Heptaméron, MC 2: 19 20 - récits de la chambre obscure - MC2: Grenoble
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MC 19 Théâtre / Musique 2: 20 Heptaméron, récits de la chambre obscure Mise en scène Benjamin Lazar Direction musicale Geoffroy Jourdain D’après L’Heptaméron de Marguerite de Navarre 10 - 11 mars
Mise en scène Scénographie Production Maison de la Culture d’Amiens – Pôle Benjamin Lazar Adeline Caron européen de création et de production Direction musicale Costumes (production déléguée) Compagnie Le Théâtre de l’Incrédule Geoffroy Jourdain Adeline Caron Les Cris de Paris D’après L’Heptaméron de Julia Brochier Coproduction Marguerite de Navarre Lumières Théâtre de Liège DC&J Création avec et la musique de Mael Iger le soutien du Tax Shelter du Claudio Monteverdi Maquillages et coiffures Gouvernement fédéral de Belgique et de Inver Tax Shelter Luca Marenzio Mathilde Benmoussa MC2: Grenoble Benedetto Pallavicino Images Trident – Scène nationale de Cherbourg-en-Cotentin Carlo Gesualdo Joseph Paris Théâtre de Caen Michelangelo Rossi Assistant mise en scène Opéra de Reims Biagio Marini et dramaturge En partenariat avec le Centre des Arts Tristan Rothhut d’Enghien-les-Bains – scène Avec conventionnée Fanny Blondeau Avec le soutien de la ViIlette, Paris et Geoffrey Carey de la Spedidam Malo de La Tullaye Décor et costumes réalisés dans les ateliers du Théâtre de Liège Et Les Cris de Paris Le Théâtre de l’Incrédule bénéficie du Virgile Ancely soutien du Ministère de la Culture – DRAC de Normandie. Anne-Lou Bissières Les Cris de Paris sont aidés par le Stéphen Collardelle Ministère de la Culture - DRAC Damien Ferrante d’Île-de-France, la Région Île-de- France et la Ville de Paris. Ils sont Marie Picaut soutenus par la Fondation Bettencourt Luanda Siqueira Schueller et par Mécénat Musical Société Générale. Les Cris de Paris Michiko Takahashi bénéficient également d’un soutien Ryan Veillet annuel de la Sacem et de Musique Nouvelle en Liberté. « Dans ce jeu de miroirs autour d’un centre vide, se lit une question existentielle, parfois inquiète, mais aussi une recherche d’harmonie entre les êtres, même éphémère, le temps d’un madrigal. ». Benjamin Lazar Propos recueillis par Catherine Robert mar 10 mars 20h30 Salle Georges Lavaudant durée 1h50 mer 11 mars 19h30
Dans L’Heptaméron, une compagnie d’hommes et de femmes, confinés par des pluies diluviennes, se remémorent et se content des histoires véritables. La langue précise et raffinée de Marguerite de Navarre, dont c’est l’œuvre inachevée et posthume, dessine un paysage où se mêlent mélancolie, humour et violence du désir. Ces récits de la chambre obscure s’enchevêtrent ici à des récits actuels et des madrigaux italiens, tissant des ponts inattendus entre la voix parlée et la voix chantée, entre le XVIème siècle et le nôtre, et entre l’espace du rêve et la réalité. Note d’intention « Marguerite de Navarre, sœur de situation de cette réunion de conteurs pour François 1er, a laissé une grande œuvre créer un espace à la frontière de plusieurs poétique et théâtrale, aujourd’hui méconnue. mondes et de plusieurs époques. La scène L’Heptaméron, qu’initia sa découverte du évoque la chambre obscure du peintre mais Décaméron de Boccace raconte comment aussi celle de l’imagination et de la mémoire. un groupe d’hommes et de femmes, C’est une chambre d’échos où se mêlent et alors confinés par des pluies diluviennes, se répondent les écrits de Marguerite de se narrent chaque jour des histoires Navarre, une histoire du Décaméron, des vraies, ou prétendues telles. Celles-ci récits actuels, et des madrigaux italiens. sont parfois drôles, souvent charnelles, Marguerite observe ce monde qu’elle a créé presque toujours cruelles et tragiques. La et recrée sous nos yeux ; un visiteur imprévu puissance incontrôlable du désir les traverse. se présente, on ne sait qui rêve qui, et l’on se L’intelligence de Marguerite de Navarre promène entre le rêve et la réalité comme sur se sent autant dans son style que dans une un anneau de Moebius à une seule face. » conception très moderne de l’homme et des forces inconscientes qui le font agir. Ces Benjamin Lazar récits de la chambre obscure s’inspirent de la Benjamin Lazar Metteur en scène Metteur en scène et comédien, Benjamin Lune d’après Cyrano de Bergerac, Les Amours Lazar lie la musique et le théâtre depuis ses tragiques de Pyrame et Thisbé de Théophile premiers spectacles. En 2004, sa mise en de Viau, Cachafaz d’Oscar Strasnoy et Copi, scène du Bourgeois Gentilhomme, dans la Pantagruel de Rabelais avec Olivier Martin- production du Poème Harmonique, incluant Salvan, Le Dibbouk ou entre deux mondes tous les intermèdes et ballets de Lully, de Shalom An-Ski, Traviata / Vous méritez rencontre un très grand succès public et un avenir meilleur d’après l’œuvre de Verdi, critique. En 2006, il fonde sa compagnie Le Phaéton de Lully avec le Poème Harmonique. Théâtre de l’Incrédule. Il y crée notamment L’Autre Monde ou les États et Empires de la
Geoffroy Jourdain Directeur musical Geoffroy Jourdain s’implique très tôt dans Jourdain écrit avec Les Cris de Paris un la direction d’ensembles vocaux et fonde, parcours singulier dans le paysage musical alors qu’il est encore étudiant, Les Cris de français et international, explorant avec la Paris. D’abord conçu comme un chœur même exigence enthousiaste le répertoire de chambre, cet ensemble est rapidement baroque (CD Vivaldi ; Les orphelines de Venise reconnu pour l’audace de son projet – 2016, éditions Ambronay), la musique artistique et son investissement en faveur contemporaine (CD IT– 2017, NoMad de la création contemporaine. Au gré de Music) ou les traditions orales (L’Ailleurs projets de création novateurs, en s’associant de l’autre, spectacle mis en scène par Aliénor à des metteurs en scène, des comédiens, des Dauchez - 2018). chorégraphes, des plasticiens, Les Cris de Paris se transforment progressivement en Les Cris de Paris sont désormais représentés une compagnie polymorphe dédiée à l’art par le Label discographique Harmonia vocal. De l’ensemble vocal soliste aux effectifs Mundi (CD Melancholia - 2018 ; Passions - associant chœurs et orchestre, Geoffroy parution en 2019). Mot du directeur musical Au tournant des XVIème et XVIIème siècles, le Marenzio, Gesualdo et bien sûr Monteverdi. genre du madrigal, le plus souvent élaboré à D’autres moins connus ont cependant cinq parties vocales, constitue le laboratoire produit des merveilles tels que Marini, exubérant dans lequel l’avant-garde musicale Pallaviccino et Rossi. Pour répondre aux invente l’opéra. La musique est désormais histoires de la chambre obscure, les chanteurs au service des passions de l’âme, elle puise des Cris de Paris, également instrumentistes dans la musique populaire, la danse, et fait (cor, violon, basson, hautbois, violoncelle…) de poèmes des drames-miniatures rivalisant usent de ce répertoire comme d’une palette, d’inventions formelles et de modernité, allant insérant tantôt des madrigaux entiers, tantôt souvent plus loin que ce que se permettra laissant paraître dans leurs fragments le passage du temps et du silence. la forme opératique. Parmi les grands compositeurs de madrigaux, on compte Geoffroy Jourdain
Liste des madrigaux Claudio Monteverdi (1567-1643) Carlo Gesualdo (1566-1613) Non m’è grave il morire - extrait Mercè grido piangendo - extrait Si ch’io vorrei morire Già piansi nel dolore T’amo mia vita - extrait A Dio Florida bella - extrait Michelangelo Rossi (ca. 1601-1656) Zefiro torna Or che la notte (prima parte) Interrotte speranze - extrait Toccata settima - extrait Ardo e scoprir - extrait Biagio Marini (1594-1663) Luca Marenzio (1553-1599) Pretirata opus 22 Baci affamati Benedetto Pallavicino (ca.1550-1601) A poco a poco Textes et traductions des madrigaux Traduction Geoffroy Jourdain Mentre vaga Angioletta Lorsque la belle enfant Ogni anima gentil cantando alletta, attire, en chantant, toute âme noble, Corre il mio core, e pende mon cœur accourt, et se suspend Tutto dal suon del suo soave canto ; tout entier au son de son chant suave. E non so come intanto, (…) Alors, je ne sais comment, (…) Zefiro torna, e'l bel tempo rimena, Zéphir revient, et il ramène le beau temps, e i fiori e l'erbe, sua dolce famiglia, et les fleurs et les herbes, sa douce famille ; e garrir Progne, e pianger Filomena, & les gazouillements de Progné, et les plaintes e primavera candida e vermiglia. de Philomèle; Ridono i prati, e'l ciel si rasserena ; et le printemps candide et vermeil. Giove s'allegra di mirar sua figlia ; Les prés rient et le ciel se rassérène ; l'aria, e l'acqua, e la terra è d'amor piena ; Jupiter se réjouit de voir sa fille ; ogni animal d'amar si riconsiglia. (…) l'air et l'eau, et la terre, tout est plein d'amour ; tous les animaux se remettent à aimer. (…) Già piansi nel dolore ; J’ai jadis pleuré de douleur, ór gioisce il mio core A présent mon cœur se réjouit. perché dice il ben moi : car mon bien m’a dit : “Ardo per te ancor io.” « Je brûle encore pour toi » Fuggan dunque le noie Tous mes tourments ont donc fui, e’l tristo pianto et la triste plainte omai si cangi désormais se mue in dolce e lieto canto. en doux et joyeux chant.
(...) Quinci e quindi confuso un suon s'udia (…) De-ci de-là s'entendait un son confus Di sospiri, di baci e di parole. (...) de soupirs, de baisers et de paroles. (…) *** *** Baci affamati e ingordi, Baisers affamés et passionnés, ai cui misti diletti de vos délices entremêlés, né mai si sazia Amor, né mai respira, jamais Amour n’est rassasié, jamais ne s’interrompt ; tu dente avido mordi dent, tu mords avidement, e tu lingua saetti. langue, tu dardes ses flèches. In tanto il guardo mira Alors que le regard observe, ed intorno s’aggira, et tourne alentour, e mentre ognun pur vuole et tandis que chacun veut mordere e sospirare, mordre et soupirer, e vedere e baciare, et voir et embrasser, baci, morsi, sospir, sguardi, parole baisers, morsures, soupirs, regards, paroles fan sì dolce concento font une si douce harmonie che vista’l Ciel intento. que le ciel en est comblé. - A Dio Florida bella, il cor piagato - Adieu, belle Florida, mon cœur blessé, nel mio partir ti lascio e porto meco je te le laisse en partant et j'emporte avec moi la memoria di te si come seco le souvenir de toi, comme avec lui cervo trafitto suol lo strale alato. le cerf transpercé porte la flèche ailée. - Caro mio Floro a Dio, l'amaro stato - Mon cher Floro, adieu, que de cet état amer consoli amor del nostro viver cieco de nos vies aveugles l'amour nous console. Che s'el tuo cor mi resta il mio vien teco Si ton cœur reste avec moi, le mien va avec toi, Com'augellin che vola al cibo amato. (…) comme le petit oiseau qui vole vers la nourriture aimée. (…) *** *** (…) « T’amo mia vita » la mia vita sia. (…) Que “Je t’aime, toi, ma vie” soit toute ma vie. *** *** Lagrimar per pietá de lagrimar per pietà de Pleurer de pitié de pleurer de pitié de pleurer de lagrimar… pitié… A poco a poco io sento Peu à peu je sens Che m'uccide il tormento que me tuent le tourment E Ie crudeli angosce et les cruelles angoisses. Datemi, ohimè, da chi non Ie conosce. Qu’on me mène, hélas, auprès de celle qui les ignore. Deh ormai vi faccia, o Donna, accorta Amore De grâce, qu’Amour vous informe, Madame, Del vostro lungo errore, de votre erreur sans fin, E quel ch'a voi non può mia lingua dire et que le martyre que ma langue ne peut avouer, Leggetemi nel volto il mio martire. vous puissiez le lire dans mon visage.
Ardo e scoprir, ahi lasso, io non ardisco Je brûle, et n’ose pas montrer, hélas, e quel che porto nel sen, rinchiuso ardore, ce que je porte dans mon sein d’ardeurs cachées, e tanto più dolente ogni hor languisco et d’autant plus souffrant languis à tout moment, quanto più sia celato il mio dolore. (…) qu’au plus profond ma douleur reste celée. (…) *** *** Interrotte speranze, eterna fede, Espérances déçues, foi éternelle, fiamme e strali possenti in debil core ; flammes et puissants désirs logent dans mon nutrir sol di sospir un fero ardore, cœur fébrile ; e celar il suo mal quand’altri il vede ; nourrir de seuls soupirs une violente passion, seguir di vago e fuggitivo piede et taire son mal devant autrui l’orme rivolte a volontario errore ; lorsque, suivant la trace des pas de celle perder del seme sparso e’l frutto e’l fiore qu’on aime, e la sperata al gran languir mercede (…) ils ne nous mènent hélas nulle part ; perdre et le fruit et la fleur de ses attentes, et languir en vain après avoir tant espéré (…) (…) Ahi, car’e dolce lingua (…) (…) Ah, chère et douce langue (…) *** *** Sí ch'io vorrei morire ora che bacio, Amore, Comme j’aimerais mourir à l’instant où j’embrasse, la bella bocca del mio amato core. Amour, Ahi, cara e dolce lingua, datemitant'umore, la belle bouche de mon cœur bien-aimé. che di dolcezz'in questo sen m'estingua! Ah, chère et douce langue, donne-moi assez de sève Ahi, vita mia, a questo bianco seno, pour que je disparaisse dans la douceur de ce sein. deh, stringetemi fin ch'io venga meno! Ah, ma vie, contre ce sein blanc, Ahi bocca, ahi baci, ahi lingua, torn'adire: ah, serre-moi jusqu'à ce que je m’évanouisse ! «Sí ch'io vorrei morire.» (…) Ah, bouche, ah, baiser, ah, langue, je le redis : « Comme j’aimerais mourir. » (…) Or che la notte ogni color nasconde Tandis que la nuit obscurcit chaque couleur Agli occhi infermi de l'umana gente, pour les yeux infirmes de la gent humaine, Volvesi il Cielo in se tacitamente, le ciel évolue en silence sur lui-même, Cessano i venti e giace il mar senz'onde. les vents cessent, la mer gît sans vagues. Sù per le rive e per l'ombrose fronde Sur les rives, dans les boccages ombragés, Di vari augelli il pianto non si sente, la plainte des oiseaux ne se fait pas entendre ; Tacesi in ogni campo, eco dolente tout se tait dans les champs, nul écho plaintif A' dolorosi accenti non risponde. (…) ne répond à de douloureux accents. (…) Zefiro torna (suite) Ma per me, lasso !, tornano i più gravi sospiri, Mais pour moi, hélas ! reviennent plus pesants che dal cor profondo tragge les soupirs que tire du plus profond de mon cœur quella ch'al ciel se ne portò le chiavi ; celle qui en emporta les clefs au ciel. e cantar augelletti, e fiorir piagge, Et les oiselets chantant, et les coteaux qui fleurissent, e'n belle donne oneste atti soavi et les belles dames honnêtes au suave maintien, sono un deserto, e fere aspre e selvaggie. sont un désert, et des bêtes cruelles et sauvages. T’amo mia vita (…) Je t’aime, ma vie (…) Lagrimar per pietá de lagrimar per pietà de Pleurer de pitié de pleurer de pitié de pleurer lagrimar… (…) de pitié… (…) « Mercè ! » grido piangendo «Pitié !» crié-je en pleurant. Ma chi m’ascolta ? Mais qui m’écoute ? Ahi lasso! Io vengo meno. Hélas ! Je succombe. Morrò dunque tacendo. (…) Ainsi donc devrai-je mourir muet. (…) « Io moro ». « Je meurs. »
Prochainement Marys' à minuit De quoi hier & Valletti Circus sera fait THÉÂTRE Texte Texte Le Grand théâtre Serge Valletti Barbara Métais- d’Oklahama Mise en scène Chastanier Catherine Marnas Mise en scène Alain Timár Marie Lamachère Hauts en couleurs, les personnages Dans un contexte de crise écolo- créés par Serge Valletti sont surtout gique et d’aggravation des inéga- et avant tout plein d’humanité. En lités, l’avenir des mégalopoles et monologue ils se confient sans pu- autres centres urbains se réduit-il deur, nous racontent leurs rêves, à la certitude du pire ? Construite leurs espoirs… leur désespoir aussi comme une fiction d’anticipation, parfois. Les textes sont incisifs mais la pièce suit le trajet de sept per- sonnent toujours vrai. Peut-être sonnages, autant de vies possibles, parce qu’ils sont sans détour, sans envoyées dans l’avenir comme pour chichis, et donnent la parole à ceux le sonder et nous tendre en miroir trop souvent laissés dans l’oubli. l’image, inédite, de futurs qui s’in- Dans son circus, l’auteur vous invite venteraient ailleurs que dans la ca- à la rencontre de « petits gens » aus- tastrophe. En déployant des futurs si attendrissants que perspicaces, alternatifs – ceux de la décroissance, pour trois solos assurément plein de la bio-région, de l’agriculture ur- de vie : Marys' à minuit, Pour Bobby baine, de la ville-refuge –, la pièce et À plein Gaz. imagine des chemins meilleurs. Mise en scène Théâtre Théâtre Madeleine Louarn Marys' à minuit 18-20 mars Jean-François Auguste 11-14 mars Pour les curieux Texte Valletti Circus Rencontre avec l'équipe Librement inspiré des (Marys' à minuit + Pour Bobby + À plein gaz) artistique à l'issue de la œuvres de Franz Kafka représentation 13-14 mars → jeudi 19 mars 24-26 mars Pour les curieux Lectures en tête à tête Exposition v Installez-vous dans les Bar "La Cantine" transats à La Cantine et laissez-vous porter par les États d’âmes Pour vous restaurer avec des soupes et tartes maison, salades et en-cas textes de Valletti → 1h avant chaque Découvrez l'exposition de salés, desserts, boire un verre chaud ou frais, avec ou sans alcool, seul-e représentation Charlotte Audureau dans ou à plusieurs, grandes tablées ou guéridons, rencontrer les artistes, le hall de la MC2 du 11 février le bar "La Cantine" et son équipe Rencontre avec Serge Valletti au 9 avril. Entrée libre. vous accueillent dès 18h* ou après à l'issue de la représentation les spectacles : prenez la passerelle vitrée, descendez l’escalier, vous y → jeudi 12 mars êtes ! Afin de garantir un meilleur service, le bar a été agrandi pendant l’été pour proposer plus de places et un nouvel espace. Un second bar avec boissons Accueil billetterie MC2 et restauration est ouvert à 04.76.00.79.00 4 rue Paul Claudel l’extension, avec 60 places assises supplémentaires, soit 150 mc2grenoble.fr CS 92448 au total. 38034 Grenoble cedex 2 * le dimanche, une heure avant le spectacle
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