice, les Carnets de campagne, riches de
milliers d’innovations sociales, culturelles et économiques en
France et aussi en Europe, prennent une autre dimension en
ouvrant davantage de dossiers pratiques liés à l’emploi, à la
culture, à l’éducation, à la formation, à l’action sociale et aux
mobilisations citoyennes tout en maintenant leur principe de
départ d’interroger les acteurs locaux. Les carnets
s’enrichissent également d’annonces d’événements qui
fleurissent chaque année partout en France

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 http://www.franceinter.fr
 http://www.franceinter.fr/player/reecouter?play=
 1085211
Février
                                                      2015

Journal du 12.45 de M6 du 24 Février 2015 :
Reportage sur les RTT solidaires. L’entreprise
lyonnaise APRIL est montrée en exemple avec son
dispositif de RTT SOLIDAIRE. Bruno Rousset, fondateur
du Groupe d’assurances APRIL y témoigne
également.

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suivant ce lien :

www.6play.fr/m6#/m6
Septembre
                                                     2014

La Quotidienne met à son dossier du jour : JE VEUX FAIRE
DU BENEVOLAT ! L’entreprise GMF partage son
programme SOLID’ACTIONS qui propose à ses
collaborateurs de découvrir le bénévolat entre
collaborateurs sous la forme de RTT Solidaire. Françoise
Seurot Mathon, Dir. RSE de l’entreprise en partage les
enjeux.

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suivant ce lien :

http://vimeo.com/108095328
Juillet
                                                      2013

4 Juillet 2013, le journal de 20h de TF1 présente
les séminaires solidaires… : Les collaborateurs de
l’entreprise NEPSEN s’activent au cœur du Haras
de la Grande Maison, un site de l’association
ANDES ou maraichage et chantier d’insertion
donnent du sens à la rencontre.

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suivant ce lien :
https://vimeo.com/70468148
On parle de nous

DANS LES AGENCES
   DE PRESSE
Octobre
                                                                              2016

Des RTT solidaires au sein d'associations caritatives pour recréer du lien entre
salariés
Paris, 11 oct. 2016 (AFP)

Donner une journée de RTT pour aider une association caritative en découvrant
par la même occasion le bénévolat et des collègues qu'ils n'auraient sinon jamais
croisés: c'est ce que propose une scop qui a convaincu plusieurs grands groupes
de sa démarche.

Les salariés des entreprises intéressées peuvent ainsi s'inscrire à une ou plusieurs
journées d'immersion totale au sein d'associations caritatives de recyclage,
réinsertion, dans des foyers d'hébergement ou au sein d'écoles de la deuxième
chance, expliquent à la presse Arnaud Fimat et Ségolène Delahalle, fondateurs en
2012 de cette scop (société coopérative et participative) baptisée "Ca me
regarde" et qui compte trois salariés.

Une fois le projet défini avec l'entreprise, les salariés volontaires posent une journée
de RTT, de récupération ou de congé payé. Le jour J, ils peuvent tout aussi bien
monter un atelier recherche d'emplois pour des jeunes, aider aux tâches d'une
épicerie solidaire, trier des vêtements ou des objets, nettoyer un espace naturel,
réhabiliter les locaux d'un centre d'hébergement ou concevoir une campagne de
communication pour une association. Vingt journées ont ainsi été organisées cet
automne avec 150 inscrits chez Covea, groupe mutualiste d'assurances qui réunit
la GMF, la MAAF et MMA et compte plus de 20.000 collaborateurs, explique
Renaud Pesesse, responsable aux ressources humaines. Il se félicite des "très bons
retours" des participants qui ont "vécu ensemble une expérience forte sans laquelle
ils ne se seraient jamais croisés".

Chez Sanofi, 110 salariés lyonnais ont testé l'expérience sur cinq journées et
"certains ont souhaité la poursuivre", dit Christophe André, un des responsables de
ces questions au sein du groupe. Il y voit "l'occasion de développer le rôle social de
l'entreprise", de "recréer du lien" et de "la cohésion" au sein des équipes. "Ca
permet des rencontres improbables", ajoute-t-il, estimant que cette expérience
"réhumanise l'entreprise".

Chez Mercer, groupe américain en conseil qui compte 300 salariés en France
auxquels sont offerts ces RTT solidaires, une douzaine puis 35 y ont participé en
deux ans avec Emmaüs et le Samu social de Paris, dit Laetitia Mortreuil. A l'instar de
ses homologues, l'entreprise se défend d'utiliser cette initiative pour son image et
parle de "bien-être au travail".

Une soixantaine d'associations et 74 entreprises ou groupes ont fait appel à "Ca me
regarde", parmi lesquels La Poste, Deloitte, BNP Paribas, Lagardère, Paul ou Suez,
selon ses fondateurs.
ls/db/fm
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