Genèse d'une association botanique tombée dans l'oubli : la Société Lorraine d'Études Botaniques - CBNFC ORI
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Les Nouvelles Archives de la Flore jurassienne et du nord-est de la France, 15, 2017 Genèse d'une association botanique tombée dans l'oubli : la Société Lorraine d’Études Botaniques par Sébastien Antoine Sébastien Antoine, 65 rue de la Fontaine, F-54230 Chaligny. Courriel : s.antoinebota@gmail.com Résumé – Une présentation historique de l'association Société Lorraine d’Études Botaniques est fournie. Un index des articles publiés dans le Bulletin des Amis des Fleurs, organe de publication de l'association est r se t es do es floristiques co te ues da s les bulleti s so t d taill es le co te te istorique de l'étude de la botanique en Lorraine au début du XXe siècle est brièvement rapporté. Mots-clés : histoire botanique, Les amis des Fleurs, Société Lorraine d’Études Botaniques. Introduction Botaniques datant de l’année 1914. toute une phalange de botanistes Ces bulletins, et par là-même cette (Briard, Desnot, Méline, Bleicher, L ’étude de la botanique association de botanistes lorrains, Berher, etc.), devaient publier une en Lorraine (et ailleurs!) nous étaient complètement incon- troisième édition de la célèbre « Flore passe invariablement par la nus, avis partagé par G.-H. Parent de Lorraine » de Godron (1883). consultation des numéros anciens (comm. pers., 2011) qui, de fait, ne Émile Gallé, le célèbre artiste et des périodiques locaux qui ont l’avait pas fait figurer dans son tra- industriel lorrain élève de Godron, consacré leurs lignes à l’étude de vail (1987). Le dépouillement de participa aussi activement à popu- cette science. Dans ce domaine, ces deux bulletins, ainsi que des lariser le goût de la botanique à tra- la Lorraine, et plus largement le recherches historiques et biblio- vers les arts et industries de toutes nord-est de la France, possèdent graphiques sur cette société bota- sortes. À la suite de cette génération, une histoire d’une grande richesse nique, semblaient donc opportune. le début du XXe siècle fut marqué que peu de régions de France par le travail de jeunes botanistes n’égalent. G.-H. Parent, dans sa qui prirent exemple sur leurs devan- « monumentale » Botanique de ter- Présentation et contexte ciers et s’enthousiasmèrent pour rain dans le district lorrain (1987), historique l’étude de la botanique lorraine. a présenté un inventaire quasiment Jules Garnier, Camille Brunotte, exhaustif de ces périodiques dans Après le décès de Dominique- Paul Durenne, René Maire, Joseph sa dition de travail (district floris- Alexandre Godron en 1880, le Joigny, Constant Breton, Charles tique lorrain) avec des remarques monde de la botanique lorraine Claire et surtout Marcel Petitmengin bibliographiques liées aux tables (nous parlerons ici de la Lorraine s’activeront par leurs nombreux et index ainsi qu’une analyse fine administrativement française dans travaux à élever en peu de temps du contenu botanique des pério- ses limites de 1871-1914) comp- la science botanique lorraine à un diques consultés. Lors de recherches tait un nombre important de bota- très haut niveau de connaissance. bibliographiques menées au Jardin nistes éclairés qui devaient assu- Cependant, un destin funeste devait Botanique de Nancy, nous avons rer une relève prometteuse. Paul s’abattre sur certains d’entre eux. pu consulter deux bulletins publiés Fliche et Georges Le Monnier, Déjà, en 1895, décédait brutale- par la Société Lorraine d’Études secondés dans leurs études par ment Emmanuel Briard, remar- 237
Genèse d'une association botanique tombée dans l'oubli : la Société Lorraine d’Études Botaniques quable botaniste lorrain. En 1901, logue lorrain, ainsi que François- tifique sera créée et la constitution le professeur Bleicher, « apôtre » de Valérie Gerbeaux, horticulteur spé- d’une bibliothèque d’ouvrages rela- Kirschleger et directeur de la faculté cialisé dans la culture des plantes tifs à la botanique sera débutée. » de pharmacie de Nancy, devait dis- vivaces et alpines. Edmond Gain paraître aussi, assassiné dans son et Georges Le Monnier, directeur « Objectif n°2 : la protection du laboratoire. L’année 1904 vit dis- et directeur honoraire du jardin patrimoine botanique lorrain. Des paraître Émile Gallé à 58 ans. Le botanique de Nancy, apporteront actions de sensibilisation sur les décès brutal, en 1908 à seulement aussi leur concours. menaces des plantes seront entre- 28 ans, de Marcel Petitmengin, prises. Une commission de repeu- alors en pleine production scien- plement et de protection sera tifique, devait gravement toucher Organisation du bureau créée pour éviter des actions mal- le monde de la botanique lorraine. heureuses pour la flore comme la En 1910, c’est Camille Brunotte, Président : Émile Nicolas ; vice- construction d’hôtels en place de successeur de Bleicher et excellent président : Victor Prouvé ; vice- plantes rares et aussi prévenir l’ar- botaniste, pionnier de l’étude de la président : Jules Garnier ; secré- rachage exercé par les horticulteurs flore halophyte lorraine et auteur taire : Louis Godfrin ; secrétaire qui proposaient sur les marchés de de nombreuses publications sur la adjoint : Mme Ganzinotti ; tré- Nancy des nivéoles, des narcisses, flore des Hautes-Vosges, qui devait sorier : M. Letrillard ; conseil- des daphnés, des anémones pulsa- succomber à seulement 50 ans. En lers : Boulangé, Gerbeau, Guerin, tilles, des orchidées. L’accent sera seulement quinze ans, la Lorraine Gruber, Dr Jacques, Mougenot, mis sur la protection de la flore lor- avait perdu de façon prématurée Dr Raoult, J. Reutinger, Charles raine et la propagation de plantes cinq de ses plus actifs botanistes. En Sadoul, Dr Thiry. rares et protégées. » 1913, c’est dans le milieu des bota- nistes « orchidophiles » nancéiens, « Objectif n°3 : étude de toutes les anciens élèves d’Émile Gallé, que Liste des commissions et sciences naturelles qui ont des liens naît l’idée de regrouper les bota- objectifs avec la botanique. » nistes lorrains au sein d’une asso- ciation (anonyme, 1914). Ce vœu Les « Amis des Fleurs » se fixèrent « Objectif n°4 : l’organisation de de la création d’un groupement de des objectifs très pertinents et encore conférences, herborisations et botanistes lorrains avait été for- d’actualité de nos jours. Ils consti- séances de détermination. Un bul- mulé dès 1890 par l’abbé Félicien tuèrent de nombreuses commissions letin (figure 1) relatera les actes Gérard (Gérard, 1890). Un grand qui étaient le reflet de leurs préoc- de la société et insérera des études nombre des membres fondateurs cupations botaniques et naturalistes. écrites par ses membres. Trois com- seront issus du mouvement artis- Nous remarquerons que la pro- missions organiseront cet objectif : tique de l’École de Nancy, chef de tection des plantes est un objectif une commission d’études artis- file du mouvement Art-Nouveau. principal de l’association. En effet, tiques avec la constitution d’un Nous trouverons Émile et Paul l’objectif n°2 met la protection des herbier photographique de la flore Nicolas, respectivement critique plantes en exergue. De même, aucun lorraine, une commission d’étude d’art et artiste, Victor Prouvé, des domaines de la botanique n’est botanique à l’école et une commis- peintre, sculpteur et graveur de oublié et une large part est consa- sion des excursions avec la proposi- grande renommée, Letrillard, aqua- crée à la vulgarisation et à l’amé- tion d’organiser des herborisations relliste, Jules Déon, artiste bijoutier lioration des connaissances scien- (environs de Toul, Vosges gréseuses, et Jacques Grüber, maître verrier tifiques. Nous citons ici les diffé- Pagny-sur-Meuse, Hohneck, vallée et ébéniste. Le monde de la phar- rents objectifs tels qu’ils ont été de Celle) (figure 2). » macie sera aussi bien représenté publiés dans les statuts de l’asso- par Jules Garnier, ancien camarade ciation (anonyme, 1913). de Marcel Petitmengin, et Louis Données floristiques Godfrin. L’association comptera « Objectif n°1 : étude et propagation aussi dans ses rangs de nombreuses de toutes les connaissances relatives Nous présentons ici les données flo- personnalités nancéiennes comme à la flore lorraine. Dans cet objec- ristiques contenues dans les deux Charles Sadoul, écrivain et ethno- tif une commission d’étude scien- bulletins disponibles des Amis des 238
Les Nouvelles Archives de la Flore jurassienne et du nord-est de la France, 15, 2017 Figure 2 : photo d'une excursion de la Société d’Études Botaniques à Pompey Figure 1 : couverture (54) en 1913, première personne à du bulletin n°2 des gauche : Victor Prouvé ; au centre, a is des fleurs or Émile Nicolas. notamment par un Ophrys dessiné par Letrillart, 1914. fleurs. Malgré leur faible nombre, • Cardamine heptaphylla (Vill.) • Dianthus superbus L. - « Notre elles constituent un complément O.E.Schulz (cité comme Dentaria dernière herborisation eut lieu le intéressant pour l’étude de la flore pinnata) - « Vallée de l’Ache, il se 25 juillet à la forêt de Vitrimont. lorraine. Quelques corrections ortho- trouve en grande quantité, dans un Ce coin a de grandes affinités avec graphiques ont été apportées aux bois rocailleux, rocheux, au bord la flore vosgienne. Qu’il nous suf- documents initiaux. de cette rivière avant d’arriver à fise de rappeler les Erica (sans Gezoncourt (côté droit en remon- doute Calluna vulgaris ! ndl.), les • Amaranthus retroflexus L. - tant) » (Renaud, 1914). Pteris aquilina, l’Osmunda regalis, « N’est pas rare dans notre région, mais les échantillons que j’ai recueil- Remarque : existe encore sur le site Comarum palustre, Dianthus super- lis à Dombasle dans un terrain à l’endroit exact de la station citée bus, etc. » (Nicolas, 1914). vague, près du canal à proximité (observation de l’auteur, 2016). Remarque : plante protégée en de l’entrée des Salines de la Société Lorraine, encore présente en forêt de Rosières-Varangéville, étaient remarquables par leurs dimensions • Comarum palustre L. -« Notre de Vitrimont (Muller, 2006). dernière herborisation eut lieu le et leurs vigueurs ». (Renaud, 1914). 25 juillet à la forêt de Vitrimont. • Epipactis palustris (L.) Crantz - Ce coin à de grandes affinités avec « Les vieilles carrières de Maxéville • Amelanchier vulgaris Moench. - la flore vosgienne. Qu’il nous suf- sont des plus curieuses à visiter au « tandis que les plus hardis se dirigent fise de rappeler les Erica (sans point de vue botanique ; quant aux vers le sommet des falaises, à la doute Calluna vulgaris ! ndl.), les prairies humides des fonds Saint recherche de l’amélanchier qui est en pleine floraison à cette saison » Pteris aquilina, l’Osmunda regalis, Barthélemy, elles sont des plus (Nicolas, 1914). Comarum palustre, Dianthus super- riches en graminées, carex, sans bus, etc. » (Nicolas, 1914). compter l’Epipactis palustris qui Remarque : plante protégée en abonde. » (Nicolas, 1914). Lorraine, la station existe toujours Remarque : à rechercher, il s’agirait sur le site (observation de l’au- d’une des rares stations de Comarum Remarque : ne semble pas avoir été teur, 2015). palustre en Meurthe-et-Moselle ! revue sur le site. 239
Genèse d'une association botanique tombée dans l'oubli : la Société Lorraine d’Études Botaniques • Eragrostis poaeoides auct. (cité Remarque : cette donnée com- • Pteris aquilina L. - « ibid » comme Eragrostis poaeoides) - « Dans plète les anciennes localisations (Nicolas, 1914a) cette presqu’île de la Moselle a été de ce taxon relevées en Lorraine ; Remarque : encore bien présent déposé un amas de scories sur lequel il s’agit d’une plante actuellement dans la station indiquée de la Forêt quelques plantes réussissent à pous- protégée en Lorraine. de Vitrimont. ser... il s’y trouve Eragrostis poaeoides, jolie petite graminée en voie de naturalisation » (Renaud, 1914). • Osmunda regalis L. - « Notre • Senecio sarracenicus L. (cité dernière herborisation eut lieu le comme Senecio fluviatilis) - « S’est Remarque : en l’absence de maté- 25 juillet à la forêt de Vitrimont. répandu sur les bords de la Moselle, riel de référence, le statut de cette Ce coin à de grandes affinités avec à Frouard, se trouve surtout en abon- découverte reste ambigu ; néan- la flore vosgienne. Qu’il nous suf- dance dans la presqu’île formée par moins, il s’agit dans tous les cas fise de rappeler les Erica (sans le confluent de cette rivière avec la d’une observation à noter pour doute Calluna vulgaris ! ndl.), les Meurthe et toujours du côté de la d’éventuelles nouvelles prospections. Pteris aquilina, l’Osmunda regalis, Moselle. » Comarum palustre, Dianthus super- Remarque : il s’agit d’une plante • Lythrum hyssopifolia L. - « Le bus, etc. » (Nicolas, 1914). rare et protégée en Lorraine (Muller, plus grand des hasards m’a fait 2006). trouver Lythrum hysopifolium à Remarque : plante protégée en Dommartin-les-Toul, à l’endroit Lorraine (Muller, 2016), encore • Sium latifolium L. - « Dans même où l’on édifiait le nouveau présente de nos jours sur les sta- l’Orne, près de Labry et plus loin quartier de cavalerie. Il est à sou- tions citées (Parent, 1997). en descendant, Sium latifolium qui haiter que d’autres stations de cette s’y trouve en abondance » (Renaud, plante existent dans les environs car • Parietaria judaica L. (cité 1914). celle où je l’ai trouvée fut détruite comme Parietaria diffusa) - « En par les travaux. » (Renaud, 1914). septembre, j’ai trouvé en pleine flo- Remarque : cette donnée est extrê- raison Parietaria diffusa à Pont-à- mement intéressante et mériterait • Matricaria discoidea DC. - Mousson, poussant sur les vieilles d’être recherchée au vu de la rareté « Matricaria discoidea, qui est indi- murailles du quartier de cavalerie de ce taxon en Lorraine ! quée dans l’ouvrage cité plus haut et de l’école supérieure, bord de (Godfrin & Petitmangin, 1909) la Moselle, à gauche en aval. Il en • Vicia pisiformis L. - « Se trouve comme étant en voie de naturali- existe là une assez importante sta- sur la ligne du Suburbain, plus bas sation en particulier sur les rives de tion » (Renaud, 1914). que la maison forestière » (Renaud, la Moselle, existe dans les terrains 1914). vagues des villages des environs de Remarque : la station citée corres- Conflans-Jarny, Labry, etc. Cette pond à l’observation de Nicolas plante pousse même à Verdun, en Georges qui la relevée en 1996 et Fin de l’association ville rue d’Isly. » (Renaud, 1914). 2012 à deux endroits différents (Atlas en ligne de la flore de Lorraine, Le déclenchement du premier conflit Remarque : il est intéressant de mondial devait annoncer la dispari- consultation 2017). constater la relative rareté de cette tion de la Société Lorraine d’Études plante xénophyte au début du XXe Botaniques. Des membres actifs de siècle par rapport à sa situation • Petasites hybridus (L.) G.Gaertn., l’association, comme Joseph Joigny, actuelle où elle est commune sur B.Mey. & Scherb. (cité comme sont morts au champ d’honneur. l’ensemble du territoire lorrain. Petasites officinalis) - « une des Après la guerre, le départ de Lorraine plus belles stations de Meurthe- de Jules Garnier et la dispersion d’un • Nymphoides peltata (S.G.Gmel.) et-Moselle est celle du ruisseau grand nombre de ses membres mettra Kuntze (cité comme Villarsia nym- de Monteauville près de Pont-à- fin à ce groupement de botanistes. phoïdes) - « À Hatrize, sous le pont, Mousson ; on en trouve également Seul Émile Nicolas restera profon- il existe dans l’Orne une belle à Messein » (Garnier, 1914). dément actif dans le domaine de la station de Villarsia nymphoïdes » botanique lorraine et continuera à (Renaud, 1914). publier des notes floristiques. 240
Les Nouvelles Archives de la Flore jurassienne et du nord-est de la France, 15, 2017 Articles contenus dans des Amis des Fleurs. Société Lorraine # Remerciements : nous remer- d’Études Botaniques, 2 : 25-27. cions G-H. Parent (†) pour ses le bulletin des « Amis informations et ses conseils. des Fleurs » Nicolas Émile, 1914. Notes Bibliographiques. Bulletin des Amis Dans l’objectif de compléter la des Fleurs. Société Lorraine d’Études bibliographie botanique lorraine, Botaniques, 1 : 14-17. Bibliographie nous présentons la liste détaillée des articles publiés dans le Bulletin des Renaud M., 1914. L’activité bota- Amis des Fleurs, organe de communi- nique lorraine en 1913. Bulletin Anonyme, Atlas en ligne de la Flore de Lorraine, consultation Décembre cation écrite de la Société Lorraine des Amis des Fleurs. Société Lorraine 2017. http://www florai e et d’Études Botaniques. d’Études Botaniques, 1 : 13-14. Anonymes, 1913. Les Amis des Anonyme, 1914. Notre couverture. Thiébault A., 1914. De la manière Fleurs, Société Lorraine d’Études Bulletin des Amis des Fleurs. Société Botaniques. Statuts de l’association, de procéder pour un collectionneur sans pagination. Lorraine d’Études Botaniques, 1 : 17. qui veut se composer un herbier. Anonyme, 1914. Notre couverture. Anonyme, 1914. Nos sociétaires. Bulletin des Amis des Fleurs. Société Bulletin des Amis des Fleurs. Société Bulletin des Amis des Fleurs. Société Lorraine d’Études Botaniques, 1 : 7-11. Lorraine d’Études Botaniques, 1 : 17. Lorraine d’Études Botaniques, 1 : 17. Fliche P., & Le Monnier G., 1883. Flore Thiébault A., 1914. Angles diffé- Anonyme, 1914. Notre carte. de Lorraine, d’après D.-A. Godron, rents sous lesquels sont placés en 3e éd. Nicolas Grosjean, libraire- Bulletin des Amis des Fleurs. Société Lorraine d’Études Botaniques, 2 : 30. pleine nature le promeneur et l’ama- éditeur, 2 vol. 506 p. teur des plantes. Bulletin des Amis Garnier J., 1914. Les pétasites. Bulletin Anonyme, 1914. Bibliographie. des Amis des Fleurs. Société Lorraine des Fleurs. Société Lorraine d’Études Bulletin des Amis des Fleurs. Société d’Études Botaniques 1 : 1-3. Botaniques, 2 : 22-24. Lorraine d’Études Botaniques, 2 : 30. Gérard F., 1890. Notes sur quelques Garnier Jules, 1914. Les Petasites. plantes des Vosges, additions et recti catio s. Revue de Botanique. Bulletin des Amis des Fleurs. Société Conclusion Bulletin Mensuel de la Société Lorraine d’Études Botaniques, 1 : 1-3. Française de Botanique 8 : 51-240, Il peut paraître surprenant qu’une 449-471. Garnier Jules, 1914. La Botanique en Lorraine. ‘’Bulletin des Amis des société botanique ayant publié un Godfrin J. & Petitmangin M., 1909. Fleurs’’. Société Lorraine d’Études Flore analytique de Poche de la bulletin, organisé des sorties bota- Lorraine et des Contrées limitrophes. Botaniques, 2 : 28-30. niques et ainsi participé à la vie aris aloi e et ls Martin Paul, 1914. L’image des fleurs. sociale et scientifique de la Lorraine Muller S., 2006. Les plantes protégées Bulletin des Amis des Fleurs. Société ait pu échapper jusqu’ici à l’atten- de Lorraine. Distribution, écologie, Lorraine d’Études Botaniques, 2 : 27. tion des botanistes contemporains. conservation. Biotope, Mèze, (Collection Parthénope), 376 p. Nicolas Émile, 1914. Nos Excursions Pourtant, il semble que nous nous Nicolas E., 1914. Nos Excursions en en 1913. Bulletin des Amis des Fleurs. trouvions devant ce cas de figure. 1913. Bulletin des Amis des Fleurs. Société Lorraine d’Études Botaniques, Cela démontre avant tout l’intérêt Société Lorraine d’Études Botaniques 1 : 4-6. des recherches bibliographiques et 1 : 4-6. Nicolas Émile, 1914. L’activité bota- historiques sur le sujet. Nous espé- Parent, G.H., 1987. La botanique nique lorraine en 1913. Bulletin rons que la mise en lumière de cette de terrain dans le district lorrain. Vol. 1: 1. Historique. Inventaires de des Amis des Fleurs. Société Lorraine association permettra à l’avenir de au e et de flore asc d’Études Botaniques, 1 : 10-13. compléter l’étude historique de la Parent, G.H., 1987. La botanique de Nicolas Émile, 1914. La Botanique botanique lorraine. Les deux bulle- terrain dans le district lorrain. Vol. 2: et l’Art Décoratif. Bulletin des Amis tins publiés par la Société Lorraine 2. Bibliographie, 3. Biographies. des Fleurs. Société Lorraine d’Études n entaires de aune et de flore, d’Études Botaniques reposent dans fasc. 38, S. 471-933. Botaniques, 2 : 18-21. le fond documentaire du Jardin Parent, G.H., 1997. Atlas des Nicolas Émile, 1914. L’utilisation de Botanique de Nancy et y sont Ptéridophytes des régions lorraines la plante dans la bijouterie. Bulletin consultables sur demande. et vosgiennes, avec les territoires 241
Genèse d'une association botanique tombée dans l'oubli : la Société Lorraine d’Études Botaniques adjacents. ra au scientifiques du Renaud M., 1914. L’activité botanique Musée National d’Histoire Naturelle lorraine en 1913. Bulletin des Amis de Luxembourg 25, 304 p. des Fleurs. Société Lorraine d’Études Botaniques 1 : 13-14. 242
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