Disparition de Geneviève Haag (1933-2022)

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Disparition de Geneviève Haag (1933-2022)
© Société Psychanalytique de Paris

Disparition de Geneviève
Haag (1933-2022)

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                                                                                  C’est avec une
                                                                                  grande tristesse
                                                                                  que        nous
                                                                                  apprenons       le
                                                                                  décès           de
                                                                                  Geneviève Haag.

Geneviève Haag a été une grande figure de la psychanalyse avec
l’enfant. Nous perdons une collègue estimée et une chercheuse
infatigable. Sa vitalité, sa curiosité intellectuelle et son
intérêt profond pour la psychanalyse et la psychanalyse avec
l’enfant, son appétit pour la transmission nous manqueront. A
nous de continuer à faire vivre sa pensée…

                                                                             La SPP, 6 juillet 2022

                                                                                            page 1 | 15

https://www.spp.asso.fr/author/vassilis-kapsambelis/
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Le parcours de Geneviève Haag

                                                                         par Hélène Suarez Labat

Geneviève Haag était psychiatre, ancienne interne des hôpitaux
psychiatriques de la Seine. En 1964, elle est appelée par le Pr
Didier Duché pour rejoindre l’équipe de L’Institut Médico Educatif
Marie-Auxiliatrice à Champrosay (Essonne). Elle en deviendra le
médecin chef, et y créera, dans les années 80, des dispositifs
innovants de soins individuels et groupaux destinés aux enfants
atteints de troubles polyfactoriels présentant des troubles
autistiques sévères.

Dans les années 60, elle rejoint le Dr Henri Sauguet à L’Institut
Claparède à Neuilly sur Seine. Elle y rencontre James Gammill qui
devient un de ses superviseurs. Il l’engage à établir des contacts
avec les psychanalystes anglo-saxons qui s’occupent d’autisme.

A l’institut Claparede, elle a occupé les fonctions de médecin
consultant et de psychothérapeute auprès des enfants qui
présentaient, pour certains, des états autistiques. Elle les recevait
avec leur famille, avec leurs frères et sœurs, s’intéressait de plus
en plus au développement du bébé en ayant bénéficié des
transmissions de Frances Tustin et de Esther Bick, dont elle fut
l’élève. Elle créa une équipe pluridisciplinaire dynamique avec
des dispositifs novateurs et une méthode de travail
psychanalytique extrêmement rigoureuse.

Infatigable chercheuse, Geneviève Haag a publié de nombreux
articles depuis 1977 où elle a présenté avec Cesar et Sara Botella
au Congrès des psychanalystes de langues romanes

                                                                                         page 2 | 15

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une conférence princeps : « En deçà du suçotement » ; elle a
ouvert la voie à de nombreuses recherches et à la publication de
300 articles, traduits en différentes langues. En 2018, elle
a obtenu le 56ème Prix Maurice Bouvet pour son ouvrage paru
aux Puf « Le moi corporel. Autisme et développement ». Un
deuxième ouvrage paraîtra en Août 2022 qui retrace l’histoire et
l’actualité de ses recherches sur les processus de changement
dans l’autisme : « La grille d’évaluation de l’autisme » aux Puf.

Ses travaux se situent au carrefour de plusieurs chemins, où elle a
croisé des pionniers de la psychanalyse et des espaces psychiques
primitifs, qui ont, eux aussi, défriché les voies empruntées par le
négatif. Elle avait installé un dialogue avec plusieurs
psychanalystes dont André Green, Piera Aulagnier, Didier Anzieu,
Michel Soulé, Florence Guignard, Didier Houzel, Bernard Golse,
Maria Rhode et David Rosenfeld. On retrouve également dans
ses travaux un prolongement du travail winicottien de défrichage
des relations entre soma, psyché, création des espaces
psychiques, avec lesquels elle faisait des liens avec ses
propres découvertes relatives au moi corporel et à l’image du
corps. C’est en 1983 qu’elle était devenue membre de la SPP.
C’est autour de Donald Meltzer et Marta Harris et de leur
venue régulière en France que fut créé en 1973 le Gerpen auquel
Geneviève participa activement. En 2004, elle créa la CIPPA en
demandant à M.D. Amy de la rejoindre pour l’aider à organiser
le rassemblement des psychanalystes s’occupant des personnes
autistes, à promouvoir des recherches, et à organiser des débats
avec d’autres disciplines ; aujourd’hui la CIPPA est devenue une
association au rayonnement international qui conserve l’esprit de
recherche transmis par Geneviève Haag.

                                                                                  page 3 | 15

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Geneviève Haag aimait les liens avec l’esthétique, elle nous laisse
une œuvre riche de découvertes et de nouvelles perspectives de
recherches à venir. Comme elle aimait souvent dire : « Nous
n’avons pas fait le tour de cette question ou de ce problème ».
Ainsi elle cherchait toujours à découvrir de nouveaux chemins
empruntés par les processus et leurs mises en sens pour penser
les intégrations du rythme et de ses fantaisies. Elle a rejoint
son mari Michel Haag avec qui le dialogue était incessant.

Décès de Geneviève Haag
(1933-2022)

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                                                                                  page 4 | 15

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                                                                                  grande tristesse
                                                                                  que         nous
                                                                                  apprenons       le
                                                                                  décès         de
                                                                                  Geneviève Haag.

Geneviève Haag a été une grande figure de la psychanalyse avec
l’enfant. Nous perdons une collègue estimée et une chercheuse
infatigable. Sa vitalité, sa curiosité intellectuelle et son
intérêt profond pour la psychanalyse et la psychanalyse avec
l’enfant, son appétit pour la transmission nous manqueront. A
nous de continuer à faire vivre sa pensée…

                                                                             La SPP, 6 juillet 2022

Le parcours de Geneviève Haag

                                                                         par Hélène Suarez Labat

Geneviève Haag était psychiatre, ancienne interne des hôpitaux
psychiatriques de la Seine. En 1964, elle est appelée par le Pr
Didier Duché pour rejoindre l’équipe de L’Institut Médico Educatif
Marie-Auxiliatrice à Champrosay (Essonne). Elle en deviendra le
médecin chef, et y créera, dans les années 80, des dispositifs

                                                                                            page 5 | 15

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innovants de soins individuels et groupaux destinés aux enfants
atteints de troubles polyfactoriels présentant des troubles
autistiques sévères.

Dans les années 60, elle rejoint le Dr Henri Sauguet à L’Institut
Claparède à Neuilly sur Seine. Elle y rencontre James Gammill qui
devient un de ses superviseurs. Il l’engage à établir des contacts
avec les psychanalystes anglo-saxons qui s’occupent d’autisme.

A l’institut Claparede, elle a occupé les fonctions de médecin
consultant et de psychothérapeute auprès des enfants qui
présentaient, pour certains, des états autistiques. Elle les recevait
avec leur famille, avec leurs frères et sœurs, s’intéressait de plus
en plus au développement du bébé en ayant bénéficié des
transmissions de Frances Tustin et de Esther Bick, dont elle fut
l’élève. Elle créa une équipe pluridisciplinaire dynamique avec
des dispositifs novateurs et une méthode de travail
psychanalytique extrêmement rigoureuse.

Infatigable chercheuse, Geneviève Haag a publié de nombreux
articles depuis 1977 où elle a présenté avec Cesar et Sara Botella
au Congrès des psychanalystes de langues romanes
une conférence princeps : « En deçà du suçotement » ; elle a
ouvert la voie à de nombreuses recherches et à la publication de
300 articles, traduits en différentes langues. En 2018, elle
a obtenu le 56ème Prix Maurice Bouvet pour son ouvrage paru
aux Puf « Le moi corporel. Autisme et développement ». Un
deuxième ouvrage paraîtra en Août 2022 qui retrace l’histoire et
l’actualité de ses recherches sur les processus de changement
dans l’autisme : « La grille d’évaluation de l’autisme » aux Puf.

Ses travaux se situent au carrefour de plusieurs chemins, où elle a

                                                                                  page 6 | 15

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croisé des pionniers de la psychanalyse et des espaces psychiques
primitifs, qui ont, eux aussi, défriché les voies empruntées par le
négatif. Elle avait installé un dialogue avec plusieurs
psychanalystes dont André Green, Piera Aulagnier, Didier Anzieu,
Michel Soulé, Florence Guignard, Didier Houzel, Bernard Golse,
Maria Rhode et David Rosenfeld. On retrouve également dans
ses travaux un prolongement du travail winicottien de défrichage
des relations entre soma, psyché, création des espaces
psychiques, avec lesquels elle faisait des liens avec ses
propres découvertes relatives au moi corporel et à l’image du
corps. C’est en 1983 qu’elle était devenue membre de la SPP.
C’est autour de Donald Meltzer et Marta Harris et de leur
venue régulière en France que fut créé en 1973 le Gerpen auquel
Geneviève participa activement. En 2004, elle créa la CIPPA en
demandant à M.D. Amy de la rejoindre pour l’aider à organiser
le rassemblement des psychanalystes s’occupant des personnes
autistes, à promouvoir des recherches, et à organiser des débats
avec d’autres disciplines ; aujourd’hui la CIPPA est devenue une
association au rayonnement international qui conserve l’esprit de
recherche transmis par Geneviève Haag.

Geneviève Haag aimait les liens avec l’esthétique, elle nous laisse
une œuvre riche de découvertes et de nouvelles perspectives de
recherches à venir. Comme elle aimait souvent dire : « Nous
n’avons pas fait le tour de cette question ou de ce problème ».
Ainsi elle cherchait toujours à découvrir de nouveaux chemins
empruntés par les processus et leurs mises en sens pour penser
les intégrations du rythme et de ses fantaisies. Elle a rejoint
son mari Michel Haag avec qui le dialogue était incessant.

                                                                                  page 7 | 15

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Nouveaux membres à la SPP
(mars et mai 2022)

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La SPP se ré j ouit de vous faire part des nouveaux membres
adhérents agréés par le Conseil d’Administration :

du 8 mars 2022 :

                     Cécilia Mauriac

dy 17 mai 2022 :

          Pedro Bendetowicz
          Julien Muzard
          Anne Nieuwjaer-Paladian

Les rêves en Méditerranée

Auteur(s) :

                                                                                  page 8 | 15

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Mots clés :

Riadh Ben Rejeb, Bianca Lechevalier (dir.)

Preface: Alain Gibeault

C’est à Kélibia (Tunisie) que revient l’honneur d’accueillir en mars
2020 les premières Journées du Groupe de Recherche
International – Psychanalyse en Méditerranée (GRI-PsyMed). C’est
bien dans cette ville qu’est née l’idée de la création de ce Groupe
en mars 2018. Son objectif principal est de mener une réflexion
autour de questions qui peuvent spécifier les cultures du bassin
méditerranéen (universaux et différences). Ces études et
recherches articulent le psychique au social, la place de
l’individuel par rapport au collectif et groupal, la place des objets
culturels dans les croyances et les prises en charge
psychanalytiques, etc., le but étant de continuer à jumeler les
villes, rencontrer des idées, des pensées et des langues, prolonger
les interconnexions et le dialogue entre les cultures par le biais de
psychanalystes francophones membres de l’IPA.

La rencontre tenue à Bruxelles en mars 2019 au siège de la
Fédération Européenne de Psychanalyse (FEP) a validé la
naissance du Groupe, sa dénomination (GRI-PsyMed) et ses
objectifs.

Cet ouvrage regroupe les textes des intervenants à cette première
manifestation consacrée au thème « Les rêves en Méditerranée ».

Ont participé à cet ouvrage : Riadh Ben Rejeb (Tunisie), Nayla
De Coster (Liban), Nicole Geblesco (Monaco), Bianca Lechevalier,
Martine Myquel, Petra Palermiti (France), Sesto Marcello Passone

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(France / Belgique) et Abderrahmane Si Moussi (Algérie).

Riadh Ben Rejeb est professeur de psychopathologie clinique,
Directeur du Laboratoire de psychologie clinique à la Faculté des
Sciences Humaines et Sociales de Tunis (Université de Tunis),
président fondateur de l’Association tunisienne pour le
développement de la psychanalyse (ATDP), psychologue et
psychanalyste membre de la Société Psychanalytique de Paris
(SPP). Il est également membre du comité de rédaction de la
Revue Française de Psychanalyse (RFP).

Bianca Lechevalier est psychiatre, psychanalyste d’adultes et
d’enfants. Ancienne interne des Hôpitaux de Paris, ancienne chef
de clinique de Neuropsychiatrie à la Faculté de Médecine de
Paris. Elle exerce à Caen où elle a été chargée d’enseignement à
l’Université. Elle est membre de la Société Psychanalytique de
Paris (SPP).

Illustration de couverture : Œuvre de Raouf Gara.

Données éditoriales Éditions : Académie tunisienne des sciences,
des lettres et des arts Beït al Hikma – 2022

Décès de Christian Seulin

                                                                                  page 10 | 15

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(1955-2022)

Auteur(s) :
Mots clés :

C’est avec tristesse que nous apprenons le décès de Christian
Seulin, survenu le lundi 25 avril 2022, à l’âge de 67 ans.

Psychiatre de formation, il est entré à la SPP en 1996 et est
devenu titulaire en 2005, puis formateur.

Très actif au sein du Groupe Lyonnais (GPLRA), il en a été le
Président à deux reprises, puis directeur de l’Institut de Lyon de
2021 à 2023, jusqu’au bout malgré la maladie. Il a également
assuré diverses responsabilités à la SPP, notamment le secrétariat
de la CECE et la présidence de la Commission des Candidatures
de 2018 à 2020.

Sur le plan scientifique, il fut rapporteur du CPLF en 2015, sur «
Émergence et transformations de la sexualité infantile dans la
cure ». Il a publié de nombreux articles et chapitres, en particulier
dans la Revue française de Psychanalyse, le dernier en 2019.

                                                                                  page 11 | 15

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Sylvie     Pons-Nicolas,
lauréate du 59e prix M.
Bouvet, 2021

Auteur(s) :
Mots clés :

59e Prix Maurice Bouvet, 2021

La lauréate du prix M. Bouvet pour l’année 2021 est Sylvie Pons-
Nicolas, pour l’ensemble de son parcours d’écriture, et en
particulier :

                 « Du contre-transfert traumatique au plaisir partagé.
                 Réflexion sur la rupture de la transitionnalité », Revue
                 française de Psychanalyse 81 (3) : 12-24, 2017.
                 « L’effacement », Revue française de Psychanalyse 83 (3) :
                 785-795, 2019.
                 « La résistance, un levier pour transformer l’envie ? »,
                 Revue française de Psychanalyse 85 (3) : 609-619, 2021.

                                                                                  page 12 | 15

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Décès        d’Alexandre
Garabedian (1937-2022)

Auteur(s) :
Mots clés :

Nous sommes au regret d’apprendre le décès d’Alexandre
Garabedian, membre adhérent de la SPP depuis 1984. Il a été élu
titulaire depuis 2007.
Psychiatre à la clinique de Ville d’Avray au début de sa carrière, il
a surtout développé son activité en libéral à Boulogne Billancourt.
Il a travaillé avec Augustin Jeanneau, Bianca Lechevallier et Syvie
Faure Pragier.

Nouveaux membres à la SPP
(janvier 2022)

Auteur(s) :
Mots clés :

Lors de son Conseil d’Administration du 25 janvier 2022, la SPP a
agréé deux nouveaux membres adhérents :

                 Corinne Zoumara, Paris

                                                                                  page 13 | 15

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                 Michaïl Dimitrakopoulos, Paris

Nous leur souhaitons la bienvenue dans notre société.

Décès    d’Alain                                                                  Fine
(1931-2022)

Auteur(s) :
Mots clés :

C’est avec tristesse que nous apprenons le décès d’Alain Fine,
survenu le 11 février 2022.

Gastro-entérologue et hépatologue de formation, Alain Fine avait,
à la suite d’une psychanalyse personnelle, passé le Certificat
d’Études Spéciales (CES) de psychiatrie, et était devenu
psychanalyste à la SPP dont il a été élu membre titulaire
formateur en 1991.

Dès les années 1975 il a rejoint Pierre Marty et la première équipe
de l’IPSO, dont il a été un membre éminent et très actif. Il a aussi
été directeur du CEFP (Centre d’Études et de Formation en
Psychosomatique) et s’est beaucoup investi dans la recherche.
Membre fondateur de la Revue Française de Psychosomatique, il y
a écrit de nombreux articles, notamment : La maladie organique
et ses remaniements psychiques, 1994/1 (n°5), Quelques points

                                                                                   page 14 | 15

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clés de l’œuvre de Pierre Marty, 1994/2(n°6), Masochismes et
maladies, Une muqueuse pleure le sang, Une étude sur la recto-
colite hémorragique, 2004/2 (n°26), De l’importance du facteur
économique dans Le phénomène psychosomatique, 2010/1 (n°35).
Il a organisé une journée de l’IPSO sur le contre- transfert au
Lutetia.

Alain Fine a dirigé et participé à sept ouvrages, publiés dans les
Monographies des PUF : Les troubles de la sexualité en
1993, L’hypocondrie en 1995, Bisexualité en 1997, Jacob, ou le
processus analytique, en 1999, Hystérie en 2000, Sur les
controverses américaines de la psychanalyse en
2000, Identifications, 2002.

Il a été élu président de la SPP de 2002. Il a mis en place le
second colloque de l’Unesco, Le travail psychanalytique, présidé
par André Green. Lors de sa présidence il a également beaucoup
soutenu le développement de l’analyse de l’enfant au sein de la
SPP. Ainsi, il a organisé une commission qui a été en relation avec
le Cocap (Committee on Children and Adolescent’s
Psychoanalysis) de l’Association Psychanalytique Internationale.

Toujours très élégant, agréable, chaleureux et généreux il était un
collègue très respecté et aimé de tous.

                                                                                  page 15 | 15

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