Dossier de Diffusion 18/19 - Musique - Théâtre Danse - Chanson 2018

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Dossier de Diffusion 18/19 - Musique - Théâtre Danse - Chanson 2018
Dossier de
Diffusion 18/19
   Musique - Théâtre
   Danse - Chanson
Dossier de Diffusion 18/19 - Musique - Théâtre Danse - Chanson 2018
Les Ambassadeurs et Alexis Kossenko concrétisent le rêve d’un orchestre
                                européen réconciliant le jeu des instruments historiques avec un vaste
                                répertoire jusqu’alors morcelé par les spécialisations.
                                Ils poursuivent un idéal d’éloquence – où la grammaire des instruments
                                d’époque, l’art rhétorique et l’instinct musical ne s’excluent pas l’un l’autre.

                                Les Ambassadeurs et Alexis Kossenko se produisent dans toute l'Europe, à
                                l’invitation de grandes salles de concert et festivals : Salle Gaveau, Opéra
                                Royal de Versailles, Concertgebouw de Bruges, Vredenburg d'Utrecht,
                                Biennale de Weimar, Mozarfest de Würzburg, Festivals de Beaune, de
                                Pontoise, de Regensburg, de Paradyz, de Poznan, de Sofia, etc...
                                Ils collaborent régulièrement avec des chanteurs de premier plan tels que
                                Sabine Devieilhe, Anders Dahlin, Reinoud Van Mechelen, Francisco
                                Fernandez Rueda, Blandine Staskiewicz ou encore Delphine Galou.

                                En 2015-2016, Les Ambassadeurs ont effectué une tournée Rossini avec
  Les Ambassadeurs              Sabine Devieilhe, plusieurs concerts avec Blandine Staskiewicz et le projet
                                “Tempesta”, et surtout une belle tournée de 24 représentations des Noces de
Direction : Alexis Kossenko     Figaro (mise en scène de Galin Stoev).
              Musique baroque
                                En 2016-2017, Les Ambassadeurs se produisent au Wigmore Hall à
                                Londres, aux Festivals de Saint-Riquier, Pontoise, Moulins / Allier
                                (ClassicaMoulins), Midsommer Barock (Danemark), Feldkirchen (Autriche),
                                Esterhaza (Hongrie), et font l’ouverture des festivals de Potsdam et de
                                Weimar (Allemagne) ; en outre ils sont en résidence à Paris (concerts salle
                                Gaveau, salle Cortot, Théâtre Grévin, Oratoire du Louvre).
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"Louise aime Yules et Guillaume aime Lonny Montem.

Explorant les sillons creusés par Simon & Garfunkel, Belle &
Sebastian ou Lady & Bird, les deux amis ont décidé, une fois le
printemps venu, d’enregistrer un disque ensemble.

Sept chansons qui brosseraient le portrait de Tara, cette maison
auvergnate où ils se sont enfermés une semaine durant, au bord de
la cheminée, pour écrire et composer. Sept chansons convoquant
fantômes et souvenirs fragmentaires, compilant en ballades l’écho
des vies qui se sont un temps arrêtées en ces murs. Tara comme un
écrin pour la quiétude.

Tara comme le nom de l’EP que Lonny Montem et G. Charret vous
présentent aujourd’hui. »

Henri Rouillier

                                                                    Lonny Montem &
                                                                    G.Charret
                                                                    Folk

                  TARA - Sortie 2018
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Les frères dans la pop, c’est une histoire aussi vieille que la pop elle-même :
                Brian, Dennis et Carl Wilson (The Beach Boys), Ray et Dave Davies (The
                Kinks), John et Tom Fogerty (Creedence Clearwater Revival), Neill et Tim
                Finn (Crowded House), Michael et John Head (The Pale Fountains, Shack),
                sans oublier les nombreux faux-frères amis/ennemis à la Lennon/McCartney
                (The Beatles) ou Morrissey/Johnny Marr (The Smiths).

                Guillaume et Bertrand Charret, ce sont Yules : Une histoire de famille,
                d’amour fraternel, de filiation (la discothèque parentale comme source
                d’inspiration originelle).
                Yules, qu’on prononce plutôt «youless», cette sonorité un peu hispanisante
                est une fausse piste malicieuse. Sans jamais virer au vilain esprit de chapelle
                musicale, l’univers de Yules est d’abord anglo-saxon et fait la part très belle
                à ce que les deux rives de l’Atlantique ont pu produire de plus inspiré en
                matière de songwriting : Leonard Cohen, Paul McCartney, Bob Dylan, Joni
                Mitchell…

 Yules
                Leur premier album sort en 2007, The Release est salué par la critique
                (Télérama, Les Inrockuptibles, Xroads) et sera suivi en 2010 par Strike a
Pop/Folk/Rock   Balance puis en 2014 par I’m Your Man… Naked (album concept de
                recréation de l’œuvre de Leonard Cohen).
                Aujourd’hui, Yules renoue avec l’électricité et les textures aériennes, sans
                pour autant délaisser l’orfèvrerie pop qui leur est chère.
                Ces nouvelles chansons qui feront l’objet d’un prochain disque prévu pour le
                printemps 2018, sont un véritable trait d’union entre leurs débuts
                expérimentaux et le son plus folk de leurs albums.
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« Renée Lebas ou le klezmer français »
Charles Aznavour

Sur la route d’une très ancienne diaspora, de Grenade à Salonique ,
en passant par Paris, Amsterdam, ou Istanbul, Claire Zalamansky
poursuit son parcours initiatique.
Après avoir redonné souffle et vie à des chants oubliés d’une
lointaine Espagne, le « cancionero » judéo-espagnol, elle se lance
aujourd’hui sur les traces de Renée Lebas, chanteuse française
d’origine juive roumaine, née et morte à Paris, en 2009. Cette grande
voix de la chanson française régna avec Piaf, sur le tout Paris
musical des années 50, quitta la scène en pleine gloire, en 63,
l’année où Piaf disparaissait.

Renée Lebas, celle qui d’un formidable coup de cymbales, fit
passer la musique yiddish pour de la chanson française, point
d’orgue d’un véritable « klezmer français », selon l’expression de
son grand complice, Charles Aznavour.
Pour Claire Zalamansky, l’occasion est trop belle, elle saute le            Claire Zalamansky
pas. Renoue avec sa propre histoire. Le yiddish, elle ne le parle pas.
Matière à rire et à broder ! « Tire, tire l’aiguille, ma fille » chantait   & Alexis Kune
Renée Lebas. De fil en aiguille, se balader, du point de départ au
point de croix, de l’asile à l’exil, d’une identité à l’autre. Du klezmer   Spectacle : Tire l'Aiguille
au musette. De la rive droite à la rive gauche. Et Paris, toujours,         Chanson
comme horizon. Tire l’aiguille ! Maillage de deux existences en
résonance. La voix de Claire au travail, à la recherche d’un nouveau
souffle, d’un timbre, d’une fréquence, la sienne propre, pour
s’accorder au répertoire d’une Diva !
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Nouba de femmes est une histoire de cycles : cycle de la vie, cycle du
                                  temps, cycle des humeurs...
                                  En somme, une traversée d’états au féminin, une sorte de nouba des
                                  femmes.

                                  Dans la musique arabe, la nouba est un cycle composé de 24 modes,
                                  correspondant à chaque heure de la journée. De la même manière, cette
                                  nouba des femmes explore les archétypes féminins en puisant son langage
                                  chorégraphique dans les danses traditionnelles du Maghreb.

                                  Exploration des territoires féminins, loin de la caricature habituellement faite
                                  de la danse du ventre, plus communément appelée danse orientale, Nouba
                                  de femmes est un hommage à nos mères, à nos tantes, à leur capacité de
                                  résilience et de résistance dans une société patriarcale oppressante pour la
                                  femme. Cette capacité s'exprime au quotidien dans l'accomplissement de
                                  leurs tâches, leurs moments de divertissement spontanés, leurs rituels
                                  exutoires.
Cie Saâdia Souyah                 Tout le travail de Saâdia Souyah consiste à faire affleurer cette éloquence du
                                  corps propre à la culture arabe et berbère, au moyen des outils de la danse
Spectacle : Nouba de femmes       contemporaine et du théâtre du mouvement.
             Danse orientale et
               contemporaine      Pour Saâdia Souyah, il s’agit de partager une danse vibratoire où le rythme
                                  et l’énergie occupent le coeur du mouvement dansé. En déconstruisant les
                                  danses du Monde arabe pour en faire un langage chorégraphique
                                  contemporain et en faisant ressortir la quintessence de ce mouvement
                                  dépouillé de toute fioriture, la chorégraphe a tenté d’en déployer les multiples
                                  possibles : sa puissance évocatrice, sa force, sa fulgurance, son esthétique,
                                  sa beauté hypnotique...
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Dans son parcours, Marielle Rémy s’est toujours intéressée aux bords, aux
marges. Elle a travaillé auprès de détenus, de prostituées, avec des
travailleurs immigrés en foyer. Il est si facile de se sentir soi-même
funambule, en équilibre instable, un pas de côté et on chute. C’est ce
moment à terre, jusqu’à se remettre debout dont on parle.
Assumer ces creux de l’intime, ces moments dans nos vies où on est à
coté de nous.

Maman est un poisson, maman est en dépression…
Chut, normalement ça ne se dit pas, ça ne se raconte pas. Maman est un
peu folle en ce moment. La honte... Tout comme la vieillesse, la maladie,
ou la mort, la dépression appartient aux choses qu’il faut cacher. On se
doit de faire face, d’être de-bout, et puis on n’a pas inventé les
antidépresseurs pour rien ! La France est le pays qui en consomme le plus.

Maman est un poisson ose aborder ce sujet délicat : une maman qui n’est
plus tout à fait maman, qui préfère rester dans son bain, qui ne sait plus
faire face au quotidien.
Ce spectacle assume ces passages à terre, sous mer.
Elle est une sous mère, en dessous de tout, à la fois ridicule et onirique,    Cie Hors Cadre
pathétique et drôle.                                                           Direction artistique: Marielle Remy
Pour raconter sa résilience, il nous faut tout son plongeon... Et toutes les
bouées que son garçon va devoir (se) fabriquer. Nous pourrons alors            Spectacle : Maman est un poisson
explorer comment ils vont reprendre souffle.                                   Théâtre
Maman est un poisson témoigne de la violence de notre société au
quotidien, de ses dérives et de ses folies. La mère ne trouve d'autre
solution que de se mettre dans une bulle. Peut-on affronter lucide-ment
toutes les informations que nous recevons sans se blinder? Comment en
rendre compte à son enfant ? La mère, elle, tente d'inventer un monde plus
beau pour son fils.
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Deux voisines, Edwige et Renée, se connaissant de longue date, observent
                                        le monde de leur fenêtre et y prennent part à leur façon avec un langage
                                        distendu et un regard oblique. De façon rituelle, elles se retrouvent à l’heure
                                        du thé pour commenter l’Actu de leur cité.
                                        Comment font-elles pour tout savoir ? Elle fouillent systématiquement les
                                        poubelles volées chaque jour à leur entourage et elles classent les
                                        informations. Un travail minutieux et titanesque.
                                        C'est comme ça qu'elles se sentent exister. Elles en viennent même à
                                        penser que leur "travail" est une absolue nécessité.
                                        Les deux femmes abordent des sujets d’actualité, sociaux, philosophiques,
                                        botaniques, artistiques… Elles se posent en expertes naïves du sujet
                                        abordé, donnent des conseils, osent des réflexions philosophiques, jugent
                                        avec l’assurance de celles qui savent. Leur dialogue devient virtuose,
                                        jonglant avec les approximations, les distorsions verbales, les contradictions,
                                        les suppositions, les paradoxes, les aberrations, se corrigeant l’une l’autre,
                                        croyant savoir la vérité vraie, alors que leur pensée se construit sur du sable.

Cie Les Passantes
                                        Edwige et Renée sont le miroir de la pensée universelle, avec ses qualités et
                                        ses défauts, de l’étonnement à la couardise, de l’assurance à l’ignorance, du
Direction artistique: Marie Mainardis   lieu commun à la réflexion.
                                        On les surprend dans leur intimité. La trame librement inspirée du scénario
Spectacle : Edwige et Renée             de « Fenêtre sur cour » d’Hitchcock permet de mettre le spectateur dans une
                                        situation de voyeur. Il l’est à double titre, observant celles qui observent. Le
                            Théâtre
                                        spectacle se présente comme une tranche de vie volée, à l’intérieur de
                                        laquelle les personnages eux-mêmes observent sans être vus.
                                        Comme le personnage d’Hitchcock, leur curiosité les expose au danger.
                                        Mais à la différence du film, pas de happy end ! La délation qu’elles
                                        pratiquent assidûment, leur passivité et leur lâcheté auront raison d’elles.

                                        Le réel finira par leur exploser à la figure.
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«Les étoiles de notre ciel» est l’adaptation pour les planches du recueil
«Paroles d’enfants dans la guerre» de Zlata Filipovic, paru en 2006, qui
contient 14 journaux intimes de jeunes gens âgés de 13 à 20 ans, dont la
vie a été touchée par les violences du XXème siècle et des premières
années du XXIème siècle.

Cette pièce porte un regard sur la guerre par le prisme de ces enfants, que
le destin a jetés au coeur de différents conflits de l’Histoire contemporaine.

La jeunesse est donc au centre de notre travail, non seulement par le sujet
abordé mais également parce que nous aimerions toucher plus
spécifiquement un public jeune, dont le regard et les réflexions sur le
monde d’aujourd’hui sont encore en formation.

Si ce projet permet peut-être d’affiner la connaissance que nous avons
des faits historiques, ce que nous voulons en premier lieu est monter

                                                                                 Cie BrutaFlor
l’intimité de ceux qui ont vécu des conflits, donnant la possibilité au public
de suivre chaque parcours, lui montrant une autre face, et ainsi réfléchir
sur la guerre de façon moins factuelle, moins abstraite.                         Direction artistique: Flavia Lorenzi

Ce qui nous touche dans ces récits est le fait que malgré le désespoir,          Spectacle : Les étoiles de notre ciel
l’incompréhension, la révolte et le sentiment d’avoir quitté l’enfance trop      Théâtre
brusquement, apparaissent comme des éclats lumineux des petits détails
de la vie quotidienne, des projets d’avenir, des aspirations, l’espoir,
l’humour et même le jeu.
Dossier de Diffusion 18/19 - Musique - Théâtre Danse - Chanson 2018
Contact

 Jean-Michel Poullé
    06.71.81.19.81
jm.poulle@artsolis.fr

 www.artsolis.fr
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