Etat des lieux de l'opposition à Macron - Sondage Odoxa-Dentsu Consulting pour France Info et le Figaro
←
→
Transcription du contenu de la page
Si votre navigateur ne rend pas la page correctement, lisez s'il vous plaît le contenu de la page ci-dessous
Etat des lieux de l’opposition à Macron Sondage Odoxa-Dentsu Consulting pour France Info et le Figaro LEVÉE D’EMBARGO JEUDI 17 MAI 2018 À 6H00 Sondage réalisé avec pour et
Méthodologie Recueil Enquête réalisée auprès d’un échantillon de Français interrogés par internet du 15 au 16 mai 2018. Echantillon Echantillon de 1 015 Français représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, parmi lesquelles : 235 sympathisants de gauche (dont 83 sympathisants de la France Insoumise et 92 du PS), 137 sympathisants de la République En Marche, 104 sympathisants LR et 166 du FN. La représentativité de l’échantillon est assurée par la méthode des quotas appliqués aux variables suivantes : sexe, âge, niveau de diplôme et profession de l’interviewé après stratification par région et catégorie d’agglomération.
Précisions sur les marges d’erreur Chaque sondage présente une incertitude statistique que l’on appelle marge d’erreur. Cette marge d’erreur signifie que le résultat d’un sondage se situe, avec un niveau de confiance de 95%, de part et d’autre de la valeur observée. La marge d’erreur dépend de la taille de l’échantillon ainsi que du pourcentage observé. Si le pourcentage observé est de … Taille de l’Echantillon 5% ou 95% 10% ou 90% 20% ou 80% 30% ou 70% 40% ou 60% 50% 200 3,1 4,2 5,7 6,5 6,9 7,1 300 2,5 3,5 4,6 5,3 5,7 5,8 400 2,2 3,0 4,0 4,6 4,9 5,0 500 1,9 2,7 3,6 4,1 4,4 4,5 600 1,8 2,4 3,3 3,7 4,0 4,1 800 1,5 2,5 2,8 3,2 3,5 3,5 900 1,4 2,0 2,6 3,0 3,2 3,3 1 000 1,4 1,8 2,5 2,8 3,0 3,1 2 000 1,0 1,3 1,8 2,1 2,2 2,2 3000 0,8 1,1 1,4 1,6 1,8 1,8 Lecture du tableau : Dans un échantillon de 1000 personnes, si le pourcentage observé est de 20% la marge d’erreur est égale à 2,5% : le pourcentage réel est donc compris dans l’intervalle [17,5 ; 22,5]. Dans un échantillon de près de 200 personnes (tels que les sous-échantillons de sympathisants présentés dans ce rapport), si le pourcentage observé est de 20% la marge d’erreur est égale à 5,7% : le pourcentage réel est donc compris dans l’intervalle [14,3 ; 25,7].
L’œil du sondeur : Céline Bracq, Directrice Générale d’Odoxa PARTIS POLITIQUES LR ET PS SONT (TRÈS) À LA PEINE Pour le dernier numéro de « L’émission politique » de la saison, France 2 reçoit les dirigeants des cinq principales formations politiques : Jean-Luc Mélenchon (FI), Olivier Faure (PS), Christophe Castaner (LREM), Laurent Wauquiez (LR) et Marine Le Pen (FN). L’occasion de faire un point sur l’état des partis politiques à mi-chemin entre la présidentielle de l’an dernier et les Européennes de 2019 avec notre sondage hebdomadaire Odoxa-Dentsu Consulting pour France Info et Le Figaro I. Les principaux enseignements du sondage : 1. Aucun des leaders actuels des partis politiques ne recueille une majorité de jugements positifs. Seuls Jean-Luc Mélenchon et Marine Le Pen font l’unanimité dans leur camp 2. Meilleurs opposants à Emmanuel Macron : Marine Le Pen et surtout Jean-Luc Mélenchon écrasent Olivier Faure et Laurent Wauquiez. Le chef de LR continue à perdre du terrain 3. Potentiel de vote : l’émiettement favorise LaRem et les Français, pourtant critiques à l’égard du gouvernement, ne voient pas bien qui pourrait faire mieux Comme l’explique notre partenaire de Dentsu-Consulting, Véronique Reille-Soult, dans son analyse des réseaux sociaux, la recomposition de la vie politique, conséquence de l’élection présidentielle, est encore loin d’être achevée. Le gouvernement profite toujours de la faiblesse des oppositions sans parvenir à faire émerger un parti solide et incarné par d’autres qu’Emmanuel Macron. Céline Bracq, Directrice Générale d’Odoxa @celinebracq
Synthèse détaillée du sondage (1/3) 1. Aucun des leaders actuels des partis politiques ne recueille une majorité de jugements positifs. Seuls Jean-Luc Mélenchon et Marine Le Pen font l’unanimité dans leur camp La dernière présidentielle a pulvérisé les partis politiques et ils ne s’en sont toujours pas remis. Mais si Emmanuel Macron a choisi de se passer d’eux pour accéder à la tête de l’Etat, il n’a pas choisi ou ne s’est pas donné les moyens de recréer une formation politique forte susceptible de le soutenir aujourd’hui et demain. Premier enseignement : dans un paysage politique où aucun des leaders actuels ne recueille une majorité de bonnes opinions les deux leaders des extrêmes font certes les scores les moins piteux, mais ils restent très majoritairement rejetés : 57% de mauvaises opinions pour Jean-Luc Mélenchon (contre 33% de bonnes), et 64% pour Marine Le Pen (contre 26% de bonnes). Deuxième enseignement : les chefs des deux ex grands partis de gouvernement sont très à la peine. Laurent Wauquiez est désormais assez connu (28% des Français ne le connaissant toutefois pas assez pour exprimer un jugement sur sa personne) mais de plus en plus impopulaire : seuls 17% des Français ont de lui une bonne opinion quand trois fois plus de monde (55%) en a une mauvaise ! Quant à Olivier Faure, plus de 6 Français sur 10 ne le connaissant pas ou pas assez pour émettre un avis sur lui et ceux qui expriment un jugement sont trois fois plus nombreux (28%) à avoir une mauvaise opinion plutôt qu’une bonne (10%). Troisième enseignement, Christophe Castaner -dont on lit ou entend souvent qu’il entretient une certaine proximité avec les élus de LaRem- n’a pas créé ce lien avec les Français. Près de la moitié d’entre eux (46%) sont incapables d’exprimer une opinion à son sujet et ceux qui le peuvent sont plus nombreux à être négatifs (32%) que positifs (22%). Enfin quatrième et dernier enseignement, Marine Le Pen et Jean-Luc Mélenchon sont les seuls à faire l’unanimité dans leur camp : 93% des sympathisants de la France Insoumise ont une bonne opinion de « leur » chef et c’est le cas de 90% des sympathisants du FN pour Marine Le Pen.
Synthèse détaillée du sondage (2/3) Nous sommes loin de cette situation pour les trois autres. Laurent Wauquiez ne recueille que 56% de bonnes opinions chez les sympathisants LR et Olivier Faure fait bien pire : 19% chez les sympathisants du PS pourtant désormais peu nombreux (moins de 10% des Français se disent proches du PS aujourd’hui). Quant à Christophe Castaner, il n’est apprécié que par 56% des sympathisants de La République en marche pourtant habituellement extrêmement enthousiastes à l’égard d’Emmanuel Macron et de ses proches. Non pas qu’ils aient une mauvaise opinion de lui (c’est le cas de seulement 7% d’entre eux), mais près de 4 sympathisants sur 10 (37%) ne le connaissent pas ou presque pas. Le président de LaRem n’a pour l’instant pas réussi à établir de relation forte avec ses sympathisants. Sur les réseaux sociaux, Véronique Reille Soult explique d’ailleurs qu’il est plus identifié comme membre de l’équipe gouvernementale que comme président de parti. 2. Meilleurs opposants à Emmanuel Macron : Marine Le Pen et surtout Jean-Luc Mélenchon écrasent Olivier Faure et Laurent Wauquiez. Le chef de LR continue à perdre du terrain. Souffrant d’une faible cote de popularité et/ou de notoriété, étouffés par le Président qui préfère « favoriser » les extrêmes, les chefs des deux ex grands partis de gouvernement n’arrivent pas à émerger comme opposants de premier rang à Emmanuel Macron et à son gouvernement. Sur le siège de meilleur opposant, il y a désormais une plaque gravée au nom de Jean-Luc Mélenchon. Il s’installe royalement à cette place, cité par 42% des Français (+ 4 points en cinq mois). Assez loin derrière lui, Marine Le Pen occupe la place de deuxième opposante citée par 29% des Français. Pourtant fortement affaiblie depuis le débat d’entre deux tours face à Emmanuel Macron, elle progresse elle aussi : + 5 points depuis décembre 2017. La stratégie de droitisation de Laurent Wauquiez n’a donc servi qu’à la renforcer tandis que lui perd encore du terrain, cité à 17%, soit 7 points de moins qu’en décembre dernier alors qu’il venait d’être élu. Son socle de plus en plus mince (les sympathisant LR représentent au mieux 10% de la population française) risque de continuer à s’effriter, même ses sympathisants ne sont qu’un sur deux à lui décerner le titre de meilleur opposant. Olivier Faure, lui, a vraiment du mal à faire entendre sa voix. Bon dernier, il recueille un petit 9%. Ses sympathisants choisissent presque tous Jean-Luc Mélenchon comme « meilleur opposant » (67%) et ne citent le premier secrétaire qu’à 19%.
Synthèse détaillée du sondage (3/3) 3. Potentiel de vote : l’émiettement favorise LaRem et les Français, pourtant critiques à l’égard du gouvernement, ne voient pas bien qui pourrait faire mieux A un an de la prochaine échéance électorale (les Européennes auront lieu le 26 mai 2019), il est intéressant de faire également un point sur les potentiels des principaux partis politiques. Attention, il ne s’agit pas d’une intention de vote : le potentiel permet de mesurer pour chaque formation politique la part de Français envisageant ou, tout au moins n’excluant pas de voter pour elle, même s’ils peuvent aussi envisager de voter pour un autre parti. Cela permet à la fois de situer le score maximal et minimal à un instant « t » de chacun. Les électeurs sont un peu perdus et les potentiels sont émiettés. Les Français ont beau critiquer fortement l’action du gouvernement, ils ne voient pas bien quelles seraient les alternatives solides. Aussi La République en marche parvient à maintenir le plus haut potentiel de vote : 38% des Français pourraient certainement ou probablement voter LaRem aux prochaines élections. Derrière la formation du Président, les autres partis sont à des niveaux très proches : 31% pour les Républicains, 27% pour le FN, 26% pour le PS et 25% pour la France Insoumise. A y regarder de plus près, la situation est décidément très périlleuse pour le PS et pour LR. Leur « vrai » socle, c’est-à-dire la part de Français qui se dit « certaine » de pouvoir voter pour eux aux prochaines échéances est inférieure à celle recueillie par leurs concurrents les plus directs de la France insoumise et du Front national : 5% pour le PS contre 9% pour FI et 9% pour LR contre 13% au FN. Cela est particulièrement dangereux pour le prochain scrutin, les Européennes, car leurs élus locaux ne leur seront d’aucune utilité et l’élection se fera à la proportionnelle avec une seule circonscription nationale. Les Français ne voient pas très bien pour le moment pourquoi et comment les opposants à Emmanuel Macron feraient mieux que lui : aucun des partis concurrents à LaRem n’étant jugé comme potentiellement plus performant s’il était au pouvoir. C’est le FN qui, grâce à son socle solide recueille la plus forte proportion de Français (20%) le jugeant potentiellement meilleur que le gouvernement actuel… mais c’est aussi lui qui réunit le plus de Français considérant au contraire qu’il ferait moins bien (49%, solde de -29). Le schéma est très proche pour la France Insoumise avec un solde de -23. Mais ce sont bien encore une fois le PS et LR pour qui les résultats sont les plus cruels. Quelle humiliation pour LR de constater qu’il n’y a que 15% des Français pour estimer que ce parti ferait mieux que le gouvernement (soit 5 points de moins que le FN) et 9% pour le PS (10 points de moins que FI). Non, décidément, le temps de la reconstruction des vieux partis n’est pas (encore ?) venu.
Réseaux sociaux (1/2) : L’œil de Véronique Reille Soult, CEO de Dentsu Consulting 1/ LaREM est le parti le plus visible mais Christophe Castaner ne parvient pas à imprimer son leadership Ces derniers mois, LaREM est systématiquement le parti dont on parle le plus sur les réseaux sociaux et cette semaine n’a pas échappé à la règle. Avec plus de 47 000 messages, il devance largement ses concurrents. En tant que parti de la majorité, il suscite des messages à la fois factuels (mesures, actions, lois…) mais aussi de vives oppositions. Son délégué général, Christophe Castaner ne profite pourtant pas de cette visibilité. Il est le chef de parti qui, proportionnellement à son camp, génère le moins de messages quand Marine le Pen et Jean-Luc Mélenchon sont deux à trois fois plus évoqués que leur parti sur les réseaux sociaux. Il est d’ailleurs plus fréquemment cité pour sa fonction au gouvernement que pour son statut de leader de LaREM. Au-delà de la visibilité, l‘engagement est un bon indicateur de la vie des réseaux sociaux. De ce point de vue, Jean- Luc Mélenchon et Marine Le Pen sont nettement plus performants que Christophe Castaner. Leurs propos sont partagés et suscitent des réactions. Ceux du délégué général de LaREM sont nettement moins relayés et suscitent des commentaires très factuels à l’exception de la polémique récente qu’a suscité Christophe Castaner sur le voile catholique et les prêches en latin.
Réseaux sociaux (2/2) : L’œil de Véronique Reille Soult, CEO de Dentsu Consulting 2/ Laurent Wauquiez reste en difficulté, Olivier Faure inexistant Les militants et sympathisants Les Républicains sont actifs sur les réseaux sociaux. Ils commentent l’actualité et montent régulièrement au créneau pour attaquer les soutiens de La République En Marche. Laurent Wauquiez bénéficie de cet engagement mais c’est uniquement grâce à son statut de chef du parti. Les internautes lui reprochent de trop suivre l’actualité sans parvenir à donner le tempo de la vie politique. Il s’inscrit selon eux davantage dans la réaction que dans l’action. Résultat, il suscite 3 à 4 fois moins de messages que Marine Le Pen et Jean-Luc Mélenchon sur les réseaux sociaux alors même que son parti est le premier des opposants en termes de visibilité. Olivier Faure, lui, est presque inexistant sur les réseaux sociaux. Comme son parti, il est largement distancé par les principaux acteurs de la vie politique nationale. Il ne parvient ni à s’inscrire dans une opposition crédible, ni même à faire parler de lui. La recomposition de la vie politique, conséquence de l’élection présidentielle, est encore loin d’être achevée. Le gouvernement profite toujours de la faiblesse des oppositions sans parvenir à faire émerger un parti solide et incarné par d’autres qu’Emmanuel Macron. Véronique Reille-Soult, DG de Dentsu Consulting, @reillesoult ➢ Retrouvez les éléments détaillés de l’analyse sur les réseaux sociaux à la fin de ce rapport
Popularité des chefs des principaux partis politiques en France Pour chacune des personnalités suivantes, dites-nous si vous en avez une très bonne, plutôt bonne, plutôt mauvaise, très mauvaise opinion ou si vous ne la connaissez pas suffisamment pour exprimer une opinion ? ST Bonne ST Mauvaise Jean-Luc Mélenchon 8% 25% 23% 34% 10% 33% 57% Marine Le Pen 9% 17% 18% 46% 10% 26% 64% Christophe Castaner 4% 18% 16% 16% 46% 22% 32% Laurent Wauquiez 3% 14% 25% 30% 28% 17% 55% Olivier Faure 1% 9% 18% 10% 62% 10% 28% Très bonne Assez bonne Assez mauvaise Très mauvaise Vous ne la connaissez pas suffisamment
Popularité des chefs des principaux partis politiques en France selon la proximité partisane Pour chacune des personnalités suivantes, dites-nous si vous en avez une très bonne, plutôt bonne, plutôt mauvaise, très mauvaise opinion ou si vous ne la connaissez pas suffisamment pour exprimer une opinion ? FI PS LaREM LR FN ST Bonne Jean-Luc Mélenchon 8% 25% 33% 93% 45% 12% 16% 29% Marine Le Pen 9% 17% 26% 11% 2% 9% 29% 90% Christophe Castaner 4% 18% 22% 8% 27% 56% 23% 7% Laurent Wauquiez 3% 14% 17% 7% 2% 17% 56% 18% Olivier Faure 1% 10% 12% 19% 15% 5% 3% 9% Très bonne Assez bonne
Meilleur opposant à E. Macron et au gouvernement Parmi les personnalités suivantes, quel est selon vous le meilleur opposant à Emmanuel Macron et au gouvernement ? FI PS LaREM LR FN Rappel Déc. 2017* Jean-Luc Mélenchon 42% 38% 91% 67% 47% 25% 12% Marine Le Pen 29% 24% 6% 5% 15% 18% 84% Laurent Wauquiez 17% 24% 1% 8% 22% 50% 3% Olivier Faure 9% 11% (Hamon) 2% 19% 15% 5% 1% (NSP) 3% 1% 1% 2% *Baromètre politique Odoxa publié le 19/12/2017
Potentiel de vote pour les principaux partis en France Pourriez-vous certainement, probablement, probablement pas ou certainement pas, voter pour les partis suivants aux prochaines élections ? S/T Oui Rappel sept. 2017* La République En Marche 13% 25% 24% 37% 1% 38% 40% Les Républicains 9% 22% 29% 39% 1% 31% 32% Le Front national 13% 14% 16% 56% 1% 27% 29% Le Parti socialiste 5% 21% 30% 43% 1% 26% 26% La France insoumise 9% 16% 24% 50% 1% 25% 28% Oui, certainement Oui, probablement Non, probablement pas Non, certainement pas (NSP) *Sondage Odoxa-Dentsu Consulting pour France info et Le Figaro publié le 7/09/2017
Capacité de chacun des partis d’opposition à faire mieux que le gouvernement actuel Pour chacun des partis d’opposition suivants, ferait-il selon vous mieux, moins bien ou ni mieux ni moins bien que le gouvernement actuel s’il était au pouvoir ? FI PS LaREM LR FN SOLDE Le Front national 20% 49% 30% 1% -29 11% 62% 27% 2% 78% 18% 2% 91% 6% 19% 51% 29% 77% 4% 19% La France insoumise 19% 42% 38% 1% -23 82% 3% 15% 16% 39% 43% 2% 84% 13% 1% 68% 30% 16% 39% 44% Les Républicains 15% 31% 53% 1% -16 4% 40% 56% 3% 57% 38% 7% 57% 35% 61% 4% 35% 15% 32% 52% Le Parti socialiste 9% 42% 47% 2% -33 28% 24% 48% 44% 17% 39% 2% 71% 26% 1% 65% 33% 5% 55% 39% Mieux Moins bien Ni mieux ni moins bien (NSP)
Résonance sur les réseaux sociaux
Résonance sur les réseaux sociaux Méthodologie Les données sont collectées par DENTSU Consulting et son équipe spécialiste de l’écoute et de l’analyse de l’opinion en ligne à l’aide des Social Media et du web. Pour effectuer leur analyse, ils utilisent les outils d’analyse de social media et de veille on line les plus pertinents pour leur requête que ce soit des outils propriétaires ou des outils du marché (google trend pour les tendances de recherches, socialbaker et Make_Me_Stats pour mesurer l’engagement et l’évolution des espaces sur les réseaux sociaux, alexa pour la mesure des audiences sur les sites web, etc.) Une utilisation particulière, suite à des développement spécifiques, est effectuée avec l’outil Talkwaker. Outil de veille pour suivre les conversations pertinentes des médias en ligne en temps réel à partir d’une seule interface, permet aussi de suivre les mentions sur un homme politique ou un sujet spécifique en effectuant une veille des réseaux sociaux comme Twitter, Facebook, Instagram, YouTube, Google+, ainsi que les blogs, les forums et les sites d’actualité en ligne. http://www.talkwalker.com/fr/social-media-intelligence/
Visibilité des dirigeants des principaux partis politiques Messages sur les 5 dirigeants des principaux partis politiques Sur les réseaux sociaux entre le 9 et le 15 mai 2018 Marine Le Pen 82 900 messages Jean-Luc Mélenchon 77 700 messages Laurent Wauquiez 24 400 messages Christophe Castaner 22 800 messages Olivier Faure 6 300 messages Source : Talkwalker / Dentsu Consulting
Les mots les plus associés aux 5 dirigeants Les mots les plus associés aux 5 dirigeants Sur les réseaux sociaux entre le 9 et le 15 mai 2018 • M. Le Pen Fiché S Dupont-Aignan • JL Mélenchon Gaza Moscou • C. Castaner Voile Catholique Prêches Latin • L. Wauquiez Terrorisme Excès • O. Faure Taxe habitation Comportement PS Source : Talkwalker / Dentsu Consulting
Visibilité des 5 grands partis politiques Messages sur les grands partis politiques Sur les réseaux sociaux entre le 9 et le 15 mai 2018 La République En Marche 47 300 messages Les Républicains 33 300 messages Le Front National 28 800 messages La France Insoumise 27 900 messages Le Parti Socialiste 10 800 messages Source : Talkwalker / Dentsu Consulting
Visibilité comparée des partis et de leur dirigeant Sur les réseaux sociaux entre le 9 et le 15 mai 2018 Marine Le Pen Jean-Luc Mélenchon Front National France Insoumise La République en Marche Parti Socialiste Les Républicains Christophe Castaner Olivier Faure Laurent Wauquiez Source : Talkwalker / Dentsu Consulting
Vous pouvez aussi lire