Expo-Jeunesse: Oeuvres de jeunes artistes amateurs montarvillois
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Expo-Jeunesse: Oeuvres de jeunes artistes amateurs montarvillois La Ville de Saint-Bruno-de-Montarville est dévoile sa toute première exposition virtuelle, dédiée aux talents artistiques amateurs des 12 à 25 ans! Quatre jeunes Montarvilloises se sont démarquées et ont remporté chacune une bourse de 100 $ au concours Expo-Jeunesse 2020. Les juges ont particulièrement apprécié les œuvres suivantes : Catégorie 12-15 ans, ex-aequo : Fleurs complémentaires par Olivia Priestley et Beauté du ciel par Séphora Santiago; Catégorie 16-19 ans : Harmonie par Syrine Mghirbi; Catégorie 20-25 ans : 7e vague par Loli Santiago.
Fleurs complémentaires. Acrylique par Olivia Priestley, 14 ans. *** Oeuvre gagnante ex-aequo dans la catégorie 12-15 ans du concours Expo-Jeunesse 2020
Harmonie. Acrylique par Syrine Mghirbi, 16 ans. *** Oeuvre gagnante dans la catégorie 16-19 ans du concours Expo-Jeunesse 2020
7e vague. Aquarelle par Loli Santiago, 20 ans. *** Oeuvre gagnante dans la catégorie 20-25 ans du concours Expo-Jeunesse 2020
Beauté du ciel. Photographie par Séphora Santiago, 15 ans. *** Oeuvre gagnante ex-aequo dans la catégorie
12-15 ans du concours Expo-Jeunesse 2020 Joue ta carte comme tu le sens. Aquarelle par Elisabeth Neves, 13 ans. *** Une mention est accordée à cette oeuvre présentée au concours Expo-Jeunesse 2020. Les citoyens peuvent voir les 19 œuvres de l’Expo-Jeunesse en ligne, sur la page stbruno.ca/expo-jeunesse-2020.
Une mention spéciale est attribuée à Joue ta carte comme tu le sens par Elisabeth Neves. «Je félicite les gagnants, ainsi que tous les participants de cette exposition. Toutes les œuvres sont magnifiques! J’invite les Montarvilloises et Montarvillois à découvrir les talents incroyables de leurs jeunes et dynamiques concitoyens», a souligné Martin Murray, maire de Saint-Bruno-de-Montarville. Rappelons que l’Expo-Jeunesse remplace l’exposition éphémère, qui a habituellement lieu dans le cadre du Festival Jeunesse. Les 12 à 25 ans pouvaient y soumettre une peinture, photographie, sculpture ou un dessin. LeMontarvillois.com Source: communiqué de la ville de Saint-Bruno-de-Montarville Isabelle Bérubé: Consultons les citoyens pour le projet du complexe sportif ! Le complexe doit être construit au cœur de Saint- Bruno.
C’est clair et limpide: la recommandation de la Commission de l’aménagement et de l’environnement de l’agglomération de Longueuil nous dit que le site du parc Marie-Victorin est un mauvais choix. C’est aussi ce que nous dit l’analyse multicritères de la firme d’architecture Lemay (cette étude commandée par la municipalité n’a jamais été rendue publique) qui arrive à la conclusion que les trois sites situés au centre-ville sont – et de loin – les meilleurs. Ils sont, dans l’ordre: Top 3 de l’analyse des emplacements pour le centre multisport (étude de Lemay) 1.- Terrain de l’hôtel de ville 2.- Terrain de l’école secondaire Mont-Bruno 3.- Terrain du parc Rabastalière Construire le complexe sportif sur l’un de ces trois sites permettrait d’atteindre les TROIS objectifs visés : Dynamiser le centre-ville Accroître l’accessibilité à la majorité, mais aussi des plus vulnérables Favoriser l’option du développement durable (les critères de Lemay) Optimiser les retombées sur le milieu
Ce qu’il faut retenir Pourquoi miser sur un projet de complexe sportif au parc Marie-Victorin qui n’est même pas parmi les trois meilleurs choix ?!? C’est l’essence même de la campagne de communication menée avec mon collègue Vincent Fortier «Au cœur de Saint- Bruno» : ramenons le complexe au cœur du centre-ville. Consulter les citoyens est un acte démocratique. Rendons publique l’étude afin que la population puisse donner son avis en toute transparence et connaissance de cause. Puis organisons cette consultation publique objective, avec tous les avis urbanistiques sur la question.
Les élus doivent faire confiance à la population pour qu’elle leur rende la pareille. Saint-Bruno mérite toujours ce qu’il y a de mieux. Isabelle Bérubé, conseillère, district 5, Saint-Bruno-de- Montarville Responsable de l’environnement Comité consultatif en environnement Comité consultatif d’urbanisme Comité de démolition Commission de l’environnement et de l’aménagement (agglo) Table de concertation des aînés du territoire du CLSC des Patriotes Séquestration & torture à Saint-Bruno: mutilation, agression et viol Cette nuit, un homme et une femme auraient séquestré un homme, une connaissance à eux, dans une résidence de la rue Thérèse- Casgrain à Saint-Bruno-de-Montarville.
Une information a été transmise au Service de police de l’agglomération de Longueuil (SPAL) le 30 juillet vers 15 h d’une possible séquestration à cet endroit. Un périmètre a été érigé et le G.I (groupe d’intervention) a obtenu la reddition de l’homme et de la femme environ 1 heure après avoir débuté la négociation. En effectuant la fouille de la résidence, les agents ont localisé la victime, un homme âgé de 40 ans. Il a de sérieuses blessures et a été transporté dans un centre hospitalier, mais on ne craint pas pour sa vie. Les deux suspects, un homme âgé de 42 ans, Patrick Poirier-Michaud et une femme âgée de 25 ans, vont être interrogés ultérieurement par les enquêteurs. Ils pourraient faire face à des accusations de séquestration, menaces de mort et voies de fait. Ils devraient comparaître à la Cour du Québec demain. Le suspect était connu des policiers. L’enquête déterminera les circonstances de l’événement.
Lors de la sécurisation des lieux par le G.I. hier, plusieurs armes à feu ont été repérées à l’intérieur du domicile. Les armes qui ont été trouvées sont des fusils de chasse, carabines, arbalètes et pistolets à air comprimé. Le suspect, connu des policiers, devrait comparaître aujourd’hui à la Cour du Québec à Longueuil. Il fait face à des accusations de séquestration, voies de fait graves et lésions, possession d’armes à feu sans permis, d’armes mal entreposées et possession de méthamphétamines. Mis-à-jour 01-04-2020 Selon le réseau TVA, on reproche également au suspect “d’avoir mutilé ou défiguré sa victime alléguée, un homme de 40 ans tout en l’agressant sexuellement“
La suspecte a quant à elle été libérée par promesse de comparaître avec des conditions à respecter. L’enquête permettra de déterminer les mobiles de ces crimes. LeMontarvillois.com Source: Communiqué du SPAL & service des relations avec les médias (SPAL) & divers Parlons de… Pierre Duhamel I.A.F – Artiste peintre de Saint-Bruno (De Khalil Essadik) Au centre-ville de Saint-Bruno-de- Montarville, on découvre des épiceries, de petits commerces, des restaurants et … des artistes. À deux pas de la place du village et au bord du méga chantier du Jazz Saint-Bruno, il y a une galerie d’Art en bonne et due forme. Là-dedans, deux talentueux peintres de notre cru s’exercent à plein temps: Danielle Champoux (que j’ai hâte de rencontrer) et son ancien professeur Pierre Duhamel avec qui j’ai eu le plaisir de m’entretenir.
Pour en savoir plus sur Pierre, je vous invite à taper son nom sur un moteur de recherche ou d’aller directement sur son site web. Vous saurez qu’il s’établit à Saint-Bruno en 1978 et que la même année devint peintre professionnel. En parcourant le site, vous pourriez avoir un aperçu de son talent et vous pourriez même le contacter. Ma rencontre avec Pierre Inspiré par certains citoyens voulant contribuer au bien-être de notre ville, je me suis dit qu’à mon tour, je pouvais contribuer en donnant de la visibilité à nos commerçants locaux. J’ai donc invité ces derniers à me contacter pour une interview. Pierre m’a fait le plaisir de répondre à l’appel. L’interview de Pierre s’est déroulée à son atelier qui se trouve à l’arrière de la vitrine au 35 chemin de la Rabastalière ouest. Pour y accéder il faut se rendre à la cour arrière. À cause du chantier, l’endroit ne semble pas très invitant. Et pourtant il l’est. Dès qu’on y met les pieds, on est séduit par la quantité d’œuvres exposées et par le sourire rayonnant de Pierre qui invite quiconque à venir découvrir ce qui se prépare dans ce petit atelier. L’interview tourne autour de 3 thèmes principaux:
Qui est Pierre Duhamel? Pourquoi aller le voir? Et comment vit-il la crise actuelle? L’entrevue que j’ai eu avec lui me donne envie de revenir le voir et d’amener ma petite famille visiter sa galerie. J’aurais pu passer des heures à l’écouter parler de son métier, son art et sa passion. Malheureusement, j’ai dû me contenter d’une petite heure très vite passée et voici un extrait de ce qu’il raconte. Parlons de Pierre Duhamel: Khalil Essadik “Parlons de…” , est une nouvelle chronique dans LeMontarvillois.com de notre collaborateur Khalil Essadik -Sa chaîne Youtube: Parlons … Fiche de l’entreprise –Site :https://pierre-duhamel.com/ -Page Facebook de l’entreprise:https://www.facebook.com/pierre.duhamel.334 - Numéro de: 514-730-0376 –Adresse de l’entreprise: 35 Rabastalière Ouest, St-Bruno de Montarville, J3V 1Y7
À Saint-Bruno, le cinéparc est de retour en août! La ville de Saint-Bruno-de-Montarville a annoncé que le cinéparc est de retour au parc de la Coulée, les 7, 21 et 28 août prochains, vers 20 h 30 (à la tombée de la nuit). La ville a modifié la formule afin de respecter les mesures sanitaires reliées à la COVID-19 . Un cinéparc différent Cette année, un maximum de 160 personnes sera permis sur place, afin de respecter les consignes gouvernementales de distanciation. Les citoyens désirant assister devront inscrire chaque membre de leur famille sur Espace loisir, à partir du mercredi midi précédent la représentation. Le soir même, les citoyens devront apporter leur chaise et couverture, ainsi que leurs collations ou breuvages, puisqu’il n’y aura pas de vente sur le site. Sur place, les cinéphiles devront, en tout temps, respecter la distanciation sociale et rester au sein de leur bulle familiale. Des toilettes portables seront accessibles sur le site. Les représentations seront annulées en cas de forte pluie.
Une programmation ludique 7 août: Jouer avec le feu 21 août: Menteur 28 août: Les Incognitos LeMontarvillos.com Source: communiqué de la Ville de Saint-Bruno-de-Montarville Tiffany Boudreau, gérante du restaurant McDonald’s à Saint-Bruno, a reçu le Mérite Ray Kroc Tiffany Boudreau, gérante du restaurant McDonald’s à St-Bruno- de-Montarville a reçu le Mérite Ray Kroc, un prix qui souligne le rendement exceptionnel des gérants des restaurants McDonald’s dans le monde entier. Seulement 1% des gérants de restaurants McDonald’s reçoivent un tel honneur. Ayant débuté sa carrière chez McDonald’s à titre d’équipière il y a plus de 9 ans, Tiffany a gravi les échelons en occupant tous les postes jusqu’à celui de gérante de restaurant.
«Je n’en reviens toujours pas. C’est une surprise incroyable! Je suis une vraie passionnée de mon emploi et c’est d’autant plus motivant de constater que mon travail est apprécié de mes pairs» a déclaré Tiffany Boudreau. Tous les deux ans, les franchisés et les dirigeants régionaux de McDonald’s de partout au pays désignent les candidats du Mérite Ray Kroc afin de souligner leur dur labeur, leur dévouement et leur engagement envers l’entreprise et ses clients. «Sa force première est son esprit d’équipe qui fait en sorte que les gens qui travaillent avec elle se sentent valorisés et motivés. Elle gère le restaurant comme si c’était le sien. Tiffany prend soin de ses collègues afin qu’ils aiment leur
travail et que l’atmosphère soit agréable. Elle n’est pas juste une gérante hors pair, elle sait reconnaître ce qui motive ses coéquipiers et sait comment faire progresser son équipe». affirme Chantale Bédard, franchisée du restaurant McDonald’s de Saint-Bruno. LeMontarvillois.com Source & photos: communiqué McDonald’s Canada Saint-Bruno renonce au sens unique rue Montarville Suite à l’insatisfaction qu’a suscitée cette mesure chez une majorité de citoyens et de commerçants, la Ville de Saint- Bruno met fin au projet de rue à sens unique et de piste cyclable les fins de semaine sur la rue Montarville. Avec l’objectif de relancer l’économie locale, la Ville avait mis en place, le 30 juin dernier, des actions pour appuyer ses commerces et restaurants, et ce, après une consultation auprès de ceux-ci afin de faire de Saint-Bruno un endroit des plus accueillant tout au long de l’été. Trois axes avaient été ciblés pour appuyer cette relance:
une flexibilité dans l’application du cadre règlementaire pour aménager temporairement sur leur terrain ou aire de stationnement une terrasse, un étalage, un kiosque de présentation ou tout autre projet selon leur besoin; l’aménagement éphémère du parc du Village, incluant une aire de repos et une exposition d’un collectif de photographes membres du Club photo Évasion; l’instauration d’un sens unique et la mise en place temporaire d’une voie active sécuritaire à l’intention des cyclistes, sur la rue Montarville, entre les boulevards Seigneurial et Clairevue durant les fins de semaine. Ces actions ont été fort bien accueillies par la population et les marchands, à l’exception du dernier volet, face auquel plusieurs citoyens ont fait connaître leur désaccord. De plus, une récente consultation personnalisée auprès de 27 commerçants révèle que plus des trois quarts d’entre eux souhaitent le retrait du sens unique et de la piste cyclable sur la rue Montarville qui, selon eux, nuit à l’achalandage. Suivant ces constats la Ville a décidé de mettre fin au projet de rue à sens unique et de piste cyclable les fins de semaine sur la rue Montarville. Saint-Bruno-de-Montarville entend demeurer proactive et poursuivre ses actions afin de dynamiser le centre-ville pour que tout les Montarvillois puissent venir s’y promener, faire leurs achats, casser la croûte ou se désaltérer, dans un cadre de vie urbain des plus invitant et animé. LeMontarvillois.com
Source & photo: communiqué de la ville de Saint-Bruno-de- Montarville Saint-Bruno recevra 187 000$ pour développer le transport actif La députée de Montarville Mme Nathalie Roy, a annoncé une aide de près de 187.000$ pour développer le transport actif à Saint-Bruno-de-Montarville. Cette somme permettra l’aménagement de bandes cyclables sur la rue De Rigaud. Nathalie Roy Accordé dans le cadre du Programme d’aide financière au développement des transports actifs dans les périmètres urbains, ce montant permettra d’accroître la mise en place d’infrastructures de transports efficaces, non polluants, tout en encourageant la mobilité durable. «Je me réjouis de l’aide octroyée pour le développement du transport actif à Saint-Bruno-de-Montarville. Cette initiative permettra d’améliorer la qualité de vie de nos citoyens en
bonifiant les choix de transports qui s’offrent à eux, tout en contribuant à la relance de notre économie locale», a affirmé madame Roy. Pour les années de 2019 à 2021 ce sont près de 33 M$ qui ont été accordés à plus de 140 projets de transport actif par le gouvernement. De nombreuses pistes cyclables pourront ainsi voir le jour partout au Québec. LeMontarvillois.com Source: Communiqué du Gouvernement du Québec CREOS, une entreprise Montarvilloise, lauréate au prix Excellence 2020 de la Chambre de commerce et d’industrie de la Rive-Sud (CCIRS) Creos une entreprise familiale de Saint-Bruno-de-Montarville
qui maîtrise l’art de faire voyager l’art. Elle a pour mission de redonner plusieurs vies à des installations participatives en les faisant voyager à travers le monde est la lauréate du prix Excellence 2020 de la Chambre de commerce et d’industrie de la Rive-Sud (CCIRS) dans la catégorie Exportation. Cette reconnaissance souligne l’excellence et le dynamisme de Creos à titre de courtier d’installations participatives. Créés en 1984, les prix Excellence ont reconnu plus de 1 200 finalistes et couronné plus de 357 entreprises, et ce, dans 11 catégories. Ce prix met en valeur la détermination, l’engagement, le professionnalisme et la créativité de la jeune équipe de Creos. «Notre réussite reflète un bon dosage de persévérance et d’audace», affirme Alexandre Lemieux, directeur du développement des affaires. «Nous partageons ce prix avec les créateurs et leurs installations de grande qualité que nous représentons ainsi qu’avec les propriétaires d’installations pleinement investis. Nos clients aux quatre coins du globe souhaitent faire rayonner leurs espaces publics, car ceux-ci ont un grand pouvoir d’attraction économique et sociale. Nous sommes là pour les aider à exploiter leurs espaces publics de la meilleure façon qui soit», ajoute-t-il. Posted by Creos on Thursday, June 21, 2018
L’effet Creos en un coup d’œil Creos, c’est: Un portfolio diversifié comportant 16 installations uniques Des installations s’étant produites dans plus de 50 villes, dans 11 pays sur 4 continents Plus de 3000 jours d’expériences uniques offertes dans différents espaces publics Des retombées économiques et sociales positives pour toutes les parties prenantes. Page Facebook de CREOS: https://www.facebook.com/gocreos/ LeMontarvillois.com Source: communiqué: CREOS & CCIRS. Photo à la une: WAWE © Jenise Jensen – Breackcreate Comment des pays de l’OCDE
ont réussi à contrôler la COVID-19 dans les centres de soins de longue durée Le CHSLD et la RPA qui se situe à Saint-Bruno-de-Montarville n’ont pas été touchés, du mois pour l’instant, par une contagion à la COVID-19. Mais ailleurs dans la grande région de Montréal, il n’en fut pas de même… Dans cette publication, David O’Toole, Président, chef de la direction de l’Institut canadien d’information sur la santé (ICIS) et professeur auxiliaire à la School of Policy Studies de l’Université Queen’s, dresse un portrait de la situation et des meilleures pratiques mis en place dans certains pays pour contrôler la COVID-19 dans les centres de soins de longue durée. Les résidents d’établissements de soins de longue durée et de résidences pour personnes âgées ont été touchés de manière disproportionnée par les mesures prises pour endiguer la propagation de la COVID-19.
En plus de la distanciation sociale et du lavage des mains, les mesures adoptées au Canada et dans d’autres pays ont inclus le confinement dans les chambres avec l’interdiction ou un accès limité aux membres de la famille des résidents, qui sont souvent aussi des proches aidants. L’Institut canadien d’information sur la santé (ICIS) se consacre à la collecte et à la diffusion de données sur nos systèmes de santé, ce qui permet de comparer de leurs performances. Après les trois premiers mois de la pandémie, nous avons examiné comment différents pays ont géré la propagation de la COVID-19 dans les établissements de soins de longue durée. Les mesures restrictives visaient à contrer une menace urgente pour la santé publique. Il est important de rappeler qu’au début du printemps, la modélisation de l’épidémie de COVID-19 au Canada présentait la même trajectoire qu’en Italie. Tous les paliers de gouvernement au Canada ont alors pris des mesures extraordinaires pour éviter l’engorgement des hôpitaux. La majorité des décès au Canada Si le Canada a largement réussi à gérer l’impact sur les hôpitaux, on ne peut pas en dire autant dans les établissements de soins de longue durée ; plus de 80 % des décès liés à la COVID-19 au Canada ont eu lieu dans ces établissements. Le 25 juin, l’ICIS a publié une analyse qui montre comment le
Canada se compare à 16 autres pays de l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) en matière de gestion de la propagation de la COVID-19 dans les soins de longue durée. Notre étude comparait le nombre de cas et de décès, de même que les caractéristiques de base du système de santé et la réponse des gouvernements. Au Québec, le gouvernement a fait appel à l’armée pour prêter main-forte aux employés des centres de soins de longue durée les plus touchés. Sur cette photo, les soldats s’éloignent avec le drapeau du bataillon après une cérémonie marquant le dernier jour de leur présence au CHSLD Nazaire-Piche à Montréal, le mercredi 17 juin 2020. LA PRESSE CANADIENNE/Paul Chiasson Au moment où le rapport a été finalisé, le nombre de décès liés à la Covid-19 parmi dans les établissements de soins de longue durée variait considérablement d’un pays à l’autre. Il était de 28 en Australie, de 30 000 aux États-Unis, et de plus
de 10 000 en France, Italie, Espagne et Royaume-Uni.Déjà fragilisées, les résidences pour aînés étaient-elles prêtes à affronter la pandémie? Le taux de mortalité de la COVID-19 au Canada est relativement faible par rapport aux autres pays de l’OCDE (176 décès par million au Canada contre une moyenne de 266 décès par million dans l’OCDE). Toutefois, c’est au Canada que l’on constate la plus grande proportion de décès causés par le coronavirus dans des établissements de soins de longue durée. Plus de 5 000 bénéficiaires de ces établissements sont décédés. En d’autres mots, la majorité des décès liés à la COVID-19 au Canada ont eu lieu dans les centres de soins de longue durée. Des mesures efficaces Bien que les conclusions de ce rapport soient douloureuses à lire, nous pouvons en tirer des leçons. Le Canada peut apprendre des autres pays. Dès le moment où ils ont imposé le confinement des résidents et interdit les visites dans les résidences de soins de longue durée, l’Australie, l’Autriche, les Pays-Bas, la Hongrie et la Slovénie y ont aussi instauré des mesures de prévention obligatoires. Résultat : ces pays ont enregistré moins d’infections et de décès liés à la COVID-19 dans ce type d’établissements.
Décès liés à la COVID-19 au 25 mai 2020 à 21 heures : nombre par million d’habitants (total et soins de longue durée) (CIHI), Author provided De nombreuses autres mesures ont eu un impact significatif. Parmi celles-ci, citons les tests de dépistage et le traçage de contacts à grande échelle parmi les résidents et employés de ces établissements, la mise en place de zones chaudes pour isoler les personnes infectées, l’embauche de personnel d’appoint, la présence d’équipes spécialisées et l’achat d’équipement de protection individuelle. Le rapport a également montré que les pays où la réglementation et l’organisation des établissements de soins de longue durée sont centralisées ont généralement enregistré moins de cas de COVID-19 et de décès. Cependant, il faudra plus d’informations au Canada pour déterminer comment les structures organisationnelles, entre autres facteurs, influencent les résultats. Au Canada, nous pouvons également citer certaines mesures qui se sont avérées efficaces.
Par exemple, à Kingston, en Ontario, une inspection préventive des pratiques de contrôle des infections, la disponibilité de praticiens de la santé pour répondre aux questions relatives à ces pratiques, ainsi qu’un partenariat solide entre les soins de longue durée, la santé publique et l’hôpital local ont permis d’éviter, à ce jour, la contamination dans les centres de soins de longue durée de la région de Kingston et des environs. Freiner le mouvement de personnel Entre-temps, la Colombie-Britannique a réussi jusqu’à présent à contrôler la propagation de l’épidémie dans ses établissements de soins de longue durée en modifiant le statut des employés des résidences privées pour en faire des employés du secteur public pendant six mois. En offrant à ces travailleurs un salaire concurrentiel, un travail à temps plein et de meilleurs avantages sociaux , on leur permettait de s’absenter du travail s’ils étaient exposés au virus et de consacrer leur temps à un seul établissement. Cette stratégie permettait aussi d’uniformiser les informations de santé publique.
Le Dr Bonnie Henry, directrice de la santé publique de la Colombie-Britannique, lors d’une conférence de presse à Vancouver, le samedi 14 mars 2020. Les résidents des établissements de soins de longue durée dans cette province peuvent désormais recevoir des visites en personne après avoir été fermés aux visiteurs pendant des mois en raison de la pandémie de COVID-19. LA PRESSE CANADIENNE/Darryl Dyck Or de manière générale, une meilleure connaissance de l’inventaire d’équipements de protection individuelle, du nombre de lits et de leur configuration dans les centres de soins de longue durée aurait permis d’élaborer des plans plus efficaces pour isoler les résidents infectés. Des données sur le statut des employés, notamment le nombre de personnes travaillant dans plusieurs centres, auraient aussi permis d’identifier les lacunes dans tout le pays. Le fait d’effectuer des tests de dépistage précoces sur l’ensemble du personnel et des résidents des établissements de soins de longue durée aurait aussi permis une meilleure évaluation des taux d’infection. Ces données sont essentielles pour localiser
et contenir les éclosions. L’importance des données Au Canada, nous disposons de riches données cliniques sur la santé des résidents des établissements de soins de longue durée. Cela permet de planifier les soins, d’évaluer le fonctionnement de ces établissements et de surveiller les risques (comme le risque de plaies de pression ou de chutes). Ces mêmes données, notamment sur les chutes, l’aggravation de la dépression ou de la douleur soutiennent et étayent les rapports publics d’inspection. Obtenir ces informations de la part de toutes les provinces donnerait une meilleure vue d’ensemble de la situation des soins de longue durée au Canada. La publication de rapports se bDavid O’Tooleasant sur des indicateurs communs à l’échelle du pays contribuerait à améliorer la qualité des soins pour tous les résidents des établissements de soins de longue durée. Nous savons qu’on ne peut améliorer ce qu’on ne mesure pas. Grâce aux données dont nous disposons et à la possibilité d’en recueillir davantage, il sera possible de prendre de meilleures décisions. Des milliers de personnes dans tout le pays – de tous les horizons – ont fait des sacrifices importants pour protéger les autres. Si on leur demande de le faire à nouveau, nous devons leur donner les meilleures explications possible sur les raisons de le faire. Plus nous en savons, mieux nous pouvons agir.
David O’Toole La version originale de cet article a été publiée en anglais dans LaConversation Sur le même sujet: Déjà fragilisées, les résidences pour aînés étaient-elles prêtes à affronter la pandémie? Le début de la fin pour les résidences pour personnes âgées? Plus de 89.000$ à Saint- Bruno-de-Montarville pour l’achat de livres pour sa bibliothèque municipale La députée de Montarville et ministre de la Culture et des Communications, madame Nathalie Roy, est heureuse d’annoncer que le budget d’acquisition de livres et de documents des bibliothèques publiques autonomes (BPA) de Boucherville et de
Saint-Bruno-de-Montarville augmentera de près de 32% pour s’élever à 266.732$ (176.898$ à Boucherville et 89.834$ à Saint-Bruno-de-Montarville), en 2020-2021. Un taux d’augmentation jamais vu, depuis 15 ans. Par son soutien aux BPA, qui desservent les municipalités de plus de 5000 habitants, le gouvernement du Québec veut enrichir et diversifier l’offre documentaire aux citoyens et faire des bibliothèques publiques des lieux culturels dont ils sont fiers. À l’échelle nationale, l’augmentation du budget d’acquisition de livres et de documents touche 173 BPA et se chiffre à 6M$, ce qui porte l’investissement à 25M$, en 2020-2021. La ministre a également annoncé l’augmentation des budgets des centres régionaux de services aux bibliothèques publiques (CRSBP) de 50%, soit de 1 M$, pour atteindre 3M$, en 2020-2021. Au total, ce sont donc 28M$ qui seront versés au réseau. Les CRSBP, aussi connus sous le nom de Réseau BIBLIO, desservent quelque 650 bibliothèques affiliées. Celles-ci, situées dans les municipalités les moins populeuses de la province, permettent à près d’un million de Québécoises et de Québécois d’avoir accès à une bibliothèque publique de proximité. Pour la députée et ministre Nathalie Roy c’est «Une des priorités de notre gouvernement est d’assurer l’accès à la culture et au savoir à la grandeur du Québec, et nous sommes engagés à le faire à travers ce premier lieu de fréquentation culturelle qu’est la bibliothèque publique. Notre budget historique en culture prévoyait des sommes pour bonifier les
collections des bibliothèques publiques et des centres régionaux de services, et je suis fière de dire que nous avons su préserver ces sommes dans le cadre de la relance en culture. Ce soutien de près de 28 M$ leur permettra de poursuivre leur mission de valoriser la lecture et de la rendre accessible à tous les Québécois. Il aura par ailleurs des retombées positives sur l’industrie québécoise du livre, qui s’ajoutent aux investissements récemment annoncés dans le cadre du Plan de relance» En tant qu’acheteurs institutionnels, les BPA et les CRSBP ont l’obligation d’acquérir leurs livres imprimés auprès de librairies agréées de leur région administrative, à prix courant. Le gouvernement du Québec est heureux de bonifier le soutien qu’il apporte au développement des collections documentaires des bibliothèques publiques québécoises, d’autant que cet investissement représente aussi un appui accru à l’industrie québécoise du livre. LeMontarvillois.com Source: communiqué du gouvernement du Québec Port du masque obligatoire dans les édifices municipaux
et tout les lieux publics fermés de Saint-Bruno À la suite de l’annonce du gouvernement du Québec du 13 juillet, la ville de Saint-Bruno-de-Montarville annonce qu’il sera obligatoire de porter le masque ou le couvre-visage dans les lieux publics fermés et partiellement couverts à compter du samedi 18 juillet. Cette mesure inclut, tous les édifices municipaux : l’hôtel de ville, le pavillon technique, le centre communautaire, la bibliothèque, l’aréna Michael-Bilodeau, les ateliers municipaux, l’écocentre, le centre d’exposition du Vieux Presbytère, le Centre Marcel-Dulude, le chalet Marie-Victorin, le pavillon 1605, rue Montarville, les chalets de parcs. Le pictogramme suivant sera visible à l’entrée des édifices municipaux concernés.
Édifices non municipaux La municipalité rappelle que comme partout au Québec, cette règlementation s’adresse aux personnes de 12 ans et plus, et sera également applicable dans les commerces de vente au détail, les entreprises de services, les établissements de santé, les entreprises de soins personnels, les centres commerciaux, les lieux de culte, les cinémas, les aires d’accueil, halls d’entrée et ascenseurs des édifices à bureaux, les écoles (sauf primaires et secondaires), les restaurants et les transports en commun du territoire. ATTENTION: Le port d’une visière ne pourra pas remplacer le port du masque (couvre-visage) dans les lieux publics intérieurs lorsque celui-ci deviendra obligatoire. La réponse du ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS) est sans équivoque: “Les citoyens qui portent uniquement la visière se verront refuser l’accès aux transports publics et aux commerces parce qu’elle n’offre aucune étanchéité”. Pour plus de détails à ce sujet : quebec.ca/coronavirus
Le port du masque était largement répandu en 1919 (grippe “espagnole”) Continuons d’être responsables La Ville souligne que la prévention des infections est la responsabilité de tous. Elle demande à tous les Montarvilloises et Montarvillois de continuer à suivre les consignes sanitaires du gouvernement du Québec. LeMontarvillois.com Source: communiqué de la Ville de Saint-Bruno-de-Montarville
Une voiture du futur dessiné par un jeune Québécois remporte un prix! Raphaël Beaulieu, adolescent de 11 ans du Québec, est un des trois finalistes d’un concours canadien de dessins de voitures de rêve organisé par Toyota Canada. L’«Urbi et orbi» du jeune Raphaël donne vie au concept «tous ensemble vers l’avant». Commentaire du jury Les véhicules de demain pourraient-ils contribuer à résoudre certains problèmes de santé, d’injustice sociale et d’environnement dans le monde? Si l’on en croit les jeunes Canadiens, la réponse est affirmative. Ils ont partagé nombreux leur vision inspirante en participant au “Concours de dessin de la voiture de rêve Toyota 2020.” Les Canadiens âgés de 15 ans et moins ont été invités à partager leurs rêves concernant la voiture du futur dans le
cadre de ce concours de dessin. Organisé pour la première fois en 2004, ce concours international invite les jeunes artistes, concepteurs et ingénieurs en herbe à partager leurs idées originales sur l’avenir de la mobilité. Plusieurs d’entre eux, bien sûr, se projettent au-delà du transport et cherchent à améliorer le monde. Un jury canadien a eu la tâche d’évaluer les nombreuses œuvres soumises par des enfants de tout le Canada. Trois finalistes ont été choisis dans chacune des trois catégories d’âge, soit les enfants de moins de 8 ans, de 8 à 11 ans, et de 12 à 15 ans. Ils sont présentés ci-dessous par catégorie d’âge : «Ces jeunes Canadiens sont les ingénieurs et les concepteurs de demain, et ils nous impressionnent déjà par leur approche créative pour résoudre les grands enjeux environnementaux, sanitaires et sociaux de la planète. (…) Les véhicules de demain seront très différents de ceux que nous connaissons aujourd’hui. En plus, notre imagination est la seule limite à leurs formes et à leurs fonctions.», a affirmé Larry Hutchinson, président-directeur général de Toyota Canada Inc. et membre du jury de cette année. Lancé en 2004 au Japon, le Concours de dessin de la voiture de rêve Toyota est rapidement devenu un événement international annuel ouvert aux enfants canadiens depuis 2012. Outre Larry Hutchinson, le jury de cette année était composé de Petrina Gentile, journaliste automobile canadienne, auteure et éditrice de livres pour enfants; de Geneviève Godbout, illustratrice canadienne de livres pour enfants; de Buzz Bishop, journaliste, animateur et blogueur; et de Brian Sheppard, VP exécutif et directeur de la création chez Saatchi & Saatchi.
Le concours était ouvert aux enfants de moins de 15 ans. Les participants étaient divisés en trois catégories d’âge et devaient utiliser exclusivement des moyens traditionnels, les œuvres numériques n’étant pas admises. Pour Geneviève Godbout, illustratrice canadienne de livres pour enfants: «C’est la troisième année consécutive que j’ai la chance d’apprécier l’incroyable talent des jeunes et remarquables êtres humains qui ont participé à ce concours. J’ai été touchée par les messages que véhiculent de nombreux dessins, et très impressionnée par la créativité des concepts. Certains de ces enfants ont même réussi à trouver des idées novatrices que je n’avais jamais vues auparavant!» Le concours de cette année s’est déroulé du 14 novembre 2019 au 28 février 2020. Des enfants de tout le Canada y ont participé, en réalisant des soumissions par divers moyens traditionnels, dont la peinture, les feutres et les crayons de couleur. Les finalistes recevront une carte-cadeau en ligne d’une valeur de 250$ de DeSerres. Erratum: Le jeune est originaire de la région de Québec et non pas de Saint-Bruno, tel qu’indiqué initialement. Cette erreur est du à un problème de transcription du communiqué. LeMontarvillois.com Source: communiqué Toyota Canada
Stéphanie Robert-Côté: 2e avis de disparition pour une ado de Saint-Bruno Pour une deuxième fois en quelques mois, le Service de police de l’agglomération de Longueuil, émet un avis de disparition Stéphanie Robert-Côté, une jeune montarvilloise de 15 ans. Elle a été vue pour la dernière fois, le 1 er juillet 2020 en matinée, à Saint-Bruno-de-Montarville. Elle pourrait se trouver à Calgary ou Edmonton. La disparue mesure 165 cm (5 pi 5 po), pèse 45 kg (100 lb), a les cheveux et les yeux bruns et a un perçage à la narine gauche.
Le SPAL sollicite votre aide afin de retrouver cette jeune femme. Toute personne apercevant Mme Robert-Côté est priée de
contacter le 911 immédiatement. FICHE: ROBERT-CÔTÉ, Stéphanie 15 ans Peau blanche 5’5’’ (1 m 65) 45 kg (100 lb) Cheveux bruns Yeux bruns Perçage à la narine gauche S’exprime en anglais et en français LeMontarvillois.com Source: communiqué SPAL Société d’habitation Le Paillasson: Des logements
pour tous les Montarvillois Vincent Fortier, Conseiller,district 2 En avril 2019, le conseil municipal a adopté à l’unanimité une résolution pour réserver un terrain de la rue de l’Hôtel-de- Ville pour la Société d’habitations Le Paillasson afin de lui permettre de construire des logements sociaux. C’est un projet rassembleur qui a été soutenu avec enthousiasme par l’ensemble du conseil en plus de s’inscrire parfaitement dans les orientations de la Politique d’habitation adoptée en 2018. Ce projet est le fruit de plusieurs années d’efforts en plus d’être soutenu par de nombreux partenaires : La Table de solidarité de Saint-Bruno, lieu de concertation où se retrouvent notamment des représentants du milieu du milieu communautaire, de la Ville de Saint-Bruno, du CISSSME, etc. ; Notre députée Nathalie Roy, qui soutient et contribue au projet depuis le début ; Notre député fédéral, monsieur Stéphane Bergeron ; L’agglomération de Longueuil ; La Société d’Habitation du Québec (SHQ), qui gère le programme Accès-Logis, par le financement promis pour la
construction de 28 logements ; La Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL), par le financement initial accordé le 22 mai 2020 au montant de 70 000$ ; Le Centre intégré de santé et de services sociaux de la Montérégie (CISSSME) – 50 000$ pour la sécurité alimentaire afin de financer une cuisine communautaire ; La Caisse Desjardins du Mont-Saint-Bruno par un soutien financier de 28 000$ dans le cadre du programme Développement de logement communautaire afin d’intégrer un ascenseur dans l’immeuble et ainsi assurer l’accessibilité universelle. Sans oublier l’implication des citoyennes et des citoyens bénévoles qui œuvrent pour la Société d’habitations Le Paillasson ainsi que la Ville de Saint-Bruno. Récemment et pour différentes raisons, la ville ne nous recommande plus de déployer ce projet sur le terrain initialement identifié par le service d’urbanisme et recommandé aux élus en avril 2019. Évidemment, un tel revirement me préoccupe. La Ville cherche actuellement un nouvel emplacement et un suivi devrait être fait d’ici la fin de l’été. Je suis préoccupé puisque sans l’appui de la Ville et du conseil municipal au cours des prochains mois, c’est tout le projet qui risque de tomber à l’eau. Les 28 unités qui sont réservées par la SHQ ne pourront pas être retenues éternellement. On doit donc rapidement trouver un terrain alternatif ou faire des compromis en permettant la construction sur le terrain promis en 2019, si bien entendu aucun meilleur emplacement n’est disponible.
Le 12 décembre 2018: rencontre entre des personnes intéressés et des collaborateurs afin de lancer officiellement une nouvelles OSBL en habitation. (1) Pour que des projets de logements abordables se réalisent, le rôle des villes est essentiel. Sans leur appui, il est pratiquement impossible d’y arriver. Les Villes ont la capacité d’encadrer le développement immobilier par diverses mesures et j’ai la profonde conviction que les élus ont la responsabilité de travailler à favoriser l’accès à des logements de qualité pour tous. Nous avons la chance de pouvoir directement contribuer au bien-être de nos semblables et nous devons le faire à chaque fois que c’est possible. Notre rôle au conseil municipal est donc déterminant pour la réussite ou non de ce projet. Nous devons continuer à soutenir Le Paillasson.
Il ne faut pas perdre de vue non plus que le logement est un déterminant majeur pour la santé des gens. Travailler à améliorer l’accès à des logements de qualité, c’est nécessairement contribuer à améliorer la santé des populations avec tous les bénéfices que cela procure tant sur le plan social qu’économique. Par ailleurs, l’analyse sur l’état de l’habitation à Saint- Bruno-de-Montarville, réalisée par un analyste-conseil, et qui a servi de base de réflexion pour l’élaboration de la politique d’habitation, a permis de constater tous les défis que nous avons si nous souhaitons que le développement immobilier ne serve pas qu’à garnir les coffres de la Ville ou à enrichir des entrepreneurs ou des spéculateurs immobiliers, mais aussi à permettre de répondre aux besoins de notre communauté en offrant des logements pour tous les Montarvillois. Vincent Fortier, conseiller municipal, district 2, Comité consultatif sur le milieu de vie, Saint-Bruno-de-Montarville (1) Sur la photo, de gauche à droite: Fateh Mosbah; Chantelle L’Heureux, Chargée de projets au développement, GRT Rive-Sud; Josée Rhoades; Linda Duval, Organisatrice communautaire au CISSSME; Claude Levac, Vincent Fortier, conseiller municipal responsable de l’habitation: Joëlle Labonté; Stéphane Corbin; Alain Dubois; Richard Lépine; Louise Fleischmann
Sur le même sujet: Bilan positif de la première année d’existence de la Société d’habitation Le Paillasson La Société d’Habitation Le Paillasson récipiendaire d’une bourse de $28.000.00 de la Caisse populaire du Mont Saint- Bruno Une enquête démontre la pénurie de logements à Saint-Bruno et dans l’agglo. de Longueuil Assemblée annuelle de la Caisse populaire Desjardins: Une institution au cœur de notre communauté Une nouvelle société d’habitation voit le jour à Saint-Bruno- de-Montarville! Saint-Bruno offrira des activités loisirs cet été! Dans le cadre de la reprise graduelle des activités annoncée par le gouvernement du Québec, la Ville de Saint-Bruno-de- Montarville a annoncé qu’elle offrira certaines activités sportives, communautaires et culturelles au cours de l’été.
Pour les sportifs Tous les cours suivants se dérouleront à l’extérieur et débuteront vers la mi-juillet, pour une durée d’environ six semaines : Golf (pour adultes et pour enfants) HIIT Cardio mix plein air Circuit d’entraînement extérieur Retraités en forme plein air Strech-yoga-abdos en plein air Les dates exactes des cours, les lieux ainsi que les coûts d’inscription sont détaillés sur la page stbruno.ca/activites- de-loisir-ete-2020/. Les inscriptions, obligatoires, auront lieu comme à l’habitude via la plateforme Espace loisir, le 7 juillet, à 12 h 15. Pour les amateurs de danses Également dès la mi-juillet, des cours de danses en plein air seront offerts gratuitement! Hip hop (12 ans et plus) et Zumba (7 ans et plus) auront lieu dans le stationnement de l’hôtel de ville. En raison des mesures de distanciation, 50 places sont
disponibles par séance. Ainsi, cette année, les citoyens devront s’inscrire dès midi la veille de l’activité, sur la plateforme Espace loisir. Pour les jeunes Un Camp Ados est proposé par la Maison des Jeunes (MDJ) aux 11 à 17 ans, du 6 juillet au 21 août. L’inscription est obligatoire auprès de l’organisme. De plus, au cours de l’été, les artistes de 12 à 25 ans seront conviés à soumettre leurs œuvres à la Ville, qui préparera l’Expo-Jeunesse 2020, une exposition virtuelle! De plus, trois bourses de 100 $ seront remises aux gagnants. Les détails seront à venir dans les prochaines semaines. La Ville rappelle également que, tout l’été, les enfants peuvent s’amuser aux parcs récréatifs! Des animateurs amusent vos enfants dans certains parcs de quartier, et ce, gratuitement. Tous les détails se trouvent sur la page stbruno.ca/parcs-recreatifs. Pour les amoureux des arts Dès le 7 septembre, le centre d’exposition du Vieux Presbytère présentera Constellations, de Roberto Pellegrinuzzi. Jusqu’au 18 octobre, cette exposition reprend certaines photographies de l’un des projets antérieurs de l’artiste, où des centaines de milliers de petites photos constituaient un dense nuage. Agrandies à leur limite, elles deviennent légèrement floues, tout comme notre mémoire.
Tous les détails sur les activités mentionnées ci-dessus sont disponibles sur la page de la municipalité stbruno.ca/activites-de-loisir-ete-2020/. Le Montarvillois Source: communiqué de la ville de Saint-Bruno-de-Montarville Non, vous n’êtes pas visuel ou auditif… Pour en finir avec les neuromythes ! Qui n’a pas déjà entendu l’affirmation voulant qu’on utilise seulement 10% de notre cerveau? Qu’écouter la musique de Mozart rend plus intelligent ou que tout se joue avant l’âge de 3 ans? Que les personnes «cerveau droit» sont plus créatives? Une autre idée très répandue prétend que l’on est soit visuel, auditif ou kinesthésique (plus sensible au toucher) et que nous apprenions mieux selon ces «styles»… Toutes ces affirmations sont en fait des neuromythes: des fausses croyances sur le cerveau et l’apprentissage, dont aucune n’est scientifiquement fondée. Bref, vous avez autant de chances de recevoir la visite de la Fée des dents que d’apprendre plus vite à peindre un coucher de soleil soi- disant parce que vous êtes une personne «visuelle»!
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