Art nouveau en Normandie : Calvados - Hermanville (14) Villa la Bluette H. Guimard 1899 - La Région Normandie
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Hermanville (14) Villa la Bluette H. Guimard 1899 Art nouveau Calvados Art nouveau en Normandie : Calvados Fiche de synthèse réalisée en février 2016 par le service éducatif de l’Inventaire général du patrimoine Région Normandie 1
Le contexte À la fin du XIXe siècle en Europe, un formidable mouvement de remise en cause de l’académisme, mais aussi du rationaliste, se diffusa dans de nombreuses villes d’Europe. Liberty, Jugendstil, modernisme, sécession, l’Art nouveau recouvrit bien des formes, contradictoires en apparence, mais qui toutes avaient Art nouveau Calvados pour élément signalétique essentiel la ligne : souvent sinueuse, la ligne fut à l’évidence le symbole de l’Art nouveau, se développant au-delà ou indépendamment de la forme utilitaire de l’objet. En Normandie, il demeure peu de traces de la période Art nouveau. Sans doute, les destructions nombreuses occasionnées par les combats de la Libération ont fait disparaitre une partie de ce patrimoine. Néanmoins, il faut bien admettre que les notables de la belle époque se montrèrent très frileux vis-à-vis de la modernité : la plupart préférait s’en remettre aux valeurs éprouvées du régionalisme, style très en vogue dans les stations balnéaires du littoral normand. L’Art nouveau fut ainsi exceptionnellement invité et lorsqu’il le fut, il demeura le plus souvent circonscrit à quelque encadrement d’ouverture ou quelque ferronnerie. Les pages qui suivent rassemblent les œuvres Art nouveau des 3 départements Calvados, Manche et Orne, recensées d’une part par l’Inventaire général du patrimoine culturel, d’autre part par les différents partenaires culturels de la région. Loin d’être exhaustif, cet aperçu offre à voir quelques interventions remarquables, presqu’exclusivement dans le domaine de l’architecture, à l’heure où la remise en cause de l’académisme traversait, dans de nombreux champs artistiques, plusieurs villes d’Europe. Les œuvres sont répertoriées par département, au sein desquels elles sont classées par ordre alphabétique de communes. 2
Quartier qui concentre les principales architectures Art nouveau. Belle époque et Art nouveau à Caen Si les demeures privées construites à Caen à la belle époque furent nombreuses et en partie Art nouveau Calvados sauvegardées des des- tructions de la 2nde Guerre mondiale, rares sont les architectes novateurs qui y ten- tèrent des incursions dans l’Art nouveau. La municipalité caennaise avait encouragé, à partir de 1884, la construction d’un axe résidentiel partant de la place Saint-Sauveur pour rejoindre la gare Saint-Martin ; c’est donc essentiellement dans ce quartier, aujourd’hui central de Caen, que sont conservées quelques demeures empreintes des formes Art nouveau : les rues du XXe siècle, de Bagatelle, Isidore-Pierre et Jean- Marot offrent ainsi quelques façades animées de courbes végétales, au milieu de styles divers (éclectisme, historicisme et régionalisme essentiellement, l’architecture caennaise ayant suivi le rythme du siècle, avec toujours un léger temps de retard). Mais le plus souvent, ces références à l’Art nouveau se limitent à un décor plaqué sur une architecture traditionnelle. 3
Caen Maison 2-4 rue du XXe siècle Architectes Aumasson et Persillet 1901 Maison construite en 1901 par les architectes Aumasson et Persillet dans le cadre de la Art nouveau Calvados création de la rue par M. Leturmy (propriétaire), à titre privé. La rue fut à cette occasion rebaptisée rue du XXe siècle pour honorer l’aube du nouveau siècle. - Architecture éclectique de pierre et de brique - Décor géométrisant - Les lignes courbes des ouvertures en façade adoptent l’esprit Art nouveau avec une retenue toute normande. 4
Maison construite pour le célèbre Caen sculpteur régional Bouet dans la Maison rue ouverte en 1899. 43 rue du XXe siècle Architecte : - Architecture aux volumes de P. Aumasson ? style historiciste, toits à longs Vers 1913 pans, structure dissymétrique. - Façade en pierre de Caen animée d’un jeu de briques rouges Art nouveau Calvados - Décor d’esprit Art nouveau, qui mêle végétal et figure. Sculptures de Bouet, propriétaire de la maison. 5
Caen Maison 24 rue Isidore Pierre Architecte P. Aumasson Cette maison édifiée par P. Aumasson offre en façade une abondance de Art nouveau Calvados courbes qui peut être interprétée comme une référence à l’art nouveau. 6
Caen Maison 20 rue des Fossés Saint-Julien Architecte : H-C Deguernel 1906 Maison en brique et pierre de Caen Art nouveau Calvados - Structure à deux étages, dissymétrique. - Décor architectural principalement géométrique, dans l’esprit Art nouveau - Ferronnerie souple aux grilles, portes et hauts de fenêtre. 7
Caen, Villa Marie-Eugénie 26 bis ou 80 rue de Calix Toute fin du XIXe siècle. - Intéressants essais de Art nouveau Calvados linteaux courbés - Variété des clés d'arcs. - Ferronnerie souple. 8
Caen Maison 12 rue Jean Marot Architecte F. Cappe La rue Jean Marot est l’un des rares exemples, à Caen, de rue entièrement réalisée par une même personne : Jean Justin Pecheverty y édifia une série de maisons du côté pair de la rue et confia le chantier à l’architecte Art nouveau Calvados Firmin Cappe. L’ensemble présente un exceptionnel décor éclectique, ainsi que des innovations techniques (toitures en béton moulé) et des équipements modernes (chauffage central). - Maison d'angle, élevée sur deux étages, à la structure ordonnancée de style éclectique. - Structure en ciment armé, murs extérieurs recouverts d’un parement en pierre. - Balcon d'angle en ferronnerie, surmonté d'une voûte en demi cul-de-four, s’inspirant des lignes Art nouveau. - À noter le monogramme JP au fronton, que l’on retrouve à l'autre extrémité de la rue : l’entrepreneur a ainsi marqué de son empreinte les deux extrémités de la rue qu’il avait édifiée. 9
Caen, Station de tramway Boulevard Saint-Pierre Tout début XXe siècle Art nouveau Calvados Les premières lignes du tramway électrique caennais furent inaugurées en décembre 1901. - Boulevard Saint Pierre, station aux lignes fortement imprégnées de l’Art nouveau. - Le tramway électrique cessa de fonctionner en 1937. 10
Cabourg, Villa dite La Surprise 13 avenue des Dunes (auj. avenue du Maréchal-Foch) Architecte H. Guimard, 1903 (Détruite en 1944) La Surprise apparait à la fois très aérienne : Art nouveau Calvados - formes fluides, toiture au fort débord, unificatrice et pleine d’élan - aile de service surmontant le garage et balcons en saillie, portés par des étais de bois ou de maçonnerie qui ceinturent les façades. Avec néanmoins un caractère affirmé : Cette villa fut commandée à Hector Guimard par Mme Nozal en 1903, pour faire « une - Emboitement des volumes surprise » à son mari. Elle fut agrandie en 1907, avec l’ajout de trois chambres et d’un salon. - Découpes japonisantes La famille Nozal fut pour Guimard un véritable mécène, lui confiant plusieurs commandes - Contrastes subtils entre les très différentes : entrepôt, atelier, monument funéraire, castel, villa balnéaire, hôtel matériaux (meulière particulier à Paris. Le style de l’architecte, véritable « virtuose des formes » était fait pour ce irrégulière, bois peint, type de commande balnéaire, où ses fantaisies formelles pouvaient mieux se fondre dans un ardoise, cheminées urbanisme souvent très éclectique. bichromées) Occupée par les Allemands durant la Seconde Guerre mondiale, elle fut transformée en batterie antiaérienne. Elle sera presque totalement détruite dans les années 1950, ne 11 subsiste que le garage converti en appartement.
Deauville, Maison de villégiature dite Villa des Dunes 81 rue Albert Fracasse Avant 1910 Matériaux : pierre, brique, enduit, ciment, faux pan de bois - Plan complexe avec un étage de Art nouveau Calvados soubassement, un rez-de-chaussée surélevé, un étage carré et un étage de comble. - Toit associant longs pans et toit en pavillon, couvert en ardoise (autrefois rehaussé par un belvédère). - Gros-œuvre masqué au rez-de-chaussée par un enduit de couleur rouge et dans les parties hautes par un faux pan de bois plaqué associant colombes verticales et croix de Saint-André sous les appuis des fenêtres. - L'originalité de cet édifice réside dans ses huisseries de style Art nouveau, La construction de la Villa des Dunes date des premières années du XXe mouvement qui connut peu de siècle, mais la façade nord-ouest fut remaniée au cours de la seconde retentissement à Deauville. moitié du XXe siècle : suppression du belvédère, construction d'un escalier extérieur du côté gauche, modification de la terrasse. 12
Deauville, Villa Mono 5 rue des Villas Années 1920 Matériaux : brique, pierre, calcaire, brique avec pierre en remplissage, enduit, ciment, faux pan de bois - Plan en U, composé d’un corps Art nouveau Calvados central comprenant un rez-de- chaussée, un étage carré et un étage de comble, et d’ailes latérales comprenant un rez-de- chaussée et un étage de comble. - Toit, à longs pans sur le corps central, à longs pans brisés sur les ailes, couvert en ardoise. - Gros-œuvre (brique avec pierre en remplissage), masqué dans les parties basses par un enduit en ciment, dans les parties hautes par un faux pan de bois plaqué, dont les motifs s’inspirent de l’Art nouveau. - La façade sur rue est animée par les décrochements de hauteur et des éléments saillants : auvents, Le garage fut ajouté au cours du dernier quart du 20e siècle. balcons. 13
Deauville, Immeuble - magasin de commerce 82 à 86 rue Eugène Colas Années 1910 Matériaux : moellon, calcaire, brique, ciment - Plan rectangulaire comprenant un sous-sol, un rez-de-chaussée et quatre étages carrés. Art nouveau Calvados - Gros-œuvre (visible sur les élévations latérales) en brique avec pierre en remplissage. Masqué au premier étage par un enduit en ciment et dans les parties hautes par un parement en brique. - Élévation principale à sept travées, animée par deux bow-windows soutenus par des consoles stylisées et couronnés par un toit circulaire supporté par des aisseliers en bois. - Galerie sur le dernier étage, avec garde-corps en bois, protégée par le débordement du toit. Le toit à longs pans est couvert en ardoise. - Cet édifice au caractère moderniste propose une relecture du style Art nouveau tel qu'il est pratiqué à Paris au début du siècle, notamment par Henri Sauvage. 14
Deauville Maison de villégiature dite Villa Paquin ou Les Abeilles, puis Villa Citroën ( immeuble Les Abeilles aujourd’hui) 15 boulevard Eugène Cornuché Auteurs : Bluysen (architecte), Robert (ferronnier), Roll (peintre) 1909 Art nouveau Calvados Matériaux : béton ; brique ; bois ; faux pan de bois - Plan rectangulaire avec un rez-de-chaussée surélevé sur sous-sol, un étage carré et deux étages de comble. - Toit à longs pans et demi-croupe, couvert en tuile plate, autrefois rehaussé d'épis de faîtage. - Gros-œuvre en béton, masqué par un enduit La villa Les Abeilles fut construite en 1909 sur le front de mer par le célèbre en ciment et un placage en brique au premier architecte Auguste Bluysen (auteur du Grand Rex) pour la créatrice de mode étage, et orné d'un faux pan de bois plaqué Irène Paquin, qui avait pour habitude d’accompagner sa clientèle sur son lieu de d'inspiration Art nouveau. villégiature (C’est souvent sur l’hippodrome de Deauville qu’elle présentait ses - Façade nord-ouest (côté mer) ceinturée au créations). Au cours du 3e quart du 20e siècle, la villa fut divisée en rez-de-chaussée par une terrasse surélevée appartements. dont les courbes font référence au répertoire ornemental Art nouveau. Variation libre et moderne sur le style du manoir, d'inspiration plus anglaise - Les parties hautes de cette façade sont que normande, cette villa s'est imposée comme un modèle de l'architecture de animées par deux pignons latéraux en la villégiature et a fait l'objet de nombreux articles dans les recueils surplomb reliés par une loggia. Cette d'architecture : L'architecture du littoral, Répertoire de l'habitation, Monographie composition est à rapprocher de la résidence des bâtiments modernes et villas normandes et anglaises. de Staden Sussex, dans la banlieue de 15 Londres, conçue par Phillip Webb en 1892.
Douvres-la-Délivrande Pharmacie Lesage 78 rue du Général de Gaulle Architecte Rouvray Vers 1901 Georges Lesage, pharmacien, chercheur, écrivain et amateur d’art, également maire et conseiller général de Douvres, commanda la rénovation de ce bâtiment pour en faire à la fois sa résidence et sa Art nouveau Calvados pharmacie, à laquelle il voulait donner un caractère moderne. Il en confia le chantier à l’architecte caennais Rouvray, émule d’Hector Guimard. - Architecture générale de style éclectique : façade d’influence Napoléon III, fenêtres néo-Renaissance - Ornementation nettement empreinte du style 1900 : la toiture, faite de tuiles vernies polychromées, reprend le motif de la fleur, également dominant sur la mosaïque de sol. - La courbe d’inspiration végétale est omniprésente sur les ferronneries, les boiseries et le mobilier intérieur. - À l’origine, des vitraux peints garnissaient les ouvertures extérieures : ils ont tous été remplacés, à l’occasion d’une restauration, par du verre ordinaire. Seule la porte intérieure a conservé ses vitraux d’origine. 16
Douvres-la- Délivrande Pharmacie Lesage Intérieur À l’intérieur, mobilier, Art nouveau Calvados céramiques, boiseries et vitraux sont d’origine. © patisserie-jung.fr 17
Hermanville Immeuble dit la Sapinière 561 à 567 rue du Pré de l’Isle Architecte : Hector Guimard Début du XXe siècle Art nouveau Calvados Matériaux : moellon, brique, pierre Au premier étage, l'immense terrasse soutenue par des arcs en bois donne à la villa un style aérien, à l’instar de la Bluette, autre villa édifiée par Hector Guimard à Hermanville. 18
Hermanville maison dite la Bluette 272 rue du Pré de l’Isle Architecte : Hector Guimard 1899 Matériaux : pierre, pan de bois, galet Cette villa balnéaire est représentative de l'Art nouveau par ses volumes et ses lignes. À partir de 1898, la plastique architecturale de la villégiature devient plus complexe, chaque façade étant Art nouveau Calvados individualisée avec de multiples articulations qui mettent en mouvement l'ensemble de la composition. On observe la multiplication des formes des ouvertures, des saillies et des décrochements, tous s'imbriquant les uns dans les autres dans une impression de fusion des volumes. C’est là l’une des grandes composantes du « style Guimard », particulièrement aboutie à la Bluette. - façades en pan de bois personnalisées par l'architecte, qui oppose aux lignes droites de grandes courbes. - Plans superposés créant des effets de profondeur et de transparences. - Toiture ornée d'une vague en céramique. Commande d'Apollonie Grivellé pour son fils Prosper, avocat à Paris. - Décor de bois (colombages peints en bleu), galets et coquillages pour donner à l’édifice son Parente de la mère de Guimard, cette propriétaire aisée d'Auteuil avait caractère de bord de mer et sa polychromie, accueilli le jeune Guimard à son arrivée à Paris en 1882 et lui avait servi de dans la lignée du Castel Béranger. garant et procuré sa première commande, celle du café-concert du Grand Neptune. La totalité de la maison, des clôtures et portails et du sol de la 19 parcelle ont été classés MH en 2005 .
La Bluette Élévation sud : vue d’ensemble et détail Art nouveau Calvados Élévation nord : détails et signature 20
Art nouveau Calvados La Bluette, pièce principale : meubles et détails ; escalier ; cheminée ; chaise 21
Lion-sur-Mer Casino - Maison dit le Castel Louis 4 rue Joseph Pasquet, Auteurs : Joseph Pasquet (architecte), Jean-Alexandre Navarre (ferronnier), Alexandre Bigot (céramiste) 1866-1900 Art nouveau Calvados Matériaux : pierre, brique - rez-de-chaussée comprenant un hall avec escalier et trois très vastes pièces - L’inscription « casino », presque effacée, se devine sur la façade sud. - La loggia de la façade nord, sur la mer, présente un exceptionnel décor de céramique de style art nouveau inspiré de la faune Signalons également à Lion-sur-Mer l’ancienne blanchisserie, et de la flore marines, dont la porte et les deux fenêtres latérales semblent être des fabriqué par Alexandre 22 références à l'Art nouveau. Bigot.
Élévation sud sur rue. Art nouveau Calvados Le Castel Louis, élévation nord avec sa loggia et sa baie centrale ; détails des décors céramiques d'Alexandre Bigot. 23
Villers-sur-Mer Ancien établissement de bains chauds, (aujourd’hui commerce et maison) 12 rue Michel d’Ornano Auteurs : A. Latapy (architecte), C. Catteau (céramiste, décor intérieur), Gilardoni Fils et Cie (céramistes, décor de Art nouveau Calvados la façade) 1913 Matériaux : brique, enduit, maçonnerie, badigeon En 1913, la municipalité de Villers-sur-Mer décide de doter la station d'un établissement de bains chauds. Son objectif est à la fois de compléter l'offre faite aux touristes et de proposer aux habitants de Villers et à ses écoles un établissement ouvert toute l'année. L'emplacement choisi, dans le centre-ville, est la rue Michel d'Ornano, en léger retrait par rapport au front de mer et à la digue, à la différence des premiers établissements de bains qui donnaient sur la plage. L’établissement est composé de quatre corps de bâtiment qui entourent une cour centrale qui n'est plus couverte, comme à l'origine, par une verrière. 24
Villers-sur-Mer Établissement de bains chauds La façade nord-est, ordonnancée, comporte cinq travées dont la symétrie a été altérée par des adaptations notamment l'ouverture d'une porte de garage. Elle est construite en brique. - Façade animée par des auvents au rez- de-chaussée et au premier étage, couverts en tuile et en partie en verre Art nouveau Calvados après les dernières modifications de la fin du siècle. - Baies rectangulaires, encadrées dans leur partie supérieure par un enduit ciment peint. - Important décor de céramiques Sur la façade, une plaque de céramique vernissée annonce tous les vernissées à motifs floraux contenus dans services et les soins proposés par l'établissement : « balnéothérapie, de larges bandeaux horizontaux et bains chauds, eau de mer - eau douce, bains médicaux, bains verticaux. Inspiration naturaliste mais d'enfants, bains douches, massages hygiéniques sous l'eau, bains de comportant des éléments très stylisés pieds, bains de siège, pédicure, manucure ». évoquant la ligne coup de fouet de l'Art nouveau. - ornement végétal : feuillage, fleur La façade sur rue est ornée d'un important décor de céramique à motifs végétaux plus ou moins stylisés. 25
Fiche de synthèse réalisée par le service éducatif de l’Inventaire général du patrimoine Région Normandie, en partenariat avec la CAOA 14. Une bibliographie sélective est consultable sur le site de l’Inventaire. Art nouveau Calvados Pour en savoir plus, ou pour tout projet relatif au patrimoine Art nouveau de la région Normandie : Région Normandie Direction de l’Inventaire général du patrimoine culturel Tel. 02.31.06.97.33 Mail. inventaire@normandie.fr Service éducatif Mail. service-educatif-inventaire@normandie.fr 26
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