Site du Moulin de la Blies - Musée des Techniques Faïencières / Jardin des Faïenciers Sarreguemines
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Site du Moulin de la Blies Sarreguemines Musée des Techniques Faïencières / Jardin des Faïenciers 125, Avenue de la Blies _ F - 57200 Sarreguemines Moulin de la Blies / Musée / Jardin des Faïenciers www.sarreguemines-museum.com Tél : +33 3 87 98 28 87 DOSSIER DE PRESSE
Sommaire Le Moulin de la Blies ( 3 ) Le Musée des Techniques Faïencières ( 4 ) Le Jardin des Faïenciers ( 5 ) Du jardin de Ruines au Jardin des Faïenciers ( 6 & 7 ) Le concepteur ( 8 ) Des chiffres ( 8 ) Un jardin au coeur d’un réseau ( 9 ) Les ambiances du Jardin ( 10 ) Le potager (10). La porte végétale (11). La Grande Allée et la terrasse de pivoines (12). Le petit bois (13). Le jardin des grands feuillages (14). Le belvédère (15). Le jardin des meules (16). La prairie. Le labyrinthe de ruines. Le théâtre de verdure (17). Contact Presse : Planche contact ( 18 ) Laetitia Pitz, chargée de communication Musées de Sarreguemines 17 rue Poincaré - 57200 Sarreguemines Programme saison 2009 ( 25) tél. 03 87 28 60 33 Mail : Pitz.Laetitia@mairie-sarreguemines.fr Informations pratiques ( 26 ) 2
Le Moulin de la Blies Le Site du Moulin de la Blies a appartenu à la Faïencerie de Sarreguemines de 1825 à 1969. Lorsque la municipalité le rachète en 1978, le site, désaffecté depuis dix ans, est en ruines. La belle idée fut d’inventer aux friches une nouvelle vie en les transfigurant. Son moulin est devenu aujourd’hui le Musée des Techniques faïencières. Il contenait auparavant toutes les machines nécessaires à la préparation des pâtes à faïence. La maison d’accueil abritait au XIXe siècle la famille du directeur du site. Derrière le moulin, de nombreux ateliers ou lieux de stockage ont aujourd’hui disparu. La nature a doucement repris ses droits sur leurs ruines. Cet ensemble de végétaux et de minéraux a tout d’abord donné naissance au Jardin de Ruines, imaginé par le paysagiste Gérard Samel. Aujourd’hui, le nouveau projet du Jardin des faïenciers pensé par Philippe Niez et Alexandra Schmidt enrichit et requalifie ce premier jardin. Le Moulin de la Blies en 1880. 3
Le Musée des Techniques Faïencières Le Moulin de la Blies était un ancien moulin à cailloutage qui servait à la fabrication des pâtes à faïences. Il accueille aujourd’hui le Musée des Techniques Faïencières. Une importante collection de machines et d’outils spécifiques à l’industrie de la céramique permet de reconstituer des ateliers de production quasiment complets. Le Moulin de la Blies fait la synthèse des techniques et des savoir-faire acquis durant les XIXe et XXe siècles dans l’art de la céramique. Dans le musée, les machines et les ateliers ont dicté le parcours muséographique. Il permet de comprendre les différentes phases du processus de fabrication de la faïence : de la préparation des matières premières jusqu’à l’ultime cuisson. Détail d’un atelier reconstitué, la décoration au filet. 4
Le Jardin des Faïenciers « Parce qu’il n’y a rien de plus civilisé qu’un jardin... » Philippe Niez Imaginé par Philippe Niez, le Jardin des Faïenciers fait pendant à la partie minérale composée des friches de l’usine. Il se décline en 7 jardins qui ont chacun leur univers propre et qui, tous les ans, seront complétés par une scénographie éphémère. Il s’agit d’un jardin encore tout jeune : les plantations et aménagements floraux gagneront en maturité et en beauté au fil des ans. Encore un peu de patience... ça pousse ! 5
Du jardin de Ruines au Jardin des Faïenciers Le premier jardin, le bien nommé « Jardin de Ruines », créé en 1998, faisait siennes toutes les traces du patrimoine industriel. Pour Gilbert Samel, le paysagiste en charge du projet, chaque brique, chaque moellon, chaque poutrelle, les rails, les meules, la tessonnière parlaient pour le site, réclamant un second souffle. Le jardin des ruines entretenait la cohérence du site en reliant entre eux le moulin restauré qui abrittait la collection de machines et les friches du lieu. Il les accompagnait en organisant des espaces extérieurs pouvant accueillir du théâtre de plein air ou des aires de pique-nique, mais aussi offrir des points de vues ou de rencontre. Les arbres et les plantes des berges étaient conservés, les meules usées faisaient office de tables ou de bancs. Le Moulin de la Blies avait gardé selon G. Samel « ce génie des lieux que lui reconnaissaient tous ceux qui avaient vu ces ateliers en activité. » Il fallait cependant aller plus loin, et quelques années après, la volonté commune d’un maire, d’un conservateur et d’un directeur des services techniques fut de proposer à un public amateur de jardins, un projet ambitieux et une mise en valeur des abords et des paysages des berges. 6
En 2002, le site proposé par Sarreguemines est retenu par le réseau des « Jardins sans Limites ». C’est Philippe Niez, paysagiste qui remporte le concours lancé par la Ville de Sarreguemines. Dans le cahier des charges, le jardin imaginé devait dialoguer intimement avec un site très habité, la conservation et la mise en valeur du patrimoine faïencier constituant le coeur du projet. Démarré en février 2007, le gros oeuvre aura nécessité une année entière. La plus grande difficulté fut de transformer la topographie du site pour y installer au pied d’une tessonière, le lit d’un ruisseau et son jardin humide : le Jardin des Grands feuillages. Le Jardin des Faïenciers par Philippe Niez ouvrira ses promenades et allées aux flâneurs en juin 2009. Travaux d’aménagement en 2007. Réalisation des gabions au niveau du belvédère. 7
Le concepteur PHILIPPE NIEZ, jardinier paysagiste Philippe Niez a une formation horticole de l’école de Saint-Cyran, aujourd’hui disparue. Tout en étudiant, il rencontre Gilles Clément, dont il sera l’un des proches collaborateurs pendant 13 ans, et fonde avec lui l’Atelier Acanthe en 1985. Après la création des jardins de l’Abbaye de Valloires et du Parc André Citröen à Paris, Philippe Niez monte avec Alexandra Schmidt son propre studio (1995). Des chiffres Le Jardin des Faïenciers est réalisé en partenariat avec le Conseil Général de la Moselle, la C.E.B. (Christliche Erwachsenenbildung), et la Ville de Sarreguemines dans le cadre du réseau « Jardins sans limites ». Ce programme a été cofinancé par l’Union Européenne. Programme Interreg III. Montant total de l’opération : 820 000 € Dont : Fonds Union Européenne : 410 000 € Conseil Général de la Moselle : 246 000 € Ville de Sarreguemines : 164 000 € Maîtrise d’oeuvre : Alexandra Schmidt & Philippe Niez web : http://philippeniez.com/ Tél. : 01.44.67.01.40 Travaux d’aménagement en 2007. De gauche à droite : Bruno Neiss, conducteur de travaux ; Martine Baumgarten, jardinière du site ; 8 Emile Decker, conservateur du musée et Philippe Niez, paysagiste.
Un jardin au coeur d’un réseau L’actualité 2009 des Jardins sans Limites est marquée par la fin de la période de construction du réseau qui a commencé en 1998. Avec l’achèvement des 2 derniers sites : Jardin des Faïenciers à Sarreguemines et Parc des Quatre Saisons à Losheim (ouverture en octobre 2009), ce sont désormais 26 jardins qui sont ouverts à la visite en Moselle, en Sarre ou au Luxembourg. “JARDINS SANS LIMITES” EST UN RÉSEAU TRANSFRONTALIER Autre temps fort de cette année : l’inauguration officielle de 26 jardins ouverts à la visite en 2009 : du Jardin des Prairiales au Château de La Grange à ■ en Moselle : 8 jardins (entrée payante), Manom, le 19 juin 2009, un an après son ouverture au ■ en Sarre : 16 jardins (dont 4 sont à entrée payante), public. ■ au Luxembourg : 2 jardins (entrée libre). Enfin, un livre intitulé « Jardins sans Limites, des jardins contemporains au cœur de l’Europe » paraît aux Editions LE RÉSEAU EST NÉ EN 1998... Gaud, dans la collection « Regards » qui s’est déjà d’une politique de coopération transfrontalière entre la Moselle et la Sarre. Ce réseau est cofinancé par intéressée à des jardins prestigieux tels que les Jardins de l’Union Européenne. Valloires ou le Prieuré d’Orsan. L’auteur Sonia Lesot et le photographe Henri Gaud parcourent en 180 pages les TOUS LES JARDINS DU RÉSEAU SONT : créations thématiques, colorées, savoureuses, tactiles - des créations ou des réhabilitations, ou sonores de ces jardins qui sautent allègrement les - des jardins thématiques, frontières. L’ouvrage « Jardins sans Limites » sera proposé - en cohérence avec une charte de qualité commune. à la vente en librairie ainsi que dans les boutiques du réseau. AGENDA, COMMUNIQUÉS, PHOTOS ET DOSSIERS DE PRESSE Téléchargeables sur le site : www.jardins-sans-limites.com ou disponibles sur demande au CDT Moselle, + 33 (0) 387 37 57 80, 9 Illustration : Jardin pour la paix à Bitche, à 20 minutes de Sarreguemines info@moselle-tourisme.com
Les différents espaces du Jardin des Faïenciers LE JARDIN DU DIRECTEUR Lorsque vous sortez de la maison d’accueil, vous traversez le premier jardin du site, le Potager du Directeur. Des photographies anciennes, datées de 1892 témoignent de la présence d’un jardin à ce même emplacement. Les variétés potagères choisies correspondent à ce que l’on pouvait planter à la fin du XIXe siècle. Ce jardin occupe une position symbolique sur le site car « le potager fut le premier jardin et sera le dernier jardin de l’homme » (Ph. Niez). Le jardin potager. En 1892, et en 2008 10
LA PERGOLA DE GLYCINES JAPONAISES OU PORTE VÉGÉTALE Porte végétale par excellence, elle devient une fois par an, vers la mi-mai, une draperie de fleurs pour le plaisir des yeux. Les hyménoptères - papillons, abeilles - peuvent à loisir butiner jusqu’à s’enivrer les inflorescences de Wisteria floribunda. La structure de la pergola s’inspire des torii, portes d’entrée des sanctuaires shintoïstes, dont la forme rappelle la lettre Pi. Traditionnellement, le torii sépare le monde sacré du monde profane. Alors vous aussi, passez la porte et pénétrez dans l’enceinte du Jardin des Faïenciers. 11
LA GRANDE ALLÉE & LA TERRASSE DE PIVOINES ARBUSTIVES Depuis l’entrée, une grande allée conduit jusqu’au Belvédère et longe la Terrasse des Pivoines et le Petit Bois. A droite, la haie de chêne persistant Quercus myrsinifolia rythme la promenade, et offre aux clématites qui s’y nichent un écrin ombragé. Ce chêne bambou est un persistant au feuillage lumineux, originaire de Chine. A gauche, le jardin de pivoines arbustives se distingue par des essences originaires de Chine et du Japon. Althea rosea, Aquilegia, Hellebores et Lamium accompagne les pivoines, parmi lesquelles une variété baptisée La Moselle prend place. La pivoine est peut-être, depuis l’histoire de l’humanité, une des plus vieilles plantes cultivée pour ses qualités ornementales. La ‘Mudan’1 (en chinois mandarin), avait une place de choix dans les jardins impériaux de Chine. Elle symbolise le printemps et le renouveau avec son cortège floristique. Des cerisiers pleureurs Prunus fuji sakura plantés de manière aléatoire sur la terrasse assurent une ombre légère et toutefois indispensable. Ces plantations évoquent le japonisme, ou le Japon rêvé, courant des arts décoratifs qui a marqué la fin du XIXe siècle, et a donné naissance à de très belles faïences. 1. Littéralement avec le caractère Mu (mâle) et Dan (cinabre) il s’agit en botanique de la pivoine arbustive. 12
LE PETIT BOIS DANS LA TESSONNIÈRE Installé sur les anciennes tessonnières de la faïencerie, le Petit Bois est un remarquable terrain d’expérience , où toute la subtilité est de révéler les tessons de faïence au milieu des bulbes de narcisses des poètes, Narcissus poeticus, des inflorescences du genre Hydrangea, et des Cimicifuges ou Cierges d’argent… Formidables exemples d’adaptation du génie végétal, les érables, les frênes et les robiniers qui le constituent ont germé, poussé, grandi sur des faïences brisées. Ce petit bois spontané a fait l’objet d’un travail d’abattage en douceur pour en soustraire les baliveaux trop fragiles, les sujets mutilés pour conserver ceux qui se sont transformés en véritables sculptures végétales. Les Hydrangea ou Hortensias sont représentés en grand nombre dans cet espace : hydrangea petiolaris, qui viennent enlacer les arbres, hydrangea ‘annabelle’, hydrangea quercifolia ‘snow queen’… constituent la trame de ce jardin. Ils ont été choisis pour capter la lumière qui traverse le feuillage, de la même manière que les rayons du soleil se réverbéraient il y a longtemps sur les tessons de faïence. 13
LE JARDIN DES GRANDS FEUILLAGES C’est le jardin caché, celui que l’on ne peut découvrir qu’une fois le Petit Bois traversé. Les formes organiques des gabions, murs de pierres sèches, ont enchâssé le cours d’eau. L’eau s’écoule et franchit une succession de galets et d’anciennes meules polies qui abritent les genres Equisetum, Iris, Matteucia, Primula, Rodgersia pour se jeter par la suite dans la Blies. Si en amont le gué est planté d’iris délicats, de prime- vères botaniques et de prêles ; en aval, les brumes li- bérées par saccades depuis la passerelle plongent les gunnères du Brésil Gunnera manicata et les rhubarbes palmées Rheum palmatum rubrum dans un nuage d’humidité qui, à terme, ruisselle en gouttelettes d’eau sur leurs grands feuillages majestueux. En contrepoint, les feuillaisons de cyprès chauve Taxodium distichum et du genre matteucia déploient leurs fébriles dentelles de feuillage. Une passerelle légèrement décalée par rapport à l’axe de la grande allée permet de franchir le ru. Le jardin des grands feuillages permet de redécouvrir les berges majestueuses de la Blies, hier frontière naturelle avec l’Allemagne, aujourd’hui élément paysager à part entière dans une Europe pacifiée. 14
LE BELVÉDÈRE Hier, butte de gravois liée à l’activité des faïenceries, le belvédère est aujourd’hui un élément emblématique des jardins du Moulin de la Blies. Avant d’en entamer la montée, on accède à un paysage romantique en bord de Blies ; la conservation de quelques saules blancs renforce cette image. Baptisé belvédère, parce qu’il offre une vue incomparable sur le paysage alentour, il se distingue par la végétation argentée des oliviers de bohême inermis Eleagnus angustifolia caspica, associés à de nombreuses clématites aux floraisons étalées dans le temps et utilisées pour la circonstance en couvre sol. Le projet aquarellé : Depuis le sommet de cet espace privilégié, la vue Coupe transversale type, allant du Belvédère au Jardin des Grands Feuillages. permet de comprendre l’organisation des jardins du Aquarelle de Claude Pasquer, paysagiste site, les jardins parcourus et ceux à découvrir. 15
LE JARDIN DES MEULES Ce jardin est le pendant du Petit bois dont il est séparé par l’ancienne halle de stockage des argile. Jonché de tessons de faïence, il est constitué de massifs plantés dont l’ordonnancement accompagne des meules disposées un peu au hasard. Ces meules récupérées sur le site sont des éléments de mémoire industrielle réinterprétés. L’ Eremurus ou lis des steppes et ses hybrides donnent le ton de ce jardin définitivement consacré aux bulbes en tout genre : Cyclamen, Fritllaria, Lilium, Narcissus, Tulipa… 16
Le Jardin de Ruines LA PRAIRIE C’est un espace de respiration, contiguë aux ruines et au talus de graminées. Face à La Poterie, atelier pédagogique de création céramique animé par le musée, cette pelouse permet de recevoir des manifestations temporaires : journées des plantes, fêtes de la musique, manifestations autour de la faïence et des faïenciers, jardins éphémères… LE LABYRINTHE DE RUINES Cet espace constitue le coeur de la mémoire industrielle du site : entre les murs d’anciens ateliers, la végétation a repris ses droits. Mais on décèle encore les traces des patouillards, filtre-presse et autres fours qui ont servi à l’élaboration des pâtes à faïence jusqu’aux années 1950. LE THEATRE DE VERDURE A côté de la grande cheminée, l’espace forme une scène en plein air, face à une pelouse en gradins. L’été, cet espace est animé par des spectacles. Le fond de scène est délimité par les anciennes fenêtres de l’usine qui s’ouvrent sur la Blies et ses berges. 17 Végétation apprivoisée au coeur des vieilles pierres Le cachet des friches industrielles Le long des ruines La prairie
Planche contact Toutes les illustrations présentées dans le dossier de presse sont disponibles pour le print et le web, sur demande à : Pitz.laetitia@mairie-sarreguemines.fr. ; 03 87 28 60 33 Merci de préciser les numéros des photographies souhaitées, le format, la revue qui les publiera et sa date de parution. Merci également d’apposer le crédit photographique stipulé pour chaque illustration. 1. Jardin d’agrément du directeur ; Moulin de la Blies, 1892 2. Atelier de décoration reconstitué au Musée des 3. Le Moulin de la Blies, Musée des Techniques Faïencières Album des faïenceries © Musées de Sarreguemines Techniques Faïencières. © J-C Kanny - CDT Moselle © J-C Kanny - CDT Moselle 4. Vue du Jardin du directeur 5. Friches industrielles / Jardin de Ruines 6. Friches industrielles / Jardin de Ruines © J-F Majcher, Musées de Sarreguemines © Musées de Sarreguemines © Musées de Sarreguemines
7. Friches industrielles / Jardin de Ruines 8. Friches industrielles / Jardin de Ruines 9. Friches industrielles / Jardin de Ruines © Musées de Sarreguemines © Musées de Sarreguemines © Musées de Sarreguemines 10. Friches industrielles / Jardin de Ruines 11. Friches industrielles / Jardin de Ruines 12. Friches industrielles / Jardin de Ruines © Musées de Sarreguemines © Musées de Sarreguemines © Musées de Sarreguemines
13. Friches industrielles / Jardin de Ruines 14. Jardin des tessons et des meules. © O. Thibaud Eremus stenophyllus © Ph. Niez
15. Jardin des tessons et des meules. Eremus stenophyllus © JF Majcher - Musées de Sarreguemines 16. Jardin des tessons et des meules. 17. Jardin des tessons et des meules. Eremus ©Musées de Sarreguemines stenophyllus. © Musées de Sarreguemines
18. Jardin des tessons et des meules. Eremus hybrides © Ph. Niez 19. Le ru bordé d’iris 20. Le ru bordé d’iris © Ph. Niez © Ph. Niez
21. Gunneres du Mexique et rhubarbes palmées 22. Passerelle enjambant le jardin humide 23. Passerelle enjambant le jardin des Grands Feuillages © Musées de Sarreguemines © JF Majcher -Musées de Sarreguemines © JF Majcher - Musées de Sarreguemines 24. Le jardin des Grands Feuillages 25. Les berges de la Blies © JF Majcher - Musées de Sarreguemines © Musées de Sarreguemines
26. Potager du directeur, nids à forficule © Musées de Sarreguemines 27. Terrasse aux pivoines, pergola et musée des techniques faïencières. © Musées de Sarreguemines 28. Glycine chinoise et cerisiers pleureurs. © Musées de Sarreguemines 29. Terrasse aux pivoines, pergola © Musées de Sarreguemines 26. 27. 28. 29. 24
PROGRAMME DE LA SAISON 2009 AU JARDIN... * GRANDE FÊTE D’OUVERTURE 13 & 14 juin / de 10h à 17h Musique, animations, visites guidées... * THÉÂTRE 13 & 14 juin / de 18 à 20h / Départ toutes les 20 minutes Les Fables de La Fontaine, par Phénomène et compagnie Spectacle gratuit dans la limite des places disponibles, présenté dans le cadre de Jeux de jardin, festival culturel pour jardins mosellans du 30 mai au 21 juin * FAÎTES DE LA MUSIQUE 21 juin / de 14h à 18h / entrée libre aux graines de musiciens. Rens et insc. au 03 87 98 93 50 * EXPOSITION VÉHICULES ANCIENS 4 et 5 juillet / de 10h à 18h Pour les amateurs de voitures anciennes, présentation d’une Peugeot 301 (1932) et d’une Citroën B12 (1926), propriétés de la ville, dans l’enceinte du jardin * THÉÂTRE DE TRÉTEAUX / COMMEDIA DELL’ARTE 14 août / 21h / entrée libre L’incroyable histoire de Tang-Tsé-Kiang ; Cie du Mystère Bouffe (Ile de France), dans le cadre du festival « La Sarre à contes ». * JOURNÉE VÉLO SAARMOSELLE AVENIR 23 août / de 10h à 18h / entrée libre aux cyclistes Etape sur le parcours de la manifestation « Vélo Saar Moselle ». Profitez des escapades faïencières guidées par l’Office de tourisme**** : 03 87 98 80 81 * WEEK-END “ARTS DU FEU” 5 & 6 sept. / entrée libre En partenariat avec le Foyer culturel de Sarreguemines : forgeron d’art, sculpteur sur fer, céramistes... créent leurs oeuvres devant le public durant tout le week-end * VISITES GUIDÉES Le dernier dimanche de chaque mois / 15h / 5€ Amoureux des fleurs et des jardins, explorez le site en compagnie de Martine, jardinière 25 responsable du lieu !
Informations pratiques SITE DU MOULIN DE LA BLIES MUSEE DES TECHNIQUES &JARDIN DES FAÏENCIERS 125 Avenue de la Blies _ 57200 Sarreguemines tél. : 03 87 98 28 87 jardindesfaienciers@mairie-sarreguemines.fr www.sarreguemines-museum.com OUVERTURE : A partir de juin 2009 : Jusqu’au 31 octobre, De 10h à 18h, tous les jours sauf le lundi, En 2010 : Du 1er avril au 31 octobre, De 10h à 18h, tous les jours sauf le lundi. TARIF D’ENTRÉE AU MOULIN DE LA BLIES (Musée & jardin) : Adulte : 4€ Groupe (à partir de 10 pers.) : 3 €/personnes Gratuit pour les enfants et les étudiants jusqu’à 26 ans Gratuit pour tous les 1ers dimanches du mois Abonnement (accès illimité au site valable 1 an) : 12 € Billet jumelé : (Site de la Blies + Musée de la Faïence en centre ville) Adulte : 5,50 € ; Groupe : 4,50 € VISITES GUIDÉES Pour tous les amateurs de jardins, une fois par mois en com- pagnie de Martine Baumgarten, la jardinière du site. Pour les groupes constitués, sur réservation uniquement : Office de Tourisme**** de Sarreguemines 03 87 98 80 81 26
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