Cosmorama Exposition des diplômé e s 2018 de l'EESAB-site de Rennes
←
→
Transcription du contenu de la page
Si votre navigateur ne rend pas la page correctement, lisez s'il vous plaît le contenu de la page ci-dessous
DOSSIER DE PRESSE EESAB—SITE DE RENNES conception graphique : Zoé Lecossois & Loriane Panel Cosmorama Exposition des diplômé·e·s 2018 de l’EESAB-site de Rennes Au Musée des beaux-arts de Rennes, du 14 décembre 2018 au 6 janvier 2019 ÉCOLE EUROPÉENNE SUPÉRIEURE D’ART DE BRETAGNE SITE DE RENNES
Cosmorama du grec ancien κόσμος, kósmos, ordre de l’univers et ὅραμα, hórama, vision Les diplômé·e·s 2018 de l’École européenne supérieure d’art de Bretagne-site de Rennes investissent les salles d’exposition du Musée des beaux-arts avec des travaux qui représentent l’aboutissement de leurs expérimentations et recherches dans les trois options art, design et design graphique. Lieu de rencontre et de mélange d’univers singuliers, « Cosmorama » dresse un portrait élargi de la jeune création contemporaine. Anouk Chardot, Entre la mer et moi, 2018. ©Paul de Lanzac Sébastien Riollier, Eléments de communication - Îlot R, 2017-2018. ©Paul de Lanzac 3
Cosmorama, exposition des diplômé·e·s 2018 L’INSERTION PROFESSIONNELLE DES ARTISTES ET DESIGNERS « Le vent d’après », « Plus que vrai », « She paints with Chili Sauce », « État des lieux », « Volet #1 », « Parfois ils s’endormiront en pleine forêt », « Demain c’est loin », « Couronnes », « Félicitations », autant de titres pour des expositions de diplômé·e·s des écoles publiques d’art et de design en France ces dernières années. Sous ces titres, on soupçonne l’espoir d’un lendemain, le plaisir d’achever brillamment un parcours de formation, et masquer sous des formules poétiques une certaine crainte à l’idée de sortir d’une école et d’entrer dans la vie professionnelle. Pourtant, les écoles d’art et de design affichent aujourd’hui une très bonne insertion professionnelle dans le monde de l’art et de la culture avec lequel elles sont en prise directe. Pour preuve cette complicité à l’œuvre entre l’EESAB-site de Rennes et le Musée des beaux-arts de Rennes qui accueille l’exposition des trente-quatre diplômé·e·s. DIPLÔMÉ·E·S 2018 : UNE PROMOTION ÉTOILÉE Cette année, les diplômé·e·s en art, design et design graphique de l’EESAB-site de Rennes ont choisi « Cosmorama » comme titre d’exposition. En 1808, à Paris, c’est sous ce titre qu’un spectacle de curiosité se tenait sous la galerie vitrée du Palais Royal aujourd’hui disparue. Un dispositif optique composé de miroirs, de lentilles convexes transformait la perception d’une collection de tableaux qui représentaient les richesses du monde, architectures et paysages des quatre coins de la Terre. « Cosmorama » nous propose une découverte assez similaire, une expérience face à des œuvres qui traduisent autant d’univers plastiques singuliers, proches ou éloignés de nos propres histoires. L’expérience est renforcée par le panorama de l’art de l’Antiquité égyptienne à l’art contemporain, qui environne cette exposition de jeunes créateur·rice·s, dans les salles du musée. L’EXPOSITION AU MUSÉE DES BEAUX ARTS DE RENNES Quelle chance exceptionnelle d’exposer au Musée des beaux-arts de Rennes ; je félicite les jeunes créateur·trice·s pour la qualité et l’audace de leurs travaux. Comme le rappelle Guillaume Kazerouni, responsable des collections d’art ancien au Musée des beaux arts de Rennes, l’histoire entre les écoles de beaux-arts et les musées est ancienne. Ces dernières années, grâce à la connivence d’Anne Dary, directrice du Musée des beaux- arts et à la conviction de Guillaume Kazerouni, les collaborations entre l’EESAB-site de Rennes et le Musée des beaux arts de Rennes se sont multipliées, ouvrant de nouveaux champs d’investigation pour les enseignant·e·s et les étudiant·e·s, offrant un contexte de formation et de recherche d’une grande richesse. Odile Le Borgne, directrice de l’École européenne supérieure d’art de Bretagne-site de Rennes. Juliette Duhé et Léa Pradine, Compagnon light et roman, 2018. ©Paul de Lanzac 4 ÉCOLE EUROPÉENNE SUPÉRIEURE D’ART DE BRETAGNE SITE DE RENNES 5 5
Cosmorama, une exposition d’art et de design DE L’ÉCOLE AU MONDE PROFESSIONNEL Il s’agit, ensuite, de s’engager entre les œuvres qui ponctuent l’espace central des salles Une exposition de diplômé·e·s, c’est une d’exposition du Musée des beaux-arts, de relier célébration. L’occasion de fêter la fin des études ces univers singuliers, ces mondes autonomes, comme le début de quelque chose, de donner à par des lignes imaginaires, telles des voir le spectacle de l’imagination dont fait preuve constellations. Des travaux qui s’intéressent à la jeune création. Un postulat simple a donc été l’à-côté de, au para, aux temps morts (Charly pris : demander aux trente-quatre diplômé·e·s Graviassy, Clément Wibaut, Clémentine Lesage), exposé·e·s de présenter une pièce qui fasse pour aux œuvres autotéliques (Anaïs Rospars, Denis eux·elles la transition entre l’école d’art et de Macrez, Sybil Dary), mais aussi les design qu’est l’EESAB-site de Rennes et l’arrivée expérimentations de matières, de textures, de dans le monde professionnel. Le choix d’une formes, de couleurs (Steven Akoun, Romane pièce qui les représente au monde. La majorité Poyard), l’amour pour les histoires et les motifs d’entre eux·elles présente ici des travaux du passé (Adeline Racaud), les pièces hybrides, élaborés pour le diplôme national supérieur jouées ou DIY (Maurane Helbert, Julien Rivassou, d’expression plastique (DNSEP), des pièces Victor Guerithault), les œuvres engagées qui produites dans le cadre d’un projet personnel réfléchissent nos habitudes et nos sociétés qu’ils·elles ont initié, pour certain·e·s d’entre contemporaines (Solène Hérault, Margot Behr, eux·elles, depuis plusieurs années, et qu’ils·elles Chloé Lozano, Sébastien Riollier, Clotilde poursuivront, souvent, au-delà de l’école. Pointillat, Paul Bienvault), l’importance du corps, D’autres ont pris le parti d’exposer de nouvelles de l’individu et de ses mouvements dans cette œuvres, en continuité des réflexions initiées par histoire (Fanny Gicquel, Eunice Labor, Juliette le passé. Une exposition de diplômé·e·s, c’est Tardit-Wagner, Marion L’Helguen). aussi le lieu où l’école se dévoile. Terminer, enfin, par une seconde respiration, un Le catalogue qui l’accompagne permet de espace où les légendes s’animent (Alice découvrir le travail de jeunes artistes, designers Delanghe), où la possibilité d’une fiction et de et designers graphiques, mais également les voyages devient promesse (Pol Du Bot, Angèle cursus qu’ils·elles ont pu suivre au sein des trois Manuali et Alice Delanghe), où le souvenir se options de l’école, et les enseignant·e·s qui y matérialise en rêve (Luc Borthayre), où un évoluent et participent aux mécanismes de nouveau rapport au temps se dessine et ouvre le construction plastique et théorique des champ des possibles. étudiant·e·s durant leurs cinq années d’études. « Cosmorama » dresse des pistes de lectures, HISTOIRE D’UNE EXPOSITION communes ou individuelles, de travaux hétérogènes aux dimensions multiples. Au-delà Cosmorama , avant tout, c’est une exposition qui de l’histoire racontée précédemment, le·la se raconte. Par des récits quotidiens, à-même le visiteur·euse est libre de tisser ses propres liens, mur (Pauline Guémas), par l’invention collective de projeter ses propres récits. de caractères typographiques aux graisses atypiques (Juliette Duhé et Léa Pradine), par le langage pictural abstrait des œuvres d’un peintre Maëva Blandin, commissaire de l’exposition, aux désirs de liberté et d’émancipation (Yann responsable des études et de la recherche à Larmor). Une exposition qui raconte et invente, l’EESAB-site de Rennes dans un premier temps, des histoires d’espaces, intimes, au coin de l’âtre (François Gérard), des espaces de la peinture (Anouk Chardot), des espaces d’ombres et de lumières, perméables, fantasmés (Léa Michel), des espaces qui incarnent leurs origines (Paul Cottet-Dumoulin). François Gérard, Les atmosphères du feu dans l’espace domestique, 2018. ©Paul de Lanzac 6 ÉCOLE EUROPÉENNE SUPÉRIEURE D’ART DE BRETAGNE SITE DE RENNES 7
Le Musée et l'École des beaux-arts — Une histoire partagée Le Musée des beaux-arts de Rennes et l'École en France des académies et écoles de dessin, anciens locaux du couvent de la Visitation, perspective la collaboration naturelle entre ces européenne supérieure d'art de Bretagne créées avant ou pendant la Révolution. Celle de deviendront à leur tour directeurs du musée : deux maisons si intimement liées par l'histoire et (EESAB) de cette même ville entretiennent Rennes est fondée en 1795. Selon l’ambition de Félix Lafond (de 1899-1916), Jules Ronsin (de 1917 faisant au fond partie d'un même corps. depuis plusieurs années des relations de travail chaque ville et de ses acteurs locaux, ces à 1934) et Pierre Galle (de 1935 à 1948). de plus en plus fortes et, comme cela arrive structures avaient plus ou moins d’importance. Emmanuel Fougerat, lui aussi formé à Rennes, ira Ayant une profonde conscience de ces liens souvent après plusieurs expositions, de plus en Elles tentaient d’imiter celles créées à Paris dès fonder l’école des beaux-arts de Montréal historiques, le plaisir est d'autant plus grand plus complices. le XVIIe siècle. (Canada) avant de diriger celle de Nantes. Après pour la directrice du musée, Anne Dary et nous Lieu d'apprentissage, entre éducation visuelle et Les musées naissent à la Révolution suite à la la Seconde Guerre mondiale, la même d'accueillir l'exposition des diplômé·e·s de répertoire de formes, mais aussi lieu de nationalisation des collections appartenant à la professionnalisation du métier de conservateur, l'école des beaux-arts dont certains, plus tard contemplation, le musée est désormais une couronne, au clergé et aux émigré·e·s. En 1794, l’abandon progressif des musées par les artistes, participeront, nous l'espérons à enrichir les annexe de l'école que les étudiant·e·s savent lorsque la révolution récolte un peu partout en feront intervenir une nouvelle figure du monde de collections de nos musées avec leurs créations. s'approprier pleinement. Si de nombreux·ses France de beaux exemples de la production l’art dans les musées, le conservateur-historien étudiant·e·s participent aux montages des artistique des temps passés, ce n’est pas de l’art. expositions et assistent les artistes seulement pour les entasser dans un tombeau où Guillaume Kazerouni, responsable des UNE COLLABORATION NATURELLE contemporains qui investissent le musée, la ils se figeraient pour l’éternité. Tout au contraire, collections anciennes (peintures et dessins) pleine initiative, faisant du musée un lieu cette initiative avait déjà l’ambition particulière du Musée des beaux-arts de Rennes d'expérimentation personnelle, se situe dans un d’édifier les « temples des muses » et de Cet aperçu un peu rapide et incomplet de notre atelier de recherche et de création initié avec transmettre, non seulement les témoignages de histoire commune permet de mieux mettre en Guillaume Pinard, artiste et enseignant, depuis l’histoire mais aussi des œuvres d’art 2014. L'objectif de cet atelier est de réunir les susceptibles de stimuler la création étudiant·e·s autour d’un thème ou d’un médium contemporaine. particulier à partir d'une sélection d'œuvres Ainsi, les artistes constituent le premier public anciennes des collections du musée (antérieures des musées, celui pour lequel on pensait à 1920). Les productions plastiques qu'ils·elles l’institution la plus utile. Ces derniers pouvaient réalisent donnent alors naissance à une s’y former en pratiquant la copie, trouver des exposition et une publication : Mon toutou en modèles et sujets pour les inspirer, avoir sous les 2014-2015 (à partir de gravures en trichromie de yeux un échantillonnage varié de techniques et Gauthier d'Agoty), Moquetter en 2015-2016 de médiums. À plus forte raison, les artistes ont (réflexion autour du grand décor à partir des su jouer un rôle actif et décisif dans la formation tapisseries du parlement de Bretagne), Le Drapé de l’outil muséal dont ils allaient tant profiter par en 2016-2017, Vue du 6e étage en 2017-2018. Le la suite. Lorsqu’à la Révolution il fallait faire le projet de 2018-2019, Présences animales, porte choix des œuvres qui allaient constituer les sur la figure animale. collections, c’est presque toujours à l’expertise En parallèle, depuis la rentrée 2016, les de peintres et de sculpteurs qu’on a fait appel. À étudiant·e·s de 2e et 3e années de l’option Art Rennes, c’est le peintre Christian Marie Louis participent à des cycles de cours de culture Colin de la Biochaye et le miniaturiste Jean- générale en histoire de l’art au musée (XVe Baptiste Paste qui dressent le premier inventaire siècle-1918, douze séances par an). Enfin, pour la du musée surnommé aujourd’hui inventaire « seconde fois en trois ans, les diplômé·e·s Paste et Colin ». Tandis que le musée prenait de (DNSEP) de l’école sont invité·e·s à réaliser leur l’importance et inaugurait son nouveau bâtiment exposition de fin d’études au musée. sur le quai Émile Zola en 1855, l’école demeurait encore en sommeil. Le retard est rattrapé en 1881 DES INSTITUTIONS LIÉES DEPUIS LEUR CRÉATION avec la création officielle de l’école régionale des beaux-arts. Cette dernière a comme premier Cette dynamique nouvelle, et l’on ne pourra que directeur le sculpteur parisien Lenoir qui aura s’en réjouir, ne fait que renouer avec une également la direction du musée (de 1888 à 1898) tradition qui remonte à l’origine même de où il développera une importante collection de l’histoire de nos deux institutions qu’il convient sculptures modernes. Au début du XXe siècle, peut-être de rappeler en quelques lignes. Les plusieurs peintres formés à l’école des beaux- Fanny Gicquel, Reserv Slash, 2018. ©Paul de Lanzac écoles des beaux-arts sont en général héritières arts, désormais installée, depuis 1911, dans les 8 ÉCOLE EUROPÉENNE SUPÉRIEURE D’ART DE BRETAGNE 8 SITE DE RENNES 9 9
Les trois options diplômantes à l’EESAB-site de Rennes ART DESIGN GRAPHIQUE L’option Art de l’EESAB-site de Rennes propose une Si cette option interroge les questions professionnelles de formation aux différentes pratiques contemporaines de l’art la réception et de la commande dans le contexte social et – peinture, volume et installation, pratiques sonores, vidéo, culturel contemporain, elle met également l’accent sur le photographie, performances, édition… C’est un laboratoire développement d’une pratique personnelle qui permettra des expressions actuelles, dans l’approche la plus large et aux futur·e·s diplômé·e·s d’envisager une carrière artistique la plus ouverte possible de leurs dimensions d’implication, indépendante dans les disciplines du graphisme, de la de réflexion, et de recherche. La méthode proposée est photographie ou de l’illustration et plus généralement dans avant tout celle de l’expérimentation, expérimentation des les métiers de la communication et de l’édition imprimée et moyens d’expression, des plus traditionnels aux plus numérique. Le programme s’appuie sur le rôle du designer récents, expérimentation de l’inscription critique des graphique qui consiste à « rendre public » un contenu, pratiques et des propositions dans les enjeux de l’art et les appliqué à l’édition ou à l’exposition, et à des formes problématiques de la société contemporaine. L’option Art innovantes qui combinent ces deux aspects avec le est aussi un lieu dans lequel la réflexion théorique, numérique. Il s’articule autour de compétences graphiques c’est-à-dire la possibilité d’un approfondissement et d’une et typographiques – où le design interactif occupe une large redéfinition des enjeux et des formes que peut prendre l’art, place – avec des apports en photographie, en dessin, en a une position tout à fait centrale, qui vient nourrir une histoire de l’art et histoire du design graphique. Dans le dimension de recherche indissociable des pratiques de cadre de partenariats avec des acteurs du monde artistique mise en œuvre. Le cursus proposé permet à l’étudiant·e de et culturel (écoles étrangères, musées et centres d’art, développer et situer une démarche de création personnelle, associations diverses), des projets collectifs ambitieux sont pour l’inscrire et la partager dans le contexte de l’art et du menés. L’option Design graphique incite à une prise de monde actuel/ position critique face à la pratique et au contexte social et politique dans lequel elle s’exerce. L’élaboration d’un Enseignant·e·s de l’option : Dominique Abensour, Amanda vocabulaire plastique singulier s’y déploie à partir d’une Auffray-Liddiard, Alain Bourges, Soizic Debons, Reynald maîtrise des outils et techniques mobilisés. Drouhin, Christelle Familiari, Nicolas Floc’h, Gaëlle Hippolyte, Raphaële Jeune, Luc Larmor, Briac Leprêtre, Laurence Lépron, Enseignant·e·s de l’option : Guillaume Allard, Amanda Julien Rivassou, Arcade #Astéroïde, 2018. François Perrodin, Guillaume Pinard, Kristina Solomoukha, Yves Auffray-Liddiard, Caroline Cieslik, Soizic Debons, Kévin Donnot, ©Paul de Lanzac Trémorin et Christophe Viart George Dupin, Benjamin Gomez, Isabelle Jégo, Marjolaine Lévy, Thierry Moré, Marie Proyart, Alain Rodrigue, Catherine de Smet et Charlotte Vitaioli DESIGN Avec la complicité de nombreux partenaires publics Adeline Racaud, U&lc (1973-1999) - Impressions, 2018. régionaux (Crous, Réseau STAR, Hôtel à projets Pasteur), ©Paul de Lanzac d’industries locales (Maillard & Maillard, Self Signal) et avec les outils d’une école d’art et de design contemporaine (ateliers de prototypage, LabFab), l’option Design de l’EESAB-site de Rennes se donne pour mission de questionner notre aptitude à vivre en société. Inscrits à la croisée du design, de l’architecture ou encore de la scénographie d’exposition, les projets développés dans le cadre de cette option mettent en lumière nos rites d’interaction quotidiens et inventent d’inédits terrains d’entente entre nos désirs subjectifs et les besoins collectifs, entre individualité et collectivité. De la salle d’attente du médecin au logement étudiant en passant par la cour de récréation de l’école maternelle ou le quai de la station de métro, la fabrique de la sociabilité ouvre ses portes et offre une importante marge de manœuvre aux designers de demain. Enseignant·e·s de l’option : Amanda Auffray-Liddiard, Pierangelo Caramia, Tony Côme, Soizic Debons, Thierry Dupeux, Alban Gilles, Gaëlle Hippolyte, Patrick Le Priol, Manon Leblanc, Gwenn Rannou, Jean-Simon Roch, Alain Rodrigue, Marie-Aurore Stiker-Metral, Eva Taulois Margot Behr, Les Besti’eaux (détails), 2018. ©Paul de Lanzac 10 ÉCOLE EUROPÉENNE SUPÉRIEURE D’ART DE BRETAGNE SITE DE RENNES 11
Marion L’Helguen, Vertige de la liste, je déballe ma bibliothèque, un cabinet d’amateur, 2018. ©Paul de Lanzac Luc Borthayre, Caverne, 2018. ©Paul de Lanzac Maurane Helbert, La cuisine sportwear, 2018. ©Paul de Lanzac Victor Guerithault, KitesLab, 2018. ©Paul de Lanzac 12 ÉCOLE EUROPÉENNE SUPÉRIEURE D’ART DE BRETAGNE SITE DE RENNES 13
Denis Macrez, Sépion, 2018. ©Paul de Lanzac Clotilde Pointillat, Isaac, 2018. ©Paul de Lanzac Chloé Lozano, Lectur·e·s, 2018. ©Paul de Lanzac 14 ÉCOLE EUROPÉENNE SUPÉRIEURE D’ART DE BRETAGNE SITE DE RENNES 15
Avec Informations pratiques Steven Akoun, Paul Bienvault, Margot Behr, Musée des beaux-arts de Rennes, Luc Borthayre, Anouk Chardot, Paul Cottet- 20, quai Emile Zola 35000 Rennes Dumoulin, Sybil Dary, Alice Delanghe, Du mardi au vendredi : 10 h > 17 h Pol Du Bot, Juliette Duhé, François Gérard, Samedi et dimanche : 10 h > 18 h Fanny Gicquel, Charly Graviassy, Pauline Fermé le lundi et les jours fériés Guémas, Victor Guerithault, Maurane Helbert, Solène Herault, Marion L’Helguen, Des événements ponctuels auront lieu durant Eunice Labor, Yann Larmor, Clémentine Lesage, l’exposition. Retrouvez les dates et horaires Chloé Lozano, Denis Macrez, Angèle Manuali, sur le site de l’exposition et son compte Léa Michel, Clotilde Pointillat, Romane Poyard, Instagram : Léa Pradine, Adeline Racaud, www.cosmorama2018.tumblr.com Sébastien Riollier, Julien Rivassou, @cosmorama_rennes Anaïs Rospars, Juliette Tardit-Wagner, Clément Wibaut. École européenne supérieure d’art de Bretagne — Commissariat site de Rennes Maëva Blandin 34, rue Hoche 35000 Rennes Scénographie 02 23 62 22 60 contact.rennes@eesab.fr Léa Michel et Juliette Tardit-Wagner www.eesab.fr/rennes Graphisme @eesabrennes Zoé Lecossois et Loriane Panel Contact presse Communication Juliette Guillevin, chargée de communication Juliette Guillevin et Nadège Mingot de l’EESAB-site de Rennes juliette.guillevin@eesab.fr T : 02 23 62 22 66 COLE EUROPÉENNE SUPÉRIEURE D’ART DE BRETAGNE É SITE DE RENNES
Vous pouvez aussi lire