Biologie cellulaire exercices et méthodes - Licence PAces cAPes - Dunod
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Biologie cellulaire exercices et méthodes Licence • PACES • CAPES Sous la direction de Marc Thiry Professeur à l’université de Liège (Belgique) Pierre Rigo Assistant pédagogique et acteur de la communication scientifique à l’université de Liège (Belgique) Sandra Racano Diplômée de l’université de Liège (Belgique) 2e édition P001-352-9782100754854.indd 1 18/07/2016 18:26
Illustration de couverture : Coupe transversale dans une queue de souris. À gauche, l’épiderme est formé de différentes couches superposées de cel- lules épithéliales, dont les plus superficielles sont dépourvues de noyaux. Cet épithélium repose sur un tissu conjonctif, incluant quatre incidences de coupes dans des poils. Un petit massif de cellules glandulaires est annexé à chaque poil. Cliché pris par le Prof. Marc Thiry. © Dunod, 2014, 2016 Nouvelle présentation 2019 11 rue Paul Bert 92240 Malakoff www.dunod.com ISBN 978-2-10-080487-0 P001-352-9782100754854.indd 2 18/07/2016 18:26
Table des matières Avant-propos 5 Comment utiliser cet ouvrage ? 6 Remerciements 8 1 Unicité chimique du vivant 9 QCM……………………………………………………………………………………………… 18 Vrai ou faux…………………………………………………………………………………… 24 Exercices………………………………………………………………………………………… 29 Schéma de synthèse : La composition chimique des êtres vivants………………… 34 2 Unicité structurale du vivant et méthodes d’étude de la cellule 35 QCM……………………………………………………………………………………………… 45 Vrai ou faux…………………………………………………………………………………… 51 Exercices………………………………………………………………………………………… 54 Schéma de synthèse : Unicité structurale du vivant…………………………………… 59 Les méthodes d’étude de la cellule…………………………… 60 3 La périphérie cellulaire 61 QCM……………………………………………………………………………………………… 72 Vrai ou faux…………………………………………………………………………………… 77 Exercices………………………………………………………………………………………… 84 Schéma de synthèse : La périphérie cellulaire des eucaryotes……………………… 93 4 Le noyau 94 QCM…………………………………………………………………………………………… 104 Vrai ou faux………………………………………………………………………………… 109 Exercices……………………………………………………………………………………… 115 Schéma de synthèse : Le noyau………………………………………………………… 120 © Dunod. Toute reproduction non autorisée est un délit. 5 Le réticulum endoplasmique et les ribosomes 121 QCM…………………………………………………………………………………………… 130 Vrai ou faux………………………………………………………………………………… 135 Exercices……………………………………………………………………………………… 139 Schéma de synthèse : Le réticulum endoplasmique et les ribosomes…………… 148 6 L’appareil de Golgi 149 QCM…………………………………………………………………………………………… 153 Vrai ou faux………………………………………………………………………………… 156 Exercices……………………………………………………………………………………… 160 Schéma de synthèse : L’appareil de Golgi……………………………………………… 162 3 P001-352-9782100754854.indd 3 18/07/2016 18:26
7 Les lysosomes 163 QCM…………………………………………………………………………………………… 169 Vrai ou faux………………………………………………………………………………… 172 Exercices……………………………………………………………………………………… 176 Schéma de synthèse : Les lysosomes………………………………………………… 179 8 Les peroxysomes 181 QCM…………………………………………………………………………………………… 185 Vrai ou faux………………………………………………………………………………… 187 Exercices……………………………………………………………………………………… 190 Schéma de synthèse : Les peroxysomes……………………………………………… 192 9 Les mitochondries 193 QCM…………………………………………………………………………………………… 203 Vrai ou faux………………………………………………………………………………… 207 Exercices……………………………………………………………………………………… 212 Schéma de synthèse : Métabolisme énergétique…………………………………… 217 Les mitochondries……………………………………………… 218 10 Les chloroplastes 219 QCM…………………………………………………………………………………………… 230 Vrai ou faux………………………………………………………………………………… 234 Exercices……………………………………………………………………………………… 238 Schéma de synthèse : Les chloroplastes……………………………………………… 242 11 Les filaments cellulaires 243 QCM…………………………………………………………………………………………… 253 Vrai ou faux………………………………………………………………………………… 256 Exercices……………………………………………………………………………………… 261 Schéma de synthèse : Les filaments cellulaires……………………………………… 264 12 Les procaryotes 265 QCM…………………………………………………………………………………………… 273 Vrai ou faux………………………………………………………………………………… 276 Exercices……………………………………………………………………………………… 280 Schéma de synthèse : Les procaryotes………………………………………………… 286 13 La multiplication cellulaire 287 QCM…………………………………………………………………………………………… 297 Vrai ou faux………………………………………………………………………………… 301 Exercices……………………………………………………………………………………… 308 Schéma de synthèse : Cycle, mort et rythmes cellulaires chez les eucaryotes…… 315 La division cellulaire chez les eucaryotes et chez les procaryotes……………………………………… 316 14 La reproduction des organismes 317 QCM…………………………………………………………………………………………… 328 Vrai ou faux………………………………………………………………………………… 332 Exercices……………………………………………………………………………………… 337 Schéma de synthèse : La reproduction des organismes…………………………… 343 La reproduction sexuée……………………………………… 344 Annexes 345 Index 348 4 P001-352-9782100754854.indd 4 18/07/2016 18:26
Avant-propos Le véritable enseignement n’est point de te parler mais de te conduire. Antoine de Saint Exupéry Ce livre a été conçu comme un outil pédagogique de schémas didactiques destinés à faciliter la com- pour aider les étudiants des premières années préhension des données et leur mémorisation. d’études supérieures à appréhender les concepts Puis, de nombreux exercices de différents types fondamentaux de la biologie cellulaire. Une série (QCM, questions Vrai/Faux et exercices de syn- d’exercices incite l’étudiant à se poser des ques- thèse) et de difficulté croissante, sont proposés tions sur la matière et complète ainsi progressi- afin d’évaluer ses connaissances et d’appliquer vement ses connaissances. les concepts fondamentaux de la biologie cellu- L’ouvrage présente en quatorze chapitres les laire. Chaque QCM fait l’objet d’une correction bases de la biologie cellulaire, en commençant commentée. Les questions Vrai/Faux jouissent par un exposé sur l’unicité chimique des êtres également d’une réponse détaillée et les exer- vivants, une présentation des plans d’organisa- cices de synthèse bénéficient de conseils métho- tion du vivant et des méthodes d’investigation de dologiques pour aider l’étudiant à construire la cellule qui sont le point de départ du progrès une réponse. Un ou deux schémas de synthèse des connaissances dans le domaine. Les diffé- à la fin de chaque chapitre relient les différentes rents compartiments structuraux et fonctionnels notions abordées pour aider à une réflexion de la cellule eucaryote sont ensuite abordés suc- plus globale. cessivement, de la membrane plasmique aux Des bonus web (exercices d’entraînement filaments cellulaires en passant par le noyau et supplémentaires), téléchargeables sur la page les différents organites. L’organisation morpho- associée à l’ouvrage sur dunod.com complètent fonctionnelle de la cellule procaryote fait l’objet l’ouvrage. © Dunod. Toute reproduction non autorisée est un délit. du chapitre suivant. L’ouvrage se termine par Cet ouvrage de biologie cellulaire est destiné deux chapitres consacrés à la continuité de la aux étudiants de licence de Sciences de la vie et vie, le premier sur le cycle, la division et la mort de la PACES et aux candidats au CAPES de SVT cellulaires et l’autre sur la reproduction des orga- (en France) ainsi qu’aux étudiants du premier nismes et la différenciation cellulaire. Bachelier des Facultés de Sciences, de Méde- Ce découpage est nécessairement arbitraire, cine et de Médecine vétérinaire (en Belgique). c’est pourquoi dans chaque chapitre présentant Il pourra aussi être consulté avantageusement une notion précise, de multiples renvois per- par tous ceux qui ressentent le besoin de mettre mettent au lecteur de se référer rapidement aux à jour leurs connaissances dans un domaine en données associées à la question traitée. perpétuelle évolution, et qui est devenu indispen- Chaque chapitre débute par un rappel théorique sable à la compréhension des grandes fonctions synthétique, sous forme de fiches, accompagné biologiques et à celle de leurs désordres. 5 P001-352-9782100754854.indd 5 18/07/2016 18:26
Comment utiliser Unicité chimique du vivant Mots-clés 1 • éléments chimiques • polysaccharides • protéines • molécules inorganiques • lipides • acides aminés • eau • acides gras • acides nucléiques • sels minéraux 14 chapitres • triglycérides • nucléotides • molécules organiques • phospholipides • ADN • glucides • stéroïdes • ARN et leurs mots-clés Retrouvez des exercices supplémentaires sur la page Plusieurs gouttelettes lipidiques dans le cytoplasme d’une cellule humaine MET. Cliché pris par le Prof. Marc Thiry. du cancer du sein. associée à l’ouvrage @ sur dunod.com Des rappels de cours sous forme de fiches Fiche 1 • la petite sous-unité a un coefficient de sédimentation de 40S (30S chez les proca- ryotes). Elle est constituée d’une molécule d’ARNr 18S (16S chez les procaryotes) et Le réticulum endoplasmique de 33 protéines ribosomiques (21 chez les procaryotes). Cette sous-unité contient le Fiches site d’attachement à l’ARNm ; • la grande sous-unité possède un coefficient de sédimentation de 60S (50S chez les Définition procaryotes) et est composée de trois molécules d’ARNr (28S, 5,8S et 5S) et de 46 Le réticulum endoplasmique est un système de cavités (ou citernes) limitées par une protéines ribosomiques (34 chez les procaryotes). Chez les procaryotes, en plus de simple membrane comprenant deux compartiments qui communiquent l’un avec ces 34 protéines ribosomiques, la petite sous-unité n’est formée que de deux molé- l’autre : le réticulum endoplasmique lisse (REL) et le réticulum endoplasmique cules d’ARNr (23S et 5S). granuleux (REG). Les sous-unités du ribosome présentent trois sites de liaison aux ARNt (Figure 5.1) : QCM Ces deux compartiments ont un constituant commun de type membranaire, mais ils • le site A retient l’ARNt qui porte le prochain acide aminé qui sera ajouté à la diffèrent par la forme des cavités et par la présence sur la face externe de celles-ci, dans chaîne polypeptidique naissante (on peut associer la lettre A à « arrivée de l’acide le cas du REG, de ribosomes. aminé ») ; Le REL est formé d’un « labyrinthe » de fins canalicules interconnectés carac- • le site P retient l’ARNt porteur de la chaîne peptidique en cours de synthèse (on térisés par l’absence de ribosomes. Ce type de réticulum est fortement développé peut associer la lettre P à « polypeptide en voie de formation ») ; Vrai ou faux ? dans les cellules synthétisant des stéroïdes et dans les cellules musculaires. Au sein • le site E est l’endroit où l’ARNt déchargé de son acide aminé quitte le ribosome (on de ces dernières, il porte le nom de réticulum sarcoplasmique et permet le stockage peut associer la lettre E à exit). des ions calcium, mais aussi leur libération quand les cellules se contractent (voir Chapitre 11). Site P (site de liaison Le REG a une organisation sacculaire ; ses membranes sont recouvertes de ribosomes. du peptidyl-ARNt) La membrane du REG est en continuité avec la membrane externe du noyau. Il est par- Site A (site de liaison ticulièrement abondant dans les cellules séreuses, les plasmocytes (globules blancs) et les neurones. Dans les cellules nerveuses, les citernes du REG sont rassemblées autour Site E (site de l’aminoacyl-ARNt) De nombreux Exercices de sortie, exit) du noyau sous la forme d’agrégats appelés corps de Nissl. La membrane du réticulum endoplasmique E P A Grande sous-unité ribosomique schémas L’architecture moléculaire des membranes du réticulum est semblable à celle de la membrane plasmique (bicouche lipidique et protéines, voir Chapitre 3). Toutefois, Site de liaison les protéines sont en plus grande quantité que dans la membrane plasmique (70 % de l’ARNm Petite sous-unité au lieu de 60 %). Ces membranes possèdent notamment des enzymes nécessaires à ribosomique la synthèse des protéines, au métabolisme des lipides et aux phénomènes de détoxi- fication. Figure 5.1 Schéma d’un ribosome Le ribosome fonctionnel, c’est-à-dire composé des deux sous-unités réunies, a un Fiche 2 coefficient de sédimentation de 80S (70S chez les procaryotes). La taille des ribosomes 5. Le réticulum endoplasmique est d’environ 25 à 30 nm (20 nm chez les procaryotes). © Dunod. Toute reproduction non autorisée est un délit. Les ribosomes L’unité S, pour Svedberg, est une unité de mesure du coefficient de sédimentation qui dépend des propriétés hydrodynamiques de la particule. Cette unité n’est pas Des astuces et conseils additive : le coefficient de sédimentation d’une particule composée de deux sous-par- Les ribosomes sont des particules ribonucléoprotéines (ou RNP) constituées d’ARNr ticules ne sera donc pas égal à la somme de leurs deux coefficients de sédimentation. couplés à des protéines. Certains, appelés ribosomes liés, sont accolés à la face cytoso- lique des membranes du réticulum ou de la membrane externe de l’enveloppe nucléaire, En plus des ribosomes cytosoliques, les mitochondries et les chloroplastes renferment d’autres, baptisés ribosomes libres, baignent au sein du cytosol. Ils assurent la synthèse également des ribosomes de type procaryotique (voir Chapitres 9 et 10). des protéines en assemblant des acides aminés dans un ordre prédéterminé, suite à la lecture d’un ARNm. Les ribosomes sont constitués de deux sous-unités de dimensions inégales qui sont désignées en fonction de leur coefficient de sédimentation : 122 123 P001-352-9782100707119.indd 122 23/03/14 18:32P001-352-9782100707119.indd 123 23/03/14 18:33 6 P001-352-9782100754854.indd 6 18/07/2016 18:26
cet ouvrage ? Des questions Vrai/Faux Entraînement Vrai ou faux Des schémas de synthèse Des QCM 1. pour s’auto-évaluer La membrane en fin de chapitre plasmique des Vrai lipidiques de comp cellules comporte Faux osition moléculaire deux feuillets 2. La membrane plasm identique. ique est une struct ure glycolipidiq 3. Les protéines transm ue. embranaires de amphiphiles. la membrane plasm ique sont 4. Les lipides composant l’édifice membranair 5. La membrane plasmique e sont immobiles. des fonctions distin contient des proté ines spécifiques ctes. assurant 6. Chez les animaux, la ce membrane plasm ET : Endosome Tardif ique comporte EP : Endosome Préco de cholestérol influe Entraînement CR : Corps Résiduel nçant la fluidité des molécules 7. La condition pour qu’un membranaire. Appareil de Golg i phénomène d’osm nèse des lysosomes compartiments ose soit observé L : Lysosome contenant des entre deux d’une membrane solutions différ perméable à l’eau entes est la présence 8. Les membranes plasm sélective entre QCM iques forment et imperméable une frontière de à tous les soluté s. Fiches les cellules et leur perméabilité environnement. 9. L’eau traverse la memb rane cellulaire par 10. L’éthanol traverse la un transport actif. tion extracellulaire membrane plasm ique par simple 11. Les transports actifs diffusion. 1. Parmperme Fiche 2 : La bioge ttent de rétablir i les affirm 12. La pompe sodium-pot ations suiva l’isotonie entre deux ntes sur la memmilieux. assium entretient ❏❏ a. La membrane brane plasm ique, laquelle est exact osomes plasmique de par la polarité de la la stœchiométrieplasmique est une membrane e? enveloppe disco 13. La clathrine est❏un ❏ b. La membrane des échanges qu’elle effect ue. ntinue . des composantplasmique prése plasmique. s du glyco nte une QCM type cellulaire. calyx de la memb composition chimi rane que invariable 14. La phagocytose❏❏est c. La selon le le memb rane plasmique Fiche 5 : La diges mécanisme male L ort dans les lipoprotéine par est lequel le une cholestruct ure tion intracellulaire ❏❏ d. La s de stérol symé conte nutrique memb . lysosomes faible Vésicules de transp cellules rénales. rane densiplasm té (LDL) iqueest entou absor Vésicule intraendoso re bé depar nombcertai reux thèse : Les lys ❏❏ e. La membrane nesorganites dans 15. L’exocytose constitutiv plasmique contie nt des protéines la cellule. cellul eaire. permet, entre dont la nature varie constant des phosp autres, le renou suivant le type n Vrai ou faux ? holipides et des vellement tio plasmique. 2. Parmi les affirm glycoprotéines de la membrane ra et composition des ations suivantes atu 16. Le glycocalyx est fauss uneestruct ? sur les lipides dation membranaires, M ure propre aux laquelle est 17. Les protéines intram procaryotes. ❏❏ a. Les embra ET phospnaires Fiche 4 : La diges facilite leur fixatio holipisont des toujou contiers n dans dans la nnent glyco sylées des group , ceemen Dégra la bicou memb rane che qui ts polair es Hétérophagie 18. Le glycocalyx interv plasm lipidiq ue.ique. disposés en vis-à- vis ❏❏ b. ient dans les Les phosp proce holipi des ssus de 19. La paroi végétale ❏❏ c.prima sont amphrespir ation iphiles. cellulaire. Le chole ire contie n et de la pectine. stérolntinflue de la sur cellul tio la ose, fluidit deé l’hém d’autophagie de la icellu memb lose Exercices ❏ d. Les glycolipide rane. 20. La paroi végétale❏est ra Schéma de syn s possèdent une Fiche 1 : Structure atu une structure qui activité antigénique Vésicule tissus végétaux. ❏ ❏ e. Le cholestérol, évolue en foncti . M hydrophobe on de l’âge des , se dispo 21. Une cellule végét ment des chaînes aliphatiques se dans la zone corres pondant à l’emp Mitochondrie des phospholipi endoplasmique ale peut surviv lace- re sans paroi. des des biomembran 3. Parmi es. EP les structures CR cellulaires suiva double bicouche ntes, laquelle n’est 76 lipidique ? pas délimitée par une d’endocytose ❏❏ a. Le noyau. Vésicules ❏❏ b. La mitochondr Lame de réticulum P001-352-97821 ie. 00707119.indd ❏❏ c. Le chloroplaste 76 tion intracellulaire . ❏❏ d. Les peroxysom es. e est un délit. ❏❏ e. Tous sont 23/03/14 18:35 Membrane plasmique entourés d’une double bicouche lipidique. e est un délit. 4. lage Parmi les affirm ations suivantes fausse ? sur les protéines laire ction non autorisé Fiche 3 : Le recyc membranaires, laquelle est ❏❏ a. Toutes les ction non autorisé protéines memb 3. La périphérie cellu Fiche 4 : La diges ranaires exercent ❏❏ b. La protéine la même foncti Autophagie G est une proté on. ine membranair ❏❏ c. Certaines e intrinsèque. protéines de la © Dunod. Toute reprodu l’influx nerveux. membrane plasm ique participent à la transmission © Dunod. Toute reprodu ❏❏ d. Les protéines de de la membrane plasmique sont ❏❏ e. Les protéines mobiles. périphériques peuve nt être glycosylées . 179 23/03/14 18:35 P001-352-97821 71 00707119.indd 71 179 00707119.indd P001-352-97821 23/03/14 18:35 Des exercices pour s’entraîner Toutes les réponses commentées avec des conseils méthodologiques Réponses Entraînement Fiches 1. d. La chro Exercices chromatine) matine con est essentie densée (ou hétéro- la périphé llement loca Une enzyme rie du noy lisée à appelée prim brane inte au, associée la synthèse ase peut déb rne de l’en à la mem- d’une chaî uter velo ADN simple ne d’ARN à l’intermédia ppe nucléai brin. Elle unit partir d’un ire de la lam re par les ribonuc du nucléol ina, ainsi qu’autou un à un, en les léotides 1. Si une membrane cellulaire contient, en poids, 20 % de lipides et 80 % de protéines, e. Quelque r appariant avec condensée s mottes de d’ADN, ce ceux d’un calculer le rapport moléculaire lipides/protéines sachant que les lipides ont un poids peuvent auss chromatine qui crée une brin i être disp taire du brin amorce com sein du noy plémen- QCM moléculaire moyen de 1 000 daltons et les protéines de 50 000 daltons. au. Le cent ersées au matrice à l’end donc prin re du noyau d’un nouveau roit où l’init cipalement renferme brin va se iation 2. Un récipient est séparé en deux compartiments A et B par une membrane perméable (chromatine de l’euchro 6. c. Les frag produire. aux molécules et ions de taille inférieure à celle d’une molécule de saccharose. En A, on décondensée matine ments d’Ok 2. e. La chro ). men ts de azaki son place 800 ml d’une solution dont la composition est la suivante : lactose 1 mol/l et NaCl dés oxy ribo t des seg- matine con nuc léot ides tine) apparaî densée (hét qui sont prod 29,25 g/l. En B, on place 200 ml d’une solution dont la composition est la suivante : t sous la form érochroma- uits au cou (AD N) gulières. C’es e de mottes des chromos rs de la répl saccharose 0,2 M, urée 12 g/l et NaCl 0,585 %. ication Vrai ou faux ? t l’euchromat irré- omes. Lors un aspect ine qui prés le brin reta de la répl Les masses moléculaires de ces différentes substances sont les suivantes : saccharose : diffus. Ces ente rdé est syn ication, deux type discontinue thétisé de 342 g/mol ; lactose : 342 g/mol ; NaCl : 58,5 g/mol ; urée : 60 g/mol. tine pourron s de chroma- , par petits manière t être distingu ensuite liés fragments de Feulgen és par la réac les uns aux qui sont a) Calculez la pression osmotique « potentielle », c’est-à-dire celle que l’on pourrait , une coloratio tion autr mise en évid n cytochim fragments es. Ces peti mesurer dans un osmomètre fermé par une membrane uniquement perméable à l’eau, ence de l’AD ique de ont été dén ts N. d’Okazaki, ommés frag des solutions de départ. Détaillez votre calcul. 3. b. La fibr du nom de leurs découv ments e chromat Ce ne son b) Lorsque les solutions ont été placées dans leur compartiment respectif, quels non µm, est inienne de t donc pas reurs. 30 nm, et réplication, des amorces une structur mais bien pour la mouvements de molécules ou d’ions vont se produire ? de six nuc e en hélice des frag léosomes formée déjà répliqué ments d’AD chement des par tour. . N Exercices c) Dans quel compartiment le niveau du liquide sera-t-il le plus élevé à l’équilibre ? Le rappro- nucléosome 7. e. Chez d) Quelle sera, à l’équilibre, la concentration massique de NaCl dans chacun des est assuré s dans cett par une hist e fibre les eucaryo mique, l’his one internuc (ARNm, ARN tes, les ARN compartiments ? tone H1. léoso- t et ARNr) transcrits des quatre L’histone des molécu sont général e) Quelle sera, à l’équilibre, la concentration molaire de l’urée dans chacun des histones du H3 est une les de très ement nucléosome noyau prot cours d’un grande taill compartiments ? . éique du processus e qui, au transcriptio de maturat 4. e. Un nuc nnelle, son ion post- Les dimensions des deux compartiments sont telles qu’en début d’expérience, le léosome est ARN fonc t transfor mère d’histon constitué tionnels. mées en es (deux exe d’un octa- intervienne Les ARNt niveau de liquide dans chacun d’eux est identique. mplaires de nt dans la et les ARN cune des r histones cha- mais ne son synthèse autour duq H2A, H2B t pas trad protéique, Conseil méthodologique uel s’enroul , H3 et H4) uits en prot e sur un L’ARN poly quart un tour trois mérase se éines. Différenciez bien les solutés qui peuvent passer au travers de la membrane et ceux qui segment (aussi app sert du brin paires de d’ADN d’en elé brin anti matrice en sont incapables. bases. L’his viron 140 support tem -sens, 3’→ partie du tone H1 ne fait pora 5’) com me nucléosome pas ire pour l’hy Utilisez la formule suivante pour les calculs de dilution : . Celui-ci pos nucléotides bridation diamètre moy sède un qu’elle poly des en de 10 nm. crit aussi bien mérise. Elle Concentration initiale (Ci) × Volume initial (Vi) = Concentration finale (Cf) × Volume final (Vf) tinienne a La fibre chro les exons trans- un diamètre ma- gènes. Les que les intr de 30 nm. introns ne ons des 5. d. Les © Dunod. Toute reproduction non autorisée est un délit. 3. La périphérie cellulaire Ci × Vi = Cf × Vf transcrit prim seront élim ADN poly aire inés du d’amorcer mérases son par un proc seules la t incapables sage qu’a essus d’ép synthèse u cours de is- cléotide. d’un polynu- transcriptio la maturat Elles ne peu nnelle. ion post- 3. Quelle serait la morphologie d’un globule rouge placé dans chacune des solutions nucléotides vent qu’a à l’extrémité jouter des 8. c. La poly suivantes, en considérant que l’état d’équilibre est atteint ? Sachant que vis-à-vis de préexistante 3’-OH d’un mérisation déjà apparié e chaîne niveau du de l’ARN cette cellule, une solution isotonique présente une osmolarité de 0,3 OsM : du brin mat e avec les site d’initiat débute au rice. C’est bases niveau du ion et s’ac a) NaCl 0,15 M nucléotides une courte site de term hève au (5 à 10 nuc chaîne de le début et inaison, qui b) Saccharose 0,15 M amorce, qui léotides), la fin de l’un marque assure le déb appelée La séquence ité de tran d’un nouveau ut de la synt ATG sur le scription. c) Saccharose 0,3 M brin. Lors hèse correspond brin sens réplication de l’initiatio au codon de l’ADN d) Saccharose 0,8 M de l’ADN cellu n de la de la de démarra court brin laire, l’amorce trad uction prot ge (AUG) e) Saccharose 0,3 M et lactose 0,3 M d’ARN doté est un éique (voir d’une extrémi té 3’ libre. 9. d. Les ARN Cha pitre 5). f) Glucose 0,2 M r ne sont pas 106 Ils constitu traduits en ent, avec protéines. les protéine s riboso- 83 P001-352-9 7821007071 19.indd 106 P001-352-9782100707119.indd 83 23/03/14 18:36 23/03/14 18:36 7 P001-352-9782100754854.indd 7 18/07/2016 18:26
Remerciements Je remercie très vivement tous ceux qui depuis plusieurs •• Prof. Dommès Jacques, université de Liège, faculté années contribuent au bon fonctionnement du cours de des sciences, département des sciences de la vie, bio- biologie cellulaire dispensé aux étudiants du premier logie moléculaire et biotechnologie végétales, bachelier en Sciences, à l’université de Liège. Il s’agit •• Prof. Joris Bernard, université de Liège, département en particulier du collectif enseignant de la faculté des des sciences de la vie, physiologie et génétique bac- Sciences et des assistants qui encadrent les séances tériennes, d’aide à l’étude et les travaux pratiques : Pierre Bal- •• Prof. Laurent Michel, université Paris-Sud d’Orsay thasart, Sébastien Brouwers, Philippe Compère, Nadine XI, UFR Sciences, département de biologie, labora- Coosemans, Véronique Goosse, Alain Hambuckers, toire de dynamiques cellulaires et modélisation, Marielle Lebrun, Dorothée Pete, Ludovic Sottiaux, •• Prof. Nüsse Olivier, université Paris-Sud d’Orsay XI, Nicolas Thelen et Marie-France Versali. UFR Sciences, signalisation calcique et interactions Je tiens également à témoigner ma sincère reconnais- cellulaires dans le foie, sance à toute l’équipe du projet « 1, 2, 3… Sciences » •• Dr O’Donohue Marie-Françoise, université Paul et surtout à Françoise Bastin, Rudi Cloots et Nicolas Sabatier Toulouse 3, laboratoire de biologie molé- Vandewalle, avec lesquels je partage depuis 2008 les culaire eucaryote, tribulations de l’enseignement en première année du •• Prof. Peulen Olivier, université de Liège, faculté de bachelier en Sciences. médecine, département des sciences biomédicales et Un tout grand merci à l’unité de didactique des précliniques, laboratoire de recherche sur les métas- sciences biologiques et en particulier à Marie-Noëlle tases, Hindryckx et Corentin Poffé pour leur soutien dans ma •• Prof. Ploton Dominique, université de Reims Cham- démarche pédagogique. pagne-Ardenne, UFR de médecine et de pharmacie, Je remercie bien sûr tous mes collaborateurs grâce matrice extracellulaire et dynamique cellulaire, auxquels j’ai pu enrichir et diversifier mes connais- •• Prof. Polette Myriam, université de Reims Cham- sances en biologie cellulaire. Je pense en particulier pagne-Ardenne, plasticité de l’épithélium respira- aux membres de mon unité de recherche en biolo- toire dans les conditions normales et pathologiques, gie cellulaire et tissulaire du GIGA-Neurosciences : •• Prof. Pascal Poncin, université de Liège, faculté des Marie Cloes, Nicolas Johnen, Patricia Piscicelli et sciences, département de biologie, écologie et évo- Justine Renauld. lution, biologie du comportement - éthologie et psy- Je souhaite associer à cet ouvrage tous les relecteurs chologie animale, qui ont accepté de nous prodiguer leurs précieux com- •• Prof. Portetelle Daniel, université de Liège, faculté mentaires et conseils, chacun dans leurs spécialités, de Gembloux Agro-Bio Tech, chimie et bio-indus- sur les différents chapitres du livre. Je les en remercie tries, microbiologie et génomique, chaleureusement. Il s’agit de : •• Prof. Remacle Claire, université de Liège, départe- •• Prof. Blondel Marc, université de Bretagne Occiden- ment des sciences de la vie, unité de génétique, tale (Brest), faculté de médecine des sciences de la •• Prof. Roingeard Philippe, université François Rabe- santé, laboratoire de génétique, génomique fonction- lais (Tours), UFR de médecine, biologie cellulaire nelle et biotechnologies, et virologie. •• Prof. Castronovo Vincenzo, université de Liège, Je termine en exprimant toute ma gratitude à mes faculté de médecine, département des sciences bio- deux assistants pédagogiques avec lesquels j’ai partagé médicales et précliniques, biologie générale et cellu- cette belle expérience : Sandra qui a lancé le travail avec laire et laboratoire de recherche sur les métastases, son esprit de synthèse et son sens critique aiguisé, et •• Prof. Caudron Nicolas, université Joseph Fourier - Pierre qui a assuré l’essentiel du travail avec son grand Grenoble I, UFR de chimie et de biologie (Valence), enthousiasme, sa fraîcheur, sa disponibilité, sa rigueur dynamique cellulaire et cytosquelette, et son ouverture d’esprit. 8 P001-352-9782100754854.indd 8 18/07/2016 18:26
Unicité chimique du vivant 1 Mots-clés ••éléments chimiques ••polysaccharides ••protéines ••molécules inorganiques ••lipides ••acides aminés ••eau ••acides gras ••acides nucléiques ••sels minéraux ••triglycérides ••nucléotides ••molécules organiques ••phospholipides ••ADN ••glucides ••stéroïdes ••ARN Plusieurs gouttelettes lipidiques dans le cytoplasme d’une cellule humaine du cancer du sein. MET. Cliché pris par le Prof. Marc Thiry. P001-352-9782100754854.indd 9 18/07/2016 18:26
Fiche 1 Les éléments chimiques Sur la planète Terre, il existe 94 éléments chimiques naturels qui diffèrent entre eux par le nombre de protons au sein de leur noyau atomique. Ce critère est utilisé dans le tableau périodique de Mendeleïev pour classer les différents éléments chimiques. Dans celui-ci, le nombre de protons est appelé numéro atomique (Z) et les éléments chimiques sont classés par numéro atomique croissant. La composition élémentaire de la matière vivante est très différente de celle de la lithosphère et de l’atmosphère. Ainsi, moins de la moitié des 94 éléments chimiques trouvés sur la planète Terre sont retrouvés chez les organismes vivants. De plus, la distribution de ces éléments dans les organismes vivants n’est pas nécessai- rement proportionnelle à leur distribution dans la croûte terrestre. Dans cette dernière, les quatre éléments les plus abondants sont, dans l’ordre, l’oxygène (O), le silicium (Si), l’aluminium (Al) et le fer (Fe). Dans les organismes vivants, l’oxygène (O), le carbone (C), l’hydrogène (H), et l’azote (N) représentent environ 95 % de la masse de la plupart des cellules. Ainsi, l’oxygène est l’élément chimique le plus abondant dans les deux cas, mais les trois autres diffèrent. L’oxygène, le carbone, l’hydrogène et l’azote présentent la propriété de former des liaisons covalentes entre eux en mettant en commun une paire d’électrons. De plus, puisque la force d’une liaison covalente est inversement proportionnelle au poids ato- mique des atomes liés et que ces quatre éléments font partie des plus légers, ils sont donc capables de former des liaisons covalentes très fortes. Enfin, le reste de la masse des cellules vivantes est constitué de calcium (Ca), phos- phore (P), potassium (K), soufre (S), sodium (Na), chlore (Cl), magnésium (Mg) et d’une dizaine d’autres éléments qui s’y trouvent à l’état de traces. Ces éléments repré- sentent donc environ 5 % de la masse et sont appelés les oligo-éléments. Chacun de ceux-ci est toutefois indispensable au bon fonctionnement de l’être vivant. Fiche 2 Les composés inorganiques et organiques L’eau et les autres molécules inorganiques Les molécules inorganiques sont toutes les molécules sans squelette fait d’atomes de car- bones liés à de l’hydrogène, par exemple le gaz carbonique (CO2), l’eau (H2O)… La vie est dépendante de l’eau. Toutes les réactions du métabolisme de l’être vivant se déroulent en milieu aqueux. L’eau est le constituant le plus abondant de la matière vivante. Elle représente environ 75 % du poids total d’un individu. L’eau est une molécule polaire, ce qui en fait un bon solvant. Cette propriété est le résultat d’une différence d’électroné- gativité entre les différents atomes de l’eau. L’électronégativité peut être définie comme la capacité d’un élément chimique à attirer les électrons d’un autre élément chimique. Ainsi, puisque l’électronégativité de l’atome d’oxygène (O) est plus haute que celle de l’hydrogène (H), l’eau présente un dipôle électrique permanent. Cette polarité lui permet de réaliser des liaisons hydrogène intermoléculaires. 10 P001-352-9782100754854.indd 10 18/07/2016 18:26
Les sels minéraux se présentent sous deux formes dans la matière vivante. Ils se retrouvent d’une part dans la constitution de structures peu ou pas solubles (squelettes, coquilles et carapaces), mais aussi en solution, dissociés en ions. Dans la cellule, un Fiches équilibre finement régulé est maintenu entre les différentes concentrations d’ions. Une minime variation de la balance ionique peut avoir des effets désastreux sur l’être vivant. À titre d’exemples, les ions interviennent notamment dans l’excitabilité neuromuscu- laire, dans les effets osmotiques, comme cofacteurs de certaines protéines, etc. Les molécules organiques Un composé chimique est dit organique lorsqu’il possède au moins un atome de carbone QCM lié au minimum à un atome d’hydrogène. Les composés organiques présentent une haute diversité structurelle et fonctionnelle, ainsi qu’une forte stabilité grâce aux propriétés spécifiques de liaison de l’atome de carbone, sa valence lui permettant notamment de former quatre liaisons covalentes avec d’autres atomes. Les composés organiques jouent un rôle important dans les réactions chimiques du vivant. Vrai ou faux ? Les biomolécules organiques se classent en quatre grands groupes : glucides, lipides, pro- téines et acides nucléiques. Certains glucides, les protéines et les acides nucléiques sont des polymères, c’est-à-dire des molécules constituées d’un grand nombre d’unités structu- rales identiques ou semblables, les monomères, unis par des liaisons covalentes. Bien que les classes de polymères diffèrent par la nature de leurs monomères, les mécanismes chimiques par lesquels les cellules synthétisent ou dégradent les macromo- lécules sont identiques. Il s’agit respectivement d’une réaction de condensation, dans laquelle deux monomères se lient par une liaison covalente et libèrent une molécule Exercices d’eau, ou d’une réaction d’hydrolyse, lorsqu’ils se scindent en monomères. Ces pro- cessus se produisent à l’aide d’enzymes, des protéines qui augmentent la vitesse des réactions chimiques en abaissant leur énergie d’activation. Fiche 3 Les glucides Les molécules organiques composées de carbone, d’hydrogène et d’oxygène, avec un ratio Hydrogène/Oxygène de deux pour un, sont appelées glucides ou hydrates de car- bone (Cm(H2O)n avec m ≥ n). Ils sont une source d’énergie métabolique importante pour 1. Unicité chimique du vivant © Dunod. Toute reproduction non autorisée est un délit. les êtres vivants, l’énergie provenant de l’oxydation du glucose stocké sous forme de polymères tels que le glycogène chez les animaux ou l’amidon chez les plantes. Les monosaccharides ou oses Ce sont des sucres simples non ramifiés dont tous les carbones portent une fonction alcool (–OH), sauf un qui porte une fonction carbonyle, divisant les oses en aldoses (fonction aldéhyde) ou cétoses (fonction cétone). On classe également les oses en fonc- tion du nombre de carbones qu’ils possèdent : trioses, tétroses, pentoses, hexoses et heptoses. Le glucose (C6H12O6, Figure 1.1) est, par exemple, un aldohexose. Les oses sont généralement représentés par la projection de Fischer (Figure 1.1). Celle-ci consiste en une représentation plane d’une molécule tridimensionnelle. Toutes les liaisons chimiques sont représentées avec des lignes horizontales ou verticales, de telle sorte que la 11 P001-352-9782100754854.indd 11 18/07/2016 18:26
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