Stéphane Fromm - Galerie Convergences

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Stéphane Fromm - Galerie Convergences
Stéphane Fromm

    Galerie Convergences 2021
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Stéphane Fromm - Galerie Convergences
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Stéphane Fromm

   Galerie Convergences 2021
Stéphane Fromm - Galerie Convergences
POÉSIE ET VÉRITÉ À L’ŒUVRE
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         Si la peinture n’est jamais produite elle-même par du langage, au moins peut-
    elle produire du langage. Si le sujet parlant est celui qui ne sait pas ce qu’il dit, le
    sujet regardant est celui qui ne sait pas ce qu’il voit –
         Daniel Arasse : « On n’y voit rien ».

         C’est cette traversée d’une improbable esthétique que je voudrais ici risquer,
    entre Poésie et Vérité, non par un retour goethéen à l’enfance de l’art, mais
    pour interroger au plus près la question de la légitimité de l’œuvre-peint, en
    l’occurrence celui de Stéphane Fromm. Et parce que l’image plastique se déploie
    en deçà du verbal – sinon dans l’innommable, du moins dans l’innommé –,
    il importe d’en réorienter la présence entre imaginaire et réalité. Je vais donc
    consigner – en demeure, en chemin – les principaux jalons de ma démarche
    lacunaire.

                                                 •

        Juin 2006, Andrée Amiel et Michel Mathieu, amateurs d’art, invitent :
    7 nuits d’insomnie – Peintures de Stéphane Fromm, texte de Laurent Gaudé.
    Interventions de Gérard Barrière, Michel Mathieu et Françoise Monnin.

                                                 •

        2009, Laitances au fil de l’eau.

                        l’éternel intervalle du doute
              là où attend
                            respire à peine
                                                 •

        Juillet 2007, Exposition Galerie Sellem : dans le dossier de presse, Stéphane
    Fromm cite cette phrase de Georg Trakl : « Je ne suis qu’à moitié né. » Je n’ai pas

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Stéphane Fromm - Galerie Convergences
Souche. Encre et huile sur toile, 2021 – 130 x 97 cm.
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Stéphane Fromm - Galerie Convergences
retrouvé la citation du poète autrichien, mais une de ses lettres, écrite à
    vingt-sept ans peu avant sa mort, contient cette phrase : « Je me sens presque
    de l’autre côté du monde. »
         Se sentit-il, se reconnut-il enfin, au moment de sa mort, totalement né, c’est-
    à-dire lors de l’accomplissement de son œuvre, ce qui laisserait supposer qu’en
    lui s’étaient rejoints les deux côtés du monde, ou encore que la mort avait réalisé
    ce que sa hantise de l’innocence poursuivait sans relâche : la coalescence parfaite
    avec la vie, une autre vie ? Poète au destin tragique, écrivain expressionniste,
    Trakl était obsédé par la culpabilité d’être né, ses mots ne trompent pas :

                  « ce qui n’est pas né s’adonne à son repos »
                  « d’argent s’affaissa la tête d’un jamais né »
                  « les descendants inengendrés ».

        Probablement, Stéphane Fromm se situerait dans la mouvance
    expressionniste, si l’on entend par là, avec les historiens d’art, une représentation
    basée à la fois sur la nécessité intérieure du créateur, et sur le constat social
    de la détérioration du rapport de l’homme au monde. Point de vue irréductible
    au bel optimisme de la science autant qu’aux chimères de l’abstraction lyrique.

        Le peintre affirme plus exactement lui-même qu’il est « un expressionniste
    primitif, au sens littéraire ». Je dirais littéraire et philosophique. Car comment
    appréhender autrement l’univers étrange, ambigu, fascinant de ces personnages,
    ces êtres qui flottent sur la toile ou sur le papier, et qui du fond de leur
    désincarnation, de leur absentéisation, persistent à rester là.

                  « RESTER Là, TENIR,… dans l’ombre
                  de la cicatrice en l’air…
                  Avec tout ce qui en cela possède de l’espace,
                  Et même sans la
                                  parole »

        Le mot allemand Stehen, titre du poème de Paul Celan que je cite, signifie
    précisément tenir, rester, résister peut-être. Cette peinture déploie la réalité
    incontournable de la venue au monde qui nous condamne à sans cesse jouir
    de la vie comme à en souffrir, pour y découvrir l‘ombre portée de ce qui n’est plus,
    sur ce qui n’est pas encore.

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Attente. Encre et huile sur papier, 2021 – 65 x 50 cm.

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Stéphane Fromm - Galerie Convergences
•

         J’hésite entre un horizon psychologique (l’identité, l’altérité) et un horizon
    ontologique (l’être, la présence). Il y a, du reste, dans la trajectoire de Stéphane
    Fromm, une évolution notable qui l’a conduit, depuis plusieurs d’années,
    à s’éloigner d’une peinture plutôt violente, d’une figuration abimée, éprouvante,
    presque désespérante : ainsi des crânes, dans la série descendants/ascendants,
    des squelettes, dans la série catacombes. à sortir d’un expressionnisme outrancier,
    non pour un apaisement spirituel tout aussi vain, non pour quitter le monde ou
    pour en être quitte, mais pour sourire stoïquement à la simple condition humaine.
    Le traitement plus généreux de la couleur, plus incisif de la forme, aboutit
    à une sorte de classicisme : intelligibilité, douce luminosité, perfection élégante.
    à tout prendre, l’éloge de l’esprit.

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        Stéphane Fromm n’est oublieux ni des hommes ni des dieux, ni des vivants
    ni des morts. Ni des pères ni des fils. Sa question essentielle est autant :
    pourquoi fait-on encore de la peinture dans le champ clos du tableau, que des
    enfants dans l’ouvert du monde ? Variante de la question métaphysique :
    pourquoi y-a-t-il quelque chose plutôt que rien ?

         Le IL Y A, c’est l’énigme de la Présence destinée à êTRE. Car comme le
    signale un phénoménologue : « On peut être à l’affût de tout l’espace du monde,
    à l’écoute de tout l’absent, quand L’ÉVéNEMENT SE PRODUIT, IL A LIEU DANS
    L’INSURVEILLÉ. » Le IL Y A, c’est le « ON N’Y VOIT RIEN ». Ce qu’on n’attendait
    pas, mais qui est toujours déjà LÀ.

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        Lors de l’exposition à la Galerie Convergences en 2019, Denis Martin rend à
    son confrère et ami un bel hommage intitulé : éclat d’âme où à propos
    d’une œuvre il déclare : « c’est une cigarette… elle eût pu être souche, boite,
    lunette, foule ». Je voudrais m’arrêter sur le mot souche afin d’esquisser une suite
    à ma réflexion, car ce qui arrive ici, ce qui se passe ici, n’est ni plus ni moins qu’un
    signifiant essentiel à la compréhension de la trajectoire picturale de Stéphane
    Fromm. En effet, la première chose que nous considérons dans les œuvres
    exposées, ce sont de nombreuses souches et de nombreux Die ungebornen Enkel
    (en français : les non-engendrés). C’est-à-dire les deux pôles extrêmes

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Stéphane Fromm - Galerie Convergences
Souche. Encre et huile sur toile, 2021 – 130 x 97 cm.
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Stéphane Fromm - Galerie Convergences
de l’oscillation poétique (car créatrice) de la pensée du peintre : naître ou ne pas
     naître, avec la contradiction interne de la représentation du naître, puisqu’on peut
     parler aussi bien de cellule-souche de vie que de souche d’arbre mort.

          Pour aller plus loin dans l’analyse, il conviendrait de « surveiller » et mieux
     encore de « veiller sur » l’évolution plastique de cette forme-souche, ce à quoi
     le peintre lui-même nous invite, quand dans le livret Die ungebornen Enkel,
     il délivre avec une fascinante simplicité le texte d’ouverture commençant par :
     « Ce qui précède » et se termine par : « Donc à venir, ce qui précède. »

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          Janvier 2014, retour amont.
     « Il arrive… », trois poèmes de Michel Mathieu accompagnés de neuf encres
     présentées à Œdipe-le-Salon. Extraits choisis :

                   Il arrive                               … beautéphémère
                   qu’au terme du voyage                   passereau d’aile en aile
                   la beauté se réfugie                    dans l’aporie du temps
                   sur un visage et se résigne             ô ma solaire
                   à recueillir le lieu…                   au bord du gouffre.

                                               II

                                Avril 2021, entretiens.
         Michel Mathieu : Lors de ma visite d’atelier, il y a quelques jours, tu m’as
     appris que le mot « lacunaire », que j’avais employé au début de ce texte pour
     désigner ma façon de rendre compte de ton œuvre, était particulièrement
     fondamental, eu égard à la conception même de ta peinture.

          Stéphane Fromm : Où la notion me séduit en effet, c’est que le « lacunaire »
     n’est pas rien, mais ce qui nous échappe. L’espace n’est pas toujours très occupé
     dans ma peinture, on pourrait y voir du vide, mais un « espace lacunaire » me
     parait plus juste. Quand on n’y voit rien, du moins pas grand-chose, alors nait
     l’aléa ténu qui m’occupe, et s’il n’est pas perdu, fait tenir le tableau.

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Souche. Encre et huile sur toile, 2020 – 80 x 80 cm.

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Il s’agit de ce qui passe « entre », car finalement à mes yeux mes peintures
     ne sont pas si importantes en elles-mêmes, c’est ce qui se passe entre elles,
     comme si elles créaient en retour des lacunes « hospitalières. »

          Michel Mathieu : Dans ta future exposition à la Galerie Convergences, prévue
     pour juin 2021, tu vas montrer de nouvelles formes-souches; je constate qu’elles
     sont plus colorées que les précédentes, ou peintes sur des fonds plus clairs,
     flottantes, et parfois dérivantes comme des planètes, en somme libérées. Il y aura
     aussi, me dis-tu, d’autres formes que tu appelles Clinamen, Allongés, Qui va là.

          Stéphane Fromm : Au cœur de l’aléatoire : le Clinamen d’épicure, cette petite
     déclinaison m’a toujours fasciné. Pour moi l’aléa n’est pas seulement hasardeux,
     car il y a en fait beaucoup d’aléas, surtout celui qui retient, qui porte en lui cette
     petite déviation empêchant de s’installer, et qui ouvre un monde, ou justement
     une lacune. Les autres, superflus et parfois séducteurs, se doivent d’être enlevés.
     L’oulipien Pérec voit dans le Clinamen – selon lui LE mot pour la liberté –
     la variation que l’on fait subir à une contrainte. Je soupçonne la contrainte de
     jouer un rôle important dans cette histoire. Tu parles de peintures plus colorées
     et de formes libérées; je commence souvent avec quelques couleurs, et puis dans
     les épreuves de la figure, le noir prend le dessus, gardant parfois quelques échos.
     À un moment, pour les « souches », le noir est devenu trop prenant, trop installé,
     je dirais maintenant : pas assez lacunaire. Il fallait l’entamer. Alors la contrainte
     d’entamer par le blanc.
          Pour les Allongés, l’unique contrainte est celle du format (12 x 25),
     ce qui interdit la recoupe du papier et le cadrage. Comme si dans un état de semi-
     conscience, un lieu lacunaire se créait, un lieu prêt à tout. Sont convoqués
     le champ des séries habituelles, mais aussi ce qui est mis de côté, ce qui
     n’est pas permis, le très-peu, des références, des formes inhabituelles,
     la référence à des amis peintres…
          Les Qui va là entretiennent un lien avec les gardiens de Kafka, et l’interstice
     accueillant – sans savoir de quel côté il ouvre. Et donc, il y a quelques jours à
     peine, par hasard, au détour d’une recherche, retomber sur Celan avec ce poème
     énigmatique : La déchirure de feu chauffée, une petite déviation, caresse et
     proximité émouvante :
                     « ….
                     Les Qui est là ? criés
                     à l’intérieur d’elle
                     …»

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Qui va là. Encre et huile sur papier, 2021 – 25 x 18 cm.

                                                               Qui va là.
                                               Encre et huile sur papier,
                                                      2021 – 27 x 8 cm.

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III

          Ne pas dissimuler la trace. Ultime retour amont pour clore provisoirement
     mon chemin : une note personnelle de la préface du livre coproduit avec Andrée :
     Fruits de la passion, il y a plus de vingt ans. (En 1999, nous ne connaissions pas
     encore Stéphane Fromm). Où donc j’écrivais :

          « Quand un homme se retourne sur une femme, ou une femme sur un
     homme, ils voient l’objet de leur curiosité de dos : une forme qui s’éloigne, une
     image qui se perd dans le lointain… Il en va autrement de la peinture et de la
     sculpture… elles nous abordent, elles nous répondent… nous abreuvent comme
     une source, nous purifient comme le vent. Quelle curiosité nous a provoqués ?
     Je l’ai dit par ailleurs : l’art est une fenêtre et un miroir. à travers l’art, nous
     sommes à la fois face au monde et à nous-mêmes… Une épreuve qui nous meut,
     nous émeut, et nous accorde à l’autre. »
                                                                Michel Mathieu

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Souche. Encre et huile sur toile, 2020 – 130 x 97 cm.
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Souche. Encre et huile sur toile, 2021 – 33 x 22 cm.   Souche. Encre et huile sur toile, 2021 – 33 x 22 cm.

     Souche. Encre et huile sur toile, 2021 – 33 x 22 cm.    Souche. Encre et huile sur toile, 2021 – 33 x 22 cm.
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Souche. Encre et huile sur toile, 2021 – 33 x 22 cm.

                                                       17
Ultima sigaretta.
     Encre et huile sur papier,
         2020 – 5,5 x 9,5 cm.

       Souche. Encre et huile sur toile, 2021 – 30 x 30 cm.

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Souche. Encre et huile sur toile, 2020 – 80 x 80 cm.

                                                       19
Souche. Encre et huile sur toile, 2021 – 35 x 24 cm.

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Allongé. Encre et huile sur papier, 2021 – 12 x 25 cm.

Allongé. Encre et huile sur papier, 2021 – 12 x 25 cm.

                                                         21
Allongé. Encre et huile sur papier, 2021 – 12 x 25 cm.

     Allongé. Encre et huile sur papier, 2021 – 12 x 25 cm.

      Souche. Encre et huile sur toile, 2021 – 35 x 24 cm.

     Allongé. Encre et huile sur papier, 2021 – 12 x 25 cm.

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Allongé. Encre et huile sur papier, 2021 – 12 x 25 cm.

Allongé. Encre et huile sur papier, 2021 – 12 x 25 cm.

Allongé. Encre et huile sur papier, 2021 – 12 x 25 cm.

                                                         23
Allongé. Encre et huile sur papier, 2021 – 12 x 25 cm.

     Allongé. Encre et huile sur papier, 2021 – 12 x 25 cm.

     Allongé. Encre et huile sur papier, 2021 – 12 x 25 cm.

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Allongé. Encre et huile sur papier, 2021 – 12 x 25 cm.

Allongé. Encre et huile sur papier, 2021 – 12 x 25 cm.

Allongé. Encre et huile sur papier, 2021 – 12 x 25 cm.

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Souche. Encre et huile sur toile, 2021 – 40 x 40 cm.

26
Souche. Encre et huile sur toile, 2021 – 33 x 22 cm.

                                                       27
28
Souche. Encre et huile sur toile, 2021 – 20 x 20 cm.

Souche. Encre et huile sur toile, 2020 – 20 x 20 cm.

                                                       29
Souche. Encre et huile sur carton, 2020 – 24 x 23 cm.

     Souche. Encre et huile sur papier, 2021 – 20 x 32 cm.

30
Souche. Encre et huile sur papier, 2020 – 58 x 41 cm.
                                                        31
Souche. Encre et huile sur carton, 2020 – 23,5 x 15 cm.

32
Souche. Encre et huile sur papier, 2019 – 31 x 29 cm.

                                                        33
34
Sans titre. Encre et huile sur papier, 2020 – 50 x 42 cm.

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Sans titre. Encre et huile sur toile, 2020 – 20 x 20 cm.

36
Sans titre. Encre et huile sur toile, 2020 – 30 x 21 cm.

                                                           37
Souche. Encre et huile sur toile, 2021 – 60 x 60 cm.

38
Souche. Encre et huile sur toile, 2020 – 55 x 38 cm.

                                                       39
Sans titre. Encre et huile sur papier, 2020 – 27 x 19 cm.

40
Clinamen. Encre et huile sur papier, 2020 – 56 x 45 cm.

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Clinamen.
                       Encre et huile sur papier,
                            2020 – 20 x 9,5 cm.

     Sans titre. Encre et huile sur papier, 2021 – 18 x 25 cm.

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Clinamen. Encre et huile sur papier, 2020 – 49 x 28 cm.

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Stéphane Fromm, né le 21 juillet 1966
     Encore étudiant en philosophie et en logique, au hasard d’une rencontre et par
     inadvertance, il s’amuse à quelques peintures. Mais comme souvent les choses
     prennent leur ampleur là où on ne les attend pas, il tournera son attention
     totalement vers cette pratique, pour lui improbable et toujours surprenante.
     Autodidacte, donc. Sa peinture est faite de présences incertaines, avec comme
     pendants techniques, dilutions et effacements. Cela tient souvent à peu de
     chose, comme la vie, dit-on.

     2021	Exposition personnelle, galerie Convergences, Paris, juin.
           Transistance, galerie Jacques Bivouacé, Pierrefitte, avril-août.
     2020  Exposition collective, galerie Convergences, Paris juillet et janvier.
           Rencontres POZOR d’Art Moderne affiché, Oblik à Clichy, octobre.
           élans de Natures, galerie Convergences, Paris, décembre.
     2019  Exposition personnelle, galerie Convergences Paris Mai 2019
           “I love Pink”, galerie Luc Berthier, février.
           Le Hublot, Ivry, novembre.
           Salon YIA avec la galerie Gratadou et la galerie Convergences, octobre.
           Rencontres POZOR d’Art Moderne affiché, Paris, avril.
           Exposition collective, galerie Patrick Bartoli, Marseille, février.
     2018  Exposition collective, galerie Point Rouge, Saint-Rémy, décembre 2018 et janvier 2019.
           Exposition collective, galerie Convergences, Paris, décembre 2018 et janvier 2019.
           “S’abstraire”, galerie Point Rouge, Saint-Rémy, septembre.
           “Clair-Obscur”, galerie Le cabinet d’amateur, mars.
     2017  Exposition OBLIK au Pavillon Vendome, décembre 2017 et janvier 2018.
           Hommage à Emmanuel Rioufol, galerie Satellite , nov 2017
           “Le poids de la lune” avec R. laillier et C. Ursin, L’arrivage, Troyes, octobre.
           Arcité, Fontenay, septembre.
           “Entrouvertures”, galerie Point Rouge, Saint-Rémy, août.
           “Minimenta”, galerie Point Rouge, juin.
           «1certitudes», galerie Oberkampf, avril.
           “Comme un-5”, livre AREA, Paris, janvier.
           Faire le point (Fromm, Laillier, Ursin), galerie Point Rouge, Saint-Rémy, novembre.
     2016  Minimenta, galerie Point Rouge, Saint-Rémy, juin.
           “Les désordres d’éros”, galerie Luc Berthier, mai.
           “Paroles peintes”, galerie Satellite, avril.
           “Je voulais verifier si tu étais là 2”, galerie Oberkampf.
     2015  “Les petits de mes amis”, galerie Luc Berthier.
           “Je voulais verifier si tu étais là”, galerie Satellite.
           “Tours et détours”, galerie Satellite.
           Le pavillon jaune, Paris.
     2014  Intermèdes 2, Paris.
           “Intermèdes”, galerie Oberkampf, Paris.
     2013  œdipe le salon, Paris.
     2010  Atelier Martel, Paris.
           Présentement 4, galerie Cour Carrée.
     2009  Galerie La Louve, Louftemont, Belgique.
     2008  Les peintres de l’agonie, Bruxelles.
           Galerie Le Marque Page, Pont-sur-Yonne.
     2007  Galerie Sellem, Paris.
     2006  Mac Paris.
     2005  Galerie Nymphea, Paris.
           Biennale “Au delà du corps”, Aixe-sur-Vienne.
           Librairie “Le comptoir des mots”, Paris.
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Tentative d'autoportrait. Encre et huile sur toile, 2020 – 40 x 40 cm.

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Ultima sigaretta. Encre et huile sur papier,
                2020 – 11,5 x 7 cm.

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Photographies artiste et atelier :
Denis Martin et galerie Convergences.

Texte : Michel Mathieu.

Graphisme : Luc-Marie Bouët.

Le catalogue est publié
par la galerie Convergences
à l’occasion de l’exposition
Stéphane Fromm
juin 2021.

Galerie Convergences
22, rue des Coutures-Saint-Gervais
75003 Paris
06 24 54 03 09
graisvalerie@yahoo.fr
www.galerieconvergences.com

© Galerie Convergences, Paris 2021

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Galerie
Convergences
10,00 e
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